Tumgik
#mais puisque c'est la autant faire avec
jananabananawithnopeel · 2 years
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Post KV1 Arthur qui chil dans son lit quand soudain un guide spirituel random apparait.
"Bonjour, Bonjour." 😃
"Vous ĂȘtes qui vous encore ?"
"Votre nouveau guide spirituel ! Je m'appelle... "
"VoilĂ , stop, je vous arrĂȘte, j'm'en fous. Vous voulez quoi ?"
"Je viens vous proposent petite que... "
"Attendez, je vous arrĂȘte encore parce qu'en fait, je m'en tape. Donc vous allez reprendre vos paillettes et vos bruits d'eau qui coule et vous allez vous barrez."
"Mais... "
"Mais rien du tout. C'Ă©tait pas une question, vous vous tirez et c'est tout. Et si un seul d'entre vous reviens pour me casser les noix, je retourne dans mon bled et j'enterre Excalibur sous une dune."
Il se retourne et ignore l'ĂȘtre astral qui le regarde choquĂ© sans savoir quoi faire.
"Vous ĂȘtes mĂ©chant... puisque c'est ça je vous maudit. Interdiction de dire des choses mĂ©chantes, que des trucs gentils."
"balecouille..."
Le guide spirituel hausse les Ă©paules et claque des doigts avant de disparaĂźtre.
(je me suis un peu arraché dans les tags dsl)
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ladyniniane · 3 months
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Je suis tombĂ©e rĂ©cemment sur une vidĂ©o portant un titre putaclic mais efficace qui disait en substance "maisons d'Ă©ditions : vous avez 97% de chance d'Ă©chouer Ă  ĂȘtre publiĂ©". L'autrice y faisait part de ses expĂ©riences passĂ©es et des multiples refus essuyĂ©s.
Ma premiĂšre rĂ©action en voyant ça a Ă©tĂ© : "Ă  quoi bon ?". Comme beaucoup de gens qui Ă©crivent un peu, je caresse parfois ce rĂȘve. On Ă©crit certes pour soi, mais j'ai aussi envie de me lier Ă  d'autres personnes Ă  travers mon texte. De le partager pour qu'il vive.
Une chose trÚs importante ressortait de la vidéo : l'édition c'est un business et du marketing. Si le manuscrit est refusé, c'est qu'il ne correspond pas à ce que recherche l'éditeur. Cela ne veut pas forcément dire qu'il est mauvais. C'est comme quand on publie une fanfic. C'est mieux quand le sujet est populaire auprÚs des lecteurs.
C'est encore plus dĂ©solant vu que de nombreuses maisons d'Ă©dition françaises sont en train de crĂ©er de nouveaux labels. Sauf que c'est pour publier des oeuvres traduites, souvent de la romantasy, qui se ressemblent beaucoup les unes les autres, avec une Ă©niĂšme histoire "enemies to lovers" qui Ă©tait une fanfic reylo Ă  la base. Et c'est dommage parce qu'il y a des tas d'aspirants auteurs francophones qui aimeraient ĂȘtre publiĂ©s. Mais bon, c'est plus facile de vendre un titre anglophone qui a dĂ©jĂ  fait ses preuves et est attendu plutĂŽt que l'oeuvre d'un parfait inconnu.
Et au final, je me suis dit "puisque je ne serai sans doute jamais publiée, autant écrire ce que je veux comme je veux".
Je pense que je commence Ă  faire des progrĂšs.
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smisswil · 6 months
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En tant que spectatrice random, le QSMP a rĂ©ellement Ă©tĂ© une expĂ©rience unique. Personnellement, je suis le projet depuis l'arrivĂ©e des fr, et je me doutais pas que cette invitation allait ĂȘtre le dĂ©but de quelque chose de grand.
Au début c'était intriguant. Et à mesure qu'on découvrait les autres streamers invités, le potentiel du projet se révélait ! Je vous dis pas le choc que j'ai eu quand j'ai appris que Jaiden était dans le serveur ><
À cĂŽtĂ© des rencontres et interactions funs, le fait de voir des personnes du monde entier parler de nos streamers fr et les apprĂ©cier Ă©tait si satisfaisant ! D'ailleurs c'Ă©tait marrant de voir des inter devenir fans des streamers qu'on connaissait et suivait dĂ©jĂ  avant xD
Bref, mĂȘme si j'ai profitĂ© du contenu de mon cĂŽtĂ©, et que j'ai aussi Ă©tĂ© agacĂ©e par le traitement des fr, j'ai quand mĂȘme passĂ© un trĂšs bon moment Ă  suivre les lives des fr (principalement ceux d'Étoiles). C'Ă©tait drĂŽle et rafraĂźchissant ! Surtout pour une personne comme moi, qui a dĂ©couvert Minecraft par la mĂȘme occasion.
Malheureusement, et comme dit dans mon poste prĂ©cĂ©dent, les trop nombreuses nĂ©gligences commençaient Ă  sĂ©rieusement s'accumuler, jusqu'Ă  tout rĂ©cemment, oĂč tout a fini par Ă©clater avec la rĂ©vĂ©lation des conditions abusives et ingrates des employĂ©s (bĂ©nĂ©voles inclus).
C'Ă©tait une trahison complĂšte. Surtout venant d'un projet qui promouvait le partage de culture et la communication. L'ironie...
Quackity a failli à sa tùche de "patron" et les dégùts causés par ses erreurs sont irréversibles. Il a tué son propre projet. C'est triste.
Depuis les dĂ©missions successives des admins, dont celle de Pomme qui est la plus rĂ©cente, le projet n'a dĂ©sormais plus aucun intĂ©rĂȘt Ă  mes yeux. Autant d'un point de vue Ă©thique que rĂ©crĂ©atif. Du potentiel complĂštement gĂąchĂ©.
J'imagine que l'aventure française est terminée également, et c'est pas plus mal finalement.
Ce fut un arc original et trĂšs surprenant qui a permis d'Ă©largir les horizons pour tous, mais qui ne peut plus durer (sainement) Ă  prĂ©sent. Et admettons que les tous les problĂšmes soient rĂ©glĂ©s, ça ne sera plus la mĂȘme chose.
Pour mon cas, tout ce qui me rester à faire, à présent, c'est d'imaginer à quoi aurait ressemblé le projet si tout avait bien été géré. Voir la tournure que l'histoire aurait prise, les possibles routes que les personnages auraient empruntés, les interactions qu'on aurait pu avoir, etc. Tout ceci n'est qu'une affaire d'imagination :)
Ça laisse quand mĂȘme un goĂ»t amer d'inachevĂ©, mais qui disparaĂźtra.
Pour les 1 ou 2 personnes Ă  qui ça intĂ©resse, dans la mesure oĂč le QSMP s'arrĂȘte dĂ©finitivement cĂŽtĂ© fr (ce qui est trĂšs probable), ce compte deviendra un compte fantĂŽme, puisque qu'il a Ă©tĂ© crĂ©Ă© uniquement pour le QSMP (pareil pour mon compte twitter). Toutefois, si l'inspiration me revient (ce qui m'Ă©tonnerait franchement xD), je posterai encore des petits trucs par-ci par-lĂ , puisque j'estime que les personnages appartiennent aux streamers avant tout.
Pour conclure, merci à tous les admins du projet, qui ont donné vie au serveur, et aux streamers pour le contenu proposé.
Merci à Pomme, qui nous a accompagné le long de cet arc et qui a vécu l'enfer pendant des mois. Tu mérites un bon repos.
