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#- Il nous manque une voiture
lolochaponnay · 3 months
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La maîtresse dit aux élèves : - Les enfants, aujourd'hui nous allons parler de ce qui vous manque à la maison, pour avoir une vie plus agréable! - Il nous manque une voiture, dit Benoît. - Oui c'est vrai, une voiture c'est important, dit la maîtresse. - Il nous manque un ordinateur, dit Jérôme. - Je comprends, répond la maîtresse. Cela devient un besoin, aujourd'hui. - Il nous manque un congélateur, dit Simon. - Cela aussi est indispensable, confirme la maîtresse. Mais, dis-moi, Toto. Tu n'as rien dit. Que vous manque-t-il à la maison ? - Ben, rien, m'dame! - Comment ça, rien ? Réfléchis bien. Il vous manque sûrement quelque chose, non ? - Ben, non, m'dame. Il ne nous manque rien du tout! - J'aimerais comprendre, Toto. Comment peux-tu être aussi sûr qu'il ne vous manque rien ? - Ben, le mois dernier, ma sœur a ramené un arabe à la maison. Alors mon père a dit : " Putain, il ne nous manquait plus que ça !"
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 126
J'émerge seul dans mon lit, il est 13h passée. Remise en mémoire de la touze de la veille, je jette un coup d'oeil à la piscine, pas de trio en vu. Je croise Manu qui me demande où j'étais la veille. En deux mots je lui dresse le tableau. Il me dit que j'aurais pu le brancher sur ce coup. Je lui dis que la prochaine touze je ne l'oublierais pas. Nonchalamment, j'étire mes muscles dans un crawl paresseux. A cette heure de la journée les beaufs déjeunent et j'ai la paix. Une heure plus tard je sors et tombe sur Bo-gosse et sa moitié en terrasse à me mater. Je m'assois à leur table et d'un regard interroge le plus vieux. Réponse aussi brève : le trio. OK ! Manu se ramène avec un croc et une bière fraîche. Sans un mot, je déjeune. Bo-gosse parle. Il me dit que nous pourrions aller à notre rendez vous sur la plage. J'aime cet humour !
Je monte chercher clef de voiture, huile et drap de bain. Ils sont dans le hall à m'attendre. Bo-gosse me montre sa caisse, une Audi A5 RS flambant neuve. Je montre la mienne, BM Z8 ! Il me fait un signe qu'il a compris et il démarre. Je le suis. Volontairement, il me laisse voir sa moitié se pencher sur lui et je n'ai pas besoin de beaucoup d'imagination pour savoir qu'il lui fait une pipe. ;Bo-gosse se gare, je place le Z8 à coté et kpote. Pas la peine de faciliter le travail des voleurs. Malgré ses efforts, Bo-gosse bande encore à moitié quand il me rejoint. Promenade jusqu'à la plage et direct à l'océan. Retour aux serviettes. Moitié se met nu et attaque la protection de Bo-gosse. Ce dernier me propose ses services. OK et le voilà qui me huile le corps. Ce n'est pas un étalement de crème, c'est un réel massage délassant.
Nous passons l'après midi avec au maximum 20 mots de chacun de nous. Quel calme ! Et nous prenons un ton de plus coté bronzage. Moitié nous quitte quelques instants pour aller voir qui traine dans les sous bois. A son retour, nous avons droit à un résumé : une bonne partie de vieux même pas beaux, quelques jeunes en manque de bites, il s'est fait sucer par trois mecs mais sans aller jusqu'au bout, et il est tombé deux fois sur de l'action mais rien de transcendant. Comme nous partions, Bo-gosse me propose de passer chez eux. OK. Je les suis jusqu'à une villa assez proche de celle de la veille. Portail automatique et nous rentrons les voitures. Grosse villa avec piscine. Plongeon direct dans cette dernière histoire de se dessaler. A notre sortie, Moitié nous sert un apéro et s'attaque à nos shortys de bain. Je laisse faire et bientôt ma bite disparait entre ses lèvres. Il me fait durcir avant de passer à son mec. Quand ce dernier est bien dur, il alterne entre nos deux queues. Il suce bien ce petit ! Penché sur nous, il arrive à avaler correctement mes 20 cm (normal puisqu'il arrive à bouffer les 24 de son mec !). C'est très bon et fait baisser la tension psychologique qui régnait entre nous.
Je confie à Bo-gosse qu'il a un expert dans Moitié. Il me répond qu'encore là ce n'est qu'un avant goût. Je n'ai pas encore finit mon verre que ce dernier m'enkpote et s'assoit sur ma bite. Avec juste le gel de la kpote, il arrive à s'assoir sur mes cuisses. Arrivé au plus bas, ma queue au plus profond de lui, il me fait un ballet avec son anus, succession de serrages et relâchements, un véritable massage de bite. Il se relève et part s'assoir sur son mec. Je regarde et les 24cm disparaissent avec la même facilité. Moitié va entretenir nos raideurs comme ça pendant un bon moment jusqu'à ce que Bo-gosse me demande de le rejoindre. Oui, j'ai bien compris, il veut que nous double sodomisions Moitié. Docile Moitié se couche sur son mec et j'enjambe la méridienne sur laquelle ils sont installés. Je pose mon gland à l'entrée de Moitié et attend que sn mec ressorte.
Il le fait ne laissant que le bout de son gland dedans. Je colle le mien enkpoté sous sa couronne et dans un même mouvement, nous pénétrons Moitié. Léger soubresaut de sa part, mais nous l'investissons relativement facilement. La présence de nos deux queues lui tire quelques gémissements incontrôlés. Mais vu le coeur qu'il met à se limer dessus, c'est du plaisir qu'il en tire. Ma bite reste bien collée contre celle de Bo-gosse. Comme je me souviens de ma propre saillie, la veille, je me couche sur Moitié et mord un de ses trapèzes. Son gémissement se transforme en cri de plaisir. Bo-gosse me fait un clin d'oeil. Je prends les choses en main si on peut dire et fixe Moitié sur le torse de son mec, ne prenant pas ses protestation de couilles écrasées en compte. Dans cette position, je peux limer activement le trou massant de mon gland la hampe qui l'occupe avec moi. Ça a l'air de bien leur plaire. Je glisse sur tous mes 20cm et monte en pression sous l'action massant de son sphincter. Bo-gosse me souffle qu'il ne va pas tarder. J'accélère et m'enfonce une dernière fois à fond et dans une dernière morsure, je me vide. Bo-gosse remplit le cul de Moitié en direct et ce dernier tapisse les abdos de son mec. Je me retire avant de débander. C'est amusant de sortir d'un cul Kpoté avec plein de sperme dessus, comme si la kpote avant craquée. Je vérifie quand même mais c'est bien le sperme de Bo-gosse qui est dessus et le mien dedans. Moitié se dégage et lèche son sperme. J'admire la maitrise de son anneau, quand il a déculé son mec, pas une goutte de sperme n'est sorti, beau travail.
Nous avons finit l'apéritif plus calmement. Comme la villa ne dispose que de quoi faire les petits déjeuners et les apéros, Bo-Gosse me propose un restau à Royan. OK. Je pars à l'appart m'habiller et ils passent me prendre. Quand j'arrive à la résidence le trio me saute dessus pour me demander où j'étais. Je n'ai pas de compte à leur rendre ! Ils m'énervent et je les éjecte un peu durement. Short long kaki, chemisette blanche et baskets de marque, je suis prêt. Je m'engouffre à l'avant de l'A5, et nous partons. Pas mal comme caisse, silencieuse, confortable... Moitié se détache pour venir m'enlacer avec le dossier et me faire des bisous dans le cou. Engueulade de Bo-gosse, non pour les bisous mais pour la ceinture de sécurité. Il était temps nous passons devant une paire de Motards. Le diner est parfait même si notre trio attire les regards. Parmi une majorité de quinquagénaires bedonnants avec mémère et parfois petit dernier aux basques, il est vrai que sortons du lot ! Les serveurs ne s'y sont pas trompés et nous sommes servis avec un zèle à rendre jalouses les autres tables. J'en apprends un peu plus sur le couple qui m'invite. Bo-gosse a une galerie d'art à Paris et Moitié est un de ses artistes. Ironiquement je demande s'il peint avec son sperme, ce dernier sans se démonter me dit que cela lui arrive d'en mélanger avec ses couleurs. Nous en rions tous les trois.
A la fin du dîner comme Bo-gosse tient à m'inviter, je laisse le pourboire. Comme ils étaient deux à nous servir, j'abandonne 2 x 50€, pas question de paraitre pingre, et puis c'est moins que le montant du dîner. Le jeune serveur me rattrape avant la porte pour me dire que la note avait déjà été payée. En souriant je lui dit que c'est leur pourboire. Il me remercie. J'offre à mes nouveaux amis un dernier verre à l'appart. Je commande les cocktails au restau du rez-de-chaussée. Bo-gosse trouve cela très pratique. Manu nous les apporte et comme il a terminé son service il a ajouté un quatrième verre et me demande s'il peut rester. Je n'ai pas le temps de répondre que Bo-gosse dit oui. Je fais les présentations et dis de se mettre à l'aise. Bo-gosse jaillit de ses vêtements pour nous apparaître en slip ES, Moitié de même et Manu en shorty Hom. Beau joueur je quitte mes habits pour rester en Aussiebum.
