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#la tourneuse de pages
jo-mor · 8 months
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la tourneuse de pages (2006) dir. denis dercourt
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my-mt-heart · 2 years
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Are you accepting movie recommendations?
La Tourneuse de Pages (The Page Turner) – 2006.
It's a m a z i n g.
Always accepting recs, ty <3 I'll have to look into it. I don't watch a lot of foreign films to be honest. Actually, I'm not much of a film buff at all. Don't tell anyone D=
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jeannemoreau · 4 years
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Déborah François & Catherine Frot LA TOURNEUSE DE PAGES (Denis Dercourt, 2006)
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funkylittlebidiot · 4 years
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Stephen Strange goes to work as nanny for Tony Stark, famous pianist, and newly single dad. Things are alright, though Stephen rarely sees Tony as he’s always upstairs practicing for his big come-back concert.
But then, his page turner falls ill, and Stephen offers to take their place as he can read sheet music and is quite adapt at playing piano too, before his accident. (The page turner must be very ill as they remain absent over the following months as Tony and Stephen start sharing more and more intimate moments)
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missolitude · 5 years
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I was tagged by @inexprymable to share 10 favourite charactes, thank you so much darling 🤗💓
In no particular order:
1. Dorothy Zbornak (The Golden Girls)
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2. Adora Crellin (Sharp Objects)
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3. Elaine Barrish (Political Animals)
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4. Ingrid Magnussen (White Oleander)
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5. Erika Kohut (La Pianiste)
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6. Ariane (La Tourneuse de Pages)
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7. Bedelia du Maurier (Hannibal)
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8. Vanessa Ives (Penny Dreadful)
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9. Norma Bates (Bates Motel)
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10. Daphne du Maurier (Daphne)
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I tag: @mirandaottos @babymyleopard @vivinicorn  @acutecupidity @lyricswrittenbythesecretdreamer @ronit--krushka @minnie313 @linorraartsies @cassandra-pentughasst @super-vitamin @vivas34 and anyone else that would like to do it! 💞😘
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operazione-paura · 5 years
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La tourneuse de pages (Denis Dercourt, 2006).
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hah89 · 7 years
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Catherine Frot by Jean-Paul Bajard Catherine Frot (born in 1956) photographed by Jean-Paul Bajard. Check her out in the French thriller La Tourneuse de Pages.  Check out Emmanuelle Seigner for Harper's Bazar here
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thessaclaire · 4 years
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#newdrawing 💁🏼‍♀️ It’s the french actress Catherine Frot. Since I watched 2007 the movie “La Tourneuse de Pages”, i know she’s an underrated actress. So it was time to draw her! 🙃
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go-poirier · 4 years
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Quand il a fallu s’attaquer au sujet épineux , qui consiste a brosser le portrait faussement élogieux de pascal toquet , très vite la question (tout aussi épineuse) de savoir par quel bout commencer s’est posée au milieu de notre chemin, comme un jour sans soleil ,comme une raquette de ping-pong posée innocemment sur la table d’un bar de Pattaya,  le jour ou on arrive a bout , et que le viagra est censé booster ce qu’il nous reste d’orgueuil ,pour ne pas regarder la mort en face …..
En effet par quel bout commencer ?
Voilà bien une tache ingrate que de peindre cette personnalité originale a l'ego mal placé , autocentrée , rendue complexe par le mariage d'un idéalisme aveuglement aigre -doux et d'une spiritualité bourdonnante de projets..
par quel bout commencer ? Par le boute en train ? Ça semble évident au premier coup d’oeil , mais quand on s'y penche un peu on débouche  avec délectation sur la deuxième définition du dictionnaire , je cite :boute-en-train  “mâle utilisé pour exciter la femelle mais qui ne saillit pas” , alors là on se dit qu’on risque fort de froisser voir de vexer celui dont on est censé faire l’éloge..
alors par le bout du monde  ? Oui , mais alors par le bout d'un monde sans jardin a l'anglaise , sans balisage repertorié , sans chemin tracé , sans parking d'autobus aux yeux bridés, sans fenetre aux chambres d'hotel , sans touriste framtourisés, sans train climatisés , et surtout sans retour identifié.