Merci aussi aux personnes qui ont vu, aimĂ© et partagĂ© mes dessins ! Ça m'a fait chaud au cƓur :D
Des bisous~
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perduedansmatete · 6 months
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ce que j'ai oubliĂ© de dire de ce week-end c'est que j'ai encore pleurĂ© Ă  cause des mĂȘmes trucs bourrĂ©e dans la salle de bain avec elyas, aprĂšs avoir vomi je lui ai dit que je buvais trop mais que j'essayais d'arrĂȘter (pas de boire mais de boire trop rĂ©guliĂšrement pour supporter la journĂ©e) et de lĂ  je lui ai racontĂ© plein de trucs je lui ai dit pourquoi je me mettais dans cet Ă©tat lamentable selon moi, que je pouvais plus me voir aussi, que j'avais du mal Ă  trouver ma place dans cette famille en repensant notamment aux derniĂšres rĂ©flexions de mon grand-pĂšre qui ont accentuĂ© le fait que je ne peux plus me voir, il m'a dit que je cachais bien mes Ă©motions mais qu'il avait vu que ça n'allait pas toute cette journĂ©e, je lui ai parlĂ© des Ă©vĂšnements rĂ©cents et plus anciens qui me gĂąchent la vie, lui aussi m'a parlĂ© du mĂȘme sujet, de ce qu'il a vĂ©cu qui rejoint beaucoup de mes expĂ©riences bien qu'il m'ait dit qu'il ne ressentait pas les choses de la mĂȘme maniĂšre et que ça ne l'avait pas marquĂ© comme ça a pu me le faire, puis de lĂ  on a encore parlĂ© de ma sƓur car je crois que j'avais fait le lien entre ma rĂ©action Ă  certaines choses et la maniĂšre dont ma sƓur m'a toujours traitĂ©, j'en avais dĂ©jĂ  parlĂ© avec Y la semaine derniĂšre pour je ne sais plus quelle raison, je lui avais dit des trucs que je ne dis jamais et il m'avait rĂ©pondu quelque chose genre « dĂ©solĂ© mais ta sƓur c'est une vieille meuf » puis qu'il comprenait mieux beaucoup de mes rĂ©actions et de mes ressentis enfin qu'il me comprenait beaucoup mieux tout court Ă  la lumiĂšre de ces quelques trucs, lĂ  elyas m'a dit genre « elle n'est pas toxique mais elle est carrĂ©ment Ă©gocentrique » puis qu'il avait vĂ©cu des relations tellement toxiques que ses comportements c'Ă©tait en quelque sorte du pipi de chat pour lui mĂȘme si ça l'affecte quand mĂȘme et ça m'a fait tellement de bien de parler de tout ça avec lui, tout comme Ă  lui qui m'a envoyĂ© un message dans lequel il a Ă©crit que ça lui avait fait du bien de parler de certains choses et qu'on partage des ressentis en commun sur la vie ou Ă  propos de ma sƓur, qu'il se sentait plus compris et tout mais malgrĂ© tout le bien que ces deux discussions ont pu me faire ça recommence Ă  trop tourner en boucle dans ma tĂȘte je fais de nouveaux liens et je suis fatiguĂ©e d'avoir grandi avec une sƓur qui prend toute la place qui n'Ă©coute pas les autres, qui ne pense qu'Ă  elle, qui m'a fait vivre beaucoup de choses mĂ©chantes qu'elle aime bien raconter comme si c'Ă©tait des anecdotes drĂŽles qui ne m'avaient pas profondĂ©ment traumatisĂ© et je suis fatiguĂ©e de me dire que beaucoup de ma personnalitĂ© dĂ©coule du fait que j'ai toujours du arrondir les angles avec elle depuis toute petite, que si tout le monde a toujours dit Ă  nos parents c'est fabuleux vos filles ne se disputent jamais et s'entendent tellement bien c'est parce que je faisais tout (et je le fais encore?) pour ne pas qu'il y ait de disputes, que j'ai appris trop petite que ce que je voulais et que mes Ă©motions ne comptaient pas tant que ça par rapport aux siennes (et Ă  celles des autres par la mĂȘme occasion) que si je voulais qu'on m'aime et que j'ai de l'attention il fallait que je fasse abstraction de ce que je voulais moi, puis qu'il y avait toujours plus intĂ©ressant que moi d'ailleurs et tout plein d'autres choses qui me font penser que oui si j'ai des parents Ă  peu prĂšs convenables j'ai quand mĂȘme douillĂ© sĂ©vĂšre avec ma sƓur et que ça continuera puisque comme m'a dit ma mamie cet Ă©tĂ© « c'est trop tard tu as mal Ă©duquĂ© ta sƓur » (oui c'est ma faute du coup apparemment d'avoir voulu que ma grand sƓur m'aime autant que je l'aime et qu'elle en ai profitĂ© pour prendre le dessus sur moi)
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Il y a une semaine, j’ai relayĂ© ici une confĂ©rence de Jean-François Braunstein sur "la religion woke" telle qu’il la nomme lui-mĂȘme.
Or, Rudy Goubet-Bodart, psychanalyste Ă  Singapour, me fait remarquer que Braunstein, qui a le mĂ©rite de faire le point sur la prolifĂ©ration de l’idĂ©ologie woke aujourd’hui dans les universitĂ©s et au-delĂ  jusqu’aux Ă©coles maternelles, reste cependant lui-mĂȘme en deçà des enjeux en assimilant le wokisme Ă  la religion, ne voulant peut-ĂȘtre pas voir en l’occurrence la responsabilitĂ© des philosophes Deleuze, Foucault et Derrida dans cette formidable dĂ©rive [si Lacan les appelait les universitaires, il ne s'y trompait pas: ils ont toujours Ă©tĂ© le soutien du discours du MaĂźtre (capitaliste)].
Rudy nous rappelle Ă  l’occasion que ce qui s'appelle aujourd'hui wokisme est l'extension hors universitĂ© amĂ©ricaine des "cultural studies" qui sont elle-mĂȘmes issues de la rĂ©ception tout Ă  fait particuliĂšre aux États-Unis de l'effervescence intellectuelle française de l'aprĂšs-guerre, abusivement simplifiĂ©e en "French Theory" (la somme des lectures approximatives des textes de Deleuze, Foucault, Derrida 
et Lacan!)
DĂ©jĂ  bien avant le "wokisme" les "cultural studies" avaient Ă©tĂ© critiquĂ©es, moquĂ©es et mĂȘme surnommĂ©es ‘"cult stud" (cult signifiant secte en anglais
) par les penseurs amĂ©ricains qui se confrontaient encore au marxisme

Les Cult Stud manifestent la pleine acceptation du capitalisme et de son "self-made man" (qui est aujourd'hui poussé à son paroxysme avec le transgenrisme
)
Pour les Cult Stud les antagonismes sont avant tout culturels au sein mĂȘme de l'indĂ©passable paradigme capitaliste. Autant dire qu’à la lutte des classes s’est substituĂ©e la lutte des races et celle des sexes au sein d'une sociĂ©tĂ© capitaliste dĂ©crite et dĂ©criĂ©e comme prĂ©sentant un racisme et un sexisme systĂ©mique. Le capitalisme lui-mĂȘme est donc dĂ©crit comme une matrice culturelle plutĂŽt que comme un procĂšs de production et d'exploitation Ă©conomique et sociale (c'est pour ça que l'identitĂ© de l'homme blanc hĂ©tĂ©rosexuel centralise toutes les critiques, cela se trouve dĂ©jĂ  sous la plume de Deleuze
). Le capitalisme est donc critiquĂ© mais jamais rĂ©ellement remis en cause puisque ce que veulent les wokistes c'est simplement accĂ©der aux places de pouvoirs qui existent dĂ©jĂ  — et ils y arrivent!
Tout cela est intimement liĂ© Ă  "l'histoire" des États-Unis, et Ă  ce titre des penseurs comme Deleuze (qui dĂ©finit le dĂ©sir comme constructiviste
), Foucault (qui affirme la disparition de l'Homme
) et Derrida (qui fournit Ă  Deleuze la notion de dĂ©construction empruntĂ©e Ă  Heidegger
) ont bel et bien apportĂ© leur pierre Ă  l'Ă©difice (pour peu que l’on nous passe l’expression), car si tout peut se construire tout peut se dĂ©construire 
et surtout l'homme blanc! C'est lĂ  l'ironie du sort car Derrida et Deleuze sont eux-mĂȘmes critiquĂ©s par les wokistes car ils Ă©taient des hommes blancs hĂ©tĂ©rosexuels, Foucault en tant qu’homosexuel restant intouchable

La French Theory est donc une sorte de cheval de Troie intellectuel réalisé par les intellectuels made in USA pour pouvoir prétendre s'appuyer sur une pseudo-extériorité afin de légitimer leur tentative d'effacement de la lutte des classes de Marx

Bref, comme nous l’avons dĂ©jĂ  vu, toute la merde discursive continue de nous arriver par flots des États-Unis, sans que nous n’y opposions une grande rĂ©sistance, ce que CĂ©line avait dĂ©jĂ  remarquĂ© dans son Voyage au bout de la nuit dĂšs 1932: «On n’échappe pas au commerce amĂ©ricain.»
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istadris · 6 days
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C'est Ă  la fois pathĂ©tique et ironique que Brutus, dans le fils d'Asterix, fait tout pour se dĂ©barrasser du fils de Cesar pour Ă©liminer un rival quand le petiot n'est mĂȘme pas mentionnĂ© dans le testament de CĂ©sar (probablement parce que CĂ©sar est dĂ©jĂ  mariĂ© donc le fils de Cleopatre ça ne passerait pas) alors que lui oui (comme certains des autres futurs assassins de CĂ©sar ce que je trouve super triste) mais qu'il se plante totalement de cible puisque l'hĂ©ritier que CĂ©sar a choisit et a adoptĂ© post mortem dans son testament, c'est Octave, aka baby Auguste.
Non seulement il se plante de cible et fait tout ça pour rien. Mais en plus il a Ă©nervĂ© CĂ©sar contre lui (mĂȘme si il ne seras pas radiĂ© du testament pour autant) et la confiance risque de ne plus ĂȘtre trop lĂ .
Et c'est Octave qui l'auras Ă  la fin.
Que ce serait marrant de l'avoir dans un futur album d'ailleurs. Le gamin qui se fait porter pĂąle Ă  chaque baston mais qui est super intelligent.
Pour ĂȘtre honnĂȘte, AstĂ©rix diffĂšre tellement de la rĂ©alitĂ© historique que je considĂšre la BD comme une rĂ©alitĂ© alternative. On n'est pas dans Alix qui cherche Ă  Ă©duquer ses lecteurs avec un grand souci de rĂ©alisme historique XD
Octave n'existe pas (encore) dans la BD et les autres femmes de César ne sont jamais mentionnées alors que Cléopùtre est clairement le principal love interest de César. Le Fils d'Astérix mentionne aussi le but de Brutus comme étant d'éliminer un autre héritier de César, sans mention de qui que ce soit d'autre.
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Et quand au Brutus historique, il est possible qu'il n'ait mĂȘme pas Ă©tĂ© le fils adoptif de CĂ©sar ! Mais il Ă©tait certainement bien loin de la brute avide que dĂ©peint la BD ^^
Par contre j'adhÚre totalement à ton idée sur la version Astérix d'Octave. Faire un running gag sur ses manies historiques comme César avec son "toi aussi mon fils" serait excellent !
Le pire, c'est que son introduction ne bouleverserait pas tant la continuité de la BD qui, surtout avec les nouveaux auteurs, est de plus en plus floue (et c'est dire, pour une BD franco-belge non feuilletonnante !)
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contes-de-twicity · 11 months
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Un peu de lore: Twicity (la planĂšte)
Les contes de Twicity, c'est des personnages, une histoire, mais aussi une planĂšte, et un empire.
