Tumgik
#oeuvre originale
revuetraversees · 1 year
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Christian DUCOS, (Auto)portraits, accompagnés de trois oeuvres originales d'Agnès Charve, Le Pauvre Songe, 88 pages, avril 2023, 14€
Une chronique de Marc Wetzel Christian DUCOS, (Auto)portraits, accompagnés de trois oeuvres originales d’Agnès Charve, Le Pauvre Songe, 88 pages, avril 2023, 14€ Le jeu du portrait “chinois” est connu : faire deviner quelqu’un par questions sur ses équivalents non-humains (“Et si c’était un oiseau ? un reptile ? un insecte ?…” / “Ce serait plutôt …”). On est ici à portraits renversés : le…
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steph-photographie · 7 months
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Photo originale par Steph-Photo
Détails de la porte d'entrée du cimetière de Saint-Pierre de Montmartre par le sculpteur Tommaso Gismondi (auteur également des portes des archives du Vatican). Une oeuvre magistrale en bronze !
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rizwans · 1 year
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ia et rpg.
je suis ébahie de voir les gens qui créditent chatgpt dans le disclaimer de leurs forums. c’est un peu comme si vous passiez des avatars de votre créateur.ice préférée à la moulinette de midjourney (sans son consentement, évidemment) pour obtenir des avatars du même style et que vous créditiez l’algorithme. si vous utilisez chatgpt dans un contexte d’écriture créative, soit, c’est votre choix (but why... où le plaisir d’écrire là-dedans ?). mais s’il vous plaît, ne confondez pas crédits et disclaimer. vous devez prévenir vos utilisateurs du fait que le contenu a été rédigé par une IA, pas remercier chatgpt que vous venez de nourrir avec votre propre imagination et qui ne fait que régurgiter que la tambouille que vous lui avez servie. je n’écris pas ce message pour créer du drama, absolument pas ! je peux comprendre l’attrait d’un robot capable de rédiger le règlement du forum en genre 5 secondes (vraiment). mais dans un contexte où les artistes et les créateur.ices se font voler leurs créations sans leur consentement, où les scénaristes d’hollywood sont en grève pour obtenir des conditions de travail décentes, où marvel, une entreprise qui brassent des milliards de dollars, refuse de payer des artistes et assume complètement le fait d’outsourcer l’outro de secret invasion à une IA sous couvert du fait que ça “collait” au thème (il a bon dos, le thème), où des entreprises commencent à développer leur midjourney local pour se débarrasser des concept artists plutôt que d’améliorer les conditions de travail et payer des salaires décents à des gens qui ont des années d’expérience et de pratique derrière elleux, réfléchissons cinq secondes au véritable but des entreprises derrière ces IA : amasser le plus de data possible gratuitement pour ensuite revendre leurs services à des entreprises. pensez à tous ces personnes qui écrivent vos livres favoris, dessinent vos mangas préférés, produisent vos jeux vidéo cultes, remplacés par un bouton et un prompt de quelques mots. travaillant dans le jeu vidéo, je peux vous dire que c’est extrêmement réel. la place des créatifs.ves dans ce milieu a toujours été précaire, et elle vient de le devenir encore plus.  vous vous demandez sans doute en quoi ça concerne notre hobby ultra-niche et je ne suis peut-être qu’une vieille conne qui refuse d’entrer dans la modernité (mais je vais me donner le bénéfice du doute !). le rpg écrit est une expression artistique comme une autre. chaque rpgiste derrière son écran a son style et cherche à exprimer ou à explorer quelque chose avec ses personnages (un autre débat, sur lequel d’autres se sont exprimés ou s’exprimeront plus éloquemment que moi). pourquoi confier cette expression à une IA ? avons-nous si peu confiance en nos talents respectifs ? personnellement, je connais des plumes exceptionnelles. hilarantes. émouvantes. originales. fluides. brutales. parfois tout ça en même temps. des plumes qu’un tas de tech bros seraient ravis de pouvoir revendre et exploiter, sans payer un centime ni créditer une seule seconde. des plumes qui appartiennent à de vrais humains et qui devraient le rester, des plumes qui sont le témoignage, qu’importe l’échelle qui peut sembler dérisoire, de vos pensées, votre style, votre intelligence. trust your goddamn