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#jeu de plateau
jeux-geekeries · 9 months
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Barroom Brawl
Le calendrier de l'avent.
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Jour 18 : réserve à bouteilles
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blogapart3bis · 2 days
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La Boîte de Pandoure 2024
Aujourd'hui sur Blog à part – La Boîte de Pandoure J’ai parfois l’impression d’être maudit. Ou très con. Ou les deux. Par exemple en arrivant avec deux heures de retard à la convention La Boîte de Pandoure. #Convention #Jeux
Il y a des jours où j’ai l’impression d’être maudit. Ou très con. Ou les deux. Par exemple samedi passé, quand j’ai voulu aller à la convention La Boîte de Pandoure, à Saxon, et que je suis arrivé avec deux bonnes heures de retard. La Boîte de Pandoure, c’est un festival de jeux – une conv’, quoi – à laquelle j’étais déjà allé une fois. Et comme c’était alors au Château d’Yverdon, j’en avais…
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leskrapouilles · 2 years
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#910 Pion jaune, #911, #936, #979, #980 & #981 et #989 meeple : minky, flockage et broderies. Faits sur mesure et adoptés.
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zezere12 · 1 year
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garadinervi · 6 months
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Plateau de jeu #2, n.d. [Collection de l'Institut Henri Poincaré, Paris. CC BY-NC-SA 4.0 Deed]
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valentine1994 · 7 months
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Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte à 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensés signer un contrat pour un appartement ensemble. Ça m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", à quoi il avait répondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrêterai pas et que j'appèlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protéger sa fierté... Le seul truc qui aurait pu m'arrêter c'est le fait que j'avais déjà pris ma dose de mélatonine. Bref, je me retrouve à sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'étais plus en colère contre moi-même que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est à l'intérieur de moi, c'est mon anxiété sociale et la façon dont elle me paralyse, me gâche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ça a commencé par une soirée Monopoly avec ses soeurs. Ça rend la dispute presque drôle. À chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysée par l'angoisse, et le fait de parler suédois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'être silencieuse. Je me force à parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer à nouveau. Bref, hier ça avait malgré tout bien commencé, même si j'étais fatiguée après une journée de boulot. Ça a mal tourné quand elles ont mis de la techno, monté le son et se sont mises à danser autour du Monopoly. Là mon corps tout entier s'est paralysé et j'ai fixé le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a à peine adressé la parole et la paranoia a commencé à faire son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je pouvais rien dire parce que sa soeur était dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais été désagréable avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intégrée.
"L'intégration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivée en Suède. J'ai essayé de m'intégrer dans ma coloc, au boulot, à l'université, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suédois à côté des études et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarché et je dis pas "bonne journée au revoir" à la caisse du supermarché. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modérées. Je me place à un mètre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour régler ça je suis une thérapie cognitivo-comportementale dans un CMP suédois. Je paie 200€ par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est à dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'être silencieuse à la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je réussirai un jour à m'intégrer.
Hier il m'a demandé de prendre mes responsabilités. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armée, d'être capricorne ou tout simplement suédois qui le fait dire ça. Peut-être un mélange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant à 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allé le chercher chez le médecin la semaine dernière, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sécurité immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie à l'étranger toute seule et ai réussi à m'en sortir toute seule et la semaine dernière je devais noter le numéro de téléphone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon épaule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il était presque collé contre le mur pour être trèèèès loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appèlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutôt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
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ekman · 5 months
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Les mots sont-ils encore des armes dans un fantôme de société où l’écrit a été supplanté, depuis longtemps maintenant, par le pouvoir de l’image et même au-delà, par le pouvoir du seul écran. Que sont les mots aujourd’hui ? Qui peut encore les lire ? Je veux dire : les comprendre et les lire, avant de les lire puis de les comprendre ? Tout est là. Aller vers eux, ouvrir un livre, prendre sa plume, écrire, écrire et lire, lire puis écrire. Si l’écran est un moyen de jouir, une stratégie de cloporte, une dynamique de glande, les mots restent le seul moyen d’exprimer son désir d’être.  Mais l’époque, toute entière absorbée par le tourbillon de la décadence, est bien cuelle. Au temps d’Hanouna, la réflexion a-t-elle seulement un sens ? Car après tout, chez nos contemporains, l’envie d’avoir raison est plus forte que tout. Elle a la puissance d’un shoot de sucre ou d’une dose de gras. J’ai raison parce que je suis d’accord avec le mec qui a dit ça, et le mec qui a dit ça, visiblement, a eu raison de le dire – les applaudissements programmés sur le plateau d’Hanouna l’attestent. Et s’il a raison (la mimique d’Hanouna est sans équivoque sur ce point), alors j’ai raison avec lui, et dans ce jeu de dupes, ma voix compte enfin, fut-ce par la lointaine et illusoire procuration de l’écran. Les mots, disais-je, dotent la pensée de pertinence et de poids. Ils sont faits de tous les bois et permettent à l’intelligence de crépiter de mille façons, illuminant l’esprit de leur chaleur profonde. Ils forment le discernement, ils organisent la discrimination. Ils orientent le jugement à la lumière de faits tangibles, de vérités accessibles, établies et reconnues. Ils forment le bon sens. Ils relaient l’expérience, ils défient l’avenir. Ils sont le moteur et la transmission du savoir ; ils sont la garantie de la continuité et la condition de l’élévation. Ils sont d’aujourd’hui, d’hier et de demain, forcément, et cela est merveilleux parce que cela s’appelle la liberté. Rejoignez-les !
J.-M. M.
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Débile Gates, philanthropathe…
En 2021, Gabriel (11 ans) me demandait:
– Papa, c’est qui Bill Gates?
– Un débile mental qui est devenu l’homme le plus riche du monde en exploitant un système informatique dégueulasse, et qui maintenant veut inoculer le monde entier en fourguant des "vaccins" à des milliards de gens...
