Tumgik
#max et compagnie
tina-chou-17 · 10 months
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Coucou
Hey bonjour tout le monde,
non je ne suis pas morte, je suis toujours là, mais avec bcp moins de temps.
voici une petite liste de manga anciens (avant 2000) à regarder.
Marc et Marie
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Planète Jeunesse - Marc et Marie (planete-jeunesse.com)
Ranma 1/2
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Ranma ½ (nautiljon.com)
Sakura Chasseuse de Cartes
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Card Captor Sakura (nautiljon.com)
Argai
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Argaï, la prophétie | Wiki Doublage francophone | Fandom
Juliette je t'aime
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Juliette je t'aime | Wiki Encyclopedia Anime | Fandom
Max et Co
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Max et compagnie (série) : Saisons, Episodes, Acteurs, Actualités (ecranlarge.com)
Signé Cat's eyes
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Cat's Eyes - Série | MYTF1
Papyrus
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Papyrus - Série TV 1997 - AlloCiné (allocine.fr)
Saiyuki
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Saiyuki (manga) - Wikipedia
Yu-Gi-Oh
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Yu-Gi-Oh! | Netflix
Les malheurs de Sophie
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A regarder sur youtube, il y a aussi des compilations
Sailor Moon
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Même si la série est hyper longue, il y a sans doute quelque part une série Kai
Où regarder la série Sailor Moon en streaming (justwatch.com)
Hunter X Hunter
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La première série vaut encore le détour. Publié sur Youtube, je ne sais pas si elle y est encore.
Princesse Sissi
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(1) 01 Sissi n'en fait qu'à sa tête - YouTube
Sophie et Virginie
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(1) Sophie et Virginie - Episode 27 - Une réunion de famille - YouTube
Les misérables
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(1) Les Misérables - Épisode 1 - L'auberge des Thénardier (1992) - YouTube
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
MAX ROACH, LE BATTEUR ACTIVISTE Né le 10 janvier 1924 dans le township de Newland, dans le comté de Pasquotank, en Caroline du Nord, Maxwell Lemuel Roach était le fils d’Alphonse et Cressie Roach. Max avait quatre ans lorsque sa famille était déménagée dans le quartier de Bedford-Stuyvesant, près de Brooklyn. Sa mère étant chanteuse de gospel, Max avait baigné très vite dans un environnement musical. Après avoir joué du bugle (flugelhorn) dans les parades, Roach avait commencé à apprendre le piano à l’age de huit ans. Deux ans plus tard, il était batteur dans des groupes gospel. Roach venait tout juste de décroché son diplôme au Boys High School de Brooklyn lorsqu’il avait été invité à remplacer Sonny Greer avec l’orchestre de Duke Ellington qui se produisait alors au Paramount Theater de Manhattan. Il avait aussi joué au Georgie Jay’s Tap Room, où il avait accompagné son camarade d’école Cecil Payne. Roach avait fait ses débuts sur disque en décembre 1943 avec Coleman Hawkins.
Plusieurs batteurs de jazz avaient influencé le jeu de Roach, en particulier Philly Joe Jones. Roach expliquait: "Jo Jones was the first drummer I heard who played broken rhythms. I listened to him over and over again. But a lot of people inspired me. Chick Webb was a tremendous soloist. There was Sonny Greer, Cozy Cole, and Sid Catlett, who incorporated this hi-hat and ride cymbal style. Then I heard Kenny Clarke. He exemplified personality and did more with the instrument. It affected me."
Après avoir joué avec Benny Carter, Roach avait connu un des tournants de sa carrière au début des années 1940 en jouant avec Charlie Parker et Dizzy Gillespie dans des clubs comme le Monroe’s Uptown House (dont il était devenu le batteur maison en 1942) et la Minton’s Playhouse de New York.
Roach avait été un des premiers batteurs avec Kenny Clarke à adopter le style bebop. Roach avait joué dans les groupes de Dizzy Gillespie, Charlie Parker, Thelonious Monk, Coleman Hawkins, Bud Powell et Miles Davis. C’est avec Parker que Roach avait réalisé certains de ses plus enregistrements les plus novateurs, notamment pour les disques Savoy en novembre 1945, lors d’une session qui avait marqué un point tournant dans l’histoire du jazz. Le travail de Roach avec le trio de Bud Powell avait été particulièrement acclamé par la critique. Roach avait décrit ainsi sa collaboration avec Parker: "Everything was on the edge with Bird, you never knew what he was going to do musically, but it always worked out."
Roach, qui avait toujours apprécié la musique des Caraïbes, s’était rendu à Haïti à la fin des années 1940 afin d’étudier avec le batteur traditionnel Ti Roro. En 1949, il avait également participé à l’enregistrement de l’album ‘’Birth of the Cool’’ de Miles Davis.
UNE RENOMMÉE CROISSANTE
Roach avait étudié les percussions classiques et la composition à la Manhattan School of Music de 1950 à 1953, où il avait décroché un baccalauréat en musique. En 1990, la Manhattan School of Music lui avait décerné un doctorat honorifique. Roach avait d’abord envisagé de compléter une majeure en percussions, mais il s’était ravisé après qu’un professeur lui ait déclaré que sa technique laissait à désirer. Comme Roach l’avait expliqué avec humour: “The way he wanted me to play would have been fine if I’d been after a career in a symphony orchestra, but it wouldn’t have worked on 52nd Street.”
En 1952, Roach avait co-fondé les disques Debut avec le contrebassiste Charles Mingus. Il s’agissait d’une des première compagnie de disques de l’histoire à être entièrement gérée par des artistes. C’est Mingus lui-même qui avait enregistré le célèbre concert du 15 mai 1953 à la salle Massey Hall de Toronto. Le concert mettait en vedette Roach, Mingus, Charlie Parker, Bud Powell et Dizzy Gillespie. Les disques Debut avaient également publié un album intitulé ‘’Percussion Discussion’’, une improvisation libre entre une batterie et une contrebasse. À la fin de 1953, Roach avait décidé de s’établir dans la région de Los Angeles, après avoir obtenu un contrat pour remplacer Shelly Manne au sein des Lighthouse All Stars.
En 1954, Roach avait formé un quintet avec le trompettiste Clifford Brown, le saxophoniste ténor Harold Land, le pianiste Richie Powell (le frère de Bud Powell) et le contrebassiste George Morrow. Lorsque Land avait quitté le groupe l’année suivante, il avait été remplacé par Sonny Rollins. Le quintet était un bon exemple du style hard bop qui avait aussi été popularisé par Art Blakey et Horace Silver. Roach avait participé plus tard à l’enregistrement des albums ‘’Saxophone Colossus’’ et ‘’Freedom Suite’’ de Rollins.
Le quintet de Roach et Brown est considéré comme une des meilleures formations de jazz de l’histoire aux côtés des Hot Five et des Hot Seven de Louis Armstrong et des quintets de Charlie Parker et Miles Davis. Au cours des huit années suivantes, la réputation de Roach n’avait que croître. Durant cette période, Roach avait accompagné plusieurs artistes émergents comme Bud Powell, Sonny Stitt et Miles Davis. Malheureusement, Clifford Brown et Richie Powell étaient morts dans un accident de voiture en Pennsylvanie en juin 1956. La mort de Brown et de Powell avait plongé Roach dans la dépression et l’alcoolisme. Il avait fallu plusieurs années à Roach pour s’en remettre.
Le premier album que Roach avait enregistré après le décès de Brown et Powell était intitulé ‘’Max Roach + 4.’’ Après la mort de Brown et Powell, Roach avait continué de diriger des groupes de petite taille. Son nouveau groupe était composé de Kenny Dorham (il a été remplacé plus tard par Booker Little) à la trompette, de George Coleman au saxophone ténor et de Ray Bryant au piano. Grand innovateur, Roach avait élargi la forme standard du hard bop en utilisant des rythmes de 3|4 sur son album de 1957 intitulé ‘’Jazz in 3|4 Time.’’ À la même époque, Roach avait enregistré une série d’albums pour les disques EmArcy qui mettaient en vedette les frères Stanley et Tommy Turrentine.
En 1955, Roach avait accompagné la chanteuse Dinah Washington en concert et en studio. Le concert de Roach avec Washington au festival de jazz de Newport de 1958 avait été filmé. Quant à l’album live de 1954 ‘’Dinah Jams’’, il est considéré comme un des meilleurs disques de jazz de tous les temps.
