Tumgik
#ménade
philoursmars · 10 months
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Revenons à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ).  On est en 2017. Oui, mon blog est né en 2017 mais je vais prolonger ce projet...jusqu’à l’année 2018 . Allez....
Au Louvre-Lens, il y eut une très belle expo : “Musiques de l’Antiquité” :
- applique, Gorgone - Béotie, 550 av. JC. - 2017
- chapiteau hathorique - Dendérah, Epoque Ptolémaïque, 150 av. JC.
- ménade au tambourin - Tanagra, 250 av. JC.
- stèle avec dieux musiciens - Suse, 1300 av. JC. - 2017
- collier “menit” - Thèbes, Nouvel Empire, 1370 av. JC.
- voir 2
12 notes · View notes
biwifeenergia · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media
Los festejos en el Obelisco el 18/12/22 + Las Ménades de Julio Cortázar
164 notes · View notes
walzerjahrhundert · 9 months
Photo
Tumblr media
Henri Gervex
Satyre et Ménade
1874
38 notes · View notes
fashionlandscapeblog · 7 months
Text
Tumblr media
Ossip Zadkine
Les Ménades, 1934 - 1935
17 notes · View notes
yaellaharpe-blog · 20 days
Text
Tumblr media
Sátiro abrazando a una Ménade / Ariadna
Satyr embracing a Maenad / Ariadne
Fresco estilo III, que representa a un sátiro abrazando a una ménade o Ariadna. El hallazgo, que pertenece a las colecciones MANN, procede del tablinum de la casa de Lucio Cecilio Giocondo en Pompeya. La red de oro que sujeta el cabello, los pendientes, el collar y el brazalete son ejemplos del gusto de la época (mediados del siglo I d.C.).
El gabinete secreto del Museo Arqueológico de Nápoles
ph. by Silvia Vacca
***
III style fresco, depicting a Satyr embracing a Maenad, or Ariadne. The find, which belongs to the MANN collections, comes from the tablinum of the House of Lucio Cecilio Giocondo in Pompeii. The gold net that holds the hair, the earrings, the necklace and the bracelet are examples of the taste of the time (mid-1st century AD).
The Secret Cabinet of the Archaeological Museum of Naples
6 notes · View notes
Text
¡Lo encontré por ahí!
Detalle de jarrón romano Borghese con un altorrelieve de Dioniso, ménades y sátiros.
Tumblr media
3 notes · View notes
claudehenrion · 2 years
Text
Pour une écologie qui nous libère (enfin) des  écologistes... ( III ) : ''L'obscurantisme vert''.
   Parmi les ouvrages qui disent la vérité au lieu de recopier-recoller les bobards que le Pouvoir rêve de voir les français avaler et digérer… une “pépite” récente, aux Editions du Cerf : l’Obscurantisme vert, du Pr. Yves Roucaute, ancien “coco” touché par la grâce. Un vrai régal qui ajoute les bémols nécessaires à tous les mensonges habituels sur le CO², le réchauffement climatique et sur les impostures des faux écologistes de pacotille qui occupent la totalité de notre espace médiatique... où pourtant, n'ayant vraiment rien de sensé à raconter, ils devraient n’avoir rien à faire.
Nous parlons souvent de ce sujet d'une importance telle (si l’humanité a encore un futur) qu'y “revenir” n'est pas une redite mais un approfondissement. Un espoir ? De plus en plus de français ont enfin compris, même si c'est un peu tard, qu'on “se fout de leur gueule” (NB : espérons que les “sanctions” inadaptées, inutiles, mal ciblées et contre-productives liées à la crise dite ukrainienne --dont l'autre nom est : “comment l'Otan a réussi à faire commettre à Poutine une faute gigantesque qui menace la paix du monde et l'économie occidentale--, ne vont pas rétrograder notre France en sous-puissance de troisième ordre : les princes qui nous gouvernent si mal ''ont tout faux'', et sont trop heureux de pouvoir se ruer sur une boutade de Christophe Galtier pour redéfinir ce dont on a le droit de rire ! Nos ''penseurs (?) de gauche'' ne sont en réalité que des ayatollahs iraniens, mais en encore plus con !
La grande majorité de ceux qui se disent ’‘écologistes” ne connaissent rien au sujet, mais profitent de l’inculture des braves gens pour leur faire croire que le CO² serait responsable d’un réchauffement climatique (très modeste à l'échelle de l'Histoire, s'il ne l'est pas à la nôtre, après cet été 2022 caniculaire), qui ne dépend presque exclusivement que de forces naturelles… Mais cela permet de se faire élire maire à Grenoble ou à Bordeaux, au mépris de toute vérité et de la science, qui démontre clairement que la vision partisane (donc mensongère) du Giec ne parle que de la partie visible de cet immense iceberg –ce qui revient à passer volontairement sous silence les 7 / 8 èmes de sa masse… et de ses capacités de nuisance ou de vie !