self. et personnellement, si c’est le fait d’écrire un règlement pour la 36ème fois qui fait chier (ce que je comprends tout à fait), je propose de contre-attaquer et de faire appel au pire cauchemar des capitalistes : l’open source décentralisé. je rédige le squelette d’un règlement, limite texte à trous, je le poste ici et vous pouvez le c/c à foison en y rajoutant ce que vous avez envie d’y rajouter. pareil pour ces textes génériques et chiants de demande de DC, de réservation, etc etc... si on s’y met tous.tes, on pourrait se créer une banque de documents où chacun.e peut piocher à son gré. c’est une oeuvre collective, commune et volontairement libre-service. on part du principe qu’on travaille tous.tes main dans la main pour se rendre un service commun, et on n’en parle plus, pas besoin de crédits.  ne sous-traitons pas notre imagination à des machines. nous méritons tous.tes mieux ! (ps. et je sais que ça peut sembler hypocrite de parler de vol quand le monde du rpg repose un entre-deux gris en ce qui concerne le droit à l’image. mais entre david et goliath...)
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bazarpoetique · 1 year
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"Wandering Jane"
Acrylique sur papier texturé toile 300g/m². (30x30cm).
L'originale est ici 👇
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dustedmagazine · 7 months
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Sandwell District — Where Next? (The Point of Departure Recording Co.)
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It should have been a question. The transcontinental collective known as Sandwell District had been defunct and assumed shuttered for years, its fax machine disconnected, its Situationist International Tumblr since overtaken, when the sudden, unexpected announcement in early 2023 of a reissue effort for 2010’s celebrated Feed-Forward revived interest among the techno faithful. Its key members had been operating independently for long enough that the prospect of a return was sufficiently dim, yet here was proof of life — that the mark of anonymous, forward-thinking dance music from these corners hadn’t yet been buried. Half a year on from the reissue, another curious missive in the form of a compilation and the announcement of a Primavera Sound gig. Something was afoot. “Where next?” should’ve been appended directly with “Why now?”
Instead, it’s an elegy.
Juan Mendez (aka Silent Servant) died alongside fellow Los Angeles artist Luis Vasquez (The Soft Moon) and Mendez’s partner Simone Ling January 18th at the age of 46. Every review of Where Next? you read will address this, so it’s not necessary to belabor its circumstances or the outpouring of grief in its wake, but suffice to say that Mendez was beloved in L.A. and beyond for his work both as a producer — which he was still a master of, as his (ill-)fittingly titled In Memoriam EP out in November on Tresor confirms — and, crucially to Sandwell, its visual language. One of the key components of Sandwell District was its resolute anonymity; for years, if you were buying music off these guys, it was white label 12s with no identification save a stamp of the name and a fax number. Mendez was the one who gave the group that Situationist-inspired aesthetic, lent depth and a difficult but still discernible additional dimension that otherwise may not have been there. In retrospect, it feels like no accident that the zine, the music and the “moment” all collided at the same time; four protagonists with years of experience behind them peaking in simpatico is an exceedingly rare thing in the dance world, and to have it happen as it did was both carefully orchestrated and worth all the praise. Dusted was no exception.
Without Mendez, Sandwell District’s revival now feels precarious, uncomfortable, indeterminate. The remaining core members — Karl O’Connor (aka Regis), Dave Sumner (Function) and Peter Sutton (Female) — must return to and reassess the question of this very compilation, whose existence initially struck me as a cynical money grab but, more charitably and with more consideration, could also have been intended as a siren for something new en route, a way of reminding those who were there and a slap in the face to those who weren’t that this group wasn’t just your run-of-the-mill Tuesday night Berghain residents, this was something else.
