Tumgik
#photo plage vue du ciel
bleucommemonstre · 2 months
Text
5 juillet 2024
J’ai passé trois jours dans la maison de famille d’un copain pas loin de Montpellier. Il m’avait proposé de venir pour voir la mer, sachant que je bassine tout le monde avec ça. Le premier jour, il est venu me chercher à mon appartement en voiture. J’avais le cafard, mais en même temps tellement hâte de voir le bleu à perte de vue que c’est passé inaperçu je pense. Sur la route, j’ai bu une bière et on a écouté de la musique. Je me suis sentie vraiment en vacances quand je regardais par la fenêtre le paysage défiler pendant qu’il me rappelait le programme. En arrivant, on a pris des pizzas qu’on a mangées au bord de la piscine puis après, on s’est baignés avant qu’il fasse totalement nuit. J’ai joué avec ma machine à bulles puis j’ai laissé les fourmis me grimper dessus. On s’est baladés et il m’a fait visiter son village - en même temps, on jouait à Pokémon Go, c’était sympa - en me racontant des trucs. Les étoiles se voyaient beaucoup car là-bas, ce n’est pas très pollué et avec le bruit des cigales c’était très beau.
Le lendemain, on est allés à la mer ! On a retrouvé un copain à lui et son amie puis on a mangé au restaurant en bord de plage. Ça me fait bizarre car le type travaille et gagne pas mal d’argent alors qu’il a notre âge, sa pote aussi. Elle nous a même proposé de passer quelques jours dans une « villa » mais perso, je ne pouvais pas, je devais aller garder ma grand-mère à Paris. Bref, ils sont partis et on s’est baignés. Allongée sur le sable, j’ai réalisé qu’avec lui à ce moment-là, face à la mer, il y avait une douceur qui m’enveloppait et c’était beau. Aussi, il a le don de me faire sentir jolie alors que je ne m’aime pas, c’est apaisant.
J’avais pris mon journal alors je l’ai dessiné puis j’ai cherché avec lui des coquillages et des plumes après avoir mangé une glace. C’était marrant, c’était un peu comme une chasse au trésor. Il m’a même ramené une plume de mouette ! Ça m’a fait très plaisir car les mouettes, c’est mes oiseaux préférés : elles me rendent nostalgique de mes vacances en Normandie tous les étés quand j’étais petite, le seul moment de l’année où je voyais la mer. À un moment, il m’a fait la remarque qu’on dirait une enfant quand je suis à la plage et c’est vrai. Je me sens toute petite et émerveillée pour un rien là-bas, j’ai l’impression de rattraper une jeunesse qui m’a été arrachée. Mais je crois que me voir contente comme ça, ça l’a rendu heureux de m’avoir invitée.
Le soir, on a fait une petite soirée en jouant à des jeux d’alcool, c’était sympa mais j’étais crevée. Le lendemain, avant de prendre la route, j’ai cueilli une fleur dans son jardin pour mettre dans mon journal.
C’était un petit voyage qui m’a guérie un peu du mal-être qui, jusque-là, grandissait en moi.
Dans pas longtemps, il m’a invité avec un groupe de copains à aller dans une maison dans les Cévennes quelques jours : j’ai dit oui évidemment.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ps: Le dernier jour on s’est baladés. Je me suis allongé sur un banc au point de vue où il m’a emmené. J’ai mis de la musique et on a regardé le ciel. Il m’a dit qu’il voyait un truc — je ne sais plus trop quoi — dans les nuages et, sur le coup, je ne voyais rien. Plus tard, en rentrant, j’ai regardé la photo que j’avais prise de la vue et j’ai dessiné un monstre mi-autruche, mi-je-ne-sais-quoi qui m’apparaissait dans le ciel.
Tumblr media
5 notes · View notes
Text
Nous avons passé une journée absolument magique : ce soir, nous sommes devenues des princesses Disney... Mais d'abord, la matinée !
Nous avons fait une jolie sortie organisée masque/tuba en bateau, c'était vraiment très sympa. On a vu des coraux, des bénitiers géants, une multitude de poissons de toutes les tailles, formes, et couleurs, et même un poisson balon ! La mer était remplie de petits êtres transparents ressemblant fort à des méduses sans filaments (et qui piquaient un peu, mais ça ne durait pas longtemps), probablement des salpes. Bon, pas de photo des fonds marins, mais une photo d'un spécimen unique !