Nos actuels “prophètes de malheur” n'ont d'existence qu'à travers leur idéologie masochiste, nouvelle iso-religion mortifère dont le “Credo” est punitif, douloureux, insupportable et inutile, et dont la grande prêtresse (enfin... n'exagérons rien ! La gourou-rousse-rouge, plutôt, ou la ménade-ménate d'une fausse colère psittaciste !) serait Greta Thunberg... dont je suis fier d'avoir réussi à résister à 17 pages de son ''Moi Greta'' avant de sombrer dans un sommeil cataleptique auquel j'ai survécu par miracle ! Contre leurs affirmations infondées, il est faux de dire que le CO² est une molécule polluante ou dangereuse : c'est une source d’oxygène et d’énergie. Ce gaz, que nous expirons en permanence (vous et moi -et même Greta Thunberg, exhalons environ un kilo de CO² par jour) sert à mille et une choses nécessaires, notamment en agriculture. La science –qui n'a jamais varié sur ce sujet– mesure que, au cours des 460 derniers millions d’années (dont des épisodes glaciaires, d'autres torrides, et d'autres encore, ''entre deux''), les pourcentages de CO² dans l'atmosphère ont toujours été supérieurs à ce que nous constatons aujourd’hui.
Retour sur images : il y a 2,5 à 3,8 milliards d’années, la température moyenne, sur la Terre, était supérieure à 55 degrés… et le taux de CO² mille fois plus important qu’en 2022. Il y a 500 millions d’années, le taux de CO² était quelque 15 fois supérieur à ce que nous connaissons, soit entre 3000 à 7000 ppm (partie par million) contre 415 ppm de nos jours. Pendant l’Eocène (il y a ± 50 millions d’années), les températures moyennes étaient de 29°C sur la Terre, les mers étaient à 40°C, et le taux de CO² de 1600 parties par million, soit quatre fois plus qu’aujourd’hui (en traduisant en pourcentage, on obtient 0,044 % de CO² dans l’atmosphère en 2022, vs. 0,2 % il y a 49 millions d’années, soit cinq fois moins).
Autre réflexion : à la fin du Trias ( ± 200 millions d’années), 80% des espèces ont disparu, pour une cause non définie, alors que l’homme, cet ennemi juré des faux écologistes–vrais déconologistes, n’existait pas encore. Et 150 millions d'années plus tard (vers l'an “–60 millions”), les ¾ des espèces (dont tous les dinosauriens) ont disparu… ce qui exonère l'Homme, le CO² et tous les ''artefacts'', ces ''fausses-raisons-qui-n’expliquent-rien'', des disparitions dont nos décroissantologues plus rouges que verts nous rendent coupables, sans raison mais par système.
Un peu plus tard (sic !), il y a quelque 6 millions d'années (soit quatre millions d'années avant l'apparition du premier homo habilis), un ''réchauffement climatique'' dit messénien a entraîné un réchauffement qui a duré… 630 mille ans ! Le niveau des océans a ''grimpé'' de 150 mètres et les températures de surface des mers sont passées de 19 à… 27 degrés : on aurait pu se croire à Saint Tropez, pendant la “canicule 2022” ! C'était un début : juste après le Messénien, vint le Pliocène inférieur (de - 5 à - 4,5 millions d’années), une période encore plus chaude… qui fut suivie d'une période froide (entre -4,5 et – 4 millions d’années)… elle-même suivie d'une période de réchauffement, entre -4 et -3,5 millions d'années (+ 8° par rapport aujourd’hui, et 15 degrés de plus, en Arctique), le niveau des mers s'élevant de 25 mètres, et cetera... Je vous laisse imaginer les scènes apocalyptiques qu'auraient pu fantasmer, dans de telles conditions, le GIEC et les autres cuistres écolos, ces spécialistes de l'arbre qui cache la forêt ! En résumé, toute l’Histoire du climat démontre qu’il n’y a AUCUNE corrélation entre le taux de CO² et une variation de la température naturelle. En revanche, on peut dire sans se tromper que le principal “gaz a effet de serre” est… la vapeur d’eau, ce facteur majeur des réchauffements climatiques, avec le méthane... mais c’est mal vu de le dire !
Curieusement, l'histoire a conservé la trace d'un “optimum climatique médiéval” entre 950 et 1270 – peu avant les croisades-- épisode qui déboucha, de 1270 à 1500, sur un “petit âge glaciaire” dont les peintres flamands nous ont laissé tant de traces superbes… bientôt suivi d’un nouveau réchauffement de 1500 à 1560… puis d’un nouveau petit âge glaciaire, de 1560 à 1830, d’un court réchauffement puis d’un refroidissement (1870 - 1910)… avant un autre réchauffement (environ + 1° en 120 ans)… alors qu'un refroidissement (encore un !) serait peut-être attendu vers 2030/2040… Je ne vais pas vous embêter davantage : la consultation des “séries longues” suffit à mettre en déroute toute l'argumentation partisane mais officielle du Giec : l'histoire du monde est une succession désordonnée, mais toujours inexplicable, de périodes longues, froides puis chaudes, entre-mêlées de périodes courtes, chaudes et-ou froides... Et tout était très bien comme ça... jusqu'au jour où notre orgueil devenu incommensurable nous à fait nous prendre pour le ''deus ex-machina'' : nous serions devenus si importants que rien ne pourrait avoir d'autre cause que ‘’nous’’ ! Vanitas, vanitatis !
