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#la Ruelle des Cocus
Succomber au charme du Mont Saint-Michel, cette Merveille de l'Occident
Succomber au charme du Mont Saint-Michel, cette Merveille de l'Occident #MontSaintMichel @OTMSMN
Imaginons pendant un moment que vous ne savez pas pourquoi il vous faut prendre la direction du Mont Saint-Michel. Ma mission sera donc de vous aider à trouver votre voie, n’est-ce pas? Si vous n’étiez pas convaincus jusqu’à l’heure, laissez-moi vous étayer mes arguments. La semaine dernière je vous expliquais comment venir au Mont Saint-Michel, il faut bien que cela serve ! Le but de cet article…
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alexar60 · 5 years
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Charo le possesseur
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« Tous ces petits culs ! » pensa-t-il en bavant. Il regardait les communiantes avec un sourire narquois imaginant qu’il puisse palper abondamment leurs fesses ; qu’elles soient roses, blanches, dodues, fermes ou grasses, il aimait posséder les culs. Charo voltigea dans l’église comme un souffle de poussière. Il inspectait chacune, sentant leur parfum pour détecter une pincée de perversion. Il s’arrêta de temps en temps, regrettant de ne pouvoir se présenter physiquement, il restait un esprit et savait frapper quand il le fallait. En prenant de la hauteur, il chercha sa future cible, elle était là, il le sentait !
Les jeunes filles encore adolescentes n’avaient rien d’attirant dans leur tenue de communiantes. Elles priaient en écoutant le prêtre donner l’eucharistie en même temps, Charo avait autre chose en tête à mettre dans leur bouche plutôt qu’un morceau d’hostie. Il épia chaque fait et geste lorsqu’il remarqua l’aura de l’une d’elle. Elle ne brillait pas. Elle ressemblait à une ampoule en fin de vie. Ravi, il l’avait trouvée ! La gamine récitait une parodie de prière. La paillarde murmurait les mots qu’il aimait entendre. Il huma son odeur, il sentit le plaisir monter en réalisant qu’elle sera une sacrée coquine, une future chaudasse. D’ailleurs, il remarqua sa beauté qui fera certainement du dégât parmi les hommes. Le démon s’approcha de nouveau, chercha en volant s’il n’y avait pas d’autres gamines ayant les bonnes dispositions lorsqu’il ressentit un étrange désir. Mais celui-ci était un appel, il y avait  une mauvaise âme dans l’église.
L’attirance augmenta sa respiration. Elle s’amplifiait au point de presqu’être entendu par les paroissiens. Il monta jusqu’au plafond pour trouver la proie qui l’appelait. Elle avait forcément quelque-chose de différent. Durant son rapide retour entre les fidèles, il tomba nez-à-nez avec une ombre noire et suintante. Elle était devant cette forme noire. Il avança au point de la coller, la sentir. Elle puait la luxure, la baise. Dans ses yeux, il remarqua des souvenirs de stupres et d’orgie. La mère d’une des gamines trompait régulièrement son mari et il avait envie d’y goûter.
Entre le cocu et un homme complètement inconnu, il choisit le second assis à la gauche de la garce. Il avait envie de jouer. D’ailleurs, il remarqua de suite par son aura grise et hésitante sa timidité naturelle. Il était effacé auprès de sa femme, un soumis digne des plus grand paillassons. Dès lors, il entra très facilement dans son esprit faible. Il aimait entrer dans le corps des hommes même s’il préférait certains animaux tels que le cerf ou l’étalon. A la différence, les hommes imprégnaient son désir de leur envie,  leur force, leur qualité ou leur défaut. Il tourna lentement la tête pour observer cette femme qui l’enivrait. Il sourit simplement avant d’effleurer son bras du bout des doigts. L’effet électrisant suffit pour qu’elle réagisse. Elle le connaissait uniquement comme étant le père d’une copine de sa fille. Avant, elle ne l’avait jamais considéré être un potentiel amant mais à ce moment, elle réalisa qu’il pouvait être séduisant. Il avait la beauté du diable en lui. Sa main toucha une seconde fois le bras, descendant long de son tailleur. Elle sentit qu’il insistait. Elle frémit, espérant que personne ne s’en rende compte. Elle sentit quelle-chose remuer en elle, la chaleur commençait à consumer son bas-ventre. Soudain, il pencha la tête pour murmurer qu’il l’attendrait dehors. Dès lors, elle regarda cet homme s’excuser auprès de sa femme prétextant une envie de prendre l’air parce qu’il se sentait mal. Elle le regarda partir, matant son cul serré dans un pantalon démodé et trop court. Il était ridicule mais si attirant !
Au moment de chanter l’Ave Maria, elle profita que l’assemblée soit debout pour se soustraire sans être remarquée. A peine franchit-elle la grande porte qu’elle chercha sa présence, tournant la tête comme une chouette en quête de nourriture. Il était au coin d’une ruelle, il attendait en fumant une cigarette. Elle approcha, un sourire retenu, le regard de braise, elle devinait qu’il pouvait être un bon coup. La ruelle ressemblait plus à une impasse qu’une vraie rue. Ici, ils étaient certains de ne pas être dérangés. Il recula pour se cacher derrière des bennes, elle accompagnait ses pas avant d’être prise par la taille, obligée de coller son dos contre lui. Lentement, il caressa ses cuisses et son sexe qui mouillait sa culotte. Elle frissonna de désir, la chaleur devint intense. La bourgeoise remonta son tailleur bleu marine dévoilant son porte-jarretelle et d’un geste brutal, il pencha son corps obligeant sa compagne du moment à s’agenouiller. Ses mains touchèrent le sol encore détrempé par l’urine d’un clochard qui avait ses habitudes dans le coin. Il remonta sa jupe, pétrit ses fesses, enleva le slip de l’amante avant de caresser ses orifices offerts à l’aide de ses doigts. Elle suintait la baise au point de luire entre les jambes. Elle leva la tête, ravie, honteuse, heureuse, méprisable, elle sentit l’extase l’envahir. Puis, sans tarder, il dégaina son sexe raide qu’il enfonça dans l’anus de la pauvre femme, la faisant crier de douleur. Il lima à un rythme progressif, soutenu. Son sphincter brulait, le mal entrait en elle jusqu’aux entrailles. Pourtant, elle gémit, ressentant dans cette souffrance un plaisir certain. Elle chercha à se frotter le clitoris mais il l’attrapa par les cheveux et s’enfonça jusqu’à la garde. Il souriait, dévoré par des pensées lubriques, il profitait de la frustration de son hôte pour renforcer sa jouissance. Il savait tout le mal qu’il pensait de son épouse, il s’imaginait en train de l’enculer dans l’église. Dans son délire, Charo laissa filer un trait de bave le long du menton. Soudain il enleva son sexe, offrant un peu de répit à l’œillet élargi. La mère souffla mais ne se sentait pas comblée. Elle attendit à quatre pattes, l’odeur de la pisse montait à ses narines ; une odeur insoutenable d’ammoniaque et de mauvais vin lui vint à l’esprit.
