Tumgik
#le mouron rouge
la-tour-de-babel · 2 years
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La Crêpe Ratée - Pièce de Théâtre en quatre Actes
DISCLAIMER : Le saviez-vous ? C'est très peu pratique de poster des pièces de théâtres, sur Tumblr. Le format ne passe pas très bien. Du coup, eh bien, vous avez l'incommensurable chance d'avoir un lien Google Doc à la place. La pièce est toujours sujette à réécriture, en plus, donc c'est tout benef'.
RESUME : Nous sommes dans un nouvel AU, abordable même sans avoir lu La Tour de Babel. Paul entre en contact via vidéoconférence avec une créature répondant au doux pronom de Lui. Pourquoi ? C'est simple. Il a besoin qu'on répare sa vie.
PAIRINGS : Alphonse Bertrand / Maître Alphabet x Paul Saulter / Programmation.
TRIGGER WARNING : Mention de suicide, de mort, et basiquement, on part complètement dans les principes de #unreality. Manipulation, bien sûr, parce qu'Il est l'un des personnages. Et beaucoup de discussions autour de la Théorie des Crêpes.
Sur ce, et bien. Enjoyez, si vous en êtes capables.
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kouillon-en-chef · 2 years
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@le-mouron-rouge depuis quand t'es bg sur ta pdp ? XDD
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ELDARYA A NEW ERA EPISODE 16: CDC LANCE (SPOIL)
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Bonjour à vous mes petites loutres, je vous écris aujourd'hui pour vous donner mon avis sur le nouvel épisode d'Eldarya A New Era avec la route de Lance.
J'ai beaucoup aimé la bataille qui s'est produite entre les rookhs et le groupe avec les vampires. Avec aussi le drame de Nevra qui est blessé à cause du rookhs. Durant toute la scène de la bataille, elle disait à qu'elle point elle ne voyait rien mais elle a su quand même dire que le sang des créatures était noir. Par contre c'est un peu stupide de dire: "j'espère qu'il n'a rien" alors qu'elle l'a vu craché du sang en se faisant planter les griffes par un des rookhs. Et en plus de ça, elle mentionne qu'en voyant le corps de Nevra elle ne peut pas faire la différence entre son sang et celui de la créature. Alors qu'elle dit que le sang du rookhs est noir et j'imagine que Nevra son sang n'est pas noir mais bien rouge comme les humains.
Ensuite j'ai trouvé Erika vachement horrible, lorsqu'elle dit que Lance n'a pas besoin de Chrome pour partir avec lui, mais par contre elle oui. Mais pas parce qu'elle veut aider Nevra à aller au Q.G sain et sauf, tout simplement parce qu'elle ne veut pas quitter Lance...C'est complètement égoïste. Heureusement que Karren reste sur sa décision. Puis lorsque Leiftan et Mathieu sont avec elle, Leiftan fait la remarque qu'elle semble plus s'inquiéter de Lance que de Nevra. Qu'elle ne peut pas attendre le lendemain, pour le revoir...Et qu'elle se fait du mouron pour lui, parce qu'il peut se faire attaquer. Mais encore une fois elle en oublie Nevra. Lance est quand même bien plus débrouillard que les autres.
Arrivés enfin au Q.G, il y a encore cette tension de savoir si les garçons sont arrivés. La désespérance de revoir Lance, et du baiser passionné. Mon dieu qu'elle est dépendante de lui.
Lorsque tout le monde se retrouve à la cantine, j'ai trouvé intéressant la discussion entre Karren et Lance. Car Lance n'a pas tort en rappelant que le but principal, était d'enquêter sur les problèmes liés au mana et les utilisations des portails. Il a eut raison de faire comprendre, que maintenant il s'agit de sauver tout le monde y compris eux.
Je comprends la colère de Karren à propos de son peuple que tout le monde semble réticent à les aider et leur laisser le soin d'être accueilli. Mais il ne faut pas oublier, le nombre de fois où le peuple de Yaqut a menacé la garde. Je veux bien que ça soit son peuple, mais elle ne sait pas vraiment de quoi ils sont capable. Elle a fui lorsqu'elle avait à peine 8 ans. Sachant que le chef n'est plus son père, mais un homme stupide qui ne sait pas gouverner c'est ce qui fait de lui le plus dangereux. Il peut très bien finir par changer d'avis et vouloir se rebeller.
Maintenant que j'y pense, durant la longue...TRES longue conversation entre Huang Hua, Feng Zifu et Erika, toutes les questions qu'elle lui pose elle en avait posé certaines dans TO. Pourquoi ne s'intéresser que maintenant à ce peuple et à leurs pouvoirs ? Après j'imagine que c'est parce qu'elle était trop occupée à faire des galipettes dans la chambre avec l'un des CDC ou je ne sais quoi.
Le débat et la conversation profonde de l'espérance ou du désespoir de l'avenir d'Eldarya m'a paru un peu inutile. Bien que je comprends qu'Erika se pose autant de questions, cela n'est pas la première fois qu'elle fait sa crise existentiel à savoir si elle est à la hauteur. Si tout ce qui s'est passé, va permettre de sauver Eldarya. Il y a quelque chose qui m'avait pas mal dérangé dans TO, c'est de tout ce qu'Erika a dû subir par les autres. Elle en a quand même bavé depuis tout ce temps, et même après 7 ans elle se reprend un danger mortel en pleine face qu'elle se doit de résoudre car il n'y a qu'elle pour avoir vu vraiment ce qui allait se passer.
Après les retrouvailles de Nevra et de la conversation avec la mère et Karen, arrive le moment avec Lance. Et au début, je me suis dis: "Chouette, elle semble juste lui dire bonjour et s'intéresser à ce qu'il fait. Nous allons peut-être avoir une discussion un peu plus concrète avec lui !" Et là...Il a fallu qu'il fasse le mec concentré et sérieux, pour que ses pensées aillent encore une fois du côté obscur. Et qu'elle ne fut pas ma surprise quand elle lui dit avec aucuns liens avec ce qui s'est passé jusque-là, "Lance, j'ai repensé à...Et puis nous sommes tout les deux seuls dans la bibliothèque." ET ALORS ???? Tu ne peux pas attendre qu'il ait fini ce qu'il avait commencé, pour je ne sais pas parler ou alors là d'accord faire des petits trucs excitants mais dans un endroit un peu plus propice ou alors bien au fond de la pièce à s'embrasser etc. Au bout d'un moment il va falloir arrêter là !! Depuis le début, c'est elle qui initie le rapport. Tout simplement parce que Lance bon j'avoue n'est pas vraiment aussi tactile et affectionné qu'elle. Mais aussi, parce qu'il est OCCUPE à faire quelque chose qui est nécessaire dans ses fonctions. Et puis la phrase: "A ma connaissance il n'est jamais allé sur internet." Bah bien sûr espèce d'idiote sans cervelle, il n'y a pas besoin d'internet pour savoir que quand une femme ou un homme se prosterne devant quelqu'un en commençant à se dénuder ça veut dire que ce n'est pas pour parler de la pluie et du beau temps. Et il a eu bien plus de rapports que toi, pour savoir ce que tu veux depuis le début IDIOTE !!! Et là...Et là enfin elle commence à avoir ce qu'elle veut, mais...OH MAIS BIEN SUUUUR ! Et si quelqu'un peut nous surprendre ??? Oh mais merde alors, je n'y avais pas pensé ! Mais bien sûr nous sommes dans un endroit accessible à tout le monde !! Qu'allons-nous faire finalement ???! Et là...Lance, dont j'avais espoir qu'il dise d'aller ailleurs ou peut-être de remettre à plus tard, se met à l'allonger sur le bureau pour commencer à la dénuder et dire: "Tu n'as qu'à trouver une excuse quelconque, je te fais confiance ???????!!!!
NAAAAANIIIIIII ????!