Que nous voilà loin du récit simplificateur de nos faux-écolos qui, dès qu'une belle journée nous rend un peu de ce moral qu'ils sont si prompts à nous voler, se précipitent pour nous expliquer que “c’est la faute au CO², donc à l’Homme…”, oubliant que le niveau des mers a varié de… 400 mètres en cent millions d’années (entre –150 et + 250 mètres par rapport à aujourd’hui . Pas mal !). En revanche, jamais personne ne prend le temps de nous expliquer les -37 degrés dans le Minnesota, les -48 degrés sur les grands lacs en 2019, les -55 degrés en Sibérie en décembre 2020 à Ojmakon, les –38,9 degrés à Oslo… ou nos +41° du mois dernier, en France, comme si toute l'histoire de notre planète était autre chose qu'une alternance naturelle entre des réchauffements et des refroidissements…
Aujourd'hui, les vrais savants, non-doctrinaires et non-engagés (il en reste, hors des officines gouvernementales), disent que les fameux “gaz à effet de serre” qui angoissent pour rien toute la jeune génération sont une conséquence et non la cause de variations naturelles dues à de multiples facteurs tels que la position de la Terre par rapport au Soleil, les éruptions volcaniques, la tectonique des plaques, les chutes d’astéroïdes etc. Mais le Giec, ce cauchemar pour vrais scientifiques, dispose d’immenses budgets qui n'engraissent que les suiveurs dont les enquêtes vont dans leur mauvais bon sens… Leurs ‘’manips’’, leurs tripatouillages et leurs conclusions au forceps sont dénoncées par tous les vrais scientifiques… mais ceux-là sont bannis des médias colportant la pensée officielle, dite main stream…
Une dernière question : pourquoi cette haine contre le CO², qui est bon pour notre planète et sur lequel nous n’avons, en plus, aucun moyen d’action autre que punitif et incantatoire ? Pourquoi faire interdire les diesels (qui émettent 10 fois moins de particules que les moteurs à essence) alors que la pollution urbaine est en baisse et que les polluants ont presque disparu, contrairement à ce que croient 90% des Français ? Parce que nos faux écolos sont grassement subventionnés par les fabricants d’éoliennes, de photo-voltaïque, de voitures électriques, de batteries pleines de matériaux rares, etc… Résultat ?  Chaque fois qu’un français, “poussé au crime” par la “propaganda” officielle, change sa vieille bagnole essence ou diesel pour une voiture électrique, le “vieux” véhicule part dans un pays pauvre, ou il va rouler –et polluer– pendant 25 ou 30 ans ! Ce n'est pas sans de bonnes raisons que le mensonge écologiste a été baptisé “le hold-up du siècle” ! Mais quand les braves gens vont-ils enfin se ressaisir et ouvrir les yeux ? On en reparle.
H-Cl.
PS : Par chance pour la vérité, mais contre toute attente, un ‘’JT’’ du 1er août 2022 (TF 1), parlant de la canicule, a bien expliqué que le partage de l’anticyclone de l'Atlantique Nord en deux courants empêchait les courants froids d’aborder l’Europe… y compris ces jours derniers, ainsi clairement expliqués. Le journaliste qui a osé la vérité a dû être viré. Ce phénomène ne touche que l’Europe, et n'a donc pas le moindre rapport avec l'absurde arrêt d'urgence des énergies fossiles, l'interdiction des voitures dans les villes ou la confirmation ''perinde ac cadaver'' de la décision ''limite criminelle'' du ''tout électrique pour 2035''... une des toutes premières conneries à la mode qui devait être supprimée... ‘’quoi qu'il en coûte’’ : c'est la clé de notre futur que nous offrons ''gratos'' aux chinois. Folie, stupidité, idiotie, ou foi sans loi en des mots sans sens de gens qui n’en ont pas plus ?
14 notes · View notes
joseandrestabarnia · 10 months
Text
Tumblr media
Arte romano Relieve con Ménades danzantes Finales del siglo I a.C. Mármol pentélico Inv. 1914 núm. 318 Procedencia anteriormente en la colección Riccardi; en la Galería desde 1825.
El tema de las Ménades danzantes se conoce a partir de más de cincuenta réplicas romanas en mármol, todas ellas dependientes de un prototipo de finales del siglo V a. atribuido a un escultor de la escuela calímaca. Se ha supuesto que el original estaba destinado a adornar el monumento erigido en Atenas en el 406 a. para celebrar la victoria del Baco de Eurípides en concursos teatrales. El relieve florentino, que reproduce con sumo cuidado tres de las seis figuras de Ménades que decoraban el friso ateniense, puede remitirse a talleres neoáticos. El trabajo se completó con un uso extensivo del recubrimiento de pan de oro (utilizado para el cabello de las mujeres, las joyas y el thyrsus).
Información de la Gallerie degli Uffizi, imagen/es de mi autoría.
3 notes · View notes
Text
Dionysos est le dieu frénétique. Pour l'amour de lui délirent les Ménades. Ce qui fait question n'est donc pas la raison de leur égarement, mais bien plutôt la signification de la démence divine... Un dieu à l'essence duquel appartient la démence ! Qu'ont vu les hommes, qu'ont-ils senti, que la monstruosité de cette représentation est chargée d'exprimer? La figure de tout vrai dieu est la figure d'un monde. Un dieu dément ne peut exister que s'il y a un monde dément qui s'ouvre à travers lui. Où est ce monde? Pouvons-nous encore le trouver et le reconnaître? À cette tâche personne ne peut nous aider que le dieu lui-même. Nous le connaissons comme l'esprit sauvage de l'antithèse et de la contradiction : de la présence immédiate et de l'absolue distance, de l'extase et de l'horreur, de la vitalité illimitée et de la destruction la plus cruelle. L'élément de joie dans sa nature, le créatif, le bienfaiteur, l'extatique ont part aussi à sa sauvagerie et à sa folie. Ceux-ci également ne sont-ils pas déments parce qu'ils portent déjà en eux-mêmes une dualité, parce qu'ils se tiennent sur le seuil au-delà duquel un pas conduit au démembrement et aux ténèbres? Nous touchons ici une énigme cosmique : le mystère de la vie qui s'engendre elle-même à nouveau. L'amour qui vole à la rencontre du miracle de la procréation est touché par la folie. Ainsi est l'esprit qui est ébranlé par l'impulsion créatrice. [... ]
Qui crée quelque chose de vivant doit s'enfoncer dans les profondeurs primordiales où résident les forces de la vie. Et quand il émerge, une lueur de folie brille dans ses yeux parce que dans ces profondeurs la mort vit ensemble avec la vie. Le mystère originel est lui-même dément — foyer de la dualité, unité du discord. Il n'est pas nécessaire ici de faire appel aux philosophes ; nous pourrions cependant citer beaucoup de passages de Schelling. Tous les peuples et les âges attestent cela par leurs expériences vitales et leurs rituels.
