Tumgik
#peintre anglais
matyas-ss · 1 year
Text
Tumblr media
Fair Rosamund, Arthur Hughes (1854) National Gallery of Victoria in Melbourne.
34 notes · View notes
Text
Bacon - Eclats d'une vie
Un roman graphique d'une qualité exceptionnelle !
Franck Maubert – Stéphane Manel Ce roman graphique Bacon – Eclats d’une vie propose une biographie illustrée du peintre à partir de ses rencontres avec ses mécènes, ses amants, ses amis, toutes ses relations dans le milieu de l’art, du fruit de ses lectures, de ses recherches artistiques et de ses citations. “Plus grand peintre (figuratif ? ) de son temps, excentrique, autodidacte, amoureux de…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
ydrance · 15 hours
Note
Bonjour!
J'espère que tu ne m'en voudras pas de glisser un petit message dans ta boîte aujourd'hui!
Pour cette journée "Parle ta langue", je me demandais si tu aimerais nous présenter deux ou trois œuvres d'art françaises que tu apprécies particulièrement?
Evidemment, aucune pression ; ne réponds que si tu en as envie!
Je te souhaite une très belle journée!
Salut ! Aucun problème ! Art plastique j'admets préférer des peintres non français, en général. Après en littérature -j'ai fais une licence de lettres modernes- j'ai plusieurs auteurs que j'apprécie !
Albert Camus, du 20ème siècle, j'apprécie non pas seulement sa philosophie. La Peste est très poignant, une vraie histoire qui touche profondément. Caligula de ce dont je me souviens, pour quelqu'un qui n'apprécie pas plus que cela le théâtre, était assez agréable à lire. L'étranger, j'ai également bien apprécié, là aussi non pas uniquement pour la philosophie mais le personnage, l'histoire même. Camus était un romancier, même si j'ai l'impression qu'hors de France il est plus connu pour ses idées sur l'absurde.
À l'époque, jeune idiot en lycée, je n'accrochais pas mais maintenant des années après je dois citer Phedre de Racine. Je dois aussi citer Zola, Madame Bovary de Flaubert, et je n'ai plus le nom mais un truc obscur de fin 19eme. Je me souviens quand on a eu le nom en 1ere année de licence, puis lu le livre, tout le monde se demandait "mais c'est quoi ce truc?!". Mais j'en ai de bons souvenirs, ne serait-ce que pour l'étrangeté !
Pour Zola bien que c'était très laborieux à l'époque de le lire, jeune idiot en collège encore une fois, je reconnais aujourd'hui son apport. Et le fait qu'en vrai il est bien moins laborieux et ennuyant que Balzac! Quant à Madame Bovary je ne sais si je recommanderais de le lire. Il représente tellement bien l'ennui et sa souffrance à elle, ses aspirations, son ambition ses erreurs... Mais il est long et bien chiant soyons honnête. (Et c'est là qu'est son génie. Je trouve cela drôle).
En poésie j'apprécie Rimbaud, Les saisons, et autres je n'ai plus les noms exacts raaaaah, Baudelaire j'ai personnellement moins aimé, mais peut-être que c'était l'âge. Rimbaud me parlait plus. Jeune âme artiste torturé. Je me retrouvais dans ses élans émotionnels et élucubrations existentielles. Dans ses images surtout... J'adore ses images et son language.
J'ai perdu pas mal de références, je ne me souviens pas de tout... Donc je pense qu'il y en a plus pais ma mémoire me fait défaut.
Je citerai peut-être Antigone de Cocteau, là aussi mon idiotie de jeunesse me faisait le rejeter, mais il n'est pas si mal.
Maintenant, si tu permets, j'ai aussi lu des auteurs non français mais non anglais et certains j'aimerais en parler : Lampedusa et Le Guépard, très très intéressant et l'air de rien lui aussi peut aller assez en profondeur et faire réfléchir sur certaines choses. Il campe aussi la Sicile, à une certaine époque. Bien intéressant.