Charo se fixa devant elle. Il balança son sexe toujours dur et tapa avec sur le visage de la dame infidèle. D’abord sur le front, la joue gauche ensuite la droite en disant : « Au nom du père, du fils et du saint esprit ». Ensuite, il enfonça sa bite dans la bouche ouverte de sa maitresse en disant : « Amen ! ». Il baisa entre ces lèvres sensuelles, s’enfonçant en remuant les hanches. Il tenait la tête dans les mains afin qu’elle ne puisse bouger. Le gland cognait la luette, la mâchoire de sa conquête acceptait de rester grande ouverte malgré l’envie de se refermer par instinct pour se défendre contre ses coups de butoir. Soudain, il arrêta gardant sa verge dans la bouche. Elle essaya d’enrouler la langue autours lorsqu’une puissante giclée chaude et amère remplit sa gorge. Elle essaya de se sortir de cette inondation d’urine. Son menton dégoulinait de pisse, elle faillit s’étouffer, recrachant une partie par les narines, il était ravi de sa surprise. Une fois terminé, il retira son pénis devenu gluant de bave, de mouille et d’urine. Elle se pencha pour vomir à cause du goût qui retournait son estomac. Tout le petit-déjeuner y passa, projeté en un jet rapide sur le goudron. Cependant, elle n’eut pas le temps de se remettre qu’il la chevaucha de nouveau, écartant sèchement son orifice anal moins résistant. Il reprit sa cadence infernale, l’obligeant à se courber en agrippant ses cheveux.
La joue collait à la flaque de bouilli. Elle ne pouvait plus bouger, recevant les attaques répétées de Charo. Il claquait ses fesses à les faire rougir. Il aimait humilier les femmes adultères. Alors, il continua de limer en ne prononçant qu’un seul mot : « Lèche ! ». Sans contester, la femme frotta la langue sur le bitume couvert d’une légère couche marron à l’odeur de bile et de pisse. Il pensa à ces culs qui récitaient des psaumes dans l’église, il accéléra le rythme malgré les soudaines implorations de sa soumise. Tout-à-coup, elle sentit le sperme se projeter dans son ventre. Il resta en elle, râlant le temps d’être certain que toute la semence était partie. Puis, il changea d’orifice pour faire seulement trois allers-retours, juste pour enflammer son clitoris, et il se retira. Il était certain de la revoir, elle le réclamera !
Elle ne se releva pas immédiatement. Elle essuya d’abord son visage luisant et barbouillé et se recoiffa ensuite. Elle regretta son bas troué à hauteur du genou, victime de ce moment brutal avant de rejoindre sa famille en titubant légèrement à cause de ses talons hauts. En marchant, elle sentait le sperme couler de son fondement. Charo eut le temps de partir vers la voiture du possédé et une fois dedans, il quitta ce corps devenu inutile, laissant l’homme se reposer persuadé avoir rêvé. Après, le démon vola tel un nuage de fumée vers les paroissiens qui sortaient sur le parvis de l’église. Il s’approcha, encercla sa proie encore jeune. Il sentait en cette Lolita, les capacités nécessaires. D’ailleurs, il remarqua la petite œillade au grand frère d’une copine. En l’espace d’un instant, il perçut la sensation de pouvoir dont elle était consciente. C’était pour bientôt ! Encore un an, peut-être deux ! Il ne restait plus qu’à trouver le bon corps. Celui du garçon était entouré d’une aura trop brillante, trop propre ; il fallait quelqu’un d’autre : un cousin, un oncle peut-être, un ami du père. Il trouva peu après le repas de communion en voyant le comportement de la jeune fille pendant une discussion avec un voisin qui la félicitait. Ce sera lui, un père de famille ! Charo aimait afficher en public la dépravation de monsieur tout le monde. C’était son rôle de démon lubrique.
Alex@r60 – février 2020
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mmepastel · 4 years
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https://youtu.be/9Ox0Dnpiga4
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Alors alors... pour des raisons diverses j’ai aujourd’hui le cœur lourd, mais ça n’a aucun rapport, au contraire, avec le film que j’ai vu hier soir. Alors je vais essayer de retrouver la légèreté éprouvée en regardant ce film.
J’adore Christophe Honoré et les films que j’ai vu de lui (pas tous encore), et j’avais un peu peur, parce que Les chansons d’amour, justement, je ne sais pas combien de temps il a fallu pour que je m’en remette, tant j’avais été bouleversée.
Là, le sujet pouvait faire peur aussi (un couple usé, une femme volage, la séparation envisagée, un bilan de vingt ans de vie commune, les choses qui auraient pu arriver AUTREMENT)... mais non, c’est passé comme une lettre à la poste... et c’est à la fois très agréable et presque perturbant (j’y reviendrai).
Le film est élégant, enlevé (principalement grâce à Chiara Mastroianni qui est très drôle, et à Vincent Lacoste, déconcertant de naturel en toute situation). La nuit de réflexion que s’offre Maria à l’hôtel en face de chez elle (avec vue plongeante sur son mari dévasté -BB en personne- par ses infidélités qu’il apprend brusquement), est virevoltante, étourdissante de fantaisie et d’audace narrative. J’ai beaucoup aimé la nostalgie clairement annoncée avec le standard déchirant d’Aznavour « Désormais », la ruelle parisienne et son cinéma (sous l’appartement du couple en crise), l’hôtel décati et néanmoins ouaté, le côté artificiel délibéré quant aux décors, aux lumières, et le retour chaotique du passé de Maria en chair et en os dans sa suite.