UN ARTISTE ENGAGÉ
Particulièrement impliqué dans le mouvement des droits civiques et opposé au racisme sous toutes ses formes, Roach avait été invité à participer en 1960 aux célébrations entourant le 100e anniversaire de la proclamation d’émancipation d’Abraham Lincoln. La réponse de Roach ne s’était pas fait attendre: il avait enregistré ‘’We Insist !’’ (sous-titré ‘’Max Roach’s Freedom Now Suite’’), un album particulièrement revendicateur dans lequel il avait chanté en compagnie de son épouse de l’époque Abbey Lincoln sur des paroles écrites par Oscar Brown Jr. Pour Roach, la carrière de musicien de jazz était indissociable de la lutte contre le racisme. Il expliquait: “I will never again play anything that does not have social significance. We American jazz musicians of African descent have proved beyond all doubt that we’re master musicians of our instruments. Now what we have to do is employ our skill to tell the dramatic story of our people and what we’ve been through.”
En 1962, Roach avait enregistré ‘’Money Jungle’’, un album en trio avec Charles Mingus et Duke Ellington. L’album est aujourd’hui considéré comme un des meilleurs enregistrements en trio de l’histoire du jazz.
Au cours des années 1970, Roach avait formé M’Boom, un ensemble de percussions. Tous les membres de la formation participaient aux compositions et jouaient de plusieurs instruments. Parmi les membres du groupe, on relevait Fred King, Joe Chambers, Warren Smith, Freddie Waits, Roy Brooks, Omar Clay, Ray Mantilla, Francisco Mora et Eli Fountain.
Impliqué de longue date dans l’enseignement du jazz, Roach avait été recruté en 1971 par le chancelier de l’Université du Massachusetts à Amherst, Randolph Bromery. Premier musicien de jazz à enseigner au niveau universitaire, Roach avait contribué à établir une majeure en jazz dans cette université. Roach avait enseigné dans cette institution jusqu’au milieu des années 1990.
Au début des années 1980, Roach avait commencé à se produire en solo, ce qui avait contribué à démontrer que l’utilisation de plusieurs instruments de percussion par un seul artiste pouvait répondre aux besoins d’un concert en solo tout en comblant entièrement les goûts du public. Roach avait composé des pièces inoubliables pour ses concerts en solo. Un album live avait même été enregistré par l’étiquette japonaise Baystate. L’un des concerts en solo de Roach est disponible sur vidéo, et contient les prises de l’album ‘’Chattahoochee Red’’, qui mettait en vedette un quartet composé du saxophoniste ténor Odeon Pope, du trompettiste Cecil Bridgewater et du contrebassiste Calvin Hill.
Roach avait également enregistré quelques albums en duo. La plupart de ces enregistrements sont composés d’improvisations libres avec des musiciens d’avant-garde comme Cecil Taylor, Anthony Braxton, Archie Shepp et Abdullah Ibrahim. Sur un de ces duos, on entendait même Roach improviser sur le célèbre discours ‘’I have a Dream’’ de Martin Luther King. Roach avait aussi enregistré des duos plus traditionnels avec Dizzy Gillespie et Mal Waldron.
Dans les années 1980, Roach avait également composé de la musique pour le théatre, notamment sur des pièces de Sam Shepard. Roach avait d’ailleurs été directeur musical d’un festival organisé en hommage à Shepard. Intitulé ‘’ShepardSets’’, le festival avait été présenté au MaMa Experimental Theatre Club en 1984. Le festival comprenait les pièces ‘’Black Dog Beast Bait’’, ‘’Angel City’’ et ‘’Suicide in B Flat.’’ En 1985, George Ferenz avait publié ‘’Max Roach Live at La Ma Ma: A Multimedia Collaboration’’, un enregistrement en concert qui reproduisait la performance de Roach dans le cadre du festival.
Grand innovateur, Roach était tellement audacieux qu’il créait constamment de nouveaux contextes pour ses performances, ce qui avait souvent donné lieu à la formation de groupes exceptionnels. L’un de ces groupes était le Double Quartet. Ce dernier était formé des membres de son quartet régulier, à la seule exception que Tyrone Brown avait remplacé Hill à la contrebasse.
Un autre des groupes de Roach était le So What Brass Quintet, un groupe à l’instrumentation inusitée qui était composé de cinq cuivres (deux trompettes, un trombone, un cor français et un tuba) qui étaient accompagnés par Max Roach à la batterie, sans instruments à cordes ni bassiste. Le groupe comprenait Cecil Bridgewater, Frank Gordon, Eddie Henderson, Rod McGaha, Steve Turre, Delfeayo Marsalis, Robert Stewart, Tony Underwood, Marshall Sealy, Mark Taylor et Dennis Jeter.
Loin de se contenter d’élargir ses frontières musicales, Roach avait passé les années 1980 et 1990 à rechercher de nouvelles formes d’expression musicale et de performance. Il avait même joué un concerto avec le Boston Symphony Orchestra. Roach avait aussi joué et composé avec la chorale gospel de Walter White et les John Motley Singers, en plus de se produire avec des compagnies de danse comme le Alvin Ailey American Dance Theater, la Dianne McIntyre Dance Company et la Bill T. Jones|Arnie Zane Dance Company. Roach a également collaboré à un concert de hip hop mettant en vedette Fab Five Freddy et les New York Break Dancers. Lorsqu’on demandait à Roach pourquoi il évoluait dans un univers aussi éclaté, il répondait que selon lui, il y avait toujours existé une relation étroite entre le travail de ces jeunes artistes de couleur et l’art qu’il avait pratiqué durant toute sa vie.
Roach avait également fondé le Max Roach Double Quartet, une combinaison de son propre quartet avec le Uptown String Quartet dirigé par sa fille Maxine.
Même si Roach s’était produit avec plusieurs sortes de groupes dans le cadre de différents styles musicaux, il avait toujours continué de jouer du jazz. Après avoir joué avec le Beijing Trio, avec le pianiste Jon Jang et le joueur d’erhu (une guitare à deux cordes orientale) Jeibing Chen, Roach avait enregistré un dernier disque avec le trompettiste Clark Terry. Amis de longue date, Roach et Terry Ils avaient souvent travaillé ensemble, tant en duo qu’en quartet. Roach avait livré sa dernière performance publique lors du 50e anniversaire du concert de Massey Hall. En 1994, il avait également collaboré à l’album ‘’Burning for Buddy’’ du batteur Neal Peart de l’ancien groupe de rock progressif Rush.
DÉCÈS ET POSTÉRITÉ
Au début des années 2000, Roach avait dû ralentir ses activités à la suite de problèmes de santé. Atteint de la maladie d’Alzheimer, Max Roach est mort le matin du 16 août 2007 à New York à l’âge de quatre-vingt-trois ans. Roach avait passé ses dernières années au Mill Basin Sunrise à Brooklyn. Il laissait dans le deuil cinq enfants: deux garçons (Daryl et Raoul) et trois filles (Maxine, Ayo et Dara). Roach avait quatre petits-enfants: Kyle Maxwell Roach, Kadar Elijah Roach, Maxe Samiko Hinds et Skye Sophia Sheffield. Son gendre Fab Five Freddy, un pionnier du hip hop, était réalisateur et artiste. Souvent comparé à Art Blakey dans le cadre des concours couronnant le meilleur batteur, Max Roach avait été un des musiciens les plus innovateurs de l’histoire du jazz.
Plus de 1900 personnes avaient assisté aux funérailles de Roach à l’église Riverside le 24 août 2007. Roach a été inhumé au cimetière Woodlawn dans le Bronx. Dans son hommage funéraire, le lieutenant-gouverneur de l’État de New York, David Paterson, avait comparé le courage de Roach à celui de héros comme Paul Robeson, Harriet Tubman et Malcolm X. Paterson avait déclaré: ‘’No one ever wrote a bad thing about Max Roach's music or his aura until 1960, when he and Charlie Mingus protested the practices of the Newport Jazz Festival."
Roach s’est marié trois fois. Roach avait épousé sa première femme Mildred en 1949. Roach avait eu deux enfants avec Mildred, un fils, Daryl Keith, et une fille, Maxine. En 1956, Roach avait rencontré la chanteuse Barbara Jai Johnson qui lui avait donné un autre fils, Raoul Jordu. Le couple ne semble jamais avoir été marié. De 1962 à 1970, Roach avait été marié à la chanteuse Anne Marie ‘’Abbey’’ Lincoln, qui l’avait accompagné sur plusieurs de ses albums. En 1971, la troisième épouse de Roach, Janus Adams Roach, avait donné naissance à deux jumelles, Ayodele Nieyela et Dara Rashida. Sur le plan religieux, Roach s’identifiait lui-même comme musulman depuis une entrevue qu’il avait accordée à Art Taylor au début des années 1970.
