Tumgik
#on se calme les choupis
istadris · 3 years
Note
ship meme : les deux vieux daddys là tu sais
Je te déteste parce que j’en ai tellement qui correspondent que je peux te faire un profil type
What made you ship it?
90% de chances que c’est des vieux ennemis qui se mettent sur la gueule depuis des années mais se connaissent par cœur et jouent au rami ensemble
What are your favorite things about the ship?
S’ils ont UNE scène où l’un a eu des opportunités de vaincre l’autre pour de bon mais ne l’a pas fait pour X raison je pleure et je leur invente un mariage adapté à leur style.
Mais j’adore encore plus quand tout le monde est au courant de leur relation (et les juge) même quand ils essaient de le cacher
Is there an unpopular opinion you have on your ship?
La moitié du temps c’est quand le fandom exagère leurs vertus ou leurs vices.
“Héros est un baby cinnamon roll tout innocent et choupi” c’est un adulte calme maisnarky c’est pour ça qu’on l’aime
“Méchant ferait des trucs trop choupi kawai pour son amant” c’est un criminel sarcastique qui assume d’être un connard c’est pour ça qu’on l’aime
“En fait les gentils sont trop des connards et les méchants sont les vrais héros de l’histoire!” je veux bien de la nuance mais les méchants ont tenté de génocider des gens là
Send me a ship !
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astrid-lunar · 4 years
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Fanfiction française Helluva boss (Blitzø x Stolas)
Le contrat
Comment avait-il pu me trahir ? Lui, mon fidèle employé; Que je considère comme la chair de ma chair ! Je comptais même, lui offrir une promotion pour son prestigieux travail ! Zéro multiplié par deux, c'est énorme ! Cela fait deux zéros !
Comment a-t-il pu, me jeter dans la gueule du piaf ? Il m'a vendu ! Cela, lui plaît-il de blesser mon égo ?
«-MOXXIE !», hurlai-je tel un méchant de film, tandis que le carrosse, m'emmenait dans l'enfer des enfers.
Je voyais Loona de loin, me filmer au lieu de venir m'aider. Elle est tellement choupie ! Les mauvaises herbes grandissent trop vite !
Je continuais donc de m'extasier sur ma fille adoptive, quand le cachot de la mort, me largua enfin, d'un grand coup de pied. Attendez, cette chose était vivante ? J'étais dans quelqu'un ? J'ai besoin d'une douche.
Je me redressai afin de dépoussiérer ma tenue et alors, que je pensais qu'il ne pouvait pas arriver pire que de se faire vomir par un truc vivant, je vis ses pattes. Mon regard croisa alors le sien. Il semblait, très ravi de me voir. Sa queue, s'agitait dans tous les sens. Ou plutôt, ses queues ? C'est bon, j'ai la gerbe.
«-Blitzy. Je suis content que tu es accepté de venir à notre rendez-vous. Je me sentais, si seul !», dit-il en roucoulant et en penchant la tête vers moi, tordant son cou par la même occasion. Flippant.
Je reculai d'un pas et le pointai du doigt, indigné:
«-Ce n'est pas un rencard ! Et, ça ne fait pas partie de notre contrat !
-Et bien, si. Tu n'avais qu'à le lire avant de signer, Blitzy chéri.»
A ses mots, il sortit le contrat d'une de ses poches et me le tendit. Je lui pris des mains, agacé avant de voir qu'il avait raison. Je m'étais engagé à avoir trois rencards avec lui, par semaine. Merde, je me suis fait pigeonner.
«-Un contrat, est un contrat.», me dit-il en prenant mon bras.
Je grommellai. Heureusement, que ce livre en valait le coup. J'espérais juste qu'il ne me demande pas de coucher avec lui, en prenant le prétexte de:
«C'est sur le contrat, Blitzy chéri. Il faut lui obéir.», pensai-je en imitant ses mimiques de hibou dépravé.
Le susnommé, me tira alors avec lui. Je n'avais d'autre choix, que de le suivre. Peut être, passerai-je un bon moment ?
Il s'arrêta dans une allée de jardin, couvertes de pétales de roses de diverses couleurs. Je sentais déjà, le coup venir et tenta de m'extirper de son emprise:
«-Non, non, non !», n'arrêtai-je pas d'hurler, tentant de fuir.
Cependant, le prince à tête de moineau, ne l'entendait pas de cette manière.
Il me fixa de ses yeux vermeils et globuleux dénués de pupilles, avant de me traîner jusqu'à un kiosque fait de ronces entrelacées. Je fermai les yeux, priant pour moi-même qu'il n'ait pas préparé de jeu dangereux comme la dernière fois. Je ne suis plus aussi souple qu'avant.
Il finit par me jeter au sol, non sans délicatesse. J'avais dû, l'énerver un peu. C'est vrai, que cela fait longtemps que je l'évite. Il doit être en manque. Oh non, il est en manque !
J'ouvris violemment les yeux, espérant trouver rapidement un moyen de m'enfuir, quand mon regard tomba simplement, sur un théâtre de marionnettes. Une des petites poupées de chiffon, ressemblait trait pour trait, à ma petite Loony. Mon coeur commença à fondre. J'étais tellement attendri. Il y en envie une de Millie, de ce traître de Moxxie et une de Stolas.
Je me retournais vers sa grande version, des étoiles dans les yeux. Mes larmes commencèrent à monter, à la vue du petit être qu'il avait entre les ailes. C'était une version minuscule de moi. Adorable, comme moi.
Il tentait de la finir, le fil rouge dans le bec, concentré sur le désir de retranscrire mon aisance, dans ce tissu sans vie. C'était tellement… Tellement… C'est quoi le mot, déjà ? Mignon ! Oui, je le trouvais mignon. Mignonne ! La marionnette est mignonne !
Le regard de Stolas, vont se poser sur moi, interrogateur. Je m'agitai seul, tentant de chasser les pensées qui me venaient à l'esprit. Je me ravisai et le regardai, telle une écolière devant le garçon qui l'attire:
«-Merci. Elles sont très belles.», dis-je avec une petite voix.
Il esquissa un sourire et reprit la couture de Blitzø, numéro deux. Devrais-je, l'embrasser sur la joue pour le remercier ? Cette pensée, me fit rougir. Je rougis ?! Moi, l'incroyable Blitzø ?! Non, non, non et non !
«- AH !»
Je pris ma tête dans mes mains. Je deviens fou. Je deviens fou ! Ce piaf, va me rendre taré !
