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#laurent perec
yutopia-eleftheria · 2 years
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Rose Griffons Headcanons
Giving some love and recognition for my country representatives !
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-They get along very well with the other European teams, especially with England’s Knights of Queen.
-Despite losing a lot in the FFI, their goalkeeper Roger Pialat is considered one of the best goalkeepers in Europe. (He even managed to create a stronger version of Galatyn).
-Despite being the captain, Pierre Godin doesn’t wear his captain’s armband very often. He said that he doesn’t really like it, to which his teammates don’t really understand.
-Pierre also considers Edgar as his soulbrother, since they both have similar personalities. The main difference is that Pierre is not an attacker at all (He did go on the attack sometimes, but only if he sees an opening in the rival’s team by his defender position).
-Pierre is always stylish and gracious no matter what. He also secretly like teasing Julien.
-Michaël Aron is the cook of the team.
-Francis Poujol wants to be an architect when he grow up.
-Kévin Pinot adores history, more specifically the Napoleonic period.
-Roland Pérec lives in Paris and just loves the atmosphere. He also loves seeing people being amazed by the city’s monuments while sipping some coffee.
-They all are mastering something already, and a lot of people from other teams are jealous of them, mostly non European teams, since the other European teams are happy for their early success (some others even have some success already too !) : Romuald Huysmans already gains well in his life by being of the most famous models worldwide. On the other hand, Stéphane Hinault is also one of the top hit singers. It’s really something to go this far already for such young people. 
-Julien Rosseau, being as pretentious as he is, believes he is the best representative of his team. On top of that, he matches with the team’s name as he always carry a rose between his teeth. The main reason of him believing that is because a lot of their supporters are saying he is the best player, and that he should be the captain, although Pierre is a great captain too (It’s probably the reason why Pierre tease him, as he is the captain). Roland even thinks it’s a bit infuriating for Julien to see Pierre without his captain’s band.
-Jérôme Hervaud has an enhanced sense of smell, giving him a special talent of creating and spotting great parfumes.
-Alain is the son of a bicycle repairman, but he hates working on them. He actually loves riding a bike and wants to participate in the Tour de France one day. His teammates are fully supportive of his dream, and they even say that football will help since he will grow stronger. They help him getting up whereas his strict father tries to bring him down.
-Alain was born in Martinique. His family decided to move out to France when he was fairly young.
-Émile goes to cinema to watch every new movies that comes out. He has a huge collection of DVD’s to a point where almost all his dining room is filled with them.
-André Pinson has been a huge fan of philosophy ever since he discovers it thanks to his dad. He wants to be a philosophy teacher when he’s older. For that, he is “training” with his teammates, but they don’t understand a lot about philosophy.
-Jean Gutain believed he was the best fashion creator, until Knights of Queen’s member Mickey Richards defeated him. So he needs to prove his talent again.
-Claude is already a great baker, he wants to expand his business worldwide when he gets older.
-Michel is great at gardening, he even cherishes roses to give some new fresh ones to Julien.
-Full names :
Roger Ladji Pialat
Pierre Godin (no other name(s))
Michaël Aron (no other name(s))
Francis Carlos Grégory Poujol
Kévin Pinot (no other name(s))
Roland Léo Pérec
Romuald Ronnie Ross Huysmans
Stéphane Hinault (no other name(s))
Julien Rosseau (no other name(s))
Jérôme Éloi Hervaud
Alain Favreau (no other name(s))
Émile Lazare (no other name(s))
André Pinson (no other name(s))
Jean John Gutain
Claude Moreau (no other name(s))
Michel Morland (no other name(s))
-The members that are still representing France when they’re adults are : Roger Pialat, Pierre Godin, Roland Pérec, Romuald Huysmans, Stéphane Hinault, Julien Rosseau, Alain Favreau, Émile Lazare, Jean Gutain and Michel Morland. Though it is rumored that Pierre might not be the captain anymore but rather the substitute captain.
-Members from youngest to oldest :
Claude Moreau (11) - Roland Pérec (12) - Romuald Huysmans (13) - Stéphane Hinault (14) - Michel Morland (14) - Jean Gutain (14) - Alain Favreau (15) - Julien Rosseau (15) - Émile Lazare (15) - Pierre Godin (15) - Roger Pialat (15) - Jérôme Hervaud (15) - Kevin Pinot (15) - Francis Poujol (15) - André Pinson (15) - Michaël Aron (15)
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Laurent: What are you twelve ?
Julian: * winking * on a scale of 1 to 10, oui cheri.