Comme nous sirotions nos cocktails, Manu et Moitié ont trouvé que cela manquait d'action et je me suis retrouvé avec Moitié entre les jambes qui s'attaquait à mon slip quand Manu faisait de même sur Bo-gosse. L'élastique sous les couilles, cote à cote, nous nous sommes fait bouffer la bite. Manu ne m'a pas fait honte et sans problème à pris les 24cm dans sa gorge. Moitié qui pensait surement être un des seuls à pouvoir le faire en a été un peu jaloux. En me penchant, j'ai mis ma main dans le slip de Moitié pour aller lui tâter la rondelle. Comme quelques heures auparavant, elle était souple et prête à s'ouvrir.
Manu étant dans le même état et comme je désirais de nouveau prendre les 24cm dans mon trou, je propose une brochette où Manu enculerai Moitié, tout en se faisant prendre par moi-même qui subirait la loi de Bo-gosse. Aussitôt proposé aussitôt mis en application. Sur le tapis, nous nous enfilons à la suite. C'est quand même très bon d'être en sandwich. Quelques instants pour trouver le rythme successif qui fait que nous en avons tous pour notre plaisir. J'apprécie fortement les 24cm de Bo-gosse qui me défoncent le cul. Les mouvements s'amplifient et nous nous séparons en deux couples. Je prends mon pied à me faire démonter l'anus et Manu lui apprécie d'être actif (position qu'il a rarement). Décollés, alors que je me fais prendre par derrière, je me rapproche de Manu qui baise Moitié de face. Ma bite prend place au dessus du visage de Moitié qui me bouffe les couilles pendant que Manu penché en avant me suce la queue. Là ça devient très très bon ! C'est dans cette position que nous jutons tous les uns après les autres. Je jute sur les épaules de Manu, je contracte mes muscles anaux et essore la bite de Bo-gosse. Manu se retire juste à temps pour gicler sur le ventre de Moitié qui y ajoute son propre sperme.
Remerciements réciproques pour la soirée et seul Manu reste avec moi. Je ne veux pas rester seul en ce moment.
Nous nous sommes revus plusieurs fois avant que la semaine ne se finisse et que je rentre à la maison. Nous serons amenés à nous revoir, j'ai pris l'adresse de la galerie de Bo-gosse. Le trio de copains m'ont fait la gueule de m'être réservé mes nouveaux amis. C'est leur problème, après tout, ce ne sont que des rencontres de vacances !!
Retour à la maison. Marc est en déplacement, je me pose et réfléchis un peu à mon avenir.
JARDINIER
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havaforever · 7 months
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LE REGNE ANIMAL - On a beaucoup entendu parler de ce film "coup de poing", alors oui, il est violent, certainement aussi choquant, anxiogène et parfois même bouleversant. Le propos est fort mais court, la portée de l'image est intense, mais la longueur du film délaye un peu la puissance d'un message qui au final manque un peu d'élaboration.
Et donc, Le Règne Animal est avant tout une attaque en règle bien sentie et légitime sur la folie humaine dans sa barbarie la plus crasse, faisant vivre avec force l’assertion hobbesienne de l’homme loup pour l’homme. C’est pour certains le besoin primal et instinctif de domination, y compris et surtout sur ce qu’ils ne maîtrisent pas. Pas besoin d’un certificat diplômant d’éthologie pour entrer au cœur du sujet. Mais point de catégorisation ou de binarité chez Thomas Cailley, ni homme ni femme, ni homme ni bête, encore quelques gentils et pas mal de méchants, mais il déclare aussi son amour à l’humanité quand celle-ci est portée par le cœur battant des héros discrets.
Mais le propos n'a pas toujours lieu de cité, Le règne animal, c’est aussi du grand spectacle visuel, auditif, bestial et quasi olfactif ! Croisement foisonnant et parfois délirant des genres, entre typiquement le film de genre, en mode univers SF totalement assumé et décomplexé, de la bonne grosse vanne au moment où l’angoisse nous étreint le plus, avec en supra la quête maternelle, le besoin de se renifler et une quête d’affection toujours dramatiquement inassouvie.
Nous sommes ainsi ramenés à notre condition animale de bipède social, dans cette magistrale démonstration Darwinienne qui remonterait le temps en sens inverse…
Le plus parfait exemple du coté très décalé du film, est la scène de la voiture avec le moment Pierre Bachelet, et l’anthologique Elle est d’ailleurs (1980) chanté à tue tête à travers la forêt. Un véritable délire père/fils que de rouler à tombeau ouvert dans ce territoire hanté par des créatures hybrides homme/animal, en cherchant la femme, la mère, avec "Et moi je suis tombé en esclavage" qui hurle dans le poste. Au-delà de l’atypisme de la situation et du jeu extrême du contraste, c’est un grand moment de cinéma. François embarque son fils au préalable sceptique sur la quête de la femme de leur vie, à tous deux.
Au-delà du traité didactique sur la condition humaine, Le règne animal, c’est un geste, une intention, une mise en scène. La forêt ici filmée, c’est le monde, évidemment. L’homme, le locataire dégénéré. La démonstration est visuellement magistrale sur l’homme et l’animal qui ne font qu’un. Le message est poétique, avec cette aspiration du retour à la terre, la prédominance du retour à notre condition première et une ode onirique où le cinéaste laisse exploser toute la brillance de son inventivité, qui va jusques dans les recoins un peu glauques de sa créativité.
Pas de morale, pas de chute, pas de conclusion, les images défilent parfois pour elles-mêmes, délestées de tout propos. C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film, dont le scénario n'est pas à la hauteur d'une idée peut-être plus choquante que profonde. Sur la fin, l'adolescent rappelle à son père qu'il fut un temps où il admirait les prouesses technologiques des humains. L'insertion fait mouche alors que la caméra du réalisateur s'emballe dans les profondeurs de la forêt, elle semble avoir subi les mutations qui rapprochent les machines du fonctionnement humain… La boucle est bouclée.
NOTE 16/20 - Expérience originale dans un cinéma français qui semblait tourner en rond. Le règne animal nous sort de nos paysages habituels, c'est un film à la fois fantastique, onirique, cauchemardesque et pop et sa catégorisation dans les inclassables en fait un vrai moment de cinéma : rare, intense, perturbant.
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Opération speciale
Chap: 1
Ce soir, il m'a prévenu que l'on allait sortir. Comme souvent.
Je suis assise à côté de lui, côté passager. Mes chevilles liées par des menottes dont il garde la clef dans sa poche de pantalon. Une vieille habitude depuis que je vis chez lui. Ou plutôt, depuis qu'il m'a interdit de partir de chez lui!
Il a toujours peur que je me sauve. Il m'attache ou m'enferme en permanence. Pour moi ce n'est pas vraiment une nécessité, je n'ai pas d'endroit où aller, pas d'argent. Je ne sais même pas si je partirais dans l'éventualité où il me laisserait libre.
Il est dur mais plutôt juste. Je subis au quotidien. Je m'attache à lui comme un otage qui se lie à son gardien. Je m'habitue à cette vie finalement. Mon cerveau se vide.
Plus d'envies. Plus de rêves.
Je deviens un automate. Je subis sans me plaindre. Les quelques punitions que j'ai reçues les premiers temps m'en ont dissuadées. Les cachets qu'il me donne plusieurs fois par jour aussi j'imagine. Je me sens las. Sans énergie. Je n'étais pas comme cela avant.
Il est pharmacien. C'est facile pour lui de me rendre à sa merci. De me droguer. De faire de moi un zombie.
Nous avancons dans Strasbourg et nous nous rapprochons du centre. Le regarde par la fenêtre de la voiture. Le regard vide. Le paysage urbain défile. Des lumières. Des boutiques en train de fermer. Des passants.
J'imagine la soirée que je vais passer.
Je n'ai pas peur. Je n'ai plus peur. Je m'habitue a être malmenée. J'aurai mal sans doute. Je passerai un mauvais moment. Ça m'est égal. Je pense à après. Quand il irait travailler demain matin. Je serai enfin seule. Enfermée dans ma chambre. Mais seule. Je dormirai. J'ai toujours envie de dormir depuis que je suis chez lui. Les cachets sans doute...
Il se gare le long d'un trottoir. Il y a un peu de monde dans la rue. Je pourrais crier. Demander de l'aide.
Même pas la force. Même pas l'envie. Juste l'idée qui me traverse l'esprit...
Il défait les menottes et me regarde d'une manière menaçante:
- Je te fais confiance petite pute! Tu restes bien docilement à côté de moi, d'accord?
- oui Maître.
Je me garde bien de lui dire que je n'ai pas la force ni l'énergie de fuir ou de demander de l'aide. Il doit bien le savoir de toute manière.
