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#je deviens blonde
gouinisme · 8 months
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curly girls get aWAY FROM ME
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superiorkenshi · 8 months
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C'est donc ça l'amitié
Une personne qui connais la théorie des couleurs pour le dessin 🤝 Une personne qui connais la théorie des couleurs pour faire des colo de cheveux
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04 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
- ÉCRASÉ SOUS LES PIEDS DES GÉANTS -
PARTIE PAR tidodore2
"Alors pédé, qu'est ce que tu décide ??? On t'abandonne attaché ici en plein désert, ou tu accepte ta place et tu deviens notre esclave "paillasson " nettoyeur de pieds ? Ouiii, voilà, je m'en doutais ! Bon choix toutou ! Fini de nettoyer nos pieds en les lechant et on te ramène à la maison pour ta nouvelle vie !"
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PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
Dans un monde où les géants et les minuscules humains vivent en harmonie, être un pédé c'est être une proie. Le petit Madison était en adoration devant les très grands mâles mais il risquait souvent d'être écrasé par eux. Impressionné par la taille de leurs pieds qui faisaient le double de son corps, il se promenait dans des parcs pour échapper à la monotonie de la vie.
Du moins jusqu'à ce que deux géants frères blancs sublimes et musclés menacent de l'écraser.
Ayant refusé de lécheurs leurs immenses pieds, Madison fut obligé de les laisser l'attacher à un arbre, n'ayant pas assez de force pour résister.
Il avait accepté de lécher leurs immenses pieds, et les deux frères avaient tellement aimé le contact de la langue de Madison sur leurs semelles qu'ils l'avaient pris avec eux.
Or ils habitaient loin de chez Madison : il fallait traverser un désert. Ayant réussi à sauter de la voiture, il fut rattrapé et ensablé.
Les deux géants étaient impressionnants et très apeurants comparés au minuscule pédé qui mesurait moins de la moitié des larges pieds des frères géants. Ces derniers se mirent à s'embrasser sur la bouche avec la langue ! Ils étaient certes des homos et amoureux l'un de l'autre, mais ils étaient de toute façon des géants dominants et étaient donc supérieur en tout au pédé minuscule coincé dans le sable.
En larmes, le minuscule Madison implora la pitié du couple gay incestueux et se mit à lécher leurs semelles sous leurs rires cruels. Les deux beaux hommes blonds musclés trouvaient agréables de sentir une minuscule langue sous leurs pieds.
Finalement, ils ont retirés le minuscule pédé du sable et l'ont gardé comme lécheur de pieds. Jamais Madison ne fut retrouvé par ses proches, car il passa le reste de sa vie à lécher les immenses pieds de ses maîtres. Assis confortablement dans leur gigantesque canapé, les deux frères s'embrassaient en obligeant leur minuscule esclave lécher leurs pieds posés sur un reposepieds.
La majorité du temps, Madison vivait dans la chaussure de l'un des frères. Pendant que les frères géants dormaient amoureusement dans les bras musclés l'un de l'autre, leur minuscule lécheur de pieds dormait dans l'une de leurs chaussettes sales.
La vie de Madison ne serait plus réduite qu'aux pieds immenses d'un couple gay de frères géants.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
- CRUSHED UNDER GIANTS'S FEET -
PART BY tidodore2
"So fag, what do you decide??? We leave you attached here in the middle of the desert, or you accept your place and you become our foot-cleaning slave "doormat"? Yeah, there you go, I suspected it Good choice doggie! Finished cleaning our feet by licking them and we'll take you home for your new life!"
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PART BY submissivegayfrenchboy
In a world where giants and tiny humans live in harmony, to be a faggot is to be prey. Little Madison was in adoration in front of the very big males but he often risked being crushed by them. Impressed by the size of their feet which were twice his body, he walked in parks to escape the monotony of life.
At least until two sublime and muscular white brother giants threaten to crush him.
Having refused to lick their huge feet, Madison was forced to let them tie him to a tree, not having enough strength to resist. He had agreed to lick their huge feet, and the two brothers had enjoyed the feel of Madison's tongue on their soles so much that they had taken him with them.
But they lived far from Madison: they had to cross a desert. Having managed to jump out of the car, he was caught and stuck in the sand.
The two giants were impressive and very scary compared to the tiny faggot who was less than half the giant brothers' wide feet. The latter began to kiss each other on the mouth with their tongues! They were certainly gay and in love with each other, but they were dominant giants anyway and were therefore superior in everything to the tiny queer stuck in the sand.
In tears, tiny Madison begged for mercy from the incestuous gay couple and proceeded to lick their soles as they laughed cruelly. The two handsome, muscular blond men found it pleasant to feel a tiny tongue under their feet.
Eventually they pulled the tiny faggot out of the sand and kept him as a toe sucker.
Madison was never found by his relatives, because he spent the rest of his life licking the huge feet of his masters.
Seated comfortably in their gigantic sofa, the two brothers kissed each other while forcing their tiny slave to lick their feet resting on a footstool. The majority of the time, Madison lived in the shoe of one of the brothers.
While the giant brothers slept lovingly in each other's muscular arms, their tiny toelicker slept in one of their dirty socks. Madison's life would be reduced only to the huge feet of a gay couple of giant brothers.
END OF THE STORY
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@tinygiant @giantxxx2 @giant-tiny-people @gianttinyboys @giantworshipper @macrophiliagayfr @inanimatetffantasies @innerpiratefun @lovefanfiction01 @gayhopefullove @awesomecrowdcontrol1 @leftprogrammingroadtripdean @torinya @feet2eat @soumispourdomi @rainykpoptravelcreator @bat-woodfeet-us @socklickersworld @jockfootstories
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Je serai le dieu de la guerre !
Le Mongol enlève son cheval d’un coup de talon. Le Russe surpris, serre les dents, fouette sa monture et rattrape son compagnon. Ils galopent comme s’ils cherchaient à rejoindre le soleil qui illumine les ruines de Karakoroum, la fabuleuse cité de Gengis Khân. Au crépuscule, ils arrivent dans une yourte isolée dans un décor de sable et de pierre. Une femme semble les attendre de toute éternité. C’est la fille d’un berger mongol et d’une tzigane sibérienne. Sans âge, sans race, elle appartient au seul monde du vent. Sans demeure sans le lait aigre , l’urine et l’encens.
Elle gratte soigneusement les lambeaux de viande qui s’attachent encore à une omoplate de mouton. Elle place l’os blanc comme un quartier de lune, dans les charbons ardents du foyer en murmurant des incantations. Une odeur ignoble se répand et une fumée noire se dégage du foyer.
-« Je vais t’annoncer ton avenir »
L’étranger ne dit rien. Le jeu des flammes vertes et rouges semble le fasciner. Il sourit. Maintenant l’os semble à demi calciné, la femme le retire et souffle les cendre qui collent à la surface noircie. Elle regarde à travers l’os déchiqueté comme s’il avait reçu à bout portant une décharge de petits plombs. Son visage exprime la surprise puis la terreur. Elle parle d’une voie tranquille, mais ses yeux conservent une fixité étrange.
-« Je vois le Dieu de la Guerre. Sur un cheval gris , il chevauche à travers nos steppes et nos montagnes. Tu domineras un grand pays Dieu blanc de la Guerre. Et je vois du sang, beaucoup de sang,du sang rouge… »
Ainsi, un soir d’automne 1911, au coucher du soleil , près de la cité sacré de Karakoroum , un garçon qui n’a pas encore vingt-six ans apprend quel sera son destin.
Quant les deux hommes repartent, le soleil a disparu derrière les montagnes. Tout deviens noir autour de la yourte solitaire. Le jeune cavalier reste silencieux. Son compagnon le regarde à la dérobée, comme pour graver dans sa mémoire ce visage : il a un grand front , très bombé , que le vent de la course dégage de ses mèches de cheveux blonds, un nez fin et pointu , des lèvres minces ourlées d’une moustaches claire qui attriste un peu le bas de son visage, où un menton carré apporte une touche rugueuse
Il éclate d’un grand rire et lance vers les étoiles :
-« Je serai le dieu de la guerre ! »
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maddogsociety · 5 months
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Ça y est, c'est décidé, ce soir je deviens blonde.
Ça va être drôle ça
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sushis4kalyo · 1 year
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Kalyo Targaryen ... 👩‍🦳
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Aujourd'hui j'ai fait refaire mes mèches. Le verdict est tombé : je vais devenir une Targaryen !
Ils sont là ! Ils arrivent par mèches ... Les cheveux blancs s'installent en force !
J'avais hâte d'en avoir car je rêve de me faire un joli blond polaire sans me bousiller les cheveux ... mais j'ai l'impression qu'ils arrivent en hurlant "tu deviens vieille !!!" ... et ça, ça fait moins plaisir ...
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gfxced · 2 years
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J'écoute de la musique et je pense à ceci:
J’aime regarder les gens. Cette grande jeune fille, blonde et fine, habillée sobrement, pantalon sombre, pull à col roulé beige, sa montre intelligente, rectangulaire toute noire sortant de sa manche, ses lunettes rondes. J’apprécie l’agencement, il m’est fort plaisant et qui plus est, de saison. J’ai tout vu, tout analysé, tout imaginé, même si nous croiser n’aura pris que quelques secondes.