– Comment est-ce qu’il a pu devenir si riche si son système informatique est "dégueulasse" comme tu dis?
– C’est ce que les capitalistes appellent "loi du marché": d’une part ce ne sont pas les meilleurs produits qui rapportent le plus d’argent, mais ceux qui coïncident avec les goûts du plus grand nombre, autrement dit ceux qui collent le plus à la médiocrité d’une époque, et d’autre part l’enrichissement c’est surtout une question de distribution, la qualité d’un produit entre pour très peu dans ses chances de succès commercial, regarde le Coca c’est vraiment de la merde liquide sucrée et c’est la boisson la plus bue dans le monde après l’eau... Et en plus, ce qui a rendu Bill Gates richissime c’est le système de rémunération de ses licences, un système de perception de loyers à vie que ses experts financiers ont mis en place, c’est du calcul...
– Pourquoi tu dis qu’il est débile, s’il est devenu le plus riche du monde, c’est quand même qu’il doit être très intelligent puisqu’il a réussi à gagner des milliards...
— Je dis qu’il est débile parce que c’est vrai, il est débile au sens psychanalytique du terme, on appelle ça un grand débile calculateur, cela n’a rien à voir avec l’intelligence, qui signifie "lire entre les lignes", l’intelligence convoque le rapport de l’homme au langage, les subtilités du passage de l’oral à l’écrit et de l’écrit à la parole, or contrairement à ce qu’on dit, il n’y a pas de "langage informatique", l’informatique ce n’est pas du langage, c’est du code...
– Oui mais quand même, de là à dire qu’il est débile...
– C’est la véritable définition de la débilité mentale, c’est dû au fait du "mentalement". C’est un jeu de mots, le mental ment... L’homme ment, il se ment à lui-même en mentant aux autres, c’est inhérent au fait de parler, le débile ne veut rien en savoir, nous sommes tous débiles, plus ou moins...
– C’est toi qui l’a trouvé le jeu de mots Débile Gates?
– Non c’est Fred, mon ami graphiste chez qui on est allé manger dans le 18e, il me l’a servi sur un plateau...
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alexar60 · 1 year
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Puzzle
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La brocante occupait tout le quartier. Il y avait tellement de monde que Maël n’arrivait pas à avancer. Lui qui détestait les brocantes, il devait la traverser pour rentrer chez lui. Il marchait lentement, trop lentement, au pas des visiteurs en quête d’un achat débile. Par moment, il regardait le ciel en se demandant quel crime avait-il commis pour mériter cela. Le temps semblait long alors que d’habitude, la distance était courte, très courte.
Soudain, Il s’arrêta subitement. Ses yeux fixèrent une image sur une boite. Elle attirait Maël comme un pot de miel sur une mouche. Il approcha du stand tenu par un homme âgé d’une soixantaine d’années. Malgré le temps automnal, il portait un débardeur blanc. Le jeune homme s’attarda sur la boite. L’image représentait une partie d’un tableau du peintre Jérôme Bosch. Plus précisément l’Enfer.
Il est complet. Il est à vous pour cinq euros.
Maël ne regarda pas le vendeur. Il demeurait obnubilé par l’image des corps subissant mille tortures au milieu d’instruments de musique. Il sortit son portefeuille et sans chercher à négocier, donna la somme convenue. Puis il partit, le puzzle sous le bras,  en marchant au rythme de la foule toujours lente. Derrière lui, l’homme en marcel marmonna quelques mots : « Content de m’en être débarrassé ».
Lorsqu’il entra dans son appartement, il posa la boite sur la table basse, avant d’aller sur son ordinateur pour lire et répondre à quelques mails professionnels. Ce n’est qu’après le diner qu’il se souvint du puzzle. Le jeune homme regarda la boite en se demandant pourquoi avoir acheté cette chose, surtout qu’il n’aimait pas les puzzles. C’est trop chiant, trop pénible. Cela demande énormément de patience et même s’il ne contenait que 600 pièces, il ne le ferait jamais. Cependant, le dessin de Bosch l’intriguait. Il le regarda une nouvelle fois, observa quelques détails morbides, une flute dans un rectum, un démon dévorant un homme... Il se sentit hypnotisé par le puzzle quand une sonnerie retentit. Dès lors, il oublia la boite sur la table basse et rejoignit quelques amis l’attendant dans la rue.
A son retour, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la boite ouverte. En effet, le couvercle était posé à côté de la boite, ainsi que deux morceaux comme si quelqu’un avait commencé le puzzle. Maël fouilla son logement à la recherche d’individus, mais il ne trouva personne ni ne découvrit d’infraction. Dès lors, il s’assit dans son canapé et observa le jeu. Il prit le couvercle, regarda le tableau avant de le reposer. Par curiosité, il attrapa deux pièces, et chercha à quel endroit de l’image elles correspondaient.
Il ne remarqua pas la nuit se finir ni le jour se lever. Maël continua de compléter le puzzle, morceau par morceau. Il se débattait, perdait une demi-heure rien que pour trouver où placer telle tête. Ici, c’est du noir, là de l’ocre. Ses yeux ne se fermaient pas, continuant, oubliant la fatigue. Enfin, la sonnerie d’un réveil sortit Maël de sa concentration. Il devait aller travailler. Il se leva, prit une douche, un café puis il quitta l’appartement.
De retour après 18H, Il retrouva ses habitudes jusqu’à ce qu’il réalise que le puzzle était toujours sur la table basse. Toutefois, Il eut l’impression qu’il manquait la moitié des pièces déjà placées. Il s’assit, observa la boite et sans attendre, comme envouté, il repartit dans la construction du jeu.
