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#l'associé du diable
mel-et-ses-histoires · 8 months
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Alors aucun rapport mais sinon, et sans raison particulière, je me repasse en boucle ce passage de l'associé du diable parce que c'a m'avait énormément marquée petite, je trouve ce passage superbe.
Franchement elle est trop intéressante ma vie non ?
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basilepessoart · 4 months
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J'ai vu certains posts. Si je vous remercie de votre soutien, ne vous attendez pas à un "combat des chefs", j'ai pas créé l'Univers et n'ai aucune intention de combat contre Dieu, je suis simplement atterré par cette lacération nocturne, qui, si elle a une intention d''alerte" (fausse en l'occurrence vu que, je le répète, Anne n'est PAS folle mai en état traumatique après des faits barbares d'un nombre affligeant et sur une très longue durée), n'en reste pas moins une attaque que je trouve absolument intolérable même si pas voulue comme une attaque. Quel taré a envie de se faire lacérer la nuit même par "alerte" ? La photo n'est pas disponible pour raisons techniques (appareil photo cassé, pas réparable pour l'instant, pas de fil de connection téléphone-ordi et je suis loin de tout sans transport), la demander à Anne ou Maria Luisa Romeu. Je répète (je l'ai dit sur Fb hier) que je possède 2 couteaux (pourquoi ? J'ai rien ici, certains savent pourquoi), un sans dents et l'autre avec des petites dents, couteau de table. Je pourrais difficilement me lacérer sur 7cm avec même si j'étais taré.
Cette "lacération divine" a été faite sans aucune douleur, c'est de la "magie divine". La référence est la scène de l'église de l'Associé du Diable. Charlize Theron s'y dénude et est lacérée de partout. Elle sera ensuite internée. Le message de Dieu est la "folie" d'Anne. Charlize dans le film est en fait possédée par "Milton" (Pacino).
BP. Vendetta, Le Silence
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allyouneedislov3 · 6 years
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Connie Nielsen
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basilepesso · 4 years
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Vous le saviez vu les masquages pluri-quotidiens (quand ce n'est pas l'oblitération totale de ces crimes gravissimes) d'origines des criminels sexuels et de sang, masquages que je démonte ici (NDLR : Fb principalement) depuis des années - quasiment pas dans la dernière période qui m'a beaucoup vu me concentrer sur les USA et la "passation de pouvoir" entre DJ Trump et Job Hidden. La "grande presse" est tellement corrompue qu'elle est prête à soutenir des pratiques proto-pédophiles du président du "plus grand pays du Monde", en accusant...ceux qui les dénoncent. Absence totale de moralité chez ces journalards répugnants, qui, dès la sortie de l'université ou des grandes écoles, se vautrent dans l'immoralité la plus totale tout en faisant la leçon de vertu aux supposés "déviants" du NOM, ce qui nous renvoie à L'Associé du Diable de Taylor Hackford dont je parle régulièrement. Article de mai 2 020. L'ordi portable du Chasse-Bidet, le fils et associé de Job, devrait bientôt parler. J'ai vu les images, et ne suis pas le seul. BP. >>>>> "Tuesday was also the first time Biden responded to a baseless allegation from Donald Trump Jr., the president’s son, that the former vice president is a pedophile: “It’s sick,” Biden said, “...but he is his father’s son.”" Article of Forbes (May 2 020) : “Biden Responds To Obamagate, Trump Jr. Pedophilia Attacks: ‘I Don’t Want To Get Down In The Mud With These Guys’“
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cinemacron-blog · 8 years
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ezechiel5172 · 3 years
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jdchiaramonte · 7 years
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Connie Nielsen #actress #polaroid #6/6 #hasselblad #photography for #french #fashion #catalog #hairstyle #makeup #style by #jdchiaramonte #mode #model #90s just before l'associé du diable et Gladiator #luckyme #love #beauty #flashback #souvenir
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lignes2frappe · 5 years
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TONY, MANNY, ELVIRA... QUE SONT DEVENUS CEUX QUI ONT TOURNÉ « SCARFACE » ?
Bien que très variés, voici 36 ans que leurs destins s'entremêlent...
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Qu’écrire sur Scarface qui n’a pas encore été écrit, si ce n’est qu’en 1983 absolument personne ne se serait douté que le portrait de ce gangster réchappé du tiers-monde pour débarquer en terre promise aurait un tel impact ?
Objet de culte pour chaque génération qui a suivi, le film a bénéficié tant devant que derrière la caméra du savoir-faire d’un assemblage de talents dont beaucoup étaient alors au sommet de leur art.