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thekhagneherald · 6 years
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Atelier d’Ecriture - Polytropique
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    Chaque année, l’atelier d’écriture du lycée Chaptal à Paris réalise une œuvre collaborative.
Autour d’un projet commun, chacun est amené à trouver son mode d’expression. L’œuvre conçue sur un mode kaléidoscopique prend sens lorsqu’on lit plusieurs textes, sans respecter un ordre particulier.
En 2018, comme Georges Perec le fit Place Saint Sulpice (voir Tentative d'épuisement d'un lieu parisien), notre groupe a procédé durant une matinée d’hiver à l’observation d'un carrefour du cimetière du Père-Lachaise. Chacun est reparti avec ses notes et ses impressions.
D'un texte à l'autre, on pourra retrouver les éléments d'une expérience commune traitée au filtre de personnalités différentes.
On peut découvrir ici le texte d’une étudiante actuellement en Spécialité Lettres modernes, et poursuivre sa lecture sur Polytropiques.fr
                                                        - Isabelle Mimouni, Professeur de Lettres
Samedi 3 Février, 9h54 
J’arrive à la station de métro Gambetta, je prends l’avenue du Père-Lachaise et entre dans le cimetière par la porte Gambetta. Alors, je m’engage tout droit dans l’avenue des combattants étrangers morts pour les France et je m’arrête à l’angle avec l’avenue transversale n°2. Je ne suis pas très loin du crématorium. Il fait froid, heureusement qu’il ne pleut pas ! Je regarde un peu partout autour de moi. J’entends le claquement des talons sur le pavé, les cris des corbeaux que je ne vois pas, le vrombissement des moteurs de voitures, Berlingo blanche, Dacia blanche, Citroën rouge, Volkswagen argentée, Volkswagen blanche, BMW argentée. La présence des voitures ici m’obnubile. Elles me fascinent. Je regarde tout, marque, couleur, roues, plaque d’immatriculation. AL-546-DK. EH-389-KW. Ça suffit. J’arrête de regarder les voitures, je lève la tête et regarde le caveau qui se trouve en face de moi. Il est superbe ! J’en oublie le reste. Du dehors je vois des murs bien noircis et comme décrépits, un pot de fausses fleurs rose fushia, la porte est rouillée et des toiles d’araignées se tissent entre les arabesques de fer forgé qui la décorent. A l’intérieur je vois une statue de la Vierge pleine de poussière et un beau vitrail doré.
                                             FAMILLE DELINOIS
Charles Delinois
Né aux Cayes (Haïti), Le 20 Mars 1843
Décédé à Nice le 3 Août 1923
                                                                                             Madame C. Delinois
                                                              Née Marie Adèle Carmélite SOUFRINO
                                Décédée à Paris, le 15 Septembre 1877, A l’âge de 63 ans
                         Aimée et regrettée de son mari, De ses enfants et de ses amis.
                                                                                                    Priez pour Elle !
Amerlin Delinois. Né aux Cayes en 1958. Père fermier, mère commerçante. Vit à Port au Prince. Peintre. Il y a beaucoup de Delinois en Haïti, mais peut-être Amerlin était-il l’arrière-arrière-arrière-arrière-petit-fils de Carmélite ou l’arrière-arrière-arrière-petit-fils de Charles ? Après tout, pourquoi pas ? Je bute… Comment l’arrière-arrière-arrière-arrière-petit-fils de Carmélite ou l’arrière-arrière-arrière-petit-fils de Charles aurait pu devenir peintre aux Cayes alors que sa présumée arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère vivait à Paris et son présumé arrière-arrière-arrière-grand-père à Nice ? Elle vivait à Paris ? Il vivait à Nice ? Il y avait tellement de Delinois de toute façon… Et pourquoi pas un cousin ? Je suppose qu’il pouvait être un cousin de Charles. Mais bon, il y en a tellement des Delinois aux Cayes en même temps… Les oiseaux gazouillent, doux et léger pépiement qui me berce et m’incite à la rêverie.