Comment tu veux trouver une excuse à quelqu'un qui voit Lance en train d'allonger Erika sur la table les jambes écartées et lui entre ??? COMMMENT ???! Et même si au final ils sont debout contre une étagère, et qu'elle lui ouvre son pantalon, et qu'elle commence à l'embrasser dans le cou et le br... Ce qui amène à la chose la plus ridicule que j'ai jamais lu de toute ma vie nulle part ailleurs qu'ici. Chrome arrive, il aperçoit déjà Erika dans son champ de vision, ce qui veut dire que Lance aussi. Il a le pantalon ouvert, et là tout ce qu'elle trouve à dire c'est... "Oh, le livre est tombé !" C'EST TA DIGNITE QUI EST TOMBEE ET S'EST FRACASSEE PAR TERRE OUI !!!
Pour finir, la fin d'épisode sur une note festive, malgré la menace qui plane sur le monde d'Eldarya Chrome et Karren vont se marier !!! Et ça j'ai hâte d'assister à l'épisode juste pour ça ! Mais j'aurai apprécié que ça soit Lance qui vienne voir Erika et pas Koori. Encore une fois, il y a que dalle comme moment avec lui. C'est très très décevant.
Voilà mon avis sur cet épisode, j'espère que ça vous a bien plu ! N'hésitez pas à me dire en commentaires si vous êtes d'accord avec moi ou pas, et partagez votre avis !
Je vous souhaite le meilleur et vous fais pleins de bisous ! See ya !
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philoursmars · 1 year
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Je reviens ENCORE une fois à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ).  On est en 2017 et comme ce blog est né en 2017, j’arriverai donc au bout de cette présentation.
Marseille, au printemps. A la limite du Parc National des Calanques, le Mont Rose couvert de fleurs : Centranthes rouges - Ophrys jaune - Centranthes et Luzernes arborescentes - Coquelicot - Mouron bleu - Carpobrotus - Asphodèles
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parolesdedieu · 1 year
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Le Christ est le chemin et la porte, l'échelle et le véhicule il est le propitiatoire posé sur l'arche de Dieu et le mystère caché depuis le commencement.
Celui qui tourne résolument et pleinement ses yeux vers le Christ en le regardant suspendu à la croix, avec foi, espérance et charité, dévotion, admiration, exultation, reconnaissance, louange et jubilation, celui-là célèbre la Pâque avec lui, c'est-à-dire qu'il se met en route pour traverser la mer Rouge grâce au bâton de la croix. Quittant l'Égypte, il entre au désert pour y goûter la manne cachée et reposer avec le Christ au tombeau, comme mort extérieurement mais expérimentant dans la mesure où le permet l'état de voyageur - ce qui a été dit sur la croix au larron compagnon du Christ : Aujourd'hui avec moi tu seras dans le paradis.
En cette traversée, si l'on veut être parfait, il importe de laisser là toute spéculation intellectuelle. Toute la pointe du désir doit être transportée et transformée en Dieu. Voilà le secret des secrets, que personne ne connaît sauf celui qui le reçoit, que nul ne reçoit sauf celui qui le désire, et que nul ne désire, sinon celui qui au plus profond est enflammé par l'Esprit Saint que le Christ a envoyé sur la terre. Et c'est pourquoi l'Apôtre dit que cette mystérieuse sagesse est révélée par l'Esprit Saint.
Si tu cherches comment cela se produit, interroge la grâce et non le savoir, ton aspiration profonde et non pas ton intellect, le gémissement de ta prière et non ta passion pour la lecture, interroge l'Époux et non le professeur, Dieu et non l'homme, l'obscurité et non la clarté ; non point ce qui luit mais le feu qui embrase tout l'être et le transporte en Dieu avec une onction sublime et un élan plein d'ardeur. Ce feu est en réalité Dieu lui-même dont la fournaise est à Jérusalem. C'est le Christ qui l'a allumé dans la ferveur brûlante de sa Passion. Et seul peut le percevoir celui qui dit avec Job : Mon âme a choisi le gibet, et mes os, la mort. Celui qui aime cette mort de la croix peut voir Dieu ; car elle ne laisse aucun doute, cette parole de vérité : l'homme ne peut me voir et vivre.
Mourons donc, entrons dans l'obscurité, imposons silence à nos soucis, à nos convoitises et à notre imagination. Passons avec le Christ crucifié de ce monde au Père. Et quand le Père se sera manifesté, disons avec Philippe : Cela nous suffit. Écoutons avec Paul : Ma grâce te suffit. Exultons en disant avec David : Ma chair et mon cœur peuvent défaillir : le roc de mon cœur et mon héritage, c'est Dieu pour toujours. Béni soit le Seigneur pour l'éternité, et que tout le peuple réponde : Amen, amen.
De Giovanni Fidanza
(S. Bonaventure)
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onzedieuxsouriants · 1 year
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Comment Léonard devint sis en son fief de la Comté Auréate
Comment Léonard devint sis en la Comté Auréate
Ô, vous qui de l’Humanité semez les champs humbles et fertiles ! Ô aimables paysans, artisans, forgerons, gens de bien et gens de paix. Vous qui jamais ne trempâtes l’orteil le plus petit dans les eaux de l’Impossible, vous qui accrochez aux portes de vos enfants le Onze de fer chaque soir, vous, Ô nous ! Pauvres êtres d’Humanité, qui vivons et mourons sur notre belle terre. Oyez ! Ecoutez-moi vous conter les terres de Féérie, les terreurs et les erreurs !
Taisez-vous : le barde rouge parle ! Vos esprits sont à moi et vos cœurs sont à la main de Charité, qui bat sur son tambour.
Voici le Conte des Comtes ; voici Léonard l’Auréat, celui que nous perdîmes, celui qu’ils ne gagnèrent pas. Voici l’histoire du comte prisonnier de ses gens cruels, car en Féérie l’eau coule d’aval en amont et les chats aboient.
En la Comté Auréate, il y a des champs d’or, des rivières d’or et un château d’or. Et au fin fond du château d’or, il y a des chaînes de fer sur une armure d’or, toujours debout, et dans cette armure il bat un cœur encore.
Et le nom du maître de ce cœur est Léonard.
Il fut nôtre, fervent, ardent serviteur du Onzième Dieu ! Fervent, noble porteur d’épée de notre Infante chérie, dont il portait le visage comme l’un de ses paladins. Les chevaliers d’argent de la tour d’argent de l’enfant d’argent, tout était argent et beauté. Ô gens de bien qui n’avez jamais vu de chevalier d’argent ! Léonard, sous le masque de l’Infante en pleurs, était le plus beau et le plus gai des hommes, et sa peau était d’or et ses cheveux étaient d’or, et ses yeux étaient d’or. Mais humblement, sous l’argent, il errait en l’Humanité, rectifiant çà et là les maux, et chassant les fées qui avaient passé l’Impossible. C’est une vie solitaire que celle de l’ordre gris, tout comme solitaire est la vie de mon ordre rouge. Mais tant était-il aimé, tant était-il beau, que Léonard trouvait un amour dans chaque village qu’il traversait. Que ne s’arrachait-on ses beaux cheveux d’or, comme des faveurs ! Que ne faisait-on pour percevoir, sous le masque d’argent, ses beaux yeux d’or !
Il commença à se murmurer que Léonard était un nouveau messie, que l’âge de la libération était venu pour l’Humanité et que l’Infante cèderait son fardeau à un nouveau prophète, qu’une douzième ère s’ouvrait. Douze ! Douze ! Pouvez-vous l’imaginer ?
Si bel était l’homme d’or qu’il générait ces rumeurs, oui. Et vous l’auriez aimé, vous aussi ! Léonard pourtant ne faisait rien pour encourager ces rumeurs, si ce n’est donner, çà et là, ses beaux cheveux d’or à ceux qui plaisaient autant à son regard qu’il plaisait aux leurs.
Et puis d’autres rumeurs, moins douces et moins blasphématoires, finirent par courir à son sujet. Qu’il marchait la voie des fées, qu’il était changelin, et que cela expliquait sa beauté d’or. Qu’il abusait de l’amour des villageois pour ses beaux cheveux d’or et ses beaux yeux d’or. Qu’il fusse pas assez ou trop humain pour être chevalier gris, cela commença à ne plus faire l’ombre d’un doute auprès de ses pairs. Peut-être avaient-ils raison ? Peut-être étaient-ils jaloux ? Les ordres parlèrent alors.
