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#maison de la culture du Japon
designeverywhere · 4 months
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Maison de la culture du Japon à Paris
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fashionbooksmilano · 10 months
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Geisha Une tradition vivante
Kyoko Aihara
Editions Soline, Courbevoie 2001, 128 pages, 24x29cm, ISBN 978-2876774315
euro 30,00
email if you want to buy [email protected]
C'est un privilège rare que de franchir les rideaux armoriés des anciennes maisons de thé japonaises, d'où la méconnaissance du rôle joué par les hôtesses de ces lieux rompues aux arts de divertissement et connues sous le nom de geishas. Historiquement, ces femmes sont associées à Kyoto, l'ancienne capitale du japon, où les exigences traditionnelles de leur formation sont toujours en vigueur aujourd'hui. Geisha explore tous les aspects de la vie, souvent pénible, de ces femmes remarquables leur costume, leur coiffure et leur maquillage élaborés, les cérémonies et les rituels auxquels elles participent, leur excellence dans la pratique des arts traditionnels et les relations qu'elles entretiennent avec les hommes et le monde extérieur. Les maiko et les geiko de Kyoto occupent une place à part dans la culture japonaise. II y a un siècle encore, on les voyait déambuler dans les rues de la ville, comme d'autres femmes aux activités proches dans d'autres villes du Japon. Aujourd'hui, leur existence se trouve menacée ; peu de femmes choisissent ce métier exigeant. En effet, de nombreuses années d'études leur sont nécessaires pour perfectionner leur connaissance des arts, apprendre à mener une conversation avec brio afin de divertir les hommes dans le respect de la tradition et à participer aux festivals saisonniers. Kyoto est la seule ville à proposer une formation de haut niveau qui garantit que les maiko et les geiko en exercice sont les véritables gardiennes du patrimoine culturel de leur pays. Le livre éclairant de Kyoko Aihara, richement documenté et illustré de photographies originales, dresse un portrait détaillé d'un pan de la société japonaise encore nimbé de mystère.
Kyoko Aihara est née à Yokohama, au Japon. Diplômée en histoire de l'art de l'Université de Tokyo, elle est ensuite allée étudier l'allemand à Cologne. Depuis 1994, elle est journaliste et photographe free-lance au Japon. Elle a publié de nombreux livres (tous illustrés de ses propres photographies) et rédigé pour de multiples journaux et magazines japonais des articles sur un vaste éventail de sujets. Les contacts privilégiés qu'elle a noués avec les maiko et les geiko de Kyoto lui ont permis de pénétrer l'univers des maisons de thé de la ville et d'écrire ce livre remarquable, unique en son genre.
07/12/23
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jpbjazz · 10 days
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LÉGENDES DU JAZZ
TOSHIKO AKIYOSHI, LA PLUS JAPONAISE DES PIANISTES DE JAZZ
“It has been 60 years since I discovered jazz and made it my lifetime work. I am so gratified to be recognized for my endeavors especially my infusing of Japanese culture into the jazz world, making it ever more universal.” 
- Toshiko Akiyoshi
Née le 12 décembre 1929 à Liaoyang, en Manchourie, Toshiko Akiyoshi est la cadette des quatre filles de l’industriel Tatsuro Akiyoshi et de Shigeko Hiraike. Après avoir perdu sa maison à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la famille Akiyoshi s’était installée à Beppu, au Japon. Comme ses trois soeurs, Akiyoshi avait été initiée à la musique dès son plus jeune âge. Tatsuro avait encouragé ses enfants à pratiquer les arts, et leur avait fait suivre des cours de ballet, de danse traditionnelle japonaise et de piano.
Même si Akiyoshi avait commencé à étudier le piano classique dès l’âge de six ans, elle n’avait commencé à se familiariser avec le jazz que plusieurs années plus tard. À l’époque, un collecteur de disques local lui avait fait entendre un enregistrement du standard "Sweet Lorraine’’ du pianiste Teddy Wilson. Fascinée par ce qu’elle venait d’entendre, Akiyoshi s’était immédiatement tournée vers le jazz. Comme elle l’avait expliqué plus tard, ‘’When I heard it, I knew I wanted to play like that.” Dans une autre entrevue, elle avait précisé: "A whole new world opened up for me. I said, 'Oh, jazz can be beautiful!' I had really dumb luck as a pioneer in the jazz field: if you were just a little bit better than the next guy, you got the job. I became the highest paid studio musician in Japan." Akiyoshi avait raconté plus tard que son père, désappointé de n’avoir pas eu de fils, avait d’abord souhaité qu’elle devienne médecin. Finalement, la guerre avait tout changé.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Son père ayant été ruiné par la guerre, Akiyoshi avait commencé à se chercher du travail afin de contribuer à la subsistance de sa famille. Un jour, Akiyoshi avait vu une offre d’emploi dans la vitrine d’une salle de danse fréquentée par les soldats américains durant l’occupation du Japon. Akiyoshi, qui avait une formation classique et ne connaissait rien à la musique de danse, avait finalement interprété une sonate de Beethoven dans le cadre de son audition. Impressionné, le gérant l’avait immédiatement engagée au tarif de quatre dollars de l’heure et l’avait invitée à se présenter à dix-huit heures le même soir. Le groupe, qui était dirigé par un ancien chef d’orchestre de la Marine, comprenait un violoniste, un saxophoniste, un accordéonniste et un batteur. Akiyoshi détestait les arrangements de danse du groupe, mais comme elle n’avait pas de piano à la maison, elle n’avait pu résister à cette opportunité d’avoir accès à son instrument  préféré.
À l’époque, Akiyoshi n’avait pas informé sa famille du genre de travail qu’elle occupait. Lorsque sa famille avait découvert la vérité, une violente dispute avait éclaté. Le père d’Akiyoshi l’avait finalement autorisée à garder son emploi, à la condition qu’elle poursuive des études de médecine. Même si elle avait accepté cet arrangement, Akiyoshi était tellement passionnée de musique qu’elle n’avait pu abandonner son rêve de devenir musicienne professionnelle.
Après avoir joué du piano avec trois orchestres symphoniques et avec une dizaine de groupes de jazz de Tokyo, Akiyoshi avait finalement décidé de former son propre groupe en 1952. Parallèlement, Akiyoshi avait continué d’étudier l’improvisation en écoutant les albums de son idole Bud Powell. Décrivant son admiration pour Powell, Akiyoshi avait précisé: "People used to call me the female Bud Powell {...}. That's how I learned in Japan, by copying his solos off records {...}. After  a while I realized I had to develop my own style, but Bud is always with me, especially his rhythmic approach."