La musique est sombre et dure et le souvenir prend une autre tournure. Mais le souvenir est bien vivant. Intense. Mélange de désirs. La réalité se transforme en science fiction. Cette jeune-femme devient une héroïne d'un film sans dialogue et pour l'instant, sans autre décor que cette rue dans laquelle je l'ai pour la première fois aperçue. L'intrigue est encore en gestation, l'information va et vient entre mes neurones qui s'embrasent.
L'image est presque statique, le film tourne en boucle, agrémenté de flous de bouger et de jump cuts. Qui est-elle? Où va-t-elle? Est-elle badass à souhaits ou alors cherche-t-elle à se faire oublier? Suis-je spectateur/narrateur ou deviens-je également personnage? Si oui, dois-je lui courir après? Viendra-t-elle à moi?
Non. Il faut la regarder passer comme dans un film noir, il faut observer la scène en sachant que ce n'est pas la dernière fois que l'on se croisera. Si je suis dans l'histoire, question primordiale à régler; suis-je trop vieux pour elle? Ou alors suis-je un grand frère ou une figure paternelle? Mais en fait, est-elle armée? Je sais cette question je l'ai déjà posée. J'aimerais une réponse.
La réponse est non.
Sa montre, il y a un truc, il y a quelque chose. Quelque chose d'élégant. Quelque chose d'important. Tu connais le fusil de Checkov? Cet règle qui dit que tout élément d'une histoire est importante. On n'expose pas gratuitement une audience à des images. Tout plan, tout élément doit servir une fonction narrative.
La montre donc, il y a un truc. Un je ne sais quoi qu'il faudra que je détermine. Je l'ai vue, je l'ai bien vue. Elle ne dépassait pas sa manche par hasard.
Mes pensées, c'est ainsi, tout le temps, sans arrêt. Personne ne l'a jamais compris. Personne ne se rend compte car ma langue qui va au but — ou bien se perd complètement — ne laisse rien entrevoir d'autre que mon côté terre-à-terre ou bien ma nature dispersée et maladroite.
Personne ne partage activement ces mondes. Je ne suis pas tout à fait sûr que cela soit possible, en tout cas pas pour très longtemps. Mais parfois je me dis qu'en fait, avoir une muse (ou deux, ou trois) ça pourrait être bien, le temps de quelques histoires créatives.
Sans doute sous forme photographique.
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gotzyredlips · 8 months
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La façon dont je deviens plus belle, plus bonne et plus adaptée à toi semble de toute façon ne pas te convenir, parce que tu choisis de me laisser derrière toi, et c'est tout !
Donc je fais tout pour moi, pas pour toi !
#gotzyredlips 👄
#redlips #makeup #redlipstick #beauty #red #makeupartist #selfie #love #lipstick #photography #girl #instagood #model #fashion #lips #photooftheday #me #mua #beautiful #redhair #picoftheday #portrait #blueeyes #instagram #like #style #blonde #follow #longhair
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le---reveur · 2 years
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VIOLENCE PORNOGRAPHIQUE
C’est déjà la quatrième fois de la journée que je me dirige vers mon ordinateur pour faire la même chose. Et pourtant, il n’est même pas encore 20h. Nous sommes en août et je n’ai toujours aucune idée de ce que je vais faire à la rentrée. Depuis l’obtention de mon diplôme, l’an dernier, mon monde a basculé. Mes parents m’ont été pris, la haine s’est emparée mon pays, Vanessa est partie, et l’alcool a coulé dans mes veines à maintes reprises. Je n’ai pas eu une seule seconde pour réfléchir à mon entrée dans le monde du travail. Penser à cela est tellement absurde. Ma vie est devenue un cauchemar. J’ai une gueule de déterré. Qui voudrait d’un gars comme moi au sein de son entreprise ? J’ai tellement de pensées dans ma tête que je ne pourrai même pas me concentrer sur quelque chose de sérieux, de constant, de régulier. Puis à quoi bon ? A quoi bon travailler pour ce pays qui ne fait rien pour moi ? Ce pays a une dette envers moi. Ce pays doit me dédommager de tout ce que j’ai perdu. Moi je ne lui doit rien à la France. C’est elle qui me doit tout. C’est elle qui a fait entrer ces enfants du mal au sein de notre capitale, c’est elle qui a permis à ces démons de tuer mes parents. C’est la France la coupable. Et moi, je crache sur la France. Comme je crache sur ces assassins arabes. Comme je vais cracher pour la quatrième fois de la journée.
Je tape quelques mots sur mon clavier. Et je clique sur le premier lien que j’aperçois. Plusieurs images s’offrent à moi. Avec des femmes de toutes les couleurs, de toutes les formes, de tous les âges. L’industrie du porno est incroyable. Car elle crée un besoin vital. On consomme des images, tous les jours. Peu importe la qualité de mal vidéo, peu importe la nationalité des personnes sur ces vidéos. Peu importe la provenance de ces images. On les consomme jours après jours. Il y a sans cesses des nouveautés, sans cesse de nouvelles choses à voir, à découvrir. 
Plus les jours passent, plus je veux aller loin dans l’assouvissement de mes fantasmes. J’ai besoin de visuels violents et choquants, sans quoi je n’arrive même plus à jouir. 
Une femme, blonde, seule et menottée, entourée de six mecs. Ils la torturent les uns après les autres. Un d’eux la cogne si fort qu’elle tombe sur le sol. Un second lui tire les cheveux pendant qu’un autre lui enfonce des objets dans le vagin. Elle semble apprécier tant elle gémit. Deux autres mecs lui donnent des coups de pieds tandis qu’elle remue au sol dans tous les sens. Le dernier des hommes, se tient au dessus d’elle, sort son énorme sexe suintant la virilité de son pantalon et se met à uriner sur la femme au sol. 
C’est à ce moment précis que je sens que je vais jouir. J’aime voir l’humiliation et la honte dans le visage de cette femme. Ce n’est pas la femme blonde nue en train de se faire baiser par ces hommes qui a honte. Mais c’est l’actrice. C’est l’actrice elle-même qui est humiliée, qui se retrouve sujette à tous les pires fantasmes malsains des hommes. Pas des hommes de la vidéo, mais de tous les autres hommes : ceux qui ont imaginé ce scénarios, ceux qui filment la scène, ceux qui vendent cette vidéo, et bien entendu, tous ceux qui consomment : tous ces qui regardent cette vidéo, jours après jours.
Je me donne des coups de coude dans le bassin, tous aussi forts les uns que les autres, pendant que je me branle. Mon pénis est totalement irrité et sanglant, à cause de mes innombrables masturbations quotidiennes. Et c’est sans aucun doute la douleur due à la violence de mes coups de coude sur mon corps, ajoutée à la violence de la scène se déroulant sous mes yeux, qui produit un orgasme aussi virulent que généreux.
Je suis vidé, je me sens bien. Internet est prodigieux. Quand je me laisse aller à cette violence pornographique, je deviens enfin celui que j’ai toujours été. 
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frenchsong · 3 years
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Chanson d’Emilie Jolie et du grand oiseau                                   Song of Emilie Jolie and the great bird
Je m'appelle Emilie Jolie x2 /  My name is Emilie Jolie x2 Je voudrai partir avec vous /  I want to go with you Tout au bout du ciel, sur vos ailes /  At the end of the sky, on your wings Et je voudrais vivre avec vous, ma vie /  And I would like to live with you, my life Tu t'appelles Emilie Jolie x2 /  Your name is Emilie Jolie x2 Tu voudrais partir avec nous /  You would like to go with us Tout au bout du ciel, sur nos ailes /  At the end of the sky, on our wings Et tu voudrais vivre avec nous, ta vie / And you would like to live with us, your life Oui, c'est ça vous m'avez comprise /  That's it, you understood me Alors dites-moi oui / So tell me yes Tu t'appelles Emilie Jolie /  Your name is Emilie Jolie Tu rêves de voler la nuit /  You dream to fly at night Partir rejoindre le soleil / To join the sun Et même la lune, et sur nos plumes /  And even the moon, and on our feathers Faire un p'tit tour au paradis / Take a ride to heaven
Oui, c'est ça vous m'avez comprise /  That's it, you understood me Alors dites-moi oui /  So tell me yes Mais y a tant de choses à voir avant /  But there is so much to see before De partir pour le firmament /  You go to the firmament Y a tant de pages à tourner /  There are so many pages to turn Ta vie ne fait que commencer /  Your life has just begun
Y a tant de choses à voir avant /  There is so much to see De partir pour le firmament /  Before you go to the firmament Y a tant de jours et tant de nuits / There are so many days and so many nights Tu es au début de ta vie /  You're at the beginning of your life J'ai tant de choses à voir avant /  I have so much to see before Mais n'oubliez pas pour autant /  But don't forget La petite fille aux cheveux blonds / The little blonde haired girl Qui vous a chanté sa chanson /  Who sang her song to you Je m'appelle Emilie Jolie x2 /  My name is Emilie Jolie x2 Et si un jour je deviens vieille / And if one day I get older J'irai voir le ciel sur vos ailes / I will see the sky on your wings Au rendez-vous du paradis /  At the meeting place of paradise Mais prends le temps de vivre ta vie /  But take the time to live your life Ma petite Emilie Jolie /  My little Emilie Jolie Tu sais dans les pays rêvées /  You know, in dreamland Les oiseaux ne sont pas pressés. /  The birds are in no hurry.