C'est ce moment-là, qu'il choisit pour venir m'entourer de ses ailes et caresser mon dos. Je ne savais plus où me mettre. J'avais honte. Honte d'être faible à ces petites intentions. Honte d'être chamboulé par cela. Mais surtout, honte d'apprécier cet instant.
«Oh, mon petit Blitzy, notre premier rendez-vous te fait stresser ?», dit-il d'une douce voix.
Je hochais la tête, pour lui dire oui et l'enfuis dans son plumage. C'est bon, d'avoir quelqu'un qui se préoccupe de vous même en enfer; D'être cajoler; De se sentir aimer.
«-Blitzy, dévore mon plumage ! Fais-moi hurler comme toutes ses chiennes ! Transforme-moi en fontaine vivante !»
Sauf, que le naturel finit toujours par revenir au galop.
«-Stolas, votre succulente majesté. Cette idée me plaît mais, vous vous êtes donné tellement de mal pour faire ces marionnettes. N'avez-vous pas, un spectacle à me présenter ? J'ai tellement hâte de le voir !», lui susurrai-je abusant de la technique des yeux de chaton.
Il finit par accepter et me déposa sur un coussin bleu devant le théâtre. Un petit panier était disposé à côté de moi, rempli d'amuse-gueules. Il y en a même en forme de cheval ! Connaît-il, tous mes points faibles ? J'espère qu'il ne m'espionne pas. C'est stupide. Ou pas ? Ah ! Calme-toi, Blitzy ! Je commence à m'appeler par son surnom. C'est bon, je suis perdu.
Je respirai un bout coup, avant de revenir poser mes yeux vers lui. Je voyais sa queue et ses pattes, dépasser de derrière le théâtre. Je pouvais percevoir sa joie, à la vue de son arrière remuer frénétiquement. Je me mis à sourire légèrement. Peut être, que ces rencards ne seraient pas ennuyeux, finalement. Puis, s'il me demande des choses étranges, je n'aurai qu'à m'enfuir. Le temps qu'il ne met pas la corde au cul, je resterai libre. Cela ne fait pas partie du contrat, n'est-ce-pas ?
Quelques jours plus tard :
«-Alors, monsieur, votre rendez-vous s'est bien passé ?
-La routine. Deux grands hommes, parlant de tout et de rien.
-C'est pour ça que t'es rentré en pleurant comme une fillette, en tenant une poupée à ton effigie ?»
Offusqué, je me retournai vers ma fille:
«-Excuse-moi d'être touché par une pièce de théâtre de très bon goût !
-Oh !»
Millie me regardait, avec de grands yeux attendris et les mains jointes comme si elle venait de voir où d'entendre, la plus belle chose au monde.
«-Il vous a fait une pièce rien que pour vous ? Que c'est romantique !», renchérit-elle en faisant son petit rire.
La louve lâcha son téléphone pour me fixer du regard. Je me sentais épier. Aucun moyen de fuir. Où sont les araignées, quand on a besoin d'elle ?
Puis, soudain, tel une sauveuse survenue des entrailles des enfers, Millie reprit la parole en gloussant :
«-J'ai hâte d'assister aux mariages !
-Mais, il n'y aura pas de mariage.»
Nous commençâmes à nous regarder, comme deux ahuris qui ignoraient dans quelle conversation, ils s'étaient lancés.
«-Mais, c'est marqué dans votre contrat. Vous devez vous marier.», me dit-elle, d'un air doucement sérieux.
C'est une blague ? Non, non.
J'allai dans mon bureau, chercher dans la poubelle le contrat que j'avais signé avec cet imbécile d'oiseau, puis me mis enfin à le lire pour la première fois.
En effet, Millie avait raison. Tout en bas et en petit caractère, était écrit que les personnes ayant passées ce contrat devaient se marier pour qu'il soit valide.
Un rire passa ma gorge, en même temps que je déchirais le contrat qui réapparue aussitôt.
Je sortis alors de mon bureau, riant toujours à gorge déployée. Puis, je me mis à courir dans la couloir:
«-AH ! C'EST UN CAUCHEMAR !», hurlai-je en me jetant par la fenêtre, cassant le carreau sous mon passage.
Moxxie hurla quelque chose mais je ne l'entendis pas bien. De toute façon, je n'écoute pas les traitres. Loona me prit encore en vidéo. J'imagine que c'est pour dire à tous ses amis à quel point, je suis drôle et génial ! Puis, elle affirma que j'étais une tsundere. C'est quoi, une tsundere ?
Peu importe, je dois partir loin d'ici. Il ne doit pas me trouver. Il ne doit pas me trouver !
Ils vont me manquer mais c'est pour leur bien. Puis, Moxxie prendrait goût à la royauté, ce n'est pas bon pour lui. Ils ont l'air de tellement s'ennuyer que la présence de n'importe qui, les satisfait. Comme s'ils avaient besoin d'un bouffon. Je riais, jusqu'à me rendre compte de quelque chose. Et si, c'était moi le bouffon ? Non, je suis venu le voir en premier ! Pour le bouquin. Pour ce fameux livre qui m'a valu ce contrat à la con ! Du calme, Blitzø. Du calme. Il ne t'aura pas. Puis, tu n'as pas envie d'être engagé dans un ménage à trois. C'est l'enfer ici, mais même. C'est pas être des amis avec bénéfice, ou même des amants. On est pas amants, n'est-ce-pas ?
Ainsi, je partis, cette question tournant en boucle dans mon esprit. Jusqu'à ce que, fatigué, je m'écroule dans une ruelle et me réveille au côté de ce sordide oiseau qui compte me passer la corde au cou.
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chaglt · 6 years
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Bilan du mois de mars
Buenas tardes :)
Je suis dans la salle d'attente du centre de santé publique (je sais pas si je dois passer par l'accueil avant ou pas, il y a une file de dingue), je pensais étudier mon monologue de théâtre mais non, me voilà ici, à écrire ce billet au titre si froid. Je vous mettrai un autre en fin de billet si je suis inspirée, ou pas.