And what was that? Take a listen: From 2002 to 2012, a dozen tracks assembled for this comp mine Sandwell District (the label) for a retrospective that graphically displays the production talent at work while still leaving something on the table. The credits here all say “Sandwell District &,” but it’s superfluous; regardless of liner notes, however, the music holds up and you know what you’re getting right from the off with Function’s “Reykjavik,” originally from 2007’s “Isolation” 12”. A wobbling, heavy low end and the lightest touch of hi-hat establish the pulse, with a twinkling alien transmission straight from a 1950s sci-fi movie offering counterweight. It’s the crashing handclap and subsequent, seemingly endless decay at 30 seconds that really wakes you up, though — like the uneasy ambiance, a familiar trope of the group’s oeuvre but one forever deployed with the deftest of touches.
“Reykjavik” is one of the two earliest songs from this compilation; the other, CH-Signal Laboratories (8003 Lucerne)’s “Hypnotica Scale (Original Mix),” preceded it in ‘07 and was originally titled simply as “Scale 1 (Original Mix).” It’s a rolling IDM number that feels more primitive, less cognizant than the productions that would follow in its use of space in your headphones. It’s also arguably the thinnest track here from one of the few names in Sandwell’s history that was never fully declassified but to my ears sounds like Sumner’s work.
As the most prominent faces of the collective (Mendez was reticent and Sutton all but invisible at the group’s peak), O’Connor and Sumner often seemed to be the ones with the heaviest hands in final output, too — consider Sumner did the final Fabric mixdown, for instance. The balance gets partly redressed here: O’Connor gets credit for two songs and two edits; Sumner gets five songs (six if you count CH-Signal); Mendez gets four; and Sutton gets a song and a remix under the Kalon alias, which he shared alongside Karl Meier, a fellow member of O’Connor’s Birmingham-based Downwards posse. It works to great effect; if you hadn’t known this was a compilation spanning half a decade and not a cohesive album from a single set of sessions, nothing gives it away. Both sequencing and pace are thoughtfully examined as the album obliterates your speakers at the proper volume and eventually rolls into the station after some 70 minutes with the only song that really lets you up for air, “Inter.”
Still, questions remain. Timing aside, foremost among them is why this comp starts with tracks from 2007 and not 2002; that’s scything half of the label’s existence out of the picture, and it’s not like “Untergang” or “Cally 2” are much the worse for wear at this remove. More pointedly, why are any singles missing at all? A double or triple LP either mixed to its constituents’ satisfaction or arranged chronologically would’ve been equally potent.
Another question: Wherefore art thou, Rrose? Like Meier, Yves de May and Bob Ostertag, Seth Horvitz existed on the outskirts of the District, only entering the frame in Feed-Forward’s wake — but it feels grossly unjust to neglect Rrose’s contributions in particular as the label wound down and its members moved on. What I said at the time of “Merchant of Salt” stands: Sandwell’s methods were perhaps best executed by an outsider who subsequently struck out into more experimental lands, extending the spirit of the collective’s reach beyond the vision of its original members; in a way, Rrose alone best answered the question posed by this compilation, which only makes their absence more conspicuous.
As with everything else swirling about Sandwell District, explanations will trickle out as glyphs or remain scant, incomplete, perhaps even contradictory. Maybe we won’t know for weeks or months; maybe we will never know. This is all part and parcel of the operation, which remains fun for the sake of intrigue but as listeners can only really leave us to trust our ears and hearts. Scrape away the calcified grayscale complexion, then, and you have what lies beyond the questions — you have the real answer, the one that matters most. Did I say elegy? Sorry, I meant panegyric. Long may it be heard.