D'ailleurs je ne peux pas lui parler. Il me l'a interdit. Je peux juste lui répondre. Et encore, avec calme, politesse et en baissant les yeux! Réponses courtes obligatoires. J'ai été punie plusieurs fois au début pour manque de respect. Je fais attention désormais. Ses punitions font trop mal.
Il fait le tour de la voiture et m'ouvre la portière.
- merci Maître.
Il me prend sous le bras, gentiment.
Nous commençons à marcher. Comme des amoureux. Nous donnons le change j'imagine, pour les autres passants.
Je fais l'objet de quelques regards de mecs que nous croisons. Je suis habillée un peu court pour ce début de soirée. C'est lui qui choisi mes tenues.
Il est fier que les hommes me regardent.
Il me chuchote à l'oreille:
- tu vois petite pute, tu plais aux hommes! Je suis fier de toi!
- merci Maître... je réponds en chuchotant également.
Dans ma tête, un sourire passe. La satisfaction. J'avoue ressentir une certaine fierté à plaire. Presque de l'excitation.
Nous arrivons en bas d'un immeuble. Il sonne.
Nous entrons lorsque la porte se déverrouille....
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Ce post est écrit sous 4,5g d'alcool dans le sang, je vous prierais donc d'être indulgents. Comme l'a si bien dit Dr X, "si on n'avait pas rencontré ce garagiste, on aurait perdu notre porte monnaie, mais on n'aurait pas chopé une cirrhose".
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Pourtant, la journée a bien commencé, avec notre premier petit dejeuner en liberté, au milieu des montagnes ...
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Bon, ça a demandé quelques ajustements : on a réussi à partir sans fermer le coffre, les tiroirs s'ouvrant donc à qui mieux mieux dans la montée. Fort heureusement, nos possessions ont évité de s'éparpiller aux quatre vents grâce à la puissance du saint esprit.
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De même, nous avions oublié de fermer les lanières de la tente de toit, qui nous ont suivi en mode cerf volant avant qu'on réalise qu'il y avait un problème. Bon, eh, c'est notre premier jour hein, il faut bien faire les erreurs une fois !
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Nous passons ensuite par une route en terre, Dr X conduisant avec une bonne humeur communicative, tellement communicative même que le tiroir du vide poche a passé toute la montée a essayer de danser avec mon genou en s'ouvrant de manière intempestive. Le petit coquin.
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Peu importe, nous arrivons bientôt en vue du magnifique lac de barrage de Yeso, notre objectif de la journée !
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On profite du paysage, flanant au grès de la vie, poursuivant de notre téléphone au zoom incroyable la faune locale, et rentrons à la voiture.
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Et là, le karma accumulé sur le début de journée nous rattrape... La voiture ne démarre pas. Nos phares sont restés allumés, et en une demie heure, la batterie s'est complètement vidée !!
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Nous voici donc tout penauds au milieu de nulle part, bien évidemment sans câble pour redémarrer notre batterie, à demander à toutes les âmes errantes s'ils seraient en possession de notre précieux sésame. Sans grand succès, jusqu'à arriver au propriétaire d'un minuscule boui-boui insalubre, qui nous sort une paire de ... Câbles. Mais au sens propre, deux câbles qu'on dénude au couteau.
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Un groupe de colombiens croisés à ce moment nous remonte en voiture, manque de s'électrocuter en n'éteignant pas le moteur avant de se brancher, et en bonus Dr Rathatton leur renverse une cannette de bière dans la voiture, ils doivent être heureux de nous avoir dépannés... Mais la batterie redémarre \o/
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On finit la journée en rentrant sur Santiago (où on achète une paire de câbles à mettre dans le coffre !), et on rejoint Daniel (notre garagiste de 60 ans qui fume comme un pompier) et sa compagne, qui nous invitent au restaurant. On les connait depuis deux jours, j'ai l'impression d'être des amis de toujours, c'est incroyable ce que ces gens sont généreux ! Ils nous libèrent même une chambre d'amis pour qu'on dorme au chaud ce soir ... Ce sont vraiment des gens supers 🥰
En attendant, pas de nouvelles de notre RUT, et l'agence nous a laissé un message "on a une solution, je vous appelle dans une heure !" à 14h ... Bien évidemment sans nous rappeler ou répondre à nos messages/coups de fil. Suspense pour demain, sera t on coincés ici tout le week end ?
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Hola todos,
Bon, mauvaise nouvelle, pour la voiture c'est la galère. Le garagiste a reçu des pièces mais la plupart n'allaient pas pour la voiture (il avait dû les acheter en ligne et une fois reçu il s'est rendu compte que le vendeur avait menti et qu'elles ne correspondaient pas à notre modèle). Par chance il a pu récupérer certaines bonnes pièces par la suite, mais il lui en manque une essentielle et il ne sait pas trop comment la trouver. Dans le meilleur des cas on aura la pièce manquante lundi, dans le pire... On risque d'attendre encore un peu. Les boules !
Déçus par la nouvelle et fatigués de stagner dans la vallée des artistes, nous avions envie de partir vagabonder avec Charles. Gregorio a donc gentiment accepté de nous prêter sa voiture pour que nous allions à la mer. Une idée merveilleuse !
Ce matin, nous avons donc pris la route pour nous rendre à Bucalemu et Boreyuca. Deux jolies plages donnant sur un océan pacifique déchaîné.
Après une marche dans Bucalemu où nous avons acheté deux ponchos et des chapeaux de cowboys à des péruviens, nous avons été manger du merlu frit dans un petit resto en bord de mer. Un régal !
Le village de Bucalemu est magnifique. Il rappelle vaguement Valparaiso et ses maisons colorées. Sur la plage, les bateaux sont garés dans le sable, se fondant parmi les voitures avoisinantes.
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En marchant sur la plage derrière les bateaux, nous avons aperçu au loin une petite structure avec des chevaux abrités dessous. Très enthousiaste à leur vue, j'ai donc accéléré le pas dans leur direction en affirmant à Charles que si l'on pouvait en prendre deux pour se balader sur la plage, je n'hésiterais pas.
Bonne surprise ! Les chevaux étaient effectivement disponibles pour un emprunt pour la modique somme de 15000 pesos par personne (15€). Et nous pouvions nous balader sur la plage avec et même galoper !
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J'ai été tellement heureuse de pouvoir retrouver la sensation du galop sur la plage. Un vrai bonheur. En partant le propriétaire nous a même laissé faire des photos sur le cheval de Charles !
Après ça, Charles a voulu faire du bateau sur le petit lac salé autour de la plage, nous avons donc embarqué pour un petit tour.
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(Regardez-moi ce marin d'eau douce ahah !)
Si vous pensiez que les aventures s'arrêtaient là, détrompez vous !
Nous avons repris la route direction les marais salants dont Gregorio ventait la beauté. Nous avons effectivement été émerveillés face au paysage. C'était superbe !
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Suite à cela nous avons été à la plage de Boyeruca, encore plus belle que la première. Nous avons flâné sur le sable pendant que Charles nous construisait une jolie sculpture avec tout ce qu'il trouvait autour de lui. On a beaucoup apprécié l'instant.
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En partant pour le petit village où nous avons dégoté une auberge (le bord de mer étant saturé de chiliens dans tous les hôtels à cause des vacances), nous avons croisé plusieurs vaches au milieu de la route. Elles nous défiaient de réussir à se frayer un étroit chemin entre leurs croupes.
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Enfin, nous sommes arrivés à notre dernière destination : Vichuquén. Ce village incroyable à l'architecture coloniale semble avoir été figé dans le temps. Je m'arrête ici pour ce billet, je vous décrirai cet endroit singulier demain avec des photos du village ! Pour le moment, nous allons nous rendre à la fête de la sorcière qui tombe pile ce soir, un pur hasard !
En bref, une journée bien chargée !
Besitos,
Luna
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ernestinee · 1 year
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Bon ça va ? Ça ne va pas ? J'en sais rien en fait on est en mars et au lieu de me réjouir du printemps qui va bien finir par arriver, je suis en boucle sur des trucs douloureux, que dis-je, sur un seul truc douloureux qui date d'il y a un an bientôt tout pile quand il a décidé que ce que nous étions chamboulait trop sa vie. Totalement d'accord avec lui. Quel chamboulement. Cela dit, ça reste chamboulé alors que nous ne sommes plus rien donc utilité zéro son ghosting de merde là. En plus je suis sûre qu'il n'est pas fier de lui donc franchement technique de merde le ghosting faites pas ça c'est nul.
Est ce que je laisse un évènement passé prendre l'ascendant sur tous les évènements du moment ? Absolument. Je suis en colère et je déteste ça. Pourtant il y a plein de trucs positifs en ce moment. L'amitié, le boulot, la fin de ma grosse formation qui dure depuis 3 ans et les projets que ça va pouvoir démarrer, la nouvelle formation qui se profile à l'horizon, le challenge que représente le spectacle de trapèze, les nouveaux apprentissages... C'est ça la vie peut-être on laisse des petits trucs prendre trop d'importance c'est normal d'être subjectif on n'est pas des robots. Enfin bref du coup je suis en mode colère tristesse nostalgie, même qd il se passe un truc chouette.