par le bout d'un monde comme un festival breton et métissé ,face a la mer d’iroise , avec boubacar traoré mais sans Booba , ou un festival de voyageurs entre fuite et passion , entre boucan et bourrage de mou , entre boussole déboussolée et bouddha bouffon , entre départs et retours ;entre Bouckara et Bourgon , entre boubous sénégalais et boudin ornais.
par le bout de chou ? par le Bhoutan jusqu’au-boutiste ?
par le boui-boui de l’enfance comme un cerf-volant qui tournoie dans le ciel et puis retombe brusquement sur la sable ? Par le bout d'un monde ,par le bout d’un blanc ou le boudin noir ?
par la Bougonnière du fresne ? oui mais alors là on entre dans une dimension irrationnellement bouleversante  ,nostalgiquement sensible , ou deux bouts  de piquet faisaient sens ,comme un but de foot improvisé au milieu des bouses de vaches , ou une boulonnerie jambe de force faisait tabou ,ou un bout de page de la redoute faisait miel , ou un bout de strapontin d'autobus faisait banquette , ou un bout de rien faisait presque tout….sans tabou…
par un bout-rimé sonnant comme un sonnet dans la bouche de Bourima ?
par un bouche trou du vercors décortiqué a tendance érotico-castriste ?
par un bout a bout ? comme une chenille humaine partiellement assemblée et humanitaire sur les pentes enneigées du mont Everest , envisagé comme un possible , dans un bouddhisme débridé sans drapeau ni prières.
en effet par quel bout commencer pour définir pascal toquet ?
alors , a mi-parcours, on s’est dit que  si on n’y arrivait pas par un bout ou par un autre , on pouvait tenter notre chance par la face , mais la encore , la question épineuse  “par quelle face attaquer la montagne toquet ? ” restait entière.
quelle autre solution ? par quelle face attaquer ? doit on le contourner , esquiver la vérité , ne pas le froisser , l’amadouer ?
Doit -on renoncer a la vérité ?
doit on passer sous silence son anarchie fébrile emmiéllée de contradictions , plus souvent rêvée que vue , plus souvent saoulée que bue ?
Doit on attaquer par un face a face ? mais alors être face a face quand on est bout a bout est il physiquement possible sans risquer gros ?
Par la face nord d’une deuxième vie dans le Vercors ?
On l’a vu dans le Vercors , comme un cerf encore…..
Par la face ouest , a écouter un tube de joe Cocker a l'arrière  d'une GT turbo boostée et climatisée , au large de Dourdan , encore endormi , le tete contre la vitre embuée d’air surchargé d’haleines pâteuses et boursouflées .
par la face sud , entre un manitou sur les DOC marseillais  du même nom ,et une belle Kabyle , derviche tourneuse , amèrement facétieuse.
par la face Est d’un Arbois rude en bouche , et terreux comme certains retours d’aurores silencieuses et empattées , au petit gout de noix facilement identifiable , entre la jenlain et le bonnezeau.
par la face A ?
par la face B ?  
Qui est  Pascal toquet ? un Ladakhi reconverti ? un glouzérien a New-Dehli ? un rockeur assujettis ? un rebel “assurance -vie” ?  Un éducateur bientôt reconverti ? Un apiculteur anarchiste et poli ? Un queutard rétréci ? Un marcheur endolori ? Un reveur sans compromis ?
il n’est jamais facile de faire le portrait d’un ami , comme ça ,a bout portant , a bout de fusil , même sans permis , quand les rabateurs sont au comptoir , et que les chiens sont endormis !
Posons nous la question en face :connait on vraiment si bien que ça ses amis ?, ami comptoir sur qui compter, ami  bout portant , ami un jour , ami toujours, a mi-parcours , a cinquante ans , âme Himalaya , amicalement , a mi longueur de tout ,a la mi-temps d’une vie a raconter , ami déclaré de gauche ,ami de gauche , ami de droite , ami mou ,a Miou-miou , ami hier ,ami demain  ,ami culture , apiculteur ,agriculture, ami qui compte, ami mielleux dompteur d’abeilles ,âme hyménoptère ,ami 6 , ami dard -dard ,ami rat ,  ami tartufe bouffeur de touffes ,ami racleur d’océans , ami raide mort amoureux ,ami tout court….
Ami tout court ! a minimum !