Le batteur Stan Levey avait un jour décrit l’importance de Roach en affirmant: "I came to realize that, because of him, drumming no longer was just time, it was music." En 1966, sur son album intitulé ‘’Drums Unlimited’’ (qui comprenait quelques pièces qui étaient entièrement composées de solos de batterie), Roach avait fait de la batterie un instrument à part entière en démontrant que celle-ci pouvait être utilisée comme un instrument solo capable d’exécuter des thèmes, des variations et des phrases rythmiques cohérentes. Roach décrivait d’ailleurs lui-même sa conception de la musique comme une ‘’création de son organisé.’’
Max Roach a remporté plusieurs prix et récompenses au cours de sa carrière. En 1988, Roach avait décroché une bourse de la MacArthur Foundation, devenant ainsi le premier musicien de jazz à recevoir cet honneur. Roach avait été élu Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres de France l’année suivante. Roach a aussi été nommé Jazz Master par la National Endowment of the Arts en 1984. En plus d’avoir remporté à deux reprises le Grand Prix du Disque de France, Roach a été admis au temple de la Renommée de l’International Percussive Art Society ainsi qu’au Down Beat Hall of Fame. Roach a également été intronisé au sein du North Carolina Music Hall of Fame en 2009. Roach avait aussi été nommé ‘’Jazz Master’’ par l’Université Harvard.
Roach était également récipiendaire de huit doctorats honorifiques. En 1986, la paroisse de Lambeth à Londres en Angleterre avait nommé un parc en l’honneur de Roach. Le batteur avait d’ailleus inauguré le parc lui-même en mars de la même année à l’invitation du Greater London Council. Lors de ce voyage, Roach s’était produit en concert au Royal Albert Hall avec le batteur ghanéen Ghanaba et plusieurs autres.
c- 2023, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES :
KEEPNEWS, Peter. ‘’Max Roach, a Founder of Modern Jazz, Dies at 83.’’ New York Times, 16 août 2007. ’Max Roach.’’ Wikipedia, 2022. ‘’Max Roach.’’ Encyclopaedia Britannica, 2022. ‘’Max Roach.’’ National Endowment for the Arts, 2023. ‘’Max Roach Biography.’’ Net Industries, 2023. ‘’Roach, Max.’’ Encyclopedia.com, 18 mai 2018.
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marciamattos · 11 months
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Photo de Georges Malkine de Man Ray.
Georges Alexandre Malkine est un peintre et un acteur français, né le 10 octobre 1898 à Paris 5e, ville où il est mort le 22 mars 1970 (dans le 4e arrondissement).
Lié au premier groupe surréaliste, ami de Robert Desnos, d'André Masson, de Max Morise, Georges Malkine est le seul peintre à figurer sur la liste du Manifeste du surréalisme de 1924. Pour la revue La Révolution surréaliste, il dessine l'emblème qui figure sur le papier à lettres de la R.S.. En 1927, il expose, avec succès, à la galerie Surréaliste. Mais cette reconnaissance le déconcerte. Il quitte alors la France, part pour l'Océanie, en compagnie de son ami le peintre et photographe Émile Savitry et d'une Canadienne: Yvette Ledoux que celui-ci vient de rencontrer. La belle finit par jeter son dévolu sur Malkine et Savitry poursuit seul son voyage. Malkine revient à Paris en 1930. Il donne trois illustrations à Desnos pour son poème The Night of Loveless Nights.
Il cesse toute expression plastique en 1933. Il ne reprend la peinture qu'en 1946, d'abord à Paris puis aux États-Unis où il reste pendant 20 ans. Revenu à Paris, il expose de nouveau, en 1966, une semaine après la mort d'André Breton. L'exposition est conçue en tant qu'hommage à Malkine et réunit Louis Aragon, Jacques Baron, Simone Collinet, Max Ernst, André Masson et Jacques Prévert. Aragon : « [Malkine] inventa cette sorte de baiser florentin : l'abstraction sans le dire. »
Malkine fut également acteur de théâtre dans la troupe de Michel de Ré, acteur de cinéma, violoniste, photographe, correcteur d'imprimerie, monteur de manèges, plongeur à bord d'un navire... Il a écrit quelques textes surréalistes pour la R.S. et un roman paru en 1977.
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Dune 2 - Deuxième partie
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** DERNIÈRE MISE À JOUR : 28 Février 2024 **
Synopsis Dans DUNE : DEUXIÈME PARTIE, Paul Atreides s’unit à Chani et aux Fremen pour mener la révolte contre ceux qui ont anéanti sa famille. Hanté par de sombres prémonitions, il se trouve confronté au plus grand des dilemmes : choisir entre l’amour de sa vie et le destin de l’univers.
Dune 2
28 février 2024 en salle | 2h 46min | Drame, Science Fiction
De Denis Villeneuve| Par Denis Villeneuve, Jon Spaihts
Avec Timothée Chalamet, Zendaya, Rebecca Ferguson
Titre original Dune: Part Two
en ligne gratuitement sur 123movies & Reddit, y compris où regarder le film d'Universal Pictures à la maison. Est-ce qu'Dune 2 2 est la voie
de Water 2024 disponible en streaming ? Est en train de regarder Dune 2 2 The Way of Water r sur Disney Plus, HBO Max, Netflix ou Amazon
Prime? Oui, nous avons trouvé une option / un service de streaming authentique. Détails sur la façon dont vous pouvez regarder Buzz Dune 2 2 The Way
d'eau gratuite tout au long de l'année sont décrites ci-dessous. maintenant
Un week-end d'ouverture élevé pour Dune 2 serait un bon début pour la suite au box-office. Le
l'ouverture annoncée de 135 millions de dollars signifierait que le suivi fera en un week-end ce qu'il a fallu au premier film de James Cameron un
semaine complète à gagner. Cependant, le box-office d'Dune 2 2 aura toujours du mal à battre l'original. La magie de
L'improbable course au box-office d'Dune 2 est l'incroyable bouche à oreille du film et les visionnements répétés qui ont aidé à garder le
film pertinent et en salles pendant 234 jours. C'est du jamais vu de nos jours, même pour les plus grands films. Pour référence,
Dune 2 a dépassé 161 jours cette année.
Nouvel Dune 2 à long terme: Les projections au box-office du week-end d'ouverture de The Way of Water font que la suite double presque James
Le premier film de Cameron. Le film de science-fiction original de 2009 a battu toutes sortes de records au box-office pour devenir le
film le plus rentable de tous les temps. L'incroyable succès d'Dune 2 au box-office a à son tour attiré beaucoup d'attention sur
combien d'argent va gagner Dune 2 2. Même si personne ne s'attend à ce que la suite dépasse les 2,9 milliards de dollars d'Dune 2 dans le monde
transport, le gros budget du film et l'investissement de Disney dans l'avenir de la franchise signifient qu'il y a une certaine pression sur
Le film concerne Alice (Florence Pugh), une femme au foyer qui vit dans le bonheur conjugal avec son mari, Jack (Harry Styles),
dans une ville des années 1950 appelée Victory dans le désert californien. Le terrain appartient à l'employeur de Jack, le Victory Project,
qui a amené son personnel et leurs conjoints à vivre dans cette oasis de pelouses irriguées et entretenues tout en travaillant sur
projets d'ingénierie top-secrets. Tous les matins, Jack part au travail l'estomac plein d'un petit-déjeuner parfait
et revient ce soir-là dîner sur la table et sa femme rayonnante le supplie de faire l'amour.
Dès le départ, il est clair que quelque chose ne va pas dans l'utopisme et les habitants suburbains brillants et hyperréalistes de Victory.
Mais Wilde ne prend pas la peine d'essayer d'aggraver un sentiment de malaise, car le film est des visions installucinatoires qui surprennent
Alice hors de son bonheur, et la seule femme noire de Don't Worry Darling avec un dialogue, Margaret (KiKi Layne), donne un
avertissement précoce que tout va mal avec un discours terrifié qui est pratiquement une copie miroir de LaKeith
L'explosion pétrifiée de Stanfield dans le film de Jordan Peele. sadasa d sadasd
Super Mario Bros, Dune 2 est-il maintenant disponible en streaming ? Regarde, Dune 2 sur Disney Plus, HBO Max,
Netflix ou Amazon Prime ? Oui, nous avons trouvé une option/un service de streaming authentique écrit par Katie Silberman. vie
avec son mari dans une communauté expérimentale utopique commence à s'inquiéter que sa compagnie glamour puisse se cacher
secrets troublants.
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Hola !
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Pas grand chose à dire sur cette journée, à part que je suis arrivée sur Huaraz ! (A 4h30 ce matin au lieu de 7h, ça piiiiiiique) Apres m'être fait adopter par cette petite mère qui se roulait en boule sur le trottoir à mes pieds en me regardant, se relevait, et se rejetait à mes pieds, je suis partie organiser un peu les prochains jours ...