Il manipulait les pièces, cherchait à les emboiter correctement. Il demeurait concentré si bien qu’il ne répondit pas à un SMS ; il ne chercha même pas à s’intéresser à l’expéditeur. Maël ne se rendit pas compte du temps non plus. Il retrouva ses esprits en entendant le réveil sonner. Encore une fois, il repartait travailler sans avoir dormi.
Plus les journées passaient, plus le puzzle lui prenait la tête. Après une semaine, il réalisa que ce jeu de société n’était pas normal. En fait, il découvrait des pièces manquantes, rangées dans la boite au lieu d’être sur le plateau. Il ne comprenait plus jusqu’au ras-le-bol. A ce moment, d’un geste de colère, il remit les morceaux dans la boite. Cette nuit, Maël put enfin dormir.
Le soleil venait de se lever lorsqu’un bruit fort réveilla le jeune homme. Sur le coup, il pensa à un meuble tombé. Il se précipita dans le salon. Maël fut stupéfait de trouver la boite du puzzle, normalement rangée au-dessus d’une armoire, sur la table basse. Son couvercle était ouvert, de même, deux pièces posées invitaient Maël à continuer de finir le tableau.
Il resta un instant à observer l’enfer dessiné sur le couvercle. Tout à coup, il recommença le puzzle. La détermination envahit son regard, il avait envie de le terminer. Il installa les pièces les unes après les autres. Il ne pensait que pour ce puzzle. Le téléphone sonna, il ne répondit pas. Le dimanche passa sans qu’il ne puisse en profiter. Il demeura concentré à vouloir installer tel ou tel morceau correspondant. Le tableau commençait à prendre forme. Toutefois, lorsqu’il partit réchauffer une boite de conserve, il fut déçu de trouver des pièces manquantes au puzzle. Quelqu’un ou quelque-chose s’amusait à défaire son œuvre.
Maël ne comptait plus les journées. Le puzzle le rendait fou. Il voyait les briques bouger, les couleurs s’envoler. Il sentit une brulure lorsqu’il toucha le dessin d’une flamme. Il entendit des voix, des lamentations, des hurlements et des crépitements entrecoupés de rires. D’ordinaire sympathique et détaché, Maël ne dormait plus, il ne mangeait plus. Il essaya de ne plus cligner des paupières quand il vit une pièce disparaitre subitement après deux secondes d’inattention.
Puis il entendit de la musique, flutes et harpes accompagnait de la viole et un tambour. Ce dernier frappait en cadence au rythme de son cœur. Il se sentait épuisé, seulement c’était devenu plus fort que lui : il devait finir ce puzzle !
Un message de son patron ainsi que de quelques amis signalaient leur inquiétude à son égard. Mais rien n’y fait, il ne les écouta pas. Il persistait à vouloir finir le puzzle qui parut sans fin. « Seulement 600 pièces ? Non, il en fait bien plus ! » Réalisa-t-il. Puis il se concentrait encore et encore sur le jeu de société. Il essaya d’imbriquer deux morceaux en vain, il trouva enfin le corps d’un damné. Il avait faim, il avait soif, pourtant il continuait comme un désœuvré.
Le tambour battait toujours au rythme de son cœur. Il ne resta plus que dix morceaux à installer. Maël trouva leur emplacement facilement les uns après les autres. La musique s’essouffla lentement, les cris ne résonnèrent plus. Le tambour frappait avec une cadence plus lente. Plus que trois…Enfin l’avant-dernier. Puis, il ferma les yeux…le tambour s’était tu.
En entrant dans l’appartement, après avoir fracassé la porte à coup de hache, les pompiers se doutèrent de ce qu’ils allaient trouver. A cause de l’odeur qui empestait les escaliers de l’immeuble. Le corps putréfié de Maël restait étendu sur le canapé. Une volée de mouches sortit lorsqu’un des pompiers ouvrit la fenêtre. Les autres ne purent qu’attendre la police pour faire constater la mort du locataire des lieux.
Stéphane avait vingt ans d’expérience. Il était habitué à ce genre de situation. Son regard croisa le puzzle sur la table. Il remarqua la pièce encore installée dans la boite. Dès lors, il l’a pris et la plaça terminant ainsi le tableau.
Le pauvre, dit ironiquement un de ses collègues. Il n’a pas pu finir son puzzle.
Le pompier se pencha pour mieux regarder le jeu. Il pointa l’index vers un petit personnage à la droite d’une harpe.
C’est marrant, il a le même visage grimaçant que notre client.
Ils sortirent pour respirer autre chose que la mort. Pendant ce temps, un souffle comme un long râle sortit du tableau. Le puzzle réclamait une nouvelle victime.
Alex@r60 – août 2023
Peinture : Détail de L’Enfer (volet de droite du triptyque du Jardin des Délices) par Jérôme Bosch
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jeux-geekeries · 10 months
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Le calendrier de l'avent.
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Jour 9 : Mobiliers, bouteilles assiettes et feux
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Jour 10 : le tôlier et son chien ?
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Jour 11 : cheminée
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Jour 12 : table
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hishap · 7 months
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Je fais mon propre JDR plateau!
Le titre est Monster Fusion!
Imaginez si Pokémon Donjon Mystère vous permettait de créer vos propres monstres jouables et de les faire fusionner ensemble pour les rendre plus forts!
Le jeu inclut :
Le fait de pouvoir jouer en tant que monstre! Aucun humain normal ici!
Traits passifs & compétences actives à choisir
Système de taille affectant lesdits traits & compétences
Combat basé sur les éléments (feu, eau, électricité, etc.)
Cartes divisées en cases
Mort Permanente
Seuls les dés ordinaires (d6) sont requis, avec une seule exception optionnelle
Fusionner vos monstres entre eux afin de les rendre plus forts que jamais!
Si ça vous intéresse, contactez-moi pour des playtests en chat vocal! Je vous enverrai une invit' vers le Discord pour MF. Le manuel y est dispo en français et anglais ^^
Tous les niveaux de familiarité avec les JDR plateau sont les bienvenus : je dois m'assurer que c'est jouable pour le plus de monde possible!