Je pense à tout ce qui n'est plus là. En plus il a fait mauvais pendant mes congés et ensoleillé juste après. En plus mon chat me manque tellement. Oreo et Muffin sont sympas mais bien sûr c'est différent d'un chaton d'amour qui a partagé ma vie pendant 17 ans. Ils m'ont quand même sentie triste depuis quelques jours et dorment près de moi la nuit, du coup j'ai un peu mieux dormi.
J'essaie de me focaliser sur des anciennes sensations. L'autre jour en voiture j'ai bien aimé les ombres entremêlées des branches d'arbres. Quand j'étais petite, je fermais les yeux et ça clignotait rouge noir rouge noir rouge noir super vite.
Bon, je conduisais, j'ai pas fermé les yeux.
Il y a aussi eu la mousse au chocolat de Michel et Célestin, ou Lucien et Augustin ? Qqchose dans le genre, une marque qui joue très fort sur le "comme si c'était fait à la maison il y a longtemps par la grand-mère" et ohlala leur mousse au chocolat c'est pépite.
Ah et il y a aussi eu un rêve familier que j'avais totalement oublié et qui est revenu. Depuis super longtemps, mais genre vraiment longtemps, depuis l'adolescence, je rêvais régulièrement que j'etais étudiante dans une école un peu cosy avec des vieilles boiseries, des petites classes où on étudie des trucs intéressants dans une bonne ambiance. Avant j'avais limite une seconde vie dans ce rêve, je le faisais souvent et il se passait des trucs absolument pas bizarres, j'étais juste étudiante, et ma petite vie d'étudiante avec des potes évoluait la nuit lors de ces rêves. Ça doit faire 15 ans que je n'avais plus rêvé de tout ça. Et la nuit passée hop me revoilà à l'école, toujours étudiante mais il y avait quand même la notion de "ça fait longtemps" pcq une pote me faisait la gueule pcq je n'étais plus venue depuis trop longtemps, et une autre - mon amoureuse - était super contente de me revoir. Je l'avais oubliée aussi mais elle m'a reconnue de dos pcq j'étais arrivée en classe avant elle et elle m'avait fait un bisou sur la joue en frôlant mes omoplates avec ses doigts. Puis alors qu'elle était assise, je me suis assise à côté d'elle en l'embrassant sur la bouche. J'ai encore la sensation du bisou là maintenant en écrivant. J'étais un peu deg de me réveiller du coup.
Puis j'ai fait un autre rêve qui a aussi mis en scène une personne du passé. C'était une longue accolade très douce dont j'essaie de ne pas perdre la sensation parce que j'en avais bien besoin.
Bref mon inconscient a bien compris que j'avais besoin d'ancrage, de retrouver des racines, des socles, parce que trop de choses m'émeuvent en ce moment.
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hellmouthheritage · 10 months
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HELLMOUTH HÉRITAGE
Le regard empathique de la tueuse reste en contact avec celui de l'étudiant. Elle ne démarre pas tout de suite la voiture. Elle sait très bien ce que ces yeux veulent exprimer, ce qu'ils renferment aussi. Ça lui rappelle sa jeunesse, elle se reconnait dans sa façon de parler, de bouger. Il n'y a pas si longtemps, elle avait son âge elle aussi. Buffy sait qu'elle a la quarantaine aujourd'hui, du moins physiquement. Les seuls souvenirs qu'elle a en tête sont ceux de sa vingtaine. Ceux où Giles était encore là pour la guider, l'entraîner. Son absence lui manque, elle aimerait savoir ce qui lui est arrivé. Ne pas savoir est une torture pour Buffy. Chaque seconde, elle continue de penser à lui, celui qui l'avait guidé dans tous ces combats, comme le père qu'elle n'avait jamais eu. Buffy écouta attentivement le prénom qu'il prononça tendant la main vers son épaule pour le rassurer.
Valentin, c'est un très joli prénom.
Elle retira ensuite sa main, continuant de le regarder avec une compassion dont elle n'avait pas l'habitude de faire preuve avec personne. Valentin lui rappelait cette nuit où elle avait bien failli perdre Giles dans un combat contre Angelus. Ses yeux lui rappelaient la tristesse qu'elle avait ressenti au simple fait de penser perdre Giles. Ce garçon devait être vraiment dans un état d'aigreur, d'amertume qui suit un évènement tragique qu'il a vécu. Comme elle, après avoir fait l'amour avec Angel qui s'était transformé en monstre. La tueuse ressentait sa rage, sa peine, sa honte. Il devait avoir traversé les enfers, mais ces enfers l'ont amené jusqu'à elle et Buffy a vraiment cette envie de l'aider.
Tu sais Valentin, il n'y a pas si longtemps, j'avais ton âge... Je sais que l'Université c'est difficile. Surtout quand on habite à Sunnydale. Cette ville, c'est vraiment une source de souffrances, mais c'est aussi une ville pour ceux qui ont cette passion particulière en eux. Une passion qui les amène à se relever de n'importe quelle situation. Plus forts, meilleurs. Je vais te partager les mots qu'un vieil ami à moi un jour a dit et ces mots ont changé ma façon de voir les choses. La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l'amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois la douleur est si forte qu'on ne peut plus la supporter.  Et bien moi Valentin, je dis qu'il faut la rencontrer cette douleur, il faut la vivre à deux-cent pour cent pour pouvoir, se relever, pouvoir combattre et tu verras... Un jour ces voix dans nos têtes qui nous disent qu'on n'y arrivera pas et bien elles disparaîtront comme cette douleur qui nous arrache le coeur par faute d'avoir trop espéré, trop aimé.
La tueuse se rendit rapidement compte qu'elle était en train de monologuer, espérant ne pas avoir perdu en route le jeune étudiant à qui elle venait de sauver la vie. Peut-être que ce café qu'elle lui avait proposé n'était pas seulement un geste d'empathie finalement. Peut-être qu'elle aussi avait envie de parler, envie de ne pas être seule une nuit de plus. Depuis son retour, jamais elle ne s'était sentie aussi seule de toute sa vie. Elle avait l'impression que personne en ce Monde ne pouvait la comprendre ou seulement quelqu'un daigne vouloir le faire. Buffy écouta de nouveau attentivement ce qu'avait à dire Valentin et elle fut saisie et étonnée qu'il sache qui elle était. Ce n'était pas seulement son prénom qu'il avait mentionné, Valentin avait utilisé le mot élue. 
Excuse-moi ? Qu'est-ce que tu as dis ?
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ameaurose · 1 year
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Rien est plus beau qu'un souvenir.
Chaque fois qu'un homme est frustré, il se tourne vers le passé, espérant vérifier la vérité d'un rêve inépuisable. Je me souviens avoir rencontré une sirène. Les Sirènes sont souvent totalement déraisonnables, et cela fascine les hommes corsetés par leur rationalisme. Jamais aussi peu d’occasion m'ont été offertes de frôler le danger. Le seul moyen de faire cesser la tentation, c’est d’y succomber, de céder, de croquer le fruit tentant. Sa manière de parler, captivante, subjuguait le cœur. Sa voix résonnait comme une lyre. La voix est centrale dans le mythe des Sirènes, elle créer une présence animale et possède un immense pouvoir de séduction. Il faut que la voix de la Sirène insinue son charme, de façon subliminale et sans lourdeur. La Sirène ne parle jamais vite, avec agressivité et d’une voix aiguë ; elle s’exprime doucement et sans hâte, comme si elle venait de quitter le lit. Elle était une blonde séduisante, Avec un sourire éclatant, Des yeux pétillants comme des étoiles, Qui captivaient tous ceux qui l'entouraient. Son corps gracieux et sa démarche fluide, Attiraient les regards, sans en être envahissants. Son charme naturel, sans artifice, Laissait les hommes sans voix, enivrés de sa présence. Elle rayonnait de lumière et de beauté, Et son rire était comme un souffle d'air frais. Sa douceur et sa gentillesse, sans pareilles, Attiraient les âmes les plus brisées, et les réconciliaient. Elle était comme un rayon de soleil, Qui illuminait la vie de ceux qui la rencontraient. Et son souvenir restera à jamais gravé, Dans le coeur de ceux qui ont eu la chance de la connaître. Distante et insaisissable, rarissime étant les femmes qui ont assez de confiance pour projeter une féminité teintée d'érotisme. Vous êtes happé par une présence magnifique, coincé dans l'incarnation d'un rêve. Viscéralement luxurieuse et naïvement innocente, comme si elle était incapable de mesurer l’effet qu’elle provoque. Sa retraite nous fait languir après son retour, comme le ciel gris fait désirer l’embellie. Son air de mystère, son regard grave, elle s'enfuit dans l'ombre.
Quelque part, ce danger fut la rémission de mon incurable inspiration. Je me contentais d'exister, d'attendre comme une belle maison vide qui attend de recevoir des tapis et des tableaux. Un palais, un bordel, la salle des absents de Miro, peu importe. Je traque la moindre donnée, une trace de vie, une preuve quelconque, une errance quelque part. Une ombre me manque pour finir ce roman. Dans le silence de mon appartement un peu trop vide, je peux entendre les versions des autres qui continuent d'exister dans mon esprit. Parfois, elle continue d'exister dans mes rêves, elle se manifeste sous forme d'impulsions électrique et danse parmi ce réseau de vibrations.