Interprétation, réalisation, production, composition... découvrez qui a fait quoi depuis et qui fait quoi aujourd’hui.
Al Pacino (Tony Montana)
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Déjà star grâce aux chefs d’œuvre Serpico, Un après-midi de chien et bien évidemment au diptyque des Parrain, Alfredo James Pacino est celui qui va pousser l’idée de redonner une seconde jeunesse au Scarface de 1932 réalisé par Howard Hawkes.
À mille lieux du froid et calculateur Michael Corleone, son interprétation hystérique laisse sur le coup la critique quelque peu interloquée.
Visage du gangstérisme au cinéma, il rempile en 1993 avec L’Impasse et en 1997 avec Donnie Brasco (on préfère ne pas trop se souvenir de Dick Tracy), avant de passer du bon côté de la loi chez Michael Mann (l’inspecteur Vincent Hanna dans Heat, le reporter Lowell Bergman dans Révélations).
Oscarisé en 1993 pour Le Temps d'un week-end où il cabotine comme jamais en vétéran du Viêtnam alcoolique et aveugle, maire de New York dans City Hall (1996), Satan en personne dans L'Associé du diable (1997), l’acteur préféré de beaucoup n’en oublie cependant pas de revenir régulièrement à sa passion première : le théâtre et plus particulièrement les pièces de Shakespeare.
Un temps en (légère) perte de vitesse, à 79 ans il est plus en forme que jamais avec un très beau doublé en 2019 : Once Upon a Time in Hollywood de Quentin Tarantino et The Irishman qui le voit être dirigé pour la première fois par Martin Scorsese et partager l’affiche pour la quatrième fois avec Robert De Niro.
Michelle Pfeiffer (Elvira Hancock)
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Inoubliable en femme trophée cocaïnomane, Michelle Pfeiffer devient dans la foulée l’une des actrices les plus convoitées d’Hollywood et enchaîne pendant deux décennies les premiers rôles… non sans refuser à la pelle parmi les plus gros succès de l’époque comme Pretty Woman, Le Silence des agneaux, Thelma & Louise et Basic Instinct !
Elle retrouve en 1991 Al Pacino pour la comédie romantique neuneu Frankie et Johnny, avant de renouer avec les sommets en 1992 en interprétant la meilleure Catwoman ever dans le Batman Returns de Tim Burton.
Non contente d’avoir partagé l’affiche avec les plus grandes stars masculines (Jack Nicholson, Mel Gibson, Georges Clooney, John Malkovich, Homer Simpson...), à l’occasion d’Esprits rebelles en 1995, elle s’offre un face-à-face d’anthologie avec Coolio dans le clip de Gangsta Paradise.
Six fois mentionnée dans la liste des 50 plus belles personnes au monde du magazine People dans les nineties (un record), elle prend une pause dans les années 2000.
Toujours aussi resplendissante à 60 ans passés (et ce n’est pas Bruno Mars et Mark Ronson qui diront le contraire), on a pu la voir en 2012 de retour chez Burton pour la comédie fantastique Dark Shadows ou encore en Guêpe originelle du MCU dans Ant-Man and The Wasp.
Steven Bauer (Manny Ribera)
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Difficile de croire que l’homme qui « rêvait d’avoir sa propre marque de blue jeans » tenait là officiellement son tout premier rôle au cinéma. La performance est d’autant plus remarquable qu’il s’est imposé aux essais face à John Travolta.
Marié à l’époque à Melanie Griffith, l’avenir lui semblait alors promis. Sauf que pas vraiment en fait.
Après avoir brièvement retrouvé Brian de Palma un an plus tard le temps d’une scène pour Body Double, il enchaîne séries B sur séries B tandis qu’il se remarie à trois nouvelles reprises et divorce autant de fois.
Il lui arrive néanmoins de se rappeler aux bons souvenirs du grand public, que ce soit dans le Traffic de Steve Soderbergh de 2000, le clip Hold On, We're Going Home de Drake en 2013, ou plus récemment en Don Eladio, le chef de cartel mexicain des séries Breaking Bad/Better Caul Saul.
Ce personnage sera d’ailleurs pour lui l’occasion pour lui de donner la réplique à un autre acteur de Scarface : Mark Margolis (Héctor Salamanca), alias l’impassible bras droit de Sosa.