L'expérience des peuples leur dit : partout où il y a des signes de la vie, la mort, elle aussi est proche. Plus vivante devient cette vie, plus proche la proximité de la mort, jusqu'au suprême moment, le moment enchanté où quelque chose de neuf est créé, où la mort et la vie se touchent dans une joie démente. Le tourbillon et le frisson de la vie doivent leur profondeur à l'ivresse de la mort. Chaque fois que la vie s'engendre à nouveau, le mur qui la sépare de la mort s'écroule momentanément. La mort vient aux vieux et aux malades de l'extérieur, apportant crainte ou réconfort. Ils y pensent parce qu'ils sentent que la vie s'évanouit, mais pour les jeunes l'intimation de la mort se lève à partir de la pleine maturité de leur propre vie et les enivre au point que leur extase devient illimitée. La vie devenue stérile s'avance en chancelant à la rencontre de sa fin ; mais depuis toujours, dans l'enthousiasme, l'amour et la mort se sont salués et captivés.
Ce lien d'essence éternel est la raison du fait remarquable que les peuples, depuis un temps immémorial, ont su que les morts et les puissances du monde souterrain sont présents aux événements centraux et aux fêtes de la vie, nommément à la naissance et à la puberté. La recherche récente, qui a rarement le courage de s'enfoncer dans la profondeur, préfère chercher la signification des cultes et des mythes dans le monde conceptuel d'une croyance populaire devenue pusillanime plutôt que dans le sérieux de l'existence elle-même. Elle a donc référé ces usages et ces vues à la peur humaine des démons nuisibles et des fantômes. Mais aucun progrès ne sera fait si nous voulons jouer partout les esprits supérieurs et pensons seulement à convaincre les auteurs de vénérables institutions d'erreur et de superstition. Ils en savaient plus sur la vie que nous.
Aux grands moments où la vie avance, ils ont su voir la mort en face parce qu'elle est réellement là. À chaque naissance, la vie est ébranlée dans ses ultimes fondements, non par la maladie ni par quelque menace extérieure, mais par sa plus importante fonction. C'est précisément dans cette circonstance que son lien avec la mort devient le plus clair. Les peuples qui célèbrent des fêtes comme celles-ci ne se bornent pas à penser aux périls. Ils croient fermement que la présence du monde souterrain est absolument indispensable au grand événement qui s'accomplit avec la naissance. Est-ce une illusion? Chacun de nous n'a-t-il pas le visage d'un mort? Chacun ne vit-il pas la mort de ceux qui sont venus avant lui? Ne reproduit-il pas leurs traits, leurs mouvements, leurs pensées et émotions? N'est-il pas l'expression de tout le monde antérieur? Dans l'enfant nouveau-né, l'aïeul émerge des ténèbres de la mort. C'est pourquoi les divinités de la naissance et de la fertilité se tiennent si proches des divinités de la mort, c'est pourquoi elles se confondent souvent complètement.
Dionysos, Walter F. Otto
5 notes · View notes
philoursmars · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 53065 photos (nouveau compte !)
2011. Une journée d’automne à Paris.
Les jardins du Luxembourg, avec la Fontaine Marie de Médicis (”Polyphème surprenant Galatée dans les bras d’Acis), une rhubarbe (?) et le Sénat.
5 notes · View notes
dioniso-y-cernunnos · 2 years
Text
Caminos a Dioniso: el Amigo
—| Explora más del Templo |—
Tumblr media
Cuando miramos la mitología relacionada con Dionisos, encontramos ampliamente reflejada esta verdad de que hay muchos caminos que conducen a él. El camino de la Ménade y el camino del místico pueden destacarse más, pero hay otros de igual importancia.
Por ejemplo, encontramos el camino del propio Tieresias, que yo llamo el camino de la filia o de la amistad. Para una persona así, Dionisos ha de permanecer siempre en la periferia. Se dedican principalmente a otro Dios, cuyas demandas sobre ellos son de importancia central. Abrazar a Dionisos por completo sería renunciar a la relación que ya tienen con su Dios, violar sus principios, ir en contra de su propia psicología innata. Dionisos no quiere esto. Respeta a su familia y sus reivindicaciones territoriales, y no cruzaría esa frontera aunque pudiera.
En cambio, lo que ofrece a esas personas es una liberación temporal. Un tiempo de libertad y celebración, que una vez completado se vuelve a la vida normal. Una persona así puede tener sentimientos de cariño hacia Dionisos, pero nada más. No hay una devoción intensa, ni un compromiso fuerte. Puede hacer mucho para contribuir a la obra del Dios, por ejemplo, ayudando a organizar festivales para él, escribiendo poesía, hablando a otros sobre Dionisos, ayudando a aquellos que son verdaderamente devotos del Dios - pero todos sus esfuerzos son los de un externo.