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J'ai fait le tour de plusieurs agences, et me suis finalement décidée : je pars faire le trek du Huayhuash en compagnie de Liliane et son mari (dont j'ai déjà oublié le nom, shame), avec un guide, pour 8 jours ! Ils viennent de faire un autre grand trek avec lui et sont ravis, ça me donne confiance
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Au aura des mules pour porter le plus gros des affaires (notamment les tentes et la nourriture), un muletier pour s'occuper d'elles, un cheval de secours pour redescendre en urgence dans la vallée en cas de souci, une bouteille d'oxygène en cas de mal des montagnes prononcé, et notre guide fait même cuisinier ! Quel luxe ...
Du coup, j'en ai aussi profité pour m'acheter une paire de grosses chaussettes (de Noël, c'est tout ce que j'ai trouvé dans le pays de la laine de lama, quelle honte!) et une polaire en plus, ça descend quand même jusqu'à -10 la nuit 😅 Et vu qu'on passera 8 jours entre 4000 et 5000m d'altitude (on dort à 4500m max je crois), demain c'est rando d'acclimatation :)
Voilaaaa, bizouuuuux
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guerrerense · 1 year
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Dakota, Doryphore, Babazou - un dinosaure diesel français por Jean-Marc Frybourg Por Flickr: L'association APPMF basée à Gièvres vient de terminer la restauration de la CC-65512. C'est une locomotive diesel-électrique mise en service en mai 1956 et construite par CAFL (Compagnie des Ateliers et Forges de la Loire, à Saint-Chamond), CEM (Compagnie Electro-Mécanique) et Sulzer pour le moteur diesel. Les cheminots ont donné divers surnoms à cette série d'engins: Dakota (le plus fréquemment utilisé), Doryphore, et Babazou. Ce dernier surnom fait sans doute référence au bruit caractéristique du moteur diesel, lent et particulièrement bruyant (puissance 1600 ch., maxi 710 tr/min). Après sa radiation de la SNCF en février 1983, elle a été rachetée par la compagnie de travaux ferroviaires TSO (Travaux du Sud-Ouest). En fin de vie, TSO l'a donnée à l'APPMF pour préservation à titre historique. Le 13 août 2023, elle effectuait sa première sortie, pour faire un train d'essais de Vierzon à Tours et retour à Gièvres. Sur la photo, la machine se rend haut-le-pied de Gièvres à Vierzon où elle va rejoindre la rame d'essais. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - The APPMF association based in Gièvres has just finished restoring the CC-65512. This diesel-electric locomotive was entered service in May 1956. It was built by CAFL (Compagnie des Ateliers et Forges de la Loire, in Saint-Chamond), CEM (Compagnie Electro-Mécanique) and Sulzer for the prime mover. Railroaders gave this series of locomotives various nicknames: Dakota (the most frequently used), Babazou, and Doryphore (potato beetle, aka Leptinotarsa decemlineata). This Babazou and Dakota nicknames probably refer to the characteristic noise of the slow (710 rpm max) and particularly noisy diesel engine (power 1600 hp). After being withdrawn from the SNCF service in February 1983, it was bought by the rail works company TSO (Travaux du Sud-Ouest). At the end of her life, TSO gave her to the APPMF for historical preservation. On 13 August 2023, it made its first trip on a test train from Vierzon to Tours and back to Gièvres. On the picture, the engine is moving light from Gièvres to Vierzon, where it will join the test train. Photo JM Frybourg 230813-8007
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if-you-fan-a-fire · 1 year
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"H. Tucker a refusé dě trahir," La Patrie. October 5, 1933. Page 3 & 11. ---- Celui qui lui procurait les narcotiques. - Il accuse Feigenbaum et défend Davis. Les secrets de Bordeaux. ---- La défense a, ce matin, commencé, en cour du bane du roi, à faire t’entendre ses témoins à décharge, dans la cause de Harry Davis, accusé d'avoir conspiré pour importer au-delà de $200,000 de narcotiques au Canada, au Cours de l'année 1330.
Le procès tire à sa fin. On attend un verdict cet après-midi, ou demain matin.
Le premier témoin eat Max Shapiro, 42 ans, tenancier d'un "bookie", bookie à 1403, rue Peel, Il est Intéressé dans te White House Inn de Lachine. Le cinq septembre 1930, Pincus Brescher de New- York, qu'll connaissait depuis un an, vint lui demander d'envoyer, par l'entremise de la banque Koyale, succursale de la rue Stanley la somme de $10.000 à Polakowitz, à Paris. Il le fit sans savoir d'on venait cet argent.
Jamais il ne reçut d'argent de Davis, pour des drogues. Il connaît Feigenbaum qui venait souvent le visiter au White House Inn. I jure n'avoir jamais vu Davis, Charles Feigenbaum et Brescher, "en conférence".
A une question de la couronne, il répond qu'il a déjà été arrêté, et purgea une sentence de trois ans, à Toledo, en 1931. Il venait d'être trouvé coupable qu'il s'échappa, et perdit son cautionne ment de $5.000.
Quelle était l’accusation, lut demande-t-on.
-De contrebande de liqueurs alcooliques.
- Il devait y en avoir beaucoup pour que l'on exigeât un cautiounement de $5.000.
- Rien qu'un camion de whiskey!
Le notaire Samuel Caplan. 10. ouest, rue Saint-Jacques, est ensuite appelé, et jure qu'il a vu Bezumny venir à son bureau en 1930, signer un affidavit. Bezumny, on s'en souvient, affirma lo contraire.
SENSATION Vient ensuite un témoin sensationnel. Harry Tucker, 32 ans. 1146. rue Mansfield, qui se dit commis chez un "bookie", rue Mansfield.
Il fut condamné avec Arcadi, pour contrebande de drogues, il y a quelque temps. Il connaît Davis l'accusé depuis sept ans.
- Le kilo de morphine que vous avez vendu à la R.C.M.P., sans le savoir, d'où venait-il? Je refuse de répondre.
- Venait-il de Davis?
- Certainement non.
- De qui alors?
- Celui qui me l'a fourni est maintenant "amendé" et je ne le trahirai certainement pas.
- Arcadi sait-il où vous avez pris les drogues?
- Non monsieur.
Tucker explique ensuite la transaction qu'il eut en compagnie d'Arcadi, avec le sergent détective W. C. Black, de la gendarmerie royale transaction à in fin de laquelle il fut arrêté, le 11 octobre 1930.
- Connaissez-vous Charies Feigenbaum?
- Oui.
- On l'avez-vous rencontré?
- A la prison de Bordeaux.
- Comment çà?
- Vous savez on ne dort pas à Bordeaux. Une bonne nuit, Feigenbaum et moi avons joué aux cartes, Soudain, il s'est excité (got hot), et m'a demandé si je voulais sortir de prison. En voila une question à demander, qu'en pensez-vous?
- Est-ce tout ce qu'il vous a dit?
- Non, il ajouta qu'il voulait "caler" deux hommes, Davis, et un autre, et les faire incarcérer pour la vie. Pourquoi?
- Parce qu'ils lui devaient une cinquantaine de dollars. -Qu'avez-vous fait?
- Je l'ai giflé.
- L'avez-vous rencontré de nouveau.
- Oui encore à la "synagogue" de la prison?
- Y alliez-vous souvent à la "synagogue"?
- Ce sont les seules fois que il y a mis les pieds?
- Vous a-t-il demandé où vous prennes votre "marchandise"?
- Oui, et je n'ai pas voulu le lut dire.
- Ouvous a-t-il répondu?
- Il m'a dit: je dols sortir dans une semaine, si tu changes d'idée, va voir ma femme, qui lent une épicerie à l'angle des rues Saint-Urbain et Milton, et elle communiquera avec mol.
- Qu'auriez-vous fait alors?
- Chez ses parents, dans le Tennes
- Il voulait ensuite m'envoyer ici, où j'aurais été en sécurité.
- Avez-vous accepté?
- Je lui al dit que j'y penserais.
- L'avez-vous giflé encore?
- C'est trop dangereux à la prison.
- Connaissez-vous un autre prisonnier du nom de McGruden?
- Oui. Il tenta lui aussi de me "pomper", d'obtenir des renseignements sur mes sources de revenus.
- Le lui avez-vous dit?
--Il n'y a pas de danger.
- Arcadi vous avait-il offert de l'argent pour vos renseignements?
- Oui.
- $1,000. Il payait en plus mes frais d'avocats. Je recevais une sentence de six mois, et il était libre.
-Comment ça ?
