Tumgik
#m'dame. Il ne nous manque rien du tout!
lolochaponnay · 3 months
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La maîtresse dit aux élèves : - Les enfants, aujourd'hui nous allons parler de ce qui vous manque à la maison, pour avoir une vie plus agréable! - Il nous manque une voiture, dit Benoît. - Oui c'est vrai, une voiture c'est important, dit la maîtresse. - Il nous manque un ordinateur, dit Jérôme. - Je comprends, répond la maîtresse. Cela devient un besoin, aujourd'hui. - Il nous manque un congélateur, dit Simon. - Cela aussi est indispensable, confirme la maîtresse. Mais, dis-moi, Toto. Tu n'as rien dit. Que vous manque-t-il à la maison ? - Ben, rien, m'dame! - Comment ça, rien ? Réfléchis bien. Il vous manque sûrement quelque chose, non ? - Ben, non, m'dame. Il ne nous manque rien du tout! - J'aimerais comprendre, Toto. Comment peux-tu être aussi sûr qu'il ne vous manque rien ? - Ben, le mois dernier, ma sœur a ramené un arabe à la maison. Alors mon père a dit : " Putain, il ne nous manquait plus que ça !"
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traitor-for-hire · 4 years
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Beth entre dans le Palais Merveilleux
La grande maison se trouva bien être un Palais Merveilleux, quoiqu'il fallut un certain temps avant que toutes y pénètrent, et il fut très difficile pour Beth de passer les lions. Le vieux Mr. Laurence était le plus impressionnant de tous, mais après qu'il leur eut rendu visite, qu'il eut dit quelque chose d'amusant ou de gentil à chacune des filles, et parlé du bon vieux temps avec leur mère, aucune n'était plus intimidée par lui, à part la timide Beth. L'autre lion était le fait qu'ils étaient pauvres et que Laurie était riche, ce qui les rendait un peu honteuses d'accepter des faveurs qu'elles ne pouvaient rendre. Mais après un temps, elles comprirent qu'il les considérait comme ses bienfaitrices, et qu'il aurait fait n'importe quoi pour exprimer sa gratitude pour l'accueil maternel de Mrs. March, leur joyeuse compagnie, et le réconfort qu'il trouvait dans leur humble maisonnée. Aussi oublièrent elles rapidement leur fierté et continuèrent d'échanger des gentillesses sans penser à leur valeur.
Toutes sortes de plaisantes choses se produisirent vers cette époque, car cette nouvelle amitié s'épanouit comme l'herbe au printemps. Tout le monde aimait Laurie, et il avait informé son tuteur, en privé, que « les March étaient des filles tout à fait épatantes ». Avec le délicieux enthousiasme de la jeunesse, elle accueillirent le garçon esseulé dans leur groupe, prêtes à se plier en quatre pour lui, et il trouva quelque chose de tout à fait charmant dans la compagnie innocente de ces filles au cœur simple. N'ayant connu ni mère ni sœurs, il ressentit rapidement leur influence, et leur mode de vie actif et animé le rendit honteux de sa vie indolente. Il était lassé des livres, et trouvait maintenant les gens si intéressants que Mr. Brooke fut obligé de faire des rapports très peu satisfaisants, car Laurie ne cessait de faire l'école buissonnière pour filer chez les March.
« Qu'importe, laissez-le prendre des vacances, il rattrapera plus tard, » dit le vieux monsieur. « La bonne dame d'à côté dit qu'il étudie trop et qu'il a besoin de la compagnie de la jeunesse, de loisirs, et d'exercice. J'ai bien peur qu'elle ait raison, et que j'aie couvé le garçon comme si j'étais sa grand-mère. Laissez-le faire ce qu'il veut, tant qu'il est heureux. Il ne peut pas s'attirer d'ennuis dans ce petit couvent, et Mrs. March fait plus pour lui que nous ne le pouvons. »
Ils passaient d'excellents moments, c'est certain. Tant de pièces de théâtre et de tableaux vivants, tant de glissades en luge et de pitreries en patins, tant d'agréables soirées dans le vieux parloir, et de temps en temps de joyeuses petites fêtes dans la grande maison. Meg pouvait déambuler dans les serres quand elle le voulait et se délecter de nombreux bouquets, Jo parcourait voracement la nouvelle bibliothèque, et faisait mourir de rire le vieux monsieur avec ses critiques, Amy recopiait des tableaux et profitait de la beauté des lieux autant que le cœur lui en disait, et Laurie jouait le « lord du manoir » de la manière la plus délicieuse.