Je suis à l'heure française, mais ça me dérange pas de me coucher très tard pour celleux dans d'autres fuseaux horaires ^^
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blogapart3bis · 5 months
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Poly-Games 2024
Aujourd'hui sur Blog à part – Poly-Games 2024 Ce samedi, je reprenais mon bâton de rôliste-pèlerin, direction Sierre pour l’édition 2024 de Poly-Games, une des plus anciennes conventions de jeux de Suisse romande (c'est leur 25e édition). #JDR #Jeux
Ce samedi, je reprenais mon bâton de rôliste-pèlerin, direction Sierre pour l’édition 2024 de Poly-Games, une des plus anciennes conventions de jeux de Suisse romande (c’est leur 25e édition). Bon, Poly-Games est surtout une convention de jeux de plateau qui se trouve avoir une composante rôliste plus ou moins importante selon les éditions. Elle a en quelque sorte pris la suite des conventions…
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jogallice · 4 days
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1️⃣
Aujourd’hui, dimanche 22/09/24, Journée mondiale de sensibilisation à la leucémie myéloïde chronique 🙏 Journée mondiale du rhinocéros 🦏 et Journée mondiale sans voiture 🚘
2️⃣
Le Premier ministre confie Bercy à Antoine Armand (Ensemble pour la République). À seulement 33 ans, le député de la deuxième circonscription de la Haute-Savoie est nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie. C'est l'une des surprises du gouvernement de Michel Barnier 👀
3️⃣
Dernier jour❗️Depuis mercredi et jusqu’à ce dim. 22/09/24, se tient le World Cleanup Day, ou Journée mondiale du nettoyage de la planète (en français), une initiative mondiale qui mobilise les citoyen·nes afin de ramasser les déchets abandonnés polluant notre environnement ✊
⚠️ Dernier jour bis❗️Depuis lundi et jusqu’à ce dim. 22/09/24, se tient la 23e édition de la Semaine Européenne de la Mobilité (SEM 2024). De nombreux évènements locaux, en rapport avec cet évènement européen, sont organisés un peu partout 👍
⚠️ Dernier jour ter❗️Annecy paysages 2024 : depuis le 9 juillet, Bonlieu Scène Nationale, en partenariat avec la Ville, offre au public un parcours à travers Annecy ponctué de 23 œuvres, certaines pérennes, d’autres éphémères 🤩 Accès libre et gratuit, la cité lacustre autrement 👣
😍 Second jour❗️Les 41e Journées européennes du patrimoine ont lieu depuis hier jusqu’à aujourd’hui (j’utilise les infos officielles en provenance directe du Ministère de la culture) sur les thèmes : "Patrimoine des itinéraires, des réseaux et des connexions" et "Patrimoine maritime" 🤩
🧺 Trois marchés le dimanche matin à Annecy ➡️ Marché de la vieille ville 📍 Rue Sainte Claire ➡️ Marché des Teppes 📍 Place des Rhododendrons ⌚️ 7h-13h tous les deux ➡️ Marché du quartier du Vallon 📍 Place Jean Moulin ⌚️ 8h-12h 🍴
👨‍👩‍👧‍👦 Poussez les portes de ce musée pour découvrir la vie d'autrefois ➡️ Participez également à la fabrication de bugnes, de bidoyon (cidre local), de tabourets en bois et repartez avec votre réalisation ℹ️ Spécial famille avec enfants 🎫 0€ 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 9h-18h 📍 Musée Lô P'tiouts Jean de Vovray (5 route de la Salle) 😍
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles  ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 10h-12h30 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) ❤️
⛵ Régate voile : Les Vendanges ➡️ Compétition pour habitable et quillard sportifs au grade 5B  ℹ️ Encouragez votre équipe préférée et profitez du spectacle sur le lac tout au long de la journée 🎫 0€ 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️10h-19h 📍 Club de voile (31 rue des Marquisats) 🌅
🧒  ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) 🎫 5€, 3€ & 0€ (- de 12 ans) 🎟️ Réservation en ligne 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 14h-16h & 16h-18h 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🧠
🧒 Ateliers scientifiques : menés par les médiateurs du lieu, ils font appel à la manipulation, à la démarche scientifique et à l’apprentissage par la pratique ℹ️ Spécial adolescent·es 🎫 5€ & 3€ 🎟️ Réservation en ligne 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 14h15-15h45 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🥼
🎶 Bal : Musiques et danses traditionnelles ➡️ Les danses sont simplifiées pour que tout le monde puisse s'amuser. Les novices étant entraînés par les initiés, chacun y trouve son bonheur  ℹ️ Dans le cadre des JEP ⏱️ 1h30 🎫 0€ 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 15h 📍 Jardin du 8 Mai 1945 💃
👨‍👩‍👧‍👦 Rendez-vous des familles : un monument à portée de mains ⏱️ 1h 🎫 3 €, 2 € & 0 € (- de 8 ans) 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 16h 📍 Plateau des Glières (Accueil Mémoire du maquis, Thorens-Glières, Fillière, Grand Annecy) ⛰️
👨‍👩‍👧‍👦 Rendez-vous des familles : La vie quotidienne des Français·es dans les années 40 (jeu de plateau) ℹ️ En cas de vigilance météorologique orange (pluie, orage, vent), la visite est annulée 🎫 3 €, 2 € & 0 € (- de 8 ans) 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 16h 📍 Site de Morette, Route de Thônes, La Balme-de-Thuy 🎲
🎭 Le Baiser de la veuve ➡️ Une histoire poignante, une bande-son aux accents blues-folk étasunien, comme du théâtre cinéma ℹ️ À partir de 15 ans, en cas de pluie, repli à la Salle de la Rioule située à proximité 🎫 12 € 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 17h 📍 Théâtre de Verdure Le Pré Vert (23 impasse des Fusains) 💋