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thequeenvvv · 4 years
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Jamais contente
On s’entend tous pour dire que 2020 est une année assez spéciale à date avec la pandémie qui nous oblige à ralentir. Mon compte de banque et moi entre autre. Un break de café latté à 5 piasses à côté du bureau. Les centres de beauté qui ferment pendant presque 3 mois. Cool cool cool cool. Ça fait juste 10 ans j’vais me faire faire les ongles mais c’est beau staying calm. Tous mes rendez-vous de maintenance annulés. Mon front redevenu un peu trop mobile à mon goût, je réfléchissait à comment je m’étais rendu là. Toujours penser à la next chose que je voudrais me faire faire ou à telle nouvelle sorte de laser. Forever young. Certains « ajustements » disons qui font du bien à mon âme. Why tho? J’ai pas tant la réponse mais je peux vous conter d’où ça part.
Je suis partie de chez mes parents dès que j’ai pu. Si vous avez lu mon histoire précédente vous comprendrai que j’étais quand même à boute et je rêvais d’avoir une certaine liberté d’esprit. La vie universitaire à Trois-Rivières c’était malade. Pas trop de responsabilités, une marge étudiante, personne pour m’écœurer et des colocs parfaites. Il y avait aussi des partys avec des gars H-O-T. Mon charme de rousse était on fire. Le diable en personne. Still major concern: j’avais pas de seins. Chaque fois que je partais à la chasse, je portais ma brassière paddée de la Senza d’un incroyable confort (NOT). By the way qui endure encore ça de nos jours really?! Non, mais anyway quelle fraude. Pauvre gars quand ils me détachaient ça dans le noir et qu’ils se rendaient compte du scam. #sorrynotsorry. 
On se rappelle que je suis curvy pis c’est supposé aller avec. Est-ce qu’ils ont skippé le dossier des boules au meeting de la génétique juste avant mon arrivé sur cette Terre? Ma mère me sort le classique : « on peut pas toute avoir dans vie, tu es née comme ca ». Haha, not under my watch. J’allais remédier à la situation grâce à un 7K bien investi. Ouvrez-moi le chest already. Allo le boost de confiance après. Je me sentais plus proportionnelle à ma shape pis la lumière était à ON dans la chambre. Know what I mean. La comptable en moi se disait que, amorti sur 15 ans, mon investissement était worth it.
 Un peu plus tard dans le début de ma carrière j’avais perdu le contrôle sur ma nutrition, AKA le combat de ma vie. J’avais beau aller à la boxe 5 fois par semaine je mangeais tellement ça avait juste pas de sens. En over de calories dans le fichier Excel interne. Every.Damn.Day. Un extrait de mes organes complètement dépassés par les événements: « sak on peut tu avoir un break on a pas le temps de gérer ton T-Bone à soir la folle ». Avez-vous des amis italiens? Moi oui. Mon amie m’avait invité à son shower. Je savais que le buffet allait être incroyablement bon et ça me causait de l’anxiété en avance. Se parler dans le char « Ok mange pas trop la rendu la bas ». Finalement finir par trop manger, avoir mal au coeur, se sentir mal, aller au gym le lendemain, se trouver laide. On repeat.
Bref, j'étais pu capable donc j’ai fais les démarches pour aller me faire chopper 66% de l’estomac à Québec. Un esti de game changer. Don’t get me wrong, ils opèrent pas dans la tête. Faut manger son kale après et faire tous les efforts. Sauf que là, j’avais un stopper et ça m’a donné une seconde chance pour réapprendre à écouter ma faim. Aujourd’hui je suis incapable de finir un hamburger ou une assiette de gnocchis et pour être 100% honnête, dans mon cas, c’est mieux de même. 
Ces dernières années je pensais souvent à me faire gonfler un peu la babine d’en haut. J’ai résisté le plus longtemps possible. Juste une p’tite shot, can’t hurt (for real turns out que ça fait mal en criss). Mon lipstick game est rendu on point tho. À force de follow des cliniques d’esthétique sur IG et de liker j’ai fini par gagner un de ces concours pour une séance de botox gratuite. Encore ma mère ici: « c’est normal les rides dans la vie ça raconte ton histoire ». K mom. L’histoire d’une fille qui applique son mascara en plissant le front X 1000 like it ain’t no thang. Also l’histoire d’une fille qui a jamais mis de crème solaire tant que ca. Tsé c’est pas des caves à la clinique, ils le savent qu’une fois tu commences, les chances sont bonnes que t’aime ca. And then, you’re fucked. Au bureau on m’a déjà fait un genre de « hey as-tu passé un beau week end tu as l’air tellement reposée ». Lol, un repos à 400$ comme je les aime. Pensez-vous j’me lève de même le matin? Nah girl, ça s’appelle faire de la maintenance. 
Mon but aujourd’hui c’est pas de faire la promotion des chirurgies ou d’autres modifications qu’on a envie de faire à un moment ou un autre (surtout quand on scroll sur le Gram). Je suis très consciente que chaque personne trace ses propres limites et que ce sont des décisions ultra personnelles. Bottom line, you do you.
De mon côté, je m’assume pleinement dans mes choix. Je me ferais jamais opérer les yeux au laser parce que j’ai peur l’enfer, mais une petite lipo par exemple… je dirais pas non. Dollars Dollars bill y’all. J’ai toujours été axée sur les résultats. S’il y a quelque chose qui me plait pas, je me mets en mode solution pour mon bien-être mental. Pas l’temps de niaiser. Pis jusqu’à date ça marche pas mal dans toutes les sphères de ma vie, et au moins, j’ai l’impression que j’avance au lieu de me plaindre. 
Ma question aujourd’hui est la suivante: pis toi, t’es tu game? 
Je parles pas d’être game d’investir ta paie durement gagnée pour changer tes seins ou ta face. Se teindre en blonde et porter un crop top c’est bon aussi. Ok se couper les cheveux soi même ça reste quand même un leap of faith. Dans le fond, être game de faire ce qu’il faut pour être satisfaite de ce que tu es, et de qui tu deviens. Te trouver belle, toi même en te regardant dans le miroir. 
Tsé je réalise que, cette quête de beauté là, c’est sans fin. Pis ça gosse. Jamais contente serait probablement le titre de mon livre. Je suis vraiment grateful de ma job (surtout en 2020), mais reste que je pense au next step ou à une promotion. J’ai perdu du poids, je porte un jumpsuit size M mais j’pas satisfaite rendue à poil. Je l’aime ma face toute est correcte mais je dis pas non à me faire stabber avec des micro aiguilles question d’activer mon collagène. Au bureau, on a toujours comme objectif de faire de l’amélioration continue. Je pense que ça s’applique aussi à nous même. Mon défi c’est de trouver LA balance. Apprécier ce que j’ai mais aussi level up et essayer d'être le best version of myself. Une petite balayeuse dans le gras de bedaine peut-être. Ca l’air qu’en Colombie c’pas cher. 
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ts2-uglacy · 4 years
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Semaine 22 (Partie 2) : Rencontres en centre-ville.
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Reprenons cette semaine qui a été coupée en deux à cause de sa longueur.
Précédemment, j’ai joué la carte du drama pour développer un peu la relation entre Becky et Florinda, mais même si c’était un exercice intéressant, ça manquait peut-être un peu de fun. C’est possiblement quelque chose que je renouvellerai, mais avec parcimonie.
Et pendant ce temps, à la maison familiale :
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Alors que le jour se lève, la famille possède environ 12000$ d’économies… qui partent en panneaux solaires. Parce-que faut investir pour devenir riches.
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BoiiiiiiiiiiNg ! Le bébé grandit !
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Peut-être sont-ce les discussions avec Junior et Prof Aurore qui ont porté leurs fruits, mais Becky se décide à faire à manger pour tout le monde, même sa belle-mère !
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Une belle-mère qui passera encore sa journée sur l’échiquier.
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Ohlala ce ventre ! J’ai tellement hâte de voir la tête du bambin !
Ce qu’il faut savoir, c’est que je joue des tranches qui vont d’une demie journée à deux jours environ (des jours Sims, pas des jours IRL… enfin parfois si mais là n’est pas la question), puis je poste les images en brouillon avant de reprendre.
Un billet (là en l’occurrence, deux billets, puisqu’il s’agit de la même semaine) que vous lisez en une fois me prend généralement plusieurs jours (IRL cette fois) de jeu, et donc, entre le début et la fin de celui-ci, j’ai largement le temps de me faire à certaines idées, à appréhender la suite différemment, bref, psychologiquement je passe par plein d’étapes parce-que le temps fait son œuvre.
Du coup, pour ce bébé, c’est pareil.
Au début, j’ai hésité à faire avorter Florinda parce-que je ne voulais pas d’un début de génération 2 alors que celle-ci est déjà prête à procréer ! Puis je ne voulais pas d’un enfant qui ne soit pas de Charlotte. Puis je ne voulais pas prendre le risque qu’il soit plus moche que Becky, parce-que j’aime beaucoup trop Becky à présent pour la remplacer.