Deux ans, c'est le temps qu'il m'a fallu pour t'oublier. Pour t'oublier toi et cette douce cité bâtie sur l'eau où les bateaux voguent sans cesse, là où les rues pavées, les maisons de pierre, sont les témoins de l'histoire, de l'architecture. Les jardins verdoyants, les arbres centenaires qui offrent un refuge pour les passants affairés qui se promènent sur les rives de la Loire. Il y a parfois des lieux qui m’appellent, qui crient en moi. D’abord, j’entends le feuillage des arbres de la Loire, et puis l'eau qui coule, la vie microscopique qui danse sur les pavés. C'est comme si j'étais réduis à l'échelle cellulaire, trainant ici comme une bactérie éveillée, accrochée à la poussière de ton escalier. Je fais les milles pas vers un lieu que je ne reverrai jamais, je laisse l'amour à cet état latent de douce caresse puis je fuis vers de nouveaux souvenirs. Parfois, je me cogne encore dans les meubles de son appartement, je sens l'odeur de sa salle de bain humide et légèrement poussiéreuse. L'emprunte du lieu est vulgaire, barbare, agressive, collante. Je capte l'énergie de sa voiture qui se déplace, son regard qui écume la route, la pluie angevine, le pétrichor, son rire dans les rues résonne. La nostalgie des arômes, c'est un été qui ne reviendra pas. Elle sentait le paradis, c'était comme un éclat de lumière sucré avec des notes florales ambrées. Parfois, vous êtes distrait par une inconscience fugitive, une distraction sensuelle à l'oeil. Mes yeux s'égarent sur une chevelure que je pense avoir aimé. L'ombre du souvenir persiste, je suis piqué par la nostalgie des arômes. J’ai longtemps détesté la campagne, ces odeurs fétides, celles de l’herbe, du foin et du fumier. ce néant visuel indomptable où les racines du béton n’ont pas su se répandre. La ruralité emmène un vide avec elle que j’ai envie de réveiller.
J'ai connu une fille qui sentait le paradis, c'était comme un éclat de lumière sucré avec des notes florales ambrées. C'est la nostalgie des arômes.Derrière se cache l'emprunte du lieu, sa représentation machinale, vulgaire, barbare. Je me cogne encore dans les meubles de son appartement, je visualise la poussière de l'escalier boisé du phare, la litière de son chat, , l'odeur de sa salle de bain humide.
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if-you-fan-a-fire · 9 months
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"NOS PETITES ENTREVUES," Le Petit Journal. August 1, 1943. Page 17. ---- Etes-vous en faveur que les femmes remplacent les hommes à bord des trams, des autobus et des chemins de fer? --- Qu'en pensez-vous ?
Henri-Paul Després, 315, rue Savignac. Je crois que l'idée a un certain bon sens. Puisqu'il manque des hommes, il faut bien les remplacer. Or on ne peut les remplacer que par des femmes, puisqu'on ne peut pas prendre des enfants. Il faudra donc faire l'essai, si l'on ne veut pas interrompre les services de transport. Reste à savoir si on pourra nous assurer le même service, car, à part quelques cas, ce n'est pas dans les cordes de la femme de faire ce genre de travail. Pour le moment, je ne me prononce pas. Cela peut réussir.
M. P.-E. Picard, Etats-Unis. "Si la chose se présentait en temps normal, je serais complètement opposé à l'emploi femmes dans des ce genre de travail. Mais nous sommes en guerre et par la force des choses la femme doit prendre certaines situations qui jusque là étaient réservées de permettre aux hommes, afin ces derniers de travailler à des besognes plus essentielles exigées par l'effort de guerre du pays".
John Sullivan, 1700, St-Timothée. Puisque les événements nous forcent à essayer bien des choses nouvelles dans presque tous les domaines, il n'y a pas de raisons pour que l'on ne substitue pas les femmes aux hommes sur les trams, les autobus et même les trains. Mais je ne crois pas que ce soit tout à fait la place du sexe faible. Il semble bien, toutefois, que ce sera une distraction pour les voyageurs et un apprentissage assez curieux pour le role futur qu'elles auront à remplir au sein d'une famille".
Wilfrid Jean, 10794. Lajeunesse. Nous en verrons de toutes les couleurs dans cette guerre. On en est maintenant arrivé à faire travailler les femmes comme les hommes. Mais comme les femmes ont souvent beaucoup plus d'entregent et d'am- bition, il y a un certain bon sens à les utiliser partout où on le peut. Il y aura une période de mise au point. On entendra quelques récriminations, puis les gens s'habitueront à la nouveauté, qui aura probablement son bon côté. Il n'est pas impossible que, pour faire mentir le dicton, les femmes arrivent à faire partir et arriver leurs voitures à l'heure.
Jean Ethier, 1053, Sanguinet. Au cours des 78 ans de mon existence, je n'ai jamais vu pareille chose. Il me semble que nos jeunes filles seront déplacées, au volant des autobus et derrière le moteur des trams. Pourtant je pense qu'elles pourront rendre des services, si elle sont appelées à remplacer les hommes dans ce domaine, car les femmes qui veulent travailler travaillent bien.
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alexisgeorge24 · 8 months
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23 août :
Réveil dans une brume épaisse qui nous empêche de (re)profiter du spectacle; donc en remballe tout et on rentre à la voiture assez rapidement. On ne perd pas de temps et direction le Trolltunga: LA vue carte postale du pays avec LE prix du parking tout aussi impressionnant. J'ai déjà mentionné l'affluence de Disneyland, là on y retrouve le prix.
On monte donc les 900m d+ pour atteindre cette langue de roche au-dessus du lac Ringedalsvatnet. Les couleurs du ciel sont aussi de la partie et il ne manque plus que Rafiki portant Simba pour compléter le tableau. Mais les photos et vidéos de Micha et moi sur le rocher feront l'affaire. Bivouac encore une fois au paradis. Et si en enfer il fait très chaud, au paradis il fait très froid, mais on s'y fait.
24 août
Réveil avant le lever du soleil car aucun nuage de prévu (il faut apprendre à les saisir ces occasions ici) pour profiter de toutes les nuances de couleurs. Il est 6h et on est déjà une 20aine sur les lieux. Photos, vidéos et c'est parti pour finir la boucle autour du lac. 25km à faire donc, dans des paysages où le noir de la roche, le vert de la mousse et le bleu des lacs dominent. On s'y baignera d'ailleurs, puis on séchera au soleil.
La boucle finit, direction Bergen, mais on y fera que la moitié de la route avant de bivouaquer à côté d'une ferme inoccupée. On entame le cubi de rouge.
Bilan Kjeragbolten: 12km, 650m d+
Bilan Preikestolen: 10km, 500m d+
Bilan Trolltunga: 35km, 1600m d+
25 août:
Nous arrivons à Bergen et comme il fait toujours beau on fait une visite extérieure. On se ballade dans Bryggen, quartier qui a brûlé à plusieurs reprises et qui a été reconstruit selon les plans médiévales, on se croirait dans un studio pour film de cette époque. Puis funiculaire vers le Mont Fløyen et téléphérique vers le Mont Ulriken qui très rapidement nous font sortir de la ville pour l'admirer d'en haut avec en arrière-plan son fjord et la mer à l'horizon.
Plus tôt dans la journée j'aurais réussi à trouver un couchsurfing pour 2 nuits chez qui nous allons. On fait donc la connaissance de Bernhard, thésard autrichien en management, très gentil et qui nous fait même à manger après quelques verres.
26 août :
Mauvaise météo de prévu donc on fera des musée aujourd'hui. Journée décevante. On fera un musé avec uniquement une salle exposant des poêle à bois (super), un autre avec des tableaux d'art contemporain (80% des tableaux incompréhensibles à nos yeux), un autre sur des peintres norvègien tel Munch (lui OK), un autre avec une performance contemporaine qui m'aurait certainement plu mais on est arrivés 5min avant la fin, un autre avec uniquement une seule exposition d'art plastique contemporaine et un dernier avec des maquettes de bateau. C'était médiocre mais on a fait le max pour combler cette journée de pluie. Au moins on aura bien mangé, grec à midi et éthiopien le soir.
27 août:
Journée pourrie aujourd'hui aussi mais on fait la route vers le glacier hardangerjøkulen afin d'être d'attaque le lendemain pour une boucle de 75km le contournant. On espérait démarrer dès aujourd'hui mais il pleut, du coup on joue aux cartes avec des bières dans la voiture. On y dormira dedans d'ailleurs.
28 août:
Brume épaisse mais il faut la démarrer cette rando... On marche dans de la bonne gadou et sans visibilité sur les paysages pendant 2 heures. Puis la brume se lève mais on a tout de même un toit gris avec parfois une pluie fine. En fin de journée le soleil sort et on aperçoit les premières langues de glacier. On bivouaquera devant un joli lac.