Mary Elizabeth Mastrantonio (Gina Montana)
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Débutante complète elle aussi, la sœur cadette de Tony choisit ensuite de s’éloigner des plateaux pendant trois ans pour se consacrer pleinement au théâtre.
Elle revient cependant en force en 1986 avec La Couleur de l'argent où sous la direction de Martin Scorsese et aux côtés de Tom Cruise, elle décroche une nomination et aux Oscars et Golden Globes.
La suite de la décennie sera à l’avenant avec notamment Abyss de James Cameron et son rôle de Marianne dans Robin des Bois, prince des voleurs.
En 1990 elle épouse le réalisateur Pat O'Connor pour qui elle avait joué auparavant dans Calendrier meurtrier. Désireuse de consacrer du temps à ses deux enfants, elle se fait plus discrète.
Bien que son tout dernier rôle au cinéma date de 2004, Mary Elizabeth Mastrantonio (et pas Mastroianni hein) continue toutefois d’être active sur le petit écran cf. sa récente apparition la défunte série Marvel x Netflix The Punisher.
Robert Loggia (Frank Lopez)
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Au générique d’une vingtaine de films avant Scarface (dont Officier & Gentleman et À la recherche de la panthère rose tous deux sortis l’année précédente), il obtient en 1985 une nomination aux Oscars pour son second rôle dans le thriller À double tranchant.
Alternant grosses productions (Gladiator, Independence Day 1 et 2…) et films plus pointus (Lost Highway de David Lynch, Big avec Tom Hanks…), il se fait également remarquer à la télévision en campant le grand-père de Malcom en 2000 ainsi que l’irascible Feech La Manna quatre épisodes durant dans Les Soprano.
Amis gamers des années 2000, sachez également que sa voix peut-être entendue dans Grand Theft Auto III.
Diagnostiqué de la maladie d’Alzheimer en 2010, Salvatore ‘Robert’ Loggia nous a quittés en décembre 2015, non sans avoir continué de tourner jusqu’au bout.
Paul Shenar (Alex Sosa)
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Comédien au théâtre, dans les années 70 il a été vu dans bon nombre de séries télé cultes (Columbo, Kojak, Mannix, Hawaï police d'État…) avant de décrocher son rôle le plus marquant : le très aristocrate roi de la cocaïne Alajandro Sosa.
Éligible au titre de gangster le mieux habillé, il remet ensuite le couvert en tant que mafieux face à Arnold Schwarzenegger dans Le Contrat (1986).
Atteint du virus du SIDA, il décède en 1989 à l’âge de 53 ans.
Sa toute dernière apparition au cinéma se fera cette même année sous l’œil de Luc Besson dans Le Grand bleu.
Martin Bregman, le producteur
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Autre disparu, Martin Bregman s’est éteint en 2018 à l’âge de 92 ans.
Après avoir débuté dans le monde du septième art comme manager (Woody Allen, Barbra Streisand, Faye Dunaway, Michael Douglas...), il est celui qui découvre Al Pacino sur les planches à l’orée des seventies.
Il l’aide alors à obtenir son premier rôle d’envergure dans Panique à Needle Park, un métrage se déroulant dans le milieu des héroïnomanes newyorkais et pour lequel De Niro était aussi en lice.
Bregman se lance comme producteur deux ans plus tard avec Serpico, là encore avec Pacino à ses côtés, entamant là une collaboration des plus fructueuses (Un après-midi de chien, Mélodie pour un meurtre, L’mpasse...).
Il n’a toutefois pas toujours eu le nez creux dans sa carrière, lui qui a été aux commandes de cet immense four qu’a été Les Aventures de Pluto Nash en 2002 avec Eddy Murphy dans le rôle-titre (7 millions de recettes pour un budget de 100 millions) ou de cette panouille indigne qu’est la suite de L’Impasse, Carlito's Way: Rise to Power (2005) dont il avait confié la direction à son propre fils Michael.
Martin Bregman a également entretenu une relation privilégiée avec le réalisateur Alan Alda pour qui il a produit cinq films.
Brian De Palma, le réalisateur
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Fer de lance de ce que l’on a appelé le Nouvel Hollywood, soit cette génération de réal’ (Steven Spielberg, Coppola, George Lucas, Scorsese, Michael Cimino...) d’influence européenne désireuse d’assumer le contrôle artistique de ses projets, Brian De Palma peut se targuer en 1983 d’une réputation des plus flatteuses.
À la tête d’une filmographie déjà bien achalandée (le film d’horreur Carrie, les thrillers Pulsions et Blow Out, l’un des cinq films préférés de Quentin Tarantino), il se voit confier la direction de Scarface suite au départ de Sidney Lumet.