Amicalement , c’est la ballade des petits riens , des choses de la vie , sans importance a priori.
petit point sur le i du mot ami sans compromis.
petits “ i “ comme des bougies sur le  gâteau de l’anarchie !
Allez assez tchatcher , la peniche est trop chargée , et depèches toi d'aller embrasser ton père ….........
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flt2-blog1 · 6 years
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Avertissement : ce blog est à vocation culturelle, écrit au fil des jours, et la tourneuses des épinettes contient aussi des images de nudité ( jamais de pornographie). Avant de poursuivre, en cas de questionnement sur le sens, on peut se reporter à « Pages » sur ce site.
C’est un beau film, et on aime les héroïnes, comme aime toujours un peu les films en costume. Ici, le Révolution française est montrée ( jusqu’en 93) avec la volonté de mener le récit  depuis le côté des femmes, et du ” petit peuple”. Les femmes de la Rue.
Le dialogue utilise un nombre impressionnant de documents, tout semble” vrai” et cependant tout est d’un bout à l’autre comme reconstruit par un usage fort( presque trop fort?) des symboles : on démonte les pierres de la Bastille ( moment hélas très carton-pâte) et voici que la Lumière enfin atteint les rues voisines où le Peuple croupissait bien malgré lui dans la pénombre: symbole, les Lumières ( celles tant vantées du 18ème, voir votre Lagarde et Michard!) triomphent.
Voir aussi le très exceptionnel “14 juillet” évoqué par notre aimable ” Tourneuse” Autre moment : deux députés de la Constituante vont rencontrer le roi pour obtenir une signature majeure. Ils entrent au palais, le roi est seul, dans une grande pénombre, éclairé de deux ou trois bougies.  On se souvient des réformes demandées par Necker, viré trois jours avant la prise de la Bastille et qui voulait des ” économies de bouts de chandelle” , c’est à dire qu’on arrête de changer chaque soir les milliers de chandelles qui éclairent Versailles a giorno . Symbole, solitude du pouvoir, obscurité de la monarchie contre lumière émergeante du peuple, etc .
  Les séances de l’Assemblée paraissent incroyablement propres sur elles , mesurées comme des séances de pose au couvent des oiseaux pour jeunes filles sages que le regard jamais ne parviendrait à dénuder .
  On a en mémoire d’autres vociférations, écourtées par…la guillotine.
Bref, on peut voir, mais en sachant que ce n’est PAS une leçon d’histoire, mais une version très personnelle, attachante et “possible”.
François-louis Toffin
La Tourneuse des épiettes 5, le roi et son peuple vont en bateau Avertissement : ce blog est à vocation culturelle, écrit au fil des jours, et la tourneuses des épinettes contient aussi des images de nudité ( jamais de pornographie).
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missolitude · 5 years
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Five films I will never stop watching
Odette Toulemonde (2006)
Flores Raras (2013)
StalkHer (2015)
Stupeur et Tremblements (2003)
White Palace (1990)
Honorable mentions:
Falling in Love (1984), La Pianiste (2001), Professor Marsten and the Wonder Women (2017), The Devil Wears Prada (2006), Alien: Resurrection (1997), La Tourneuse de Pages (2006), Les Soeurs Fâchées (2004), Delirium (2018), Learning to Drive (2014), Carol (2015), Cairo Time (2009), Elegy (2008), Mrs Doubtfire (1993), Loving Annabelle (2006), 1408 (2007), Love Actually (2003), White Oleander (2002), Shall We Dance (2004), Something’s Gotta Give (2003), Brokeback Mountain (2005), Nanny McPhee (2005), The Associate (1996)
I was tagged by @valkyriewarcry thank you 💕
I tag: @ballion, @annatorvsgf, @itslacroixsweetiedarling, @moonylolita, @casteel08, @inexprymable, @novellaqueen, @what-a-nerd24, @cremlim and whoever else that would like to do this 💕
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jeannemoreau · 4 years
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Catherine Frot in LA TOURNEUSE DE PAGES (Denis Dercourt, 2006)
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go-poirier · 5 years
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Quand il a fallu s’attaquer au sujet épineux , qui consiste a brosser le portrait faussement élogieux de pascal toquet , très vite la question (tout aussi épineuse) de savoir par quel bout commencer s’est posée au milieu de notre chemin, comme un jour sans soleil ,comme une raquette de ping-pong posée innocemment sur la table d’un bar de Pattaya,  le jour ou on arrive a bout , et que le viagra est censé booster ce qu’il nous reste d’orgueuil ,pour ne pas regarder la mort en face …..