Zweig, magnifique, qu'en dire. Il est poignant, prenant, mais ausis exude un certain calme. Ce n'est pas le tumultueux Rimbaud, loin de là. Au contraire. Il n'est également pas aussi obscure et complexe que les russes. Et pourtant il parle d'émotions humaines, il donne des lessons qui touchent profondément rt marquent à jamais oserais-je dire. Je me souviendrai toujours de La Pitié dangereuse je pense. Ou de La confusion des sentiments. Ou de certaines de ses nouvelles.
J'ai aussi lu des auteurs russes, même si je ne sais si c'est vraiment une bonne idée d'en parler. Je dirais Dostoyevsky et Tolstoy sont... quelque chose. Chacun à leur manière. Mais Anna Karenina est lui aussi un de ceux qui restent en mémoire. Je n'aime pas Anna, ni Vronsky, ni son mari. J'aime Kitty et Levin, oh surtout Levin de ce dont je me souviens je pouvais tellement m'identifier à sa recherche de sens, son fonctionnement mental, ses pensées. Sa réponse était dans la famille la tradition et dieu... Mais je ne peux m'empêcher de penser et si ? Et si aujourd'hui ? Si il était un homme moderne avec tous nos philosophes ? avec les connaissances et diagnostiques...
A meek one, Crime et Chatiment de Dostoyevski m'ont marqué. Le grand inquisiteur... Mais bon Dois-je vraiment décrire Dostoyesvki ? Si vous avez des semaines à perdre à vous torturer et triturer les méninges je le recommanderais. Sinon... Je ne sais pas. Il apporte des choses évidemment mais il est si complexe !
Ah je pense à un dernier auteur français, plus un philosophe : Henri Bergson. Les philosophes ont tendance à m'énerver mais lui j'ai bien aimé.
Oh un dernier nom désolé ! Théophile Gautier (h ou sans h je ne sais plus. Les tags disent sans h donc sans h!). Bien pour des nouvelles ghotiques et fantastiques. (Je préfère largement à Maupassant je dois avouer. Jamais pu digérer Maupassant.)
Jeune j'ai apprécié quelques pensées sur l'art et le théâtre d'Artaud, et un peu de sa poésie. Mais je n'ai jamais pu pardonner son sexisme et sa misogynie. Je ne veux pas entendre l'qrgument "c'est son temps" pour lui. Si Monsieur était si spécial et un génie, il pouvait aller contre son temps non?
Oh non français... hum... celui qui a écrit la maison de poupée je crois... Icksen?
Bref je dois m'arrêter haha 🤣 (et retrouver le nom du gars avec sa torture ornée de gemmes oui celui qui était étrange et nous a tous questionnés en licence 1 haha).
Voilà j'espère que c'est ok haha !
Bonne journée à toi aussi ! Enfin, fin de journée si tu es sur la même timezone que moi !
(Je suis content d'avoir pu parler de littérature... je n'ai jamais terminé ma licence, dernier semestre non complété, et je suis maintenant perdu en psycho... La littérature me manque beaucoup. Donc c'est cool...).
3 notes · View notes
dodger-chan · 9 months
Text
Thoughts on Herlock Sholmès arrive trop tard (1/3)
(yes, only part one; I had family visiting and I'm very behind on all of my book clubs)
I am never not going to laugh about Herlock Sholmès, the guy who is definitely not Sherlock Holmes. It's way too silly.
C’est étrange ce que vous ressemblez à Arsène Lupin, Velmont !
Well, I guess we know who Lupin is in this story. Though maybe Leblanc is writing a double fake out, and Velmont really is a look-a-like.
si vous n’étiez pas le peintre connu dont j’admire les belles marines
Lupin can do everything else, why not be a well-known artist, too?
Des bahuts et des crédences
There are credenzas and credenzas, apparently. I'd check a better dictionary, but honestly I don't know what different types of credenza might exist, and it wouldn't help me build a more accurate mental picture of the room.
devise - motto
« Fais ce que veulx. »
Do what you want. An interesting family motto. Should be Lupin's, I think.
Une indiscrétion n’est plus à craindre. 
Um...you sure about that, Devanne? I was willing to cut you a break for not realizing the guy who looks like Lupin is Lupin, because you don't know you're in a Lupin story, but this is pretty dumb.