Tumblr media
Et pour ne rien gâcher, la vue depuis le bateau était très appréciable .
Tumblr media
Nous rencontrons durant cette sortie Maryse, une pharmacienne française avec qui nous passerons le reste de la journée, elle était super sympa :) mais elle repart demain, dommage ! On croise en allant manger une procession pour le moins ... Étrange !
Tumblr media
On a ensuite passé l'après midi à papoter dans l'eau de nos vies respectives, Dr Rathatton pas plus mouillée que les genoux, attention l'eau c'est froid.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Pas trop mal comme paysage hein ? 🥰
Et après avoir mangé un délicieux burger et des frites double cuisson (!!!!), nous partons réaliser un rêve d'enfant : essayer de trouver du plancton bioluminescent.
On s'éloigne de la plage et des lumières, c'est la pleine lune, on sait que nos chances ne sont pas élevées, mais j'y crois. Pendant que Clémentine et Maryse attendent sur la plage de voir si cela vaut le coup de se tremper les miches à 20h sachant qu'il faudra prendre une douche froide dans l'eau, je m'enfonce vaillamment dans la mer.
✨❇️🎇Et au bout de quelques mètres, en mettant la tête sous l'eau, je découvre que dès que je bouge les mains ou les pieds, des dizaines de petites lumières s'allument comme par magie !!🎇❇️✨ Le reflet de la lune est trop puissant pour le voir à travers l'eau, mais avec les masques et tubas, aucun problème !
Nous avons donc passé les quinze minutes suivant à batifoler comme des enfants, chahutant pour faire apparaitre le plus de ces petites lumières possibles : j'avais l'impression de faire de la magie, comme si l'énergie s'accumulait autour de mes mains pour lancer un sort ... C'était incroyable !! Le tout sous la lumière de la pleine lune, seules sur la plage, les étoiles au dessus de nos têtes. Comme l'a si bien dit Maryse, "il y a des paillettes dans la mer, dans le ciel et dans nos yeux !" 🌟💫☄️
Voilà, c'est une Annette très heureuse qui va se coucher, je vous souhaite à tous de vous sentir comme moi ce soir 🥰
4 notes · View notes
bonheurportatif · 2 years
Text
Quelques trucs bien en novembre
1er novembre Recevoir un mail amical, sous la forme d'un strip de Tom Gauld Ramer sans se casser le dos Découvrir une revue québécoise de recherche en littérature
Tumblr media
2 novembre Déjeuner sur le pouce, des restes du frigo Découvrir avec intérêt le travail de Jérôme Game, parmi d'autres trucs de poésie sonore Ne pas voir passer l'heure au téléphone avec la responsable d'un refuge équin 3 novembre Raccourcir efficacement la procédure de validation d'un article Avoir lu un Goncourt avant qu'il ne soit primé Dîner d'une soupe de cèpes 4 novembre Se réveiller en pleine tempête Être à jour de son travail pour au moins un après-midi Regarder un film avec la famille au complet 5 novembre Couper une betterave cuite en petits cubes Sauvegarder enfin le contenu de son vieil ordi sur un disque dur externe En profiter pour se replonger dans plusieurs années de photos
Tumblr media
6 novembre Aider sa fille à boucler fissa son devoir de géométrie Lire dans l'après-midi le livre qui attendait depuis un an sous son lit Retrouver facilement sur internet le titre qui nous est revenu en mémoire durant la lecture 7 novembre Après les avoir longuement cherchés, et redouté leur disparition, retrouver deux bouquins, à leur place, dans la bibliothèque Ranger, et réaménager un peu le bureau Saupoudrer sa soupe de potimarron de châtaignes écrasées 8 novembre Ouvrir un restaurant à oiseaux et rencontrer un grand succès : les clients se battent Retrouver l'infraordinaire Acheter trois livres, en commander deux, s'en faire offrir deux
Tumblr media