En effet par quel bout commencer ?
Voilà bien une tache ingrate que de peindre cette personnalité originale a l'ego mal placé , autocentrée , rendue complexe par le mariage d'un idéalisme aveuglement aigre -doux et d'une spiritualité bourdonnante de projets..
par quel bout commencer ? Par le boute en train ? Ça semble évident au premier coup d’oeil , mais quand on s'y penche un peu on débouche  avec délectation sur la deuxième définition du dictionnaire , je cite :boute-en-train  “mâle utilisé pour exciter la femelle mais qui ne saillit pas” , alors là on se dit qu’on risque fort de froisser voir de vexer celui dont on est censé faire l’éloge..
alors par le bout du monde  ? Oui , mais alors par le bout d'un monde sans jardin a l'anglaise , sans balisage repertorié , sans chemin tracé , sans parking d'autobus aux yeux bridés, sans fenetre aux chambres d'hotel , sans touriste framtourisés, sans train climatisés , et surtout sans retour identifié.
par le bout d'un monde comme un festival breton et métissé ,face a la mer d’iroise , avec boubacar traoré mais sans Booba , ou un festival de voyageurs entre fuite et passion , entre boucan et bourrage de mou , entre boussole déboussolée et bouddha bouffon , entre départs et retours ;entre Bouckara et Bourgon , entre boubous sénégalais et boudin ornais.
par le bout de chou ? par le Bhoutan jusqu’au-boutiste ?
par le boui-boui de l’enfance comme un cerf-volant qui tournoie dans le ciel et puis retombe brusquement sur la sable ? Par le bout d'un monde ,par le bout d’un blanc ou le boudin noir ?
par la Bougonnière du fresne ? oui mais alors là on entre dans une dimension irrationnellement bouleversante  ,nostalgiquement sensible , ou deux bouts  de piquet faisaient sens ,comme un but de foot improvisé au milieu des bouses de vaches , ou une boulonnerie jambe de force faisait tabou ,ou un bout de page de la redoute faisait miel , ou un bout de strapontin d'autobus faisait banquette , ou un bout de rien faisait presque tout….sans tabou…
par un bout-rimé sonnant comme un sonnet dans la bouche de Bourima ?
par un bouche trou du vercors décortiqué a tendance érotico-castriste ?
par un bout a bout ? comme une chenille humaine partiellement assemblée et humanitaire sur les pentes enneigées du mont Everest , envisagé comme un possible , dans un bouddhisme débridé sans drapeau ni prières.
en effet par quel bout commencer pour définir pascal toquet ?
alors , a mi-parcours, on s’est dit que  si on n’y arrivait pas par un bout ou par un autre , on pouvait tenter notre chance par la face , mais la encore , la question épineuse  “par quelle face attaquer la montagne toquet ? ” restait entière.
quelle autre solution ? par quelle face attaquer ? doit on le contourner , esquiver la vérité , ne pas le froisser , l’amadouer ?
Doit -on renoncer a la vérité ?
doit on passer sous silence son anarchie fébrile emmiéllée de contradictions , plus souvent rêvée que vue , plus souvent saoulée que bue ?
Doit on attaquer par un face a face ? mais alors être face a face quand on est bout a bout est il physiquement possible sans risquer gros ?
Par la face nord d’une deuxième vie dans le Vercors ?
On l’a vu dans le Vercors , comme un cerf encore…..
Par la face ouest , a écouter un tube de joe Cocker a l'arrière  d'une GT turbo boostée et climatisée , au large de Dourdan , encore endormi , le tete contre la vitre embuée d’air surchargé d’haleines pâteuses et boursouflées .
par la face sud , entre un manitou sur les DOC marseillais  du même nom ,et une belle Kabyle , derviche tourneuse , amèrement facétieuse.
par la face Est d’un Arbois rude en bouche , et terreux comme certains retours d’aurores silencieuses et empattées , au petit gout de noix facilement identifiable , entre la jenlain et le bonnezeau.
par la face A ?
par la face B ?  