Herlock Sholmès, le grand policier anglais pour qui il n’est point de mystère, Herlock Sholmès, le plus extraordinaire déchiffreur d’énigmes que l’on ait jamais vu, le prodigieux personnage qui semble forgé de toutes pièces par l’imagination d’un romancier, Herlock Sholmès
Totally not Sherlock Holmes, legally.
se tourner les pouces - twiddle his thumbs
le 7 thermidor an II - This is a date from the French Republican calendar, making the date (it seems) July 26 or 27 of 1793. As to why this system of dating would be used here? No clue.
<< La hache tournoie dans l’air qui frémit, mais l’aile s’ouvre, et l’on va jusqu’à Dieu. >>
Ah, yes, a secret code. Is there a transcription error? Because I'm not seeing anything about the bird that's mentioned later.
À moins qu’Arsène Lupin ne le devance.
Too late.
Sans perdre une seconde ! ne faut-il pas que cette nuit, c’est-à-dire avant l’arrivée de Herlock Sholmès, je cambriole votre château.
He's literally just said he's robbing the place, and Devanne still doesn't know he's Lupin
En quarante minutes, le salon fut « désencombré » selon l’expression d’Arsène.
Lupin is a bit of a shit, isn't he? Decluttered.
Miss Nelly ! la passagère du Transatlantique
The romantic interest from the first story. Nice to see her again.
Alors, se décidant brusquement, il laissa tomber sur le fauteuil une partie des objets, vida ses poches et se défit de son sac. 
Dude, really?
— À trois heures, demain, tout sera remis en place… Les meubles seront rapportés…
I really don't get it. I mean, I get that he doesn't want her to be scared of him, but what does that have to do with him returning everything he stole?
And, of course, we don't see M. Sholmès in this instalment, as he arrives too late.
3 notes · View notes
frenchdrarry · 7 months
Text
Harry est assis au bord de son tabouret, près des baies vitrées. Il peint avec un air tranquille sur le visage, ses cheveux ardents sont illuminés par une pluie solaire.
Draco arrive, élégamment vêtu : il réalise la prouesse de porter un costard « de façon informel pour un dimanche paisible à la maison ». Son alliance brille de mille feux sur sa peau blanche, il en joue. Il observe le gros jean délavé et taché de couleurs de son époux.
Draco : C’est donc là que tu te cachais.
Harry : Je ne me cachais pas, c’est toi qui te terre dans ton labo.
Leurs voix sont calmes, les taquineries glissent dans l’air comme une musique mille fois répétée.
Draco : Tu me peins ?
De là où il se situe, Draco ne voit le tableau que de profil. Il ne lui a même pas jeté un coup d’œil, il lui préfère le peintre. Harry ne prend plus la peine de lever les yeux au ciel mais il sourit malgré lui.
Harry : Non.
Draco : Non ? Comment ça, non ?
L’atmosphère confortable cède : une nouvelle joute verbale commence. L’air crépite de malice. Pourtant, rien n’a changé : ni la position de Draco, ni les coups de pinceaux lents et appliqués de Harry, ni le soleil qui continue à chauffer agréablement la pièce à travers les baies vitrées.
Harry répète : Non.
Draco : Et qu’est-ce qui t’inspires plus que moi, ta propre muse ?
Harry : Les plantes.
Draco porte la main à son cœur, faussement — ou réellement ? — scandalisé : les plantes ?
Harry : Les plantes.
Draco : Je me fais voler la vedette par des végétaux ?
Harry : Tu n’as jamais eu la vedette.
Cette affirmation est immédiatement démentie par le décor : plusieurs portraits de Draco sont disséminés dans les pièces de la maison. Harry adore peindre Draco et Draco n’est pas du tout dérangé de voir ses propres portraits accrochés dans la maison. Tout deux feignent de l’ignorer — après tout, le narcissisme de Draco est déjà un axe récurrent de leurs taquineries.
Draco : Es-tu en train de dire que moi, ton propre mari, ton partenaire de vie, je t’inspire moins que des plantes ?
Harry : Si, tu m’inspires.
Draco : Ah ! Et qu’est-ce que je t’inspire ?
Harry : Le dégoût.
Draco : …Sais-tu ce que cette discussion m’inspire ?