Les moines bruns dirent : dans les villages, il sème les cœurs brisés autant que ses cheveux que l’on dit enchantés ! C’est une fée !
Le barde rose dit : « C’est vrai, j’ai ramassé tous ces cœurs brisés. »
Le barde rouge dit : .. A vous de deviner, car las ! je m’omets ! 
Le barde orange dit : « Il est un beau soleil que je vois briller ! »
Le barde jaune dit : « Qu’il me rende donc mes couleurs usurpées ! »  
Le barde vert dit : « Gare ! Moi, je vois son futur tourmenté. »
Le barde bleu : « Et son présent est plein d’enfants oubliés. »
Le barde violet dit : « Pourtant, dans son passé sont maintes bontés. »  
Les prêtres noirs renchérirent : « Mais ces rumeurs blasphématoires ! Le Onzième Dieu n’a qu’une prophétesse ! »
Les chevaliers gris dirent : « Voyez cet homme d’or, qui de l’anonymat de notre armure fait une vaste plaisanterie ! Les peuples l’aiment et nous nous aiment point autant. »
Et l’Infante, comme toujours, se tut et pleura.
Il fut décidé par la grâce des onze couleurs que Léonard serait jeté bas et châtié. Oh, pauvre Léonard ! Qu’il pleura alors derrière son masque pleureur ! Qu’il se lamenta lorsqu’on le lui arracha ! Qu’il jura qu’il n’avait jamais brisé le moindre serment !
Devant toute l’assemblée, il renouvela ses vœux et jura solennellement qu’il n’avait jamais cherché à mal, qu’il n’avait fait qu’aimer et, peut-être, se montrer un peu fier, mais qu’il n’avait jamais désiré briser le moindre cœur, ni prendre la tête de la moindre secte. Qu’il était content de n’être qu’un chevalier errant et d’obéir à sa bravoure.
A ce moment, le vent fée passa soulever les tentures du tribunal et il y eut mille rayons de soleil qui vinrent frapper sa chevelure, sa peau et ses yeux d’or, et pendant un bref instant de grâce, ceux qui l’avaient haï oublièrent qu’ils le haïssaient. Ils virent rouler sur ses joues d’or les larmes d’or et sa peine et sa bonté d’or furent les leurs. Mais cela, comme un coup de vent, passa, et les tentures retombèrent, et le brouhaha étouffa son serment sincère. Tristement, Léonard réalisa que sa parole ne valait rien.  
Une fois sa culpabilité votée, son sort fut décidé par les noirs et exécuté par les gris. Comme il ne s’agissait pas d’un criminel que l’on pouvait prouver, ne furent retenus que les chefs de blasphème et de corruption féérique. Il fut déterminé que le charme qu’il créait sur les autres devait être purifié, également, mais que la mort n’était point méritée dans la mesure où il n’était point possible de prouver qu’il ait, de son propre chef, cherché à nuire en allant de part l’Humanité de manière aussi dorée.
Les enfants sont-ils couchés, Ô gens d’Humanité ? Parfait ! Je puis vous raconter comme les noirs sont impitoyables d’invention et les gris d’efficacité. Ils rasèrent sa chevelure d’or, crevèrent ses yeux d’or, et quant à sa peau d’or, ils l’arrachèrent par petits morceaux brillants. Tout cela, sans le tuer.
Puis, sa terrible beauté enfin neutralisée, ils le relâchèrent aux abords de l’Impossible, espérant qu’il s’y noie ou qu’il échoue en Féérie.
Pauvre Léonard tituba çà et là ! Que faire sans ses yeux ? Pleurer, songea-t-il, avant de se souvenir : pour cela aussi il faut des yeux ! Alors il s’assit au bord de l’eau et laissa tremper ses pauvres jambes dans l’eau pour apaiser la douleur.
L’Impossible n’a qu’une rive, ce qui en fait, comme j’espère n’avoir point à vous l’apprendre, la meilleure des défenses contre la Féérie. Ce n’est cependant pas une barrière infranchissable, car comme je vous l’ai dit, les fées fonctionnent à rebours du monde.
L’eau était douce et fraîche pour Léonard. Nul reflet ne lui dirait plus à quoi il pouvait ressembler, et nul ne l’aimerait plus, mais il trouva du répit dans la beauté de l’automne – celle qui se devinait à l’oreille.
C’était la beauté des vaguelettes contre ses jambes, celle du chant des derniers grillons, du souffle doux du vent qui charriait des poussières de toute l’Humanité, du battement de la gorge d’un crapaud au fond de la boue, de la douceur d’un lotus fané, la beauté de tout, la beauté du pays. Oh et un grand sanglot s’entendit ! Léonard ne pouvait pleurer, hurla avant de se jeter dans les eaux de l’Impossible.
Ecoutez :
Comme le vers est mon droit,
Comme envers est endroit
Miroir !
Comme endroit est envers
Comme adroit est un ver
Il plongea et chercha au fond du fleuve celle qu’on lui avait épargnée, la Mort, Ô pauvre chevalier ! Doux chevalier, plongea ! Et puis, au fond du fleuve qui en était aussi la surface, il émergea. Faute du royaume de la Mort, il trouva celui des Comtes de Fée.
Ainsi advint-il en Féérie, au travers l’Impossible et depuis l’Humanité. Notre pauvre chevalier rampa sur la rive, incertain de sa destinée. Ses doigts caressaient les herbes sauvages comme les cheveux d’une belle femme et l’eau avait rempli ses orbites vides, lui permettant de pleurer de nouveau. Il trouva qu’en Féérie, les herbes sauvages étaient réellement les cheveux d’une belle femme et ses larmes ne tarissaient plus.
Il continua de ramper en saisissant autour de lui, ne sachant ce qu’il espérait. Il cessa d’appeler la Mort et la curiosité l’emplit. Découvrir l’horrible Féérie ! C’était son dernier choix, puisque, de l’Humanité, il avait été banni. Au bout d’un moment, la branche souple d’un aulne se dressa en travers de son chemin. Léonard saisit, en frissonnant, cette main tendue et tira dessus pour se relever.
Le ciel avait goût de sucre, quoiqu’il ne le visse pas, le sol sous ses pieds étaient un champ de soie brodée. A ses oreilles, oui, à ses oreilles ! Il sentait l’odeur du sang. L’insensé, sans ses sens, s’élança assez ! Vers le sang, vers l’odeur familière au guerrier. Là, il entendit des cris et perçut la bataille.
Les champs doux comme des cheveux de femme, beaux comme des broderies, étaient remplis du fracas de la guerre. Les fées tuaient et mouraient dans des chants abominables. Tout cela, Léonard s’en approcha, toujours habité de la curiosité morbide qui le laissait vivre. Il ne voyait plus, mais puisqu’en Féérie est à l’envers, il voyait désormais trop. Et il vit cela :
Un champ rempli de corps et des mains dressées dont les doigts attrapaient l’air et des dents cassées qui donneraient des dragons et des marécages de sang rouge et des couteaux plantés dans des soupirs et des jambes broyées par les chevaux fous et des organes répandus comme des fruits pourris.
Il vit cela et vomit. Car il avait connu le combat, mais ni la guerre ni la bataille. Il comprit les horreurs dont l’Humanité se préservait ! Et au bruit de ses entrailles, il attira l’attention de trois guerriers, qui bientôt furent sur lui.
Ils étaient trois et les porteurs de bannière les suivaient.
« Ohoho, que voilà ? » Fit l’une des guerrières. C’était une fée de la taille d’une femme, toute en lames et en griffes. Elle portait une robe de doigts fraîchement tranchés. « Un homme blessé ! Un des tiens, Versipelle ? » Du bout d’une lance, elle leva le menton de Léonard.