C’est très drôle comme idée, de voir Vincent Lacoste juger sa femme et en même temps lui retomber dans les bras avec sa vigueur de jeune homme. L’idée des amants de Maria qui débarquent est drôle aussi, mais voilà, voilà, ce sont des idées. C’est drôle, c’est fin, mais ça manque d’incarnation. L’idée de l’ancien amour de Richard (le mari cocu), incarné par Camille Cottin qui débarque avec des envies de récupérer celui-ci, et la terrible et déchirante idée de l’enfant qui aurait pu venir de cette union (l’alternance poupée, vrai enfant m’a glacé le sang), était aussi intéressante, mais mais... je ne sais pas, ça n’a pas totalement fonctionné pour moi (je ne sais pas si c’est parce que c’était Camille Cottin coiffée chic coincée, mais quelque chose dans ce personnage n’allait pas). Il m’a semblé que tout ce ballet savamment orchestré manquait de réelle incarnation. La seule qu’on sent vivante, palpitante, c’est Maria, mais après on la perd un peu de vue avec les autres duos qui restent un peu éteints. BB incarne parfaitement son rôle à contre-emploi : mari amorphe, habillé en short vilain et grosses chaussettes, il fait de la peine, un peu.
Mais globalement, l’émotion n’est pas là. J’avais peur d’en éprouver trop, me voila à regretter de n’en avoir pas assez. Honoré n’était pas loin du coup de maître s’il avait réussi cette farce au sujet passionnant sans perdre l’émotion dans le tourbillon malin qu’il avait concocté. Le début est si beau, avec Maria qui marche joyeuse dans la rue et qui se rince l’œil sur les beaux garçons. La fin, aussi, m’a beaucoup plu, avec une nouvelle donne qui se dessine, sous l’impulsion de Maria d’envisager son mari comme une option face à laquelle elle est « LIBRE », donc ouverte ; le couple engourdi pourra peut-être dévier vers cette liberté nouvelle... c’est bien vu, et assez porteur d’espoir. Joli.
Bref, j’ai beaucoup aimé l’amusement des acteurs, palpable, dans cette comédie douce-amère. Mais l’artifice, plein de peps et d’audace, a, selon moi, freiné une pleine connaissance des personnages (trop nombreux, effleurés) et a empêché l’émotion, trop souvent.
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3cvinci · 5 years
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Sélection de décembre : le polar historique.
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La Mort n’est pas une fin, Agatha Christie :
Elle est bien belle, la concubine qu’Imhotep a ramenée de son voyage dans le nord. Mais elle n’est qu’une étrangère, et on ne l’aime pas. D’ailleurs, depuis qu’elle a ensorcelé le maître, rien ne va plus au domaine. Et ce démon va finir par décider de tout si l’on n’y prend garde : il faut agir avant qu’il ne soit trop tard. Si elle venait à disparaître, le cœur d’Imhotep retournerait à ses fils. Il suffirait d’écraser le serpent, et tout redeviendrait comme avant ! Mais est-ce bien certain ? Le mal vient-il vraiment de l’étrangère ? On dirait qu’un poison intérieur ronge la maison du maître...
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Fauve, Viviane Moore :
Alors que l’hiver glace la mer et que le vent souffle en tempête, drossant les navires sur la côte, une bête fauve ravage la cité neuve de La Rochelle. Un assassin que ni les hommes du prévôt, ni les templiers n’arrivent à capturer. Dans les ruelles retentit une comptine d’enfant. La malédiction prend la forme d’une statue honorée par un être tenant plus du spectre que de l’humain. Crime de sang, passion, pouvoir, corruption ! Le chevalier Galeran de Lesneven devra aider les templiers à faire toute la lumière sur les meurtres qui souillent la paix de La Rochelle et de leur commanderie.
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Les Incorruptibles, Brian de Palma :
À Chicago durant les années trente, lors de la prohibition, Al Capone règne en maître absolu sur le réseau de vente illégale d'alcool. Décidé à mettre un terme au trafic et à confondre Al Capone, l'agent Eliot Ness recrute trois hommes de confiance, aussi intraitables que lui. Ensemble, ces quatre incorruptibles partent en guerre contre le gang de Capone.
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Élémentaire, ma chère Sarah !, Jô Soares :
1886. L’actrice Sarah Bernhardt fait une tournée triomphale au Brésil. Sommet de son voyage, sa rencontre avec l’Empereur, hélas affligé par le vol du Stradivarius qu’il vient d’offrir à sa maîtresse. Pour Sarah, un seul homme est capable de sortir l’Empereur d’embarras : un étrange Anglais dénommé Sherlock Holmes. Répondant à l’appel de son amie, il débarque à Rio, flanqué de son éternel Watson et affublé de sa casquette à carreaux. Mais la chaleur tropicale, la cuisine épicée, les belles métisses et le cannabis, qui immanquablement vient emplir sa pipe, plongent le célèbre détective dans un brouillard plus épais que le fog londonien.
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Nestor Burma : brouillard au Pont de Tolbiac, Tardi, d’après le roman de Léo Mallet :
Alors qu'il se rend en métro à un mystérieux rendez-vous à la Salpétrière, Nestor Burma est abordé par Belita, une jeune Gitane qui le dissuade d'y aller : c'est inutile, l'homme est mort. Mais ce n'est pas un cadavre qui va arrêter notre détective…
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La Trilogie Berlinoise, Philip Kerr :
Berlin, 1936 : Bernie Gunther, ex-commissaire de la police berlinoise, est devenu détective privé. Désabusé et courageux, perspicace et insolent, Bernie est un homme solitaire, témoin de son époque. Des rues de Berlin “nettoyées” pour offrir une image idyllique aux visiteurs des Jeux Olympiques à celles de Vienne la corrompue, Bernie enquête... à ses risques et périls.