Harry : Dis-moi.
Draco : Le DIVORCE, Potter !
Harry : Ah.
Draco : Et je garde le chat !
Harry : Seulement si je garde les plantes !
Draco : Hors de question ! Je garde ces satanées plantes et je les maudirais jusqu’à la fin de ma vie.
Harry : Tu ne peux rationnellement pas en vouloir à des végétaux, Malfoy.
Draco : La haine est irrationnelle.
Harry : Excuse-nous Molière.
Draco : Tu n’as jamais lu Molière, inculte ! Et ce n’est pourtant pas faute de les avoir dans notre bibliothèque !
Harry : Je ne parle pas français, monsieur !
Draco : Ton accent me donne envie de pleurer. Et j’ai des éditions traduites en anglais, pauvre benêt !
Harry : Laisse-moi dans mon ignorance crasse et fous-moi la paix, veux-tu !
Draco : De toute façon, tu n’as jamais eu de goût. C’est d’ailleurs bien pour cela que tu peins des plantes au lieu de me peindre, moi.
Harry : Reviens me voir quand tu auras de sublimes bourdons en train d’éclore et des couleurs d’or au soleil.
Draco ne répond rien mais un sourire narquois joue sur ses lèvres roses. Ce n’est un secret pour personne que Harry adore peindre sa peau et ses cheveux, sans cesse émerveillé par l’aspect presque angélique que pouvait avoir Draco. Un aspect que contredit totalement son caractère, mais ça aussi, c’est un autre axe récurrent de plaisanterie entre eux…
Harry se reprend donc : Oublie la dernière partie de ma phrase.
Draco : Dommage, c’était pourtant ma préférée.
Harry : Évidemment. Tu ne retiens que ce qui flatte ton énorme égo.
Draco : Évidemment. Faire l’inverse est insensé, qu’importe tes propres tendances de martyr.
Harry : Je crois que je commence à concevoir l’idée de divorce.
Draco sourit.
Draco : Je garde donc les plantes et le chat.
Harry : Ni l’un ni l’autre, ordure !
La réponse de Harry est spontanée et un début de sourire menace la fin de sa phrase. Le visage de Draco s’illumine d’un bonheur doux et fier — il a gagné cette joute. Harry le sait, il ne se retient plus de sourire et le regarde pour la première fois depuis qu’il est entré dans la pièce. Derrière ses lunettes à moitié tombées sur son nez, ses yeux verts sont un mélange de tendresse, d’amusement et d’exaspération. L’un des mélanges préférés de Draco. Il aimait se dire que faire rire Harry, c’était comme concocter une potion : il suffisait d’ajouter les bons éléments dans le bon ordre. Ingrédient numéro 1 : Harry adorait les running gag.
Draco : Je peux voir ton tableau ?
Harry hoche la tête et Draco s’avance lentement. Harry s’en fiche, il détourne le regard pour se remettre à travailler. Le potionniste en profite pour jeter un coup d’œil aux brouillons par terre, il reconnaît une esquisse que Harry avait faite il y quelques jours depuis leur lit. Enfin, il regarde le tableau et ne retient pas son admiration : il écarquille les yeux et essaye d’embrasser toute la finesse du tableau.
Harry était de ces peintres dont la peinture était si savamment exécutée qu’on percevait directement l’unicité du tableau — son harmonie générale. On pouvait se perdre des heures dans ses peintures et dans l’atmosphère qui y régnait avant de commencer à remarquer les détails foisonnants qui le constituait. Pourtant, c’étaient ces détails qui rendaient le tableau vivant : la précision avec laquelle il dessinait les nervures d’une feuille, les subtils dégradés de couleurs, la fébrilité d’une tige. Le plus étonnant, c’était que ce n’était qu’en se concentrant réellement sur toute la multiplicité des éléments qu’on se rendait compte que le tableau bougeait.
Harry peignait avec sa magie. Pourtant, ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était quand elle ne se voyait pas. Un regard pressé voyait le réalisme du tableau, la précision du peintre, pouvait se dire : « Wow, on dirait une photo ! » et passer à la suite. L’examen attentif révélait en revanche l’exact inverse : ce que Harry peignait, ce n’était pas un moment figé mais une poignée de secondes.