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Twicity, c'est une planĂšte rocheuse se trouvant dans le mĂȘme systĂšme solaire qu'Alternia, mais avec des caractĂ©ristiques climatiques proches de celles de la Terre. Elle regorge de tout un tas de ressources de tous types, et ça, ça pique la curiositĂ© de la Condesce, impĂ©ratrice d'Alternia. Elle dĂ©cide donc d'envoyer tout une branche de son armĂ©e dessus, afin d'y installer des infrastructures pour exploiter ses richesses.
La colonie s'installe tranquillement, mais un Ă©norme dĂ©sordre s'annonce: une branche de l'armĂ©e, dirigĂ© par un certain gĂ©nĂ©ral Drabhi Bellan, semble vouloir s'Ă©manciper de l'empire. Des soulĂšvements apparaissent, un embargo est crĂ©Ă© pour empĂȘcher le dĂ©part des ressources twicĂ©tiennes vers le reste de l'empire, et en un claquement de doigts, Twicity devient chaotique. Sous les ordres de la Condesce, qui ne voit pas l'intĂ©rĂȘt de livrer une guerre pour cette planĂšte alors qu'un tas d'astres vide de vie et probablement mieux existent dans le cosmos, le reste des gĂ©nĂ©raux qui lui sont fidĂšles se retirent, laissant Twicity aux rebelles.
Le dĂ©sordre est loin d'ĂȘtre fini pour autant, puisque des tensions apparaissent au sein de la rĂ©bellion. Une branche, du cĂŽtĂ© du gĂ©nĂ©ral Bellan, prĂŽne la construction d'un empire TwicĂ©tien, et une autre, composĂ©e en majoritĂ© de sang dorĂ©s, veut faire de la planĂšte un Ă©tat dĂ©mocratique, dirigĂ© par le peuple. La branche impĂ©riale l'emportera haut la main, par l'usage de la force, mais aussi grĂące Ă  un argument qu'elle considĂšre de taille: une larve au sang fuschia, cachĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Bellan, qu'il proclamera comme futur empereur de Twicity, se proclamant lui dans le mĂȘme temps rĂ©gent.
La rébellion éclate donc, donnant naissance à l'empire de Twicity, mais aussi à son pire ennemi: l'autre branche de rebelles, qui se renommera Aurea X-Turie.
Cette scission trÚs importante sculptera le paysage social et politique de la planÚte, et ce de maniÚre considérable...
Mais ça vous le verrez dans d'autres posts~
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a-room-of-my-own · 2 months
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c'est quand mĂȘme un peu facile de tout mettre sur le dos de la mĂ©thode. dans le privĂ©, dĂ©jĂ  il y a des profs qui ont envie d'ĂȘtre lĂ  (pas de parachutage Ă  l'autre bout de la france) (et Ă  mon avis, ça joue sur leur implication!), des elĂšves en gĂ©nĂ©ral plus suivis par les parents et moins d'Ă©lĂšves qui viennent de milieu dĂ©favorisĂ©s (moins de diffĂ©rence de niveau entre Ă©lĂšves)et les elĂšves Ă  problĂšmes ou qui sont simplement moins bons qui se font virer vers le public.
quand tu as des Ă©lĂšves qui foutent le feu aux poubelles ou balancent des chaises Ă  travers la classe, mĂȘme si tu as une bonne mĂ©thode d'enseignement, ça va quand mĂȘme ĂȘtre compliquĂ©.
Les mĂ©thodes d’enseignement et de gestion de classe + autoritĂ©, discipline, respect des rĂšglements. Si des Ă©lĂšves arrivent au collĂšge en pensant que c’est possible de balancer des chaises c’est que ça a foirĂ© bien avant. Typiquement jusque dans les annĂ©es 70-80 le privĂ© c’était quelques Ă©tablissements d’excellence et beaucoup de confessionnel + les cours qui repĂȘchaient ceux qui se faisaient virer du public.
L’inconvĂ©nient c’est que maintenant, comme virer les gens c’est vilain, on a inversĂ© la logique de sĂ©lection : le privĂ© choisit et le public garde tout le monde. Ce n’était pas comme ça avant le collĂšge unique. Et quand l’école française Ă©tait l’une des meilleures du monde, les profs Ă©taient tout aussi parachutĂ©s, comme tous les fonctionnaires puisque la dĂ©centralisation date aussi des annĂ©es 80. Ça n’a jamais empĂȘchĂ© personne de bien faire son travail.
Quand au suivi par les parents, pareil. A une Ă©poque oĂč les familles Ă©taient beaucoup plus nombreuses, ça allait aussi, sans pour autant que les parents aient la possibilitĂ© ou le temps de suivre quoique ce soit. Dans la famille de ma mĂšre ils vivaient Ă  5 dans un petit 3 piĂšces dans une petite citĂ©, avec les 4 gamins dans la mĂȘme chambre. Mon grand pĂšre Ă©tait ouvrier, ma grand-mĂšre couturiĂšre et les 4 sont allĂ©s Ă  l’universitĂ© avec exactement zĂ©ro aide parentale. Ma mĂšre dit souvent qu’elle serait nĂ©e 30 ans plus tard elle n’aurait certainement pas eu les mĂȘmes chances.
Alors oui ça demande de remonter 40 ans en arriĂšre mais l’école d’avant avait moins de moyens, des enseignants moins diplĂŽmĂ©s et plus jeunes, tout aussi parachutĂ©s, des classes souvent trĂšs chargĂ©es, des Ă©lĂšves de toutes origines sociales, et ça marchait đŸ„č
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claudehenrion · 6 months
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Il se passe toujours quelque chose...
Pour des raisons propres Ă  mon Ăąge (enfin... ''propres'', je ne sais pas. Mais pas ''sales'', non plus !) je viens de passer 3 jours dans un grand service cardiologique parisien pour remettre Ă  niveau (ça veut dire : ''changer'') des vieux ''Stents'' semĂ©s ici et lĂ  dans les annĂ©es 2000. Trois journĂ©es sans smart-phone, sans ordinateur, sans presse, sans contact avec le monde officiel, et j'ai bravement rĂ©sistĂ© Ă  la... ''Stent-ation'' d'allumer la belle tĂ©lĂ© mise Ă  ma disposition : car mĂȘme si vous ĂȘtes malade, l'Etat se rĂ©serve le droit de vous intoxiquer autant que tout le reste du temps. Malade ou sain, vous avez un droit constitutionnel Ă  ĂȘtre dĂ©sinformé !
Sous forte pression d'Esculape et d'Hippocrate, je dois rester allongĂ© 8 jours (NB : Compte lĂ  dessus !) par obligation et par prudence. J'ai donc tout le temps voulu pour rattraper un temps officiellement rĂ©putĂ© ''perdu'' puisque passĂ© Ă  autre chose qu'Ă  (se) rĂ©citer les versets ravageurs de la doxa macronienne. Je me suis donc plongĂ© dans les bobards des journalistes, et je ne suis pas revenu de ce que j'ai lu : ce qui peut se dire et se faire comme Ă©normes conneries en trois petites journĂ©es seulement est, exactement, incroyable ! Pourtant, en matiĂšre de ''Communication'', la France, grĂące Ă  ses cĂ©lĂšbres Galeries Lafayette, a toujours Ă©tĂ© un prĂ©curseur. Souvenez-vous... C'est dĂšs le dĂ©but des annĂ©es '70 que le slogan : ''Il se passe toujours quelque chose aux Galeries Lafayette'' est devenu un clin d’Ɠil pour et entre tous les français, comme une partie de cette ''culture'' que leur dĂ©nie Macron !
J'Ă©tais alors directeur gĂ©nĂ©ral des 187 grands magasins des ''Nouvelles Galeries'' et, en tant que tel, extrĂȘmement proche du grand Monsieur qu'Ă©tait Etienne Moulin, prĂ©sident des unes (GL) et actionnaire de rĂ©fĂ©rence des autres (NG). La France vivait encore au rythme des 30 glorieuses, et recherchait l'Ă©lĂ©gance et la qualitĂ© –qui passaient alors trĂšs loin avant le critĂšre unique Ă  en ĂȘtre obsessionnel du mercantile ''prix le plus bas, quoi qu'il en coĂ»te''. En ces temps heureux, (mais on ne le savait pas !), nos grands magasins se sont mis Ă  organiser de belles expositions, Ă  la place des musĂ©es qui n'en faisaient plus –pour avoir l'air ''social'' ! Se rendant compte du ridicule oĂč ils s'Ă©taient mis (en ce temps-lĂ , le ridicule tuait dĂ©jĂ  moins, mais tuait encore !), les musĂ©es se sont mis Ă  jouer aux magasins ! Tout le monde y a perdu.
Mais lĂ  oĂč cette tendance Ă  l'inversion des rĂŽles Ă  commencĂ© Ă  devenir trĂšs grave, c'est lorsque, il y a quelque 7 ans, Ă  la Pyramide du musĂ©e du Louvre, un jeune ''le plus jeune prĂ©sident jamais Ă©lu en France'' (qui a rĂ©ussi, un trĂšs court instant, Ă  faire croire aux français, que ''immaturitĂ© et pucelage politique'' pouvaient ĂȘtre un avantage compĂ©titif) Ă  qui le groupuscule terroriste dit ''Bildenberg / Davos'' avait dĂ©jĂ  donnĂ© l'ordre d'assassiner notre labourage et notre pĂąturage au nom de l'Europe --boulot pas encore terminĂ©, mais en bon chemin, pour ces tueurs de toute humanitĂ©--, a ratatinĂ© la France Ă  une scĂšne de thĂ©Ăątre qui imiterait les Galeries Lafayette : ''En France, il se passe sans cesse n'importe quoi !''.