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L’Éclat de Dieu, Romain Sardou :
Plus encore que le Graal ou l’arche d’alliance, l’Éclat de Dieu suscite bien des convoitises depuis la nuit des temps. A celui qui le possède sont en effet promis la compréhension des mystères de l’univers, ainsi que la connaissance et la puissance absolue. Sous couvert d’assurer la protection d’un immense pèlerinage vers Jérusalem, neuf chevaliers francs entreprennent cette audacieuse quête. Mais peu avant le départ, l’un d’eux est assassiné : Cosimo, son neveu, se joint donc à l’expédition pour tenter de découvrir le coupable. Mais Il va devoir redoubler de vigilance et d’habileté pour survivre à cet affrontement de forces qui le dépassent...
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1275 âmes, Jim Thompson :
Shérif de Pottsville, 1280 habitants, Texas, au début du vingtième siècle, Nick Corey mène une vie routinière pas trop fatigante dans la mesure où il évite de se mêler des affaires de ses administrés. Débonnaire, apparemment pas très malin, il se laisse même contester et humilier en public. Comme si ça ne suffisait pas, il est cocu et, aux prochaines élections, il pourrait perdre sa place. Il décide donc de commencer à faire le ménage…
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L.A. Confidential, James Ellroy :
Trois flics dans le Los Angeles des années 50 : Ed Exley veut la Gloire, Bud White est une bombe à retardement munie d’un badge et Jack Vincennes, dit “Poubelle” terrorise les stars de cinéma pour le compte d’un magazine à scandales. Trois flics, trois hommes pris dans un tourbillon cauchemardesque qui testera leur loyauté, leur courage et le peu d’intégrité qu’il leur reste. Trois flics qui pourraient bien tomber un à un...
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Blacksad, tome 2 : Arctic Nation, Juan Díaz Canales & Juanjo Guarnido :
Oldsmill, le maître de la ville, est un tigre blanc. Karup, le chef de la police, un ours blanc. Huk, l'âme damnée de Karup, un renard blanc. Blanc, blanc, blanc, blanc. A leurs yeux, tous les autres habitants, de la pie noire au renard brun-roux en passant par le chat tacheté et la biche châtain, ne sont que racaille. Et si la police n'est pas capable de maintenir l'ordre des blancs, les gros bras d'Arctic-Nation, cagoulés et vêtus de robes blanches, s'en chargent sans états d'âme. Blacksad, chat plus noir que blanc, va devoir se frotter à eux s’il veut retrouver, avant qu’il ne soit trop tard, une petite fille disparue.
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L’Aliéniste, Caleb Carr :
New York, 1896... Un meurtrier auprès duquel Jack l’Éventreur fait piètre figure sème aux quatre vents les cadavres d’adolescentes atrocement mutilées, sans provoquer la moindre réaction des pouvoirs publics... Révolté par tant d’indifférence, Théodore Roosevelt, alors préfet, fait appel à ses amis John Schuyler Moore, chroniqueur criminel, et Laszlo Kreizler, spécialiste des maladies mentales, pour élucider cette énigme terrifiante. Leur méthode est révolutionnaire : en étudiant les crimes, ils pensent pouvoir brosser le portrait psychologique de l’assassin, l’identifier et l’arrêter. Mais ils doivent faire vite, car le meurtrier continue de frapper.
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Les deniers du Gévaudan, Laetitia Bourgeois :
En octobre 1363, dans le village cévenol de Marcouls, noyé de brouillard et de givre, les paysans luttent quotidiennement pour leur survie. Lorsqu’un collecteur d’impôts est porté disparu, toute la communauté est immédiatement soupçonnée. Mais un jeune habitant du village, Barthélémy, sergent de justice obstiné et risque tout, prend l’affaire en main avec l’aide de son amie Ysabellis, guérisseuse aussi rebelle que talentueuse. Ils n’ont qu’un semaine pour découvrir la vérité, sans quoi les habitants de la vallée seront soumis à la terrible “question” dans les geôles du château seigneurial.
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Ostland, David Thomas :
Berlin, 1941. Le jeune et ambitieux Georg Heuser entre dans la police en tant qu’inspecteur à la brigade criminelle. Il est rapidement affecté à la traque d’un tueur en série qui terrorise la ville. Sous la tutelle de son supérieur et mentor, il affirme ses dons d’enquêteur, apprend la loyauté envers ses collègues et jure d’œuvrer toujours au service des innocents. Jusqu’au jour où, pour le récompenser, on le promeut au sein de la SS...
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Le Der des Ders, Tardi, d’après un roman de Didier Daeninckx :
Avant guerre, Eugène Varlot s'était frotté à pas mal de petits boulots : mécano, imprimeur, libraire, comédien. Après avoir "fait son devoir" comme tant d'autres pauvres gars embarqués dans la plus grande boucherie de l'Histoire, il se retrouve sur le carreau. Un peu par hasard, il est devenu détective. Installé en ménage avec la belle Irène qui panse à sa manière les blessures de son âme, il accepte ce qu'il croit n'être au début qu'une enquête de routine sur un banal adultère. Son commanditaire : le colonel Fantin de Larsaudière, de l'héroïque 296ème Régiment, le plus médaillé de toute la guerre. Mais Varlot va vite s'apercevoir qu'il sert d'alibi à une sordide histoire de chantage...
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Trafic de reliques, Ellis Peters :
Frère Cadfael fait partie d'une délégation religieuse qui se rend au Pays de Galles pour ramener à l'abbaye bénédictine de Shrewsbury les reliques de Sainte Winifred. Les tractations avec les Gallois sont difficiles. Pendant le séjour, Rhisiard, leader de l'opposition au transfert, est assassiné. Immédiatement son pauvre serviteur, amoureux transi de sa fille, est désigné coupable. Mais frère Cadfael n’est pas de cet avis, et se prépare à mener l’enquête...
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Penelope Green, tome 1 : La Chanson des enfants perdus, Béatrice Bottet :
Penelope Green, unique héritière du journaliste James Alec Green, décide de reprendre une enquête de son père : le mystérieux dossier FOXGLOVE COURT. Quel terribles secrets va-t-elle découvrir dans les bas-fonds de Londres ?