Alors Draco se concentra. Il ne vit pas de vent, car les plantes peintes étaient à l’intérieur, mais il vit le léger changement de luminosité, très probablement à cause d’un nuage qu’on ne percevait pas. Et plus Harry s’appliquait à décliner ses nuances de vert dans des teintes orangées, plus Draco percevait son intention : il lui semblait voir la plante chercher le soleil, vivre, être en croissance. Les bourgeons, pas encore terminés par la main de Harry, commençaient pourtant déjà à s’animer et à essayer d’éclore. Patience, lenteur, inexorabilité, fragilité, quiétude : le tableau lui évoquait tout cela à la fois.
« Je l’adore », souffla Draco. Harry sourit. « Il rendrait bien dans ton laboratoire, non ? »
Et juste comme cela, Draco reprenait sa place de muse.
2 notes · View notes
70dode-blog2 · 2 years
Text
Charles Burton Barber
Tumblr media
Charles Burton BARBER (1845-1894)
Peintre anglais
23 notes · View notes
already-14 · 2 years
Text
Tumblr media
Leonora CARRINGTON
Bon appétit !
Manuscrit autographe signé et illustré de 6 dessins originaux d'une pièce surréaliste inédite. Pièce datée: " fin octobre (1939)".
Cahier in-4, 220 x 170 mm, comportant 115 pages manuscrites et 6 dessins originaux à pleine page, à la plume et encre noire, chiffrées de 1 à 125, sur papier quadrillé à marge rouge.  Le manuscrit comporte, de plus, un envoi au verso de la première page de garde: Pour toi, Max, / avec mon amour./ Leonora
Très émouvant manuscrit resté entièrement inédit de cette pièce surréaliste écrite en français par l'écrivain et peintre anglais, Leonora Carrington. Elle était destinée à son compagnon Max Ernst emprisonné au début de la guerre de 1939, en tant que citoyen allemand. Max y était représenté sous les traits du "Vent" ou du "Liebe Vogel" (Oiseau Aimé); Leonora apparaît comme "l'amoureuse du Vent" et la "Femme-Cheval, Salonique". Le texte et les dessins allient humour cruel et terreur, inventions hallucinantes et images fantastiques.
Christie's - April 29, 2004 - Paris, France
invaluable.com
9 notes · View notes
fashionbooksmilano · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Synchromies
Secrets des Écorces   Geheimnisvolle Rinden   Hidden Art in Nature
Oscar Forel
Edita, Lausanne 1977, 1st Edition, 114 pages,  32 x 28 cm,  trilingue (français - allemand - anglais ) , reliure forte toile de jute avec une photo contrecollée au premier plat.
Exemplaire dédicacé en 1977 par Oscar Forel à l'écrivain suisse Henri Perrochon
euro 120,00
email if you want to buy :[email protected]
Illustré de 48 photographies en couleurs d'écorces, prises par l'auteur.
” Fils du psychiatre Auguste Forel, né à Zurich en 1891, le Dr Oscar Forel travaille à la Waldau à Berne au début des années vingt, rencontre Freud. Rentré dans le canton de Vaud, il crée la clinique de Prangins. Humaniste, ami des arts, il ouvre sa maison de Saint-Prex à de nombreux musiciens. Il découvre le monde secret de la forêt et crée une remarquable collection de macrophotographies d’écorces, ses « synchromies » “.               Par analogie avec symphonie (harmonie des sons), le mot « synchromie » (sun: avec, khrôma: couleur) désigne une harmonie de couleurs, ici dans le monde végétal..Certes, toute une gamme de couleurs existe dans le règne animal, mais elle est beaucoup moins variée.Dans le monde végétal, la fluidité des couleurs est infinie et à ce point subtile qu’un peintre ne parvient pas à copier fidèlement une synchromie.…Une fois trouvé le sujet d’une synchromie, souvent après de longues recherches, il est presque toujours indiqué de laver et de brosser la partie choisie de l’écorce.C’est alors qu’apparaissent, parfois d’une manière surprenante, les couleurs et les dessins.Une fois que l’on a approché la caméra à quelque 30-10 cm, il est souvent nécessaire de faire ressortir reliefs et dessins à l’aide d’un éclairage latéral.