En ce moment, par exemple, la mode officielle est de se moquer, style ''ouaf, ouaf, ouaf'', des soi-disant bobards soi-disant lancĂ©s par Trump... alors que, en menaçant sans cesse la Russie de l'envahir (?) si elle gagne en Ukraine –ce qui est Ă©videmment dĂ©jĂ  fait, la CrimĂ©e et le Donbass, parties russes de l'Ukraine, Ă©tant revenus en russophonie, Ă  leur place--, on erre dans une logorrhĂ©e de mots privĂ©s de sens. Gros titre, donc, barrant la ''une'' du plus grand quotidien du matin, hier : ''Macron et Scholtz proclament d'une seule voix qu'ils ne laisseront pas la Russie gagner en Ukraine''... en oubliant, soigneusement, de prĂ©ciser ce que veut dire ''gagner'' dans ces rodomontades... qui cachent plus de dĂ©saccords et d'opposition(s) qu'on ne peut en imaginer, les allemands (rarement faciles, dans toute nĂ©gociation) refusant ET l'envoi d'hommes ET le grand emprunt demandĂ©s par Paris. Traduction en clair : qu'il ait tort ou raison (chacun ayant son opinion qui est donc la bonne, pour lui !), Poutine peut continuer Ă  faire ce qu'il veut, ce n'est pas de lĂ  que viendra la menace, pour lui ! ''La voix de la France, c'est Parole, parole, parole...''.
Et notre ''le plus jeune président jamais etc'' de se pavaner en affirmant qu'il ''assume'' (sic ! En l'écoutant, on se dit qu'il est possible, aprÚs tout, que certaines couches de la jeune population française actuelle n'aient, effectivement, pas la moindre ''culture française''. Mais de là à généraliser...). ''Il assume ?'', mais quoi ? Eh ! Bien... ''La décision d'envoyer à la mort des jeunes hommes et quelques jeunes femmes qui ont eu le tort de ne pas voir qu'on les menait en bateau''... (Nous parlerons trÚs vite du vrai faux / faux vrai danger que représente Poutine, c'est promis). Mais un nouveau sujet d'inquiétude surgit : 34 % des répondants à un sondage ''Figaro'' diraient avoir été convaincus par la lamentable prestation de Macron sur ses terreurs puériles d'un envahisseur russe qui, dans le monde réel, est exsangue et KO debout pour une bonne décennie ! Devant tant de ''suivistes impénitents'', il y a de quoi trembler pour les élections à venir !
Autre chapitre d'Ă©tonnement permanent : en panthĂ©onisant l'assassinat de bĂ©bĂ©s sans dĂ©fense, on a pris un risque que la gauche dit historique alors qu'il n'est qu'hystĂ©rique (cf les danses de joie des partisans d'Ă©craser le crĂąne de bĂ©bĂ©s parfaitement viables dans le ventre de leur mĂšre d'oĂč on pourra les sortir ensuite par petits morceaux ensanglantĂ©s) : c'est, qu'on le veuille ou non –car les mots ont un sens-- choisir la mort contre la vie, en une rupture totale avec toute l'histoire de l'humanitĂ©... tout en faisant croire qu'on voudrait repeupler la France... Mais quels menteurs !
En restant deux secondes encore sur les mots, on peut –on doit !-- se demander si ceux qui circulent (ex. : tuer en osant parler de fraternitĂ©... ou ouvrir la porte en grande pompe Ă  des Ă©volutions dont il ne se peut pas qu'elles n'aillent pas que dans le pire sens possible) ne marquent pas un terrible effondrement du vocabulaire dont nos meneurs ont pris l'habitude de ne se servir que pour obscurcir la vision de leurs semblables. Du vocabulaire, mais aussi de la civilisation, de nos mƓurs, et de nous-mĂȘmes. Comme le dit le SĂ©nateur LĂ©onetti, ''La France a choisi de s'aligner sur les moins-disants Ă©thiques''... et ça, c'est un drame, historique. Nos bardes chantent Badinter et Simone Weil, et –''en mĂȘme temps'', bien entendu-- ils ''panthĂ©on-constitutionnalisent'' tout ce contre quoi ces deux personnalitĂ©s se sont battues toute leur existence... Pauvre France !
H-Cl.
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alexisgeorge24 · 9 months
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19 décembre :
HĂ©las la fin de mon sĂ©jour au BrĂ©sil arrive dĂ©jĂ . Avant de rentrer en Argentine je visite le barrage d'Itaipu situĂ© sur le fleuve ParanĂĄ qui sĂ©pare le BrĂ©sil du Paraguay. Mais je devrais plutĂŽt Ă©crire "qui unit", puisqu'il s'agit d'un site "binacional" oĂč l'on se situe Ă  la fois au BrĂ©sil et au Paraguay en mĂȘme temps. Cette centrale Ă©nergĂ©tique est tout autant une prouesse technique que diplomatique; chaque pays dĂ©tenant 50% de l'Ă©nergie produite et toute l'administration Ă©tant divisĂ©e entre les deux pays (2 PDG). 2e plus gros barrage au monde aprĂšs celui des trois gorges en Chine, les installations sont impressionnantes; j'ai mĂȘme visitĂ© une turbine en fonctionnement dont on ne voyait "que" l'arbre qui reliait la turbine Ă  l'alternateur (!!!). De retoure Ă  Puerto Iguazu en Argentine j'enchaĂźne avec un bus de 4h jusqu'Ă  San Ignacio. ArrivĂ© en fin de soirĂ©e je me couche direct.
20 décembre:
Si je suis dans ce village c'est parce qu'il se situe dans la rĂ©gion oĂč les JĂ©suites se sont implantĂ©s Ă  partir du XVIe siĂšcle. De vĂ©ritable citĂ©s monastiques en autarcie exclusives aux guaranis se sont ainsi dĂ©veloppĂ©es pendant Ă  peu prĂšs 2 siĂšcles avant que l'ordre ne se fasse expulser par les couronnes espagnol et portugaise. Puis les guerres entre les nouveaux pays formĂ©s de nouveau monde on finit d'achever ce qui restait des missions. Du coup il ne reste que des ruines qui sont aujourd'hui plus nettoyĂ©es que restaurĂ©es et classĂ©es patrimoine mondiale Unesco. BREF, j'ai visitĂ© celle de San Ignacio, j'Ă©tais tout seul, et ça m'a fait pensĂ© un peu Ă  Angkor Wat, des ruines dans la jungle qui sortent d'un temps perdu et mystiques. On a envie de se tĂ©lĂ©porter dans le temps et faire revivre cette sociĂ©tĂ© "communiste" (mais aussi esclavagiste, rien n'est parfait finalement avec cette doctrine). Puisque je suis dans la jungle autant profiter de cet enfers vert. Je loue donc un vĂ©lo (tout aussi pourri que la VW que j'avais louĂ©) pour me rendre au parc TeyucuarĂ© et admirer des points de vue sur le ParanĂĄ. Il fait trop chaud; 38° et 1000000% d'humiditĂ©. J'ai mon 1er accident de drone quand je le fais dĂ©coller direct sur un arbre... il se casse la gueule devant moi (une torture Ă  regarder) mais j'arrive Ă  le faire revoler malgrĂ© un bras disloquĂ© que je n'arrive plus Ă  replier. Il s'en sort... l'aprĂšs midi je prends un bus de 1h pour Posada, la grande ville de la rĂ©gion.
21 décembre :
Je continue donc ma visite des missions Jésuites à partir de Posada, à la frontiÚre Paraguayenne, que je franchi pour visiter Trinidad. Tout autant en ruine que San Ignacio, je prends autant de plaisir à m'y balader. Je passerai 4h à faire l'AR depuis Posadas pour 40min de visite mais j'ai mon tampon du Paraguay sur mon passeport, et ça, ça n'a pas de prix. Puis je refais le grand saut du retour vers Córdoba avec un bus de 18h. Mention spéciale à Yuri, un Paraguayen que j'aurai croisé 2 fois et qui m'expliquera comment il est poursuivi par les mafias, comment Dieu exterminera ses ennemis avec des éclairs, et comment il a le droit d'user de la forces d'ici là. Aucune idée comment je me suis retrouvé à papoter avec lui mais j'ai vite pris mes distance avec ce fou furieu.
22 décembre :
ArrivĂ© Ă  9h Ă  CĂłrdoba que je connais dĂ©jĂ , je m'occupe comme je peux jusqu'Ă  prendre mon bus de 23h30 pour Mendoza. Je fais entre autre un musĂ©e d'art moderne puis un musĂ©e d'art contemporain dont je ne comprends absolument rien. Vivement retrouver les Andes, ça fait 2 nuits de suite que je rĂȘve (littĂ©ralement) de randonnĂ©e.
23 décembre :
Arrivé à 09h00 à la capitale viticole d'Amerique du sud, je découvre la ville surtout pendant mon trajet à pied de la gare routiÚre à mon hostel. La ville a été détruite pendant un tremblement de terre et il n'y a pas vraiment d'attraction touristique. Par contre elle a été reconstruite avec de larges trottoirs sous de gros arbres abritant les piétons du soleil; c'est trÚs agréable. Journée logistique : lessive, achat camping gaz, transfert vidéos sur le cloud, courses en prévisions de mes prochains bivouacs, apero (je respecte le région et ça sera du vin cette fois).