Y Dioniso ve con buenos ojos este tipo de trabajo. Tienen mucho que aportar, pues él es un Dios social, el Dios de la multitud y del gentío, el Dios cuya manía se extiende entre grandes grupos de personas, el Dios que, según Eurípides, desea recibir honores de todos. Si su culto estuviera reservado sólo a los pocos que le son intensamente devotos, nada de esto sería posible. De hecho, los rituales realmente buenos que tanto le gustan nunca llegarían a realizarse, ya que hay que cuidar todo tipo de detalles que los místicos acérrimos probablemente pasarían por alto. Cosas como la organización, la adquisición de bienes, la preparación de las cosas, la reunión de la gente, etc. Otros dioses inspiran el tipo de personas que son buenas para manejar estos pequeños detalles, pero Dionisos se beneficia de su presencia en sus ceremonias.
Y Dionisos, a su vez, puede ayudar a estas personas a fortalecer su relación con sus propios dioses. Muchas veces se ha descrito a Dionisos como un Dios de entrada. Puede que sea el primero que capte su interés, que les inicie en el camino del helenismo, que les ayude a lidiar con ciertos problemas y a derribar bloqueos mentales, pero después no sienten ninguna conexión profunda con él. En lugar de eso, otro Dios se eleva en prominencia para ellos, alguien que llena más adecuadamente sus necesidades espirituales, alguien que inspira esa devoción profunda y comprometida de su parte. A menudo se sienten confusos y tristes: ¿dónde ha ido Dionisos? ¿He hecho algo malo y por eso ha desaparecido? Ya que fue el primero, ¿por qué siento mucho más por esta u otra divinidad? Aunque estos pensamientos son naturales, y pueden ser pasos importantes en el camino introspectivo, también es importante recordar que Dionisos es un Dios cambiante que va y viene a su antojo, y que tiene una relación de trabajo muy fuerte con los otros Dioses. A menudo hacen cosas por los demás cuando uno de ellos es más adecuado para la tarea que los otros. Así que es muy posible que eso sea lo que se esconde detrás de esto: nunca se pretendió que fueras un dionisiaco, sino un amigo de Dionisos.
12 notes · View notes
philippequeau · 2 years
Text
Sagesse et folie divines
Sagesse et folie divines
‘Euripide’. La Pythie ou la Sibylle, les Bacchantes ou les Ménades se livrent entières à la transe, elles sont possédées, elles entrent en communication avec le divin. Platon compare « cette puissance divine qui te met en branle » à la « pierre qui a été appelée ‘magnétique’ par Euripide », et il en voit l’effet sur la création artistique. « C’est ainsi que la Muse, par elle-même, fait qu’en…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
fotograrte · 2 months
Text
Esquifo (Skyphos) de terracota en el Museo MET
07.286.33: adornos florales con cabezas de ménades; 51.11.1: zarcillos florales con pato La representación imaginativa de zarcillos líricos y flores recuerda motivos similares en la cerámica griega del sur de Italia, especialmente en Apulia. Museo Met. Título: Skyphos de terracota (copa profunda para beber) Artista: Atribuido al Grupo Tondo Período: helenístico Fecha: ca. 325-300 a.…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
olimpianosff · 4 months
Text
Cap. 19- Um deus nos paga o jantar.
Wooyoung
Saímos daquele lugar o mais rápido possível, não queríamos arriscar que as Ménades nos pegassem novamente, não mesmo.
O pessoal não lembrava de nada e aquilo estava deixando todo mundo maluco, eu e Luiza ficávamos olhando de vez em quando para Yeosang e Lizzy como se em algum momento eles fossem dizer que sei lá, tinham um filho.
Por falar nela, enquanto Yeosang dirigia o ônibus, eu a olhei. Lizzy estava sentada em um canto, olhando através da janela. Desde que havíamos saído da ilha das amazonas que eu sentia Lizzy estranha, mesmo enquanto eu tentava provoca-la de qualquer maneira, ela simplesmente me dava um sorriso forçado e se recolhia a seus pensamentos, eu não sabia o que estava havendo e estava começando a ficar preocupado.
Fiquei alguns minutos apenas observando-a até que a vi secar uma lágrima, ok, aquilo já era demais.
-Quer conversar? – perguntei me aproximando relutante.
Ela não ergueu os olhos, mas fez um gesto negativo com a cabeça.
-Vamos, não banque a cabeça dura, eu sei que você não está bem. Vamos conversar?
Os outros estavam distraídos com seus próprios problemas, Luiza estava ao lado de Yeosang enquanto ele dirigia, o restante estava espalhado pelo ônibus.
Lizzy ergueu os olhos e quando pensei que sei lá, me eletrocutaria, ela fez apenas um movimento de acordo com a cabeça.
Sentei ao seu lado e a encarei, Lizzy tinha os olhos vermelhos.
-Você ainda está pensando em Briseis, não está? – comecei e ela respirou fundo.
-Dá pra acreditar que aquela idiota era minha mãe? – ela falou simplesmente, eu pude sentir, não raiva, mas mágoa em suas palavras. – ela... ela tentou me matar Wooyoung.
-Por minha causa Lizzy. Briseis tem as convicções dela sobre os homens, você não esperava que ela mudasse por causa de qualquer um de nós dois, não é?
-As convicções dela são insanas. – ela falou firme. – e pior ainda, ela é uma hipócrita. Tem convicções sobre homens um caralho, tenho certeza que se Aquiles aparecesse na frente dela a primeira coisa que ela faria era tirar a roupa.