29 août :
Météo idéale pour faire ce 2e tiers de la boucle, celui-ci bien plus proche du glacier qui nous permet d'apprécier plusieurs langues, surtout depuis Finse qui rajoute un grand lac au tableau. Bonus baignade dans un petit lac en bout de mini glacier. La température de l'eau fait mal. Bivouac devant lac après avoir admirer un plus gros glacier qui finis dans un lac, rappelant le Perito Moreno en "miniature".
30 août:
Dernier tronçons de 25km, toujours sous un soleil qui nous réchauffe le corps gelé quand il se lève après 1h de marche. Paysages toujours spectaculaires dans cet environnement montagneux et désertique. On fera un bonus jusqu'à une grande langue de glacier avec une rivière qui y jaillit. Les derniers kilomètres sont mentalement compliqués, hâte d'arriver à la voiture. Quand on y est, direction le camping le plus proche pour un peu de confort, à savoir une douche chaude.
L'eau sera finalement tiède mais c'est largement compensé par la vue sur lac où on se posera avec chaises et table sur la plage pour l'apéro et dîner.
Bilan hardangerjøkulen: 76km, 2400m d+
31 août :
Journée repos dédiée à de la route panoramique. Ballade le long du Sognefjord, plus long fjord du pays qui le coupe presque en 2, depuis Gudvangen puis depuis Flam où la route monte pour des panoramas magnifiques. Puis visite de l'église en bois debout Borgund datant du XIIe s. Discussion très intéressante avec une guide qui nous montrera des signes de croyance mêlant foi païenne et chrétienne comme ces visages de Odin et Freïa sculptés sur 2 poutres de part et d'autre de l'autel en pierre datant lui-même de l'aire païenne.
Direction ensuite le Jotunheimen par une route panoramique, le drone fera des vols au dessus de la voiture pour capter ces montagnes impressionnantes. On bivouaquera exactement au même endroit que moi 2 semaines plus tôt quand j'etais venu monter le Galdhopiggen, sommet de Norvège.
1 septembre:
Micha veut faire le Galdhipiggen et moi le Glittertinden (2e plus haut sommet situé dans la même vallée). Du coup Micha fera le 1er en se levant à 05h00 puis on fera le 2e ensemble à son retour. Il galèrera un peu sur la roche gelé et glissante pour atteindre le Galdo qui fera le timide derrière une brume fine mais que se lèvera par intermittence pour apercevoir les panoramas.
Pour le Glitter (oui on leur donne des diminutifs, on est intimes) l'énergie de Micha me motivera pour foncer à 200% jusqu'au sommet enneigé. 780m d+ en 1 heure, je ne sais pas si j'ai fait mieux que le Ben Nevis d'Ecosse. On verra quelques groupe de reines. Évidement la vue est impressionnante d'en haut et donne sur une 10aine de glaciers et autres sommets du parc.
Bivouac proche de la route en bas du sentier.
Bilan Galdo + Glitter (Micha): 30km, 2900m d+
Bilan Glitter (Alexis): 18km, 1400m d+
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carreimperial · 9 months
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Les chevaux en Russie (1812) Partie 2
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(suite partie 1)
Ça passe ou ça casse ?
La perte des dépôts de chevaux et des stocks de fourrage profitait à l'ennemi et allait compromettre la ligne opérationnelle Vilna-Minsk-Smolensk.
Napoléon fut contraint d’abandonner Smolensk, et de se replier en direction de Minsk. Il partit le 13 novembre, et l'arrière garde du maréchal Ney le 17 à minuit.
L’itinéraire Smolensk­-Orcha fut un risque des plus dangereux : 120 km entre 4 et 6 jours, les marches nocturnes, une chute de la température passant de -10°C à -16-18°C, les chemins verglacés, la fatigue, le manque de vivres, puis le combat de Krasnoï.
Ces contraintes additionnées allaient décimer les chevaux : une perte de 30000 chevaux, surtout ceux originaires de France et d'Allemagne. L'attelage étant diminué, l'ordre est donné de détruire une partie des pièces de canon et des munitions, et de brûler les caissons, bagages et charrettes inutiles.
L’armée de repli devint temporairement quasi aveugle les éclaireurs à cheval se limitant à 2 km delà des troupes.
Ça passe ! "Hourra !"
Mais malgré cette semaine noire, le passage du fleuve Borysthène s'effectua.
Il n'y avait pas d'ordre de bataille, à ce moment, sur l'axe Smolensk-Orcha. Il n'y a qu'un combat sur Krasnoï pour la sauvegarde de la ligne opérationnelle.
Les corps d'armée sous le commandement de Napoléon étaient en mouvement et espacés de 1 à 3 jours. Les corps d'armée russe sous commandement de Koutuzov n'avait pas les moyens de livrer bataille suite à leurs défaites de la Moscowa et à Maloiaroslavets. Les Russes n'essaieront que de suivre, attaqueront uniquement les unités vulnérables et les trainards.
L'avant-garde (VIIIe corps) de Junot, le Ve corps (polonais) de Poniatowski, la Garde, la cavalerie Murat, le IVe corps d'Eugène, et le Ier corps de Davout ont su protéger leur ligne opérationnelle, ont repoussé les quelques attaques de l'avant garde russe, ont pu passer le fleuve Borysthène à l'Ouest, et rejoindre Orcha en sécurité.
Ne restait que le IIIe corps de Ney, formant l'arrière-garde, isolé en position vulnérable à l'Est de Krasnoï. Il allait subir les attaques et de lourdes pertes des avant-gardes russes en supériorité numérique. De là, suit un épisode d'aventures où seuls les audacieux et braves survivent. Ney et les rescapés réussirent à esquiver en passant sur l'autre rive Nord du Borysthène. Les marches intensives de nuit avaient finalement permis de distancer l'armée de Kutuzov de 3 jours.
Entre temps, la division Dombrowski laissa la ville de Minsk aux mains du corps russe Tchitchagov, ce qui coupa la ligne opérationnelle entre Vilna-Borissof-Orcha. Dombrowski fut contraint de partir sur Borisof pour rejoindre Napoléon.
Les 19­-20 novembre, à Orcha, Napoléon réorganisa les corps d'armée I, III, IV, V et VIII.
Le 22 novembre, à Tolotchine, ils trouvèrent de la farine considérable et une grande quantité d'eau de vie dans les magasins. Les soldats et les chevaux ont pu se remettre en état.
Les IIe corps d'Oudinot, IXe corps de Victor et la division Dombrowski allaient se joindre aux cinq corps de Napoléon, et allaient apporter une bonne quantité de chevaux...
Arrivé le 23 novembre à Bobr, Napoléon réorganisa, une nouvelle fois, la cavalerie : on brûla la moitié des charrettes, et 200 chevaux allèrent compléter le parc d'artillerie.
Le 24 novembre, le IIe corps d’Oudinot fit 2000 prisonniers au corps d'armée russe de Tchitchagov, et récupéra 6 pièces de canon, 500 voitures de bagages, et un nombre non négligeable de chevaux.
Les manuscrits du secrétaire particulier de l'Empereur indiquent : "une file d'artillerie de 250 bouches à feu, leurs approvisionnements, 300 voitures qui passent tranquillement la rivière Bérézina le 26 novembre. Sans compter les passages du 27 et 28 novembre, nous serions impressionnés du nombre de chevaux de traits présents…"
Et les chevaux de selle furent, semble-­t­-il, assez nombreux, les 28-29 novembre, pour culbuter et achever les avants des corps russes de Tchitchagov et de Wittgenstein, sur la rive droite, et rive gauche de la Bérézina.
Bataille de la Bérézina, victoire française qui permettra de sécuriser la retraite et de distancer de plusieurs jours l'armée russe.
(Txt LB)
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 61
Je me suis réveillé le samedi matin au creux des bras de Marc. J'appréciais ce moment sachant que nous avions ajouté au vendredi de " relâche " le samedi matin.
Je glissais vers le pied de lit jusqu'à pouvoir lui sucer la bite. Encore molle, je la décalottais et suçais le gland comme un bonbon attirant le sang pour faire bander l'ensemble. Il raidit sans se réveiller. Je commençais alors une vraie pipe, le suçant bien sur tout ses 22cm, léchant les couilles rasées. Quand j'ai senti ses mains bloquer ma tête et que ses reins se sont mis en mouvement j'ai su qu'il était réveillé. Il ma limé la gorge jusqu'à me servir un petit déjeuner de son cru ! trop bon !! Une fois que ma langue a tout bien nettoyé, je suis remonté sur lui et lui ai roulé une pelle. A son tour il s'est mis à me sucer. C'est pas souvent même si je sais qu'il ne déteste pas ça. Alors que je me vidais, il garda tout en bouche pour me le faire partager dans un baiser " gluant ".
Après une bonne douche et un petit déjeuner conséquent, nous nous sommes attelés à la préparation de notre méga touze. Les invités étaient prévus d'arriver vers 15/16h. Pelouse tondue vendredi PM, piscine nickel, baisodrome de l'étage, salle de muscu et donjon prêts, je vérifiais les approvisionnements en Kpotes et gels et je refaisais le plein des tiroirs et des coupes. Je faisais particulièrement attention au donjon où la présence de nombreux godes rendrait la consommation importante.