Un autre guerrier, qui était un loup à deux faces, observa un instant l’intrus, le nez plissé et la mâchoire baveuse, claquant entre ses crocs jaunes : « Non. Il sent le blé frais et l’injustice, ha ! Et l’eau de l’Impossible… un humain égaré. »
La troisième guerrière parla. Elle avait mille yeux et de longs cheveux filasses qui traînaient loin derrière elle, sur tout le champ de bataille. Sa voix était lente, sa peau fine comme du parchemin et elle désigna Léonard d’un doigt long comme un fuseau : « Mal tombé, pauvre humain, juste à temps pour devenir une prise de guerre. »
« Qui êtes-vous ? » murmura le futur Auréat. Et la première guerrière répondit :
« Je suis la Comtesse Carnasse, la Dame Souriante de la Comté des Ogres, maîtresse de la Menée Muette. Ah, n’oublions point mon cher Comte Versipelle, de la Comté des Loups, maître de la Menée Huante, et la Comtesse Cruante, de la Comté des Araignées, maîtresse de la Menée Rampante. Enchantée, petit morceau, et tu es ?
-Léonard, Chevalier d’Argent de l’Infante.
-C’est un mensonge, murmura Cruante.
-Léonard, chevalier… déchu ?
-C’est toujours un mensonge.
-Je ne sais pas alors. »
Il sentait bien qu’il aurait dû trembler de cette triade, dont les apparences défiaient l’entendement humain. Mais il savait, de l’une, qu’il ne pouvait pas réellement les voir et de deux que leurs apparences n’étaient qu’une forme de mauvais rêve. Elles n’avaient pas la substance qu’un homme effrayant mais réel peut avoir.
« Un rêve peut te tuer, Léonard. Il n’y a que des rêves ici, reprit Cruante. Tu ferais bien de ne pas croire que tu n’en es pas un, toi-même. Mourir dans un rêve n’est pas moins mourir.
-D’accord. Qu’un rêve me tue, alors, je n’ai pas peur.
-C’est vrai. » Murmura Cruante pour elle-même.
La Carnasse siffla entre ses dents et poussa un peu plus haut le menton de Léonard, de la pointe de sa lance. « Il n’est pas à toi, Cruante. »
« Ou à toi, Lainne. » grogna le Versipelle. « Plus de prises de guerre, ou tu devras nous en trouver d’aussi belles à nous deux. Tu as déjà eu le Petit Comte pour toi. Je le voulais. »
« Si, si ! Je l’ai bien eu même ! Ah, mon grand, je te laisse l’humain… il n’a pas l’air bien fort, je me fiche assez de le chasser. Dans cet état, où courrait il ? Qu’en ferais-je, vraiment ? Peut-être toi, peux-tu lui imposer une nouvelle peau, ou Cruante en faire son concubin, qu’en sais-je ? Moi je l’aurais dévoré, mais j’ai mieux à manger. Et j’entends que m’attendent certains des amis du Petit Comte ! »
Fit-elle en tirant comiquement sur son oreille avant de rire aux éclats d’un rire de hyène. Sous son rire, on entendait les râles d’agonie de ceux qui n’étaient pas encore exactement morts. Elle tira sur sa lance d’un coup sec et Léonard retomba en avant.  
Et la femme qui se nommait Carnasse s’éloigna en chantant un chant de guerre joyeux et en faisant tournoyer sa lance, si rapide que ses suivants peinaient à la suivre.
Le Versipelle fit un grand sourire à Léonard. Un grand sourire de loup, qui lui ouvrit les joues jusqu’à la nuque, et plus encore.
« Que dirais-tu que je te retourne, humain ? Que tu deviennes un loup ? Je te donnerai une nouvelle peau ; tu es aveugle, mais fort, et j’aime les guerriers. Je te prendrai en mon sein et tu deviendras un des miens.
-Je dirais : non. Vous ne ferez pas de moi un versipelle. 
-Je pourrais ne pas te donner de choix du tout. Ha ! Ça croit que c’est son avis qu’on lui demande.
-Dans ce cas, ne demandez pas. Je ne peux peut-être rien contre vous, mais mon âme est inatteignable.
-Rien n’est inatteignable avec assez de couteaux. »
Une grande tristesse prit Léonard, de n’avoir point épée ou armure, et, peut-être, quelque part, de n’avoir point de public. Mais il demeura courageux, car il était, après tout, un vrai chevalier, avec ou sans son équipement. Ah et j’ajouterais, puisque notre Père le Prêtre (bénit soit-il sous le regard de l’Infante, etc.) dort, j’ajouterais ceci : il n’y eut jamais de chevalier, sinon Léonard que nous avons perdu. Prends des leçons de sa défiance triste, Ô Humanité !
« Et pfouah ! » fit Cruante. « Que dirais-tu de rejoindre MA menée ? Nous sommes plus de mille et tu feras ce qu’il te plaît. Petite mouche. Petite, petite mouche.
-Je n’ai pas plus envie d’être une araignée qu’un loup. Assez, fées maléfiques ! Rien ne saurait me tenter, si ce n’est une mort honorable. Et si l’honneur n’est pas là, je prendrai la mort malgré tout.
-C’est vrai, admit Cruante avec un sifflement. Il ne ment pas, celui-ci, aussi brave qu’idiot. C’est parce qu’il n’a plus d’yeux, il ne sent pas l’odeur du combat.
-Je la sens bien. » Et il la sentait réellement. Malade. Mais sa détermination restait ferme. « Doutez de moi si vous voulez, je n’ai jamais, de ma vie, menti… je ne puis confesser qu’à deux péchés, qui sont la vanité et l’amour. Mais je les ai toujours portés comme ma bannière, je ne les ai jamais cachés et je ne les cacherai pas plus, quoi qu’ils m’aient ruiné, s’ils me permettent à résister à tous les autres. Voyez en mon cœur, Comtesse, vous qui semblez tout percevoir. Je n’ai pas peur de vous, ni envie de vous rejoindre. J’en prêterais serment. »
Les deux guerriers se regardèrent. Le sourire du loup se défit, l’œil de l’araignée brilla. Ils s’observèrent et observèrent Léonard.
« Ha, j’aimerais bien voir ça, petite chose. » Grogna le Versipelle en brisant le silence après quelques instants de réflexion. Cruante d’ajouter en sifflant : « Tu en prêterais serment ! Menteur ! »
La voix de l’araignée toucha Léonard au cœur, car il l’avait comprise comme une clairvoyante. Y a-t-il pire que d’être traité de menteur par une oracle ? Non point !
Léonard se leva, aidé une nouvelle fois de la branche d’un aulne. Il se dressera fièrement, dans toute sa majesté d’or dépaillé.
« Voyez-moi prêter serment ! » rugit-il alors, par-dessus les hurlements d’agonie des morts, par-dessus même les ricanements des fées, par-dessus le vent, par-dessus le feu et la forêt bruissante !
« Je jure que moi, Léonard, jamais ne servirai les Comtes de Fée ! Entendez ? Jamais je n’obéirai aux désirs de l’un d’entre vous et jamais je ne ramperai ! Chevalier ou prisonnier, je fais le serment de ne jamais perdre espoir. Cela, je le jure sur mon Humanité chérie ! »
Le sang battaient à ses veines comme le tambour de la douce Charité bat ! Ecoutez-le… écoutez-le battre comme il battit alors…
Pa-poum… pa-poum… pa-poum… écoutez le tambour, il est tard et la nuit est mauvaise… écoutez sa régularité, écoutez… maintenant chuchotons… l’heure est aux ombres et aux secrets, et celui que je vais vous conter, vous devez l’entendre et ne jamais l’oublier…
Ne prêtez jamais serment en Féérie. Car la Féérie vous entend, et vous y tiendra. Ne prêtez jamais serment et, si vous croisez une fée, exigez d’elle une promesse, car elle y sera obligée.
Mais Léonard ne savait pas cela. Le serment qu’il prêta, ce fut du fond de son cœur d’or. Pa-poum. Pa-poum.
Le ciel se retourna comme la page d’un livre. Cruante fut la première à frissonner, car ses longs cheveux s’étendaient partout. Le flair de Versipelle seconda ses cheveux. Mais le pauvre Léonard ne comprit pas tout de suite, en voyant s’agenouiller les Comtes cruels, devant lui.