Não pude deixar de rir com a forma que ela falou.
-Aquilo é cinismo e... – ela se calou de repente, olhando através da janela.
-E? – arrisquei.
-E... – ela desviou o olhar para me encarar. – ela não esperava que eu te abandonasse, não é? Não esperava que eu te deixasse ser morto pelas idiotas que a seguem e simplesmente me tornasse uma delas.
Eu não me movi, não sabia o que dizer, Lizzy continuou parecendo ignorar totalmente o nó que seu comentário dera em minha mente.
Sim havia um nó enorme nos meus pensamentos, eu poderia ter salvo Lizzy do meu pai, o enfrentado para evitar a morte dela, mas Lizzy enfrentara sua mãe e um exército de amazonas, enfrentara a vontade de ficar com, pois é, a contagem de “salvamentos” estava agora a favor dela.
-Vivi esse tempo todo sem uma mãe biológica, posso continuar vivendo, certo? – ela me despertou. -e além do mais, a próxima vez que eu encontrar com Briseis, se é que isso algum dia acontecerá, acho melhor ela estar preparada para me enfrentar, dessa vez cara a cara.
Quando disse aquela última parte eu a vi engasgar, Lizzy parecia estar comprimindo o choro e em um movimento totalmente idiota e impensado, o que diz muito a meu respeito, eu a abracei.
De inicio pensei que ela me empurraria ou me eletrocutaria, mas contrariando todas as leis universais, ela estendeu os braços ao redor do meu pescoço e correspondeu ao abraço, desabando em lágrimas em seguida.
Senti uma mudança nas luzes e percebi que atravessávamos um túnel, um túnel bem comprido por sinal e de alguma forma, me peguei desejando que ele nunca acabasse.
Quando tudo a nossa volta começou a se tornar claro novamente, Lizzy se afastou olhando ao redor e enxugando os olhos.
-Saímos de vez do alcance daquelas loucas? – ela perguntou enquanto Yeosang ainda acelerava o ônibus.
-Pelo menos é o que espero, nunca pensei que diria isso, mas realmente quero me afastar o máximo daquela cidade.
-Gente sem querer ser estraga prazeres, mas está escurecendo e bem, eu estou morrendo de fome. – San começou. – podemos parar em algum lugar, por favor?
-Acho que sim, afinal de contas, por causa de você e do senhor Yeosang perdemos o café da manhã. – Lizzy começou ficando de pé e se afastando de mim com um sorriso nos lábios. -portanto...
Depois de dizer aquilo ela me encarou e me deu uma piscadela ainda com o sorriso nos lábios e de alguma forma aquele gesto me fez ver que tudo valera à pena.
-Estou de acordo, foram informações demais para um dia. – Yeosang falou simplesmente. – fui sequestrado, drogado e depois ainda fiquei o resto do dia sobrevivendo a base de barras de cereal, aquilo não é para seres humanos.
Seguimos estrada afora, encontramos um restaurante e decidimos comer um pouco antes de procurar uma pousada, eu particularmente estava morto de fome.
Quando chegamos ao restaurante e sentamos, Yeosang nos encarou.
-Só eu que estou achando tudo isso uma loucura?- ele começou. – desde que saímos do acampamento que tudo de ruim acontece com a gente, primeiro aqueles espíritos da tempestade, aí a equidna ataca Lizzy e Wooyoung, depois Poseidon e os filhos dele, então as Ménades e sem falar das amazonas e aquela harpia maldita, o que mais agora?
-Falando nisso, de repente me deu uma vontade de comer sushi. – Lizzy alfinetou enquanto a garçonete se aproximava com o cardápio.
-Não temos sushi aqui, desculpe senhorita.
-Nem peixe frito? – ela falou com ar inocente. – de repente me deu uma vontade de que todos os habitantes do oceano simplesmente fizessem puft!
Eu a encarei, era para ser engraçado?
-E eu carne de cavalo. – disparei me referindo as amazonas, se era para brincar de ofender, que fosse.
-Fique à vontade. – ela falou rápido. – combina mesmo com seu paladar refinado.
-Olha só quem fala em algo refinado. – disparei. – tem a sutileza e a elegância de um mamute.
-E você de um jumento puxando uma carroça sem as patas de trás.
A garçonete nos encarava visivelmente sem entender nada.
-Ok vocês dois já podem parar agora. -Isabela falou firme. – parecem duas crianças.
-Ela que começou. – resmunguei parecendo ainda mais infantil, só me faltava agora cruzar os braços e bater o pé no chão fazendo birra.
-Vê se cresce Cérebro de sashimi, o que eu fiz? Só porque disse que queria comer peixe? Isso te ofendeu?
Era impressionante a forma com que ela mudava de humor de repente, em um segundo era a garota frágil que eu tivera que abraçar e confortar, no outro, era aquela prepotente insuportável.
-Acho que você deveria mesmo ter ficado com sua mãe, Cosplay de Tempestade. – falei sem pensar, a raiva me tomando. – assim não teríamos que te suportar mais.
Ok, aquela foi a gota d’água, Lizzy me encarou, os olhos faiscando e ficou de pé.
-Você vai pra onde? – Yeosang perguntou quando viu que ela ia sair.
-Lugar nenhum, vou só lá fora tomar um ar, o ambiente aqui de repente ficou com cheiro de atum estragado.
E assim ela saiu.
Todos viraram os olhos diretamente para mim e então eu entendi, era melhor eu ir até lá fora e pedir desculpas.