🎭 Théâtre: 3 Femmes ➡️ Une pièce émouvante et subtile qui raconte la vie de trois femmes que la vie a malmenées, mais aussi réunies au-delà de leurs différences  ℹ️ Pièce de Catherine Anne mise en scène par Jean-Marc Patron ⏱️ 2h 🎫 12€ 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 16h 📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 👩
📚 Croisière théâtrale et musicale : Et soudain surgit face au vent ➡️ Embarquez à bord avec la compagnie La Grande Horloge, pour ce spectacle musical autour des chansons d'Indochine et des témoignages de fans ℹ️ Organisé par Histoire d'en parler 🎫 25 € (sur réservation, rens. au 06 70 28 44 13) 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 17h 📍 Bateau Le Libellule, quai de la Tournette 🚢 
🎭 Théâtre : Couple en délire ➡️ Les tribulations euphoriques d'un couple de choc qui s'est pourtant trouvé mais qui n'en finit pas de se chercher ℹ️ Plus d'1 million de spectateurs conquis pour cette comédie à sketchs tout public et intemporelle 🎫 18€, 16€ (+ de 65 ans) & 12€ (enfants jusqu'à 12 ans) 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 17h 📍 Théâtre Les Têtes de l'Art (36 avenue de Chambéry) 🤣
🎭 Théâtre : Demain dès l'Aube ➡️ Histoire d'une jeune femme et sa grand-mère. C’est l’aventure du relais à passer, du lien à tisser, du cycle à poursuivre. Une histoire de temps, une histoire de femmes ℹ️ Interprétation : Hélène Donzier & Marie Perreau ; Adaptation et Mise en scène : Philippe Garin ; Public : +16 ans 🎫 10€ 📆 Dim. 22/09/24 ⌚️ 18h & 20h 📍 Théâtre de l'Échange (26 rue Sommeiller) 🥰
4️⃣
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : les concentrations devraient être en baisse avec l'arrivée d'une perturbation par l'ouest 📉 La qualité de l'air devrait être qualifiée de bonne pour les particules et moyenne pour l'ozone 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est faible (niveau 1) ➡️ Ambroisies, graminées : niveau 1 ; saule, cupressacées, armoise, autre : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 21/09 au vendredi 27/09/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : portez des lunettes et un chapeau pour vous protéger des pollens 😷
5️⃣
Quatre dictons du jour pour le prix de trois : « Le lendemain de saint Matthieu, tu sèmes je sème. », « Qui sème à la saint Maurice aura des pois à son caprice. », « Sème tes blés à la saint Maurice, tu en auras à ton caprice. » et « Semis de saint Maurice, récolte à ton caprice. » 🌱
Et deux autres dictons du jour pour la route : « À la saint Maurice, clair temps annonce tempête et vent. » 🧐 « Le beau temps à la saint Maurice est un présage de tempête en hiver. » 🤔
C’est l’automne : « Automne clair, hiver venteux. » 🍂 « Bel automne vient plus souvent que beau printemps. » 🌞 « Brouillard qui se lève en automne présage le beau temps. » 🌫️ « Tant que verdit l’acacia, l’automne ne rentre pas. » 💚
6️⃣
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et une excellente première journée automnale à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍃
Bon septième et dernier jour de la semaine à tous et à toutes 🚏
Bonne fête aux Maurice et demain aux Constant 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le 15/09/24 📸
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details-beast · 4 months
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35 - Commencer une scène improvisée
"Qu'est-ce que je fous là..." - improvisateur X, le regard vide, au début d'une impro
Vous galérez en début de scène ? Vous ne savez pas quoi faire ? Vous pensez que vous vous en sortez, mais avez la sensation que vous les commencez toujours de la même manière ? Vous avez envie de poser des bases solides, lisibles et riches dans vos débuts d'histoires, ou cherchez simplement de nouvelles pistes ?
Formidable ! Parlons un peu de ces premières secondes, où nous passons d'un Espace vide à une scène, où se jouent des histoires, des situations ou des games.
Cette entrée en jeu sera souvent un teaser de l’improvisation à venir. Elle est fragile, il faut donc en prendre le plus grand soin. Il est essentiel d'y mettre les bonnes informations, claires, de ne pas se tromper, de bien comprendre qui sont les personnages, où on est, à quoi on joue, et d'avoir des super idées pour que cette rencontre avec l'autre soit géniale ! Si vous avez tout ça en tête avant de jouer ou pendant que vous jouez, félicitations ! Vous êtes en train de paver votre route vers... le mur !
Le syndrome du bon élève
L'improvisation n'est pas le territoire des "bons élèves". J'entends par là qu'il n'y a pas une liste exhaustive des choses à faire et à ne pas faire pour obtenir une bonne improvisation. Respecter les règles, poser le plateau / la plateforme (qui, quoi, où), en somme, établir un plan logique et structuré ne sera jamais suffisant pour créer une improvisation intéressante, ça sert surtout à poser une improvisation compréhensible. De plus, tous les débuts d'impro ne se construisent pas systématiquement suivant un schéma narratif. Attention, fuir les "règles" et la simplicité n'assure rien de bon non plus. Il ne s'agit pas de chercher l'originalité à tout prix, mais de rester ouvert à d'autres types d'écriture.
Nous connaissons énormément de mantras comme "oui et", "sois précis", "pose un plateau rapidement", "ne pose pas de question", "ne joue pas de négociations", "ne fais pas de scène d'enseignement" etc. Ces phrases chocs, ces "règles", semblent chargées de bon sens et pourtant, comme le dit très bien Mick Napier dans son ouvrage Improvise - Scenes from the inside out, non seulement elles ne font pas mieux jouer, mais elles peuvent également être destructrices. Oui, on peut observer certains comportements redondants dans les scènes qui ne fonctionnent pas, mais ils sont davantage une conséquence qu'une cause.