Elle écrit plus jamais ou quoi la Carlota? Depuis la rentrée (janvier), je pense avoir écrit deux articles si je ne m'abuse? Et nous sommes le 12 mars, oupsies 😇
C'est dû à plusieurs choses je dirais (comme vous me posez si gentiment la question):
1. A la suite de (et non pas "suite à" #lesvraiscomprendront #lEIImelacherajamais) ma grosse fatigue, voire épuisement, de décembre, j'ai décidé de prendre plus de temps pour moi, de faire moins de chose, mais mieux. Éviter de sortir jusque 3h du mat' le we par exemple. J'ai même envisagé de diminuer le théâtre, mais finalement j'ai juste diminué la pression que je m'y mettais, et ça m'a moins fatiguée - C'EST PAS UNE EXCUSE ça Carlota (flemme d'écrire tout en maj), j'y viens!
Purée la haine, je viens encore de perdre la moitié de mon article parce que j'écris sur mon téléphone.. alors que j'avais officialisé un truc haha, bordel 😂 Je vous écris la suite sur mon ordinateur tout à l'heure, ou dans un mois, ou dans un an💜 Bousis!
Me revoilà, un an plus tard (nous sommes le 12 mars 2020, que le temps passe vite) :-) Petite précision, non je ne devais pas passer à l’accueil avant ma visite, qui n’a eu que 30 minutes de retard, étonnement, sidération, joie jubilée (ce qui ne veut rien dire, le mot est d’ailleurs souligné en rouge).
Je vous préviens, je vais partir dans tous les sens. Aucun filtre. Revenons aux raisons de mon absence :)
2. Le samedi de la rentrée, j’ai rencontré un jeune homme adorable :) (ça fait trois fois que je l’écris mais comme ce tumblr de mes deux bugue.. je sais pas comment dire ça en fait haha) Du coup c’est bien cool, on fait plein de trucs (on est même allés à Salamanque ensemble, c’était top), mais du coup, j’ai moins de temps pour écrire. C’est pas une excuse valable ça peut-être?!?
3. Mes shakras étaient alignés. Avant d’éteindre votre ordi d’un geste brusque, laissez-moi vous expliquer (ça aussi ça fait deux fois que je l’écris, je n’expliquerai plus pourquoi). Quand je fais moins de choses, que je suis plus reposée, que je prends plus le temps, j’écris moins. En fait non, c’est pas vrai. Mais souvent, quand j’écris, c’est pour un peu “dégueuler” tout ce qui m’arrive ici, un peu comme Dumbledore et sa pensine #degueu. Quand j’ai un trop plein de. Mais comme j’ai (essayé du moins) fait moins de choses - finalement j’en ai fait de plus en plus, au fur et à mesure qu’on a appris à se connaître Javier et moi (oui, c’est son nom) - cette concordance des temps <3, j’avais moins envie d’écrire. C’est un peu une façon de me calmer, de me recentrer (bon ici j’explose un peu, mes excuses).
BREF, j’ai de bonnes raisons, mais on s’en fout. Je vais vous mettre quelques photos plic-ploc (histoire d’avoir moi aussi quelques souvenirs) de mes aventures de ces dernières semaines :) Enjoy les cocos, et bedankt si vous êtes toujours là (chapeau surtout)!
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Cette photo résume le week-end incroyable que j’ai passé à Tenerife chez Daniela, que j’ai rencontrée en mai dernier via Couchsurfing lors de mon premier voyage solo de 5 jours pour mes 25 ans (cette phrase est à lire à voix haute sans jamais reprendre sa respiration, dix fois si possible). Ce fut le week-end de l’amour, les enfants sont incroyablement adorables et Daniel et Daniela (je ne rigole pas) sont si inspirants et impressionnants. J’adore leur point de vue sur la vie, c’est toujours super enrichissant de parler avec eux. Ils m’ont offert cette caricature, j’étais trop émue (c’est moi au milieu, vous ne reconnaissez pas mes boobs?!)
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Avec Gemma <3
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Avec ma Daniela <3 :)
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Je suis affalée comme un ivrogne à un bar mais bon :) Je suis trop fan de cette famille d’amour <3
Un week-end super émouvant, j’ai adoré :) J’en suis ressortie toute émue (au risque de me répéter), une dose d’amour pure en intraveineuse (c’est une métaphore les cocos, nous ne nous sommes pas drogués, promis). Et Javier est venu me chercher à l’aéroport avec du gâteau fait maison, ce qui était ultra cute, petit bonus de fin de voyage :)
OH MON DIEU. Je ne vous ai pas parlé de la venue de Pollito à Madrid????!!!! Ah ben non, mon dernier article était sur mon bouquin.. Heu ça va faire un article de 300 pages, je vais décourager tous les lecteurs que je n’ai déjà pas haha! Bon ça c’était la semaine d’avant, quelques photos à l’appui :)
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D’un commun accord, nous trouvons que cette photo résume les deux jours et demi qu’elle a passé dans ma té-ci :-)
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La plus grosse tuerie de tous les temps #casadevalencia #OMG - purée qu’est-ce qu’on a bavé sur cette paella!
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Regardez-là comme elle est choupi tout plein! :D <3
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Une petite sieste à la gare d’Atocha, dans le plus grand des calmes.
Qu’est-ce qu’on a ri mes aïeux! Elle a même rencontré Jacob et une autre Pauline (la veinarde), regardez!
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(ma photo préférée, qui n’a rien à voir avec Jacob et l’autre Pauline por supuesto)
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(toujours rien à voir avec Jacob et Pauline)
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Les voilà les petits trouducs!
Bon les petits potes je vais vous laisser, je vais manger avec Elsa et Lorena :)
Je dois encore vous raconter Salamanque et Seany bitch <3
Grosses bètches!
Carlota
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cpt-in-el · 7 years
Photo
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On est allés faire une grande balade avec jazz , ça faisait une semaine qu'on se contentait de faire des petits tours en villes parce que j'était pas tip top niveau moral. Mais au final ça ma fait du bien, il n'y avais casiment personne c'était calme . j'écoutais du lana del rey dans mes écouteurs (oui niveau bonne humeur y a mieux) quand il s'est arrêté pour écouter un bruit qui l'intéressait, j'ai baissé le son pour savoir ce que c'était et c'était des grenouilles!!! Du coup leçon retenu j'ai coupé complètement la musique pour le reste du chemin . On a croisé un bébé pitbull qui s'appelait Snow et il était trop choupi ça ma réchauffer le coeur. On a fait le plein de soleil ça faisait du bien . Une fois rentré monsieur a voulu joué un peu , je crois qu'il a compris que jetait de meilleure humeur aujourd'hui et il en a profité 💖
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e-anko-blog · 7 years
Photo
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[part1] Shibuya - Harajuku 
Bonjour, Bonjour. Aujourd’hui on commence les visites des quartiers de Tokyo par Shibuya le matin et Harajuku l’après midi. Je suis désolée si les dire et photo sont redondant mais je vais refaire beaucoup de chose que j’ai déjà faite, déjà prise en photo l’or de voyage précédent. 