24 décembre :
Sans Ă©motions de m'Ă©loigner de la civilation en ces jours oĂč les relations sociales sont de coutume, je pars m'isoler dans la montagne. Que Mendoza soit rĂ©putĂ©e pour son vin, c'est comme l'eau sur les plumes d'un canard, ca glisse (ballec), qu'elle soit situĂ©e au pied de l'Aconcagua (6990m !!!), sommet des AmĂ©riques, le canard s'est pris un obus dans la gueule. Du coup, bus jusqu'au lieu dit "las cuevas" juste avant le tunnel qui mĂšne au Chilie (officiellement je suis d'ailleurs ni en Argentine ni au Chilie, Ă©tant entre les 2 postes frontiĂšre). Puis, ENFIN, je randonne jusqu'Ă  un lac gelĂ© situĂ© dans une vallĂ©e aux couleurs incroyables, ça ressemble un peu aux Alpes mais en plus austĂšre, toujours ces touches rougeĂątres qui doivent ĂȘtre du Ă  l'immersion de cette chaĂźne de montagne gigantesque dans l'ocĂ©an, et qui doit ĂȘtre Ă  l'origine de tous ces matĂ©riaux donnant des couleurs originales. Je voulais camper au lac mais c'est assez exposĂ© au vent et je ne n'avais pas prĂ©vu qu'il soit gelĂ©, je risque de passer une sale nuit dans le froid (pourtant je ne suis "que" Ă  3700m). Je plante ma tente plus bas Ă  3500m, ce qui ne m'empĂȘchera pas d'avoir un peu froid. J'ai une vue panoramique sur la vallĂ©e, je suis complĂštement seul, la "presque" pleine lune prend le relais au soleil donnant un spectacle de lumiĂšre.
Bilan: 10km, 600m d+
25 décembre :
Grosse journĂ©e au programme. Je reviens sur la ruta 7, qui relie Buenos Aires Ă  Santiago, pendant le rĂ©veil du soleil. Puis je monte au Pico del Cristo Redentor, marquant la frontiĂšre avec le Chili. Belle vue mais pas aussi impressionnante que dĂ©crit par le routard. Puis stop jusqu'au sentier qui mĂšne Ă  la Laguna Horcones, dans le parc provincial Aconcagua, et que je dois donc payĂ© (3eur). Belle vue sur l'Aconcagua. ParenthĂšse ouverte sur ce parc: ça aurait Ă©tĂ© un pure bonheur que d'essayer (restons humble) de monter au sommet de l'Aconcagua. Il n'est pas du tout technique (moins que le Huyana Potosi en Bolivie) et le "seul" challenge, c'est l'altitude. Sachant que j'ai fait un sommet Ă  6300m sans ressentir aucun effet d'altitude, j'avais trĂšs envie de tester mes limites. MAIS, s'y aventurer coĂ»te 5000e, rien que le permis pour y accĂ©der c'est 1000e. On est loin des 40eur que j'ai payĂ© pour le Parinacota (6300m). Donc j'y fais l'impasse et je me ballade hors de ce parc. L'accĂšs Ă  la nature doit ĂȘtre un bien publique et je refuse de participer Ă  sa commercialisation. ParenthĂšse fermĂ©e. Puis stop jusqu'Ă  la puente del Inca ou je fait le dĂ©but de la randonnĂ©e menant au Cerro Penitentes. La nuit je sors ma tĂȘte de la tente et je vois que toute la vallĂ©e est Ă©clairĂ©e par la pleine lune. J'en suis Ă©mus tellement c'est merveilleux.
Bilan: 23km, 1100m d+
26 décembre :
C'est parti pour finir le (gros du) travail entamĂ©e la veille. Day pack et je grimpe 1400m d+, traverse 4 guĂ©s dechaussĂ©, pour arrivĂ© Ă  4400m d'altitude sur un plateau aux falaises verticales et qui domine mon bivouac. Le paysage me fait toujours penser aux Alpes, mais en tellement plus impressionnant... pour commencer j'ai une vue directe et dĂ©gagĂ©e sur le mythique Aconcagua, et tout autour sur 360°, plein de monts blanc (oui au pluriel), des vallĂ©es, un lac turquoise, des cours d'eau (c'est le debut de l'Ă©tĂ© et la montagne perd toute ses eaux). J'ai l'impression d'ĂȘtre au sommet du monde, noyĂ© dans un univers qui, littĂ©ralement, me dĂ©passe. Je redescends, reprend mon gros sac au bivouac, et reviens sur la ruta 7. L'autostop sera infructueux et je mĂ©dite sur comment l'humain peut ĂȘtre naturellement bon lorsque le contact est direct, et naturellement un gros connard lorsqu'une barriĂšre nous sĂ©pare; ici un pare-brise. Donc je marche jusqu'Ă  un bled et attends 1h le bus qui m'amĂšne au village d'Uspallata oĂč je dormirai au camping.
Bilan: 22km, 1500m d+
27 décembre :
Ah j'oubliais: Feliz Navidad! Sans festivitĂ©, je prends le bus du retour pour Mendoza oĂč je me repose jusqu'Ă  l'heure de l'apero mais surtout du dĂźner. Mendoza Ă©tant rĂ©putĂ© pour sa gastronomie je me fais un bon resto. Et bien les argentins n'ont obsolument rien Ă  envier Ă  nos vins, ils sont excellents et surtout trĂšs bon marchĂ©. Un (gros) verre ne coĂ»te que 1,5eur. La viande est sans surprise dionisiaque, fondante dans la bouche, et le rhum BarcelĂł Gran Anejo (RĂ©publique dominicaine) d'une douceur qui manque je trouve aux rhums Martiniquais (ma seul rĂ©fĂ©rence).
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basilepesso · 1 year
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Lorsqu'il n'y a qu'un attentat officiel en France par an, les Français ont l’impression qu'ils ne vivent pas en territoire occupĂ©, et s'occupent donc de leurs affaires quotidiennes, et de sujets subalternes comme le port de l'abaya, au lieu de s'occuper des invasions barbares et de ceux qui les organisent : Von der Leyen pour l’Europe et donc la France, Macron pour la France.
Les Français ne comprennent pas qu'en se focalisant sur des symboles religieux ils excitent les terroristes.
Les attentats et le jihad du quotidien, ainsi que son frĂšre "sud-africain(noir non musulman) ? Je le dis depuis des annĂ©es, ça ne s'arrĂȘtera pas sans quelque chose d'Ă  la fois totalement drastique et suffisamment finement effectuĂ© pour que ça ne crĂ©e pas de reprĂ©sailles, autant dire tenter de faire passer un Ă©lĂ©phant dans un trou de souris. C'est foutu ? Oui, Ă  peu prĂšs, mais puisque vous l'avez choisi et que tous ceux qui alertent sont "fascistes"...
Pour cette menace, je rappelle que quand la ou les cibles sont annoncées et donc surprotégées ; ou quand il y a un couac, les terroristes se rabattent sut des cibles secondaires, exemple Barcelone et Cambrils en 2 017, c'était 2 cathédrales et une basilique (la Sagrada Familia) qui étaient visées, les Ramblas de Catalunya et de Cambrils ont été choisies en "plan B". Basile Pesso, 16 septembre 2 023 (Fb)
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"C'est cette branche qui avait revendiquĂ© l’attentat contre Charlie Hebdo, en janvier 2015 Ă  Paris"
(...)
"Les terroristes expliquent que malgrĂ© les nombreuses mises en garde qu'ils ont donnĂ©es, les deux pays visĂ©s "ne comprendront que lorsqu’ils seront attaquĂ©s".
Il est prĂ©cisĂ© : "Il est dĂ©sormais clairement apparent que la SuĂšde a choisi de prendre la tĂȘte dans la guerre contre l’Islam et les musulmans parmi les pays de l’Union europĂ©enne, rivalisant ainsi avec la France, le Danemark et d’autres pour la premiĂšre place dans la course Ă  l’opposition Ă  Dieu et Ă  son messager."
(...)
Il semblerait que ces menaces soient liées au fait divers durant lequel deux réfugiés irakiens avaient brûlé et piétiné le Coran en SuÚde et à l'interdiction du port de l'abaya en France"."
Article du Midi-Libre : "Ils ne comprendront que lorsqu’ils seront attaquĂ©s" : Al-Qaida menace de mener un nouvel attentat"
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enbreflecinema · 1 year
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Nimona en bref
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Il est de ces films dont le destin semble vouloir qu'ils sortent, quels que soient les chemins sinueux qui se dressent face Ă  eux, et le nombre incalculable de fois oĂč ils auraient pu disparaĂźtre.
Nimona, dernier petit bijou d'animation sorti sur Netflix, fait trĂšs clairement partie de ceux-lĂ .
Sa production débute en 2015, suite à l'achat des droits du roman graphique de N.D Stevenson par le studio Blue Sky (mais si vous les connaissez, l'ùge de glace, rio ou encore Snoopy le film). Objectif : une sortie en 2020. 
C'est le dĂ©but pour le studio d'un long et difficile voyage. À commencer par l'ambition du mĂ©trage, que Blue Sky voit comme un renouveau de son animation et de sa façon de raconter des rĂ©cits, transition entamĂ©e par le film Snoopy. Mais les vĂ©ritables problĂšmes arrivent en 2019, le studio se faisant racheter par Disney. Et lĂ , ça coince, le nouveau grand patron n'apprĂ©cie pas la direction que prend l'Ɠuvre, notamment sur un point prĂ©cis : l'omniprĂ©sence du sujet LGBTQ+. Mais le studio se bat, en mĂȘme temps difficiles de faire autrement, l'auteur de Nimona Ă©tant lui-mĂȘme une personne transgenre. 
Et que fait-on quand on n’arrive pas Ă  censurer un projet et qu’on cherche Ă  tout prix Ă  ne pas perdre d’argent pour faire plaisir aux investisseurs ? On claque des doigts et on supprime bien sĂ»r ! Et je n’exagĂšre rien, puisque la compagnie aux grandes oreilles dĂ©cide tout simplement de fermer Blue Sky, et d’annuler Nimona qui pourtant Ă©tait dĂ©jĂ  fini Ă  plus de 70%. Le film termine donc son voyage en 2021, aprĂšs avoir pourtant rĂ©ussi Ă  rĂ©sister Ă  un changement de rĂ©alisateur et au Covid.