Advint la Reine Changeline ! Advint sans menée, sans mots, main tendue vers celui qui venait de se proclamer seigneur. Car il avait fait serment de ne point servir, et s’il ne devait servir, alors il devait régner.
La Reine Changeline saisit la main de Léonard, et sa peau fut de nouveau or, ses yeux or, ses cheveux or.
« Que désires-tu, Ô Léonard, Comte Auréat ? » fit-elle.
« Je ne comprends pas… que faites-vous ?
-Je te couronne. Le Petit Comte, le maître de cette Comté vient de disparaître. Toujours, pourtant, le Comte est bon.
-Je ne veux pas de votre couronne ! Libérez-moi !
-C’est ton plus cher désir ? La liberté ?
-Oui ! Donnez-la moi… si je suis Comte comme vous l’insistez, alors donnez-moi la liberté. On ne retient pas un seigneur. Laissez-moi partir, Reine des fées.
-Ô Comte Auréat, n’as-tu pas prêté serment… »
Cruante : « Si, à l’instant… »
« … juré devant nous tous… »
Versipelle : « Oh si, oh si… »
« … sur ton Humanité chérie… »
Carnasse (revenue en secouant une tête coupée comme si c’était un aspersoir) : « Ah si si si ! »
« … que tu n’obéirais jamais aux désirs de l’un des Comtes ? »
Tristement, Léonard réalisa que sa parole valait tout.
      Silence, maintenant, silence. Le barde rouge a parlé et le conte est bon. Silence !
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jardindolivier · 2 years
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Espèces et variétés de stellaires
Espèces et variétés de stellaires
Parmi les nombreuses espèces de stellaires (ou mouron des oiseaux), on rencontre souvent, illuminant nos paysages, la stellaire holostée, Stellaria holostea, plante de talus et bords de chemins ensoleillés ou de clairières mi-ombrées. Mouron blanc ou mouron des oiseaux (Stellaria media) Floraison : Petites fleurs blanc pur en forme d’étoile de mars à novembre. Graines aplaties, brun rouge,…
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Avis à toustes,
Selon vous, qui serait le plus designé pour tenir le rôle de tête d'affiche ? Je ne parle pas uniquement du charisme (sinon je me doute déjà de la réponse), mais bien d'un ensemble — pour être un ... acteur de publicité, en quelque sorte ;)
Voilà, je demande ça pour un ... petit projet que j'ai décidé de débuter aujourd'hui :D
@paul-saulter @stefan-maximilian-saulter @maxime-maelic-schreider @carwyn-gibson @sylvain-saulter @celestin-melies @thanasis-aiskhulos @heinrich-attinger @francis-leroy @edward-short @grand-mere-feuillage @le-mouron-rouge @simon-saulter @claudia-gimenez @sam-yelima
Et bien sûr @la-tour-de-babel , et pourquoi pas @tchatso (puisque tu connais un peu les gens du dessus ;) )
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claudehenrion · 2 years
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Petit retour sur les errements inexplicables du monde (politique)...
  Le simple fait de réorienter ce ''Blog'' vers des sujets moins politiques nous a libérés des impératifs du quotidien et de l'actualité --cette maîtresse exigeante mais qui donne si peu de joies-- et nous permet de regarder les choses de manière plus sérieuse. Pourtant, il ne faut pas tomber dans l'excès inverse : malheureusement pour nous, le monde actuel dépend  trop de la politique pour qu'il soit possible de se passer de lui consacrer un ''billet'' , de temps en temps. Un petit ‘’retour sur images sur la folie du monde'' ne fait pas de mal... même si ‘’ça fait mal’’ , parfois !
Il semblerait, devant tout ce qui se passe (de manière visible) et tout ce qui se trame (à l'abri des regards des ''non-accrédités'' et qu'on découvre plus tard, par hasard), qu'il y a largement de quoi ''se faire du mouron'' : Macron-saison-2 se sent pousser des ailes et il peut libérer tous ses mauvais instincts. C'est l'épouvantable Marisol Touraine qui avait raison lorsqu'elle a susurré  à Macron : ''Maintenant, tu peux faire ce que tu veux : tu as les mains libres'' !  J'ai eu tort de me moquer d'elle dans un ''billet'' précédent : elle avait raison ! C'est énorme à lire... mais quand on sait comment pense un homme de Gauche, qui (outre un sentiment de supériorité, immérité sauf exception rare) a une idée-fixe, qui lui est ''de définition'', c’est ''créer l'irréversible''... tout ce qui se passe s'éclaire : on est en droit de redouter le pire !
Car il ne fait pas de doute que le signe distinctif de cette seconde mandature est un virage à gauche caractérisé. Les fausses bonnes âmes nous racontent à longueur de discours que ce serait pour mieux anéantir la poussée des  idées (effectivement abominables) de Mélenchon, mais il n'en est rien : cela vient du plus profond de l'a-culture de notre nouveau-ancien-Président, qui, d'ailleurs, ne se cache même plus de sa joie d'avoir réussi à berner un peuple entier (en tout cas, 58, 5 % de ses membres). Ce nouveau gouvernement  affiche carrément la couleur : s'ils ne sont pas officiellement (encore que..) ''décolonialistes'', ''immigrationnistes'', ''woke'' ou tenants de la mortifère ''cancel culture''… ils n'auraient rien contre ces pathologies mortelles. Pourtant, tous les indicateurs sont au rouge : souverainisme social et prurit sociétal, redistribution sans production, chèques non provisionnés, fiscalité délirante, sans-frontiérisme irénique, écologisme apocalyptique, vaccination ''quoi qu'il en coûte, à terme'', immigration sans contrôle, communautarisme ''assumé'' (sic !) et abandon des classes ouvrière et moyennes au profit de la promotion sans limite des minorités... ''on y va'' ! Et même... on est déjà bien partis, pour la ''foire'' !
Pour tous ces gens (ils ne sont pas nombreux mais font du bruit comme une armée et se hissent au dessus du panier), la France serait ''structurellement raciste'' ! Et si vous avez déjà eu l'occasion de discuter avec des  universitaires ''woke'', vous savez qu'ils font froid dans le dos. N’espérez pas discuter avec eux, vous aurez tort, même si vous avez raison --ce qui est le cas le plus fréquent--, ou même si vous n’avez pas d’avis, même si vous n’avez aucune intention hostile à leur égard. Votre tiédeur relative vous condamne automatiquement : vous êtes un oppresseur, simplement parce que vous ne manifestez pas soit votre soumission à leur folie, soit quelque revendication victimaire injustifiée. Et si vous en appelez à la raison ou au bon sens, c’est pire : c'est la preuve que vous usez d’un ''pouvoir d’oppresseur'' ! Ces techniques et cette intransigeance ne peuvent faire penser qu'à une secte.
Ils sont aujourd’hui au pouvoir. Contrairement à ce qu'ils désignent par ''la question climatique'' (sur laquelle ils ont réussi à faire croire vrai un tissu de mensonges et à rendre populaire le plus immense bobard du siècle et peut-être de l'histoire), ils se foutent dans les grandes largeurs de la démocratie, de la tolérance, et de toutes ces ''valeurs chrétiennes devenues folles'' dont parlait le grand Chesterton et qui ont été regroupées sous le nom inexpliqué de ''valeurs républicaines''. Et ils menacent de déconstruire la France, et en priorité dans le cerveau de nos petits français. Ils veulent en extirper le souvenir, le découper, le hacher menu et le jeter aux quatre vents, pour qu'on ne puisse jamais en recoller les morceaux (qui leur font peur !).
Et là, ils ont raison : on ne recollera pas une France en pleine dislocation sociale, en grande déroute intellectuelle, en démantèlement culturel, et en désagrégation historique, identitaire et morale en jetant par les fenêtres tout l'argent que nous n'avons plus depuis longtemps, ni en faisant miroiter le mirage terne et mortifère du multiculturalisme  (qui n'a jamais marché nulle part), ni par celui, inexistant, des avantages fantasmés de la planification stalinienne... ou, depuis peu, d'une Europe rendue folle par la haine aveugle de Zélensky, les ambitions territoriales de Poutine, le rêve de Khalifat d'Erdogan... ou le manque de vision à long terme de Macron...