Patrick Masterson
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toonesque · 1 year
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FLCL, à la recherche de... maturité
nouvel épisode de la chronique, originale.
après avoir chamboulé l'animation japonaise avec EVANGELION, le studio GAINAX, accompagné de Production I.G. (Ghost in the Shell), propose un OVA, intitulé: FLCL, réalisé par le petit préféré d'Hideaki Anno, Kazuya Tsurumaki.
une oeuvre responsable de bien nombreux mélanges, ouvertures de portes et métissage culturels comme la popularisation de l'animation japonaise aux Etats-Unis via [adult swim], avec son doublage anglais qualitatif, comme bien le choix d'une soundtrack moins conventionnelle, avec du bon rock. un anime pour des fans d'animes, voir d'animation en général, par des fans d'animation.
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kuugabuster · 1 year
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On jette souvent des pierres à Kingdom Hearts et The Legend of Zelda pour être des univers avec des continuités assez compliquées à suivre, mais dites-vous que celles (au pluriel) de Transformers sont tellement complexes que même les créateurs ignorent toute l'étendue de ces continuités.
Ça c'est l'ensemble des continuités de la G1 (donc toutes les oeuvres qui sont canon avec la série de 1984). Remarquez que ce flowchart a été rendu obsolète presque immédiatement après sa publication.
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Les problèmes de continuité dans Transformers sont tels qu'une même série peut faire partie de DEUX CONTINUITÉS DIFFÉRENTES à la fois, selon qu'on considère la version originale ou la version doublée.
Et ne me lancez pas sur la continuité Alignée (Transformers Prime, les jeux War for Cybertron, Rescue Bots...), qui consiste en des oeuvres qui n'ont absolument aucun lien l'une avec l'autre et que Hasbro a quand même déclarées en continuité les unes avec les autres alors qu'elles se contredisent explicitement entre elles...
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Lecture : Du bon usage des étoiles - Dominique Fortier
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Résumé:
En mai 1845, les navires Terror et Erebus, sous le commandement de Sir John Franklin , un explorateur britannique, quittent l'Angleterre pour découvrir le fameux passage du Nord-Ouest. Francis Crozier est le commandant du Terror, l'adjoint de Franklin. C'est lui le personnage central de ce roman, personnage romanesque peu connu, il est tout le contraire de Franklin. Il est un des rares hommes de l'équipage à s'intéresser à l'autre aux esquimaux, considéré comme des sauvages. Commence alors un nouveau voyage, immobile celui-là, au cœur de la nuit polaire et vers les profondeurs de l'être, dont Francis Crozier, commandant du Terror, rend compte dans son journal. Il se languit aussi de la belle Sophia restée avec sa tante Lady Jane Francklin à Londres, où les thés et les bals se succèdent en un tourbillon de mondanités. Inspiré de la dernière expédition de Franklin, Du bon usage des étoiles offre un tableau foisonnant des lubies de la société victorienne- lesquelles ne sont pas sans rappeler certains des travers de la nôtre - dans un patchwork qui mêle avec bonheur le roman au journal, l'histoire, la poésie, le théâtre, le récit d'aventure, le traité scientifique et la recette d'un plum-pudding réussi.
Mon avis :
Dans l'ensemble, il s'agit d'une lecture rapide et agréable qui permet de retrouver des noms bien connus (Crozier, Franklin, Fitzjames, Little, Gore, Hornby, Goodsir …). J'ai eu l'impression de revoir des vieux amis après des années sans nouvelles.
On suit en parallèle la vie de Crozier et sir John et celle de Sophia et lady Jane. Cependant, l'absence d'intrigue supplémentaire rend le récit assez plat. Surtout en ayant déjà connaissance des évènements, j'avais parfois l'impression de lire un résumé romancé de l'expédition plutôt qu'une oeuvre originale.
Point positif, les personnages féminins sont ENFIN bien écrits et doués d'une véritable personnalité. J'ai pris plaisir à lire les passages sur Sophia qui m'est apparue comme une personne bien plus agréable que celle qui était dépeinte par Simmons. Lady Jane n'est pas en reste et brille par sa ténacité. Ce pan de l'histoire négligé dans Terreur est pour moi l'aspect le plus plaisant du récit. Ah, et l'humour aussi (voir extrait ci-dessous).