Mais Beth, quoiqu'elle soupire après le grand piano, n'arrivait pas à rassembler suffisamment de courage pour se rendre dans le « Manoir du Bonheur, » comme l'appelait Meg. Elle y alla une fois avec Jo mais le vieux monsieur, n'étant pas au courant de sa timidité maladive, la dévisagea si fixement sous ses gros sourcils et dit « Hé ! » d'une voix si forte, qu'il l'effraya à tel point que ses « genoux avaient joué des castagnettes, » dit-elle à sa mère, et qu'elle s'enfuit, déclarant qu'elle ne retournerait plus là-bas, pas même pour le beau piano. Aucune tentative de persuasion, aucun attrait ne put dépasser sa peur, jusqu'à ce que, ce fait arrivant aux oreilles de Mr. Laurence d'une manière mystérieuse, il ne décide d'arranger les choses. Durant l'une de ses brèves visites, il dirigea avec art la discussion sur la musique, et parla des grands chanteurs qu'il avait vus, des grands orgues qu'il avait entendus, et raconta de si charmantes anecdotes que Beth trouva impossible de rester dans son coin à l'écart, et se rapprocha de plus en plus, comme fascinée. Arrivée derrière sa chaise elle s'arrêta et resta debout à écouter, les yeux grands ouverts et les joues rougies par l'excitation de cette performance inhabituelle. Sans plus la remarquer que si elle avait été une mouche, Mr. Laurence continua la discussion sur les leçons de Laurie et ses professeurs. Et alors, comme si l'idée venait de le frapper, il dit à Mrs. March :
« Ce garçon néglige sa musique maintenant, et j'en suis heureux, car il s'y attachait trop. Mais le piano souffre de son manque d'utilisation. Est-ce que l'une de vos filles n'aimerait pas venir, et et jouer dessus de temps en temps, juste pour le tenir accordé, vous voyez, m'dame ? »
Beth fit un pas en avant, et joint les mains serrées pour s'empêcher d'applaudir, car la tentation était irrésistible, et l'idée de jouer sur ce splendide instrument lui coupait le souffle. Avant que Mrs. March puisse répondre, Mr. Laurence poursuivit avec un hochement de tête et un étrange sourire :
« Elle n'aurait besoin de voir ni de parler à personne, seulement de passer à n'importe quel moment. Car je suis enfermé dans mon étude à l'autre bout de la maison, Laurie est souvent dehors, et les domestiques ne sont jamais dans les parages du grand salon après neuf heures. »
Alors il se leva, comme pour s'en aller, et Beth se décida à parler, car ce dernier arrangement ne laissait rien à désirer. « S'il vous plaît, rapportez ce que j'ai dit aux jeunes filles, et si elles n'ont pas envie de venir, eh bien, tant pis. » Ici une petite main se glissa dans la sienne, et Beth leva vers lui un visage plein de gratitude, tandis qu'elle disait, de sa façon timide mais sincère :
« Oh sir, elles en ont envie, vraiment beaucoup !
—  Êtes-vous la jeune fille qui aime la musique ? » demanda-t-il, sans « Hé ! » tonitruant, en la regardant très gentiment.
« Je suis Beth. Je l'aime énormément, et je viendrai, si vous êtes certain que personne ne m'entendra - ni ne sera dérangé, » ajouta-t-elle, craignant d'être impolie, et tremblant de sa propre audace.
« Personne, ma chère. La maison est vide la moitié du temps, aussi venez et pianotez tant que vous le désirez, et je serai votre obligé.
—  Comme vous êtes gentil, sir ! »
Beth rougit comme une rose sous son regard amical, mais elle n'avait plus peur maintenant, et elle lui serra la main avec gratitude parce que les mots lui manquaient pour le remercier du précieux cadeau qu'il lui avait fait. Le vieux gentleman repoussa gentiment les cheveux de son front, et, se baissant, il l'embrassa, en disant d'une voix que très peu de personnes avaient jamais entendue :
« J'avais une petite fille autrefois, avec des yeux tout pareils. Dieu te bénisse, ma chère ! Bonne journée, madame. » Et il partit précipitamment.
Beth partagea un moment de ravissement avec sa mère, puis se précipita pour annoncer l'immense nouvelle à sa famille d'invalides, puisque ses sœurs n'étaient pas à la maison. Comme elle chanta avec allégresse ce soir là, et comme elles rirent toutes quand elle réveilla Amy au milieu de la nuit parce qu'elle jouait du piano sur son visage tout en dormant. Le jour suivant, ayant vu sortir aussi bien le vieux monsieur que son petit-fils, Beth, après deux ou trois tentatives, arriva à la porte secondaire, et se faufila aussi silencieusement qu'une souris jusqu'au grand salon où se tenait son idole. Par un heureux accident, bien sûr, une partition facile se trouvait sur le piano, et de ses doigts tremblants, après de nombreuses pauses pour écouter et regarder aux alentours, Beth toucha enfin l'instrument, et oublia aussitôt ses peurs, elle-même et tout le reste excepté l'indescriptible plaisir que lui procurait la musique, comme la voix d'un être aimé.