Les français auraient pu --et dû-- s'en douter : Emmanuel Macron  avait déjà donné le ton avant même sa première élection. Rappelez-vous ses sorties honteuses sur ''l'inexistence de la culture française'', sur les soi-disant ''migrants'' (qu'il qualifiait de ''opportunité économique''), sur la  France qui, d’après lui, aurait ‘’toujours été un pays d’immigration'' ... ce qui est faux, bien sûr. (Cela fait plus de mille ans que nos ancêtres ont régulièrement versé leur sang pour repousser les invasions et les razzias sur notre -ou leur- territoire, mais nos accusateurs sans cause se fichent pas mal de ce qui est vrai ou juste ! Faux ou très faux, ils accusent, par système.).
 Finalement, pour ceux qui espéraient voir l'école continuer à renouer avec ses impératifs sacrés de transmission, d'enracinement et d'autonomie --qui devraient, seuls, la guider--, la nomination de Pap Ndiaye au ministère anciennement appelé ‘’de l'Éducation nationale’’, et la perspective de voir s'imposer chez nous le modèle anglo-saxon multiculturel et ses dérives mortelles anti-blancs-systémiques et cancel culture ont de quoi inquiéter. Je redoute qu’on me demande, ces jours prochains, d'avoir, à donner un avis sur ce sujet où, une fois encore, les voix de la sagesse et de la raison ont été priées de se faire toutes petites ou de rester au fond des urnes.
H -Cl.
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ask-bruce-j-speed · 3 years
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Petit exercice d'imagination, cher Bruce.
Une station service. Il fait nuit noir. Vous vous trouvez sous un porche, baigné dans la lumière crue et glaciale de l'endroit. Face à vous, il y a une machine ; vous sélectionnez votre boisson, une cannette qu'ornent quelques fraises dessinées. Vous êtes plongé dans vos pensées. Si bien que, lorsque vous vous retournez, vous n'entendez pas le coup de feu ; vous ne voyez pas l'éclat de la poudre qui s'enflamme brièvement, à la seconde de la détonation ; vous ne sentez même pas immédiatement la balle qui vient de vous perforer la poitrine, au centre même de votre joli blason. Vous vous effondrez, et la cannette vous échappe. Le véhicule s'éloigne. Vous n'avez pas le temps d'avoir mal ; déjà, vous êtes glacé. Le ciel est piqueté d'étoiles, et vous êtes seul, étendu, qu milieu de cette station service dont vous ne connaissez pas le nom. Vous sentez que vous glissez. La balle ne vous fait plus mal du tout. Vous tirez votre harmonica de votre poche ; vous jouez quelques notes. Mais déjà, votre main retombe, drainée du peu de force qui vous restait. Vos yeux se ferment. Votre souffle s'éteint.
Et voilà que vous êtes mort.
Bonne journée, Bruce.
@le-mouron-rouge
Vous êtes taré. Mais bravo, vous êtes doté d'une imagination débordante ! Dommage que vous décidiez de l'utiliser pour dire des conneries pareilles.
Très émouvant, n'empêche, quoique beaucoup trop dramatique pour sembler plausible.
Je vois aussi que vous devez connaître Paul ; c'est fascinant comme la description colle avec les espèces de dessins qu'il m'avait envoyé. Ou peut-être même que vous êtes un alt de Paul, caché sous un autre nom, ce qui ne serait même pas étonnant.
Oh, et bien sûr, pour finir : allez vous faire foutre. Et ce n'est pas la peine de revenir.
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le-mouron-rose · 3 years
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Questionnaire de Proust. Enfin.
Oui, @paul-saulter ; avec quelques retards, je l'admets volontiers... je me plie au petit jeu curieux du défi que tu as lancé. Dans l'espoir que cela vous divertisse, petits agneaux... !~
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1. Le principal trait de mon caractère ?
Mais, voyons, figurez vous que j'ai un caractère très facile à vivre… est-ce l'arrogance, qui prime ? La colère, l'impatience ? L'ambition ? La rancœur ? L'impulsivité ? Certainement un peu de tout cela. Mais soyez assurés, mes très chers lecteurs : je sais me contrôler.
2. La qualit�� que je préfère chez un homme ?
Hm, hm, la capacité à m'amuser, sans doute. Il est si aisé de s'ennuyer des autres. De se lasser. Faites moi rire, distrayez moi... ! Je ne demande... guère plus :)
3. La qualité que je préfère chez une femme ?
Pourquoi différencier ces deux questions ? Allons bon ! Disons que celle que je préfère chez Ma Femme serait... son inégalable sens du sarcasme. Piquant à souhait. Quoiqu'il ne me déplairait pas de la voir, peut-être, plus... sauvage. Je sais pertinemment que l'éclat d'un sang versé ferait, sur sa peau, un contraste sublime.
4. Ce que j'apprécie le plus chez mes amis ?
La distance qui nous sépare. Ils résident bien loin de Nous. C'est un soulagement. Je n'aime guère partager l'attention. Je suis trop facilement envieux... il pourrait me venir des idées. Je ne nie pas, bien sûr, l'apport intellectuel qu'ils apportent. J'ai toujours été affamé de connaissances ; et ces connaissances, c'est Eux qui les forment.
5. Mon principal défaut ?
Je suis incroyablement séduisant. C'est une véritable malédiction. La croix que je dois porter.
6. Mon occupation préférée ?
Observer, de loin, la vie de Nos dérivés. S'introduire, parfois. S'immiscer, un imposteur, un virus, un intru, dans leur vie, juste un instant… Observer. Mais ne jamais toucher, ne jamais modifier. L'envie ne manque pas. Oh, infiltrer les esprits, voir les pensées, creuser, tirer, sonder, renverser, labourer ! C'aurait pu être moi. Dans une autre vie.
Je me satisfais tout à fait des remarques intrusives sur leurs vies amoureuses. Le plaisir coupable des commérages, tu me pardonneras, lecteur :)
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7. Mon rêve de bonheur ?
Peindre la chambre à coucher en rouge. Tellement plus esthétique que cet ennui de bleu azur. Aucune offense, Ma Très Chère...
8. Quel serait mon plus grand malheur ?
Vivre dans un monde où la Tour se serait construite, de mes mains. Ne t'y trompes pas, petit agneau, petit lapin ! Ce monde là est exaltant. Fascinant. Brûlant, tumultueux, grandiose, abominable- un monde à mon image. Je le désire, parfois, de tout cœur, et ça m'en étouffe.
Mais c'est un monde si solitaire. Solitaire, et éphémère. Sans but. Il ne pourrait jamais y en avoir, de cela, si Elle n'est plus là. A portée de main.
9. Ce que je voudrais être ?
Je suis déjà tout ce que je voulais être. Et, vois, je m'efforce à bien me comporter ; j'évite soigneusement de vouloir être plus. L'envie, le désir, la jalousie, comme ces péchés là sont attrayants ! Pour moi, tout du moins... pour moi.
10. Le pays où je désirerais vivre ?
Ah, ma chère Mésopotamie me manque... Shinar, שִׁנְעָר, plus particulièrement. Bien sûr. Mais le temps a passé. La Forêt est Mon domaine, maintenant. Non- Notre domaine.
11. La couleur que je préfère ?
La cerise. Quelle inénarrable surprise ! Incroyable ! Etonnant ! Invraisemblable ! Inouï !
12. La fleur que j'aime ?
La rafflesia arnoldii. Quelle délicate plante. Quel délicieux parfum. Hm, senteur de décomposition morbide... Ecarlate, bien sûr... Mais c'est vrai, oui, bien sûr, c'est vrai. J'ai un faible pour le mouron, également. Le mouron rouge. Chasser la mélancolie, porter le rire. Et puis, quel beau roman !