Mais avec les jours qui passent… je deviens excitée à l’idée de voir sa tête ! Je n’ai toujours pas tranché quant à ce que je ferai s’il est super moche, mais je ne m’en fais pas, je sais que je trouverai LA solution qui me conviendra.
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Et pour Becky, il est temps de repartir passer une nuit de folie au centre-ville !
Elle a épuisé toutes les cibles du Love Motel, alors cette fois-ci, direction le centre LGBT qui devrait accueillir plein de lesbiennes.
La différence avec le Love Motel, c’est que les visiteurs du centre LGBT peuvent avoir tous les types d’aspiration, et pas seulement romance ou plaisir. Cela veut dire que TOUT Sim Gay, Lesbien, ou Bi, peut s’y trouver ! Ah, et aussi, il n’y a pas d’anti-jalousie programmée. C’est pas rien.
Ce qu’il va donc falloir éviter, ce sont les interactions romantiques. On ne veut pas qu’une ou plusieurs Simettes jalouses s’énervent et rompent.
Ce qu’il faut aussi savoir, c’est qu’il suffit d’avoir salué ou parlé une seule fois à quelqu’un pour automatiquement avoir son nom, son prénom, et son numéro de téléphone.
Imaginez-vous dans la rue : Bonjour ! Super, maintenant j’ai ton numéro de téléphone !
Flippant.
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Bref, Becky passe son temps à dire bonjour à toutes les femmes qu’elle croise, puisque le but n’est pas d’en faire tomber sous son charme ce soir, mais juste de fournir son répertoire et ENSUITE seulement les draguer, genre chez elle, à l’abri des regards de ses autres amantes.
Je n’ai pas photographié toutes les femmes parce-que ça commençait à faire beaucoup, mais une chose est sûre, Becky a désormais de la matière à travailler !
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Une seconde d’inattention de ma part et Becky et Buffy s’envoient en l’air dans le photomaton. Heureusement, ça n’a pas provoqué d’esclandre.
Et puis soudain.
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Qui vois-je ? Comtesse mon cul, vampire de son état, est aussi là ! Ça c’est une surprise, elle aussi aime les minous.
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Alalala, me voilà en train de penser à une Becky vampire. Je ne sais pas ce que ça apporterait au personnage, mais j’ai toujours eu TELLEMENT de mal à rencontrer les vampires que je ne veux pas laisser passer cette occasion !
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Je provoque donc conversation sur conversation pour essayer de lier une bonne relation avec vampirella, histoire de faciliter les invitations à venir à la maison par la suite.
Quand soudain (encore).
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Une bagarre éclate. Même au centre LGBT on n’est pas à l’abri !
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*feulement de chat*
Le premier rayon de soleil apparaît et Comtesse disjoncte.
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La voilà en train de prendre la fuite.
C’est un bon moment pour rentrer à la maison, surtout que Becky commence à être très fatiguée.
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Pendant ce temps, Bucky découvre sa femme en train d’apprendre la guitare.
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À son retour du centre-ville, Becky, elle, découvre des cafards !
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Ni une ni deux, elle s’en débarrasse avec un truc qui a l’air hautement toxique.
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Et puis, si on allait dormir ?
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En profitent alors Bucky et Florinda pour roucouler en sous-vêtements sur le canapé.
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Je voudrais qu’on s’attarde quelques secondes sur le slip de Bucky.
Voilà.
Florinda, malgré sa grossesse, porte des dessous affriolants, bref, elle fait des efforts, et lui ? Lui, balek. Le slip spécial trace-de-pneu lui convient très bien.
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M’enfin… si ça plaît à Florinda…
Enfin, quelques heures plus tard.
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Florinda accouche ! Sous le regard bienveillant de Charlotte dont aucune des photos n’a été enlevée.
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C’est un garçon ! Et ce petit bout de chou s’appelle Brice !
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Bucky et Florinda sont très heureux d’accueillir le petit Brice et…
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… même Becky est ravie !
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Brice a donc la couleur dorée des yeux de sa mère, et, comme ses deux parents, il aura les cheveux blonds ! Maintenant, patientons jusqu’à ce qu’il devienne un bambin pour découvrir le visage qu’il aura, puisque tous les bébés se ressemblent.
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Becky s’installe quelques instants pour penser à la contradiction qui l’anime : refuser Florinda dans sa vie mais avoir ressenti un brin d’amour en voyant son petit demi-frère.
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Mais elle pense aussitôt à des cibles dont elle pourrait se rapprocher, alors ni une ni deux, elle enterre ses doutes et décide de retourner au centre LGBT !
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Sa première cible est présente et elle va de ce pas entamer la discussion avec elle.
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Les jeunes femmes s’entendent bien et…
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… les voilà devenues amies, comme le souhaitait Becky !
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Coup de chance, sa seconde cible arrive sur le terrain à ce moment-là.
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Elles aussi s’entendent bien.
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Elles deviennent très rapidement amies et on voit très clairement que l’attirance pour Becky est très forte.
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Becky ne va pas s’arrêter là. Elle croise la route d’une autre femme mûre et l’interpelle pour lui faire la conversation.
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Tout se passe bien quand soudain…
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… la Comtesse apparaît !
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Elle va immédiatement s’installer à table pour manger, sans laisser le temps à Becky de la saluer.
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Mais Becky ne se démonte pas si facilement, et à peine a t-elle terminé de manger qu’elle engage la conversation.
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Une conversation qui sera de courte durée puisque de toute évidence, la Comtesse n’est venue que pour dîner au restaurant, et s’en va illico presto.
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Becky trouve alors Sarah, celle qui l’avait surprise en train de draguer quelqu’un d’autre à l’université. Elle tente de lui dire bonjour, mais même pour ça, Sarah fait un pas en arrière l’air énervé !
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Elle laisse exploser sa colère et...
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... même Becky perd les sentiments qu’elle avait pour elle.
Et d’un coup, la vengeance.
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Ça veut dire que TOUTE LA FAMILLE va être punie pour les agissements de Becky ! Nous qui avons une dépendance à meubler, ça tombe plutôt mal !
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Très clairement, j’ai fait la même tête en lisant cette bulle.
Bon, on a fait assez de dégâts pour le moment, on va rentrer à la maison...
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De son côté, Florinda désire améliorer sa créativité.
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Ça n’a pas l’air simple...
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Comme vous pouvez le voir, il y a eu du changement au sous sol !
On a complètement revendu tout le matériel de fête. Après tout, on n’en fait pas souvent, alors à quoi bon ? On a déplacé tous les trucs bizarres comme les établis et les flippers de l’enfer dans le sous-sol de la dépendance, un peu à l’arrache. Puis on a agrandi la nurserie qui sera la chambre officielle de Brice. La salle de bain a également été agrandie, et on a construit ce qui sera bientôt un bureau et un lieu d’études.
Je ne sais pas trop comment on emménagera l’espace vide qui entoure les escaliers mais pour le moment ça va rester vide. J’attends l’inspiration...
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Ça, c’est le moment mignon où Bucky n’hésite pas à se lever au milieu de la nuit pour changer la couche de Brice. Bucky est ce qu’il est, mais il reste un bon papa.
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“Ouais, j’te dérange ? Y’a quelques heures avant le lever du jour, ça te dirait pas de passer ?”
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Mouahahahah. J’attends avec impatience le moment où Becky l’aura mise dans son lit.
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Les jeunes femmes ne sont pas encore tout à fait amies que Becky tente une approche frontale... qui ne fonctionne pas.
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Finalement, elles passeront le reste de la nuit à parler bijoux et chaussures, ce qui fait passer leur relation du stade de connaissances à amies ! C’est une évolution.
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Au petit matin, Florinda pense que c’est une bonne idée de jouer à la balle avec un robot sur le bord de la route et en nuisette.
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Et le moment gênant de cette semaine : Junior qui fantasme sur Becky.
Je suis un peu choquée.
Mais Becky semble trouver ça normal !
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Bon, il est temps de passer aux choses sérieuses ! On n’accomplira pas ce désir de 30 relations en restant assise sur un canapé !
En feuilletant le panneau des relations, je constate donc qu’on a une cible potentielle avec Zoé, puisqu’elles sont déjà entichées et très bonnes amies. On l’invite donc.
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En attendant Zoé :
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Florinda gagne un point à dépenser dans son panneau des bonus d’aspiration ! Ça avance lentement, mais sûrement !
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Et SURPRISE ! Au sixième jour de recherche, Florinda trouve ENFIN un travail dans sa branche ! Ça a été si difficile à trouver que je me suis sentie obligée de sauvegarder immédiatement après juste au cas où !
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Autre fun fact : avec toutes les relations de Becky, la famille a 60 amis. SOIXANTE. AMIS. Rien que ça.
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Bref, Zoé arrive et Becky lui prodigue son meilleur massage, approuvé par tant d’autres filles avant elle qu’il serait difficile de les compter !
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Un petit bisou et...
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... les sentiments naissent ! On a donc 31 entichements et 22 amours.
On n’a plus besoin d’elle alors on lui dit au revoir et on cherche une autre cible, parce-que pas besoin de faire genre, on a eu ce qu’on veut, à la suivante !
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On porte désormais notre dévolu sur la blonde du Love Motel.
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Les jeunes femmes flirtent...
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... et se tiennent les mains. Si c’était pas complètement du flan, je trouverais ça mignon !