De nombreux évènements sont sous-entendus, il y a des allusions aux objets découverts plus tard (un gant laissé à sécher, par exemple) : autant de clin d'oeils aux lecteurs avertis. Il me semble que cet ouvrage s'apprécie davantage si l'on a déjà des connaissances de base sur l'expédition de 1845.
En bref, c'est une lecture complémentaire qui égaiera votre dimanche après-midi.
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yannleguen · 10 months
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Un petit post pour ceux qui habitent en Morbihan, je finis les préparatifs pour le Vide atelier culturel qui se déroulera ce week-end, 25 & 26 nov, à La criée à Port-Louis. Vous pourrez vous procurer des tirages d’art et quelques oeuvres originales.
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erwan-corre · 1 year
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Une déesse italienne se repose, sourire au lèvre… A quoi rêve-t-elle ? Peut-être est-t-elle juste morte… Le sommeil est une petite mort, comme au moment ultime de l'amour… La belle œuvre de Nadège Dauvergne à voir rue Vasselot à Rennes pour le M.U.R. de Septembre 2023 !
Et les détails de sa grande fresque : la qualité de la réalisation est fascinante ! 😮 Mes félicitations ! 👏 La peinture originale ↘️ http://mba.rennes.fr/fr/le-musee/les-oeuvres-phares/fiche/jean-baptiste-marie-pierre-bacchante-endormie-74 Sur Instagram ↘️ https://instagram.com/nadegedauvergne/
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Boris Vian (10 mars 1920 - 23 juin 1959), extrait de Berceuse pour les ours partis. 1951.
Le 23 juin 1959, le coeur, fatigué et malade, de Boris Vian ne résiste pas à un ultime mouvement de colère : tandis qu'il assiste à l'avant-première de l'adaptation cinématographique de son livre "J'irai cracher sur vos tombes", contre laquelle il s'est battu, Vian s'effondre sur son siège.
À 39 ans. Il ne se relèvera pas.
Le Collège de 'Pataphysique, dont il était un pilier, parlera de "mort apparente du Transcendant Satrape".
Né le 10 mars 1920 à Ville-d'Avray, dans une famille de grands bourgeois ruinés (mais qui continuent à faire comme si), Boris Vian est un enfant à la santé fragile, couvé par sa mère. Bon élève, il intègre l'École centrale et y décroche son diplôme d'ingénieur en 1942. Il entre à l'AFNOR (Association française de normalisation), s'y ennuie ferme, ce qui le pousse à rédiger ses premiers écrits... tous déjà marqués par l'absurde.
Après la guerre, devenu la figure de Saint-Germain-des-prés avec ses amis Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, ce touche-à-tout de génie est à la fois trompettiste et critique de jazz, parolier et chanteur - employé par la maison Philips, il écrit des parodies de rock avec Henri Salvador, comme "Rock and roll mops" - dramaturge ("Cinémassacre", "Le goûter des généraux"), peintre, journaliste, traducteur et romancier. Si "L'écume des jours", "L'arrache-coeur", "Les fourmis" ou "L'automne à Pékin" ne se vendent guère, "J'irai cracher sur vos tombes", fausse traduction d'un roman noir signé Vernon Sullivan - Vian ne cesse de multiplier les pseudonymes - obtient un succès de scandale. Scandaleux aussi, le texte "Le déserteur", contre la guerre d'Indochine, que la radio censure.
Ses problèmes conjuguaux, d'argent et de santé l'épuisent à la fin de sa vie. Et ce n'est vraiment qu'après sa mort que son oeuvre est reconnue à sa juste valeur, et pas seulement par la jeunesse, comme résolument originale, poétique et engagée.
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christellekedi · 1 year
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Un enfant doué de NYC
Christopher George Latore Wallace connu sous le nom de BIGGIE SMALLS était un new-yorkais de la plus pure tradition. Un de ceux qui grandirent dans l'admiration de la culture de rue de cette côte Est créative des années 1960-1980: ville de naissance de Sylvia Robinson, la toute première productrice à avoir vu et compris le potentiel du RAP (acronyme pour Rhythms And Poetry) en lançant le classique Rapper's Delight en 1979...Quand on voit qu'aujourd'hui, les femmes noires sont méprisées dans le milieu du RAP...Bref!