Tumblr media
14/01/23
orders to:     [email protected]
ordini a:        [email protected]
twitter:         @fashionbooksmi
instagram:   fashionbooksmilano, designbooksmilano tumblr:          fashionbooksmilano, designbooksmilano
3 notes · View notes
dalbera · 1 year
Video
"Les coulisses du côté cour dans le miroir côté jardin" de Walter Sickert (Petit Palais, Paris) par Jean-Pierre Dalbéra Via Flickr : Sickert représente des spectateurs au premier plan qui assistent au récital d'une chanteuse en robe rouge mais curieusement il montre celle-ci dans un miroir, ce qui trouble la perception car la chanteuse n'est pas dans l'axe du regard des spectateurs. 
Oeuvre de Walter Richard Sickert (1860-1942) / vers 1888-1889 / Huile sur toile / Rouen, musée des Beaux-Arts.
Oeuvre présentée dans l'exposition "Walter Sickert. Peindre et transgresser", Petit Palais, musée des beaux-arts de la ville de Paris. L’exposition est organisée par la Tate Britain et le Petit Palais, Paris Musées.
L’exposition Walter Sickert est un hommage à Delphine Levy, (1989-2020), historienne de l'art spécialiste de Sickert et directrice de "Paris Musées" au moment de son décès prématuré. 
Très bien documentée, l'exposition révèle un artiste anglais peu connu en France, dont l'oeuvre est déroutante et qualifiée de transgressive. Une scénographie peu attractive, qui plonge les spectateurs dans la pénombre, ne facilite pourtant pas cette découverte. 
Élève du peintre Whistler, il adopte au début de sa carrière des couleurs aux tonalités ternes et "sales" à l'image du climat londonien de l'époque. Influencé par son ami Degas et par les artistes impressionnistes français, il peint d'abord de nombreuses salles de music-hall mais s'intéresse davantage au public populaire de ces lieux qu'aux artistes sur scène. Ces sujets ne lui apportent pas le succès dans une Angleterre victorienne puritaine pour laquelle les music-halls sont des lieux de débauche. Il s'essaye ensuite à l'art du portrait (certains exemples de portraits exposés peinent à séduire) puis à celui du paysage, en particulier à Venise et à Dieppe mais sa renommée s'établit avec ses peintures intimistes (le tableau L'Ennui est le plus connu) et de nus féminins, souvent des prostituées, vivant dans des quartiers déshérités. Il fait ce choix du réalisme en opposition à la peinture académique de l'époque, une attitude constante qui est au coeur de sa volonté de transgression. En ce sens, il sera un modèle pour la jeune génération des artistes anglais d'après guerre.
3 notes · View notes
tynatunis · 2 years
Photo
Tumblr media
L'oeuvre monumentale exposée dans cet appartement conçu par l'architecte Lee Mindel est de John M. Armleder qui est à la fois un plasticien, un collectionneur, un éditeur, un libraire, un galeriste suisse né à Genève en 1948. Il développe des interventions minimales ainsi que des installations de remplissage d'espace. Il est représenté par Almine Rech la Statue figurative est du sculpteur anglais Thomas Houseago. Figure majeure de la scène artistique internationale, Thomas Houseago est un sculpteur et peintre né à Leeds (Royaume-Uni) en 1972 #Repost @sheltonmindel Repost from @galeriemagazine In this Manhattan property crafted by architect @LeeMindel, a large-scale John Armleder work and Thomas Houseago figurative sculpture overlook the living area's plush furnishings. Sofas and armchairs by @SheltonMindel are grouped with a Poul Kjærholm daybed which surround a custom-made cocktail table by @GermansErmics and @BorisBerlinDesign, which hosts a Yamaguchi Ryuun woven vessel. Flanking one of the sofas, twin side tables by André Arbus join a glass and metal end table Charlotte Perriand prototype. — Story by @VickLowry — Styled by @LiliAbirRegen — #LeeFMindel #SheltonMindel #Charlotte Perriand #JohnArmleder #ThomasHouseago #GalerieMagazine #LiveArtfully#helmutnewton #mamiyarz67 #georgesjouve #luisbarragan #donaldjudd #vincenzodecotiis #charlotteperriand #josephbeuys #josephdirand #axelvervoordt  #jeanroyere #markrothko #pierrejeanneret #miesvanderrohe #pierrepaulin #ettoresottsass #jamesturrell #jeanprouvé #bottegaveneta #pierrechapo #midcenturydesign #bytyna (à Manhattan, New York) https://www.instagram.com/p/Ciri5zqM6Jg/?igshid=NGJjMDIxMWI=
2 notes · View notes
Text
Ce tableau émouvant intitulé "Failing Memories" (Mémoire Défaillante) a été peint en 1926 par l'artiste anglais Charles Spencelayh. Il représente un violoniste âgé tenant un violon et luttant apparemment pour se souvenir d'une composition
Tumblr media
Spencelayh était un peintre de genre et portraitiste anglais de style académique.