Nous serons 17. J'avais réussi à joindre Kev, qui ferait un détour sur le chemin de La Palmyre où il allait passer des vacances " fructueuses ". Un actif de plus ne sera pas de trop pour satisfaire les nombreux trous en manque.
Pour le samedi soir BBQ + salades du traiteur et glaces. Le dimanche un brunch servi à partir de midi et le soir buffet froid (du traiteur aussi).
14h00 : sous la douche nous nous câlinons gentiment. 14h30 : je saute dans quelques vêtement décents et avec la voiture de Marc fait du ramassage. Je passe cherche Ric, son père sort me saluer et me passer sa " pension ". Pierre nous rejoint, il me donne le " mot " de son père et chez Jean, JB est arrivé. Ils rejoignent Pierre à l'arrière. Jean fait les présentations. 15h 30 : Nous arrivons dans la cour de la maison en même temps que les 3 motards. Je débarque mon petit monde avant de ranger la voiture. Quand je les rejoint tous, Eric me traite de chauffeur de ramassage scolaire.
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J'embrasse Phil et Luc que nous avons pas vu depuis quelques temps. Ils sont superbes, bronzés. Les présentations continuent. Je prend JB par le bras et l'intègre dans le groupe. Comme on se connaît déjà tous, il n'est pas encore à l'aise ! Je pousse tout le monde vers la terrasse et la piscine. En aparté, je demande à Ric de veiller à ce que JB ne soit pas seul et le charge de le brieffer un minimum. Bruno et Arnaud arrivent du fond du jardin et je repars devant la maison accueillir nos russes, Seb et Nicolas. Comme Kev arrive aussi, je parts fermer le portail, isolant la propriété de tout risque d'intrusion imprévue.
Je retrouve le groupe sur la terrasse. Les premiers arrivés sont déjà dans l'eau. JB encore en slip parle avec Eric. Je présente Kev à tout le monde. Cette année il a les cheveux mi long et les regards qu'il essuie sont loin d'être innocents.
Marc demande l'attention de tous et prévient que pour éviter tout risques, toutes les sodo sans exception seront faites sous kpotes, et que toute kpote usagée devra être déposée dans les petites poubelles disséminées partout. Il prévient aussi que la piscine n'est pas une baignoire dons on ne s'en sert pas pour se laver du sperme. Pour cela, il y a suffisamment de douches à dispo.
Je rejoins nos deux blacks et je fais glisser le slip de JB sur ses chevilles avant de l'entraîner dans la piscine. Nous y retrouvons les plus jeunes en train de se chercher. Bientôt nous sommes rejoints par les " vieux ". Les corps bougent, glissent les uns contre les autres, s'attrapent. Kev n'a pas mis longtemps à entrer dans le jeu et je le vois s'accaparer Pierre. Je me rapproche d'eux et glisse à son oreille qu'avec Pierre, c'est 100% précautions et plan douceur. Il me dit Ok avant de lui rouler une pelle. De tous les cotés c'est roulage de patin et massages de bites. Marc calme le jeu en proposant la visite des lieux de " perdition ". Nous sortons tous de l'eau, chacun trouvant un drap de bain pour s'essuyer. Chaussés de Tongs, les serviettes ceinturées sur les reins (pour Jean et Ric réduites à une largeur tellement mini que l'on voit leurs couilles), Marc entraîne le groupe en exploration. Passage au sous sol, pour certains découverte de la salle de muscu, de ses spécificités (sling, anneaux au sol) et de sa salle d'eau attenante. A l'étage la baisodrome avec ses deux grands lits placés au centre avec le mur et le plafond de glace. Il en profite pour ouvrir les chambres qui sont à leur disposition. Et nous traversons la cour pour accéder au donjon. J'entre en premier avec JB et Kev les seuls qui ne connaissent pas les lieux. J'éclaire d'un coup et si Kev est surpris, c'est surtout un sourire connaisseur que je vois sur son visage, dans ses yeux défilent toutes les positions qu'il va tirer pouvoir tirer de l'aménagement. Les autres nous rejoignent et je passe par les sanitaires puis monte avec les deux nouveaux à l'étage. JB n'ouvre pas la bouche mais son sexe soulève le drap de bain. Au moins il n'est pas traumatisé.
Quand nous retournons à la piscines certains sont ralentis, n'ayant pu attendre pour se faire sucer. Avec Ric, Phil et Luc, j'étale tout autour de la piscine les matelas de bronzage, puis avec leur aide je ramène de la cuisine les boissons. Alcoolisées, non alcoolisées, reconstituantes, Red Bull... Je mets la musique en passant dans le salon. La fête peut commencer ! (enfin pour certain c'est déjà le cas !). Marc s'est approché de JB et le rassure sur ce qui va ce passer. Il est libre de tout et surtout de dire non quand il ne veut pas. Il le prend par sa bite raidie au maximum et appelle Ric pour le sucer. Un attroupement se fait autour d'eux quand Ric se place sur la table basse sur le dos et demande à JB de la lui mettre dans la bouche. JB s'exécute à genoux. Nous voyons les cm entrer dans la bouche puis soulever le larynx de Ric. Habitué à la grosse bite de son paternel, il n'a pas grand mal à lui avaler ses 27 premiers cm. Kev ne revient pas des capacités de Ric. Il me demande qui c'est. Je lui explique brièvement son cas restant discret sur le fait que son mec est son père, mais lui assurant qu'il était formaté régulièrement à 27 x 7. Comme JB n'ose aller plus loin, Marc se positionne derrière lui et pousse son bassin pour le faire entrer entièrement. Ric encaisse. C'est ce qu'il sait faire le mieux (et en plus il aime !).
Il se retire comme le rouge monte au visage de Ric. Il se tourne vers nous autres et avec un sourire qui lui éclaire le visage, il nous dit que c'est la première fois que ça lui arrive ! nous éclatons tous de rire. Personne ne connaît une gorge plus profonde que celle de Ric ! D'une voix rauque, Ric lui réclame sa bite. Enchanté, JB la lui redonne. Le cercle se disloque et des groupes se font. Marc est toujours derrière JB à le conseiller. Je note toutefois qu'il lui a gentiment mis 2 doigts dans le cul. Je rejoins Kev et Pierre. Ce dernier à 4 pattes entre les cuisses de Kev suce avec application les 21cm. Je lui réitère mon conseil et le prévient que Pierre nous accompagnera en vacances à La Palmyre. Kev se tourne vers moi, il me dit le kiffer grave et me demande si il pourra venir le voir alors. Je lui dis que tout dépendra de Pierre, si il le veut bien. Je reste avec eux et me plaçant derrière Pierre lui bouffe son petit cul. Je tiens à passer le premier pour le détendre. C'est chose faite 10mn plus tard, enkpoté pour une fois, je le pénètre délicatement pendant qu'il continu à sucer Kev. Ça ne fait pas 5mn que je le lime que Kev me demande la place. Il est bandé au maxi et n'en peut plus d'attendre. Il me remplace et prend autant de précaution que moi à enculer Pierre. Je me suis couché sur son coté et je prends ses lèvres pour lui rouler une pelle. Je lui demande si il aime la bite de Kev. Il me dit qu'elle lui fait du bien, qu'il n'a pas mal. Je les quitte et rejoint les jumeaux. En 69 ils se font enculer, Tic par Bruno et Tac par Nicolas. Je continu plus loin et tombe sur Igor qui encule Arnaud alors que Luc se fait Seb qui lui même sodomise Jean. Je m'intercale entre Igor et Arnaud, accueillant la bite " jumelle " de celle de Marc dans mon cul et entrant sans difficulté la mienne dans le trou préparé d'Arnaud. A coté de nous, Eric plonge sa queue dans le cul de Phil. Les groupes se font et se défont au fil du temps. Après une heure environ, le seul à avoir éjaculé est JB. Il n'a pu résister à l'exigence de la gorge de Ric et à couvert son torse de sperme. Je fais signe à Eric et nous accompagnons JB et Ric aux sanitaires de la salle de muscu. Tous les 4 nous nous douchons. Eric s'occupe de Ric et moi de JB. Sa bite se redresse comme si il ne venait pas de juter. Une fois bien propre, je m'agenouille et prend une bonne partie des 30cm dans la bouche. Ric à mes cotés fait de même sur la teub d'Eric. Après un bouchonnage rapide, nous nous retrouvons sur les tatami. Après quelques positions scabreuses, nous nous retrouvons en brochette. Ric se fait enculer par JB que j'encule tout en me prenant Eric dans le cul ! Bon, très bon même !! Alors que nous sommes proche de l'explosion, Eric nous dit de tous juter sur JB. On se désaccouple et JB sur le dos recoit les premières giclées de sperme alors qu'il se branle. Ric est le dernier et lui envoi son sperme blanc sur ses pecs. Alors JB explose et envoi le sien sur son visage et ses cheveux. Je ramasse d'un doigt celui qui est sur ses joues et son front et lui met dans la bouche. il n'hésite pas et me suce les doigts avidement.