Elle resta là jusqu'à ce que Hannah vienne la chercher pour le dîner, mais elle n'avait aucun appétit, et dans son état de béatitude ne pouvait que rester assise et sourire à tout le monde.
Après cela, la petite capuche brune se glissa à travers la haie presque tous les jours, et le grand salon fut hanté par un esprit musicien qui allait et venait sans être vu. Elle ne sut jamais que Mr. Laurence ouvrait la porte de son étude pour entendre les vieux airs qu'il aimait. Elle ne vit jamais Laurie monter la garde dans le couloir pour éloigner les domestiques. Elle ne se douta jamais que les livres d'exercices et les nouvelles chansons qu'elle trouvait sur le pupitre étaient là pour son seul bénéfice, et quand Laurie lui parlait de musique à la maison, elle pensait seulement qu'il était bien gentil de sa part de dire des choses qui l'aidaient tant. Aussi s'amusait-elle de tout son cœur, et, ce qui n'est pas toujours le cas, trouvait tout ce qu'elle avait espéré dans l'accomplissement de son souhait. Peut-être était-ce parce qu'elle était si reconnaissante de son bonheur, qu'un bonheur plus grand encore lui fut accordé. De toute façon, elle méritait les deux.
« Mère, je vais faire une paire de pantoufles pour Mr. Laurence. Il est si gentil avec moi, je dois le remercier, et je ne sais pas comment faire autrement. Puis-je ? » demanda Beth quelques semaines après cette fameuse visite.
« Oui, ma chérie. Cela lui fera très plaisir, et ce sera une jolie façon de le remercier. Les filles t'aideront à les faire, et je paierai les matériaux, » répondit Mrs. March, qui prit un plaisir tout particulier à accorder la requête de Beth, quand elle demandait si rarement quelque chose pour elle-même.
Après de nombreuses discussions très sérieuses avec Meg et Jo, le patron fut choisi, les matériaux achetés, et les pantoufles commencées. Un motif de pensées, sage mais gai, sur un fond pourpre plus foncé fut déclaré à la fois très joli et approprié, et Beth y travailla dessus tôt le matin et tard le soir, avec l'aide occasionnelle de ses aînées sur les parties difficiles. Elle était habile couturière, et les pantoufles furent finies avant que quiconque s'en soit lassé. Puis elle écrivit une simple et courte note, et avec l'aide de Laurie elle les glissa sur le bureau de l'étude un matin avant que le vieux monsieur soit debout.
Quand toute cette excitation fut retombée, Beth attendit de voir ce qui se passerait. Toute le journée s'écoula et une partie du jour suivant sans qu'aucune réaction ne lui parvienne, et elle commençait à craindre d'avoir offensé son susceptible ami. L'après-midi du deuxième jour, elle sortit pour faire une commission et offrir à Joanna, la poupée invalide, son bol d'air frais quotidien. Quand elle arrive dans la rue à son retour, elle vit trois, oui, quatre têtes, apparaître et disparaître à la fenêtre du parloir, et dès l'instant qu'elles la virent, des mains s'agitèrent dans sa direction et des voix joyeuses s'écrièrent :
« Il y a une lettre du vieux monsieur ! Viens vite la lire !
—  Oh, Beth, il t'a envoyé- » commença Amy en gesticulant avec une énergie peu commune, mais elle ne put aller plus loin, car Jo la fit taire en rabaissant violemment la vitre.
Beth se pressa, le cœur battant à tout rompre.  À la porte ses sœurs se saisirent d'elle et la portèrent en triomphe jusqu'au parloir, tout en pointant du doigt et en disant, toutes à la fois, « Regarde ! Regarde ! » Beth obéit, et pâlit sous l'effet du bonheur et de la surprise, en voyant un petit piano droit, avec une lettre sur le couvercle verni qui affichait tel un écriteau « Miss Élisabeth March ».
« Pour moi ? » hoqueta Beth, qui se tenait à Jo, de peur de tomber à la renverse, tant elle était submergée par l'émotion.
« Oui, rien que pour toi, ma chérie ! N'est-ce pas superbe de sa part ? Ne crois-tu pas qu'il est le plus gentil vieux monsieur du monde ? Il y a la clé dans la lettre. Nous ne l'avons pas ouverte, mais nous mourons d'envie de savoir ce qu'il dit, » s'écria Jo, étreignant sa sœur et lui tendant la note.
« Lis-la, toi ! Je ne peux pas, je me sens si bizarre ! Oh, c'est bien trop beau ! » et Beth se cacha la figure dans le tablier de Jo, bouleversée par son cadeau.
Jo ouvrit la lettre et commença à rire, car les premiers mots qu'elle vit furent :
« Miss March :
Chère Madame -
(«Comme cela sonne bien ! J'aimerais que quelqu'un m'écrive ainsi ! » dit Amy, qui trouvait très élégante cette introduction à l'ancienne mode.)