A tokyo on va fonctionner plus par demi journée dans les quartiers parce qu’en général c’est pour des magasins ou des rues donc ça ne prend pas beaucoup de temps, ça fait des journées plus petite, plus posée. 
Shibuya, direction le croisement où il y a le plus de monde qui passe, et la tour 109 et bien sur Hachiko, le chien. J’ai repris une photo la parce qu’il y avait un petit chat sur la statut et je trouvais ça mignon. Il y a aussi une petite fresque avec plein de hachiko dessus (je présume).  Pour une fois j’ai trouvé la tour plutôt calme même si c’était la fin des soldes, peut être parce que c’était le matin ça crié moins ? En tout cas ça a changé depuis la dernière fois que je suis venue. J’ai envie d’acheter tellement de vêtement. On ne trouve pas ça en France. C’est vraiment trop mignon ce qu’ils ont ! Mon amie a acheté une tenue vraiment trop belle ! Malheureusement je n’en est pas pris parce que je n’ai pas la “taille” pour leur vêtement mais c’est trop beau ! (si j’étais super riche, je dévaliserais les magasins!)  J’ai quand même acheté une crème pour les mains et un tint (genre de gloss) à Etude House, une marque coréenne de cosmétique que j’aime beaucoup. J’ai aussi pris des collants, parce que j’aime les collants surtout ceux comme ça. 3 pour le prix de 1 en France, et encore ! (dommage ils sont un peu petit, je suis trop grande en taille).  Après, on est allez manger (mon moment préféré presque). La 1ere photo est ce qu’on à manger hier soir, et la 2eme ce midi. Tout les 2 très bon. Petite préférence pour le katsudon au curry plutôt que les ramens au porc.  On a fait un petit tour dans Shibuya, on a vu des chiots et chaton trop choupi. 
Ensuite, direction Harajuku et la Takeshita Street ! Non non il n’y a pas beaucoup de monde la bas, je ne vois pas pourquoi vous dites ça.  Il y a plein de magasin que j’adore, je pense que le style plus “casual” de certain magasin me convienne mieux. Si j’avais pu aussi, il y a tellement de vêtement que j’aurais voulut prendre mais bon, je me suis contenter d’un Tshirt super nana pris à ACDC (oui comme le groupe) et d’un porte monnaie panda (il est tout doux!) pris à Silhouette.  Pour se récompenser des efforts surhumains de ne pas passez tous le reste de notre budget dans les vêtements, on s’est pris une petite crêpe banane, fraise, gâteau au chocolat et crème (chantilly) pour moi et un bubble tea au melon soda pour mon amie. SUPER BON ! Je suis fan de ces crêpes.  Après il s’est mit à pleuvoir donc on est rentré. On a fait quelques courses et on a pris des taiyaki au passage (c’est sur notre chemin). Ce sont des gâteaux en forme de poisson fourrés à la patte d’haricot rouge (anko), à la crème ou à la citrouille (pumpkin).  Voila voila une photo pour résumé les petits achat du jour. C’était tranquille. 
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capitanogiorgio · 8 years
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Moment émotion pour le CHB ; qu'est ce qui rend BH et AM le plus fier de l'autre? (et pour le bonus choupi, comment ils l'expriment)
En fait ils sont tout le temps fiers l’un de l’autre Ca serait le genre et enrouler un bras autour des épaules de l’autre et à le pointer en gueulant “Hey regardez ! C’est lui, c’est mon copain ! Regardez comment il est génial !”. Quand ils sont en public ou devant les médias ils se retiennent (un peu) mais la fierté est tout aussi palpable.
Ils se soutiennent vraiment beaucoup mutuellement et comme ils sont très tactiles l’un envers l’autre, ça se traduit souvent par se prendre la main, se prendre par les épaules, enrouler un bras autour des épaules de l’autre, être bras dessus bras dessous, se prendre dans les bras ou s’embrasser.
Il y a les “je suis fier de toi” un peu sarcastiques quand AM ne s’est pas goinfré ou BH a réussi à attraper quelque chose en hauteur sans qu’AM ne le porte et sous son regard amusé ou quand l’un ou l’autre à réussi à garder son calme (spoiler: presque jamais) face à la droite ou l’extrême droite. Souvent ça se traduit par une tape du revers de la main contre l’épaule ou le torse. Ou s’ils sont chez eux, BH se permet de claquer les fesses d’AM c’est plus fort que lui. Ca surprend toujours AM de voir son Hobbit avec un regard et un sourire aussi malicieux.
Il y a les “je suis fier de toi” qui veulent dirent “tu n’as rien à me prouver”. C’est souvent quand ils veulent faire une surprise à l’autre en se dépassant dans un domaine pour lequel ils ne sont pas forcément très doué et qu’ils sont déçus car ce n’est pas parfait. Le destinataire de la surprise a toujours un air attendrit et caresse doucement la joue de l’autre avant d’y déposer un baiser.
Il y a les “je suis fier de toi” d’AM à BH après un match de rugby ou de foot de BH. Peu importe le résultat du match et la performance de BH, AM le lui dit toujours. BH proteste quand il trouve qu’il a mal joué ou qu’ils ont perdus mais AM trouve toujours une bonne raison pour se justifier. Dans ces moments-là, AM pose sa main sur le biceps de BH et serre un peu. En cas de victoire, il enroule son bras autour des épaules de BH et lui shampouine même un peu la tête.
Il y a les “je suis fier de toi” de BH à AM quand AM se lance dans un grand plan de sauvetage (comme Florange) ou dans une lutte contre la fraude (type les appartements de Juppé ou les emplois fictifs de Chirac). Dans ces périodes, AM dort très peu, encore moins que d’habitude, travaille non-stop et se démène sans compter. Quand BH veut le faire aller dormir et qu’AM refuse, BH arrive au moins à lui faire prendre une pause et il masse le crâne d’AM, lentement, pour le détendre. Quand il a fini, il lui embrasse les cheveux. Si jamais tout le travail d’AM n’aboutit pas ou qu’il n’en retire aucune reconnaissance ou aucun crédit, BH lui prépare un bon bain bien chaud pour qu’il se calme. Il prend le bain avec lui et AM est plaqué contre le torse de BH qui lui masse les épaules, la nuque, la tête. Il lui dépose aussi pleins de petits baisers doux et mouillés pour lui dire qu’il est fier de lui.