13. L'oiseau que je préfère.
Tss. Les oiseaux. Créatures insignifiantes. Non, non, il est vrai, je ne dois pas parler ainsi. Un instant. Un oiseau, donc. La corneille, je suppose ; par défaut, pour le symbolisme, qu'en sais je. Un oiseau !
14. Mes auteurs favoris en prose ?
H.P Lovecraft. Bram Stocker... Peut-être Stephen King. Je dois admettre avoir un faible pour l'horreur cosmique.
15. Mes poètes préférés ?
Henri Michaux. Guillaume Apollinaire. Edgar Allan Poe. J'admet ne pas lire tant de poésie que cela... Peut-être pourrais-je admettre une faiblesse -si petite, oui, petite !- pour le néo-pétrarquisme, en général.
16. Mes héros favoris dans la fiction ?
La créature de Frankenstein ; Mr. Hyde... l'ange Gabriel, ou, tout du moins, son avatar du Mandela Catalogue. Batman, version d'Adam West.
17. Mes héroïnes favorites dans la fiction ?
Madame Satan ; Minerva McGonagall ; et, bien sûr... Ma Femme ;)
18. Mes compositeurs préférés ?
Charles Gounod. Pour son Faust, et son Faust uniquement. Tom Waits : oh, comme j'aime "What's He Building ?" !
19. Mes peintres favoris ?
Edvard Munch, Francis Bacon... ! Vous avez pu admirer ses œuvres tout du long du post, par ailleurs ; j'espère que cela vous plaît...~
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20. Mes héros dans la vie réelle ?
Il n'y est pas un homme qui ait su se montrer digne de m'inspirer ; aucun, peut-être, si ce n'est moi-même.
21. Mes héroïnes dans l'histoire ?
De toute évidence, il en va de même pour les femmes. Ou toutes autres personnes. Rien de bien émoustillant chez une poignée de mortels. Des mouches, voilà ce qu'ils sont tous.
22. Mes noms favoris ?
Voyons, voyons... Abel, certainement... Caen, pour la bonne mesure. Esther. David. Jonah. Heinrich (;)) Et puis, bien sûr ! Shachath.
23. Ce que je déteste par-dessus tout ?
L'ambition que rien ne peut jamais, jamais satisfaire tout à fait. C'est plaisant de dévorer ; ça l'est moins de l'être.
24. Personnages historiques que je méprise le plus ?
Cher lecteur, lectrice, lecteurice, ne le prends pas mal, petite chose, je m'en voudrais ô si terriblement... Mais c'est l'humanité entière que je méprise :) Y compris, oui, y compris tout ces gens que j'ai pu citer. Je ne les méprise pas tant que je te méprise toi, certainement. Mais le mépris est là. Il est indéniable. Ils n'ont su atteindre comme moi l'impossible, l'Idéal et l'Abstrait.
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Mais j'admets que ces tableaux sont magnifiques.
25. Le fait militaire que j'estime le plus ?
Tous ! Absolument tous ! Tout ces massacres, tout ces morts, tout ces blessés, ces cris et ces larmes et ces battements de cœur erratiques, l'odeur de la poudre et du gaz, les explosions, la fumée... Exaltant.
26. La réforme que j'estime le plus ?
Ah ! Ai-je une tête à m'intéresser à ce genre de chose ? C'est une question rhétorique, lecteur, et la réponse est non. Les mortels sont suffisamment ennuyeux pour ne pas avoir à ajouter des codes de lois par dessus.
27. Le don de la nature que je voudrais avoir ?
L'immortalité... Oh ! Mais attendez ! Je l'ai déjà ! Quelle cocasse coïncidence !
28. Comment j'aimerais mourir ?
Avec panache. Une implosion sublime et grotesque. Monstrueuse, immonde, poétique. Une mort impossiblement abominable, une mort digne d'une créature d'Eldritch, fascinante par tout ce qu'elle aura d'ignoble. Qu'on s'en souvienne ! Qu'elle traumatise, qu'elle pénètre l'âme ! Alors seulement sera-t-il tolérable d'envisager de partir.
29. État d'esprit actuel ?
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30. Les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence.
Je n'ai d'indulgence pour rien, ni personne, qui ne soit pas Moi. Ou, peut-être, lorsque je me sens d'humeur tout à fait charitable... Elle, et nos dérivés. Oh, oui, ceux-ci m'amusent. Au fond, je ne peux nier que je me suis attaché à eux !
31. Ma devise favorite.
« Lasciate ogne speranza, voi ch'intrate »
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agentsix606 · 3 years
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Happy Remembrance Day everyone!
Here are a few Remembrance Day poems to enjoy:
Bonne Jour du Souvenir tout le monde!
Voici quelque Jour du Souvenir poèmes pour aimer:
In Flanders Field by John McRae
In Flanders fields the poppies blow
Between the crosses, row on row,
That mark our place; and in the sky
The larks, still bravely singing, fly
Scarce heard amid the guns below.
We are the Dead. Short days ago
We lived, felt dawn, saw sunset glow,
Loved and were loved, and now we lie,
In Flanders fields.
Take up our quarrel with the foe:
To you from failing hands we throw
The torch; be yours to hold it high.
If ye break faith with us who die
We shall not sleep, though poppies grow
In Flanders fields.
Dans les Champs de Flandre
Dans les champs de Flandre, le coquelicots fleurissent
Entre les croix qui, ligne par ligne,
Marquent notre place ; et dans le ciel
Les alouettes, chantant encore courageusement, volent
A peine audible au milieu des fusils plus bas. 
Nous sommes Les Morts. Il y a quelques jours encore
Nous vivions, sentions l'aube, avons vu le coucher de soleil
Nous aimions et étions aimés, et maintenant nous reposons
Dans les champs de Flandre. 
Nous reprenons notre querelle avec l'ennemi :
A vous, de nos mains tremblantes, nous jetons
La torche ; à vous de la hisser vers le haut.
Si vous nous abandonnez, nous qui mourons
Nous ne trouverons pas la paix, bien que les coquelicots fleurissent
Dans les champs de Flandre.
I Thank My Lonely Soldier by Agentminnesota187
Lonely soldiers in the wild,
Fought for peace so we could smile.
Family lost in the heat of battle,
Lonely soldiers fear the rattle.
Fearful soldiers brave in their climb,
Lovers cried when it was their time.
Low and high the earth would shake,
Lonely soldiers meet their fate.
It isn’t right, It isn’t fair,
Lonely soldiers dying in the air.
Young and old, lives are spent,
Love is true, but trust is bent.
Loyalty always matters to you,
It stays with us sung by a chorus of two.
Brave soldiers into the night,
Thank you for fighting with all of your might.
I thank my brave soldiers here
And light a flame to honor their bravery,
I wear a red poppy to honor the buried
And a hand on my heart to remember the attended.
I take a minute of silence to remember thee
Not just to the count of one, two, three,
Their faces crowd inside of my head.
Thank you soldier, I thank the dead.
Je Remercie Mon Soldat Solitaire: Agentminnesota187
Les soldats solitaires dans la nature,
Battre pour la paix pour que nous pouvons sourire,
Les familles sont morts dans le feu du bataille,
Les soldats solitaires ont peur du cliquetis.
Les soldats peurs sont brève dans leurs escalade,
Les amoureux se pleurent quand c’était leurs temps,
Haut et bas le terre se tremble,
Les soldats solitaires rencontrent leurs destins.
Ce n’est pas correct, ce n’est pas juste, 
Les soldats solitaires se meurent dans l’air,
Jeunes et vieux, les vies sont passée,
L’amour est vrai, mais la confiance est dispositionée.
La loyauté est valorisé par vous,
Ca reste avec nous chanté par un chorale de deux,
Les soldats brèves dans le nuit,
Merci pour battre avec toute de votre force.
Je remercie mes soldats brèves ici,
Et j’allumerai un flamme pour honorez leurs brièveté,
Je porte un coquelicot rouge pour honorer les enterré, 
Avec une main sur mon cœur pour me souvenir les assisté.
Je prend un minute de silence pour souvenir de vous,
Mais pas pour seulement un compte d’un, deux, trois,
Leurs visages foule à l’intérieur de ma tête,
Merci soldat, je remercie les morts.