3 notes · View notes
matyas-ss · 1 year
Text
Tumblr media
The Fairies' Favourite, John Anster Fitzgerald (c. 1860). Toledo Museum of Art.
15 notes · View notes
dixvinsblog · 2 months
Text
On veut des noms – Jean-Paul Clair (de Hiram Maxime à Hue Robert)
HIRAM Maxime Sir (1840-1916) : Inventeur anglais d’origine américaine, on lui doit entre autres le piège à souris. Il convient de préciser aux mauvais esprits que souris est pris ici dans son sens animalier. HITLER Adolf (1889-1945) : Pour lui, il ne devait subsister que les bons Aryens. Si l’on avait reconnu ses talents de peintre auparavant, il n’y aurait peut-être pas eu de seconde guerre…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
lejournaldupeintre · 2 months
Text
Préraphaélites et Gustave Moreau
Numeric etching / after G.Moreau and J.Collier Préraphaélites : Un groupe d’artistes anglais ont voulu retrouver l’inspiration des peintres des primitifs italiens avant que Raphael n’impose sa manière sublime et indépassable (indépassable pour eux; mais en fait Caravage a montré que l’on pouvait peindre aprés Raphael sans pour autant faire du Giotto). Mais revenons à nos anglais qui ont…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
ebooks-bnr · 3 months
Text
Béliard Octave - La Petite Fille de Michel Strogoff
Tumblr media
Béliard Octave - La Petite Fille de Michel Strogoff: Brodant sur les rumeurs concernant la mort de la famille du dernier tsar et d’une potentielle survivante, l’auteur raconte une aventure aux images poétiques. Dans ces événements alternatifs se mêlent des personnages historiques et littéraires, ainsi qu’une pointe de science avec les prémisses de l’invention de la communication visuelle à distance. Un jeune peintre parisien, un riche dilettante anglais féru de science, un journaliste provençal, un voyageur viennois et la petite-fille russe de Michel Strogoff se rencontrent et œuvrent ensemble pour une bonne cause. Octave Béliard (1876-1951), médecin de profession, est devenu écrivain, produisant des romans d’aventure. En 1927, il a obtenu pour ce livre le prix Jules Verne, qui honore les auteurs de littérature scientifique. Téléchargements : ePUB - PDF - PDF (Petits Écrans) - HTML - DOC/ODT Read the full article
0 notes
anthosvtr · 4 months
Text
Un magazine d'art to BLAU your mind
Il y a près d'un an, un samedi glacial à Rivière-du-Loup au Québec a conduit mes colocataires et moi à explorer la ville dans le but de découvrir les commerces locaux et l’espoir de trouver un café pour nous réchauffer. Notre escapade nous a menés à la librairie indépendante locale, et en tant que graphistes, nous nous sommes empressés de parcourir les rayons sans but précis, si ce n'est celui de découvrir de nouvelles références éditoriales. Malheureusement, la plupart des livres au Québec sont des titres importés de nos maisons d'édition françaises, en raison de cela, mon intérêt s'est rapidement porté vers les rayons de romans et de revues anglaises. Lors de ma déambulation parmi les derniers numéros de presse, je tombe sur un magazine qui attire mon attention.