Après avoir entendu Akiyoshi jouer dans un club lors d’une tournée au Japon avec Jazz at the Philharmonic en 1952, le pianiste Oscar Peterson avait été tellement impressionné qu’il avait convaincu le producteur Norman Granz de la faire enregistrer avec les disques Verbe. L’année suivante, sous la direction de Granz, Akiyoshi avait enregistré son premier album avec la section rythmique de Peterson composée d’Herb Ellis à la guitare, de Ray Brown à la contrebasse et de J. C. Heard à la batterie. L’album avait été publié aux États-Unis sous le titre de Toshiko's Piano et au Japon sous celui d’Amazing Toshiko Akiyoshi.
Décidant d’étudier sérieusement le jazz à la suite de la publication de l’album, Akiyoshi s’était inscrite à la Berklee School of Music de Boston. Akiyoshi explique comment elle avait pris la décision d’aller étudier à Berklee: “I knew that I had to come to the States to [improve] as a jazz player.”
En 1955, Akiyoshi  avait écrit à Lawrence Berk et lui avait demandé de lui donner la chance d’étudier à  la Berklee School of Music. Après avoir négocié durant un an avec les autorités du Département d’État et du gouvernement japonais, Berk avait finalement obtenu la permission d’admettre Akiyoshi comme étudiante à plein temps. En janvier 1956,  Akiyoshi était devenue la première étudiante japonaise à étudier à Berklee. Dans le cadre de ses études, Akiyoshi avait même eu la chance de jouer avec son idole Bud Powell au club Storyville de George Wein. Deux mois plus tard, elle se produisait au club quatre soirs par semaine. Durant le même été, Akiyoshi avait fait une apparition au festival de jazz de Newport. Sa carrière était lancée.
Akiyoshi avait finalement décroché son diplôme en 1959. Le 18 mars 1956, peu après son arrivée aux États-Unis, Akiyoshi avait participé comme concurrente à l’émission What's My Line? diffusée sur le réseau CBS dans laquelle elle était montée sur scène vêtue d’un kimono.  D’abord connue comme pianiste bebop, Akiyoshi s’était produite dans les clubs les plus importants de New York comme le Birdland, le Village Gate, le Five Spot et le Half Note.
Mais les débuts d’Akiyoshi dans le jazz n’avaient pas toujours été faciles, car elle avait souvent dû faire face à une double discrimination, en raison de son sexe et de ses origines asiatiques (le traumatisme résultant de l’attaque japonaise sur Pearl Harbor était encore très visible à l’époque). Comme elle l’avait expliqué au cours d’une entrevue accordée à Zan Stewart du Los Angeles Times, à son arrivée aux États-Unis, Akiyoshi avait attiré davantage l’attention en raison de son apparence et son origine ethnique que par ses talents de musicienne. Elle précisait: "I got a lot of press. You know why? Because I was an oddity In those days, a Japanese woman playing like [jazz pianist] Bud Powell was something very new. So all the press, the attention, wasn't because I was authentic. It was because I was strange.’’ Dans une autre entrevue, Akiyoshi avait précisé: "In the early years in America, I dealt with both racial and sexual prejudice. I played clubs and TV wearing a kimono, because people were amazed to see an Oriental woman playing jazz." Décrivant la personnalité d’Akiyoshi, son partenaire de longue date Lew Tabackin avait commenté: "Toshiko is not one of those foreign musicians who try to be ultra American. Through her attitude, she achieves a very special kind of oneness."
Faisant preuve d’une grande résilience, Akiyoshi avait réussi à démontrer qu’elle était là pour rester. Devenue une des pianistes et des compositrices les plus respectées du monde du jazz, Akiyoshi était particulièrement reconnue pour la richesse de ses orchestrations, l’originalité de ses arrangements et sa grande sophistication rythmique.
En 1959, Akiyoshi avait épousé le saxophoniste Charlie Mariano (un ancien membre de l’orchestre de Stan Kenton) avec qui elle avait formé un quartet. Le couple avait eu une fille, Michiru, en 1963, avant de divorcer deux ans plus tard. Devenue actrice, chanteuse et autrice-compositrice, Michiuu est mieux connue sous le nom de scène de Monday Michiru. Artiste de son propre droit, Michiru a participé à plusieurs séries télévisées. Elle a publié plus de douze albums sous son nom à ce jour. Elle a aussi écrit des chansons pour d’autres artistes. Elle vit aujourd’hui à New York avec son époux, le trompettiste  de jazz Alex Sipiagin et leur fils Nikita.
À l’époque de la naissance de sa fille, Akiyoshi se produisait en solo dans les clubs de New York, mais trouvait de plus en plus difficile de gagner sa vie comme mère célibataire. Comme elle l’avait expliqué plus tard: “It was hard to be a single mother supporting myself as a jazz musician.”
En 1972, Akiyoshi avait épousé le saxophoniste Lew Tabackin, qu’elle avait épousé deux ans plus tard. Akiyoshi, Tabackin et Michiru s’étaient installés à Los Angeles la même année. Akiyoshi était en train d’organiser un concert à Town Hall avec son groupe lorsqu’elle avait fait la connaissance de Tabackin. Elle précisait: "I had reservations about the relationship. Lew is the only son in a very tight Jewish family. But finally I decided that Buddha knew we were meant for each other."
De plus en plus reconnue pour son talent de compositrice et d’arrangeuse pour big band, Akiyoshi avait également travaillé avec le Jazz Workshop de Charles Mingus en 1962. Akiyoshi avait de nouveau collaboré avec Mingus dans le cadre du concert de Town Hall en 1964. Durant la majeure partie des années 1960, Akiyoshi avait divisé son temps entre Tokyo et New  York. Elle avait aussi participé à des tournées au Japon et en Europe avec de petits groupes. Mais même si elle avait été reconnue par de grands noms du jazz comme Mingus, John Coltrane et Art Blakey, elle n’avait pas encore réussi à percer aux États-Unis.
En mars 1973, Akiyoshi avait formé son premier orchestre, le Toshiko Akiyoshi Jazz Orchestra, un groupe de seize musiciens qui avait rapidement été considéré comme un des big bands les plus innovateurs du jazz. Grâce à Tabackin, qui faisait partie de avait l’orchestre de Doc Severinsen avec le Tonight Show,  Akiyoshi avait pu recruter les meilleurs musiciens de studio de Los Angeles. C’est Akiyoshi qui composait et arrangait la musique pour le groupe. Quant à Tabackin, il était le principal soliste de la formation comme saxophoniste ténor et flûtiste.
Un an plus tard, le groupe avait obtenu un contrat dans un petit club de Pasadena, même si les revenus continuaient d’être modestes. Même si le couple avait organisé un concert à Los Angeles qui avait attiré un large public, les producteurs et les propriétaires de clubs avaient une prédilection pour des groupes de taille plus modeste et surtout moins dispendieux. Akiyoshi avait donc dû se tourner de nouveau vers la communauté japonaise, ce qui lui avait permis d’enregistrer un premier album dans un petit studio de Los Angeles en 1974, Kogun.