Biggie Smalls est considéré comme un parolier du RAP avec un talent exceptionnel, parti à 25 ans, fusillé comme TUPAC juste après la sortie de son premier double album consacré au RAP -1997- (le 1er pour NYC, ville native de ce genre muscial) et le second après ALL EYEZ ON ME (celui de Tupac sorti plutôt en 1996).
Connu pour son franc-parler, Biggie Smalls admirait par dessus tout l'élégance et la générosité d'une certaine pègre historique de NYC (celle dépeinte dans le film le plus oscarisé de l'histoire du cinéma "Le Parrain") sorti en 1972, l'année de naissance de Christopher.
Dans plusieurs de ses textes, il relate comment les "grands" du milieu "souterrain" leur permettaient à eux adolescents new yorkais et fauchés d'accéder à des clubs prestigieux en leur offrant des tables , des entrées et en règlant la note de fin de soirée...
Christopher fut le premier rapper à publiquement chanter la culture mercantile et l'idolâtrie de l'argent typique à la ville de NY. Ceci lui valu de féroces reproches. Il fut aussi pionnier dans la réalisation de vidéo clips de "flamb" où l'argent pleuvait, les filles dansaient au ralenti et le récit de la vie "avant et après" la notoriété était conté sans tabou!!!
Enfin, Notorious B.I.G (son autre surnom) comme Prince et Michael Jackson à la décennie précédente, s'associait souvent avec d'autres rappers made in NYC afin de sampler des classiques du funk des années 1970-1980 qui avait été exploités par les majeurs en limitant l'accès aux droits d'auteurs des artistes performeurs...
Prince fut le premier à gagner une bataille juridique de 19 ans contre Warner Bros...Il mourut à peine quelques mois plus tard mais son message aujourd'hui est finalement compris par des gens tels que Taylor Swift qui par exemple en 2020, a totalement ré-enregistré ses premiers albums afin de récolter quelques royalties qui lui avaient été sucrées 10 ans plus tôt par ses producteurs initiaux.
Oui, BIGGIE se faisait un plaisir d'inviter sur ses sons, des artistes funk en mal de visibilité pour leur permettre de ré-enregistrer leurs tubes sur du R.A.P afin de pouvoir se partager les droits d'auteur et en vivre dignement.
Ici, un de mes favoris du genre (qui ne se fait plus depuis 2000...Et oui, le R.A.P avait plusieurs "genres"), un rap à paroles perçantes, vécues et véridiques sur un des beats les plus mémorables du funk...BIGGIE, Jay-Z (quand ce dernier montrait encore sa culture musicale immense) et l'incroyable Angela Winbush qui joua tous les instruments de la version originale de sa propre oeuvre!
Reposes-Toi en Prose!
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je-suis-tombee-sur · 1 year
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Coll. « Gothic Horror »  PENGUIN BOOKS
Royaume-Uni, 2008 Offset, 181×111 mm (71/8 × 45/8)
La collection rassemble dix classiques de la littérature fantastique et du « roman d’horreur » anglophone au format poche.  La ligne graphique a été conçue par la graphiste Coralie Bickford-Smith, qui a créé pour chaque couverture une image originale utilisant la technique du cyanotype, un procédé primitif de la photographie inventé en 1842 par le savant britannique John F. W. Herschel (1792-1871). Le caractère typographique employé est le Futura (1927) de Paul Renner (1878-1956).
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(1) Quelle relation établissez-vous entre le procédé iconographique employé ici et les romans rassemblés dans cette collection ? 