C’est ce que l’on pensait tous avec tristesse, avant d’apprendre en avril 2022 que le projet serait bel et bien terminĂ©, repris par Annapurna Pictures et sa nouvelle branche animation (chapeautĂ© par d’anciens de Blue Sky, tient tient
). Et quelle surprise de voir le nom de Netflix apparaĂźtre pour sa diffusion internationale ! Ça y est, le film est sauvĂ©.
Pour quel résultat ? C'est ce qu'on va voir 
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Bon, je commencerai en parlant des points faibles du mĂ©trage, car il y en a. Sa structure narrative est trĂšs simple, et l'histoire au globale est prĂ©visible. Sans ĂȘtre mauvaise, elle suit son cours sans jamais rĂ©ellement nous surprendre. Les retournements de situation sont attendus, et ce n'est pas par lĂ  que brille le film. En somme, de l'efficacitĂ© avant l'originalitĂ©. Mais ce n'est pas dĂ©rangeant pour autant.
Une originalité qui par contre est omniprésente dans ses visuels.
L'univers prĂ©sentĂ© est dĂ©jĂ  trĂšs beau et original. Il nous offre un univers mĂ©diĂ©val futuriste trĂšs soignĂ© et stylisĂ©, rappelant Ă©videmment des Ɠuvres comme Blade Runner, mais aussi des mondes comme Overwatch ou technologie de pointe et traditions ancestrales se mĂȘlent. Le tout forme un monde trĂšs attrayant, bien qu'assez peu approfondi.
À cette proposition s'ajoute un style graphique trĂšs singulier et atypique, en 3D stylisĂ©e. Et contrairement aux autres Ɠuvres dont on a pu entendre parler rĂ©cemment, il est bon de pouvoir dire, pour une fois, que Nimona n’est pas inspirĂ© ou influencĂ© par Into the spider-verse. C’est intĂ©ressant de voir que plusieurs Ɠuvres ont pris des chemins similaires Ă  des pĂ©riodes trĂšs proches, dans leur façon de renouveler leur animation, et que Spider-verse n’est pas le seul Ă  avoir tentĂ© cette approche.
Le style est ici maĂźtrisĂ© et vraiment beau, utilisant des formes gĂ©omĂ©triques trĂšs marquĂ©es pour la crĂ©ation de son univers et ses personnages, ce qui lui donne une texture unique. Les lumiĂšres et couleurs se distinguent aussi. À de trĂšs nombreux moments, il y a des palettes trĂšs franches, avec souvent une couleur dominante qui va s’étaler sur toute la scĂšne. Une particularitĂ© qui vient du fait qu’une grande partie du rĂ©cit se passe dans des lieux sombre, ou en intĂ©rieur, Ă©clairĂ©s par des lumiĂšres artificielles et des nĂ©ons. Dans la suite de cette idĂ©e, les jeux de contrastes sont assez importants et rĂ©currents. Des couleurs qui ont un rĂŽle important puisqu’elles sont utilisĂ©es Ă  de nombreuses reprises pour reprĂ©senter Ă  l’image les sentiments entre les personnages, leurs Ă©volutions, et quelle est la dynamique en cours.
L’animation en elle-mĂȘme est fluide et agrĂ©able Ă  regarder, mĂȘme si j’ai quelques rĂ©serves sur certaines scĂšnes. Les moments d’actions notamment, qui selon moi manque dans la rĂ©alisation d’un peu de percutant et d’intensitĂ©. Rien de bien terrible, mais on sent vers quoi les rĂ©al voulaient tendres, sans parvenir Ă  l’atteindre totalement. Mais elles restent trĂšs agrĂ©ables, et ne sont de toute façon pas ce sur quoi repose le film.
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Car ce qui selon moi porte le film, au-delĂ  de cet univers, ce sont ses personnages. CrĂ©dibles, attachants, bien Ă©crits, ils nous donnent envie de les suivre et de continuer le rĂ©cit avec eux. L’évidence Ă©tant la parfaite rĂ©ussite qu’est Nimona. Le personnage est constamment plein de vie, d’énergie, et ne tient pas en place.  Et cet Ă©tat d’esprit est accompagnĂ© par un soin tout particulier Ă  son animation. Sa gestuelle, ses mouvements, ses expressions faciales, tout est cartoonesque et les animateurs n’hĂ©sitent pas Ă  exagĂ©rer ou dĂ©former le personnage pour accentuer une Ă©motion ou une expression. Nimona en devient fascinante Ă  regarder, un petit bonbon d’animation, auquel s’ajoute un charadesign parfait.
Mais les scĂšnes touchantes ne manquent pas, et son personnage ne se limite ainsi pas Ă  un simple sidekick humoristique constamment dans la surrĂ©action. Le contraste avec son habituelle vitalitĂ© rend ces scĂšnes d’autant plus touchantes et prenantes.
Le film se permet mĂȘme en fin de rĂ©cit d’aborder frontalement des thĂ©matiques trĂšs sombres comme le suicide.
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Je trouve aussi trĂšs important et agrĂ©able le fait que le film aborde aussi bien les problĂ©matiques LGBTQ+, et ce, de maniĂšre subtile. Si je parle de subtilitĂ© ici, ce n’est pas en termes de discrĂ©tion. Oui, les thĂ©matiques sont bien visibles, les sous-textes trĂšs Ă©vidents. Mais pour autant, la maniĂšre dont elles sont traitĂ©es permet de raisonner aussi avec des personnes extĂ©rieures Ă  cette communautĂ©. Ça n'exclut personne, le message est Ă  la fois trĂšs ciblĂ©, mais aussi trĂšs accessible et gĂ©nĂ©raliste.
Les personnages ne sont pas des stéréotypes définis uniquement par leur sexualité, et ne sont pas présents que pour pouvoir dire "regardez on est progressistes, on a mis des gays". 
Et il serait possible de creuser le sujet pendant des heures, tant le nombre de sous textes est important. Un message qui ne passe pas uniquement par les dialogues, c’est ce qui est aussi intĂ©ressant. La rĂ©alisation, l’utilisation des lumiĂšres et de nombreuses scĂšnes ou sĂ©quences sont pensĂ©es pour pouvoir ĂȘtre vues Ă  travers le prisme de ces problĂ©matiques. J’ai personnellement trouvĂ© trĂšs intĂ©ressant de repenser certaines scĂšnes et d’avoir ce petit “Aaah oui ça peut ĂȘtre vu comme ça” en tĂȘte.
Ce sous-texte met aussi en évidence les horribles situations dans lesquelles se retrouvent ce genre de personnes. Une réalité qui est malheureusement encore et toujours d'actualité. Et c'est aussi ce qui rend le film intéressant car il aborde frontalement ces thématiques trÚs graves et pesantes, et ne tente pas d'embellir la situation pour plaire à un public plus large.
Et n'en déplaise aux puristes, je l'ai regardé en VF, qui est d'une excellente qualité de bout en bout, sans aucune fausse note, et permet de profiter un peu mieux des visuels qui nous sont proposés.
Petit dernier point sur la musique, qui n'est ici pas excellente. Elle a tout de mĂȘme pour elle de proposer des orchestrations assez diffĂ©rentes tout au long du film, entre des morceaux Ă©purĂ©s Ă  la guitare, du rock/mĂ©tal, de l'Ă©lectro... Une musique qui accompagne bien le film mais qui pour moi, en dehors  d'un ou deux thĂšmes, ne me marquera pas plus que ça.
Mais bref, tout ça pour vous dire de vous jeter sur ce film. C’est bien fait, frais, et avec un message important trĂšs bien amenĂ©. Le tout enrobĂ© dans un dĂ©lice visuel d’animation et de couleur. 