Qui est  Pascal toquet ? un Ladakhi reconverti ? un glouzérien a New-Dehli ? un rockeur assujettis ? un rebel “assurance -vie” ?  Un éducateur bientôt reconverti ? Un apiculteur anarchiste et poli ? Un queutard rétréci ? Un marcheur endolori ? Un reveur sans compromis ?
il n’est jamais facile de faire le portrait d’un ami , comme ça ,a bout portant , a bout de fusil , même sans permis , quand les rabateurs sont au comptoir , et que les chiens sont endormis !
Posons nous la question en face :connait on vraiment si bien que ça ses amis ?, ami comptoir sur qui compter, ami  bout portant , ami un jour , ami toujours, a mi-parcours , a cinquante ans , âme Himalaya , amicalement , a mi longueur de tout ,a la mi-temps d’une vie a raconter , ami déclaré de gauche ,ami de gauche , ami de droite , ami mou ,a Miou-miou , ami hier ,ami demain  ,ami culture , apiculteur ,agriculture, ami qui compte, ami mielleux dompteur d’abeilles ,âme hyménoptère ,ami 6 , ami dard -dard ,ami rat ,  ami tartufe bouffeur de touffes ,ami racleur d’océans , ami raide mort amoureux ,ami tout court….
Ami tout court ! a minimum !
Amicalement , c’est la ballade des petits riens , des choses de la vie , sans importance a priori.
petit point sur le i du mot ami sans compromis.
petits “ i “ comme des bougies sur le  gâteau de l’anarchie !
Allez assez tchatcher , la peniche est trop chargée , et depèches toi d'aller embrasser ton père ….........
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flt2-blog1 · 6 years
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Avertissement : avant lecture, si on veut, et par précaution, se reporter aux “pages” du site, sur  la présence des images et leur sens.
  Rien à dire, lire et bouger, marcher en parlant : deux façons de s’explorer les saveurs de l’interne en saupoudrant des bonheurs de l’échange.
Donc, après la déambulation parisienne, Nancy rue de Buci, trois gros jours au bout du fond de la France : une pointe de Normandie dans l’océan.       Évidemment ( les connaisseurs apprécient) on sort des deux fois cinq heures de voiture en pleine déconfiture mentale -malgré les programmes-soutien de France Culture, et grâce aux surprises de la vie. On se trouve imbécile.
J’entends les vigilants du bilan, les compteurs de carbone, bien sûr, mais Paris-Cherbourg en train (si on ose encore nommer ça un train)
(et quand il y a des trains, anciens modèles SNCF, juste si on n’a pas le charbon, et pour le retour, donc pas dimanche soir …)
ça vaut une expédition de corsaire qui aurait un peu oublié de faire signer ses lettres de patente par sa majesté, y’a du grave dans la conséquence possible.
     A vrai dire, c’était immensément joyeux : l’amie en avait invité une trentaine, des ami (e)s
(et des cousins-cousines) pour célébrer la sortie définitive d’une longue série de maladies, des innommables. La famille est originaire d’un tout poétique village voisin, maison de pêcheur pauvre, la grand mère y vit encore plusieurs mois par an.
Fête simple et vraie : pas tant d’argent- même si le champagne a été voluptueusement versé ou l’agneau partagé.
Tout le monde (ou presque) réuni pour repas du soir, et balades éparpillées, depuis la base : un équipement de vigie marine totalement ré équipé par les communes : de la salle de veille, en haut, s’aperçoivent les horizons anglo-normands.
     C’est là aussi qu’on bavarde : cousins qui seront restés au pays ( industrie et activités autour du nucléaire : emplois ), des genres de vie et des modes de pensée vraiment différents mais tout le monde réuni par les navigations communes à la voile au cours du temps. Puis, parmi les petites maisons héritées, plusieurs transformées en gîtes pour urbains voisins et travailleurs épisodiques du nucléaire ( l’usine pas si lointaine : période de «  révision », plus de 1500 personnes en plus pour des mois). 
     Le soir, les nièces ne sont pas venues dire bonjour, mais on peut imaginer les errements du regard. La perspective de vivre traverse les vitrines du sémaphore – surtout s’il est à l’intérieur de soi-même.