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La Table des matières, Sylvie Fayet-Scribe :
Qui a torturé puis assassiné Margaret Penfield, respectable bibliothécaire américaine ? Et pourquoi ? Avait-elle identifié la plante qui promet l'immortalité décrite par Hildegarde de Bingen au XIIe siècle ? Pour Laurette Lerbier, révéler au grand public le nom de cette plante fabuleuse serait le point d'orgue de l'exposition sur les jardins qu'elle prépare au Muséum d'histoire naturelle de Paris. Elle se lance donc à la recherche de l'énigmatique source de jouvence. L'enquête la mène dans le monde méconnu des précurseurs d'Internet. Des savants de la Renaissance aux encyclopédistes-mondialistes de la fin du XIXe siècle, en passant par les jansénistes de Port-Royal et les bibliographes révolutionnaires du siècle des Lumières, le but de sa quête ne cesse de se dérober alors que les menaces se font plus précises. Accompagnée de Lucas du Prat, savant botaniste de la police scientifique, Laurette trouvera-t-elle les clefs du mystère ?
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Dissolution, C.J. Sansom :
En 1557, l’Angleterre est déchirée par une violente période de transition religieuse : les réformistes s’apprêtent à dissoudre tous les anciens monastères catholiques, coupables, selon eux, d’idolâtrie obscurantiste. C’est dans cette atmosphère chaotique que Matthew Shardlake, brillant avocat, est reçu au cabinet de Lord Crommwell, chef des réformistes. Ce dernier le somme de se rendre au monastère de Scarnsea, théâtre de rumeurs sordides, dans lequel Shardlake va découvrir le cadavre décapité d’un confrère... Un assassinat inexplicable, des traces de rituel païen, une congrégation frappée de mutisme : l’avocat devra résoudre, une à une, toutes les facettes de cette macabre énigme.
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Meurtres à la pomme d’or, Michèle Barrière :
An de grâce 1556 : François, étudiant en médecine à Montpellier, n’a qu’une idée en tête : devenir cuisinier. Aux dissections, il préfère l’étude du safran, de la cardamone, du gingembre, du macis et autre maniguette sous la houlette de l’apothicaire Laurent Catalan. Mais une série de morts suspectes sème le trouble dans la ville. Un mystérieux breuvage distribué par un apothicaire ambulant en est la cause. Laurent Catalan, en raison de ses origines juives et de ses sympathies pour les protestants, est accusé de complicité et jeté en prison. François mène l’enquête jusqu’à Bologne. Parviendra-t-il à sauver son mentor ?
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L’Affaire de l’auberge rouge, Stéphane de Caneva, Julien Moca & Didier Quella-Guyot :
Plateau de Peyrebeille, campagne ardéchoise, dans les années 1830. Pierre et Marie Martin sont aubergistes. Les rumeurs les plus folles courent sur leur compte ! On les accuse de détrousser et d'assassiner leurs clients. D'ailleurs, comment pourrait-il en être autrement au regard de la fortune qu'ils ont accumulée en si peu de temps ? Et leur valet les aide, à tous les coups ! La vindicte populaire a tranché, on doit juger et condamner les Martin. De toute façon, ils sont coupables, tout le monde le sait. Ou l’a décidé, ce qui revient au même...
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Un Fleuve de ténèbres, Rennie Airth :
Nous sommes en 1921, et le jeune Billy Styles va voir ses débuts dans la police marquée par une horrible expérience. Dans un manoir de la campagne du Surrey, on vient de découvrir les corps ensanglantés du colonel Fletcher, de sa femme Lucy et de deux de leurs domestiques, sauvagement poignardés. Pour les policiers du Surrey, ces meurtres sont le résultat d’un cambriolage qui aurait mal tourné. Appelé de Scottland Yard en renfort, l’inspecteur Madden voit les choses différemment : ce crime, il en est sûr, est l’œuvre d’un psychopathe qui frappera à nouveau. Sans tarder.
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Le Serpent de feu, Fabrice Bourland :
Tandis que les rues de Londres déploient tous leurs atouts pour le couronnement prochain de George VI, les détectives Singleton et Trelawney se retrouvent lancés sur les traces d’une momie mystérieusement disparue. Une affaire d’autant plus insolite qu’elle semble liée au meurtre d’un politicien qui met tout Scottland Yard en alerte... En ces jours où la ville entière est à la fête, les morts s’aviseraient-ils de se relever de leur sépulcre pour se mêler des affaires des vivants ?
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L’Ensorcelée, Jules Barbey d’Aurevilly :
Les lendemains de la Chouannerie. Dans une atmosphère de campagne barbare où interviennent des pâtres jeteurs de sorts et des vieilles femmes hantées par le souvenir de leurs débauches, Jeanne Le Hardouey est “ensorcelée” par un prêtre, l’abbé de La Croix-Jugan, dont le visage porte de terribles cicatrices. Lorsqu’on retrouve Jeanne noyée, les tensions se cristallisent et la mort frappe à nouveau...
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Breaking the wall, Claire Gratias :
Juillet 1989. A Berlin-Est, Markus Schloss se réfugie dans un mutisme incompréhensible tandis que Klaus Weber, qui vit à l’Ouest, se laisse convaincre par une jeune documentariste française de raconter pour la première fois son passé. Mais pour comprendre le lien entre les deux hommes, il faut connaître l’histoire d’Anna...
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Le Secret de l’étrangleur, Tardi, d’après un roman de Pierre Siniac :
Paris, 1959. Dans la capitale plongée en plein brouillard, un étrange étrangleur rôde. Mais que fait la police ? Elle fait grève, permettant ainsi à l'étrangleur d'accomplir ses odieux forfaits. Tardi délaisse le Nestor Burma de Léo Malet pour mettre en scène sa vision de Monsieur Cauchemar, un roman signé Pierre Siniac. Humour noir, dénouement à tiroirs et pavés luisants : du grand Tardi ! 
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Le Nom de la rose, Umberto Eco :
En arrivant dans le havre de sérénité et de neutralité que devrait être cette abbaye – admirée de tout l'Occident pour la science de ses moines et la richesse de sa bibliothèque, l'ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire Adso de Melk, se voit prié par l'Abbé de découvrir au plus vite ce qui a poussé un de ses moines à se fracasser les os au pied des vénérables murailles. C'est le premier des sept morts qui seront scandés par les heures canoniales de la vie monastique. Ces décès tragiques sont-ils un signe divin de l’apocalypse à venir ? Où sont-ils les résultats de machinations bien humaines ?