9 novembre Passer par la plage pour rentrer Apprendre la différence entre "raven" et "crow" Limiter sa consultation des sites d'info 10 novembre Rester plus longtemps qu'à l'accoutumée sous une douche plus chaude qu'à l'accoutumée Ranger mon placard d'atelier Décliner avec politesse mais résolution une proposition de collaboration 11 novembre Tomber sur une mise en abîme de ces 3 trucs bien dans un roman Faire des pizzas maison, pâtes comprises Finir un deuxième roman avant d'aller se coucher 12 novembre Prendre un café avec une amie perdue de vue depuis des années et croisée au marché Sourire aux "bains sulfureux" gravés dans la pierre Lire l'inspirant journal d'Erica Von Horn 13 novembre Se réveiller au terme d'une quasi grasse mat', à 9h passées Faire une promenade sur la plage Remplacer la pile de la pendule
Tumblr media
14 novembre Se réveiller une minute avant le réveil et l'empêcher de nuire Liquider rapidement le courrier Voir un arc-en-ciel 15 novembre Entendre la pluie sur le toit Renouveler sa pile de livres à lire à la médiathèque Passer par la mer et tomber sur une procession de promeneurs de chiens lumineux 16 novembre Réécouter Vaduz de Bernard Heidsieck Préparer (balayer, dépoussiérer) le poêle en prévision d'un feu Faire la première flambée de l'automne 17 novembre Voir un mini-arc-en-ciel très furtif dans la tempête Animer sans réelle préparation une très agréable séance d'atelier Marcher sous un ciel gris menaçant et s'abriter quelques secondes avant l'averse
Tumblr media
18 novembre S'accorder quelques minutes supplémentaires au lit Recevoir Le Matricule des anges avec Thomas Vinau Boucler (enfin ?) un boulot qui traîne depuis deux mois 19 novembre Se régaler de la lecture - et de la découverte - de Guy Bennett Savourer par avance la triple bonne pioche effectuée chez le libraire Lire devant un feu, tandis que le reste de la famille joue 20 novembre Fêter un anniversaire avec tous les enfants Bien réussir les tartines au fromage, fondu, pas trop grillé Regarder Blow Up pour la première fois 21 novembre Marcher sur la plage et contre le vent avec sa chérie Manger des saloperies, avec une culpabilité gourmande D'un souffle, ranimer le feu 22 novembre Voir un très bel arc-en-ciel pile dans l'axe de sa rue Boucler son travail à 9h30 Recevoir la confirmation pour la location des vacances
Tumblr media
23 novembre Trouver une place où il n'y en a habituellement jamais Acheter un mixeur à bras qui fait aussi batteur à œufs Manger des oursons à la guimauve avec un nutriscore E comme "Excellent" 24 novembre Franchir in extremis le passage à niveau avant qu'il ne se mette à sonner Tester des haïkucottes avec les étudiantes, mélange de haïkus écrits sur des salières en papier Se faire son cadeau de Noël 25 novembre Arriver à nouer la cravate de sa fille Recevoir quelques mails amicaux Arriver sur l'île à la fois dans la brume et sous le soleil 26 novembre Lire presque toute la journée Décrasser sans forcer la vitre du poêle Démarrer facilement le feu 27 novembre Réviser son espagnol Effectuer une réparation de fortune dans le plafond crevé de sa fille Conduire dans les marais, de nuit, à petite vitesse, sous une pluie battante 28 novembre Balayer l'humeur du jour à la tombée de la nuit Préparer deux chocolats chauds Tester les rapports entre les temps de cuisson et le moelleux des cookies maison
Tumblr media
29 novembre Découvrir sa playlist 2022, basée sur ses statistiques d'écoute Céder à la fatigue Sortir son gros pull islandais 30 novembre Allumer le chauffage un mois et demi plus tard que l'an dernier Reporter tout travail ce matin Déclarer un total de piges confortable
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai. > Quelques trucs bien en juin. > Quelques trucs bien en juillet. > Quelques trucs bien en août. > Quelques trucs bien en septembre. > Quelques trucs bien en octobre.