     Fête et – retour de longues randonnées sur les chemins de douaniers – images  de micro villages entretenus par le flot d’argent que distribue l’atome à peine domestiqué ( Prévert s’était acheté une maison tout près , c’était Avant l’usine)- je lis et relis.
     Toujours j’ai deux ou trois livres en cours en même temps. Je me dédouble
( et -ici- je m’expose en double : un ami, lisant la première “Tourneuse”, me reprochait d’exposer des nus féminins. Donc, je m’expose double nu masculin !)
     Pas de risque de mélange : quand ils font de vrais livres, les écrivains savent superposer les univers sans les confondre.
     Pendant ce temps, d’autres boivent les verres de lendemain de fête et les nièces sont venues profiter du dernier soleil.
     Rarement, je lis les «prix », et seulement en «poche » ( plus assez de place et trop cher l’édition originale), mais j’ai lu «L’ordre du jour» ( Actes Sud, 2017) : on n’en finit jamais de ré- apprendre la réalité sur le régime nazi, tellement inscrit dans le fond de paysage allemand années Trente…. (je n’arrive toujours pas à comprendre, alors je lis, même des conneries absolues comme ” Hilter et les sociétés secrètes”). J
J’avais lu, il y a trois ou quatre ans “Conquistadors“( Babel, actes Sud), là encore une incroyable épopée taillée dans la montagne de documentation. Une course dans les histoires noires de l’Histoire brutale.
Aussi, dans une de mes redoutables escapades vers les étalages des bonnes librairies, je n’ai pas résisté à « 14 juillet » : c’est la piste de lecture pour ce jour.
Il faut courir après ce  court livre (200 pages, immensément denses et si légères en même temps).
  Vraiment, c’est un bonheur de retrouver la malicieuse adresse et l’incroyable malignité avec laquelle  Eric VUILLARD mène son récit .
  Une documentation de bénédictin ( par exemple les PV de la morgue de Montrouge aussitôt après la prise de la Bastille, et -probablement- la liste des participants repérés à l’émeute) (mais le mélange Histoire/histoires est si réussi qu’on se prend à douter …), une organisation machiavélique de la narration, comme le rappel des jours tout juste précédents (émeutes, famine, canicule) ou la  succession comico-tragique des différentes “ambassades” envoyées par les bourgeois de l’Hotel de Ville.
Les Etats Généraux sont réunis, le roi hésite entre la force et l’absence. Avec une simplicité parfaite, VUILLARD raconte les petits et les violents instants de ces deux jours. On entend la mitraille sur le portail de la Bastille. On le dirait dans la tête et dans la détresse de ce petit peuple qui n’en peut plus. Et qui ne va pas en tirer grand chose bien qu’on tire sur lui.
Alors que les filles de l’Histoire  attendent sous les fenêtres de la Révolution!
Pas de grands mots, pas d’envolées lyriques, mais une continuelle empathie, toute la tendresse pour ces “petits” de l’est parisien, qui vont bousculer toute l’Histoire- mais qui sont déjà en train de se voir dépossédés de leur destin. Des lignes émouvantes et superbes, car l’émotion enrichit l’analyse- et…inversement ! Ce “rien qu’un jour”, pas n’importe lequel, trouve brusquement, au fil des pages, une chair que même Michelet ( cité par VUILLARD) peine à coller à son propre récit . Un peu- bien entendu- j’ai pensé à cette vieille collection jadis consacrée à des “journées”, mais dans un travail seulement historique.
( j’ai cherché le volume dans ma bibli pour le feuilleter, du coup, mais encore un qui j’ai dû finir sa vie chez un ami emprunteur !).
Je voulais continuer avec les échos de Nancy, écrire sur BIZOT ( d’où le titre avec “Portail”, et puis comme d’habitude l’écriture flâneuse détourne les pas de la rêverie.
A la prochaine !
François-Louise Toffin
La Tourneuse des Epinettes 3 La mitraille sous le portail, on oublie ? Avertissement : avant lecture, si on veut, et par précaution, se reporter aux "pages" du site, sur  la présence des images et leur sen…
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farminglesbian · 9 years
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La tourneuse de pages (2006) Denis Dercourt
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