- J'étais l'anneau qui manquait à la conspiration qu'il voulait fomenter contre Davis, en voulant me faire affirmer devant les tribunaux, que j'avais obtenu les drogues de lui.
- Vous avez dit tout à l'heure, continue le procureur de la couronne, que vous n'alliez à la "synagogue" que lorsque vous étiez en prison. Croyez-vous à la religion juive?
- Comme et, comme ça.
- Croyez-vous à l'ancien testament.
- Où voulez vous en venir. Je vous dit que j'y crois relativement. Je dis mes prières tous les soirs. Est-ce que cela vous va?
- Avez-vous reçu la visite de Davis à la prison?
- Je ne m'en souviens pas.
- Comment ça ?
- Je le connais depuis sept ans. et s'il est venu me voir, je vous assure qu'il est bougrement changé, depuis.
HARRY DAVIS La défense fait alors demander Harry Davis, l'accusé, dans la bol-i te aux témoins.
Davis qui se dit âgé de 34 ans a été condamné une seule fols dans sa vie, en février 1925, à six mois de prison, pour avoir été trouvé en possession de narcotiques.
Il jure qu'il ne s'est aucunement occupé de drogues depuis lors.
-Que faisiez-vous en 1930?
- J'avais des intérêts dans le cabaret Frolics, ouvert à la fin de 1929, rue Saint-Laurent.
- Connaissiez-vous alors Pincus Brescher?
-Non je l'ai rencontré pour la première fois en 1931.
- Aviez-vous un compte de banque?
- Oui, à la banque Royale, succursale angle des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent.
- L'avez-vous encore ?
- Certainement.
SEANCE D'HIER APRES-MIDI La séance d'hier apris-midi, à la Cour du bane du roi, a été consacré à retracer certains appels téléphoniques que l'on dit reliés à la cruse de Davis, et à déchiffrer des télégrammes secrets. A la fin de la session, la couronne déclara close sa preuve.
Les appels téléphoniques en question auraient été faite d'Olinville. New-York, à plusieurs per sonnes de Montréal, supposées être mêlées à l'organisation de narcotiques de Davis. Ces appois furent faits par Pincus Brescher, qui, dit-on, était l'agent new-yorkais de la bande.
Quant au troisième chef de la bande, Jack Pollakowitz, recherché par la police, actuellement, iil recevait des télégrammes chiffrés, à l'hôtel Grand, Paris.
Un employé local de la Bell Telephone déclara que le téléphone au White House Inn, de Lachine était enregistré sous le notice de Charles Feigenbaum, présentement incarcéré au pénitencier.
Durant 1930, a-t-il aussi été établit, un nommé Herman Finoberg. supposé représentant de Pollakowitz, toucha à Paris, des sommes se totalisant à environ $50,000.
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toutmontbeliard-com · 5 months
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Equi Axone à l’Axone de Montbéliard
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L’association Equi Axone vous donne rendez-vous à l’Axone de Montbéliard du samedi 18 mai 2024 au lundi 20 mai 2024 pour 3 jours de spectacles équestres époustouflants. Vous aurez le plaisir de retrouver, lors de plusieurs représentations, Guillaume Mauvais - Les Comtois en Folie, originaires de Maîche (25) et la Compagnie Christophe et Max Hasta Luego tout droit venue de Nîmes (30). Des voltigeurs intrépides aux cascades à couper le souffle, en passant par des démonstrations de dressage combinées à l’art du théâtre, ne manquez pas ces rendez-vous magiques Equi Axone à l’Axone de Montbéliard du samedi 18 mai 2024 au lundi 20 mai 2024. infos > www.axone-montbeliard.fr Read the full article
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latribune · 6 months
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monsieurhihat · 7 months
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049 Les sublunaires - Cahier 5 : Max #9
L'avant-dernier épisode des Sublunaires est en ligne. Plus qu'une semaine avant le dénouement. Nous retrouvons notre Joseph parti en balade sans but en pleine nuit et dans un crachin qui vire à la pluie en compagnie de Mère son tamagotchi à roulette qui a le moral en berne. Un petit tour en ville, dans les vestiges de la vie d'avant, et sans personne autour, il y a peu de chance que ça mette du baume au cœur à qui que ce soit, mais "quand on est à court de solutions, le mieux c'est de tourner en rond", c'est la devise de Joseph Ariel depuis la lune rouge.
Bon épisode.
#Seror #villeurbanneGratteciel #Sojac #aquarelle #watercolor #RomanNoir #Fiction #Novel #oujoporama #Sublunaires #Comics #SF #Booktube #Podcast #Feuilleton #CoolLibri #Amazon #KDP #Vlog #Illustrations #Lectures #Postit #SalesRomances #VaninaAhAh
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reillyfrench102 · 8 months
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Je m'appelle Reilly!
Bonjour! Je m'appelle Reilly, je suis de Wake Forest. Je edtudie English a UNCG. Dans ma famille, il ya cinq. Nous avons cinq l'animal de compagnie, tois chein, et deux le chat. Ma chiens s'appelle, Oliver, Guninevere, et Max. Ma chat a'appelle Bander, et Boro.
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
HANK MOBLEY, ‘’CHAMPION POIDS MOYEN DU SAXOPHONE TÉNOR’’
‘’It’s hard for me to think of what could be and what should have been."
- Hank Mobley
Né le 7 juillet 1930 à Eastman en Georgie, Henry ‘’Hank’’ Mobley a grandi à Elizabeth, près de Newark au New Jersey. Issu d’une famille de musiciens, Mobley avait un oncle qui jouait dans un groupe de jazz.
Mobley était enfant lorsqu’il avait appris le piano. À l’âge de seize ans, Mobley était tombé malade, ce qui l’avait forcé à rester à la maison durant des mois. Afin d’occuper son temps, son oncle, le multi-instrumentiste Dave Mobley, lui avait acheté un saxophone et c’est à ce moment-là qu’il avait commencé à jouer. Mobley avait tenté d’entrer dans une des écoles de musique de Newark, mais on avait refusé sa candidature, car il n’était pas un résident de la ville. Mobley décida donc avait donc décidé d’apprendre la musique en autodidacte. Parmi ses premières influences, on remarquait Charlie Parker, Sonny Stitt, Don Byas, Dexter Gordon et Lester Young. FONDATION DES JAZZ MESSENGERS À l’âge de dix-neuf ans, après avoir été recruté par le pianiste Paul Gayten (sur la recommandation du trompettiste Clifford Brown), Mobley avait commencé à jouer dans des groupes locaux de rhythm n’ blues. Gayten expliquait: “Hank was beautiful, he played alto, tenor and baritone and did a lot of the writing. He took care of business and I could leave things up to him.” En 1951, Mobley s’était joint au groupe-maison d’un club de Newark où il avait joué en compagnie du pianiste Walter Davis Jr. Mobley avait aussi continué de se produire dans sa région d’origine, en accompagnant des musiciens comme Milt Jackson, Tadd Dameron et J.J. Johnson. Mobley était tellement talentueux que quelques mois plus tard, il avait fait ses débuts avec le batteur Max Roach. C’est d’ailleurs Roach qui avait pris Mobley sous son aile lors de ses débuts à New York en 1951. Au cours des deux années suivantes, Mobley avait commencé à composer et à enregistrer ses propres pièces. Il était même devenu membre de l’orchestre de Duke Ellington (en remplacement de Jimmy Hamilton) et de plusieurs groupes de R&B au cours de la même période. Lorsque Charlie Parker avait entendu Mobley jouer, il lui avait conseillé de s’inspirer davantage du blues. Mobley expliquait:
‘’I played with Parker a lot of times, and he told me a lot of things. To a young person he would’t say much, but what he said meant a whole lot. He didn’t say, ‘Practice these scales, do this or do that - he just said, ‘Baby, you’d better learn those blues; can’t play enough of the blues.’’’ En avril 1953, Max Roach avait invité Mobley à participer à une de ses sessions d’enregistrement. Le résultat de cette collaboration peut être observé dans l’album intitulé ‘’The Max Roach Quartet featuring Hank Mobley.’’ Le saxophoniste avait joué sur deux autres enregistrements de Roach en 1957 et 1958.
Peu après avoir collaboré avec Roach, Mobley avait commencé à travailler régulièrement avec un autre batteur qui dirigeait ses propres formations, Art Blakey. Mobley avait également participé à une des premières sessions de hard bop avec le pianiste Horace Silver, le contrebassiste Doug Watkins et le trompettiste Kenny Dorham. Cette session d’enregistrement avait donné lieu à la publication d’un album intitulé ‘’Horace Silver and the Jazz Messengers.’’ Il s’agissait de l’acte de naissance des Jazz Messengers, qui étaient à l’époque un collectif qui enregistrait tantôt sous le nom de Silver et tantôt sous celui de Blakey.