Il y a les “je suis fier de toi” quand l’un ou l’autre doute sur un sujet aussi bien professionnel que privé, ils se demandent s’ils ont fait le bon choix pour tel ou tel truc. Dans ces moments-là, l’autre l’enlace de derrière et lui répète que quoi qu’il fasse ou choisisse il est et sera fier de lui. Ils s’embrassent le front aussi.
Il y a le “je suis fier de toi” après le premier tour de la primaire. Celui de BH est le premier à sortir, BH se met sur la pointe des pieds et attrape le visage déçu d’AM pour l’enfouir contre son épaule ou sa nuque. Les bras d’AM sont enroulés autour de BH et BH lui répète qu’il est fier de lui, qu’il a fait une campagne magnifique, qu’il a fait tout ce qu’il a pu et que c’était très bien. Bref il le réconforte et il met de côté sa propre victoire pour remonter le moral d’AM. Celui d’AM vient beaucoup plus tard, dans la nuit, quand il est dans les bras de BH, dans le lit, dans le noir et qu’ils sont sur le point de s’endormir. “Au fait…” “Oui ?” “J’suis très fier de toi.” BH sourit timidement et rougit et AM dépose brièvement ses lèvres contre celle de BH avant de reprendre sa position initiale. BH sourit et resserre son étreinte.
Il y a le “je suis fier de toi” après le second tour de la primaire. AM n’est pas là, il est en déplacement, mais il appelle BH immédiatement et ils sont émus tous les deux et ils ont hâte de se retrouver pour qu’ils partagent leur joie de visu.
Il y a le “je suis fier de toi” d’AM à BH quand il découvre son QG de campagne et l’organisation. Il a un sourire discret et une main posé sur l’épaule de BH qui est heureux de voir que ce qu’il a fait plaît à AM.
Et enfin, il y a l’éventuel “je suis fier de toi” en cas de victoire, qu’AM répète sans cesse, tantôt en hurlant, tantôt en murmurant à l’oreille de BH qui est collé dans ses bras, qui n’y croit toujours pas. BH le lui dit aussi, pour tout ce qu’AM a accompli, pour les états-d’âmes de sa défaite mis de côté pour le soutenir sans faille et sans relâche, ils n’ont pas envie de se lâcher, AM est aux bords des larmes et BH n’en est pas loin non plus.
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Au pays du soleil levant - Tokyo. Part 1.
Pays des guerriers Samouraïs, du jeux vidéo, de la High-Tech, du sushi, du manga, de l’animation, de Miyazaki, c’est ici même que j’ai atterri !
10 petits jours pour goûter à la culture nippone qui jusqu’alors ne m’était connue qu’à travers les mangas de ma bibliothèque et les sushis de Planet Sushi !
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Tokyo sera le point de départ de cette nouvelle aventure. Pour se poursuivre vers Kyoto, l’ex-capitale du Japon et une excursion à Nara, la ville des daims sacrés.
Sur un coup de tête à peine 3 semaines avant les vacances de printemps, je me décide à prendre un billet Aller-Retour Shanghai - Tokyo, prochaine destination asiatique.
Une fois atterri à Tokyo, quelle fut ma joie d’obtenir mon autorisation d’entrée au Japon ! Jusqu’à présent je n’avais imaginé que j’irai un jour au pays du soleil levant... 
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Ayant pris un vol pas cher, forcément le point d’atterrissage est éloigné de la ville. Il me fallut plus d’une heure de train de banlieue pour rejoindre le centre-ville. La première impression fut que les gens étaient respectueux et prêts à aider la touriste qui ne capte rien aux caractères japonais proches du chinois. Cela permet de découvrir le paysage nocturne de la banlieue de Tokyo. 
Arrivant à destination, je descend à ma station et il est facile de se repérer grâce aux cartes. Avec ma valise (presque vide afin de ramener pleins de souvenirs hihi !) à 23h du soir je m’engouffre dans le quartier traditionnel d’Asakusa vers mon auberge de jeunesse et mon lit qui m’attend !
Après une bonne nuit de sommeil, il est temps de partir en exploration de la ville la plus grande du monde avec ses 37 millions d’habitants !
Pour cette première journée, Shibuya l’un des arrondissements de Tokyo sera à l’honneur. 
La première étape est Meiji-Jingu, le grand sanctuaire shintoïste de Tokyo au coeur du parc Yoyogi.
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Quittant l’environnement bétonné, c’est avec surprise que je pénètre dans une forêt où l’on perçoit à peine le bruit de la ville. Une balade commence alors sous les grands arbres. 
L’entrée du sanctuaire est signifier par un grand Tori (une porte) et ensuite un mur de fûts de saké colorés menant au temple.
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Avec ses grands arbres aux allures centenaires, on a l’impression que le sanctuaire est ancien, en réalité, ce grand complexe shintoïste est assez récent, ne datant que de 1920, construit en l’honneur de l’empereur Meiji et l’impératrice Shoken. 
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En arrivant aux portes du temple, il faut se purifier l’âme, le corps et l’esprit en manipulant des louches en bambou d’une manière particulière, d’un autre côté c’est un bon prétexte pour se rafraichir !
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Il est courant dans les temples d’y trouver des arbres à souhaits. Lieu dédié pour y accrocher son souhait écrit sur un petit panneau de bois. Ainsi l’auteur(e) espère que son message sera entendu.
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Après cette pause nature & fraicheur, il est temps de rejoindre le paysage bétonné de Tokyo.
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Je continue l’exploration de Shibuya, en me dirigeant vers Harajuku, le temple de la mode pour les adolescents Tokyoïtes. 
Un incontournable de la culture populaire japonaise !
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Harajuku est un ensemble de petites rues bondées avec pleins de boutiques de mode plus ou moins excentriques dont Takeshita st. et Omotasendo st. C’est aussi là où on peut y manger de délicieuses crêpes !
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Harajuku c’est aussi the place to be ! Avec ses boutiques de grandes chaînes, de marques de luxe, et de petits créateurs japonais.
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Vous vous souvenez de ce nounours trop choupi que je vous avais présenté dans le billet sur Séoul ? C’est BROWN le nounours, la mascotte du réseau social LINE (qui est en fait une création japonaise). Bon bah le magasin officiel à Harajuku à Tokyo est moins bien que celui de Séoul... Je m’attendais à mieux...