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perduedansmatete · 8 months
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rĂ©sumĂ© de cette semaine lundi j’ai fait la morte pour cause d’urticaire, mardi je suis allĂ©e au restaurant avec mes meilleures amies pour avouer Ă  l'une d'entre elles qu'on avait appris que son gars Ă©tait le genre de facho qui avait votĂ© zemmour aux prĂ©sidentielles, on pensait que ça allait mettre fin Ă  leur relation sachant qu'elle baigne dans le communisme depuis sa plus tendre enfance, qu'elle bosse dans un des seuls journaux qu'on peut encore qualifier de gauche et qu'elle avait dit que c'Ă©tait un motif de rupture pour elle mais finalement non elle a estimĂ© que c'Ă©tait pas si grave qu'il lui ait cachĂ© ce gros dĂ©tail pendant plus d'un an et demi et que pire que ça, apparemment il avait changĂ© grĂące Ă  elle (il serait donc je cite « juste de droite avec quelques avis de gauche ») ce qui a l'air de beaucoup flatter son Ă©go et c'est lĂ  que je me dis que la barre est vraiment trĂšs basse, le point positif de cette soirĂ©e Ă©tant qu'on s'est rĂ©galĂ© et qu'on a rien payĂ© car il y avait des problĂšmes de courant dans le restaurant, sinon je suis trĂšs peu allĂ©e en cours et j'ai beaucoup bu alors que j'aurais du ĂȘtre Ă  la fac mais Ă  partir de demain ça change (c'est faux les biĂšres du lundi midi sont devenues une institution trĂšs rapidement) jeudi grĂšve oblige 21 profs sur 27 absents dans mon collĂšge alors qu'on est toujours en sous-effectif ce jour lĂ  et que cette fois-ci on Ă©tait que deux surveillants, autant dire que c'Ă©tait sportif mais la direction a quand mĂȘme eu le temps de m'inviter Ă  un « goĂ»ter » sur les coups de dix heures, ce qui m'a fait trĂšs peur car j'ai cru que c'Ă©tait un piĂšge et que j'avais fait une connerie mais non ils voulaient juste profiter d'un moment de calme pour manger de la brioche tous ensemble c'Ă©tait vraiment trĂšs Ă©trange j'espĂšre ne plus jamais revivre ça puis vendredi je suis allĂ©e voir mon meilleur ami sur grand Ă©cran dans un petit cinĂ©ma car un de ses potes a montĂ© un genre de documentaire sur l'amour et sur les nouvelles formes de relations blablabla c'Ă©tait trĂšs marrant en vĂ©ritĂ© et je pensais rentrer directement aprĂšs mais j'ai retrouvĂ© des gens du passĂ© et j'ai fini paumĂ©e au fin fond de ma banlieue dans le mĂȘme genre de soirĂ©e que celles oĂč j'allais Ă  dix-sept ans c'Ă©tait fatiguant, Ă©tonnant et plein de drogues auxquelles je n'ai pas du tout touchĂ© (trop forte) mais trĂšs bien en mĂȘme temps mĂȘme si j'ai appris qu'un ami de cette Ă©poque Ă©tait un Ă©norme violeur, c'est le point nĂ©gatif mais Ă  chaque fois qu'on m'apprend ce genre de nouvelle je suis jamais Ă©tonnĂ©e, sur une note plus positive hier j'ai enfin dĂ©couvert l'appart d'une de mes meilleures amies aprĂšs des mois Ă  ne pas rĂ©ussir Ă  se voir autrement qu'au thĂ© dansant d'anniversaire de ses parents... (la vie d'adulte apparemment) et je remercie infiniment son entorse car c'est son immobilisation qui nous a permis de passer enfin un moment ensemble Ă  se raconter nos vies et Ă  pas mal rire aussi, c'Ă©tait super sympa et la suite l'Ă©tait tout autant puisque j'ai rejoins tia avec mes meilleures amies pour leur faire dĂ©couvrir notre bar prĂ©fĂ©rĂ© puis dimanche on a commencĂ© notre exposĂ© pour un cours trop chiant mais on a prĂ©fĂ©rĂ© discuter du fait que les sociologues Ă©taient quand mĂȘme d'Ă©normes prouveurs Ă  Ă©crire des textes insupportables et illisibles simplement parce qu'ils sont tous moches (c'est notre thĂ©orie, vive la sociologie)
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Un psychanalyste peut-il «croire en la science» comme le rĂ©clame la propagande aujourd’hui?
Dans "L’avenir d’une illusion", Freud dĂ©montre que les doctrines religieuses sont toutes des illusions, soit «l’accomplissement des souhaits les plus anciens, les plus forts et les plus pressants de l’humanité».
Une croyance est une illusion lorsqu’elle est motivĂ©e de façon prĂ©valente par la rĂ©alisation d’un dĂ©sir et ne tient pas compte de son rapport Ă  la rĂ©alitĂ©.
Telle pourrait ĂȘtre une dĂ©finition de la religiositĂ©: une machine susceptible de convertir les passions (humaines, trop humaines) en illusions.
ConsidĂ©rĂ© comme un scientifique de premier plan pour avoir explorĂ© dĂšs 1895 les arcanes et les paradoxes du systĂšme neuronique, Freud estime que la psychanalyse a «un droit particulier Ă  ĂȘtre le porte-parole de la vision du monde scientifique, parce qu’on ne peut pas lui faire le reproche d’avoir nĂ©gligĂ© la dimension psychologique dans l’image du monde».
Or, c’est Ă  partir de ce «droit particulier» qu’il va pouvoir prendre ses distances avec la pure et simple conception "nĂ©opositiviste", pour la bonne raison que l’idĂ©ologie nĂ©opositiviste fait partie du monde et devient ainsi, pour lui, un objet d’analyse.
C’est ainsi qu’il dĂ©couvre que le champ de la croyance ne s’oppose pas seulement Ă  la science, mais qu’il traverse de bout en bout le monde scientifique! Ne convient-il pas dĂšs lors de reconsidĂ©rer la frontiĂšre sĂ©parant la science et la religion?
Dans une lettre du 16 fĂ©vrier 1929 adressĂ©e au paster Pfister, Freud note: «On peut naturellement user du droit humain Ă  l’inconsĂ©quence, faire un bout de chemin avec l’analyse, puis s’arrĂȘter pile, un peu comme Charles Darwin, qui allait rĂ©guliĂšrement Ă  l’église le dimanche.»
Comment comprendre, en effet, que passant de son laboratoire oĂč il dĂ©boutait jour aprĂšs jour le dogme de la CrĂ©ation, il puisse se rendre rĂ©guliĂšrement Ă  l’église?
Freud a ici clairement dĂ©collĂ© de l’idĂ©ologie nĂ©opositiviste puisque cette contradiction, insoluble scientifiquement, n’est plus concevable que sur le plan psychologique.
Avec la psychanalyse, l’inconsĂ©quence darwinienne a changĂ© de statut. Elle devient un symptĂŽme. Un symptĂŽme qui dĂ©voile quoi? Que si la nĂ©vrose est Ă  l’Ɠuvre dans le champ religieux, elle l’est tout autant dans celui de la science!
C’est cette mĂȘme argumentation que l’on retrouve dans les derniĂšres lignes d’«Au-delĂ  du principe de plaisir». En introduisant sa deuxiĂšme topique, Freud sait qu’il a toutes les chances de provoquer le scandale parmi ses disciples. C’est pourquoi il anticipe les rĂ©actions. «Seuls les croyants qui demandent Ă  la science de leur remplacer le catĂ©chisme auquel ils ont renoncĂ© verront d’un mauvais Ɠil qu’un savant poursuive et dĂ©veloppe ou mĂȘme modifie ses idĂ©es.» Il exhorte donc ses lecteurs Ă  ne pas adopter vis-Ă -vis de la science une attitude religieuse qui figerait les dĂ©couvertes en dogmes et ruinerait du mĂȘme coup toute possibilitĂ© de recevoir les nouveaux concepts qu’il avance.
Quant à Lacan, comment en arrive-t-il à dire: «Pour moi la seule science vraie, sérieuse, à suivre, c'est la science-fiction»?
Extraits des Écrits, voici quelques morceaux choisis de "La science et la vĂ©ritĂ©" permettent de saisir en quelques mots prĂ©cisĂ©ment articulĂ©s sur quels fondements repose l’éthique lacanienne (qui n’a rien Ă  voir avec les prises de position des "lacan(aille)iens" usuriers et abuseurs du nom de Lacan, qui ne sont en fait que des reprĂ©sentants de commerce, des employĂ©s de bureau et des lieutenants du discours dominant, qui se trouve dans l’antipathie la plus radicale avec le Discours de l’Analyste)...
«Pour ce qui est de la science [..] je l’aborderai par la remarque Ă©trange que la fĂ©conditĂ© prodigieuse de notre science est Ă  interroger dans sa relation Ă  cet aspect dont la science se soutiendrait: que la vĂ©ritĂ© comme cause, elle n’en voudrait-rien-savoir.»
«On reconnaĂźt lĂ  la formule que je donne de la Verwerfung ou forclusion, - laquelle viendrait ici s’adjoindre en une sĂ©rie fermĂ©e Ă  la VerdrĂ€ngung, refoulement, Ă  la Verneinung, dĂ©nĂ©gation, dont vous avez reconnu au passage la fonction dans la magie et la religion.»
«Certes me faudra-t-il indiquer que l’incidence de la vĂ©ritĂ© comme cause dans la science est Ă  reconnaĂźtre sous l’aspect de la cause formelle.»
«Ai-je besoin de dire que dans la science, Ă  l’opposĂ© de la magie et de la religion, le savoir se communique?»
«Mais il faut insister que ce n’est pas seulement parce que c’est l’usage, mais que la forme logique donnĂ©e Ă  ce savoir inclut le mode de communication comme suturant le sujet qu’il implique.»
«Les sciences de l'homme
Une physique est concevable qui rende compte de tout au monde, y compris de sa part animĂ©e. Un sujet ne s’y impose que de ce qu’il y ait dans ce monde des signifiants qui ne veulent rien dire et qui sont Ă  dĂ©chiffrer.»
«Il n’y a pas de science de l’homme, ce qu’il nous faut entendre au mĂȘme ton qu’il n’y a pas de petites Ă©conomies. Il n’y a pas de science de l’homme, parce que l’homme de la science n’existe pas, mais seulement son sujet.»
«On sait ma rĂ©pugnance de toujours pour l’appellation de sciences humaines, qui me semble ĂȘtre l’appel mĂȘme de la servitude.»
«La dénégation inhérente à la psychologie en cet endroit serait, à suivre Hegel, plutÎt à porter au compte de la Loi du coeur et du délire de présomption [..]
La psychologie est vĂ©hicule d’idĂ©aux: la psychĂ© n’y reprĂ©sente plus que le parrainage qui la fait qualifier d’acadĂ©mique. L’idĂ©al est serf de la sociĂ©tĂ©.
Un certain progrĂšs de la nĂŽtre illustre la chose, quand la psychologie ne fournit pas seulement aux voies, mais dĂ©fĂšre aux voeux de l’étude de marchĂ©.»
«La psychanalyse alors y subvient à fournir une astrologie plus décente que celle à quoi notre société continue de sacrifier en sourdine.»
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pascal-et-sarah · 10 months
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SĂ©ance du mercredi 2023-11-15
Deux semaines de suite avec une newsletter de cinéma incroyable mais vrai. On va essayer de garder le rythme/
On aime les fesses on aimes les abdos, bref on aime les gens tout nus!
Magic Mike XXL - Internet - 1h55 - đŸ’ȘđŸ€ đŸ‡ș🇾đŸ©Č
Alors lĂ  attention c'est du film d'auteur intellectualisant, pas vos trucs habituels oĂč on est juste lĂ  pour regarder des gens se dĂ©hancher en petite tenue... J'rigole.