La publication de l’album Kogun faisait suite à la mort de Duke Ellington en 1974. Le mot kogun était un terme japonais signifiant "one-man army". L’album, qui avait été publié exclusivement au Japon, était inspiré de l’histoire d’un officier japonais qui s’était caché durant trente ans dans la jungle et qui ignorait que la Seconde Guerre mondiale était terminée.
À l’époque de la publication de l’album, Akiyoshi avait commencé à introduire des thèmes musicaux et des instruments d’origine japonaise dans ses compositions et arrangements. Elle expliquait: "When Duke died, I read that he was very conscious of his race, and I thought that maybe that was my role, to portray my heritage within jazz, to utilize both. That was probably my most important discovery." Extrêmement populaire au Japon, le groupe avait été très acclamé par la critique à la suite de la publication de l’album. Décrivant le travail du big band d’Akiyoshi, le critique  Frank-John Hadley écrivait dans le magazine Down Beat: ‘’The fresh-sounding musical excitement generated by this 16-piece ensemble comes not so much from its exceptional players, but from the brilliant composing and arranging of Ms. Akiyoshi, whose value to the international jazz community is incalculable." Deux ans plus tard, le groupe avait enchaîné avec Long Yellow Road, un disque qui s’était mérité le prix du meilleur album de jazz de l’année décerné par le magazine Stereo Review la même année. Commentant la publication de l’album, le critique Leonard Feather écrivait: "Greatness is greatness, whether on the East Coast, the West Coast in Tokyo or anywhere else in the world. I think you will find it in this magnificently variegated, consistently exciting example of one of the outstanding orchestras of our time." En 1977, l’album Insight avait été couronné disque de l’année par le magazine Down Beat.
L’album avait été suivi en 1978 de deux autres parutions: Notorious Tourist from the East et Finesse, un album en trio. Devenue très populaire, Akiyoshi s’était produite dans de nombreux festivals de jazz comme ceux de Monterey et de Newport. En 1978, l’orchestre avait aussi fait une apparition dans la première édition du Women's Jazz Festival de Kansas City. Elle s’était également produite au célèbre Village Gate de New York.
Afin de financer les activités de son big band, Akiyoshi avait fait des tournées avec de plus petites formations. Elle avait même fait du porte-à-porte pour obtenir l’appui de la communauté japonaise. Elle précisait: “They will only buy if I come to them in person. I spent many days going to businessmen (to sell tickets) and nights working on my music. It is very tiring, but it must be done this way. Otherwise it is not proper.”
ÉVOLUTION RÉCENTE
Au début des années 1980, Akiyoshi avait continué d’être acclamée par la critique pour des albums comme Farewell to Mingus (1980) et European Memoirs (1984).
Après avoir quitté Los Angeles pour New York en 1982, Akiyoshi avait formé une nouvelle version du Toshiko Akiyoshi Jazz Orchestra avec des musiciens originaires du Big Apple. En 1983, l’orchestre avait même fait ses débuts à Carnegie Hall dans le cadre du Kool Jazz Festival. Le retour d’Akiyoshi à New York est relaté dans le documentaire de Renee Cho intitulé Jazz Is My Native Language (1984).
En 1987, Akiyoshi avait avait enregistré un album en trio avec le contrebassiste Dennis Irwin et le batteur Eddie Marshall. Intitulé Interlude, l’album comprenait à la fois des compositions originales de la pianiste, que des standards de Count Basie et de Duke Ellington, ainsi qu’une oeuvre de musique classique. Lors d’un séjour au Japon en 1990, Akiyoshi avait participé à deux sessions en trio qui avaient donné lieu à la publication deux ans plus tard d’un album-hommage à Bud Powell intitulé Remembering Bud: Cleopatra's Dream. En 1991, Akiyoshi avait également enregistré un concert à Carnegie Hall. L’album avait été publié un an plus tard pour commémorer le 35e anniversaire de son arrivée Akiyoshi en Amérique. À la fin de 1994, Akiyoshi avait publié un nouvel album avec son big band intitulé Desert Lady--Fantasy, d’après le titre d’une composition de son fidèle collaborateur Lew Tabackin. L’année suivante, Akiyoshi avait publié un nouvel album solo intitulé Maybeck Recital Hall Series, Volume 36. Le concert avait été enregistré dans le cadre de la célèbre série de piano solo organisée par les disques Concord Jazz. Akiyoshi a également été invitée à jouer en Chine en 1995.
Même s’ils avaient continué de rééditer les enregistrements du big band d’Akiyoshi au Japon, les disques BMG s’étaient montrés réticents à publier la musique du groupe aux États-Unis. Même si les disques d’Akiyoshi étaient très appréciés par la critique et même si elle avait réussi à publier plusieurs albums aux États-Unis tant en solo qu’avec des petites formations, plusieurs de ses derniers albums en big band étaient parus exclusivement au pays du Soleil Levant.
Le lundi 29 décembre 2003, le groupe avait présenté son dernier concert au légendaire club Birdland de New York, où il s’était produit à tous les lundis soirs durant plus de sept ans. Expliquant le démantèlement de son big band, Akiyoshi avait précisé qu’elle était frustrée de n’avoir pu obtenir des contrats d’enregistrement aux États-Unis avec son big band. Elle était aussi déçue que ses albums ne soient disponibles qu’en importation aux États-Unis. Akiyoshi avait ajouté qu’elle désirait se concentrer sur sa carrière solo, ce qu’elle n’avait pu faire durant des années en raison de son travail de compositrice et d’arrangeuse. Refusant de se reposer sur ses lauriers, Akiyoshi croyait qu’elle était toujours en mesure de s’améliorer. Elle avait déclaré: “I’m 74 years old. I think I can get better. {...} That’s the wonderful thing about jazz. There is no end. There is always something to perfect.”
Akiyoshi avait ajouté que même si elle avait rarement enregistré en solo, elle avait toujours préféré ce format. Le 24 mars 2004, la filiale des disques Warner au Japon avait publié le dernier enregistrement du big band d’Akiyoshi. Intitulé Last Live in Blue Note Tokyo, l’album avait été enregistré les 28 et 29 novembre 2003. Faisant le bilan de sa carrière avec son big band, Akiyoshi avait précisé: “It has been 60 years since I discovered jazz and made it my lifetime work. I am so gratified to be recognized for my endeavors especially my infusing of Japanese culture into the jazz world, making it ever more universal.” 