Bref...
De l’autre côté du carrefour se trouve des petites ruelles trop mignonnes à l’image des animés Slice of life avec des salons de thés, des boutiques de créateurs, de designers etc...
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Tout y est calme, on a pas l’impression d’être dans une mégalopole à la renommée mondiale. Tout est à échelle humaine, coin où l’architecture moderne s’exprime par endroits. En passant par là, mon but est de rejoindre le coeur de Shibuya, mon objectif de la journée: le croisement de Shibuya !
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Tadaaa !!! Le croisement de Shibuya où plusieurs centaines de personnes traversent en quelques dizaines de secondes sans se toucher ! En le traversant personne ne m’a touché, ni bousculé ! J’en ai eu la chair de poule tellement c’est impressionnant de l’intérieur que de l’extérieur ! Pour mieux comprendre voici une petite vidéo:
vimeo
Le point d’observation est la baie vitrée du Starbucks où tout les touristes s’arrachent les places. Il faut être fort patient pour avoir une place de plus assise pour reposer les petons. 
Le plus drôle est de voir des gens faire du Mario Kart dans la réalité à Shibuya.
Le rêve est ainsi devenu réalité !!
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C’est ainsi que je finis cette première journée à Shibuya  avec un passage de Mario et de ses copains en Karts. Shibuya est immense, il faut bien une grosse journée pour débroussailler la zone. Tokyo n’est pas une ville qui se fait à pied mais en métro. 
Ravie et surprise à la fois que Tokyo et donc la culture japonaise soit riche et variés et totalement différente de la Chine. C’est un tout autre monde ! Je suis déjà conquise !
Tout est dans l’instant...
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llyza · 7 years
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Le Jugement des Six, Tome 2 : [Mis]fortune
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de Melissa Haag
paru en Octobre 2017
310 pages
http://amzn.to/2j3I0br
RESUME
Au printemps où Gabby rencontre Clay, Michelle, une autre fille comme elle, découvre aussi la vérité. Une vérité qu’elle va devoir partager avec Gabby et les quatre autres qui leur ressemblent. Michelle… Ils m’ont gardée prisonnière pendant quatre ans, m’utilisant pour mes prédictions. Ils ont cru m’avoir soumise, contrainte à suivre sagement les ordres, mais ils se trompaient. J’attendais une occasion de m’échapper. Pour cela, je devais être prudente. Ils détenaient mes frères, et leur chef n’était pas exactement humain. La mort brutale de son beau-père donne à Michelle la seule chance qu’elle aura peut-être jamais de s’enfuir, et elle s’en saisit. Il lui faut un endroit où se cacher et quelqu’un pour écouter ses prédictions afin d’empêcher sa tête d’exploser. Et pourtant, elle n’a nulle part où aller et personne pour la protéger des monstres qui la pourchassent. C’est alors qu’elle rencontre Emmitt. Il est calme, doux, attentionné… et c’est un loup-garou. Si elle parvient à trouver un moyen de lui faire confiance, il sera peut-être capable de lui offrir plus qu’une protection. Il pourrait bien être celui qui l’aidera à se battre pour trouver des réponses au sujet de son don et des autres femmes comme elle.
AVIS 
Il y a des romans qui ont une ambiance, une fois que l'on commence une certaine aura s'en dégage et fait qu'on revient "comme à la maison". Ce sentiment est sûrement dû ici au caractère doux et "innocent" des personnages. C'est un rythme alanguis et sans précipitation qui fait du bien, une romance qui s'installe au fur et à mesure, lentement et tendrement. A côté, il y a pourtant de l'action, le rythme n'est pas ennuyeux ni lent, il y a des enjeux qu'on découvre petit à petit, entre le premier et ce deuxième tome. On a encore beaucoup de questions. Qui sont-elles ? Qui sont-ils ? Que veulent-ils ? etc, etc. Le premier tome présentait le bestiaire des loups garous et un peu de leurs habitudes, on continue avec ces mêmes principes, rien qui ne révolue le genre. Il est question d'âme soeur/compagne, odeur, morsures... mais il y a autre chose en jeu ! Et c'est ça qui nous intéresse, on veut en savoir plus ! L'attente est horrible :D Si j'avais eu un vrai coup de coeur pour Clay (et Gabby), ici les deux personnages sont à égalité. Michelle est une jeune femme très posé et vraiment bien faite, ses réflexions sont censés et son âge est vite oublié. Quant à Emmit, il est tellement Alpha qu'il est d'un caliente de fou, tout en étant tendre et au petit soin avec elle. C'est une saga tout public, sans scène de sexe et pourtant, vous aurez des petits papillons dans le ventre. C'est de jolis romances à chaque fois. Il y a aussi du choupi avec ses deux petits frères, de la famille et de l'amitié. Il y a des complots et des clans qui se font, il y a de la magie et des questions qui ne demandent qu'à avoir de réponses. Vivement la suite ! Un vrai plaisir de succomber à cette saga.
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lifeinbdbelike-blog · 8 years
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Chapitre 1 - 7900 kilomètres plus loin
              Je voulais commencer cette étape écriture plus tôt mais pas d'électricité aujourd'hui à la maison, donc ni wifi ni chargeur. Bienvenue au Bangladesh.
                 L'aventure débute vendredi 28 janvier 2017, à 6h du matin. Réveil difficile après quatre pauvres heures de sommeil. Dernière douche, fin de valise, p'tit dej en travers, on décolle vers 7h30 avec une valise beaucoup trop chargée.
               Père Lachaise, ligne 2, La chapelle, Gare du Nord, RER B, Charles de Gaule terminal 2. Il est neuf heure moins le quart, on est un peu en avance.
               Dernière clope, on attend.
               Le vol s'affiche, enfin. Tout le monde est très aimable, j'enregistre ma valise. 27 kg. Not cool, c'est cinq de trop. Comme chaque élément emporté est d'une nécessité absolue, hors de question de laisser quoi que ce soit. Et oui je prends des robes et des shorts même si j'aurai pas le droit de les porter wesh. Bon ok, je peux peut être laisser quelques bouquins. Mais les robes c'est mort. Ca va, j'en ai pris que trois, j'ai fais le deuil des autres, je pouvais pas faire plus raisonnable. Je réussis, dans mon grand talent, et avec un peu d'aide, à fourrer cinq kilos dans un petit sac à dos. Mais le dit sac ne ferme pas, sinon c'était pas drôle. Il faut l'emballer dans du plastique, je cours partout, il reste 10 minutes pour s'enregistrer. J'suis large, no worries. Ah et j'ai pas un centime aussi. Heureusement que je suis bien accompagnée héhé. Je finis par trouver un stand emballage de valise dans du plastique. Ca a l'air super écolo. Et la dame me dit que ça coute 14€. Dans le plus grand des calmes. Grosse blague ouais. On dégage. Un gentil monsieur nous propose de nous le faire pour 7€, finalement on s'en tire pour 5. J'ai déjà mentionné le fait que j'avais un peu trop de chance ?