Après avoir passé la majeure partie de l’année 1954 à enregistrer et à jouer avec Dizzy Gillespie, Mobley s’était joint au quartet d’Horace Silver au Minton’s Playhouse. Mobley avait également participé à l’enregistrement de l’album live des Messengers intitulé ‘’At the Cafe Bohemia’’, ainsi qu’à l’album studio ‘’The Jazz Messengers.’’
En 1955, Mobley avait eu recours à la section rythmique des Messengers pour l’enregistrement de son premier album solo sur l’étiquette Blue Note, intitulé ‘’Hank Mobley Quartet.’’
Lorsqu’une nouvelle mouture des Jazz Messengers avait été mise en place en 1956, Mobley avait continué de jouer avec Silver durant un bref laps de temps, participant notamment à l’enregistrement des albums ‘’Silver’s Blue’’, ‘’6 Pieces of Silver’’ et ‘’The Stylings of Silver.’’ Au printemps et à l’été de 1959, Mobley avait de nouveau réintégré les Jazz Messengers (à l’époque, le groupe n’était plus un collectif et était devenu le groupe de Blakey). Mobley avait également invité Blakey à participer è l’enregistrement deux de ses albums pour Blue Note en 1960. LES ANNÉES BLUE NOTE Dans la seconde moitié des années 1950, Mobley avait enregistré régulièrement pour les disques Blue Note, avec qui il avait enregistré plus de vingt albums de 1955 à 1970.
Plusieurs musiciens de talent avaient participé aux enregistrements de Mobley, dont Lee Morgan, Donald Byrd, Art Farmer, Kenny Dorham, Jackie McLean, Pepper Adams, Milt Jackson, Sonny Clark, Bobby Timmons, Herbie Hancock, Wynton Kelly, Paul Chambers et Philly Joe Jones. L’ancienne section rythmique des Jazz Messengers formée d’Horace Silver, Art Blakey et Doug Watkins avait également collaboré à l’enregistrement des albums ‘’Hank Mobley and His All Stars’’ et ‘’Hank Mobley Quintet.’’
En 1958, Mobley avait accompagné le batteur Max Roach sur trois pièces de son album intitulé ‘’The Max Roach 4 Plays Charlie Parker’’, formé exclusivement de compositions de Bird. Le pianiste Kenny Dorham, le saxophoniste George Coleman et les contrebassistes George Morrow et Nelson Boyd avaient aussi participé à l’enregistrement.
En mars 1959, Mobley avait de nouveau rejoint les Jazz Messengers pour enregistrer les albums ‘’At the Jazz Corner of the World’’ et ‘’Justin Coolin’’ (ce dernier album n’avait été publié qu’en 2020). À la même époque, Mobley et Blakey s’étaient également retrouvés dans le cadre de l’enregistrement d’un album de Sonny Clark qui avait été publié pour la première fois en 1979 sous le titre de ’’My Conception.’’ À l’été 1959, Mobley avait de nouveau fait équipe avec les Jazz Messengers dans le cadre d’un concert au festival de jazz de Newport, mais il avait quitté le groupe peu après. Il avait été remplacé par Wayne Shorter.
Dans les années 1960, Mobley avait travaillé principalement comme leader de ses propres formations. Mobley avait continué d’enregistrer avec les disques Blue Note jusqu’en 1970. Parmi les albums enregistrés par Mobley au cours de cette période, on comptait ‘’Soul Station’’ (1960), qui est généralement considéré comme le meilleur de toute sa carrière, ainsi que ‘’Roll Call’’ (1960). Les deux albums mettaient en vedette Art Blakey à la batterie. Il s’agissait de la dernière collaboration de Mobley avec Blakey.
À cette époque, Mobley avait également collaboré avec de grandes vedettes du bop et du hard bop comme Grant Green, Freddie Hubbard, Sonny Clark, Wynton Kelly et Philly Joe Jones. Au cours de cette période, Mobley avait aussi développé un partenariat pour le moins productif avec le trompettiste Lee Morgan. En plus d’apparaître sur leurs albums respectifs, les deux musiciens avaient collaboré dans le cadre l’album de Johnny Griffin intitulé ‘’A Blowin’ Session.’’
Durant une courte période, Mobley avait aussi été membre du groupe de Miles Davis en 1961. À l’époque, Davis se cherchait un saxophoniste ténor afin de prendre la relève de John Coltrane. On peut entendre Mobley sur deux pièces de l’album ‘’Someday My Prince Will Come’’ en compagnie de Coltrane, ainsi que sur les albums live ‘’In Person: Live at the Blackhawk’’ et ‘’At Carnegie Hall.’’ Le magazine Jazz Times avait écrit qu’à l’époque où il avait joué avec Davis, Mobley avait retravaillé son jeu afin d’adopter une tonalité plus rauque.
La collaboration de Mobley avec Davis ayant été plutôt orageuse, le saxophoniste avait décidé de quitter le groupe en 1962.
Mobley était sorti frustré de sa collaboration avec Davis. Comme il l’avait expliqué en 1973 dans une entrevue accordée à John Litweiler, ‘’When I left Miles, I was so tired of music, the whole world, man, I just went back to drugs.” Mobley reconnaissait cependant un mérite à Davis: “Miles pulled my coat to a few things. He suggested just straight ahead, hit every note on the head. . .  Every time you try to get an idea across, you don’t labor, play behind the beat, or anything like that; you hit it, and bring something out of it.” La musique que Mobley avait enregistrée à partir de 1963 reflétait cette nouvelle approche.
En 1961, Mobley avait enregistré deux autres albums en solo, ‘’Workout’’ et ‘’Another Workout’’, même si ce dernier n’avait été qu’en 1985. Les deux albums mettaient en vedette une section rythmique composée de Wynton Kelly, Paul Chambers et Philly Joe Jones. Les trois musiciens avaient fait partie des groupes de Davis jusqu’à la fin des années 1950. Le retard de publication de l’album ‘’Another Workout’’ avait été qualifié d’’’incompréhensible’’ par le producteur Michael Cuscuna. Le personnel de l’album ‘’Workout’’ comprenait le guitariste Grant Green, le pianiste Wynton Kelly, le contrebassiste Paul Chambers et le batteur Philly Jo Jones. Quant à l’album ‘’Another Workout’’, il comprenait les mêmes musiciens, à l’exception de Green.
En 1964, Mobley avait enregistré l’album ‘’No Room for Squares’’. Mobley avait récidivé l’année suivante en enregistrant l’album ‘’A Caddy for Daddy.’’ Au milieu des années 1960, Mobley, Lee Morgan et le pianiste Harold Mabern avait enregistré l’album ‘’Dippin’’’ en un seul jour. Selon le critique Samuel Chell, ‘’No Room for Squares’’ était ‘’the first session on which [Mobley] would begin to sacrifice lyric inspiration and subtlety of phrasing to a harder sound and stiffer rhythmic approach."
En 1964, Mobley, qui avait continuer d’éprouver des problèmes de dépendance, avait été de nouveau emprisonné pour possession de narcotiques. Mobley, qui avait développé une dépendance à l’héroine à la fin des années 1950, avait été incarcéré pour la première fois en 1958. Il avait continué de lutter contre sa dépendance durant toutes les années 1960.
Pendant son séjour en prison en 1964, Mobley avait composé des pièces qui avaient été enregistrées deux ans plus tard sur l’album ‘’A Slice of the Top’’, mais le disque n’avait été publié qu’en 1979. La popularité des albums de Mobley avait diminué au milieu des années 1960, même s’il avait continué d’enregistrer régulièrement. Trois albums enregistrés du milieu à la fin des années 1960 avaient été particulièrement acclamés par la critique: ‘’A Caddy for Daddy’’, ‘’Hi Voltage’’ et ‘’The Flip.’’ À l’exception de l’album ‘’Reach Out !’’ enregistré à la fin des années 1960, Mobley avait toujours évité de frayer avec le free jazz et le jazz rock qui étaient en vogue à cette époque.
En 1967, Mobley avait fait une brève tournée en Europe avec le tromboniste Slide Hampton.
DERNIÈRES ANNÉES
L’un des derniers albums de Mobley, intitulé ‘’Breakthrough !’’, a été enregistré en 1972 avec le saxophoniste baryton Charles Davis, le pianiste Cedar Walton, le contrebassiste Sam Jones et le batteur Billy Higgins. Déçu, le critique Scott Yanow avait même écrit que la parution de l’album annonçait la fin de la carrière de Mobley. .