Dotée d’une remarquable conscience sociale, Akiyoshi abordait souvent des thèmes sociaux dans sa musique. Dans l’album Tales of a Courtesan (1976), elle avait dressé le portrait de femmes qui avaient dû dispenser des faveurs sexuelles afin de survivre et de prospérer. Elle expliquait: "The European concept of the courtesan is too happy. For three centuries under the shoguns, poorer families had to sell their daughters into slavery. Though some courtesans were highly educated, they had no freedom; attempted escape meant punishment by death. My music expresses the contrast between the superficially luxurious life of some of these women and the tragic denial of human rights they suffered." Un autre exemple de l’implication sociale d’Akiyoshi se trouve dans sa composition ‘’Minamata’’, qui décrit le sort d’un petit village de pêcheurs japonais menacé par l’industrialisation, la pollution et la contamination par le mercure.
En 1999, Akiyoshi avait été approchée par le prêtre bouddhiste Kyudo Nakagawa, qui lui avait demandé d’écrire une pièce en hommage à la ville d’Hiroshima. Nakagawa avait joint à son envoi des photos illustrant les ravages causées par la bombe atomique lancée par les Américains sur la ville en août 1945. Horrifiée, Akiyoshi avait d’abord refusé, car elle ne voyait pas comment elle pourrait écrire quelque chose pour témoigner de l’événement. Décrivant sa réaction lorsqu’elle avait regardé les photos pour la première fois, Akiyoshi avait expliqué: “The photos were so awful, people losing skin and so on {...}. I had never seen anything like this {...}.  I really didn’t see the meaning of writing about something so tragic and so horrible.”
Finalement, Akiyoshi avait déniché un cliché montrant une jeune femme sortant d’un abri sous-terrain avec un sourire sur le visage comme si elle avait décidé de ne pas se laisser influencer par la tragédie. Décidant de transmettre un message d’espoir, Akiyoshi avait composé une suite en trois parties intitulée Hiroshima: Rising from the Abyss. La pièce avait été présentée en grande première à Hiroshima le 6 août 2001, à l’occasion du 56e anniversaire du lancement de la bombe atomique. Décrivant ses sentiments à l’issue du concert, Akiyoshi avait commenté: “It was an emotional concert. Some musicians told me how proud they were to be associated with the organization. It was a great performance. I actually cried on the stage because Lew (her husband) plays so beautifully on the last [piece].” La Hiroshima suite a été publiée en 2002 sur l’album Hiroshima – Rising from the Abyss.
La musique d’Akiyoshi est caractérisée par un grand sens mélodique, la richesse de ses structures ainsi que par ses influences japonaises. Lors de la mort d’Ellington en 1974, le critique Nat Hentoff avait écrit dans le magazine The Village Voice que sa musique réflétait son héritage africain. De la même manière, Akiyoshi composait en utilisant des thèmes, des harmonies et des instruments d’origine japonaise comme le kotsuzumi, le kakko, l’utai et le tsugaru shamisen. Malgré tout, la musique d’Akiyoshi demeurait profondément enracinée dans le jazz, et réflétait les influences de compositeurs comme Duke Ellington, Charles Mingus et Bud Powell. Commentant l’album Road Time, un critique avait déclaré que les enregistrements en big band d’Akiyoshi démontraient "a level of compositional and orchestral ingenuity that made her one of perhaps two or three composer-arrangers in jazz whose name could seriously be mentioned in the company of Duke Ellington, Eddie Sauter, and Gil Evans." 
Lauréate de plusieurs prix, Akiyoshi a été élue ‘’Jazz Master’’ par la National Endowment for the Arts en 2007. Toujours aussi modeste, Akiyoshi avait accepté son prix en lisant la déclaration suivante: "When I received the news of the award over the phone, I was stunned for a second, disbelieving my ears. I am sure that anyone who has received this prestigious award felt quite honored; but for me, it was much, much more special, because of who I am and where I came from. It has been 60 years since I discovered jazz, and made it my life time work. I am so gratified to be recognized for my endeavors especially my infusing of Japanese culture into the jazz world, making it ever more universal."
Parmi les autres honneurs remportés par Akiyoshi, on remarque le Ellis Island Medal of Honor (décerné par la National Ethnic Coalition of Organizations en 1986), le prix Shijahosho (qui lui a été décerné en 1999 par l’empereur du Japon), le Japan Foundation Award, l’Order of the Rising Sun et le Asahi Award (qui lui a été accordé en 2005 par le journal Asahi Shimbun). En 1986, Akiyoshi était également devenue la première new-yorkaise d’origine japonaise à remporter le New York City's Liberty Award. En 1998, le Berklee College of Music a décerné à Akiyoshi un doctorat honorifique en musique.
L’album Long Yellow Road a également été élu album de l’année par le magazine Stereo Review en 1976. Akiyoshi a aussi remporté plusieurs sondages des lecteurs du magazine Down Beat, tant pour ses enregistrements en big band que comme arrangeuse et compositrice. Akiyoshi est d’ailleurs la première femme à avoir terminé au premier rang des sondages des lecteurs du magazine comme meilleure compositrice et arrangeuse. Akiyoshi s’est aussi mérité un Silver Award décerné par le prestigieux magazine japonais Swing Journal pour son album Four Seasons of Morita Village en 1996. Akiyoshi a également été mise en nomination à quatorze reprises au gala des prix Grammy.
Toshiko Akiyoshi a enregistré vingt-deux albums avec son orchestre. L’autobiographie d’Akiyoshi intitulée Life with Jazz est parue en 1976 et en est actuellement à sa cinquième impression au Japon.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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maaarine · 4 months
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série recommandée, disponible en VF sur Arte: La maison de la rue en pente
au Japon, une femme fait partie d'un jury d'assise qui doit juger une mère qui a tué son enfant
le procès lui fait réaliser que sa propre situation avec son connard de mari et leur fille n'est pas si différente de celle de l'accusée
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en complément de la série, ce podcast de France Culture: Cultures mondes: Démographie: un baby blues mondial 1/4: Japon, Corée du Sud: la jeunesse sous pression
"Alors qu'au Japon et en Corée du Sud la démographie s'effondre, quelles contraintes financières et anthropologiques pèsent sur les jeunes générations de ces deux sociétés au point de les empêcher de faire des enfants ?"
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from-breizh-to-paname · 9 months
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Paname
comme au Japon
🇯🇵 la maison de la culture du Japon
⛩️ le musée Guimet
🍱 l’avenue de l’Opéra, la rue du Quatre Septembre et la rue Richelieu
🎋le jardin japonais Albert Kahn
🎋le jardin japonais du Panthéon bouddhique
👘 Takumi Flavours, pour le shopping
📚 les librairies d'occasion pour trouver des mangas
🍜🍢🍣 Un petit brunch a la japonaise?
❤️💍 les adresses préfèrées des mariés
🍽️ 🍤 Shu | Japonais tempura
🍽️ 🍜 Neko Ramen | Japonais Ramen
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mmepastel · 1 year
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J’ai adoré ce livre jeunesse, premier tome d’une tétralogie (dont le dernier volume n’est pas encore paru) et je suis très admirative de sa jeune autrice, Camille Monceaux. Elle explique parfaitement clairement son projet littéraire qui mêle sa passion pour le Japon, ses recherches et son désir de fiction.