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Le Nom de la rose, Jean-Jacques Annaud :
Sous la direction de Jean-Jacques Annaud, le célèbre roman lyrique d'Umberto Eco se mue en palpitant thriller gothique. Dans une atmosphère d’ombres grotesques et de faux-semblants, Sean Connery campe un surprenant apôtre de la Vérité face à ses confrères obscurantistes et sans scrupules.
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shtarplatinium-blog · 8 years
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新宿区 - Shinjuku-ku
Shinjuku est considéré comme le quartier central de Tokyo. La gare JR est immense et quasiment toutes les lignes s’y rejoignent.
Les activités sont très diverses, dites vous que d’un côté, c’est le coin affaires avec les bureaux et de l’autre, le quartier “chaud”, kabukichô, au milieu, une concentration de magasins ! D’ailleurs, tout est relatif, un quartier dit “chaud” là bas est en réalité assez calme. Que faire à Shinjuku ?
visiter la gare : la gare de Shinjuku n’est pas une gare banale, en plus d’être la première gare mondiale par ses 3,7 millions d’usagers quotidiens, c’est une vraie installation complète, comme une galerie commerciale !  Vous y trouverez des magasins et restaurants à l’étage, un petit marché au sous sol, c’est un vrai dédale avec ses 200 sorties. Je vous conseille d’aller au sous sol, vous pourrez acheter des bento (ok c’est un peu plus cher d’environ 600 yen) mais vous pourrez le composer avec les produits que vous verrez en vitrine. 
sortir à Kabukichô : le quartier “chaud” de Tokyo, j’y suis souvent sortie et il est totalement sûr, vous ne risquez rien tant que vous ne suivez pas les “chasseurs”, qui sont les hommes qui vont vous embarquer dans leurs bars à hôtesses. Comme je vous l’avais conseillé plus bas, le HUB est un pub vraiment sympa, l’ambiance y est bonne et les serveurs au top, je vous le recommande.
visiter Golden Gai : Golden gai désigne le petit regroupement des petits bars familiaux typiquement japonais. Ils sont tous collés les uns avec les autres. Certains n’acceptent pas les gaijin, et font payer une taxe d’entrée. Néanmoins, si vous trouvez le bon bar où vous poser, vous apprécierez forcément l’ambiance.
faire les magasins : vous en trouverez partout, vous verrez même un magasin nommé “COCUE” ou encore “PAS DE CALAIS” dans l’intérieur de la gare ahahah
se poser dans un café : commandez et asseyez vous près de la fenêtre pour regarder la vie tokyoïte et les passants pressés. La vie vous paraîtra comme dans un clip.
aller à Shin Okubo : pour les amoureux de la culture coréenne, Shin Okubo est la Korean Town de Tokyo, vous y trouverez tout : spécialités coréennes, petits snacks coréens, bars, magasins ... tout ça à Shinjuku !
marcher au Shinjuku Gyoen : immense parc magnifique à 2 pas de Shinjuku, où vous trouverez un café au centre pour vous ressourcer. Les sakura en fleur valent le coup d’oeil.
l’observatoire de la mairie de Tokyo : gratuit (les bons plans gratuits oui oui), au 45ème étage, vous aurez une vue de l’ensemble de la ville.
perdez vous : marchez sans savoir où vous allez ! En étant perdues dans une petite ruelle près des bureaux, nous sommes tombées sur un petit temple. Tant de surprises à découvrir !
J’ai aimé le quartier de Shinjuku, surtout pour sa vie nocturne. Vous trouverez tout dans ce quartier, il est extrêmement riche mais plus “posé”, dans le sens où il y a le quartier des affaires qui rappelle La Défense en France. Il détonne moins que Shibuya ou Harajuku, mais n’en reste pas moins important.
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Les Lettres de l’Autre Côté
F. & J.
sur une idée de J.
Si un jour vous croisez Hector au hasard d'un comptoir, demandez-lui donc des nouvelles de sa collection. S'il est dans un bon jour - ce qui est probable - et s'il a encore les idées claires - ce qui l'est moins - peut-être qu'il vous en montrera quelques pièces, celles qu'il garde toujours sur lui. Je vous promets un sacré détour, pour peu que vous soyez pas un de ces blasés de la classe moyenne... Auquel cas c'est pas la peine de vous attarder ici au boulevard de l'Insolite, merci Messieurs-dames. Vous allez voir du pays, et pas de ceux qu'on a souvent l'occasion de visiter. Son truc, à Hector voyez vous, c'est les lettres de suicidés. "C'est morbide, Monsieur" que vous allez me dire. D'abord, est-ce que j'ai vraiment une tronche à me faire appeler "Monsieur" ? Je ne crois pas. Et d'une. Deuzio, voyez plutôt : imaginez donc un type désespéré, un suicidaire comme on dit. Il vient de s'acheter un revolver, y'a encore l'étiquette comme si ça sortait de chez Monop'. Il est tout fébrile assis devant son bureau, paré à se brûler la cervelle. Et là, qu'est ce qu'il fait ? Je vous le donne en mille, il pose bien gentiment son pétard, attrape sa plus belle plume, et écrit ses quatre fantaisies sur papier velours. Sys-té-ma-tique. Ça vous tracasse pas ? Y'a pas un cloche qui sonne faux dans l'histoire ? Hector, ça le tracasse lui. Bien sûr ils racontent pas tous leur vie, y'a des tendances, et il vous en parlera mieux que moi parce que c'est lui l'expert. Mais dans la quasi-totalité des cas, le suicidé s'efforce de laisser un petit quelque chose - à part ceux qui ont vraiment rien à raconter, ça c'est triste... À la vôtre... Encore que faudrait pouvoir discerner ceux qui ont pas trouvé de stylo à temps, pas facile. Alors je vous vois venir, vous avez tout lu Freud, vous allez me dire "C'est une question d'ego, ils veulent qu'on s'occupe d'eux, qu'on les oublie pas, etc." mais tout ça c'est du bla-bla, y'a pas que les égocentriques qui se font sauter le caisson, ça se saurait. Tenez par exemple, le vieux Gaston, y'a cinq ans. Ou six peut-être. Personne était fichu de savoir l’âge qu'il avait, mais pour sûr il était plus de la première fraîcheur. Jamais un mot plus haut que l'autre, parfois pas un mot du tout - "taiseux" qu'on pourrait dire. Pas du genre à monopoliser les ondes pour parler de sa pomme, vous