"Une bonne improvisation ne doit rien au respect des règles, mais penser aux règles (NB. sur scène) peut empêcher une bonne improvisation"
Nous apprenons à observer ce qui ne fonctionne pas, à y faire attention et à garder tout ça dans un coin de nos esprits. Or, entrer sur scène avec le cerveau chargé d'informations sur ce qu'on ne doit pas faire, c'est entrer sur scène dans un état de tension (cause). Et ça ne nous fera jamais mieux jouer, c'est assurément se priver d'un espace mental pour faire autre chose (conséquence). Pourtant, pour progresser et pour affiner nos qualités de jeu, il faut bien apprendre un sacré paquet de choses sur la narration, les styles littéraires, la mise en scène, l’interprétation et il faut comprendre les comportements de jeu qui nous font défaut. Mais au moment de jouer, il faut avant tout croire en ce qu’on a travaillé. Faciladir !
L'état et l'impro
L'ÉTAT (vous !) : Trop réfléchir à ce qu'il faut faire ou ne pas faire = tension, préparation et construction du mur qui vous sépare de votre partenaire. Bien entendu, puisque vous êtes en train de cogiter, vous n'êtes pas présents sur scène. Vous imaginez être à la base de l'histoire et que sans vous, rien ne se passera. Or... on se moque de vos connaissances et de votre technique si vous n'êtes pas en état de vous en servir, alors lâchez votre envie de bien faire et soyez "là".
Ça tombe bien, l'improvisation est l'art de l'instant présent avant tout autre chose : tout ce qui se passe ou ne se passe pas contribue à l'écriture de la scène. Si vous n'êtes pas attentif à ce qui se passe maintenant, vous allez davantage fabriquer, parfois avec brio, mais vous ne serez pas en train de jouer ce que la scène propose, vous serez en train de peindre ce que vous avez en tête et c'est tout. Ce n'est pas QUE ça l'improvisation... (mais c'est un peu ça quand même). Il s'agit également de dessiner les scènes avec nos sens, avec nos réactions, et avec nos sensations, pour éviter de rester en surface.
L’IMPROVISATION (l'enjeu !) : Notez que je ne parle pas d'objectif, qui peut contraindre notre esprit à une finalité et donc nous priver d'écoute et de perméabilité - on sait où on va... et il y a un risque qu'on écoute POUR aller dans notre vision plutôt que dans la dynamique de la scène. Et puis on sait très bien ce que notre cerveau veut faire : il veut nous rassurer, comprendre vite à quoi on joue et bien mettre les jalons pour rester en sécurité le long du trajet. Mais alors comment définir l'enjeu sans s’enfermer ? Je crois que c'est tout simplement donner de l'intérêt à la scène que vous jouez, que ce soit en lui donnant du sens, de l'émotion, de la forme, et même du fun ! Cela ne contraint pas à une narration ou à un style.
Au risque de passer pour Captain Obvious, si vous prenez uniquement soin de vos fesses, mais pas de la scène, elle a peu de chance d'avoir de l'intérêt.
Être plus qu'un individu
Je disais plus haut qu'il s'agit, un peu, de peindre ce qu'on a en tête, quoi que ce soit, et de se laisser affecter par les répercussion. Si c'est la même chose pour votre partenaire, vous êtes en train de créer une scène qui sera probablement unique.
On a peut-être trop entendu parler de "ping pong" pour les échanges en impro, comme si nous nous passions la responsabilité de la scène, comme si c'était chacun son tour. Et si nous voyions davantage les gens comme une onde, liée en toutes circonstances ? Nous serions, le temps de la scène, la somme de nos propositions, et de nos réactions. Moins effrayant, plus riche... tout bénef ?
Si on n’a pas grand chose en tête, il suffit de faire un choix, n'importe lequel, et d'avoir le courage de le défendre (et par là j'entends bien : ne te dis pas que c'est nul, assume ce que tu as entamé). Bien sûr, tout ça n'a d'intérêt que si tu n'oublies pas ton fkn partenaire ! C’est mieux quand les gens sont contents de jouer avec toi.
J'espère être on ne peut plus clair là-dessus : votre état détermine votre capacité à ÊTRE et à ÊTRE AVEC. Être, c'est devenir un personnage prêt à être traversé par des propositions, prêt à réagir, prêt à renvoyer ce qu'il traverse à un public. Si vous êtes coincés dans le besoin de démontrer ce que vous savez faire, vous parlerez aux cerveaux des gens et à leur analyse de ce qui est drôle, malin etc, mais le personnage devient juste quand le public croit en ce que nous jouons. Il ne peut pas exister si nous n'y croyons pas.
Être avec, parce que ce personnage ne devient concret que dans ses interactions avec l'autre, avec le contexte, avec ce qu'on va pouvoir révéler de lui. Encore une fois, si vous n'êtes pas sincèrement en train de jouer avec l'autre, vous resterez en surface. La précision et les qualités d'écriture que vous aurez vous permettront de mieux lire et de mieux développer les scènes que vous commencez.
Raconter quelque chose ensemble
Le plateau - QUI, QUOI, OÙ - est un outil pour préciser votre connexion à l'autre, mais la qualité des informations ne remplacera jamais la qualité de la connexion avec l'autre. Par contre, à partir du moment où jouer avec l’autre devient facile pour vous, vous avez tout intérêt à vous pencher sur cette notion : bien utilisée, ce n’est pas un mur qu’elle vous offrira, mais un tremplin ! Mettre des personnages dans un contexte inhabituel, jouer une scène a priori classique mais dans un lieu inapproprié, tout ça devient possible quand vous avez une lecture de ce qui se passe en début de scène. Vous l’aurez compris, ce n’est pas sur le plateau que je tape en début d’article, mais sur l’improvisateur bloqué dans sa tête.