Aussi décrié qu’adulé pour sa capacité à se rapproprier les classiques (au point d’être surnommé « le petit Alfred Hitchock »), De Palma alterne tout au long de sa carrière succès public et critique, et revers cuisants.
Face A cela donne les Les Incorruptibles (1987) ou Mission impossible (1996), face B ses adaptations catastrophiques des romans cultes de Tom Wolfe (Le Bûcher des vanités en 1990) et James Ellroy (Le Dahlia noir en 2006).
Un bilan assez contrasté donc, où chacun trouvera à boire et à manger.
Oliver Stone, le scénariste
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Plume certifiée (son Oscar pour Midnight Express en 1978, Conan le Barbare), Oliver Stone a de son propre aveu écrit Scarface pour « se venger de la cocaïne ».
Délocalisé à Paris pour se sevrer (né d’une mère française, il parle couramment notre langue), ce vétéran de la guerre du Viêtnam dynamite complètement le classique de Hawks en faisant de Tony un personnage « sans aucune éducation » et « sans aucune limite ».
1986 marque son entrée dans le grand bain des réalisateurs avec Salvador, mais aussi et surtout avec Platoon qui initie sa trilogie de films sur le Viêtnam et qui lui vaut un Oscar – viendront Né un 4 Juillet et la seconde statuette qui va avec, puis Entre ciel et terre.
Dans les années 90 deux films lui valent d’attiser les polémiques : JFK (dans lequel il avance la thèse que Kennedy aurait été assassiné par le complexe militaro-industriel) et Tueurs Nés pris pour cible pour son hyper violence.
En 1999, il retrouve Al Pacino pour l’un des meilleurs films de sport de tous les temps : L’Enfer du dimanche qui dépeint les coulisses de la NFL.
Les années 2000 lui sont moins clémentes (le bide de son biopic d’Alexandre le Grand, la suite très suspecte de Wall Street), Stone s’embourbant en sus dans un militantisme de moins en moins finaud (W. : L'Improbable Président, ses documentaires sur Fidel Castro et Hugo Chavez...).
Giorgio Moroder, le compositeur
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Chéri par tout rappeur qui se respecte, la bande originale de Scarface n’en est pas moins dépourvue de la moindre sonorité hip hop – quand bien même de Mobb Deep à Rick Ross, les emcees ont samplé à tire larigot cette œuvre. 
Produite, écrite et composée par l’italien Giorgio Moroder, elle propose des titres résolument disco/pop mâtinés de ces ambiances latines alors très en vogue dans les clubs de Miami à l’époque de la sortie du film.
Déjà responsable de la BO de Midnight Express et pourvoyeur de hits depuis le milieu des années 70 (Call Me de Blondie, Love to Love You Baby et I Feel Love de Donna Summer...), Moroder va poursuivre dans cette voie avec les cartons pleins What A Feeling d’Irene Cara pour Flashdance et Take My Breath Away du groupe Berlin pour Top Gun (sa composition préférée).
Enchaînant également les albums solos, il met toutefois un point final à sa discographie avec son quatorzième album Forever Dancing en 1992 pour se concentrer sur les visuels, le djing et les remix – à l’occasion des 30 ans de Scarface, il remixera d’ailleurs le thème principal du film.
En 2013 son nom revient néanmoins sur toutes les lèvres lorsque les frenchies de Daft Punk collaborent étroitement avec lui sur leur opus Random Access Memories, allant même jusqu’à lui dédier la piste Giorgio by Moroder dans laquelle il revient sous la forme d’interview sur son parcours (« My name is Giovanni Giorgio, but everybody calls me Giorgio »).
Redevenu hype, il sort un tout dernier disque en 2015 intitulé Déjà Vu où les parties chantées sont assurées notamment par Kylie Minogue, Britney Spears, Sia et Charli XCX.