Charles Alexandre Léon Durand, comte de Linois. Né à Brest le 27 Janvier 1761. Marin français. Fait prisonnier de guerre par la Royal Navy. Nommé contre-amiral puis vice-amiral par Napoléon. Vainqueur de la bataille d’Algésiras contre les Britanniques. Commandant de la légion d’honneur. Chef des forces françaises de l’océan Indien. Détenu par les Anglais jusqu’à la chute de l’Empire. Chevalier de Saint-Louis. Cet homme avait fait une carrière formidable. La seule tache dans son existence de militaire, le procès de 1815, fut rapidement estompée lorsqu’il fut acquitté en 1816. En plus il s’appelait Charles. Même prénom. Il y a quelqu’un qui rit. Charles, Charles, Charles… Elles sont même trois à rire ! Trois jeunes filles bien vivantes qui s’avancent dans l’allée. De Linois, de Linois, en deux mots ! Ah Ah Ah ! Mince alors !
Née Marie Adèle Carmélite. Carmélite. Religieuse de l’ordre du Carmel. Mais comment une carmélite pouvait-elle s’être mariée et avoir eu des enfants ? Soufrino c’est un peu comme Sofrino. Sofrino c’est un oblast de Moscou. Une carmélite en Russie ? Il y a des Carmélites à Usole au fin fond de la Sibérie. En plus il y eu une courte tentative de fondation du Carmel à Moscou qui même si elle fut contredite par l’Eglise orthodoxe quelques jours plus tard a néanmoins eu lieu et donc il y avait forcément des carmélites à Moscou à un moment donné. Mais quand ? Le 21 Juin 1836 Marie Adèle Carmélite s’était évadée du couvent de Sofrino dans la nuit. Elle s’était ensuite enfuie à Paris où elle avait vécu une fougueuse histoire d’amour, une de celles dont on croit qu’elles n’existent que dans la fiction. Carmélite était en fait une passionnée, et le feu qui brûlait en elle depuis tant d’années était celui du désir, feu démesuré qui s’était nourri pendant toutes ces années d’enfermement. Le bruit des talons sur le pavé résonne, mon attention se trouble encore. Clac clac clac.
Marie Mireille Delinois. Mariée au Colonel Jean Paul. Officiels haïtiens. Trafiquants de drogue redoutables. Complices du narcotrafiquant colombien Osvaldo Quintana. Ont aidé à faire passer des quantités gigantesques de cocaïne entre Medellin et Miami en s’assurant de grosses commissions.  Dénoncés par Quintana au tribunal fédéral de Miami. Le colonel doit démissionner. Il est retrouvé mort chez lui. Marie Mireille est accusée d’avoir tué son mari. Criminelle. Ou presque. Mireille s’était échappée à Paris, à Nice ou ailleurs. Cette femme avait montré une intelligence dangereuse jusqu’à la fin de ses jours… Elle avait été sombrement brillante, elle avait été une magnifique scélérate, un escroc de génie ! Quelle bande de truands ! Pas très catholique le trafic de coke… Pourtant Haïti, Delinois, je trouve beaucoup de points communs quand même… Je commence à avoir très froid, j’ai du mal à tenir mon stylo en main.        
Et Les Cayes ? Les Cayes en 1843 ? C’était le début de la révolution ? Jean-Pierre Boyer, dictateur, Charles Rivière Hérard, chef de l’insurrection, Charles, Charles, Charles…  
- Rachel Boukobza, élève de khâgne au lycée Chaptal
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- L'atelier – Laurent Cantet
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On ne peut vivre longtemps dans la frénésie. La tension était trop forte en ce monde qui promettait tant, qui ne donnait rien. Georges Perec, Les Choses
Au cœur de la nuit, face au mur qu’elle regardait autrefois, bousculée par le plaisir, le malheur du bas lui apparaît telle la revanche du destin sur les vies jugées trop simples.
Le sadisme de son violeur lui semble être le même que celui se son mari qui ne perçoit pas sa souffrance.
Il ne remarque pas à quel point cette seconde épreuve subie marque pour elle la fin définitive de tout compromis.
Elle ne se sent pas assez courageuse. Elle a peur de tout détruire, de perdre son mari et ses amis, qu’on la juge, qu’on la soupçonne de mentir, d’exagérer. Elle renonce.
Comment cette famille si aimante, chaleureuse, attentionnée, ce mari si proche de son épouse, comment aucun d’entre eux ne parvient-il a remarquer le changement en elle ?
Personne n’est au courant, c’est trop tard, le moment est passé.
Marie a envie de prendre le long couteau. De le saisir des mains de sa mère et dans un geste désespéré de se le planter en plein cœur, de le faire glisser jusqu’à son ventre.
Dans ce tableau sans défauts visibles, il faut s’arrêter sur les détails. Personne n’a l’idée de le faire. Ils préfèrent la douce et rassurante surface des sentiments, lisse et souple, ne surtout pas discerner les taches noires, les dysfonctionnements, les tourments.