18 notes · View notes
2t2r · 2 years
Text
Quelques photos de plages vues du ciel
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/quelques-photos-de-plages-vues-du-ciel/
Quelques photos de plages vues du ciel
Tumblr media
0 notes
albert-prous · 3 months
Text
ACT209
pieds dans l'eau vacances d'été
barbotant tous à tous les étages caves
simple bassine au bleu de méthylène
touché coulé seau mercurochrome
tasse au lever du jour nitrate d'argent
nez dans les embruns vague épuration
ça sent fort date limite iode impur
aérosol bon marché écoutilles closes
crème solaire extra huile à frire
cous nus poster au plafond couleur tendre
culs à volonté photos en main
baladeuses voluptés sous les 100 watts
tangue ta langue tempête dans un verre d'eau
vue trouble sur le poisson rouge du bocal
dessalement sous la douche shampoing gras
serviette de plage basse ceinture
vingt heures météo marine prévisions
alerte sécheresse plus d'eau dans la bassine
impuissance niveau au plus bas coule de source
à gué à gué oyé Pharaon t'es foutu
trop de vapeurs requins coquins
passages pour piétons d'une rive l'autre
bleu des eaux main droite ou main gauche
bleu du ciel pareil gauche ou droite 1
ah les marées voir les horaires
je veux pas vous voir aller seul au cimetière
premières tombes sont les lépreux illisibles
vu d'un tapis volant ou sur des échasses
les fosses sont percées ça fuit de partout
les clochers les revoilà les pas japonais
son front de rides seins avec balises
au fond les dieux tous parmi les épaves
canyons sous marin malles frou frou or
l'histoire vraie des trois petits palétuviers
sur les planches secrets de polichinelle
le port haut front à rides cœur à trous
sous le plancher crâne lisse à boire santé
étendue de matières sèches salées
comment s'habillaient les marins en ville
quelle veste était portée à l'origine par les marins
où était fabriqué les cirés et paletots
comment s’appelait une veste de marin
dessaler depuis sémaphores
savaient-ils qu'il n'y aurait plus une goutte
hep hep poète crois mare où là à tes pieds
grenouilles si grosses couleuvres avalant
toujours plus distinctement le sable
bel été au balcon frappe cormoran ami
prous
2
0 notes
omagazineparis · 5 months
Text
7 lieux à voir lors d'un voyage en Grèce pour un été inoubliable
L’été est là et il est temps de commencer à réfléchir aux vacances. Et si cette année vous partiez en Grèce ? Sous le soleil méditerranéen, le pays offre une multitude d’endroits qui pourraient vous enchanter. Voici nos sept propositions de destinations en Grèce qui vous feront passer un été inoubliable ! Avez-vous toujours rêvé de faire un voyage en Grèce mais ce n’était jamais le bon moment ? Eh bien, cela va changer aujourd’hui ! Dans cet article, on vous propose sept destinations qui vous permettront de passer des vacances d’été idéales. Des endroits qui allient à la fois détente, divertissement et culture. Par ailleurs, plusieurs lieux bénéficient de nombreux sites et monuments qui sont classés au Patrimoine mondial de l'UNESCO. Alors, prêt.e.s à découvrir la Grèce ? C’est parti ! La Crète Ce serait impossible de parler de toutes les beautés de la plus grande île de Grèce tellement elles sont nombreuses. Entre vestiges de l’Antiquité, paysages naturels incroyables et petits villages pittoresques, la Crète est la destination d’été idéale. Commencez par une visite au palais de Knossos, monument qui remonte à l’époque minoenne, qui se trouve près de la ville d’Héraklion. Ensuite, faites une randonnée à la gorge de Samaria, sans oublier votre caméra pour prendre des photos des paysages magnifiques. Prenez un peu de temps pour vous détendre dans une des nombreuses superbes plages du coin. Et le soir, rendez-vous aux tavernes d’Agios Nikolaos pour goûter les spécialités crétoises, accompagnées bien sûr du raki : la boisson traditionnelle de l’île. Delphes Si vous rêvez d’une destination dans la Grèce antique, vous n’avez qu’à vous rendre à Delphes. Faites un tour sur les pentes du Mont Parnasse. Pourquoi ? Il s'agit d'un site archéologique qui figure parmi les plus importants dans le pays. De plus, il accueille des millions de visiteurs chaque année. Considérée comme le centre du monde durant l’Antiquité, la ville abritait aussi le sanctuaire d’Apollon dans lequel l’Oracle délivrait ses prophéties. Flânez entre les ruines et visitez le musée archéologique de la ville où sont exposés des objets qui ont été trouvés sur le site. Outre son passé illustre, Delphes offre également plein de possibilités pour les amateurs de sport. Explorez les paysages verts à travers des randonnées ou admirez-les depuis le ciel en faisant du parapente. Aussi, pensez bien à apporter votre caméra : la vue depuis les montagnes est à couper le souffle ! Corfou Parmi la pléthore d'îles grecques, Corfou parvient à se distinguer. Dans ce véritable paradis sur terre, on trouve une forte influence italienne, présente entre autres dans l’architecture