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La culpabilité, c'est un énorme sac plein de briques, tout ce que tu as à faire, c'est le poser. Pour qui tu le portes ton sac de briques ? Dis-moi Kevin. Dieu ? C'est ça ? Dieu ? Tu sais quoi ? Je vais te dévoiler une petite info exclusive au sujet de Dieu : Dieu aime regarder. C'est un farceur. Réfléchis : il accorde à l'homme les instincts, il vous fait ce cadeau extraordinaire et ensuite, qu'est-ce qu?il s'empresse de faire ? Et ça je peux te le jurer, pour son propre divertissement, sa propre distraction cosmique, personnelle, il établit des règles en oppositions. C'est d'un mauvais goût épouvantable... Regarde, mais surtout ne touche pas. Touche, mais surtout ne goûte pas ! Goûte, mais n'avale surtout pas ! Ha ha ha ! Et pendant que vous êtes tous là à sautiller d'un pied sur l'autre, lui qu'est-ce qu'il fait ? Il se fend la pêche à s'en cogner son vieux cul de cinglé au plafond. C'est un refoulé ! C'est un sadique ! C'est un proprio qu'habite même pas l'immeuble ! Vénérer un truc pareil ? Jamais !
L'associé du diable
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pressagrun · 4 years
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basilepessoart · 4 months
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Chanson magnifique mais là c'est pas le sujet... Dieu y a une phrase pour ce que tu m'as fait la nuit de jeudi à vendredi. JE NE SUIS PAS UN PUTAIN DE COBAYE et t'es pas muet. Je t'ai dit qu'Anne n'est PAS folle, donc j'ai pas besoin d'une entaille de 7 cm sur le mollet en référence aux lacérations de Charlize Theron dans l'Associé du Diable.
Elle est pas folle et ne se prostituait pas volontairement, ça tu l'as su mais après quelques mois. Maintenant quoi, tu vas me couper un pied pour me faire passer tes messages ? Je dois vivre comme ça, t'es sûr ?
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memexx · 5 years
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Le véritable pouvoir, c’est de ne jamais avoir à s’excuser.
John Milton - L'associé du diable
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basilepesso · 4 years
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Un Après-midi de Chien (Sydney Lumet, 1 975)
2 heures intenses, parfois longuettes, avec une image bien plus belle de nuit (ce qui donne une fin bien meilleure selon moi), un hold-up à Brooklyn (New York City) mené par un branquignole ancien du Vietnam, magistralement joué par Al Pacino, qui prend en otage le personnel et le patron de la banque, obligé par la police, qui refuse de le laisser sortir.
Affiche (à la bichromie et l'expressivité puissantes) et film cultes, histoire vraie (celle d'un Américano-polonais) qui a comme particularité la double vie du héros, qu'on peut, on verra ensuite pourquoi, véritablement appeler héros malgré sa prise d'otages et son braquage.
Cette double vie est celle d'un homme marié, père de famille, qui tente ce braquage pour...payer la chirurgie transsexuelle de son "mari". C'est ce qui lui vaudra le soutien d'une foule de gays et de trans, attendant des heures devant la banque pour suivre la prise d'otages et ses nombreuses péripéties.
Si l'on compare la prestation de Pacino ici (qui ressemble régulièrement à Dustin Hoffmann) à celle de L'Associé du Diable (1 997, scroller ici (NDLR : Fb) d'une vingtaine de posts pour mon texte), on observe la richesse épatante de la palette du petit Italo-américain de génie. Il inspire ici de l'amitié (ou presque) à ses otages dans ce qui sera souvent appelé à tort un avatar du syndrome de Stockholm, alors que le lien entre otages et preneur d'otages est ici logique, et non déviant ; il eut été stockholmien si c'est envers Sal, le "croque-mort" à tête d'oiseau, acolyte de Sonny (Pacino), qu'un lien avait été créé.
Pacino, confronté aux Oscar à Nicholson et son rôle dans Vol au Dessus d'un Nid de Coucous, avait forte concurrence, et passera donc à côté de la récompense, qu'il eut méritée allègrement. Quant à Chris Sarandon, pour 15 minutes de rôle (Léon, le "mari" de Sonny), il se trouve gratifié d'une nomination comme meilleur second rôle, ce qui schlingue le communautarisme gay et le taillage de pipes aux minorités activistes, car rien dans son rôle ne justifie cette nomination.
L'expérimenté, solide Sydney Lumet signe ce quasi huis-clos suintant de chaleur (d'où le titre), au cours duquel on se met du côté de ce si attachant braqueur malgré le traumatisme qu'il inflige à 8 femmes et un homme. Basile Pesso, FreeLand, 29 avril 2 020 Bande-annonce
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Critique#4 : Wonder Woman
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Puisque l'industrie du divertissement semble avoir décidé que le mois de mars est dédié aux Femmes, et qu’il n’y a rien à se mettre sous la dent avant la fin du mois d’avril, j'ai voulu dédié cette critique à l'une des plus anciennes et plus grandes héroïnes de la bande-dessiné : Diana Prince alias Wonder Woman.