               Bref, course à nouveau pour aller s'enregistrer pour de bon cette fois. Je décolle dans une heure. La valise est tombée à 19kg, il y a pas de juste milieu dans ce monde. Tout va bien jusqu'au moment où le monsieur m'apprend que je dois prendre une navette pour aller jusqu'à l'avion et qu'il faut donc que j'embarque tout de suite.
                 WOW WOW WOW. C'était pas prévu ça garçon. Moi j'avais prévu d'arriver bien en avance, pour être bien tranquille, taper le ptit dej pépouze et prendre le temps de dire au revoir. J'aime pas trop quand ça se passe pas vraiment comme j'avais prévu dans ma tête. Du coup je fond en larmes, dans toute la dignité et la maîtrise de soi qui me représente. J'avoue je m'en fous du ptit dej. Mais dire au revoir c'est un peu nul. J'arrive plus trop à tenir mon rôle de bonhomme qui a même pas peur. C'est plutôt la crise de panique là. Oublie vite tout ça, c'était mon unique moment de faiblesse promis (non). Mais apparemment faut y aller (mon papa va me tuer si je change d'avis maintenant haha).
                 Du coup j'ai pas trop de souvenirs entre le moment où j'ai passé la douane et celui ou je me suis installée dans l'avion. Je voyais plus grand-chose aussi. Je me rappelle juste les tronches des hôtesses et des douaniers qui me regardaient à moitié en mode "trop choupi le bébé" et "faut pas le prendre cet avion si ça te met dans des états pareils maggle". Ou alors c'était dans ma tête et tout le monde s'en foutait, ce qui est fort probable en vrai.
                 Mais l'avion est coolos. Vide surtout, j'ai les trois sièges pour moi et un steward qui a sans doute compris que j'étais un bébé et qui est super gentil avec moi (ok, à un moment il m'a demandé si je voulais monter un business de téléphones entre la France et l'Arabie Saoudite avec lui, c'était weird, je lui ai dis que ça allait être compliqué pour moi). J'ai droit à la petite prière en arabe juste avant le décollage, c'est nice. Comme quoi il y a des contextes comme ça où entendre Allahu akbar dans un avion passe sans problème (blague de mauvais goût). En parlant de prières, je suis tout au fond de l'avion et du coup à côté de la petite salle de prière. Mais contrairement à ce que mon moi occidental gavé de télé française aurait pu inconsciemment penser, ce n'est même pas bizarre. Je veux dire aucun moment de malaise, tout le monde est très courtois.
               J'ai quand même du mal à taper la sieste, je somnole vite fait mais j'ai un peu mal à la tête d'avoir pleuré (la fragilité, toi-même tu sais). [Note à ma maman : en vrai j'exagère un peu, j'ai pas tant pleuré que ça, j'ai juste laissé glisser quelques larmes trankil, y avait trop de monde autour pour que je m'épanche davantage]
               Ah. Petite parenthèse propagande vegan (faut pas déconner). Des avantages de choisir un plateau vegan dans l'avion :
- déjà tu manges vegan donc c'est mieux, pas la peine de revenir là-dessus
- t'es servi avant tout le monde, y a même ton nom écris sur ton plateau, BAM
- c'est vachement plus compliqué de rendre un plat d'avion vegan dégueu que de la viande d'avion, donc c'est meilleur
               Promis c'est tout pour le moment. Et j'avais des vrais couverts, pas des nuls en plastiques, ça m'a fait pensé à Martine.
               Sinon dans les cinq heures d'avion j'ai eu le temps de regarder une comédie romantique aussi. Qui suis-je devenue ? Je ne sais pas. (c'était nul d'ailleurs) (mais il y a cette loi internationale qui t'autorise à regarder des films nuls dans l'avion il me semble) En plus je n'ai pas tout compris au film, parce que toutes les passages où les personnages s'embrassent sont coupées du coup ça amène quelques confusions. Mais c'était pas trop intellectuel donc j'ai réussi à m'en sortir quand même. Et les décolletés et les jambes des femmes sont floutés aussi. Youpi.
                 Au bout d'un peu plus de cinq heures de vol, et après avoir survolé les montagnes suisses et le désert égyptien (ça c'était cool), c'est l'heure de l'atterrissage à Djeddah en Arabie Saoudite. Il est un peu plus de 18h sur place, 16h heure française, et il fait nuit. Certaines femmes dans l'avion sont passées de jean t-shirt à burqa. L'aéroport est tout petit, la sécurité beaucoup (vraiment) plus chill que partout ailleurs et je pars me faire fouiller dans une salle réservée aux femmes. J'ai cru comprendre que l'Arabie Saoudite n'était pas réputée pour son grand féminisme.
               Arrivée devant le panneau d'affichage, mon vol n'est pas indiqué évidemment, j'essaie tant bien que mal de me préparer psychologiquement aux huit heures d'attente. Arrivent deux couples de français. Je leur demande où iels vont. Inde, neuf heures de correspondance. Iels me retournent la question. La réponse les fait mi rigoler, mi halluciner. Oui oui, je voyage tout de seule. Iels me proposent de venir attendre avec eux. AUTANT TE DIRE QUE J'AI ACCEPTE OUAIS.
               Il faut que je revienne sur le fait qu'on m'avait très mal vendu l'aéroport de Djeddah. Supposément, deuxième pire aéroport du monde, petit, rien à faire, sale, pas d'internet, peu d'endroits où acheter à manger, ambiance glauque et toilettes turques. Bon j'avoue c'était pas la folie et je m'en serais passée volontiers. Mais, c'était clairement moins pire que ce à quoi je m'attendais. Et rester assis huit heures sur une chaise pour attendre un avion, c'est toujours rester assis huit heures sur une chaise pour attendre un avion. Peut être que je l'aurai plus mal vécu si j'avais été vraiment toute seule, mais franchement ça se fait. Et puis il y avait un Tim Hortons, ça m'a rappelé le Canada, j'étais refaite. Et en plus ils m'ont offert le dessert quand je suis allée me chercher un sandwich (story of my life).