et les saveurs locales. Pour comprendre de quoi il s’agit, vous n’avez qu’à vous rendre dans la capitale de l’île ionienne pour flâner dans ses ruelles. Cela vous permettra d’admirer les bâtiments vénitiens avant de vous rendre à Spianada, la place centrale qui sépare la vieille ville du Vieux Fort. Effectuez une visite au palais Achilleion, la villa au jardin extraordinaire qui fut la résidence de l’impératrice Sissi. En tout cas, n’oubliez pas votre maillot de bain ! Outre ses paysages bucoliques, l’île de Corfou est connue pour ses plages charmantes aux eaux bleues azur. Une destination en Grèce à tester ! À lire également : Top des 10 pays les plus incroyables à visiter cette année Athènes On ne pouvait pas, bien sûr, passer à côté d’Athènes. La capitale de la Grèce contient tout ce qu’on pourrait demander d’une grande ville, en associant son passé ancien à un aspect moderne. Bien que remplie de vestiges de l’Antiquité, la première chose à voir est évidemment le Parthénon. Bâti au Vème siècle avant J.C., le temple dédié à la déesse Athéna est un monument d’importance mondiale. En quittant la colline de l’Acropole, vous pouvez vous rendre dans le quartier de Plaka où des magasins de souvenirs s’épanouissent à coté de petites tavernes. Ensuite, culture et histoire se regroupent dans les différents musées de la ville, comme le musée Benaki ou le musée de l’art cycladique. De Monastiraki, le quartier central et son marché aux puces en passant par la place centrale de Syntagma, le cœur animé de la ville ne manquera pas de vous enchanter. Thessalonique Au nord du pays, située près de la mer Égée, se trouve la deuxième plus importante ville de Grèce. Bien qu’elle dispose également de vestiges de l’Antiquité, Thessalonique est plutôt connue pour son passé byzantin. De nombreuses églises adornent, la plus importante étant la basilique de Saint-Dimitri (Hagios Demetrios), protectrice de la ville. Il s'agit d'un centre culturel important qui, tout au long de l’année, accueille une multitude d’événements : des concerts, des festivals, des expositions. Après une journée d’exploration, rendez-vous à Ladadika, le quartier des restaurants, pour goûter des spécialités grecques traditionnelles. Et pourquoi ne pas terminer la journée par une belle promenade le long du bord de la mer ? Sur le chemin, vous aurez l’opportunité de voir de près la Tour Blanche, monument imposant de l’époque ottomane et symbole de la ville. Nauplie La prochaine destination, toujours en Grèce, est l’une dates plus belles villes du Péloponnèse. À 150 kilomètres de la capitale et près de la mer, Nauplie constitue la station balnéaire préférée des Athéniens. Elle figure aussi parmi les destinations les plus populaires pour les escapades à deux. Aux eaux tranquilles de la mer Égée viennent s’ajouter des maisons à l’architecture vénitienne et des forteresses médiévales pour créer une atmosphère bien romantique. Rendez-vous dans les merveilleuses plages de Nauplie pour faire un tour de bateau dans le golfe ou même à voile. La ville des amoureux peut également se targuer d’une histoire riche, ainsi que du titre de première capitale de l’État grec. Cela vaut le coup d’explorer non seulement la ville elle-même, mais aussi ses alentours. Profitez de votre séjour pour vous rendre sur le site archéologique des Mycènes, pôle majeur de la civilisation mycénienne dans l’Antiquité. Et bien sûr, le magnifique théâtre d’Épidaure, lieu emblématique de la culture grecque. Cyclades Cette liste ne serait pas complète sans la présence des Cyclades : îles de la mer Égée qui accueillent une myriade de touristes chaque année. L’image des petites maisons blanches aux toits bleus que l’on trouve dans cette destination est connue dans le monde entier. La première à considérer pour vos vacances est bien sûr Santorin. Surtout connu pour ses couchers de soleil émerveillants, l’île volcanique peut se targuer du titre de l’île la plus romantique de Grèce. Si pour vous l’été est synonyme de détente, on vous propose de passer une journée dans les eaux chaudes thermales de Santorin. Si, par contre, vous cherchez la vie nocturne, vous n’avez qu’à prendre le bateau destination Mykonos, l’île cosmopolite où la fête ne s’arrête jamais ! Ces destinations en Grèce vous en tenté ? Alors, sortez vos agendas et commencez à planifier votre voyage ! La Grèce vous attend ! Read the full article
0 notes
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Vendredi 29 décembre 2023
Les températures fraîches étaient de retour aujourd’hui, mais le ciel gris annoncé a laissé sa place à du soleil avec passages nuageux. Pour débuter la journée, une petite visite à la plage de Clearwater, où mes parents sont allés lors de leur voyage de noces, il y a 47 ans. C’était pour eux l’occasion de redécouvrir les lieux qu’ils ont fréquentés à l’époque, avec une nouvelle perspective, et surtout beaucoup de changements depuis leur dernière visite.