Sortie le 07 Juin 2017 dans nos contrées, Wonder Woman est à l'heure actuelle le plus gros succès ce que l'on nomme le DC Extended Universe (Man of Steel, Dawn of Justice, Suicide Squad et Justice League).
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Le film est un tel succès qu'une suite a été annoncé quelques semaines après sa sortie. À l'origine prévue pour Juin 2020, la date de sortie de Wonder Woman 2 est prévue pour le 1er novembre 2019.
Le Synopsis (Non-officiel) :
Diana, fille de la reine Hippolyte, est l'héritière de la culture guerrière des Amazones. Elles vivent sur Thémyscira, île isolée du monde des Hommes, suite à leurs rebellions contre le Dieu de la guerre : Arès.
La vie de Diana va prendre un nouveau sens lorsque Steve Trevor, espion de la couronne Britannique, amène la Première Guerre sur son île et bouleverse son monde. Contre l'avis de sa mère, Diana part pour le monde des Hommes pour mettre fin à la guerre et découvrir la part de divin qui sommeil en elle.
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Réalisation, Casting et Bande-son:
Le film a été réalisé par Patty Jenkins. La réalisatrice est connu pour avoir fait Monster (sortie en 2003 avec Charlize Theron). Elle était en lisse pour réaliser Thor : Dark World (sortie en 2013) mais Marvel Studios préféra Alan Taylor. L'actrice Nathalie Portman a été tellement contrariée de ce désaccord artistique qu'elle décida de ne plus tourner dans aucun film du MCU.
Celle qui aurait dû faire un film du dieu viking des écuries Marvel se retrouve à réaliser les films de la championne de dieux greco-romains des éditions DC. L'industrie du cinéma possède un ironie assez plaisante.
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Pour ce qui est du casting, le rôle principal est tenue par Gal Gabot. L'actrice est apparue dans plusieurs films de la saga Fast and Furious et incarna la princesse amazone pour la première fois dans Dawn of Justice en 2016.
Chris Pine incarne Steve Trevor, le second rôle important du film. Son personnage va retrouver un certain sens de l'honneur et du courage grâce Diana. Connie Nielsen (Gladiator, l'Associé du Diable) et Robin Wright (House of Cards, Forest Gump, Princess Bride) jouent respectivement la reine Hippolyte et le général Antiope qui font figures de mentors pour notre héroïne.
Dans les rôles secondaires, j'ai apprécié la prestation de Lucy Davis qui interprète la secrétaire de Steve Trevor : Etta Candice, ainsi que celle de Saïd Taghmaoui dans le rôle de Sameer, un allié et ami de Steve. Parmi les antagonistes du film, nous retrouvons l'une des plus ancienne adversaire de Wonder Woman : le Dr Poison incarné par Elena Anaya
Et Arès dans tout ça? Je ne peux pas vous parler de l'antagoniste principale du film sans vous gâcher une partie importante du scénario alors je vais poursuivre et je vous laisse la surprise pour celles et ceux qui n'ont pas encore vu le film.
La bande-son est signé Ruppert Gregson-Williams. Un travail agréable dans l'ensemble mais pas aussi marquant que le thème que Hans Zimmer et Junkie XL ont crée pour Wonder Woman dans Dawn of Justice ("Is she with you?").
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Le scénario a été écrit par Allan Heinberg, assisté par Zack Snyder et Jason Fuchs. C'est un scénariste de comics que j'apprécie particulièrement. Il est le créateur de la série Young Avengers pour laquelle il reçu le prix de la Meilleur Nouvelle Série en 2006. Si le film a des faiblesses, ce n'est certainement pas dans son écriture que vous les trouverez.
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Polémique autour du Film:
Il y a eu plusieurs polémiques autours de ce film. Mais je pense que l'Histoire retiendra seulement deux d'entre elles. L'une assez légère venant d'un public peut-être un peu trop enthousiaste de voir afin un film de Wonder Woman sur grand écran. L'autre concernant le passé de l'actrice principale, Gal Gadot, et ses "engagements politiques".
Lorsque le film est sorti en salle beaucoup ont soupirés : "Enfin une Figure Féminine Forte a avoir son propre film". Je peux comprendre que certain(e)s trépigné(e)s d'impatience. Le personnage de Wonder Woman a été crée en 1941 et appartient à la génération de l'âge d'or au même titre que Superman et Batman mais, même si la super-héroïne a eu droit a plusieurs séries télé, il a fallu attendre 75 ans pour la voir enfin sur grand écran.