La technique employée consiste à exposer un objet sur un papier photosensible. Il faut d’abord, dans l’obscurité, laisser sécher le mélange photosensible appliqué sur le papier puis exposer à des rayons ultraviolets l’objet par dessus. Une empreinte en négatif de l’objet est alors révélée sur un fond très obscure en positif. Cette apparition fantomatique s’associe à l’imaginaire surnaturel du genre gothique de la collection. Dans les histoires gothiques, des fantômes, des monstres, des esprits surgissent dans le réel, à l’image de l’objet sur le papier.    Les empreintes en monochromie jaune, ou bichromie blanche, sont éclatantes. Elles entrent en contraste avec le fond noir. Coralie Bickford-Smith joue avec le principe de positif et de négatif, inventé par John F. W. Herschel suite à l’invention du cyanotype, et semble l’associer aux concepts de ténèbres et de lucidité qui sont des thèmes en conflit dans les oeuvres gothiques. De plus, cette contrainte d’une gamme colorée réduite , imposée par la technique, autorise une constance visuelle pour chaque titre ce qui renforce l’esprit de collection. L’emploi d’une triade chromatique est fréquent dans les collections de la maison. Dans « Mystery and crime » (1948-1961) le vert, le noir et le blanc interviennent, par exemple, de façon systématique sans faire intervenir d’autres coloris.    Chaque titre parvient néanmoins à affirmer son individualité. La variété des objets en couverture et le placement de ces derniers dans la page constitue un vocabulaire personnalisé pour chaque histoire. Les objets choisis sont des indices en lien avec l’intrigue de chaque livre de la collection. On peut deviner, dans The spook house, une accumulation de meurtres horrifiques puisque plusieurs couteaux recouvrent le livre. Dans The haunted hotel, on peut supposer que de multiples secrets sont à résoudre par la symbolique de la clé. La technique du cyanotype permet ainsi de produire des images logiques avec l’ histoire unique de chaque titre. La graphiste peut choisir librement le sujet photographié tout en conservant une gamme chromatique et une texture qui fait collection.  
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(2) Comment qualifieriez-vous le vocabulaire typographique (choix du caractère et de ses différentes variables, présence dans la composition) utilisé par la graphiste ?
La collection « Gothic Horror », à l’image du lieu de naissance de ce genre littéraire, s’inscrit dans la tradition britannique en matière de composition. Cette tradition est d’ailleurs une des spécificités des premiers ouvrages de la maison d’édition anglaise Penguin Books. Toutes les informations relatives à l’oeuvre sont donc centrées. On note quelques exceptions, notamment pour le titreThe spook house de Ambrose Bierce dont la composition renversée à la verticale est sûrement plus appropriée avec l’inclinaison des couteaux. La graphiste applique donc, en principe, une répétition du modèle de composition mais s’autorise de légères variations lorsqu’il s’agit de crée un dynamisme propre à certains titres vis à vis de leur image singulière.    Coralie Bickford-Smith choisit de composer le titre ainsi que le nom de l’auteur en Futura et systématiquement en capitales. Ce choix fait référence à l’usage du Gill Sans dans les premiers livres de poches de Penguin. Elle rajoute de l’espace entre chaque lettres comme conseillé par Tschichold dans les Penguin Composition Rules (1947-1949) pour plus de lisibilité. Ce clin d’oeil à l’histoire de la maison d’édition permet donc de souligner sa propriété de la totalité des titres. Ce dernier est, par ailleurs, rappelé dans le coin gauche de chaque titre par l’emblématique logotype d’Edward Young. L’image est même systématiquement travaillée pour ne pas déborder sur cet espace. On peut, dans The beetle de Richard Marsh, voir que le scarabée est incliné pour laisser la place nécessaire au macaron Penguin Books.   On constate cependant que une difficulté d’accord dans la taille des corps et dans les espacements entre les divers blocs de textes. En effet, la technique du cyanotype ne permet pas de réduire la taille des objets exposés. Les éléments typographiques doivent donc s’adapter. Cela implique une réduction ou augmentation du corps et des placements variable pour occuper les vides inoccupés par l’image. Néanmoins, Coralie Bickford-Smith s’applique à garder une classification identique des éléments. On retrouve, dans l’ordre, le titre de la publication, le commentaire de la critique, en bas de casse, et enfin le nom de l’auteur. Seuls deux titres, The haunted doll’s house et The spook house, précédemment cité, optent pour un ordre différent. Le titre est placé au milieu des autres informations, plus en retraits, car l’attention du lecteur doit se porter en priorité sur cet élément. Ces deux ouvrages sortent du cadre pré-établi car leur titres semblent nécessiter d’une promotion focalisée sur leur individualité plus que sur leur appartenance à la collection. 