devinez bien. Tous les six mois il allait chez le toubib, réglé comme une horloge. Et tous les six mois l'empaffé de gourou lui donnait une ou deux saisons à vivre, pas plus. Ça manquait jamais... "Gaston-Trompe-La-Mort" qu'on l'appelait en rigolant ; un jour il en a eu sa claque de vivre comme ça, en sursis, puis faut dire qu'il commençait à être fauché à force de payer sa "dernière tournée" tous les quatre matins. Juste après être rentré de chez Môsieur la Science, il a chargé sa Remington et boum, aller simple pour les pissenlits. Il a laissé une note, évidemment sinon je me ferais pas suer à raconter en y mettant les formes. Belle calligraphie, papier à lettre, il avait fait ça bien. Sur le papelard y'avait écrit, je cite, "Merde.", fin de citation. C'est comme ça qu'Hector a commencé sa collection. Après qu'on ait mis le Gaston dans son trou, Fred a fermé le bar pour qu'on y tienne conciliabule. On était là, tous, autour du comptoir, à pas savoir quoi en faire, de la note. Victor disait qu'on aurait dû l'enterrer avec. Fred voulait l'encadrer et l’accrocher au-dessus du bar. Moi j'ai proposé de l'envoyer au toubib par la poste, mais on avait pas l'adresse. Et pis Hector a demandé à la garder, il avait pas l'air dans son assiette alors on lui a laissé. On voulait aussi se cotiser pour payer l'ardoise du vieux : deux mois qu'il picolait à l'oeil, le saligaud. M'enfin Fred avait pas le coeur ; ça ferait un souvenir qu'il disait. Voyez, elle est toujours là, au tableau... Ah ça oui y'a du chiffre. Un sacré soiffard, l'ancêtre. Deux jours plus tard Hector a débarqué complètement tangent, beurré comme un p'tit Lu. Il déblatérait comme on avait jamais vu, pas moyen de l'arrêter. "Le point !" qu'il beuglait, "Quelqu'un peut-il m'expliquer ce bon dieu de bordel de point ?". C'est que vous avez sans doute pas relevé, mais Gaston n'avait pas juste écrit "merde" à la va-vite comme un syndicaliste du dimanche. Il s'était appliqué : merde, point. Avec majuscule s'il vous plaît ! Et en appuyant bien sur le point, tout net. Ça lui en bouchait un coin au Hector. Avouez que ça fait pas naturel ; le mec pressé d'en finir, on se le peint mal en train de faire des ronds de jambes à propos de ponctuation. Remarquez, c'était peut-être un réflexe, une marque de bonne éducation... Allez savoir. Toujours est-il que depuis ce jour là Hector épluche les faits divers et les rubriques nécrologiques. Dès qu'un macab' sent pas le naturel, pfiou, le voilà qui file à la morgue. J'peux vous assurer qu'il est devenu la coqueluche de la moitié des hôpitaux et des commissariats de Paris. La plupart du temps on a déjà refilé la lettre à la famille, mais parfois il s'arrange pour en récupérer une. Les condés et les légistes le prennent pour un allumé, mais comme il fait de mal à personne et qu'il tue pas de chat, ils laissent faire. Maintenant y'en a même quelques-uns qui les mettent de coté pour lui. Et dans le lot, parole, y'a du burlesque. Il en a de belles, dans sa collection. Par exemple, une qu'il garde toujours dans la poche de son veston : un écrivain, pas connu, y'a deux ans ; l'angoisse de la page blanche à ce qu'on raconte, il s'est défenestré. Cinq étages plus mansarde, après avoir foutu le feu à ses manuscrits. Tout ce qu'il a laissé c'est une fiche bristol avec marqué "J'ai toujours pas d'histoire, mais je pense avoir trouvé une bonne chute". Cocasse, n'est-il pas ? Y'a aussi ma préférée, celle d'un mari que venait d'apprendre qu'on l'avait fait cocu. Un post-it, sur la table de la cuisine à coté du rôti qu'il venait de passer l'après-midi à préparer : "Je t'aime. PS : 25 min au four, thermostat 7". Puis il s'est pendu. J'adore. La grande classe. Rien qu'à imaginer la tronche de la bonne-femme ça me fend la poire... Misogynie à part, bien sûr. L'histoire ne dit pas si quelqu'un a bouffé le rôti ; j'espère qu'ils ont pas gâché, ça me ferait mal.
J’dois dire que j’y pense de plus en plus, à ma lettre à moi. Je suis pas en train de raconter, comprenez-moi bien, que j’envisage de me faire sauter le caisson moi aussi. Quel drôle d'interlocuteur vous faites, à essayer de me mettre ce genre d'idées farfelues dans la caboche. C'est comme Hector ça, il s'est mis à fumer le jour où on lui a demandé s'il avait arrêté. Avant il n'y avait jamais songé. Mais supposons que je me mette à penser tout d'un coup: "zig, à quoi bon traîner ta pauvre carcasse d’alcoolique jusqu’au centenaire ?". Et je dis pas ça parce qu'une fois, dans une ruelle sombre du quartier latin, une bonimenteuse m'a prédit que je casserai ma pipe dans mon lit à cent ans tous ronds - rien à voir, circulez... Bon d'accord mais elle pourra pas m'empêcher de mourir avant ! Je lui ai rien signé, moi. Enfin bref. Mon épigraphe à moi je disais. Celle que je laisserais - ça j’ai déjà trouvé - trônant sur le siège des chiottes du bar. Le plus important, c’est d'en lâcher une, de lettre, que toutes les andouilles à la Hector du périphérique parisien s’arracheront. Une pièce hors-norme, un chef d’oeuvre. Je me marre déjà à imaginer les intellos marabouteux du prochain millénaire essayer d’analyser ma missive pour déterminer les éléments de ma pauvre enfance qui m’auront amené, cinquante ou soixante balais plus tard à préférer aller boire avec le Bon Dieu plutôt que ce quarteron de clochards qui me sert de bande de potes... Oui bon plûtot soixante, pour prendre large. Et donc l’autre jour, en écoutant le vieil Albert causer avec Hector, je crois que j’ai trouvé ce que j’y mettrais dans cette lettre. Elle sera dans une enveloppe rouge. Oui, je sais bien, ça se trouve pas comme ça une enveloppe rouge, mais ça ferait réfléchir. Une devrait suffire, a priori. Sur cette enveloppe, j’écrirais en majuscules, parce que ça donnerait de la matière aux psychanalystes, “DERNIERS MOTS D’UN CONDAMNÉ, ”. Oui, virgule, un echo habile à Gaston - habile, je dis. Lui a choisi le point, moi ce serait la virgule. Et dans l'enveloppe, un brin de lavande, comme une évidence.