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Finalement, nous avons enfin ce que nous voulons (ce qui nous fait 31 entichements et 23 amours) et on demande à cette Marilène de repartir pour rapidement trouver quelqu’un d’autre à inviter !
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À ce niveau du panneau, je vois trois cibles potentielles sans avoir la certitude qu’elles soient bis ou lesbiennes. On va donc les essayer une à une. De manière or-ga-ni-sée.
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C’est parti.
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Une main aux fesses et...
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... on a ce qu’on veut.
Suivante !
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Becky s’approche et...
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... “Bas les pattes !”
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“Ben quoi ?”
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“T’as vraiment un grain, ma parole ! Pas moyen d’être ton amie sans que tu essaies de faire de nous ton quatre heures ! Allez, salut !”
Tant pis... Suivante !
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Un bisou et...
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... ça nous fait 33 entichements et 25 amours !
On dit au revoir à cette jeune donzelle et on s’arrête là pour aujourd’hui. Nos autres proies ont encore besoin de voir leur barre de relation à long terme monter un peu avant que des interactions romantiques ne soient efficaces.
D’ailleurs, des proies, il nous en faut 5. On en a possiblement que 3 dans les connaissances de Becky. Il va donc falloir retourner au centre LGBT pour améliorer certaines relations !
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“Vos fesses sont humides, Monsieur Brice.”
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De son côté, Junior prend soin du bébé.
Avoir un Servo, c’est quand même super pratique. Il fait tout à notre place sans rien demander en retour.
Et alors que Becky s’apprêtait à aller au centre-ville...
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Voilà qui veut dire que nous avons 24h pour fêter l’anniversaire de Brice avant qu’il ne grandisse automatiquement !
C’est samedi soir, alors ça sera ANNIVERSAIRE !
Bucky invite ses amis et achète un gâteau pour son fils. Tout le monde arrive, on prend le bébé et on l’approche du gâteau pour souffler ses bougies...
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Ce petit est encore d’une mignonnerie absolue. Alors ma question c’est :
ÊTES-VOUS PRÊT·E·S ?
Je veux dire.
ÊTES-VOUS VRAIMENT PRÊT·E·S
À VOIR
LE VISAGE DE CET ENFANT ?
D’après-vous,
SERA T-IL DIGNE D’UN UGLACY
OU
SERA T-IL ENCORE DÉCEVANT PHYSIQUEMENT ?
Comptez avec moi :
3
2
1
TADAAAAA
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Je crois que...
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OUIIIIIII ! Il est absolument affreux, Bucky tout craché !
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Non mais regardez-moi ça ! Il me fait peur, on dirait l’exorciste le machin !
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“Je viens pour te mangeeeeeer.”
Bon, alors. J’ai eu le temps de réfléchir à ce que je ferai si le bébé s’avérait moche. Et il s’avère moche.
C’est tout simple : puisque je ne veux pas décider maintenant, lui et Becky vivront en parallèle leurs vies jusqu’à ce que Brice soit en pleine adolescence. Et c’est à ce moment-là que j’aviserai, selon si Brice me plaît en tant que personnage, ou non ! Et selon si Becky s’avère prête à avoir des enfants, ou non.
Donc pour le moment, la vie continue normalement chez les Bucket !
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D’un côté, Florinda se fait une nouvelle amie...
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... avant de cracher ses poumons dû à une petite grippe.
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De l’autre, Becky cancane avec son frère, qui s’est fait poustache.
Et personne ne s’occupe du bébé.
Sauf Junior.
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“Il est temps de faire vos répugnants besoins naturels, Monsieur.”
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Puis plus tard, Becky le surprend en train de sauter sur le trampoline de Boris.
Un Servo qui a besoin de booster son système lymphatique, donc.
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“Je suis ton pa-pa. Allez, dis pa-pa.”
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“pa-py”
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Ce gosse est trop intelligent pour cette famille.
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Hm... Peut-être que ça plairait à Florinda ?
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Ça lui va plutôt bien, on garde !
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De son côté, Becky retourne au centre LGBT pour se faire quelques amies féminines. Mais lorsqu’elle arrive, elle ne trouve que des hommes et des adolescentes. Elle passe donc plusieurs heures à jouer au billard dans l’attente de trouver des femmes adultes et puis...
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Certaines de ces femmes auront quitté le terrain en plein milieu de la conversation, mais à la fin de la journée, Becky repart avec trois nouvelles amitiés !
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À la maison, Florinda fume des bulles.
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Elle est hilare...
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... et défie les lois de la gravité.
Les joies de la drogue.
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“Bon, “papy” c’est pas si mal. Bravo !”
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Je ne cache pas que je voulais un enfant moche... mais là, quand même, c’est au delà de mes espérances !
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Alors que Becky est au centre-ville et que bébé Brice est au lit, ces deux-là en profitent.
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C’est ce qu’on appelle des galipettes.
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Vraiment, Bucky est un bon papa. Je ne crois pas que Florinda ait touché une seule fois son bébé depuis la naissance !
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“Ouch, mon dos.”
Oui Bucky, tu n’es plus tout jeune.
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Florinda, elle, préfère travailler sa créativité. N’oublions pas que son objectif est d’atteindre le sommet de sa carrière alors comment lui en vouloir ?
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Bébé Brice a appris à parler et à marcher, il gagne donc quelques point d’aspiration bonus à dépenser !
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Et c’est sur cette excellente nouvelle que se termine la semaine, qui aura été pleine de rebondissements !
Becky sera t-elle un jour assez stable pour devenir mère ? Laissera t-elle son héritage à son demi petit-frère ? Bucky vivra t-il encore longtemps ? Florinda s’occupera t-elle un jour de son fils ? Même moi, je ne le sais pas encore. Mais une chose est sûre, rien ne s’est passé comme prévu.
J’ai un peu perdu de vue le côté fun de cette partie en voulant développer les personnages et leurs relations (ce qui a donné une semaine très longue, d’ailleurs), et j’hésite encore pour la suite. Dois-je rester sur cette lancée ou reprendre une narration plus superficielle ? C’est une question qui trouvera sa réponse en fonction de ce que la suite des évènements m’inspirent, je pense. À moins que certain·e·s d’entre vous aient un avis sur la question !
En attendant la suite, portez-vous bien !
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Préquels : Spécial Noël : Partie 1
Pour ce moment de circonstances d’avant Noël, voilà une petite série de préquels se déroulant durant le Noël précédent (en première donc) de chaque personnage. Ici, première partie avec Eric, Selim, Elisa, Alexia, Alinne et Milo.
(si vous avez un doute sur quoi que ce soit, n’hésitez surtout pas à aller regarder dans les pages Personnages & Relations qui sont là pour ça). (bon Tumblr est ronchon actuellement, donc pas de musique avec, mais vous avez moult playlists de chant de Noël dispo de circonstances). TW : rapport au corps / Alzheimer / rupture / mention d’intersexophobie médicale
Eric hésitait. Face aux rayonnages de foulards, son regard passait de l’un à l’autre. Taupe, gris, lilas ? Motifs, pas motifs ? Est ce que c’était une bonne idée de cadeau ? Est ce que c’était une bonne idée seulement de lui en offrir un, de cadeau ? Il soupira. Alinne et lui s’étaient séparés avant les vacances, mais il savait très bien que ça n’allait pas durer. Déjà, il passait son temps à penser à elle. Ensuite, elle lui avait envoyé des sms très ambiguës. Et enfin.... Il ne comptait même plus leurs “ruptures”. Leur relation était tellement compliquée. Ou peut être assez simple à comprendre au final : ils ne se supportaient jamais bien longtemps en couple, mais n’arrivait pas à se passer l’un de l’autre au final. Est ce qu’il finirait par s’en lasser ? Dur à dire. Pour l’instant, pas du tout. Est ce qu’un jour il tomberait amoureux de quelqu’un d’autre ? Peut être, ça ne lui semblait pas impossible. Mais il n’arrivait pas à se voir sans Alinne dans sa vie, cependant. Et pas en tant qu’amie. Est ce qu’on peut aimer plusieurs personnes comme ça ? Ça avait beau ne jamais lui être arrivé, ça ne lui semblait pas improbable comme situation. On peut bien tomber amoureux plusieurs fois dans sa vie, alors pourquoi pas en même temps ? C’est surtout le hasard qui décide ça, après tout. Il chassa ces questionnements, qui ne réglaient pas du tout son histoire de cadeau. C’était un peut être un peu cliché. Et puis Alinne avait pas mal d’écharpes. Et ça faisait déjà 20 minutes qu’il était planté comme un con devant le même rayon de Leclerc à regarder devant lui. Après un dernier tour des yeux, il conclut ne pas être convaincu, et fit demi tour sans rien prendre. Il aurait bien du temps avant la rentrée pour trouver un meilleur cadeau. 