Si vous êtes en train de commencer un game avec l'autre, c'est la même chose : il sera important d'être bien présent pour que le jeu se développe et évolue.
Coucou, c'est Nabla !
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Merci Eddy de me donner le clavier le temps d'un paragraphe ! :)
Pour celleux qui ne me connaissent pas, j'ai hâte de vous rencontrer et de commencer des scènes improvisées avec vous !
Je me permets de remettre une phrase marquée juste au-dessus, parce que je la trouve capitale : "Le plateau est un outil pour préciser votre connexion à l'autre". J'ai même envie d'aller plus loin :
La scène improvisée, pour moi, c'est un jeu.
L'espace scénique, c'est un plateau de jeu.
La plateforme / Le plateau, ce sont les règles du jeu auquel on veut jouer, ensemble !
Je m'explique avec un exemple :
- Si je commence par dire "Chérie, attention où tu mets tes mains !", je dis à ma partenaire que je veux jouer à un jeu où je m'inquiète pour elle.
- En me répondant ''Mais papa, je veux juste caresser le lion !", ma partenaire me dit qu'elle veut jouer à une enfant dans un zoo ! Et en plus, elle m'aide à jouer l'inquiétude, parce que c'est un lion quand même ! Elle est super ma partenaire.
- Si je termine en disant "Je préfère qu'on aille voir les oiseaux, ils ont des perroquets magnifiques. Tu aimes ça, les perroquets ma chérie ?", je continue à jouer le jeu que je veux jouer (l'inquiétude) tout en jouant le jeu de ma partenaire (une enfant dans un zoo).
Nous avons nos règles : maintenant, nous n'avons plus qu'à jouer avec engagement en attendant - de manière active - les imprévus qui rendront le jeu intéressant (pour mes partenaires, pour le public, pour la régie, pour le monde).
Plus haut, nous voyions que la plateforme sert surtout à poser une improvisation compréhensible : je préfère penser que la plateforme sert surtout à poser un jeu commun compréhensible.
Je rends le clavier maintenant, ma fille caresse les lions, bordel !
"ON A COMPRIS !"
Je suis dans le bon état, et maintenant ?
Et si nous parlions technique ! Pour pouvoir faire des choix en entrant, il faut avoir conscience de ce qui est possible dans ce fameux espace vide. Je préfère le dire tout de suite, si vous n'avez pas envie de charger votre cerveau au point de le voir fumer, il est inutile d'essayer de tout mettre d'un coup sur votre démarrage. Prenez UN élément, puis montez la dose à mesure que vous serez à l'aise. Si vous devez rester concentré pour tenir un personnage (ex : un tic) et que ça détériore votre écoute, vous en faites déjà trop.
Voici une liste non exhaustive de ce qu'on peut poser en début de scène:
style (plutôt burlesque, littéraire, naturel/dramatique)
relation (qualité, titre)
personnage (caractère, personnalité, physicalité, état, émotions)
météo (chaud, froid, pluie etc)
action (geste simple, répétitif ou évocateur)
couleur (j'entends le ton de la scène, l'ambiance)
mise en scène (!!!)
lieu (ouvert, fermé, identique au partenaire ou pas)
promesses (y-a-t-il des non-dits ? Un objet mystérieux ?)
catégories (si c'est un match)
titre/thème (on y reviendra)
(!!!) - La mise en scène kesako ? Et bien comment vous mettez en scène votre jeu : un solo centre scène qui raconte quelque chose, quatre au fond et un devant, une contée où le conteur raconte sa propre histoire et passe de conteur à personnage etc. Tout est possible, mais c’est à vous d’imaginer ce qui est possible !
Les meilleurs ennemis ! (bonjour à Zazie et à Pascal)
Quoi qu'il en soit, les premiers choix que vous ferez poseront la base de votre scène. Si vous êtes mal à l'aise, ou peu expérimenté, il y a de fortes chances que votre début de scène ressemble à :
A - (fait une action imprécise sans regarder son partenaire)
B - (traverse la scène, vient coller A) : "Tu n'as pas fait le nécessaire."
A - (arrête son action) : "De quoi tu parles ?"
B - "On avait dit qu'on invitait les voisins ce soir"
A et B - (passent la moitié de la scène à essayer d'avoir raison)
Et on obtient une de ces fameuses scènes de personnes face à face, dans un espace théâtral vide*, qui se renvoient la balle pour essayer d'avoir raison, comme si la réponse allait rendre la scène plus intéressante. Tout ce qu'on doit savoir est dit, parce que c'est le public qu'on essaye de convaincre (et de la pire manière puisqu'on lui explique). On est en train de le séduire, pas de lui raconter une histoire. Or, on se moque de savoir qui a raison, on veut savoir ce que ça implique pour les personnages et ce que ça révèle d'eux. On veut voir comment ça se traduit dans leurs attitudes, leurs respirations, leurs regards, leurs gestes et à la fin, peut-être, dans leurs paroles. Alors seulement, nous pourrons commencer à avoir des personnages nuancés et subtils.
Si vous voulez jouer un conflit, nourrissez-le physiquement (intérieurement hein, il ne s'agit pas d'envoyer des mandales), pensez à ce qu'une défaite impliquera pour vous et sachez perdre si c'est nécessaire parce qu'on veut voir de quel bois est fait votre personnage. Laissez le silence et l'espace nourrir votre personnage et votre relation.
"La distance offre de la tension, de la puissance et du potentiel" Joe Bill
Par espace théâtral, j'entends espace imaginaire, par opposition à l'espace scénique, qui est l'espace réel que vous voyez. L'espace théâtral peut être beaucoup plus grand ou petit que la réalité, la température peut être différente, la hauteur du plafond aussi etc.