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Alors oui, je comprends l'enthousiasme que ce film a pu susciter. Mais, dire que le cinéma n'avait jamais eu de figure féminine forte avant elle, c'est un peu exagéré ! C'est à croire que personne n'a jamais entendu parler Ripley, interprêter par Sigourney Weaver, dans Alien; de Black Mamba (Uma Thurman) dans Kill Bill; de Katniss Evederdeen (Jennifer Lawrence) de la saga Hunger Games ou de la Princesse Leia (Carrie Fisher) de la saga Star Wars...
C'est une bonne chose que Wonder Woman soit afin considéré comme une figure forte de la culture populaire mais il ne faut pas que ça se fasse au détriment de celles qui l'ont précédées sur le grand écran.
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Tout le monde n'a pas partagé l'engouement des fans occidentaux. Entre ses 18 et 20 ans, Gal Gadot a servi dans l'armée de défense d'Israël en tant qu'instructrice (le service militaire est obligatoire à cet âge là en Israël). En 2014, elle a manifesté son soutien aux victimes israéliennes et aux soldats de l'armée d'Israël via Twitter. Les engagements politiques de l'actrice ont valu au film d'être boycotté dans plusieurs pays du Moyen-Orient (Liban, Qatar, Algérie, Jordanie et en Tunisie).
La production de Warner Bros Pictures a largement compensé en conquérant le public chinois lors d'une avant-première à Shangaï le 15 Mai 2017 (trois semaines avant la sortie dans les salles américaines). Ce qui explique peut-être comment le film a engrangé 821,9 Millions de Dollars au Box Office Mondial en moins d'un mois après sa sortie. Plaçant Wonder Woman au top du Meilleur Film racontant l'Origin Stroy d'un super-héros (titre longtemps détenue par le film Spider-man de Sam Raimi sortie en 2002). La princesse des Amazones n'a pas gardé bien longtemps cette place puisqu'elle a été détrôné par Black Panther en février dernier. Wonder Woman est actuellement toujours en deuxième position.
Pour ma part, je ne connaissais ni l'actrice et encore moins ses engagements politiques jusqu'à son apparition dans Dawn of Justice (et n'étant pas un accros des belles voitures, je n'ai jamais vu un seul film de la franchise Fast and Furious). Ce qui m'intéresse dans cette polémique, c'est la stratégie de communication dont ont fait preuves les producteurs, en misant sur le marché chinois pour anticiper les pertes que pouvaient causées le boycott du film. Le cinéma est un art, mais il ne faut pas oublier que c'est aussi une industrie.
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Le Scénario :
Pour une fois, je vais faire simple. Le scénario se divise clairement en trois actes (la mode des Blockbusters de Super-Héros actuels sont souvent en quatre actes avec les scènes post-générique qui préparent aux prochains films.). À la manière de Captain America : the First Avenger sortie en 2011, le film Wonder Woman est un flash-back.
Dans le premier acte, nous découvrons la jeunesse de Diana, son éducation martiale et la relation qu'entretiennent les amazones avec les Dieux de la Grèce Antique, notamment Zeus.
Le rôle des amazones est explicite : protéger l'Humanité de Arès, le dieux de la guerre. Le but que va se fixer notre héroïne est de se préparer à l'affronter. La reine Hippolyte préfère que sa fille reste loin du monde de Hommes parce  qu'ils sont facilement corruptibles. Mais l'arrivée accidentelle de Steve Trevor sur Thémyscira, et des soldats allemands vont perturber le vie des amazones et de Diana. Après une bataille sur la plage, les amazones interrogent l'agent britannique qui expose le contexte de la Première Guerre Mondiale. Malgré le désaccord de sa mère, Diana décide de quitter son île et d'accompagner Steve Trevor pour mettre fin à la guerre en tuant Arès.
Même si la structure de ce premier acte semble très classique, la découverte de Thémyscrira et les prouesses athlétiques des guerrières amazones ont de quoi vous émerveiller. L'héroïne vous apparaîtra comme une femme naïve mais aussi plein de sagesse. Elle parle plusieurs langues et a étudié la philosophie. Pour Diana et les amazones l'harmonie et la paix viennent avec l'étude des langages. L'humour du film est plus subtils que les blagues auxquelles les autres blockbusters de Super-héros nous ont habitué. Il est parfois un peu misandre mais dans l'ensemble bien dosé. En ce qui me concerne, le seul bémol est la blague/remarque à propos de "L'Encyclopédie de Cléo" qui passe difficilement, même après plusieurs visionnages.