Selim n’arrivait pas à s’empêcher de se souvenir de l’an dernier. Oui, c’était con, et évidement que ça n’avancerait à rien. La lumière froide de l’hiver éclairait sa chambre et il n’arrivait pas à sortir du cul de son lit. C’était bientôt les fêtes, il faudrait bien qu’il descende un peu pour venir aider. Il repensait à son Noël improvisé avec Myriam, un an avant. Ils étaient allé bouffer des moules frites près de l’océan et s’étaient offert des cadeaux. C’était rien, tellement rien, mais même ce genre de conneries ne se reproduirait plus. Au milieu de la forêt de plantes qu’il avait accumulé, se trouvait le pot pourrissant du cadeau de son ex petite amie. Une plante carnivore, morte par indigestion de mouches. Elle était clairement décrépie, mais Selim ne pouvait pas se résoudre à la jeter. C’était comme totalement admettre que c’était fini. Il le savait, mais il avait encore besoin de temps. 
“Elle a l’air de te rendre heureuse… Et puis c’est vrai qu’elle est drôle”
Elisa eut une petite victoire intérieure. Son père avait prononcé ces mots sourire aux lèvres, c’était bon signe. Ses deux parents avait d’ailleurs eut l’air d’approuver sa petite amie. Elle était même “charmante” selon sa mère. Claire revint, passant ses mains encore mouillées sur son jean, s’excusant du temps qu’elle avait mis pour trouver les toilettes. Evidemment qu’elle n’allait pas pouvoir passer Noël avec elle, mais cette rencontre avec ses parents avait quelque chose de festif. Sa petite amie avait accepté presque à contrecœur au début, admettant que ça l’angoissait beaucoup. Elle était encore un stressée, mais le repas les avait tous plutôt détendus. Passant ses doigts entre ceux de Claire, elle fit un regard qui se voulait le plus encourageant possible. Le plus dur était fait après tout. 
“Ils ne m’ont pas trouvée trop coincée ?”
Claire était assise sur son lit, un air ennuyé sur le visage. Elisa lui sourit. Elle était vraiment adorable. La jeune femme repris ses mains, plantant ses yeux dans les siens.
“T’inquiètes, tu as été parfaite, ils t’ont trouvée super.”
Elle était vraiment heureuse que ça se passe comme ça, d’ailleurs. Ses parents avaient été un peu dubitatif, puis ils avaient posé bien trop de questions pour que ce ne soit pas gênant. Elisa avait fini par les envoyer gentiment chier. Mais maintenant, c’était réglé. Ce Noël serait vraiment parfait, pensa-t-elle en enlaçant la rouquine. 
Le soir tombait doucement, et le vent sifflait contre son corps. Les rafales glacées faisait voler le derrière de son caban, alors qu’elle descendait la route qui longeait l’océan. Alexia fit ralentir son scooter, tournant un peu la tête pour admirer la plage, les derniers visiteurs tardifs rentrant en frissonnant, le restaurant de moules frites allumé et les vagues s’écraser contre le sable. Elle aurait aimé qu’il soit là. Parler avec lui, lui montrer les oiseaux marins. Il ne la reconnaissait même plus. La dernière fois, il l’avait prise pour l’infirmière. Elle ne voulait plus revivre ça. Elle ne voulait plus revenir le voir à l'Ehpad. C’était peut être égoïste, mais elle ne supportait pas ça. Ce n’était plus son grand père. Son grand père était déjà mort. 
Elle arrêta le scooter le long de la structure en bois, et descendit sur la plage pour s’approcher de l’eau. C’était les mêmes vagues, le même océan. Rien ne changeait jamais ici. C’était tellement rassurant. Elle sentit son portable vibrer. Ça devait être ses parents, mais elle ne voulait pas répondre. Ils devaient être en train de rentrer. Est ce que papi avait reconnu sa mère ? Est ce qu’il avait reconnu son propre enfant ? Alexia ne voulait même pas savoir la réponse. Elle ne voulait garder comme souvenirs que ces après midis qui sentait le sel marin, où il lui apprenait mille choses, lui racontait des blagues dont elle ne comprenait pas la moitié quand elle avait 8 ans et où il faisait des crêpes au sucre. Elle sortit tout de même son portable. Sms de son frère, lui demandant de rentrer. C’est vrai que ce n’était pas plus simple pour lui. Et lui avait eut le cran d’y aller. Pourquoi elle était si lâche ? Pourquoi elle passait son temps à fuir ? Comme ici, deux semaines auparavant, avec Milo. Le trop plein d’émotion la submergea, et elle se mit à sangloter sans pouvoir contrôler quoi que ce soit. Comme assommée, elle s’assit sur le sol, tentant de se calmer en se concentrant sur le bruit régulier du ressac. L’océan était le même, les vagues aussi. Et dans sa vie, ce serait toujours comme ça. Reniflant dans son foulard noir et blanc, elle repris lentement une respiration calme. Demain c’était les fêtes, elle n’avait pas le droit de faire la gueule comme ça et de chouiner. Elle ferma les yeux un instant, comme absorbée par le vent froid et l’eau. Comme si plus rien n’existait que cette plage, la brise marine et les remous de l’Atlantique. Un instant, elle était coupée de tout. Et ça faisait du bien, au moins un peu. 
Des gouttes la sortirent de son état de tranquillité. Alexia se leva, et fit demi tour, non sans un dernier regard à l’océan avant de reprendre son scooter. Tout cela serait encore là demain, et ça, c’était tellement rassurant. 
“Mamaaaan, mamaaaan !”
Alinne eut un sursaut et manqua de se couper un bout de doigt avec les ciseaux. Bordel, Lili pouvait pas éviter de brailler dans toute la maison à 9h du matin ? C’était peut être l’adolescence, mais quand même. Avant même qu’Alinne puisse avoir le temps de reprendre son découpage hasardeux de papier cadeau kitsch, sa petite sœur déboula dans sa chambre sans toquer. 
“Alinne, tu devinera jamais ce qui m’arrive !”
Qu’est ce qui pouvait se passer encore ? Alinne était patiente, mais moins dès le matin face à une telle surexcitation. 
“Tu aurais pu toquer, quand même, j’emballe les cadeaux…, avait prononcé cette dernière avec sourire faussement désabusé. 
- Alinne, je viens d’avoir mes règles !”
Le cœur d’Alinne fit un bond. C’est vrai, c’était l’âge pour ça. Elle eut un instant de vertige, ne sachant pas si sa sœur avait été mise au courant ou pas. Alinne avait attendu ses règles durant des années, et elles n’étaient jamais venues. Elle ne serait pas la grande sœur qui lui donnerait des conseils pour ses premiers tampons. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle devait lui dire à cet instant. 
“Ah, c’est super ça, tu deviens grande.”
Réponse générique, mais qu’elle espérait se voulait efficace. Elle était sincèrement contente pour sa petite sœur, qui avait l’air si fière de ce qui lui arrivait, mais ne savait pas exactement ce qu’elle pouvait éprouver. C’était vraiment troublant ce décalage. 
“Et toi, elles sont venues aussi tôt ou pas ?”
Bordel de merde, pourquoi sa sœur devait lui poser la question ? Elle ne devait pas être au courant. Elle maudit sa mère intérieurement, car elle n’avait clairement pas envie d’expliquer tout ça pour le moment, mais autant être honnête. 
“Eh bien… moi elles ne sont pas venues. C’est une histoire de chromosomes, c’est un peu compliqué. Mais du coup, vaut mieux que tu parle de ça avec maman, elle te conseillera mieux.
- Ah d’accord. Mais tu les aura jamais, du coup ?”
Alinne fit non de la tête. Ça avait été dur à accepter, quand elle l’avait su. Ne pas avoir ses règles en temps que femme avait été un casse tête dans sa petite tête d’ado et face à une société si normée. Surtout que son premier gynécologue n’avait pas été vraiment aidant et rassurant.
“En vrai il paraît que ça fait mal, je pense que tu manque rien.”
Alinne rit un peu nerveusement. C’était mignon. Au final c’était Lili qui la rassurait presque. Elle passa sa main dans les cheveux blonds de sa petite sœur en souriant. Sur un ton pseudo agacé mais plus tendre qu’autre chose, elle lui souffla :   
“Aller, files demander ce genre de trucs à maman, et laisse moi emballer mes cadeaux.”
Milo était devant l’océan. Au même putain d’endroit que deux semaines plus tôt. Au pire moment de sa vie. Pourquoi Alexia l’avait quitté ? Il avait pourtant tout tenté de faire bien. Il lui avait donné tout son amour. Et ça n’avait pas suffit ? Qu’est ce qu’il aurait dû faire ? Qu’est ce qu’il avait raté ? Il shoota avec violence dans un caillou. Ce soir c’était Noël mais il s’en fichait. Plus rien n’avait de sens maintenant. Devant lui, la mer grise se mêlait au ciel. Il avait envie de chialer. Même les cris de ces imbéciles de mouettes lui donnaient l’impression qu’elles se foutait de sa gueule. Il se sentait si seul, maintenant. Tellement vulnérable. Il détestait ça. Il n’était pas comme ça. Les mains dans les poches à cause du froid mordant, il marcha silencieusement le long de l’eau. Ils allaient souvent là, avec elle. Tout était si bien quand elle était là. Sa manière de parler, de sourire. Elle changeait tout. Si seulement elle regrettait. C’est vrai, au fond, tout le monde pouvait se tromper. Elle avait dû avoir un moment de perdition. Elle pouvait encore revenir. Milo sourit amèrement. Après tout, c’était la seule chose en laquelle il avait envie de croire.