Elle a donc troussé une histoire très maligne et subtile qui se déroule à l’ère Edo, au début du XVIIe siècle. On se prend d’affection pour Ishiro, jeune héros à l’ascendance obscure, qui est élevé par un samouraï qui entreprend de l’éduquer à la fois dans le dénuement total (solitude absolue dans la montagne sévère) et rigueur intellectuelle ainsi que guerrière : il lui enseigne la voie du sabre.
Après une tragédie (ou plutôt deux), il se retrouve à errer dans Edo (ancien Tokyo), seul, ignorant, vulnérable. La société de l’époque est dure. Des castes existent, et il appartient à celle des enfants orphelins, errants, pourchassés plutôt que secourus. Le nouveau shogun est intraitable, les samouraïs règnent avec violence sur la ville, le pays se replie sur lui-même, refuse les étrangers, notamment les chrétiens.
Les bourgeois s’amusent avec le nouveau théâtre Kabuki qui supplante peu à peu le No. Ishiro, heureusement va se faire des amis, et connaître une trajectoire chaotique, pleine de rebondissements. Des rues, il va étonnamment atterrir dans les coulisses complexes des acteurs du théâtre. On apprend plein de choses sur cette époque et cette culture étonnante, notamment sur le statut des actrices, et à travers elles, des femmes…
Magnifique personnage féminin d’ailleurs qui apparaît dans la deuxième moitié du roman, Hiinahime. Mystérieuse jeune fille, qui vit recluse dans sa maison et son jardin, le visage constamment couvert d’un masque de No, pour un motif aussi révoltant que trompeur.
On quitte ce premier tome en brûlant de connaître la suite, envoûté que l’on est par la prose délicate, précise et poétique de l’autrice. Fidèle au pays qu’elle dépeint, elle livre un récit qui comporte une action vive et changeante, toujours inattendue, mais aussi de beaux passages descriptifs, des moments presque méditatifs, où le temps s’arrête et où on épouse les pensées confuses des personnages.
Un vrai régal, pour les adolescents certes, mais qui m’a également enchantée, et qui n’a rien à envier à beaucoup de romans pour adultes.
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lifextime · 1 year
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Kuon
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Kuon (traduction : éternité), est mon premier jeu du studio From Software (Elden Rings, Evergrace, Dark Souls, Sekiro, Bloodborne et j'en passe), et il est sorti en 2004 au Japon et en 2006 en Europe. Comme je suis en train de rejouer à ce jeu, car je tiens à battre officiellement mon record, je me suis dit pourquoi ne pas parler de cette licence méconnue du grand publique, alors qu'en réalité, il mériterait un remake ou un remaster !
Histoire : Kuon se déroule dans le Japon médiéval et raconte une histoire sombre et mystérieuse. Le jeu suit trois personnages différents, chacun ayant son propre scénario, explorant une maison hantée remplie de créatures surnaturelles et de secrets anciens. L'histoire est profondément ancrée dans le folklore et la mythologie japonaise, ce qui ajoute une dimension fascinante à l'ensemble. Les rebondissements inattendus et les révélations surprenantes tout au long du jeu maintiennent l'intérêt du joueur et le poussent à découvrir les mystères cachés.
Les personnages :
Utsuki : Utsuki est une jeune fille qui se retrouve piégée dans la maison hantée. Elle est à la recherche de sa sœur, Kureha, et son histoire se concentre principalement sur sa quête pour la retrouver. Utsuki est dotée de pouvoirs mystiques liés à la divination. Elle peut utiliser un miroir pour voir les choses invisibles et trouver des indices cruciaux. Elle est également plus agile que les autres personnages, ce qui lui permet d'esquiver plus facilement les attaques ennemies. (premiere voie)
Sakuya : Sakuya est une prêtresse du temple Tsuchihara qui explore également la maison hantée. Son scénario se concentre sur sa lutte contre les forces maléfiques qui se sont emparées de la maison. Sakuya est spécialisée dans les sorts d'exorcisme et peut invoquer des sorts puissants pour repousser les ennemis. Elle est plus résistante aux attaques et dispose d'un éventail sacré pour combattre les créatures surnaturelles. (seconde voie)
Seimei : Seimei est un mystérieux sorcier qui pénètre également dans la maison hantée. Son histoire révèle des liens avec le passé de la maison et les secrets qui y sont enfouis. Seimei utilise des sorts de magie noire pour attaquer les ennemis et peut invoquer des esprits pour l'aider. Il est également capable de lancer des sorts de guérison pour se soigner et soutenir ses alliés. (conclusion de l'histoire)
Impact culturel : Kuon a été salué pour sa représentation authentique du folklore et de la culture japonaise. Les développeurs de FromSoftware ont clairement fait des recherches approfondies pour intégrer des éléments traditionnels dans le jeu. Cela a permis de créer une atmosphère immersive et une expérience unique pour les joueurs intéressés par la culture japonaise. Kuon a également ouvert la voie à d'autres jeux d'horreur basés sur des légendes et des mythes japonais, contribuant ainsi à l'expansion de ce genre dans l'industrie du jeu vidéo. Le thème de l'Eternité y est parfaitement bien retranscrit tout en respectant les nombreux mythes à ce sujet.
Gameplay : Le gameplay de Kuon offre une combinaison d'action-aventure et de survival horror. Les joueurs doivent explorer la maison hantée, résoudre des énigmes et affronter des ennemis surnaturels. Chaque personnage a ses propres compétences et capacités spéciales, ajoutant de la diversité au gameplay (exemple : infiltrations, combat de zone, combat d'invocation etc ..). Cependant, certains aspects du gameplay peuvent sembler rigides et les contrôles peuvent être un peu frustrants, en particulier lors des combats (exemple : la cameras peut faire défaut lors des sorts à distance). De plus, la difficulté du jeu peut parfois être abrupte, ce qui peut décourager certains joueurs moins expérimentés.
Difficulté & Heures de jeu : Kuon est connu pour sa difficulté, qui peut être considérée comme assez élevée. Le jeu présente plusieurs défis pour les joueurs, que ce soit dans la résolution d'énigmes complexes, la gestion des ressources limitées ou les affrontements avec les ennemis.
L'un des aspects les plus difficiles de Kuon réside dans la navigation de la maison hantée. Les joueurs doivent explorer des environnements déroutants, souvent avec des chemins cachés et des pièges. La maison est conçue de manière à désorienter le joueur, ce qui rend la progression difficile et demande une attention minutieuse.