Ce sont des moments furtifs de souffrance qui appellent les souvenirs. Elle ne se souvient plus de la douleur.
Les petites attentions de ses proches deviennent une tristesse, une souffrance pire qu’une maladie.
Marie sent la catastrophe se rapprocher. Le mur de plomb contre lequel elle va s’écraser apparaît.
Marie a beau se persuader que le déshonneur qu’elle ressentirait en disant la vérité à son mari ne serait surement que peu de choses sacrifiées contre sa liberté, elle finit toujours par se résigner au mensonge, consciente de se trahir elle-même et de se détruire.
Elle sait déjà qu’elle ne le supportera pas. Marie n’a pas de doute. Ce n’est pas l’enfant de son mari.
La femme idéale n’existe plus. Il n’y a plus de femme, ni d’épouse, de sœur ou de fille. Il y a seulement la saleté et la noirceur de son entrejambe qui se tiennent là, bien en face d’eux. Les souvenirs sont maintenant faussés. Tout est anéanti.
Qui peut comprendre son cauchemar? Qui sera là pour l’aider, la sortir de cette impasse ? Soudain, la réponse entaille son ventre. Tout est clair. Elle est seule. Elle sera seule du début à la fin, luttera contre son enfant sans relâche ni aide. Si elle doit agir, elle ne prendra rien d’autre en compte que son instinct. La colère qu’elle attend depuis si longtemps s’empare enfin d’elle.
Elle avait honte. La honte qui prend les femmes du début jusqu’à la fin de leur vie. Toujours la même. La honte du corps qui n’est pas parfait, qui n’est pas blanchi, désapprouvé par la vertu collective. Le corps qui souffre, gémit, se tord, saigne, change, évolue, grossit et mincit, pénétré toute sa vie, engrossé, ouvert, vidé, refermé, gonflé et dégonflé en fonction des épreuves, bourré de paracétamol et d’ibuprofène pour le contraindre à se calmer. Marie le sait, cette période sereine de l’enfance qu’elle fantasme aujourd’hui est passée. La voix de l’innocence s’est tue.
L’angoisse la tenaille. Plus qu’un seul jour. Un seul jour. C’est très court. L’immense océan du mensonge se referme sur elle. Quand tout le monde apprendra son viol, elle ne pourra plus jamais mener une vie normale. Jugée, calomniée pour son silence, humiliée par son entourage. Il faut que tout disparaisse rapidement. Les preuves, les faits, les conséquences, les émotions, les corps. Les corps. Elle doit arrêter l’histoire elle-même. Personne ne le fera à sa place.
Elle réfléchit à la teneur du corps, à la façon dont il peut réagir. Elle se sent prête à tout résoudre. La vie ne lui apporte qu’une soumission totale, une longue déchéance dont elle ne parviendra jamais à se remettre. Les solutions sont épuisées depuis longtemps déjà
Ce n’est pas un crime de reprendre ce que l’on a mis au monde. Aujourd’hui, Marie a l’occasion de rectifier ce qu’elle considère encore contre sa propre erreur. Cette petite famille n’existera bientôt plus. Laurent ne souffrira jamais de la vérité. Elle reprend la vie et personne ne la jugera.
Le malheur du bas Ines Bayard
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martialrochefilms · 4 years
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IL APPARTIENT À TOUT LE MONDE
IL APPARTIENT À TOUT LE MONDE Maurice Corcos, professeur en psychiatrie, parle de Georges Guingouin, de Georges Pérec, et de la propriété commune qu'ils représentent.
Nouvel extrait de mon entretien de septembre 2018 avec le Professeur Maurice Corcos, psychiatre de l’Institut Mutualiste Montsouris. Après une réflexion sur la mémoire des traumatismes, c’est le caractère public du personnage historique et mémoriel Georges Guingouin qui retient notre attention. Une réflexion qui occasionne un…
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martialrochefilms · 4 years
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IL APPARTIENT À TOUT LE MONDE
IL APPARTIENT À TOUT LE MONDE Maurice Corcos, professeur en psychiatrie, parle de Georges Guingouin, de Georges Pérec, et de la propriété commune que représentent ces personnages.
Nouvel extrait de mon entretien de septembre 2018 avec le Professeur Maurice Corcos, psychiatre de l’Institut Mutualiste Montsouris. Après une réflexion sur la mémoire des traumatismes, c’est le caractère public du personnage historique et mémoriel Georges Guingouin qui retient notre attention. Une réflexion qui occasionne un…
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