Improviser sous contrainte
Enfin, il faut parler de ce qu'implique une improvisation avec un thème ou sans thème. Sans, il y a la peur de ne pas savoir quoi jouer pour commencer, et avec, il y a la peur de ne pas être inspiré ou enfermé dans le thème. La peur pousse à produire trop d’informations, trop vite : il y a toujours une bonne raison de fuir le vide et la peur qui va avec. Mais... il n'est pas nécessaire de résoudre le thème d'entrée de jeu ! Vous avez le temps de l'amener, toutes les improvisations ne sont pas dans l'obligation d'être une mise en image du thème évoqué. Prenez déjà le temps d'être quelqu'un, ensuite on verra ce qu'on fait de ce thème, idéalement avec le partenaire. Réaction après réaction, n'essayez pas de forcer la scène à devenir la matérialisation de vos idées. On a le temps, et on pourrait bien avoir des surprises si on avance par étape, plutôt que de vomir notre vision avec des logorrhées didactiques !
Si ça peut aider, je rappelle que : improvisation≠histoire. On aura rarement le temps de raconter une histoire complète en 3 ou 4 minutes, ce qui n’empêche pas de commencer la scène proche de la fin, et dans l’absolu de trouver une fin. On peut choisir de n'en raconter qu'une partie. Ça évite de faire des bascules sur des scènes de 20" où on ne raconte pas grand-chose, et de les enchaîner frénétiquement pour faire avancer "l'histoire". Keith Johnstone nous disait dans Impro qu'une histoire n'est pas qu'une succession d'évènements et d'actions. Avancer, pourquoi pas, mais on fait avancer QUOI ?
Bien bien bien... et si on s'entrainait un peu à faire ça ?
Exercices solo
Non verbal et lieu; nb joueurs: 1, durée 2 min+
Vous entrez dans un espace imaginaire et jouez une scène sans parole. Votre but est de travailler votre attitude dans ce lieu mais également de chercher comment le rendre clair pour un public (même si vous êtes seul chez vous, essayez de vous rendre compte si ce que vous faites évoque un lieu précis, car un geste réaliste n'est pas toujours facile à interpréter). L'occasion de voir si votre personnage est à l'aise dans ce lieu, comment il regarde l'espace ou d'autres personnages imaginaires. Dans un second temps, essayez avec la parole.
Description de lieu à la chaîne; nb joueurs: 1, durée 5 min+
Vous pouvez le faire assis dans un premier temps. Mettez un minuteur qui sonne toute les 30" (à défaut celui là); à chaque nouveau top décrivez un lieu dans lequel vous pourriez jouer, essayez d'être précis, mais que cette précision soit jouable (la couleur est plus difficile à jouer que la texture par exemple). Aussi, faites l'effort de rester factuels - n'entrez pas dans une narration, vous ne faites que poser un lieu. Faites quelques rounds, puis si un lieu vous a inspiré, faites une mini scène dans cet espace, et voyez ce que vous trouvez à jouer. Ce n'est qu'un lieu, n'enfermez pas votre histoire dans les objets et les détails posés, car il n'y a que vous qui seriez visibles d'un éventuel public, servez-vous-en pour affecter votre personnage et son attitude. (NB : testez la notion de météo, de température, et de comment les jouer. Par exemple si vous avez froid, vous n'allez pas passer votre scène les bras croisés à vous taper sur les coudes en murmurant "brr").
Exercices duo
La rencontre; nb joueurs: 2, durée 2 min max
Joueur A commence une scène solo, son premier objectif est de poser un lieu clair, car il sera rejoint par le joueur B dans cet espace dès que celui-ci aura compris le lieu. Laisser B prendre le temps de comprendre, puis imposer des entrées plus rapides au fil de la séance. B n'interagit pas d'entrée de jeu avec A - il peut donc se permettre de rentrer tôt et de s'assurer du lieu un peu après. TRÈS IMPORTANT : A et B ne se calculent pas du tout d'entrée de jeu, ils existent simplement dans le même lieu. On s'exerce ici à poser son personnage avant de sauter sur l'autre pour du bavardage. C'est le moment de la rencontre et les échanges verbaux et non-verbaux qui vont suivre qui nous intéressent.
Plusieurs étapes à pratiquer :
A et B ne se connaissent pas du tout
A connaît B, mais pas l'inverse (et NON ce n'est pas un oubli de B)
A et B se connaissent vaguement
A et B se connaissent bien
A et B se connaissent bien mais ne se sont pas vus depuis longtemps
La rencontre est fortuite, ce n'est pas un RDV. L'idée est de travailler les différentes attitudes lors de ces rencontres - l'état dans lequel je me trouve après la rencontre, ce que ça provoque chez moi, et comment je donne du détail et de la précision dans ces premiers échanges, que je connaisse bien la personne ou pas. Oui, ce sont toujours des débuts de scène, mais on n’a pas de temps à perdre pour autant, on s'entraine à donner de la matière aux personnages rapidement. Il faut essayer chaque étape pour s’entraîner à trouver des nuances et des rythmes de connexions avec l’autre qui soient justes. Le jeu non verbal varie énormément en fonction des étapes !
Voilà, la liste d'exercices n'est pas exhaustive bien entendu, vu qu'il y a déjà un article consacré à ça. Comme d'habitude rien n'est gravé dans le marbre et on peut discuter de ces sujets quand vous voulez !
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garadinervi · 6 months
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Plateau de jeu #1, n.d. [Collection de l'Institut Henri Poincaré, Paris. CC BY-NC-SA 4.0 Deed]
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jloisse · 2 years
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"L’Ukraine n’est qu’une victime de son propre régime politique, qui s’est permis d’entraîner le pays dans une confrontation entre de grands acteurs géopolitiques. Elle n’est même pas une pièce du jeu d’échec, mais seulement le plateau sur lequel le jeu se joue."
— Général Delawarde
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