En ce qui concerne les combats, Kuon peut être exigeant (voir très exigeant). Les ennemis sont puissants et nécessitent une bonne maîtrise des compétences de chaque personnage pour être vaincus efficacement. De plus, les ressources comme les potions de soin et les amulettes protectrices sont limitées, ce qui ajoute un élément de gestion stratégique. Une mauvaise gestion des ressources peut rendre les combats encore plus difficiles.
Il est important de noter que la difficulté de Kuon peut être considérée comme abrupte, car le jeu peut passer d'une relative facilité à des défis beaucoup plus complexes en un clin d'œil. Cela peut parfois être frustrant pour les joueurs moins expérimentés ou ceux qui préfèrent une courbe de difficulté plus progressive.
Cependant, certains joueurs apprécient justement cette difficulté élevée, car elle ajoute une dimension de tension et de satisfaction lors de la résolution des défis. La difficulté de Kuon peut également contribuer à prolonger la durée de vie du jeu, car il faudra souvent plusieurs essais pour surmonter certains obstacles (notamment dans la secondes partie du jeu).
Pour résumer, Kuon est un jeu qui demande de la patience, de l'attention et une certaine maîtrise pour être pleinement apprécié. Si tu es à la recherche d'un défi stimulant dans un contexte d'horreur, Kuon pourrait être un choix intéressant.
Bande son : La bande son de Kuon contribue grandement à l'atmosphère angoissante du jeu. Les pistes musicales sont bien choisies et renforcent l'immersion du joueur dans l'horreur et le mystère. Les bruitages sont également bien réalisés, ajoutant une dimension supplémentaire à l'expérience effrayante. Les voix des personnages, bien que limitées, sont également bien interprétées et contribuent à l'authenticité de l'ambiance japonaise.
Points forts :
L'histoire riche et captivante, basée sur le folklore japonais.
L'immersion dans une ambiance sombre et terrifiante.
La représentation authentique de la culture japonaise.
Les rebondissements et révélations surprenantes tout au long du jeu.
Points faibles :
Les contrôles rigides et parfois frustrants.
La difficulté abrupte qui peut décourager certains joueurs.
Les combats peuvent manquer de fluidité et de variété.
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antigonegone · 4 months
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Ce matin, un seul objectif, marcher, naviguer en direction de la MCJP (Maison de la Culture du Japon à Paris). Le chemin ne gâte rien. Kenzõ Tange en 1964 et Kengo Kuma en 2021  ont marqué de leurs empreintes les JO de Tokyo. Le 1er a utilisé l’acier et le béton, le 2nd des matériaux naturels, et en particulier des arbres provenant des 47 départements du Japon. Tange admirait la Villa Sakura, construite au 17ème siècle, résidence de l’Empereur à Kyoto, un lieu mythique pour les grands architectes ou artistes tels que Walter Gropius, un des maîtres du Bauhaus, ou Le Corbusier, et pour le chercheur du CNRS, Philippe Bonnin, qui a écrit un livre admirable chez Arlea sur l’endroit et son jardin. Pourquoi ? Parce qu’elle est représentative de ce que recherchent les architectes : les lignes, l’arche, l’avant-toit, et le paysage. Tange, s’en est inspiré notamment pour construire sa maison, en banlieue de Tokyo. Comme nombre de constructions, celle-ci a été détruite. Les japonais, par leur philosophie de vie, attachent peu d’importance à l’avoir, l’être est bien plus essentiel. Cela peut-il se résumer par le Wabi Sabi ? Peut-être ? Place aux photos, c’est mieux que les mots et le baratin. La cathédrale Ste Marie à Tokyo de Tange. Il s’est converti au catholicisme. Ses funérailles ont eu lieu dans cet endroit qu’il aimait. Photo du musée Hiroshige de Kuma La maquette Le gymnase à Tokyo de Tange Le stade de Kuma La Villa Sakura Le pavillon de thé d’un hôtel de luxe en Chine de Kuma Kadokawa culture museum de Kuma . Le parement est en granit. Maquette du musée Albert-Khan La future gare de St Denis de Kuma La maquette de la gare Le Frac sud à Marseille La maquette Projet 2025 Galilée devant la cathédrale d’Angers pour protéger les statues
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japonais-shop · 5 months
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albainsavatier · 6 months
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Exploration Culinaire à Star Belle Sushi : Une Odyssée Gastronomique Japonaise
Paris, réputée comme la capitale mondiale de la gastronomie, offre une diversité culinaire captivante. Parmi ses ruelles animées et ses cafés pittoresques se niche une pépite méconnue qui vous transporte directement au pays du Soleil Levant : Star Belle Sushi. Niché dans le charmant 15ème arrondissement de Paris, ce restaurant discret propose une expérience culinaire alléchante pour les amateurs de gastronomie japonaise.
Un Voyage Sensoriel
Star Belle Sushi ne se contente pas d’être un simple restaurant de sushi ; c'est un véritable havre pour les gourmets en quête d'une expérience authentique du Japon. Dès l’entrée, les convives sont accueillis par l’arôme envoûtant du sushi fraîchement préparé et par une ambiance feutrée aux accents nippons, offrant une escapade sensorielle unique.
Une Palette de Saveurs
Le menu de Star Belle Sushi offre une palette de mets alléchants, allant des classiques nigiri et sashimi aux créations innovantes débordantes de saveurs. Chaque plat est méticuleusement confectionné par des chefs talentueux, qui sélectionnent avec soin les meilleurs ingrédients, tant locaux qu'importés directement du Japon. Que vous soyez un amateur de sushi averti ou un néophyte curieux, vous trouverez assurément de quoi ravir vos papilles.
Un Engagement envers l'Authenticité
La véritable particularité de Star Belle Sushi réside dans son engagement envers l'authenticité. Les chefs s'appliquent à respecter les techniques culinaires traditionnelles japonaises tout en y apportant une touche d'originalité parisienne. Chaque bouchée est une explosion de saveurs, témoignant du dévouement du restaurant pour la qualité et l'excellence.
Un Voyage à Emporter
En plus de son expérience en salle, Star Belle Sushi propose également un service de plats à emporter pour ceux qui souhaitent déguster leurs délicieux mets chez eux. Que ce soit pour une pause déjeuner rapide ou une soirée détente à la maison, leur menu à emporter saura satisfaire toutes les envies.
Résumé : Découvrir la cuisine authentique du Japon chez Star Belle Sushi est une véritable invitation au voyage culinaire, transcendant les frontières géographiques. De la préparation méticuleuse à la présentation soignée, chaque aspect de cette expérience gastronomique reflète la richesse de la tradition culinaire japonaise. Quelle que soit votre expérience en matière de sushi, une visite chez Star Belle Sushi vous laissera un souvenir gustatif inoubliable, vous transportant instantanément dans les rues animées de Tokyo.