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servicessecrets · 7 years
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«La recherche du passé m'effraie» 
Portant le nom de code (BOURBON), mais cela reste secret défense – il se prénomme en réalité (JUDE DAWN DECKER) mais il ressemble à s'y méprendre à (TOM HIDDLESTON) [mais ce n'est pas celé dans la pierre]. Il sait comment être (MANIPULATEUR) et (DETERMINE) mais également (MANIAQUE) et (PSYCHO-RIGIDE) c'est pourquoi il est (LE PARFAIT). Il fait parti des Statesman depuis maintenant (6 ans) et nous lui en souhaitons bien plus. 
Mr. (DECKER) est âgé de (36) ans, il est d'ailleurs né dans (UNE CLINIQUE WASHINGTONIENNE) le (01/01/1981), c'est pourquoi il est de nationalité (AMERICAINE), d'ailleurs ses parents sont (GOUVERNEUR & CIVIL). 
 Il y en a, qui dès tout petit, ne sont pas voués à avoir des difficultés dans la vie. Jude fait parti de ceux-là. Il est né à Washington, d'un père politicard et d'une mère avocate. Les premières années de sa vie sont idyllique, les derniers jouets sortis sont pour lui, on lui trouve les meilleurs précepteurs et très tôt on l'initie à la politique et ce qu'elle est. Avec de tels parents, il est impensable qu'il échoue dans quoi que ce soit, il est le meilleur en tout, aux échecs, dans les études, dans les débats politiques… Seulement cette façon de le pousser à chaque fois dans cette perfection factice le rend psycho-rigide et de plus en plus maniaque. Tout doit être parfait, tout doit correspondre à l'idée qu'il se fait de quelque chose, à tel point que ça en devient frénétique, voir quasiment incontrôlable. Mais ses parents ne se rendent pas compte que leur propre enfant contrôle tellement bien  ses émotions, qu'il finit par ne plus les ressentir petit à petit. A ses vingt ans, Jude voit son père devenir gouverneur. La famille parfait fanfaronne, elle parade devant les électeurs ravis. Seulement, tout cela n'est encore qu'une façade, car Mr Decker n'aime plus sa femme et il s'évertue chaque jours que Dieu fait à le lui rappeler en l'humiliant dès que la porte de la maison se referme sur eux. Jude ne dit rien, son avenir est tout tracé, après de grande études, il s'engagera dans la politique, succédera à son père et l'honneur familial sera sauvé. Rien ne de plus facile. C'est d'ailleurs ce qu'il fait, il entame et finalise par la suite de grandes études en politique et se prépare à prendre la suite à la tête de l'empire familial. A bientôt trente ans, ses parents décident de convier les plus beaux parties d'Angleterre et d'Amérique pour marier leur fils. Ca répugne Jude, mais comme on lui a apprit, il s'écrase face à ses parents. Tout aurait pu continuer ainsi, il aurait pu avoir une grosse fortune, une grande maison, une belle voiture...Si il n'avait pas surpris son père entrain de signer des gros chèques à des policiers, le tout, pour que les rues soient nettoyées de la vermine imparfaite. Jude tente d'en parler à son père, il ne se heurte qu'à un : « dans la politique, c'est donnant, donnant. » Il comprend alors sa propre idiotie. Pour lui, la politique sert au peuple, il la sait parfois corrompue mais qu'elle soit jusqu'à son père lui assène le coup de grâce. 
 Sa décision est prise. Il fera tomber son père coûte que coûte, mais son courage sera bientôt salué par une balle dans la tête. Ses intentions furent tout de suite comprises et c'est son père qui ordonne son exécution, son propre père se révèle être en fait la pire des ordures. Jude est donc destiné à crever dans une rue, seul… Allez savoir, peut-être est-ce un coup du destin ou tout simplement une chance de cocue, mais il se réveil dans une base inconnue, soigné et surveillé de près. Une jeune femme est à son chevet lors de son réveil. Elle dit s'appeler Livia sous le nom de code de Martini, elle sourit beaucoup trop pour Jude. Elle lui explique alors qu'elle est un agent secret, un Statesman et qu'elle l'a retrouvé agonisant dans une ruelle avec une balle dans la tête. Le jeune homme a du mal y croire, il ne se souvient de rien, absolument rien. On lui explique que l'agence dispose d'un procédé pour sauver  les statesman atteint d'une balle dans la tête, cette Livia n'a pas hésité une seule seconde. Après son rétablissement, Livia est chargée de tester ces aptitudes,  Jude est sportif mais pas assez pour intégrer les Statesman, comprenant que son avenir ici ne se joue qu'un à seul fil (et terrifié de devoir retourner chez les civils sans le moindre souvenir), il s'entraîne tous les jours jusqu'à l'épuisement. Ses efforts et sa rage de combattre interpelle Champagne qui décide contre tout attente de le former en tant que Statesman. Jude est un excellent élève, il maîtrise les armes aussi bien que le lasso pour certain, il manque peut-être juste d'empathie. Sa nomination en tant que Statesman sous le nom de code de bourbon ne plaît pas à tout le monde, notamment à vodka qui voit en lui un potentiel rival, les deux hommes ne se s'apprécient guère et ceux malgré les efforts constants de Livia pour changer cela. Jude n'a d'ailleurs à ce jour, pas recouvrer la mémoire et c'est peut-être mieux ainsi car son travail n'en est pas affecté. Il a été envoyé avec Saké par Champagne en Angleterre pour aider les Kingsman à remettre l'agence sur pied. ✦ liens à venir
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