-Mas foi ela... – ainda comecei a discutir.
-Wooyoung, vai! –Eduarda falou e eu obedeci.
Quando saí da lanchonete percebi que a rua estava movimentada, olhei ao redor e não consegui ver Lizzy em lugar algum.
-Mas que merda. – comecei a olhar com mais vontade então a  avistei.
Ela estava de pé, os braços cruzados, a me ver, ela simplesmente em um gesto provocativo levou dois dedos até a boca e então me mostrou o dedo do meio com um sorriso. Eu podia matá-la agora?
Fiz um gesto com a mão para que ela se aproximasse, mas ela me ignorou. Ok, aquilo já estava me deixando muito irritado. Quando comecei a caminhar na direção dela, Lizzy começou a caminhar de costas para se afastar. O que éramos agora? Gato e rato?
Eu já estava com vontade de estourar a caixa d’água da lanchonete na cabeça dela quando senti algo estranho, uma presença estranha... Poderosa.
Os olhos de Lizzy se voltaram para mim, intensos, assustados, ela também tinha sentido.
Não precisamos falar um com o outro para concordar em voltar correndo para dentro da lanchonete.
Quando chegamos lá, já havia alguém sentado na cadeira de frente a Tyson, ah só podia ser brincadeira.
-Jung Wooyoung! – ele falou ao me ver entrar com um sorriso estonteante no rosto. – ow e essa deve ser a filha de Zeus, Thais Valero, acertei?
-Não precisamente nessa ordem. – Lizzy falou firme. – e você? Posso saber quem é?
Vi quando os olhos dele flamejaram em um vermelho vivo, mas de imediato se apagaram e ele lançou um olhar estranho na direção dela.
Lizzy não se moveu, ficou ali de pé, os braços cruzados e o olhar firme. Eu sabia que ela já tinha reparado que aquele cara ali era um deus, mas ela parecia não ter se abalado com isso.
-Apolo. – ele falou ficando de pé e seguindo até ela. – é mesmo um prazer conhecer a senhorita.
Apolo pegou uma das mãos dela e a beijou, Lizzy pareceu fascinada enquanto o encarava, ok eu tenho que admitir, o cara tem seu charme.
-O que você quer aqui, Apolo? – perguntei para quebrar aquele climinha idiota, afinal Apolo ainda segurava a mão de Lizzy e a encarava com um sorriso mesmo depois de ter se apresentado.
Se vocês estão pensando que foi ele que desviou o olhar estão enganados, Lizzy pareceu ser despertada de um transe e me olhou, Apolo ainda continuava encarando-a.
-APOLO! – chamei irritado.
-O que eu quero, Wooyoung? – ele falou sorrindo e me encarando enfim. – eu só quero ajudar.
-Claro, porque o objetivo de todos os deuses do Olimpo é ajudar os heróis. – falei simplesmente com desdém, Apolo sorriu.
-Poderia te fazer em pedaços em um segundo pela insolência, acho que sabe disso. Um estalar de dedos e puft, Jung Wooyoung virou peixe frito.
-Eu adoraria uma porção. – Lizzy falou erguendo a mão. – ainda estou com vontade de comer peixe.
Eu a ignorei, sabia que deveria me preocupar... mas, eu não tinha medo do Apolo, sabia que ele poderia fazer aquilo se quisesse, mas ele precisava de nós, senão não teria vindo.
-Diz logo o que quer da gente. – falei impaciente.
-Não posso apenas ter vindo visitar?
-Claro que não. – falei firme. – deuses só procuram os heróis quando querem favores.
Apolo sorriu.
-Você está certo... Bem, acho que souberam que minha irmã foi sequestrada.
-Artêmis, não é? – deixei escapar.
-Não, a vaca louca, é claro que é Artêmis, eu por acaso tenho outra irmã? – Apolo falou firme. – achei que a missão de vocês fosse encontrá-la.
-E é– Lizzy falou rápido. – estávamos indo para oeste como a profecia do seu oráculo nos mandou fazer.
-Pronto acabei de solucionar a primeira parte do problema pra vocês, tadá  preciso que a encontrem.
-É o que estamos tentando fazer. – falei irritado. – mas, fica meio difícil com um monte de coisas querendo nos matar.
Apolo sorriu.
-Pois é, ser semideuses não é pra qualquer um, de qualquer forma como vocês sabem que os deuses não podem interferir diretamente, tomem isso.
Ele estendeu um cartão na direção da Eduarda, ela o pegou e leu.
Apolo
555896231
-O que é isso? – ela perguntou confusa.
-Opa, cartão errado, mas esse é seu, pode ficar com ele caso queira me ligar algum dia.
Duda não se moveu, mas guardou o cartão no bolso.
-O certo seria esse. – ele falou estendendo o cartão na minha direção.
-Caçadoras de Artêmis? – perguntei ao ler o cartão. – elas tem uma sede aqui perto?
-Sim e estão desesperadas porque minha irmã sumiu, são ótimas guerreiras e morreriam para salvá-la, portanto acho que podem ser de boa ajuda.
Eu encarei o cartão mais uma vez, será que seria uma boa ideia?
-Olha Wooyoung estou tentando ajudar, estou preocupado com Artêmis, ok? Somos irmãos e bem, ela é a única deusa que não é de todo mal, portanto acho que seria legal encontrá-la.
Eu fiz um gesto positivo com a cabeça.
-Ok então. – Apolo estalou o dedo na direção da garçonete que se aproximou correndo e ao olhá-lo simplesmente ficou sem voz.