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traces-ecrites · 5 years
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Ces temps-ci, mes activités me conduisent à aller à Toulouse plus souvent, pas tous les jours, mais presque. Cela m’amène à emprunter souvent le métro. Depuis longtemps, je m'efforce de laisser pendant ces trajets mon téléphone au repos, dans ma poche ou dans mon sac. Je croise tellement de personnes accaparées par l'écran de leur smartphone que je ne veux pas en être une de plus, sauf en cas de nécessité urgente. Du coup, je prends peu à peu pour habitude de transformer ces temps de trajet en temps de pause et d'observation. Les sujets de mon attention sont multiples, qu'ils soient internes ou externes.
 Voici trois anecdotes. Chacune aurait pu faire l'objet d'une trace à elle seule. Comme elles ont toutes pour cadre le sous-sol du métro toulousain, je trouve amusant de les regrouper dans une même trace "3 en 1". 
Verre brisé
Je descends les escaliers de la station de métro. De nombreuses personnes les remontent. Parmi elles, un couple. Ils montent en courant, ils ont l'air pressé. Enfin, plus exactement, il y a lui, qui monte l'escalier mécanique en marchant d'un pas décidé, et juste à côté, elle, qui monte les marches fixes en courant pour rester à la même hauteur. C'est un jeu, ils rient tous les deux ! C'est drôle de les voir faire la course comme des enfants. Ils sont jeunes, insouciants, sans doute amoureux...
Soudain, CRAC : un grand bruit de verre brisé. Le son porte bien sous le plafond voûté. De nombreuses personnes se retournent. Elle interrompt sa course, les yeux et la bouche grand ouverts. L'instant est suspendu. Le bruit s'est produit juste à ses pieds, derrière elle.
C'est une bouteille qui a littéralement explosé sur les marches de l'escalier. Des morceaux de verre brisé, un liquide rouge sombre qui ruisselle le long des marches... La bouteille était dans son sac à dos, le sac n'était pas fermé. Dans la précipitation de la course, la bouteille a sauté du sac. Le cadeau pour les invités chez qui ils sont attendus est perdu. Une odeur puissante se répand dans l'immense hall de la station de métro.
Je ne peux me retenir de penser : à l'odeur, ce n'est peut-être pas une si grosse perte, cette bouteille !
 Inébranlable
Je suis assise et la place en vis à vis de la mienne est encore vide. Il y a encore peu de monde dans la rame. Je me tiens de la façon la plus détendue possible. Je souris en regardant autour de moi. À la station suivante, une dame s'installe en face de moi. Elle se tient très droite, très digne. Elle tient à côté d'elle un grand parapluie, aussi raide qu'elle. Elle n'est pas très grande, mais très mince. Son bras tendu et sa main fermement accrochée à la poignée du parapluie m'évoquent un chevalier qui tiendrait son épée plantée toute droite à ses côtés.
Elle est assise les jambes croisées, l'air pincé, plutôt austère, en tout cas très sérieux. Elle porte des bijoux imposants : de grosses boucles d'oreilles, assez spectaculaires, de grosses bagues, très dorées. Un maquillage aussi discret qu'inutile, sur des lèvres amincies, presque effacées, et des paupières plissées, quasiment dépourvues de cils. Les cheveux sont blonds, pour ne pas être blancs, impeccablement coiffés, avec la mèche sur le front qui dénote un passage récent et fréquent chez le coiffeur.
Je souris toujours et je cherche à croiser son regard. J'aime bien créer de tels échanges fugaces avec mes compagnes ou compagnons de voyage urbain. Cela débouche parfois sur un bonjour ou quelques mots même. Mais là, impossible. Son regard s'échappe toujours. Même dans le reflet de la vitre. Je la regarde avec toute la bienveillance dont je suis capable. Rien à faire. Elle résiste.
Je peux même imaginer les rouages de son cerveau s'activer en se demandant : "mais qu'est-ce qu'elle me veut ?" Je ne veux rien, ou si peu, juste un regard, un sourire. Je la sens sur ses gardes. J'imagine qu'elle vit peut-être son passage dans le métro comme un mal nécessaire, une brève traversée en terrain hostile. En réalité, je n'en sais rien. Peut-être est-elle juste préoccupée...
J'arrive à la station où je dois descendre. Jusqu'au dernier moment, je cherche à établir un contact par le regard. Pas moyen. Ses yeux s'enfuient toujours. Tant pis pour moi. Tant pis pour elle. Intérieurement, je lui souhaite une bonne journée.
Publicité
Je marche le long du couloir de la station de métro. Machinalement, mes yeux voient, sans les regarder vraiment les grands panneaux publicitaires qui viennent, à intervalles réguliers, rompre la monotonie du mur carrelé de blanc. Une affiche accroche mon regard malgré moi. Elle est de couleurs vives, criardes même, rose intense, rouge, jaune. En gros titre, un mot : "TUBECON". C'est quoi, ce truc ? L'image qui me vient est celle d'un contenant pour dentifrice ou pour pommade. Quant au "con"... Sans commentaire... En anglais ? "Tyoub'conn" ? Bof ! Pas plus clair. Un sous-titre : le festival des influenceurs. WTF ?? Sous-sous-titre : plus de 90 influenceurs de YouTube, TikTok, Instagram, suivi d'une longue liste de noms. Mais pas des Hélène Dugenou ou des Jean Dujardin, plutôt des pseudos ou des sigles plus ou moins bizarres. L'événement dure trois jours et c'est une grande première à Toulouse. Et de telles affiches, j'en verrai plein d'autres ensuite, dans d'autres couloirs, d'autres stations.
Cela me plonge dans des abîmes de perplexité. Il m'est déjà arrivé de voir des affiches pour des événements qui me sont totalement étrangers, des concerts pour des vedettes dont j'ignore le nom, des compétitions pour des sports dont les pratiques me sont inconnues, des expositions pour des artistes ou créateurs plus ou moins avant-gardistes et confidentiels... Mais là, mon imagination peine à concevoir en quoi cela consiste.
Les réseaux sociaux, Facebook, Instagram, je vois de quoi il s'agit. Je fréquente ces contrées numériques où se développent des connexions virtuelles. Il m'est même arrivé que cela débouche sur un contact dans le monde réel. TikTok, en revanche, jamais vu, lu ou entendu. Avec Internet toujours dans la poche, c'est facile de poser la question. Je découvre : c'est une plateforme très populaire de partage de vidéos de courte durée, c'est aussi l'application la plus téléchargée au monde et ça vient de Chine ! Cela me fait penser aux "stories" de Facebook et Instagram, dont je n'ai pas encore réussi à saisir l'intérêt. Est-ce que cela veut dire que je deviens vieille ?
Et puis il y a ce mot, "influenceur", qui apparait 2 ou 3 fois sur l'affiche. Cela fait longtemps que tout le monde sait très bien que la publicité cherche par tous les moyens à nous influencer, pour nous faire acheter des choses dont nous n'avons pas besoin. Mais elle emploie pour cela des moyens détournés, pour ne pas que nous nous sentions influencé·e·s. Là, cela suppose que des gens payent volontairement leur place pour être influencés par ces fameux influenceurs... Cela me laisse rêveuse. Il faudra que je demande à ma fille. Peut-être pourrait-elle m'expliquer ?
En attendant, mes pensées poursuivent leur chemin sur le thème de l'influence... Du conseil à la manipulation, où se situe la limite ? À partir de quand l'influence passe-t-elle de saine à malsaine ? Et moi, sans avoir des milliers de "followers" sur les réseaux, quelle influence exercé-je sur mon entourage ? Ma parole est-elle toujours impeccable ? Mon intention toujours exempte d'arrière-pensées ? Me voilà plongée en plein examen de conscience. Et tout ça à cause d'une affiche incompréhensible dans le couloir du métro !
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littlefrenchsims · 5 years
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Tumblr media
Yop , moi c'est Brandley mais appelez moi Bad, Brandley est un nom débile donné par mes parents, je ne suis pas certains qu'il réfléchissent avant d'attribuer une connerie pareil .
Bref j'ai 22 ans, ouiai je sais je fais plus mâture sans doute parce que je me démerde seul depuis mes 16 ans. J'ai fugué et j'ai demander mon émancipation, bien que je pense très clairement que mes parents ne m'aurait même pas recherché. J'ai vécu dans la rue , puis j'ai finis par découvrir l'art, l'art de rue pour être plus précis , j'ai vendu quelques toiles sans importance mais assez pour payer un loyer .
J'ai même quelques tunes de côté pour participer à des cours au lycée du coin.
Maintenant j'ai un chez moi et même un petit local ou j'exerce en tant que tatoueur .
Niveau nana, je vais pas dire que c'est le désert mais pas de réel copine pour le moment, j'essaye déjà de gérer mon caractère de merde c'est bien suffisant. J'ai un gros caractère et un humour particulier, noir on peut le dire. Mais je suis pas méchant si vous êtes cool je le serais avec vous. Après comme tous le monde j'ai des secrets mais ça je n'en parlerai pas ici sauf si je deviens Rp sinon je serais sur tumblr.
Je vous mets ma tête au moins vous savez que je suis loin d'être le beau blond aux yeux bleu que toutes les nanas débiles rêve
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Yop, I’m Brandley but call me Bad, Brandley is a dumb name given by my parents, I’m not sure he thinks before he assigns such bullshit.