En 1973, peu avant de prendre sa retraite, Mobley avait commencé à collaborer avec le pianiste de free jazz Muhal Richard Abrams, même si les deux musiciens n’avaient jamais enregistré ensemble. Après avoir pris une demi-retraite, Mobley s’était associé au pianiste Tete Monteniu pour enregistrer le standard de jazz ‘’Autumn Leaves.’’ La pièce figure sur l’album ‘’I Wanna Talk About You’’, publié en 1980. En 1979, dans une entrevue accordée à John Litweiler, Mobley avait reconnu: ‘’It’s hard for me to think of what could be and what should have been." Mobrey avait fait une de ses dernières apparitions publiques lors du Blue Note Town Hall concert en 1985.
  Fumeur de longue date, Mobley avait été obligé de prendre sa retraite en 1975 à la suite de difficultés pulmonaires. Au début des années 1980, il était devenu pratiquement invalide.
Personnalité solitaire, Mobley était tombé dans la pauvreté à la fin de sa vie. Oublié et abandonné de tous, il n’avait même plus de domicile fixe.
Malgré ses problèmes de santé, Mobley avait trouvé suffisamment d’énergie pour accepter deux contrats au club Angry Squire de New York les 22 et 23 novembre 1985 et le 11 janvier 1986. Il était accompagné du pianiste Duke Jordan et de la chanteuse Lodi Carr.
Hank Mobley est mort de pneumonie à Philadelphie le 30 mai 1986. Il souffrait aussi d’un cancer des poumons. Il était âgé de cinquante-cinq ans.
En 2020, les disques Mosaic ont publié un coffret de huit albums comprenant la totalité des enregistrements de Mobley sur étiquette Blue Note. Le coffret était intitulé ‘’The Complete Hank Mobley Blue Note Sessions 1963-70.’’ Le fait que Mobley n’était pas une aussi grande vedette du jazz que Coltrane ou Miles Davis avait parfois nui à la diffusion et à la qualité de sa musique. Le magazine GQ avait même déclaré que douze des albums de Mobley pour Blue Note avaient été publiés précipitamment (souvent sans bénéficier d’un mixage adéquat) au grand mécontentement du saxophoniste. Mobley avait d’ailleurs reconnu lui-même que Blue Note exerçait souvent des pressions indues pour qu’il sorte ses albums au plus vite, ce qui l’avait parfois incité à ne pas les mener à terme plutôt que de bâcler le travail. De nombreux albums de Mobley ont d’ailleurs été publiés plusieurs années après leur enregistrement Par exemple, l’album ‘’Poppin’’’, qui avait été enregistré en 1957, n’avait été publié que vingt-trois ans plus tard.
Mobley ne mâchait pas ses mots lorsqu’il parlait de sa collaboration avec Blue Note. Il expliquait: ‘’I'm tired of people saying, “Do a record date,” and you go through all the effort, you write something good that should be heard, and they sit on it. What’s the point of it all? I have about five records on the shelf—Blue Note had half the black musicians around New York City, and now the records are just lying around. What they do is just hold it and wait for you to die.’’
En novembre 2020, les studios de Rudy Van Gelder au New Jersey ont rendu hommage à Mobley en lui consacrant leur premier vidéo en diffusion continue. En 2022, le saxophoniste Art Themen avait acheté un saxophone qui avait jadis appartenu à Mobley. Parmi les musiciens que Mobley avait influencés, mentionnons notamment le trompettiste Bruce Harris.
Même s’il n’était pas aussi innovateur que ses contemporains John Coltrane et Sonny Rollins, Hank Mobley était tout aussi unique et sa musique tout aussi personnelle. Pionnier du hard bop, Mobley était reconnu pour sa fluidité mélodique et sa sophistication rythmique. Mobley avait un jour été décrit par le critique Leonard Feather comme ‘’le champion poids moyen du saxophone ténor’’ (une allusion à peine voilée au fait qu’il n’était ni John Coltrane ni Sonny Rollins). Compositeur et soliste talentueux, il était particulièrement réputé pour ses arrangements complexes et imaginatifs.
En 2019, Hank Mobley avait finalement obtenu la reconnaissance qu’il méritait lorsqu’il avait été intronisé au temple de la Renommée du magazine Down Beat plus de trente-trois ans après sa mort. C-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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bgugliel · 11 months
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Arajet, la nouvelle compagnie aérienne des Caraïbes
Mon Carnet, le podcast · {EXTRA} – Arajet, la nouvelle compagnie aérienne des Caraïbes Rencontre avec Nacim Yala, Directeur de la stratégie et du développement commercial de la nouvelle compagnie aérienne des Caraïbes Arajet. Un transporteur qui mise sur une flotte moderne de Boeing 737 MAX 8 et une communication numérique active pour mettre un visage humain à l’expérience Arajet. On apprend…
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toutmontbeliard-com · 8 months
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Equi Axone annoncé à l’Axone de Montbéliard
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L’association Equi Axone vous donne rendez-vous à l’Axone de Montbéliard du samedi 18 mai 2024 au lundi 20 mai 2024 pour 3 jours de spectacles équestres époustouflants. Vous aurez le plaisir de retrouver, lors de plusieurs représentations, Guillaume Mauvais - Les Comtois en Folie, originaires de Maîche (25) et la Compagnie Christophe et Max Hasta Luego tout droit venue de Nîmes (30). Des voltigeurs intrépides aux cascades à couper le souffle, en passant par des démonstrations de dressage combinées à l’art du théâtre, ne manquez pas ces rendez-vous magiques Equi Axone à l’Axone de Montbéliard du samedi 18 mai 2024 au lundi 20 mai 2024. infos > www.axone-montbeliard.fr Read the full article
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steph · 1 year
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Alimentation de nos chats (et chiens): à quel saint se vouer?
J'ai régulièrement des discussions "alimentation" avec des gens que je connais. Voici l'essentiel par écrit.
Modèle du jour: Max, chat parisien Lien perçu entre alimentation et santé Je croise régulièrement parmi mes connaissances des personnes qui se posent des questions sur la “meilleure” alimentation à donner à leur animal de compagnie. En effet, il y a cette idée ambiante que l’alimentation c’est crucial. Avec la “bonne” alimentation on pourrait prévenir des maladies et même en guérir, et la…
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jpbjazz · 7 months
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LÉGENDES DU JAZZ
MEZZ MEZZROW, DE L’ÉCOLE DE RÉFORME AU SWING
Né le 9 novembre 1899 à Chicago, en Illinois, Milton Mesirow, dit Mezz Mezzrow, était issu d’une famille d’immigrants russes d’origine juive. Mezzrow a appris à jouer du saxophone à la Potomac Reformatory School où il a été incarcéré à partir de l’âge de seize ans pour avoir volé une automobile. Selon un de ses biographes, Mezzrow, avait fait de nombreux séjours dans les écoles de réforme et les prisons avant de découvrir le jazz et le blues à la fin de son adolescence. Trouvant une sorte de rédemption dans la musique, Mezzrow avait alors tenté d’imiter ses idoles Freddie Keppard, Joe Oliver, Louis Armstrong et Jimmy Noone.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
À la fois clarinettiste et saxophoniste ténor, Mezzrow avait enregistré à la fin des années 1920 avec les Jungle Kings, les Chicago Rhythm Kings et le groupe d’Eddie Condon. Il avait aussi joué avec un groupe appelé le Austin High Gang. En compagnie d’autres musiciens blancs comme Eddie Condon et Frank Teschemacher, Mezzrow s’était rendu au Sunset Café de Chicago où il avait pu entendre Louis Armstrong et son célèbre Hot Five. Mezzrow admirait tellement Armstrong qu’après la publication du classique "Heebie Jeebies", il avait parcouru la distance de 53 miles jusqu’en Indiana avec Teschemacher pour pouvoir jouer la pièce devant Bix Beiderbecke.
C’est en 1927 que Mezzrow s’était installé à New York et avait commencé à jouer avec Eddie Condon.
Dans les années 1930, Mezzrow avait joué avec différents groupes de swing aux côtés de grands noms du jazz comme Benny Carter et Teddy Wilson. Durant la même décennie, Mezzrow, qui avait contribué à briser la barrière raciale, avait également dirigé un groupe multi-ethnique appelé les The Disciples of Swing. Le groupe était notamment composé d’Eugene Cedric au saxophone ténor, de Mezzrow à la clarinette, de Frank Newton, Sydney De Paris, Max Kaminsky et Dolly Armendra à la trompette, de George Lugg et Vernon Brown au trombone, d’Elmer James au tuba, de John Nicolini au piano et de Zutty Singleton à la batterie. Durant une brève période, Mezzrow avait aussi été le gérant de Louis Armstrong.