Alors que nous prenons une nouvelle douche, nous voyons arriver le reste du groupe. Kev a le bras possessivement posé sur les épaules de Pierre. Je leur cède ma place et en riant lui dit que Pierre est à tout ceux qui veulent de lui et que lui accepte. Il sourit, relève le menton de Pierre et lui roule un gros patin avant de le pousser sous la douche. Nous discutons en matant la demi douzaine de mec se laver. Je lui dit que si il commence comme ça avec Pierre, quand nous serons tous à La Palmyre, il ne va pas gagner grand chose pendant nos 3 semaines de vacances. Il me dit que c'est pas possible qu'il a besoin du fric qu'il gagne à faire le gigolo pour financer son année d'étude.
Nous nous retrouvons tous un peu plus tard à prendre l'apéro sur la terrasse. Nous allumons le BBQ et 1heure plus tard, ponctuée de pipes plus ou moins menées à terme, nous commençons à diner.
JARDINIER
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Jeudi 26 octobre 2023
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Il m'appelle
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Je me suis demandé si j'avais reçu le Saint-Esprit. En fait, le Diable me l'a fait oublier. Il est passé par plein de moyens différents pour me le faire oublier. Le premier, je pense, a été la routine. Ensuite, la connaissance. Je connais bien la Bible maintenant. Avant, lorsque j'écoutais No me parler de Dieu, de Jésus, du Saint-Esprit, je m'abreuvais sans rien dire parce qu'il avait bien plus de connaissance, mais aussi une relation avec Jésus qui était déjà forte, établie, précise, tandis que moi j'avançais doucement avec l'aide du Saint-Esprit pour me guider. Aujourd'hui, je connais bien plus la parole. Alors qu'avant je me sentais illégitime (à tort) de parler de Christ, car peu assurée, aujourd'hui je peux en parler, je connais.
Mais connaître n'est pas avoir une relation avec Christ, avec le Saint-Esprit. Il nous parle par la parole et il est important de la lire. Cependant, de la même manière qu'il faut lire la parole avec les yeux de l'Esprit, qu'il faut lui demander de nous éclairer, il faut aussi parler de la Parole par l'Esprit. Il faut tout demander à l'Esprit, tout. Et c'est ce que j'ai fait après mon baptême. J'avais une telle paix, une telle assurance ! Pourtant, je n'allais pas à l'église, pourtant je n'étais pas entourée de chrétiens. J'avais le Saint-Esprit avec moi et il était le meilleur orateur que j'aurais pu avoir en moi pour parler de Lui.
Je comprends maintenant tellement No qui, il y a quelques semaines me parlait de sa recherche du Saint-Esprit avant. Je comprends tellement ses mots "quand tu connais comment c'était d'avoir le Saint-Esprit avec toi, tu le recherches encore et encore".
Tout en ce moment dans ma vie me dirige vers Lui. Tout ce qu'il m'envoie n'est en fait qu'un chemin qui mène à Lui. Ma lecture de la Bible, le livre Bonjour Saint-Esprit que je lis, ce que je reçois dans mes prières et mes appels. J'ai même ressenti sa présence dans la cuisine ce week-end, sa manifestation parfaite et puissance. Je l'ai encore senti dans la voiture hier.
Toutefois, aujourd'hui je constate que je manque de foi. Ce n'est pas une fatalité, ni un échec. Ce que l'Esprit me révèle et me demande me fera avancer. Je dois aspirer à l'Esprit, marcher par l'Esprit, et pour cela, il faut obéir. J'ai foi en la fidélité de Dieu. Je connais que ses promesses et ses voies sont parfaites.
Le Saint-Esprit veut venir à ma rencontre mais je suis encore prisonnière de ma chair, d'émotions qui l'empêchent de m'atteindre. Je vois aujourd'hui combien il aimerait venir me parler, établir sa communion avec moi, mais mon être ne le laisse pas entrer. Je l'appelle, il répond, mais n'arrive pas. Parce que je ne l'appelle pas avec une pleine foi. Ô Saint-Esprit, accorde-moi la grâce de me détacher de ma chair, de ces émotions qui entravent notre union, notre communication. Reviens à ma rencontre Saint-Esprit.
J'ai confiance. Il va venir me toucher à nouveau.
Pour cela je ne dois pas avoir peur de tout laisser. De tout abandonner. Ce que je n'ai pas encore fait. Je dois radicalement lui laisser ma vie, les amitiés et les relations qu'il me demandera de laisser, tous ces désirs et toutes ces actions qui ne glorifient pas son nom ou qui ne peuvent pas Le glorifier.
Pour commencer Seigneur, Saint-Esprit, je demande à ce que tu délies ma langue, que tu retires cet esprit de timidité qui m'empêche de te louer à haute voix dans la maison quand No est là. Je veux crier ton nom Seigneur, je veux te louer et ressentir ta présence dans ma vie.
Sois au bout du tunnel Saint-Esprit, permets que je t'atteigne au bout du tunnel. Au bout de cette semaine de jeûne que j'ai entrepris pour venir à ta rencontre, pour que tu me remplisses.
Amen.
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janelher · 6 months
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« Coquille de noix sur l’océan »
Il y a des remous
Autour des flots qui grognent
Et coupent court aux croisières
Qui s’amusent à faire des voyages,
Tranquilles.
Peu à peu, l’océan
Décroche ton sourire
De mon île,
Petite sirène dans ta poche,
Debout sur le pont,
J’écris au secours...
Comment ça s’écrie ?
Il y a des remous
Autour de ma croisière,
Le vent te dépose à terre.
Ces bouts de nous qui courent...
Ça me fout en l’air !
La mer repêche tout,
À l’envers.
Moi, je préférais la voiture:
Pas de problèmes de coque trop dure
De voile trop atone,
Juste une cloche, qui tâtonne
Et sonne
Quand tu t’approches.
Sur l’autoroute, je suis sereine...
Quitte à ce que la vie manque de sel.
Prochain port, je promets,
Je me tais, allez pose
Tes valises à quai.
Il y a des remous
Autour de ma croisière,
Le vent te dépose à terre.
Ces bouts de nous qui courent...
Ça me fout en l’air !
La mer repêche tout,
À l’envers.
L’eau des poissons est opaque,
J’ai trop chaud sous l’anorak.
Je veux tremper ma main:
Je me défile...
Les trottoirs, les bars:
Où est la ville ?
Il y a des remous autour...
Je veux plonger, Capitaine,
T’es sourd, derrière ton gouvernail
De pierre.
Il y a des remous
Autour de ma croisière,
Le vent te dépose à terre.
Ces bouts de nous qui courent...
Ça me fout en l’air !
La mer repêche tout,
À l’envers.
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Après une nuit passée dans un mixeur géant, le vent dans la toile de tente ayant pour effet de transformer mon lieu de repos en vibromasseur intempestif, nous reprenons la route sous de délicates rafales allant jusqu'à 120 km/h.
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La route est absolument passionnante, parsemée de touffes d'herbe, de restes de guanacos (ils sont aux lamas ce que les vigognes sont aux alpagas) plantés sur des clôtures, de drôles d'émeus s'étant visiblement trompés de continent, et de balles de pailles (aussi nommées virevoltants) roulant sous nos roues telles un décor de fond de western.
Note: sur la photo ci dessous, vous pouvez admirer le camouflage des émeus. (Et les talents de photographe de Dr Rathatton)
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Entre les rafales nous téléportant aléatoirement d'un côté ou de l'autre de la route et les zig zags que nous devons faire afin d'esquiver les nids de poules parsemant le bitume, Dr X finit la journée un peu vert.
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De mon côté, je découvre avec désespoir que lorsque le besoin de vidanger sa vessie se fait trop urgent, il est particulièrement important de bien calculer le sens du vent. (On vous a parlé des rafales à 120 km/h ?)
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Je termine donc la journée avec un pantalon à laver et une tong disparue mystérieusement, probablement emportée par une rafale lors d'un de nos nombreux arrêts pour raccrocher la bâche de protection sur le toit.
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A notre grand désarroi, la grotte aux mains que nous devions faire aujourd'hui est fermée (il paraît que quand il y a du vent, c'est dangereux d'être en bas d'un canyon, on risque de se prendre des roches. Les locaux sont faibles.), et la petite randonnée que nous souhaitions effectuer en remplacement est tout autant fermée. Bon, on manque s'envoler en sortant du van, c'est peut être pas une siiiiii mauvaise idée.
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Tant pis, on se contente de longer ces jolies concrétions rocheuses. On devient vachement moins difficile quand on a passé la journée à zieuter des mottes de terre.
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Finalement, arrivant dans le village de Bajo Caracoles, composé de deux maison en ruine et une auberge qui fait hôtel/restau/épicerie/station essence, nous nous demandons si nous pouvons dormir sur place. La porte de la voiture refusant de s'ouvrir à cause de la pression du vent répond à notre question : ce soir, on dort en dur !
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