« J'ai eu de nombreuses paires de pantoufles dans ma vie, mais je n'en ai jamais eu aucune qui m'aille aussi bien que la vôtre » continua Jo. « Les pensées sont mes fleurs favorites, et celles-ci me rappelleront toujours leur gentille donatrice. J'aime à payer mes dettes, aussi je sais que vous autoriserez "le vieux gentleman" à vous envoyer quelque chose qui appartenait autrefois à la petite fille qu'il a perdu. Avec mes remerciements les plus sincères et mes meilleurs vœux, je demeure votre ami reconnaissant et humble serviteur,
« JAMES LAURENCE.
« Eh bien Beth, c'est un honneur dont tu peux être fière, pour sûr ! Laurie m'a raconté combien Mr. Laurence a aimé cette enfant qui est morte, et comment il garde soigneusement toutes ses affaires. Pense un peu, il t'a donné son piano. Cela vient de tes grands yeux bleus et de ton amour de la musique, » dit Jo en essayant d'apaiser Beth, qui tremblait et semblait plus excitée qu'elle ne l'avait jamais été.
« Regarde les ingénieux supports pour les bougies, et cette jolie soie verte, toute froncée, avec une rose dorée au milieu, et le joli pupitre et le tabouret, tout est là, » ajouta Meg en ouvrant l'instrument pour faire l'étalage de ses merveilles.
« "Votre humble serviteur, James Laurence". Pense un peu qu'il t'a écrit ça ! Je le dirai aux filles. Elles trouveront ça splendide, » dit Amy, très impressionnée par la lettre.
« Essaie-le, ma chérie. Écoutons le son de ce bébé piano, » dit Hannah, qui était toujours là pour partager les joies et les peines de la famille.
Alors Beth l'essaya, et tout le monde décréta que c'était le plus remarquable piano qu'on ait jamais entendu. Il avait de toute évidence était récemment accordé et remis à neuf, mais tout aussi parfait qu'il fut, je pense que le véritable charme était celui du plus heureux des joyeux visages penchés au dessus, tandis que Beth touchait amoureusement les magnifiques touches noires et blanches et appuyait sur les pédales resplendissantes. 
« Tu vas devoir aller le remercier, » dit Jo pour plaisanter, car l'idée que la fillette puisse vraiment y aller ne lui avait pas traversé l'esprit.
« Oui, j'en ai l'intention. Je pense que je vais y aller maintenant, avant d'avoir trop peur si j'y réfléchis. » Et, à la stupéfaction de la famille assemblée, Beth sortit dans le jardin de son propre chef, traversa la haie, et se rendit à la porte des Laurence. 
« Eh bien, que je meure si ce n'est pas la chose la plus étrange que j'aie jamais vue ! Le piano lui a tourné la tête ! Elle n'y serait jamais allée si elle avait toute sa raison, » s'écria Hannah en la regardant partir, tandis que les filles restaient bouches bées devant ce miracle.
Elles auraient été plus étonnées encore si elles avaient vu ce que Beth fit après. Croyez-le ou non, elle alla frapper à la porte de l'étude avant de se laisser le temps de réfléchir, et quand une voix rude dit « Entrez ! », elle entra et alla droit à Mr. Laurence, qui avait l'air pris de court, et lui tendit la main en disant, d'une voix qui ne tremblait qu'à peine, « Je suis venue vous remercier, sir, pour - » Mais elle ne termina pas sa phrase, car il avait l'air si amical qu'elle en oublia son discours, et, se souvenant seulement qu'il avait perdu la petite fille qu'il aimait, elle lui passa les deux bras autour du cou et l'embrassa.
Si le toit de la maison s'était soudainement envolé, le vieux monsieur n'en aurait pas été plus étonné. Mais cela lui plut - oh, Seigneur, oui, cela lui plut extrêmement ! Et il fut si touché et ravi de ce petit baiser que son apparence bourrue s'évanouit, et il l'installa sur son genou, reposa sa joue ridée contre la joue rose de la fillette, se sentant comme s'il avait retrouvé sa petite-fille. Beth cessa de le craindre dès cet instant, et se mit à discuter avec lui comme si elle l'avait connu toute sa vie, car l'amour chasse la peur, et la gratitude peut dépasser la fierté. Quand elle rentra à la maison, il l'accompagna jusqu'à la porte, lui serra cordialement la main, et ôta son chapeau pour la saluer en repartant, droit et majestueux, comme le beau vieux militaire qu'il était.
Quand les filles aperçurent ce spectacle, Jo commença à danser une gigue pour exprimer sa satisfaction, Amy manqua de tomber de la fenêtre sous le coup de la surprise, et Meg s'exclama en levant les bras au ciel, « Eh bien, je pense que la fin du monde est proche. »
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