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(3) Comment évaluez-vous le degré d’originalité de cette ligne graphique en regard du genre littéraire considéré et de la forme visuelle sous laquelle il est généralement présenté ? De par les contraintes techniques, la proposition de Coralie Bickford-Smith semble en rupture avec la forme traditionnelle des livres gothiques. Du point de vue iconographique, la graphiste doit proposer un assemblage d’objets pour composer un motif en couverture. Cette proposition est bien plus symbolique et épurée que les formes visuelles traditionnelles employant plutôt des illustrations littérales. On peut constater, dans les autres collections, une tendance à représenter des scènes entre les personnages, souvent pris d’effroi, ou une représentation du lieu de l’intrigue, tel un manoir. Ici, Coralie Bickford-Smith fait le choix de rompre avec la fidèle traduction visuelle du texte. L’objectif est de laisser la surprise au lecteur tout en attisant sa curiosité. Elle mise donc sur visuel mystérieux et symbolique pour entretenir le suspens.    Typographiquement, il est d’usage d’employer des caractères stylisés et fantaisistes dans les publications de ce genre littéraire. On retrouve traditionnellement des formes très courbées, voire des arabesques aves des empattements ou l’emploi de caractères gothiques. Ici, le Futura reste muet face au genre. Il s’accorde avec l’image dans la sobriété géométrique de ses formes. Seule sa composition rappelle l’esthétique anglaise du genre littéraire.  
5000 types 16/ 04/ 2023
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fnielaubin · 2 years
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Gratitude.
#FNielAubin, #Artmajeur, #editionsydneylaurent, https://editions-sydney-laurent.fr/brand/francoise-niel-aubin/
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talaref · 2 years
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Sillida est une artiste qui s'est faite connaître sur Instagram (@silllllllllllll.da). Bien que ses productions soient réalisées sur son iPad, elle essaye de créer la sensation de la peinture originale, en choisissant et en utilisant des pinceaux numériques qui correspondent aux vrais pinceaux traditionnels.
Ces oeuvres sont surréaliste et d'une beauté extrême, mais aussi effrayantes et troublantes.
« Je suis un fanatique de l'horreur et j'aime me sentir mal et effrayé par toutes sortes de peurs. L'atmosphère unique du style japonais semble convenir à capturer le sentiment que je recherche. D'autre part, l'atmosphère générale de la Corée a une dimension plus propre et élégante. » dit-elle dans la seule interview qu'elle a fait.
Sources :
https://www.instagram.com/silllllllllllll.da/
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fredml · 2 years
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"Okliaz" Acrylique, pastels secs 14,8 x 21 cm Oeuvre originale et reproductions numérotées disponibles à la vente. (Me contacter) ______________________________________ J'ai voulu faire disparaître encore plus le visage et me plonger dans l'abstraction. J'étais épuisé, donc j'en ai profité pour me focaliser sur l'émotion et la couleur, n'ayant pas la force, ni l'envie de faire un visage trop réaliste. _________________________________________ #art #artiste #artist #artistsoninstagram #sketch #sketching #dessin #drawing #draw #diaries #poesíe #poetry #poems #ecrire #ecriture #writing #paysage #landscape #voyage #nature #vanlife #vanlifemovement #vanlifer #travel #travelling #reve #free #emotion #livingthedream #fredml (à Billund, Ribe, Denmark) https://www.instagram.com/p/CjS7ku4Nnpd/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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