-Traga tudo o que eles pedirem, por minha conta. – ele estendeu um bolo de dinheiro na direção dela. – caso tenha troco, pode entregar para essa garota de olhos perfeitos. – ele falou dando uma piscadela na direção da Laura. – então é só.
A garçonete ainda não se moveu, Apolo fez um gesto despreocupado com a mão e ela seguiu caminho.
-Então espero que tenham sorte na missão. – ele falou com um sorriso e depois olhou diretamente para Júlia, se aproximando e sussurrando algo no ouvido dela que a deixou mais vermelha do que o pote de ketchup que estava na mesa a nossa frente.
Ele seguiu até a porta, mas antes de sair ainda nos encarou.
Tumblr media
-Estou contando com vocês ou seja lá o que se diz nesses momentos.
Apolo seguiu lanchonete afora, nós o seguimos com o olhar e o vimos através da janela entrar em sua Masserati vermelha, antes de sumir ele ainda fez um gesto de “me liga” na direção da Luiza e então desapareceu no ar.
1 note · View note
oenodyssee · 6 months
Text
Trois aigles, mais lesquels ?
Chez la famille Richaud // Domaine Richaud // Cairane // Côte-du-Rhône // 60 hectares
Tumblr media
J’y repensais deux jours plus tard, en Ardèche, en voyant ces trois aigles progresser suffisamment bas et proche les uns des autres pour que je puisse déceler un manque de sérieux – assez inhabituel chez des rapaces – un penchant à la déconnade fait de plongeons non alimentaires, de bousculades aile dans l’aile, de figures un peu foutraques ne s’éloignant jamais assez pour effacer la ligne zigzagante des trois prédateurs en
goguette ;  j’y repensais aussi tout à l’heure, va savoir pourquoi, en lisant devine quel livre de Christophe
Manon ; je repensais au sanglier de Calydon ivre déjà de raisins mûrs et je repensais surtout à mon passage au Domaine
Richaud ; j’y repensais dans le désordre : d’abord à cette soirée, son grand repas festif avec la jeune équipe internationale de bacchants et de ménades devant laquelle, au milieu de vignes plantées de counoise, passant de jour à nuit sous lune montante, je venais de jouer  
Rhapsode ; équipe que j’avais surprise en fin d’après-midi achevant la vendange manuelle d’une parcelle sableuse et siliceuse en bord de rivière puis qui m’avait devancé dans le coteau pour transmettre les caissettes pleines à l’équipe de cave ; « les grappes sont trop chaudes, elles vont passer la nuit au frais avant d’être encuvées ; on évite ce qui porte sur le feu (vecteur de mauvais goûts) : on ne foule pas on ne pompe pas (mais on érafle un peu), » m’avait expliqué Marcel Richaud, un peu après m’avoir ac
cueilli ; j’avais ensuite fait la connaissance de Claire, regard azur signalant la filiation Richaud, et de Thomas, barbe poivre et sel jetée sur un sourire, tous deux désormais aux commandes du légendaire domaine, Claire plutôt côté bureau mais pas que, Thomas plutôt vigne-chai mais pas que ; une histoire commencée par leur grand-père avec quatre hectares en coo
pérative, aïeul par ailleurs fanatique de modélisme aérien ; aventures continuées par Marcel mais dans des dimensions sol-air encore inédites : ici- bas l’invention – au sens archéologique du terme –  d’une mosaïques d’arômes, l’art d’exprimer le chtonien avec des raisins, des cuves et des équipes fidèles ;  là-haut le bonheur des courants ascendants, du deltaplane ; père
passionné, fils qui ne l’est pas moins si j’en crois, au moment des huîtres (reçues la veille d'un restaurateur breton admirateur du domaine) et du Cairane blanc (apporté par Bruno Boisson, ami et voisin vigneron), ma conversation avec Thomas : me racontant – au cœur d’un brouhaha joyeux –  son atterrissage dans le vignoble familial après une carrière de sportif de haut niveau en
parachute ; je me demande à ce propos quelle trappe de saut m’attend lorsque, devant la porte du chai où nos pas nous ont conduit j'entends Thomas me conseiller de : « prendre une grande respiration avant d’entrer », aucune chute, naturellement, de l’autre côté mais des cuves en pleine fermentation « qu’il faut surveiller comme du lait sur le feu » et par, voie de conséquence, pas mal de gaz
carbonique ; « rester calme et boire frais » on sentait le lendemain, au casse-croute de l’équipe de cave, que la devise de Marcel, son mantra pour rester serein en toute circonstance, « vous l’écrirez sur ma tombe hein », avait infusé dans la famille, au sens large, et l’on plaisantait ferme à cette heure – sur le « mollet lactique » du cycliste-œnophile par exemple, en
reconstituant des réserves d’énergie pour le restant d’une matinée déjà bien remplie : « tiens goûte ça, avant de partir, c’est ce qu’on fait avec la parcelle que tu as vue hier » : « j’dis pas non » et j’ai raison : c’est du velours planant traversé de vibratile coquin, de l'assistance "biodynamite" à grimper sans effort le Ventoux et ses dentelles, « comment ça s’appelle, au fait ? »   – « Terre d’
aigles. »
0 notes
Text
la ménade
releyendo a Cortázar para una materia de la facultad no podia dejar de pensar en cómo ciertos hombres me han dado a entender que les doy la imágen de una ménade para ellos: sólo porque no me entrego a la primera de cambio y soy reservada? o ellos son inseguros
0 notes