               Du coup on a pas mal discuté, on a bouquiné, on a beaucoup râlé (on se refait pas), on a fait des mots fléchés (ma passion) (j'suis une personne cool comme ça). Le seul truc vraiment chiant était de ne pas pouvoir sortir s'en griller une, cimer l'Arabie Saoudite, j'ai pas envie que tu te soucis de ma santé.
               Attention, moment drôle : un peu plus loin dans l'aéroport, mon œil de lynx repère un jeune homme en train de lire So foot (non, en vrai je vois mal mais il était à genre deux sièges de nous). Je décide donc d'attendre patiemment qu'il ait fini pour pouvoir lui emprunter. Bon, le mec ne faisait pas semblant, il le lisait vraiment, du coup j'ai eu le temps de finir genre deux grilles de mots fléchés, soit une éternité. Il finit enfin par le poser, ni une ni deux, je me jette sur lui. Pas littéralement, calm down hon. Après une maladroite tentative d'approche, tu me connais, il me rétorque que je suis une fille. Se serait-il mis aux standards saoudiens ? Il semble que oui. Bon en vrai on me l'a fait souvent, j'ai l'habitude et il finit par lâcher son magazine. Bien plus habituée à l'Equipe ou, à la limite, à la version web de So foot, je me retrouve désemparée face à la quantité de texte. En plus, j'ai à ce moment, encore plus que d'habitude, la capacité de concentration d'une huitre morte, du coup je me contente de regarder les images et de lui faire la conversation. On était dans le même avion en fait, il va à Jakarta avec 11h de changement. Finalement, je ne m'en sors pas si mal ! On parle de nos backgrounds respectifs, parce qu'on est des gens comme ça, qui utilisent le mot background. Il me dit qu'il a fait sciences po Aix. Je lui demande s'il est de la région. Moi aussi, c'est trop drôle. Il me fait préciser Salon de Provence. Il a fait son collège et son lycée là bas. Je sais que l'expression JPP a été bannie de 2017, mais c'est nécessaire là, j'suis désolée. Il a fallu que je me retrouve à Djeddah, au fin fond de l'Arabie Saoudite, pour croiser un mec qui vient de Salon de Provence. Fin du moment drôle. Moi je m'en remets pas perso.
                 Au bout de sept heures, je commence à faire des allers retours entre ma place et le tableau d'affichage pour savoir à quelle porte je dois m'enregistrer. Mon vol part dans moins d'une heure et ce n'est toujours pas indiqué. Comme à mon habitude, je ne panique pas du tout. En plus, c'est cool parce que vraiment personne ne travaille dans cet aéroport. Et puis c'est marrant parce qu'en fait les portes d'embarquement des avions déjà partis ne sont pas indiqués non plus. Nickel. Je croise un mec qui a l'air aussi perdu que moi devant le panneau. Sauf que lui il a un joli uniforme, Catch me if you can style un peu. Je lui demande s'il bosse ici. Il me répond que non mais qu'il est pilote. Il prend le vol qui va à Dacca. Je vous ai déjà dit que j'avais de la chance ? Il est content que je sois là parce que ça lui fait une personne avec qui râler de comment on n'en peut plus de cet aéroport. Ils sont tellement "hopeless ! hopeless ! hopeless !". Il me conseille de rester dans le coin, que ce sera sans doute la porte 9 ou 10.
               Je vais dire au revoir aux gentil.le.s frenchies qui ont eu pitié de moi, iels ont été vraiment super cool et en plus iels étaient fort.e.s aux mots fléchés.
               Je me dirige finalement vers la longue file de bangladais devant la porte 10, sous les encouragements de mon copain pilote. Je suis une des seules filles, et la seule blanche, tout le monde me fixe, léger malaise. On n'arrête pas de me demander si je vais bien à Dacca, si je suis sur le bon vol et que je ne me suis pas perdue. Je me pose la question autant qu'eux.
               En toute honnêteté, le second vol s'est beaucoup moins bien passé que le premier. J'étais épuisée et je n'arrivais pas à dormir, j'étais un peu mal à l'aise, j'avais froid et l'impression que tout était crade, moi la première. C'était un peu dur.
                 Après un peu plus de six heures de vol, c'est enfin l'arrivée à Dacca. Je te la fais courte parce que c'était pas très fun. Gros bordel pour descendre de l'avion, 40 minutes de queue pour passer la douane, mauvaise pioche. Encore 20 bonnes minutes pour atteindre le tapis pour récupérer mes bagages. J'étais épuisée, sale, j'avais très envie de faire pipi et surtout je me sentais très très seule. Je me dirige vers le terminal 1 où un employé de Friendship était censé me récupérer. Mais à part des une horde de gens me criant le nom de leur hôtel ou leur compagnie de taxi, personne. J'avais le numéro du mec en question mais impossible de l'appeler depuis mon téléphone. Je ne savais pas quoi faire. Tu la sens la grosse détresse des familles là ?
               Du coup, j'ai fais quelque chose qui est rarement mon premier réflexe, je me suis tournée vers la police. Petite précision, la police au Bangladesh porte des uniformes bariolés très rigolo. Ils se déplacent en hoverboard aussi. J'arrive toujours pas à savoir si c'est cool ou ridicule. Bref, comme j'avais du mal à me retenir de pleurer, j'étais incapable d'aligner trois mot en anglais. Je finis pas réussir à baragouiner à un flic, que quelqu'un de Friendship est supposé venir me chercher, mais que je ne le trouve pas, que je ne sais pas quoi faire, que je suis un bébé et que je suis trop perdue. Il me regarde puis demande ce que j'attends de lui. J'en sais rien ptn. Je lui montre le numéro de téléphone, il l'appelle, parle un peu puis me dit de me suivre. Presque il me tenait la main pour m'amener jusqu'à lui.
               Je fais enfin ma première connaissance avec Friendship. Je sais pas si t'as une idée de ce que c'est le soulagement. Parce que c'était un peu ça. Après un petit quart d'heure, la voiture arrive. Je monte dedans et lutte pendant les vingt minutes qui me séparent de l'appartement de Kate et Rob pour garder les yeux ouverts.
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imnotonlyapionne · 9 years
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Quand on tente de stopper une bagarre naissante.
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