Star Belle Sushi
Adresse : 77 Rue des Morillons, 75015 Paris, France
Numéro de Téléphone : 09 83 84 78 09
Site Web : Star Belle Sushi
Lien Google Map :
Lors de votre prochaine escapade parisienne, ne manquez pas l'occasion de découvrir les délices culinaires proposés par Star Belle Sushi. Plus qu'un simple repas, c'est une expérience sensorielle authentique qui vous transportera au cœur de la culture gastronomique japonaise, à quelques pas seulement des rives de la Seine.
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les-degustations-ugo · 7 months
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   🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, comment buvez vous votre Gin 🇫🇷❓❓
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🥃135° East Gin créé et distribué par @135eastgin 🥃
🌡️:
42°
👁️:
Robe de couleur transparente
👃:
Un nez très expressif, sur des notes d'agrumes et de fleurs 
💋:
En bouche, on a un Gin avec une belle délicatesse et rondeur, avec un équilibre parfait. Sur des arômes d'agrumes (Yuzu, Ume), les fleurs (Angélique), épices (coriandre). Une bonne longueur en bouche avec une finale sur des notes de poivre Sansho adouci par du saké d'Akashi-Tai Junmai distillé. 
📜 En résumé📜:
J'ai trouvé ce Gin vraiment très surprenant, avec une belle finesse. Gros coup de cœur pour ma part. Magnifique réalisation avec le poivre qui diffuse sa chaleur en bouche et la distillation de ce saké qui adoucit les papilles. Belle trouvaille. Une merveille que je vous recommande chaudement de déguster pur ou avec un tonic. 
🚨N'oubliez pas mon concours, toujours actif jusqu'au Dimanche 3 Mars 20h sur ma page Instagram, pour gagner justement une bouteille de ce magnifique Gin 🚨
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 La plupart des vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🇫🇷🗣️Description de la maison @135eastgin 🗣️🇫🇷
Nommé d’après le 135ème méridien qui traverse la ville d’Akashi City dans la préfecture de Hyogo, 135° East incarne notre passion pour la découverte de ce qui se trouve au-delà des frontières. Inspiré de l’ère Taisho, ce gin inattendu rend hommage à une époque où la culture orientale a fusionné avec la culture occidentale.
En associant de nouvelles saveurs aux botaniques classiques du London Dry Gin, Kimio Yonezawa a créé un nouveau style de gin innovant et non conventionnel : le « Hyogo Dry Gin. Après avoir soigneusement étudié le profil aromatique d’une cinquantaine de botaniques provenant du Japon, le Master Distiller & Blender Kimio Yonezawa a choisi de combiner 3 botaniques traditionnelles européennes avec 5 botaniques japonaises – toutes issues de petits producteurs locaux et des meilleurs spécialistes du Japon. Avant d’être assemblées, chacune d’elles est distillée séparément afin de mieux préserver ses caractéristiques.Grâce à une distillation sous vide ou « vacuum distillation », un procédé fréquent en haute-parfumerie, 135° East conserve la finesse et les subtilités des arômes de chacune de ses botaniques.
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⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
🇬🇧❓❓Hello corkscrew lovers.  And you, how do you drink your Gin 🇬🇧❓❓
 🥃135° East Gin created and distributed by @135eastgin 🥃
 🌡️:
 42°
 👁️:
 Transparent color dress
 👃:
 A very expressive nose, with notes of citrus and flowers
 💋:
 On the palate, we have a Gin with beautiful delicacy and roundness, with perfect balance.  With aromas of citrus (Yuzu, Ume), flowers (Angelica), spices (coriander).  A good length in the mouth with a finish with notes of Sansho pepper softened by distilled Akashi-Tai Junmai sake.
 📜In summary📜:
 I found this Gin really very surprising, with great finesse.  Big favorite for me.  Magnificent achievement with the pepper which diffuses its heat in the mouth and the distillation of this sake which softens the taste buds.  Great find.  A marvel that I highly recommend enjoying pure or with a tonic.
 🚨Don't forget my competition, still active until Sunday March 3 at 8 p.m. on my Instagram page, to win a bottle of this magnificent Gin 🚨
 🔞“Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation”🔞Most of the wines have been tasted and spat out.  Unpaid tasting.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🇬🇧🗣️Description of the house🗣️🇬🇧
Named after the 135th meridian that runs through Akashi City in Hyogo Prefecture, 135° East embodies our passion for discovering what lies beyond borders. Inspired by the Taisho era, this unexpected gin pays homage to a time when Eastern culture merged with Western culture.
 By combining new flavors with the classic botanicals of London Dry Gin, Kimio Yonezawa has created an innovative and unconventional new style of gin: “Hyogo Dry Gin.” After carefully studying the aromatic profile of around fifty botanicals from Japan, Master Distiller & Blender Kimio Yonezawa chose to combine 3 traditional European botanicals with 5 Japanese botanicals – all from small local producers and the best specialists in Japan. Before being assembled, each of them is distilled separately in order to better preserve its characteristics. Thanks to vacuum distillation, a frequent process in haute-perfumery, 135° East preserves the finesse and subtleties of the aromas of each of its botanicals.
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🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi.  E tu, come bevi il tuo Gin 🇮🇹❓❓
 🥃135° East Gin creato e distribuito da @135eastgin 🥃
 🌡️:
 42°
 👁️:
 Abito di colore trasparente
 👃:
 Un naso molto espressivo, con note di agrumi e fiori
 💋:
 Al palato abbiamo un Gin di bella delicatezza e rotondità, dal perfetto equilibrio.  Con aromi di agrumi (Yuzu, Ume), fiori (Angelica), spezie (coriandolo).  Buona la persistenza in bocca con un finale con note di pepe Sansho ammorbidite dal sake distillato Akashi-Tai Junmai.
 📜In sintesi📜:
 Ho trovato questo Gin davvero molto sorprendente, di grande finezza.  Grande favorito per me.  Magnifica realizzazione con il pepe che diffonde il suo calore in bocca e la distillazione di questo sakè che addolcisce le papille gustative.  Ottima scoperta.  Una meraviglia che consiglio vivamente di gustare pura o con un tonico.
 🚨Non dimenticate il mio concorso, ancora attivo fino a domenica 3 marzo alle 20 sulla mia pagina Instagram, per vincere una bottiglia di questo magnifico Gin 🚨
 🔞“L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione”🔞La maggior parte dei vini è stata assaggiata e sputata.  Degustazione non retribuita.
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🇮🇹🗣️Descrizione della casa  🗣️🇮🇹
Prende il nome dal 135° meridiano che attraversa la città di Akashi nella prefettura di Hyogo, 135° Est incarna la nostra passione per la scoperta di ciò che si trova oltre i confini. Ispirato all'era Taisho, questo gin inaspettato rende omaggio a un'epoca in cui la cultura orientale si fondeva con la cultura occidentale.