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kouillon-en-chef · 3 years
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Annonce importante- mais seulement pour les gens du chat de groupe.
Bon, bah, Tumblr nous la fait à l'envers ! On pourra plus taper la discute pépouze dans notre coin. Du coup, maintenant, si vous voulez lancer une conversation, vous pouvez soit faire un post de ce type (aka, du type de ceux que je suis en train de faire), soit venir me poser une ask (ma boîte est ouverte, hein, et je crois que toutes les vôtres aussi). Nos conv' se feront donc en chaîne, et va donc falloir respecter un peu des règles : coupez pas la parole aux autres ! Vous rebloguez seulement la dernière personne à avoir parlé dans le post, pour que ce soit un minimum lisible. Sinon, bah, c'est vous qui risquez d'être oublié...
Ah, et puis, tant que j'y pense ! Y'a deux nouveaux venus- @thanasis-aiskhulos et @celestin-melies. Bienvenue à vous deux ! :D Mais, comme vous le savez probablement, les autres- ils sont pas vraiment du même coin que nous, donc c'est probable qu'il soit plus compliqué d'engager la conv' avec eux. Ils sont même pas venus à cause de moi xD
Enfin, bien sûr- puisque maintenant, on part en full public, faites gaffe à ce que vous dites. Evitez de décrire trop précisément les fonctions de votre, euh, job. Va falloir se montrer plus cryptique. Ce serait con de provoquer un p'tit courant de panique xD
Maintenant, cette partie du message est uniquement dirigée pour @le-mouron-rouge ; les autres, vous ne voyez rien, ignorez le.
S'il Vous plaît, vraiment, n'en profitez pas pour faire n'importe quoi... Vous aviez promis. S'il Vous plaît. N'engagez pas la conversation avec les autres. Vous allez causer un véritable chaos, sinon.
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dujeu · 3 years
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Oscars 2022: Quand est-ce? Qui est nommé? Votre plus grand pré
Les 94th Academy Awards sont presque ici - et il est certain d'être un pour les livres.
Quand sont les Oscars? Temps et date de la cérémonie de la 94e Academy Awards
Comment regarder les Oscars
Qui sont les principaux nominés?
Qui héberge?
Il y a déjà eu un peu de controverse autour de la cérémonie, à savoir à cause de la décision de l'Académie de réduire huit catégories de la diffusion en direct. Ils ont également introduit le prix Fan Fall Favoris Oscars, qui permet aux utilisateurs de Twitter de voter pour tout film publié en 2021 qui est admissible à un prix de l'Académie - le gagnant de qui sera annoncé en direct. Les gens ont également été déconcertés pour apprendre que la liste des présentateurs a inclus Cenqueur DJ Khaled et de planche à roulettes Legend Tony Hawk - mais que la Lady Rachel Zegler de l'histoire de l'ouest de l'histoire de l'ouest de l'histoire de l'ouest de l'histoire.
Avec tout cela menant à la grande nuit, beaucoup sont intéressés à voir comment la cérémonie va panner - et si leurs films préférés vont gagner gros. Nous avons mis en place un guide rapide pour regarder les Oscars cette année, la date et l'heure de l'événement complet et un coup d'œil sur les gros nominés.
Quand sont les Oscars? Temps et date de la cérémonie de la 94e Academy Awards
Les 2022 Oscars auront lieu Dimanche 27 mars et commencez à 17h Pacific / 20h Eastern . Pour les téléspectateurs britanniques, c'est le 28 mars à 1 heure du matin.
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La couverture de tapis rouges commencera à 16h30 Pacific / 6h30 à l'est de l'est, une heure et demie avant de montrer de l'heure Les entretiens seront probablement trouvés pré-cérémonie sur la chaîne YouTube officielle de l'Académie.
Comment regarder les Oscars
Aux États-Unis, vous pouvez regarder la cérémonie ABC, en ligne sur ABC.com, via YouTube TV ou Hulu. Au Royaume-Uni, vous aurez besoin d'un accès aux Oscars de Sub-Channel Sky Cinema ou que vous pouvez diffuser les Oscars en ligne à travers maintenant un laissez-passer Sky Cinema. L'abonnement coûte 9,99 £ / mois, mais vous pouvez également profiter de l'essai gratuit de sept jours.
Qui sont les principaux nominés?
Le drame occidental de Jane Campion Le pouvoir du chien mène à 12 nominations. La dune de Denis Villeneuve avec l'histoire de la Side West Villeneuve et de Belfast avec sept avec sept et King Richard avec six ans.
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La partie la plus attendue de la nuit est le prix de la meilleure image, avec les nominés énumérés ici en totalité:
Pour la liste complète, consultez notre guide de nominations Oscar 2022.
Qui héberge?
Amy Schumer, Regina Hall et Wanda Sykes accueilleront la cérémonie comme trio. Jimmy Kimmel a été la dernière à héberger en 2018, avant que les ACADEMY AWARDS ne fassaient trois années complètes sans une.
La cérémonie aura lieu au Théâtre Dolby à Los Angeles, qui a été la maison des Oscars presque chaque année depuis 2002.
Avec le battage médiatique, la controverse et la liste absolument empilée de films de qualité, nous réglerons certainement. De plus, nous mourons de savoir si Cendrillon rentrera à la maison le prix du Fan Favori sur Spider-Man: Néant à la maison.
Pour plus, consultez notre liste des prévisions Oscars 2022.
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hellomounette · 6 years
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Le mouron rouge est posé sur mon blog http://sims3passion.eklablog.com/le-mouron-rouge-a146526098  id 12mich06
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PAUL MEURISSE.
Filmography
1941: Ne bougez plus
1941: Montmartre-sur-Seine
1942: Defense d'aimer
1942: Mariage d'amour
1943: La Ferme aux Loups
1945: Vingt-quatre heures de perm
1945: Marie la Misère
1946: L'Insaisissable Frédéric
1946: Macadam
1947: La Fleur de l'âge
1947: Inspecteur Sergil
1947: Monsieur Chasse
1947: Bethsabée
1948: La Dame d'onze heures
1948: Manù il contrabbandiere
1948: Le Colonel Durand
1948: Le Dessous des cartes
1948: Sergil et le dictateur
1948: Impasse des Deux-Anges
1948: Scandale
1949: L'Ange rouge
1949: Dernière heure, édition spéciale
1950: agnes de rien
1951: Maria du bout du monde
1951: Ma femme is formidable
1951: Vedettes sans make-up
1952: Sérénade au bourreau
1952: Sergil chez les filles
1953: Je suis un mouchard
1955: Les Diaboliques (The Diabolical)
1955: Fortune carrée
1955: La Castiglione
1955: L'Affaire des poisons
1957: Jusqu'au dernier
1957: L'Inspecteur aime la bagarre
1958: Les Violents
1958: Échec au porteur
1958: Le Septième Ciel
1959: Simenon
1959: Guinguette
1959: La Tête contre les murs
1959: Marie-Octobre
1959: Le Déjeuner sur l'herbe
1960: La Française et l'Amour
1960: La Vérité
1961: Le Jeu de la vérité
1961: Les Nouveaux aristocrates
1961: Le Monocle noir
1962: Du mouron pour les petits oiseaux
1962: Carillons sans joie
1962: L'Œil du Monocle
1963: Méfiez-vous, mesdames
1963: L'assassin connaît la musique ...
1963: Les Tontons flingueurs
1964: Le Monocle rit jaune
1965: Quand passent les pheasants
1965: La Grosse Caisse
1965: Le Majordome
1966: Le congrès s'amuse
1966: Moi et les hommes de quarante ans
1966: Until the last breath
1969: The Army of Shadows
1970: Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques
1971: Doucement les basses
1973: Les Voraces
1973: Un flic hors la loi
1974: Les Suspects -
1975: L'Éducation amoureuse de Valentin
1975: Le Gitan (aka the gypsy).
Créditos: Tomado de Wikipedia
https://es.wikipedia.org/wiki/Paul_Meurisse
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