Avec l’orchestre de Tommy Ladnier, Mezzrow avait aussi enregistré le thème musical qui l’avait fait connaître et intitulé “Really The Blues”.
Mezzrow a fait ses débuts sur disque en 1933 avec un groupe appelé Mezz Mezzrow And His Orchestra. La formation, qui était surtout composée de musiciens de couleur, comptait dans son alignement des grands noms du jazz comme Benny Carter, Teddy Wilson, Pops Foster et Willie "The Lion" Smith, mais comprenait également le trompettiste d’origine juive Max Kaminsky. Mezzrow a également participé à six enregistrements de Fats Waller en 1934.
Un des grands moments de la carrière de Mezzrow à cette époque avait été un enregistrement en 1938 organisé par le producteur français Hugh Panassie, qui était devenu un de ses grands amis et qui l’avait réuni à son idole Sidney Bechet. Tommy Ladnier participait également à l’enregistrement.
Grand admirateur de Bechet, Mezzrow avait fondé sa propre maison de disques appelée King Jazz, qui avait été en activité de 1945 à 1947 et qui lui avait permis d’enregistrer fréquemment avec Bechet au milieu des années 1940 ainsi qu’avec le trompettiste Oran "Hot Lips" Page. Même si Mezzrow était loin d’arriver à la cheville de Bechet, on doit lui accorder le mérite de s’être trouvé au bon endroit au bon moment, ce qui lui avait permis de participer à plusieurs enregistrements avec Bechet et d’autres grands noms du jazz, tant à New York qu’à Chicago de 1945 à 1947. Ces enregistrements, qui mettaient en vedette le Mezzrow-Bechet Quintet et le Mezzrow-Bechet Septet, mettaient à contribution des musiciens de couleur comme  Frankie Newton, Sammy Price, Tommy Ladnier, Sid Catlett, ‘’Pleasant'' Joe ainsi qu’Art Hodes, un musicien blanc né en Ukraine.
DERNIÈRES ANNÉES
Après avoir participé en 1948 au Festival de Jazz de Nice, Mezzrow s’est installé en France, où il s’était rapidement acquis le respect des musiciens de jazz locaux. Durant son séjour en France, Mezzrow avait fondé plusieurs groupes composés à la fois de musiciens français comme Claude Luter et de musiciens américains de passage comme Buck Clayton, Peanuts Holland, Jimmy Archey, Kansas Fields, Lee Collins et Lionel Hampton. Avec Clayton, un ancien trompettiste de l’orchestre de Count Basie, Mezzrow avait enregistré une version du classique "West End Blues" de Louis Armstrong en 1953.
Dans les années 1950, Mezzrow a continué d’enregistrer pour plusieurs compagnies de disques françaises.
Mezzrow est demeuré en France jusqu’à sa mort dans un hôpital américain de Paris le 2 août 1972. Il était âgé de soixante-treize ans. Le décès de Mezzrow a été attribué à une crise d’arthrite qui avait atteint sa moelle épinière. Mezzrow a été inhumé au cimetière du Père-Lachaise. À l’époque, l’épouse de Mezzrow, Johnnie Mae Mezzrow, était déjà décédée. On survécu à Mezzrow son fils Milton H. Mesirow, ainsi que ses deux frères domiciliés en Illinois.
Même si Mezzrow  était d’origine et de religion juive, il avait épousé une afro-américaine, Johnnie Mae, qui était de religion baptiste. Le couple a eu un fils, Milton H. Mesirow, Jr. Au cours d’une entrevue qu’il avait accordée au New York Times en 2015, "Mezz Jr.", comme il était surnommé, avait déclaré qu’il avait toujours vécu entre deux cultures. Comme il l’avait souligné, "My father put me in a shul, and my mother's side tried to make me a Baptist. So when I'm asked what my religion is, I just say 'jazz.'"
Même si Mezzrow était un saxophoniste et un clarinettiste compétent, Mezzrow était surtout connu pour son autographie intitulée We Called It Music, qui avait été publiée à Londres en 1948. Même s’il était blanc, Mezzrow  avait toujours admiré la culture afro-américaine. Dans son autobiographie, Mezzrow avait même catégoriquement rejeté la société blanche et revendiqué la culture afro-américaine. Dans son ouvrage, Mezzrow  avait écrit qu’à partir du moment où il avait été mis en contact avec le jazz, il était devenu a ‘’Negro musician, hipping [telling] the world about the blues the way only Negroes can." Eddie Condon avait confirmé: "When he fell through the Mason–Dixon line he just kept going". Avec sa famille, Mezzrow  vivait à Harlem. Se définissant lui-même comme ‘’Negro’’, Mezzrow était d’ailleurs décrit comme tel sur sa carte de mobilisation émise durant la Seconde Guerre mondiale. L’autobiographie de Mezzrow, qui se concentre principalement sur les décennies de 1920 et 1930, malgré certaines inexactitudes historiques, constitue une des rares autobiographies écrites par un des premiers musiciens de jazz, tout en étant aussi une des mieux documentées et des plus divertissantes.
Grand consommateur de marijuana dont il faisait la promotion dans sa musique, Mezzrow était également reconnu comme ‘’dealer.’’ Surnommé ‘’Muggles King’’ (le mot Muggles étant un terme de slang désignant la marijuana), Mezzrow fournissait également de la marijuana à Louis Armstrong qui était un de ses meilleurs clients. La chanson de 1928 d’Armstrong intitulée "Muggles" fait d’ailleurs explicitement référence à Mezzrow. Dans une de ses lettres écrite en 1932, Armstrong précisait d’ailleurs comment et à quel endroit Mezzrow vendait de la marijuana.
En 1940, Mezzrow a été arrêté sous l’inculpation d’avoir été en possession de soixante joints de marijuana alors qu’il tentait d’entrer dans un club de jazz afin d’en faire le trafic. Au moment d’entrer dans sa cellule, Mezzrow  avait informé les gardiens qu’il était noir et qu’il devait être envoyé dans la section réservée aux prisonniers de couleur. Dans son ouvrage Really the Blues, Mezzrow  écrivait:
‘’Just as we were having our pictures taken for the rogues' gallery, along came Mr. Slattery the deputy and I nailed him and began to talk fast. 'Mr. Slattery,' I said, 'I'm colored, even if I don't look it, and I don't think I'd get along in the white blocks, and besides, there might be some friends of mine in Block Six and they'd keep me out of trouble'. Mr. Slattery jumped back, astounded, and studied my features real hard. He seemed a little relieved when he saw my nappy head. 'I guess we can arrange that,' he said. 'Well, well, so you're Mezzrow. I read about you in the papers long ago and I've been wondering when you'd get here. We need a good leader for our band and I think you're just the man for the job'. He slipped me a card with 'Block Six' written on it. I felt like I'd got a reprieve.’’
En 2015, un club de jazz a été nommé en l’honneur de Mezzrow à Greenwich Village. Le club était simplement baptisé ‘’Mezzrow.’’
Au cours de sa carrière, Mezzrow  a enregistré environ 150 pièces et s’est produit vec les plus grands noms du jazz, de Sidney Bechet à Django Reinhardt, en passant par Frank Teschemacher, Eddie Condon, Tommy Ladnier, Max Kaminski, ‘’Hot Lips’’ Page, Buck Clayton, Lionel Hampton, Sid Catlett, Teddy Wilson, Fats Waller, Pops Foster, Benny Carter, Zutty Singleton, Jack Teagarden, Willie "The Lion" Smith et Memphis Slim.
Malgré le succès remporté par Mezzrow au cours de sa longue carrière, le producteur de disques Al Rose s’était montré plutôt sceptique face à son talent de clarinettiste. Rose avait cependant reconnu à Mezzrow  le soutien qu’il avait accordé aux musiciens dans le besoin et avait souligné "his generosity and his total devotion to the music we call jazz." Dans son autobiographie, Mezzrow avait d’ailleurs admis avoir ‘’définitivement traversé la ligne qui séparait les identités blanches et de couleur.’’ Qualifiant Mezzrow  de “Baron Munchausen du jazz”, le critique Nat Hentoff avait déclaré à son sujet qu’il avait joué “so consistently out of tune that he may have invented a new scale system.”
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SOURCES:
‘’Mezz Mezzrow.’’ Wikipedia, 2024.
‘’Mezz Mezzrow.’’ All About Jazz, 2024.
‘’Mezz Mezzrow, 73, Clarinetist Who Was a Titan of Jazz, Dead.’’ New York Times, 9 août 1972.
‘’Milton ‘’Mezz’’ Mezzrow.’’ The Syncopated Times, 2024.
‘’Mezz Mezzrow, 73, Clarinetist Who Was a Titan of Jazz, Dead.’’ New York Times, 9 août 1972.
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