Un magazine se distingue des autres en affichant en pleine page une œuvre d'art du peintre Louis Fratino. Au-dessus, en caractères majuscules avec empattement, trône le nom du magazine « BLAU ». En le parcourant rapidement, je comprends vite qu'il s'agit d'un magazine d'art en anglais à vocation internationale. Ce bref aperçu me convainc, et me voilà reparti avec ce numéro 6 sous le bras.
Tumblr media
Numéro 6 du magazine BLAU International, 2023 Photo Meiré und Meiré : https://meireundmeire.com/blau-international/
Le magazine BLAU, publié en Allemagne depuis 2014, est un magazine d'art qui a pris une dimension internationale en 2019 sous le nom de BLAU INTERNATIONAL. Plus précisément, il est un magazine de mode et d’art, qui examine ce que les deux industries ont en commun. À l'intérieur, on y trouve du contenu mettant en avant des marques de mode de luxe et des galeries d'art. Présentant aussi bien des biographies d'artistes qu'une vision du monde artistique contemporain, le magazine était initialement disponible en tant que supplément culturel du journal national allemand Die Welt (mais aussi en tant que magazine artistique indépendant). Il paraît deux fois par an, faisant de lui un magazine semi-annuel et ses numéros se vendent à un prix avoisinant les 20€.
Tumblr media
Exemple de numéro de BLAU International Photo Meiré und Meiré : https://meireundmeire.com/blau-international/
Lorsque BLAU est devenu international en 2019, il a fallu créer une nouvelle identité pour se démarquer de l'édition allemande et attirer un public plus large et international. Pour cette nouvelle identité, le magazine a abandonné son caractère typographique avec empattement pour adopter un tout nouveau caractère avec empattement. Ce nouveau caractère s'inscrit dans la lignée des Didones et, associé aux images en pleine page, crée un renouveau beaucoup plus luxueux pour BLAU. En effet, ce caractère à grand contraste entre pleins et déliés fait écho au caractère Didot utilisé par HARPER'S BAZAAR dans un souci d'élégance ; ici, il crée une cohérence avec le contenu artistique sophistiqué que propose le magazine.
Tumblr media
Comparaison entre l'édition allemande de BLAU et son édition international Photo de l'article "Eingestellt: Kunstmagazin »Blau«", 27/12/2019 : https://wjar.de/eingestellt-kunstmagazin-blau
Réalisée par le studio Meiré und Meiré, l'identité du magazine se prolonge jusqu'à ses choix éditoriaux. Mettant en avant son contenu photographique par une mise en page simple et épuré. Le contenu se décline à partir d’un seul et unique caractère à empattement en noir et blanc, dans le but de laisser l'art prendre le dessus sur la mise en page. Seules « fioritures », sont des filets fins noir qui viennent parfois délimiter les articles et des changements de taille du caractères qui viennent souligner les citations, du texte courant. Enfin, les seules fantaisies, se trouvent sur les pages d'introduction des différents articles, on remarque parfois des effets de mise en page répondant souvent à l'image qui illustre celui-ci, comme dans ces exemples où les caractères se modèlent autour de l'image ou s'effacent au profit de celle-ci.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Exemple de pages intérieures, Photo Meiré und Meiré : https://meireundmeire.com/blau-international/
BLAU se présente comme un magazine destiné aux amateurs d'art et plus particulièrement aux collectionneurs. En effet, par sa qualité, sa périodicité et son prix, BLAU ne se présente pas comme un simple magazine, mais plutôt comme un objet éditorial dans lequel investir. Cela le différencie vraiment de son édition allemande, qui se présentait davantage comme un numéro quotidien, « plus » en lien avec le journal Die Welt. Avec son ouverture à l'international, il y a eu le désir de créer une toute nouvelle esthétique pour attirer une nouvelle cible plus précise au monde de l’art, que de la cible « généraliste » à laquelle le magazine faisait autrefois face. Cependant, avec son format simple de « magazine de table basse », BLAU se montre également comme un magazine que l'on pourrait se retrouver à feuilleter dans la salle d'attente de n'importe quel médecin parisien.
≃ 4370 signes
0 notes