Combinando nuovi sapori con le classiche botaniche del London Dry Gin, Kimio Yonezawa ha creato un nuovo stile di gin innovativo e non convenzionale: "Hyogo Dry Gin". Dopo aver studiato attentamente il profilo aromatico di una cinquantina di botaniche provenienti dal Giappone, il Mastro Distillatore e Miscelatore Kimio Yonezawa ha scelto di combinare 3 botaniche tradizionali europee con 5 botaniche giapponesi, tutte provenienti da piccoli produttori locali e dai migliori specialisti del Giappone. Prima di essere assemblato, ciascuno di essi viene distillato separatamente per preservarne al meglio le caratteristiche.Grazie alla distillazione sotto vuoto, un processo frequente nell'alta profumeria, 135° East preserva la finezza e la sottigliezza degli aromi di ciascuno dei suoi botanici.
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greendaxcat · 8 months
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Akita appartient à la race de chien japonais
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Elle fait partie des animaux « souriants », grâce aux traits intéressants de son visage.  Si vous décrivez un animal de compagnie en un seul mot, « dignité » vous vient à l'esprit.  Il y a plus de 50 ans, Akita-inu est devenu une propriété de la nature japonaise.  Elle ne peut pas rivaliser avec les autres races de chiens du pays du soleil levant.  Par conséquent, aucune autre personne n’a pu obtenir un succès aussi bien mérité.
L'Akita est l'une des races de chiens les plus anciennes au monde.  Ce fait a été prouvé à plusieurs reprises par des scientifiques qui ont mené des recherches génétiques et étudié le pedigree de l'animal.  À différentes époques, les chercheurs ont découvert les restes anciens d'un chien sur le territoire du Japon moderne.  L’un d’eux s’est avéré être les os d’un animal âgé de plus de 2 millénaires avant JC.
 L'Akita sous sa forme moderne existait dès le 17ème siècle.  Depuis, son apparence est restée inchangée.  À une certaine époque, les chiens étaient les favoris de la royauté, des empereurs et des fonctionnaires influents du gouvernement.
Un chien de cette race est considéré comme harmonieux en tout.  Son apparence « crie » directement sur son attitude envers les représentants de la culture orientale.  Le chien se caractérise par sa retenue, sa haute éducation spirituelle, son calme et son comportement digne dans toutes les situations.
 Mais voilà à quoi cela ressemble aux yeux des étrangers.  Akita se sent libre parmi ses propriétaires.  À la maison, le chien est actif et capricieux, décisif et énergique.
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omagazineparis · 8 months
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The Ritual of Chadō, le nouveau rituel à adopter !
Si vous aussi vous jonglez toute la semaine entre le travail, les transports, le sport, et les proches…Vous avez probablement envie d’une petite pause, un moment rien qu’à vous, pour prendre le temps. Voici un nouveau rituel à intégrer à votre routine bien-être ! La Marque Rituals prône cette idée de réapprendre à prêter attention aux petits moments du quotidien, pour prendre soin de soi, être à l’écoute de nos sens et vivre pleinement chaque instant.  L’art des belles attentions La nouvelle gamme The Ritual of Chadō s’inspire de la cérémonie traditionnelle du thé. Cette discipline spirituelle invite à une concentration intense et une immersion dans l’instant présent. Au Japon, avoir une vie saine et heureuse n’est pas forcément une fin en soi, mais plus une habitude à prendre.La culture nippone a transformé les activités quotidiennes en pratiques pour le soin et la culture de soi. Cette pratique du rituel existe depuis des siècles et permet au quotidien de prendre le temps, de méditer, et de remarquer chaque geste, chaque moment. En lien : Nourrissez votre corps avec des nutriments et des minéraux : pour une santé optimale Cette édition limitée offre des produits pour le corps et la maison pour vous immerger dans cette parenthèse bien-être. Composition des produitsLes soins sont composés de Bambou et de Matcha.Le Bambou est symbole de détermination, de persévérance, mais aussi de souplesse.Sa particularité est qu’il peut être un très bon exfoliant, le bambou est aussi utilisé pour nourrir la peau.Le Matcha est issu de la feuille de thé vert, souvent sous forme de poudre fine.Il est utilisé dans la cuisine, mais aussi dans le monde de la beauté. Cette poudre a des propriétés à la fois antioxydantes et énergisantes, pour une peau revitalisée, tonique et lumineuse. Un Rituel sensoriel  La Collection the Ritual of Chadō se compose de différents produits seuls ou en coffrets, nous vous invitons à aller la découvrir en boutique ou sur Rituals.com .Nous avons donc changé notre routine beauté et bien-être, afin de vous parler de quelques produits que nous avons eu la chance d’apprécier. Nous testons pour vousCommençons ce rituel par un gel douche, qui au contact de l’eau et de la peau se transforme en mousse pour nettoyer et revitaliser. Cette mousse est très agréable et laisse un parfum frais sur la peau.Nous avons également adoré la crème pour le corps, à mettre en sortant de la douche. Elle nourrit la peau en profondeur et la tonifie. Facile à appliquer, elle laisse un voile doux sur la peau et un parfum léger. Le troisième produit coup de cœur est une brume sous forme de vaporisateur.  Elle est idéale comme parfum pour le corps, sur du linge de maison ou dans une voiture, ce parfum léger est frais et doux. Nous vous conseillons de vaporiser quelques sprays dans votre diffuseur de parfum, avec la vapeur l’odeur se diffuse dans toute la pièce, pour créer une ambiance relaxante.Pour parfaire Ce Ritual of Chadō nous vous invitons à découvrir le Thé qui est 100 % biologique, alliant thé Vert et thé Matcha pour une pause digne d’une cérémonie du thé. A lire également : Comment perdre du poids de façon naturelle ? Un Rituel engagé Rituals s’engage en proposant des produits, et ingrédients non testés sur les animaux.De plus, afin de limiter le gaspillage, la marque tente d’améliorer le design et les matériaux utilisés pour les emballages pour réduire leur impact sur l’environnement. Respectant la règle des 3R, Réutiliser, Réduire, Recycler Rituals favorise un maximum les produits recyclables et recyclés comme emballage. Rituals propose aussi des recharges pour les produits tels que les soins visages et corps,parfums ou gels. The Ritual Of Chadō, le nouveau rituel beauté et bien-être qu’il vous faut adopter pour réapprendre à prêter attention à chaque chose et prendre du temps pour soi tout en contribuant au bien-être de la planète.Cette gamme de produits aux senteurs fraîches vous permettra de profiter d’une parenthèse beauté et de mettre vos sens en éveil. Read the full article
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loudorleac · 1 year
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Ken Domon, Maison de la culture du Japon, Paris, juillet 2023
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yespat49 · 1 year
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Voyage à travers le Cinéma Japonais avec Fabrice Arduini - Maison de la Culture du Japon, à Paris
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