Le premier acte s'achève sur une scène en Allemagne où le Dr Poison offre un gaz au Général Ludendorff qui lui donne des capacités surhumaines.
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Le deuxième acte démarre avec l'arrivé de Diana et Steve à Londres. Ayant toujours vécu sur son île, la princesse amazone est vierge de toutes les conventions sociales, et la mettre en scène dans un Londres du début du vingtième siècle donne un enchaînement assez cocasse. Elle s'extasie à la vue d'un bébé, prend Steve par la main en voyant un couple se balader sans comprendre que c'est le signe d'une relation amoureuse. Et la séance de shopping pour lui trouver des vêtements plus "convenable" que sa tenue de guerrière se transforme rapidement en calvaire pour Steve et sa secrétaire Etta Candice.
La scène dans la ruelle est révélatrice du personnage. En plus d'être un bon clin d'oeil du film Superman de 1979, elle définit très bien le caractère de notre héroïne. Là où Clark Kent faisait semblant de jouer le benêt maladroit pour cacher ses pouvoirs, Diana assume complètement sa nature guerrière. Elle ne se cache pas, s'il faut agir elle le fait. C'est un moment important pour le spectateur car à cet instant, nous comprenons que malgré toute sa gentillesse, Wonder Woman trouve sa place au cœur de la bataille et pas dans une soirée mondaine.
Malgré le désaccord avec les généraux londoniens, Steve et elle vont se constituer un petit commando (un peu comme dans Captain America : the First Avenger) pour empêcher l'Allemagne de remporter la guerre grâce à un nouveau gaz mortel. Plus Diana va se rapprocher de la ligne de front, plus elle sera confrontée aux horreurs de la guerre et perdra de sa candeur. Sa colère et sa tristesse atteindront leurs limites à la fin de l'acte lorsque les forces allemandes testent leur nouvelle arme sur des innocents.
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Ainsi s'amorce le troisième acte. Le film possède toutes les scènes de guerre que vous avez déjà vu auparavant. La bataille dans les tranchées, le village occupé à moitié détruit, une mission d’infiltration dans un vieux château... C'est en toute logique qu'il s'achève dans un aérodrome. C'est un classique et donne lieu à une scène avec Steve Trevor qui n'est pas sans rappeler Casablanca.
Le groupe se divise, Steve et son commando partent détruire le gaz pendant que le duel entre Wonder Woman et Arès s'engage. Au fur et à mesure du film, en prenant confiance en elle et en sa mission, notre héroïne voit ses pouvoirs augmenter jusqu'à atteindre un niveau divin qui lui permet de résister au Dieu de la Guerre. Mais c'est en acceptant de croire en l'humanité, malgré tout les drames qu'elle a vu durant son périple, qu'elle arrive à surpasser Arès.
Le film s'achève à la fin du flashback, et nous comprenons implicitement pourquoi la Wonder Woman que nous avons vu dans Dawn of Justice semblait cynique et détachée du sort de l'humanité. Elle vu trop d'horreur, les Hommes qui ont continués à s'entretuer après la Première Guerre Mondiale malgré tout ses sacrifices. La photographie, que Batman à retrouver pour elle, lui rappelle sa rencontre avec Steve Trevor et pourquoi elle était venue dans notre monde. Le film s'achève avec une Wonder Woman bien décidé à reprendre son rôle "d'Ambassadrice de la Paix".
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Alors, on regarde ou pas?
Outre le schéma classique de la "Quête du Héros" cher à Joseph Campbell, Wonder Woman aborde plusieurs thèmes intéressant aux travers ses personnages secondaires. Le droit de votes des femmes avec la suffragette Etta Candice; le personnage de Sameer est devenu soldat car le racisme ordinaire de son époque l'a empêcher d'accéder aux planches et de devenir comédien; et Chief, l'amer-indien qui accompagne Steve et son commando, parle des conséquences de la colonisation sur son peuple avec Diana.
Pour votre culture cinématographique, faites abstraction de toutes les polémiques qui entoure le film. Regardez au moins une fois ce film et découvrez par vous-même pourquoi Wonder Woman fait désormais partie de l'Histoire du Cinéma.
N'hésitez pas à m'écrire pour me donner votre avis sur ce film. À bientôt pour la prochaine Critique Héroïque !
Peter Baker
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movigram-blog · 7 years
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