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Si vous avez ratĂ© le premier, pas de soucis Ă©tant donnĂ© que c'est grosso modo le mĂȘme film. Mike ancien stripteaseur (jouĂ© par Channing Tatum ancien stripteaseur, vous l'avez?) a du mal Ă  faire tourner son entreprise de dĂ©mĂ©nageur (pas) bretons. Ses copains avant de passer Ă  autre chose parce qu'ils prennent de l'Ăąge se rendent Ă  une convention de striptease pour un baroud d'honneur. Du coup Mike va se joindre Ă  eux parce qu'on aime bien les gens musclĂ©s et la sueur. S'en suit un roadtrip d'environ 2h Ă  travers l'ouest amĂ©ricain afin de recruter des gens et de trouver des idĂ©es. Comme le premier en dehors des scĂšnes de danses (trĂšs trĂšs chastes pour un film sur le striptease) qui sont bien filmĂ©es le film oscille entre... Oubliable et navet. Visiblement Tatum a un truc Ă  raconter sur la fin de l'innocence de l’AmĂ©rique mais en rĂ©alitĂ© c'est assez peu intĂ©ressant Ă  regarder. On a principalement vu ce film pour se prĂ©parer au troisiĂšme volet rĂ©alisĂ© par Steven Soderbergh ce qui fait au moins lever un sourcil. 5/10
Oh une piÚce de théùtre
Mon crime - Canal+ - 1h42 - đŸ”«đŸ‡«đŸ‡·đŸŽ­
Si comme moi vous avez Ă©tĂ© Ă©levĂ© dans une famille de cinĂ©philes en France il y a de bonnes chances que vous ayez vu un film de François Ozon. Le rĂ©alisateur de 56 ans est quand mĂȘme auteur d'environ 50 films (si le mot environ vous fait tiquer parlez en avec moi vous dĂ©couvrirez le monde fascinant des crĂ©dits) dont 8 femmes, la piscine... Ici on adapte une piĂšce de thĂ©Ăątre sur des thĂšmes fĂ©ministes. On lĂšve une oreille pour en savoir plus.
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Face a un parterre de stars plus ou moins ancienne (Danny Boon, Luccini, Isabelle Huppert...) deux jeunes actrices (Nadia Tereszkiewicz et Rebecca Marder) crĂšvent l'Ă©cran. L'histoire assez vaudeville Ă  base de clichĂ© sur l'appropriation d'un crime ne casse pas trois pattes Ă  un canard mais se lĂšve suivre. Le vrai problĂšme est que s'agissant de l'adaptation d'une piĂšce il ne se passe pas grand chose. En dehors des 3-4 scĂšnes prĂ©sentent dans la bande annonce on n'est jamais face Ă  un vrai suspens et on regrette que le film ne dĂ©marre jamais vraiment. Bref ça aurait pu ĂȘtre vraiment bien, au final c'est pas si mal.
6/10
Que c'est long messieurs que c'est long...
Killers of the Flower Moon - CinĂ©ma - 3h26 - đŸ€ đŸ‡ș🇾â‚č
Martin Scorcese malgré ses obsessions un peu malsaine pour les gangsters et les criminels a été un grand réalisateur. La question maintenant qu'irrémédiablement il se rapproche de la fin de sa carriÚre, l'est-il encore?
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AprÚs avoir pondu pour Netflix un film de 3h29 au delà du caricatural (Robert de Niro 76 ans rajeunit numériquement jouant un jeune homme de 20 ans, ridicule et risible) démontrait que le rÎle de producteur est essentiel dans le cinéma américain (par exemple pour ramener un film de 3h29 qui n'a rien à dire à un film de 2h disons). Ici on repart sur plus de 3h mais au cinéma avec un scénario adapté d'un super bouquin de David Grann et ça change tout.
DĂ©jĂ  c'est le premier film que j'ai vu en iMax (grande salle, grand Ă©cran) et c'Ă©tait un bon choix. La photo est incroyable, les images de l'ouest amĂ©ricains s’enchaĂźnent comme autant de tableaux. Le scĂ©nario est une "simple" observation du mal absolu puisque l'on suit une conspiration de petits bras visant Ă  extorquer un peuple dĂ©jĂ  exploitĂ© de la chance qu'il a eu. Di Caprio, acteur fĂ©tiche de Scorcese joue avec les dents trĂšs serrĂ©es ce qui pendant une bonne heure est assez dĂ©routant. Mais on rentre dans le film et surtout pour la seule raison qui fait qu'on retourne au cinĂ©ma, pour retrouver cette sensation, on voyage et on s'oublie dans un univers.
7/10
À la semaine prochaine, regardez des films et parlez m'en qu'on rigole un peu.
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arypurple · 1 year
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DL - RĂ©sumĂ© foireux S01.ÉP11
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Nous retrouvons donc la connasse de service en train de boire ce qui semble ĂȘtre un grand cru de vin rouge en train de rire avec ce personnage aussi vide que le nĂ©ant qu'est Richter. ForcĂ©ment, le tonton a sĂ»rement fourni une bonne bouteille d'alcool. Il n'est pas dit que Cordelia va boire un vin leaderprice qui vient tout droit du dĂ©panneur du coin ! Bien sĂ»r, Claude Faustus se tape encore l'incruste et la mĂšre des triplĂ©s ne se gĂȘne pas de lui dire que s'il n'avait pas un Ă©norme balais dans le cul n'Ă©tait pas aussi coincĂ©, qu'il ressemblerait Ă  Karlheinz quand elle l'a rencontrĂ©. Si je vous donnais la liste ainsi que mon point de vue sur toutes les conneries que cette chaudasse a fait avec le corps de Yui, ce ne sera pas un rĂ©sumĂ© foireux, mais un Ă©norme one-shot. Visiblement, le tonton ne voit aucune objection Ă  ce que son amante courtise Reiji et lui roule une pelle devant lui. Parce que pour Cordelia, rien n'est plus sexy que d'embrasser son beau-fils et de vouloir coucher avec lui sous prĂ©texte qu'il lui fait penser Ă  Papamaki ! Et lĂ , le Butler sort the best replic en lui disant qu'une femme souillĂ©e par la dĂ©bauche comme elle ne le fait pas bander l'attire pas. Pourtant, monsieur a bien profitĂ© de ce baiser ~ S'ensuit une gifle de la part de Cordelia avant que les autres ne se ramĂšnent... sauf OrĂ©o-sama ?? Alors quand Yui se blesse en cours de gym et ne rĂ©colte qu'une blessure aussi minime qu'une petite Ă©corchure sur le genou, il ramĂšne sa fraise en se supportant pas que son sang soit gaspillĂ©, mais quand c'est sa mĂšre qu'il a butĂ© pour d'excellentes raisons qui possĂšde son corps et Richter qui est dans les parages, monsieur est abonnĂ© aux absents ! Une confrontation... malheureusement pathĂ©tique s'ensuit puisque Subaru dĂ©cide de se la jouer One Punch Man en attaquant tonton sans succĂšs et les autres... dĂ©cident de regarder sans rien faire ?! Apparemment, leurs couilles sont tombĂ©es aussi rapidement que le scĂ©nario et la Reine des connasses ordonne Ă  son amant de buter les gars en promettant de le faire monter sur le trĂŽne.
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Mais non, pas CE trĂŽne-lĂ , bordel ! Bref, si Richter nourrit un amour vĂ©ritable pour Cordelia dans le jeu... ce n'est visiblement pas le cas de l'anime oĂč il avoue qu'il se sert d'elle pour devenir le chef de la famille. En effet, le premier qui fera en sorte que Plante Verte atteigne l'Ă©veil deviendra le chef de la famille. Et le fait que Yui ait le cƓur de Cordelia fait en sorte qu'elle puisse survivre Ă  l'Ă©veil. Attendez... vous aviez cru qu'une fille frĂȘle, petite et maigre comme elle pourrait survivre Ă  l'Ă©veil ??? Autant espĂ©rer que la covid disparaisse d'ici dĂ©cembre, oui ! Et qui c'est qui voilĂ  ?? OrĂ©o-sama ! Personnellement, je me demande sĂ©rieusement oĂč il Ă©tait tout ce temps. Peut-ĂȘtre qu'il Ă©tait lui-mĂȘme sur le trĂŽne et que c'Ă©tait la grosse commission ! Et lĂ , nous assistons au seul combat Ă©pique de l'anime qui va durer... trente secondes.
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Trente secondes oĂč Richter combat Ayato en retenant Plante Verte de son autre bras. Personnellement, je le trouve tellement misĂ©rable, ce personnage, mais bon ! Il embroche ensuite son propre neveu, car c'est ÇA la famille Sakamaki ! Et Yui reprend finalement le contrĂŽle de son corps... avant de fuir loin du tonton. Mais merde, Yui... ce gars il te rĂ©servait un sort atroce ! Il aurait fallu un gros coup en plein dans ses couilles qui doivent ĂȘtre vraiment pleines Ă  cause du temps sans le faire avec Cordelia ! Plante Verte a un Ă©clair de gĂ©nie et dĂ©cide aussi de se staber en se disant que ça va arranger les choses. Les frĂšres semblent surpris que leur casse-croĂ»te digne du cinq Ă©toiles dĂ©cide de se suicider, mais prĂ©fĂšrent visiblement... observer le spectacle ! Mais apparemment, sa tentative, comme toutes ses tentatives de fuite, est encore INUTILE car la grognasse reprend le contrĂŽle en se vantant de bientĂŽt avoir ce corps avant de tomber dans les vapes (si elle avait vraiment visĂ© le cƓur, Cordelia serait morte !). Cordelia, si j'Ă©tais toi, je ne me rĂ©jouirais pas trop vite de me retrouver dans ce corps.
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