Anyway, I’m 22 years old, yeah I know I’m fixing up, probably because I’ve been on my own since I was 16. I ran away and asked for my emancipation, although I think very clearly my parents wouldn’t even have looked for me. I lived on the street, then I ended up discovering art, street art to be more precise, I sold some canvases of no importance but enough to pay rent.
I even have a few extra bucks to go to class at the local high school.
Now I have a home and even a small place where I practice as a tattoo artist.
Chick level, I’m not gonna say it’s the desert but no real girlfriend at the moment, I’m already trying to handle my shitty character that’s enough. I have a big temper and a particular humour, black you can say. But I’m not mean if you’re cool, I’d be mean to you. After all, I have secrets, but this I won’t talk about unless I become Rp or I’ll be on Tumblr.
I put my head on you at least you know I’m far from being the beautiful blue-eyed blonde that all stupid chicks dream
sorry for my bad english
base; @eliisesims
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ordinairementvrai · 5 years
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Bribes noctambules
Une dernière cigarette, et j’écris.
C’est tout un rituel, d’écrire. Une playlist intimiste et oppressante, et parfois, les mots fusent.
Mais pas ce soir. Je n’ai rien à raconter. Et contrairement à hier, je n’ai même pas les formes pour y remédier.
Il fait nuit noir dehors. Je vois de ma fenêtre les rêves sous formes de vapeurs au dessus des maisons, les soupirs d’amours manqués. Et le silence.
La seule chose qui survivra au règne humain, c’est ce silence nocturne, au-delà du grésillement des lampadaires, du crépitement des dernières cigarettes, des gémissements amoureux. Le silence humain n’existe pas, il n’y a rien de plus humain que ce bruit continu, ce brouhaha incessant. Rien ne le fera taire. Il y aura toujours un Homme pour tenter d’avoir le dernier mot. Face à Dieu, l’on lâchera un « ni Maître » pour garder la face. Et s’Il n’est pas, alors enfin, la quiétude du silence nous gagnera. Et peut-être qu’à ce moment là, l’on aura compris.
-Qu’est-ce que tu fais là?
Un spectre. Une réminiscence, j’ignore si c’est réel à vrai dire. Je ferme les yeux, tire longuement sur ma cigarette en me concentrant sur la musique, et une fois les yeux ouverts, elle s’est rapprochée.
-M’ignores pas hein, ça fait trop longtemps.
Je ne parviens pas à distinguer ses traits. Elle me parait tantôt blonde et tantôt brune, ses yeux se muant en fonction du scintillement stellaire.
-Je viens de rentrer, lâchai-je.
-Rentrer d’où?
-Je ne sais déjà plus. Tu sais, de là bas.
-Tu n’as pas changé d’un iota.
Bien sûr que non. L’évidence était telle que moi même je ne pouvais pas la nier.
-Jolie cravate par contre. Tu as du goût maintenant. Qu’est-ce que tu deviens?
-Qu’est-ce que tu fais là?
-Mais je suis là pour toi. Je n’ai jamais été loin tu sais, même quand tu m’avais oublié.
Ses traits ne m’apparaissaient toujours pas, elle était pourtant là, sous mes yeux, éclairée par les réverbères sur le point de nous plonger dans le noir.
-Il est tard tu sais. Tu peux tout me dire, je ne serais de toute manière plus là après.
Je jetai ma cigarette, en sortit une autre, la flamme de mon briquet se refléta dans ses yeux, et je reconnaissais cette lueur, mais j’étais incapable de savoir d’où.
-Que veux-tu savoir, demandai-je en m’étouffant avec ma fumée.
-Je n’en sais rien. Le temps a bien passé, tu dois avoir pas mal de chose à raconter.
Elle avait probablement raison, mais sûrement tord. Le temps passe, mais m’à toujours laissé sur le carreau, sa grande spécialité, je ne fais pas partie de ses missions, tout le monde part, mais pas moi. Le sable s’écoule, subissant la gravité, mais je reste là à attendre comme coincé dans une dimension qui n’est pas la leur mais que je n’arrive pas à faire mienne.
- Tu sais, je ne vais pas très bien en ce moment, avouai-je.
-Cela se voit comme au milieu de la figure. Et je sais que tu as déjà inventé 1000 métaphores sur le sujet, et tu as probablement autant de citation dessus.
Merde, elle avait raison. Incapable de formuler par moi même, tellement d’autre l’ont fait à ma place, plus élégamment stylistiquement parlant. Je n’ai jamais su trouver les mots quand il le fallait. Les mots comme le temps se jouent de moi. Je n’ai jamais le temps de trouver les mots, et plus le temps passent, plus je perds mes mots.
- Tu sais pour moi non plus ça n’a pas été facile. Mais tu t’en doutes si je suis venu à toi ce soir. Après tout, les gens viennent te voir dans ton malheur, n’est-ce pas? Tu n’es doué que quand il y a quelqu’un de plus malheureux que toi avec toi. Tu sais trouver les mots, ou au contraire garder le silence s’il le faut.
J’avais entendu ces mots de plusieurs personnes dans ma vie. Qui ne se connaissaient pas entre elle, elles avaient foutrement raison.
-T’as presque toujours été là. Pas vraiment ces derniers temps, mais je comprends tu sais, t’as le droit de t’éloigner.
Nan, je n’en ai pas le droit. Ils méritent mieux. Je tire de nouveau sur ma cigarette, pour lui répondre.
-Tu sais, j’aurais voulu qu’il en soit autrement, entre toi et moi. Ne jamais te rencontrer.
-Pour ne jamais être toi, je comprends. C’est normal, tu es as par dessus la tête. Tu ne l’as jamais supporté. Que ce soit à 15, ou à 20 ans.
-Ferme la, ne fais pas comme si tu me connaissais.
-C’est ça, crache ton venin, tu te vois comme ça, comme une mauvaise personne, assume le pour une fois, vas-y balance, je suis un catharsis, mais contrairement à ta feuille blanche, moi je peux te répondre.
J’écris parce que personne ne me répond. Ou peut-être justement pour que personne ne te réponde.
-C’est trop facile d’écrire, peut-être que des gens te lisent, selon toi personne. Mais c’est trop facile d’attendre que tout le monde dorme pour enfin livrer le fond de ta pensée. C’est facile d’être honnête quand tout le monde dort.
-Arrête. Il est trop tard, j’ai trop bu pour supporter ça, criai-je
-Pour supporter quoi? Ce que tu t’infliges à longueur de temps depuis que l’on se connait?
-Ouais, mais d’habitude je suis seul quand je me l’inflige.
-Tu es toujours seul. Tu t’es toujours forcé à l’être. Tu me fatigues, à te languir sur le fait que personne ne te désire alors que tu les rembarre, à te désespérer que personne ne t’aime alors que tu leurs mens.
-Ferme la, par pitié.
-Non, ça te mine le moral depuis bien trop longtemps, merde, j’en ai marre de te regarder ainsi. Comment quelqu’un pourrait t’écouter le réconforter en voyant ton désespoir?
-Je suis doué à le cacher tu sais.
-Mon cul, tu te crois ténébreux mais tu affiches un air de chien battu à longueur de journée. Tu te crois bon ami, mais tu crois que l’on peut t’aimer si tu reste ainsi à te détruire?
-Tu n’es pas censée m’aider? Être une sorte d’esprit du Noel passé?
-On est au mois de mai Alex, la vie c’est pas tes putains de bouquin. Personne ne viendra te sauver si tu ne le fais pas, la vie c’est pas un putain d’épisode de Skin, Effie ne trouve pas Freddie dans la vraie vie.
-Je suis désolé d’être comme ça.
-Mais arrête de t’excuser! Hurla t’elle. Arrête de t’excuser et de t’apitoyer putain. Avec toutes tes conneries sur la recherche de l’identité, bla-bla-bla qui suis-je, fais quelque chose de ta vie pour une fois!
-Et si je n’ai pas la force? Si je n’y arrive pas?
-Trouves là. Tu ne seras jamais un grand écrivain si tu ne te bouges pas. C’est bien beau de vouloir raconter des histoires, mais au moins faut-Il avoir quelque choses à raconter. Parce que ça fait des années qu’on se connaît, t’en as pas marre de parler de toi? ARRÊTES DE TOURNER EN ROND PUTAIN!
Elle n’a pas tord au fond. Je le sais. Je le vois au fond de ses yeux changeant. Sa voix déraillante, m’empêchant d’y reconnaitre une quelconque identité. Elle a raison.
-Je sais, tu as raison.
-Mais arrête de répéter ça, encore et encore, tu ne changes jamais rien. Tu te complais dans ta propre tristesse, dans ton propre désespoir. Arrête. Je ne serais pas toujours là pour te le rappeler.
-Qui es-tu? J’ai toujours été nul avec les prénoms.
-Ne gâche pas tout. Je dois y aller de toute façon.
Et elle tourna les talons. Et le temps que je tourne le regard pour jeter ma cigarette, elle avait déjà disparu, me laissant seul avec mes idées noirs.
Les oiseaux commencèrent à chanter. Putain, s’il y’a bien une chose qui ne s’arrêtera jamais, c’est celle-ci: les oiseaux entonneront toujours leur mélodie aux premières lueurs de l’aube.
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