Comme le nom de la ville (et de la plage) l’indique, l’eau du golfe du Mexique devrait être bien claire ici. Toutefois, il y avait un vent a tout casser, et la mer semblait charrier un tas de sable qui la rendait trouble. On repassera samedi et dimanche, peut-être aurons nous droit à des eaux plus claires. Toutefois, les plages de sable blanc, formées essentiellement de coquillages broyés, étaient au rendez-vous, prenant parfois l’aspect d’une grande étendue de neige (photos 5 à 9). Le quai s’avançant dans la mer était décoré d’une multitude de parasols multicolores (photo 10). J’ai trouvé le tout bien beau, croyant qu’on avait choisi de mettre de la couleur sur cette plage immaculée. Finalement, au moment de monter sur le quai, je me suis rendu compte que de nombreux commerçants s’y étaient installés et qu’ils utilisaient simplement les parasols pour se protéger du vent…
En après-midi, nous sommes allés faire un tour du côté de Tampa, où nous avons marché un bon moment. Nous avons notamment traversé une partie de l’University of Tampa, où nous avons pu admirer le pavillon Plant, construit en 1891 en tant qu’hôtel, avant d’être intégré à l’université dans les années 1950. De style mauresque, avec ses tourelles et son ornementation omniprésente, il se distingue instantanément dans le paysage de Tampa (photo 2). Nous avons également marché vers le centre de la ville, sur les rives de la rivière Hillsborough, où nous avons eu de belles vues sur les plus hauts édifices du centre économique (photos 1, 3 et 4).
0 notes
alexisgeorge24 · 1 year
Text
12 septembre:
Réveil après une nuit passée dans la voiture sur un parking près du port. Il pleuviote et donc on fait surtout des visites de villages pêcheurs: Å, Reine, Nusfjord. Tous ont leurs maisons en rouge sur pilotis le long d'un fjord et au pied de la montagne. On reconnaît d'ailleurs la couverture du lonely planet et du routard. Vers la fin d'après-midi la pluie s'arrête et le ciel gris dégage les sommets; on en profite donc pour faire une mini rando vers Yttersand. On prend alors conscience de la beauté de la région, malgré les nuages qui nous oblige à utiliser notre imagination pour combler les "trous".
Enfin, nous dormons dans la voiture à cause de la pluie. La météo n'aillant pas finis de gâcher la journée, on apprend que des irruptions solaires rendent idéales l'observation d'aurores boréales, A CONDITION d'avoir un ciel clair !
On ne perd pas espoir et c'est avec grande surprise que vers 21h00 (début de la nuit) le ciel s'éclaircit brièvement et localement en vert et on aperçoit notre toute 1ère aurore !!! Petite, mais c'est suffisant pour nous rendre heureux comme un enfant de 4 ans qui obtient enfin sa barbe à papa. Photos, dodo, puis vers 03:00, c'est le plat principal qui est servi après cette 1ère entrée: du vert qui traverse tout le ciel. L'enfant de 4 ans a un diabète.
Bilan: 5km, 300m d+
13 septembre:
Les étoiles toujours dans les yeux, on commence la journée par une randonnée aux sommets Ryten et Middagstinden. A partir de maintenant j'utiliserai le terme "lofotesque" pour décrire un point de vue panoramique sur des montagnes abruptes qui chutent dans la mer et/ou fjord en formant quelques plages de sable fin, des eaux turquoises, des cabanes de pêcheurs se fondant dans le décors, des nuages "régisseur lumière", des lacs miroirs pour ces sommets orgueilleux, des anges, saint Pierre, Zeus, bref, parmis les plus paysages que j'ai eu la chance de voir.
On redescend puis 2e randonnée où on bivouac près du refuge Munkebu. Sur le chemin on subit une tempête de grêle qui nous rappelle que les Lofoten ça se mérite. On se couchera à 19h30 sous une grêle qui vient et qui repart empêchant toute activité hors tente.
Bilan: 15km, 1400m d+
14 septembre :
Belle météo (enfin). On monte au ‎sommet Munken nordtopp: Lofotesque. On renoncera au sommet Hermannsdalstinden qui apparemment n'est que rarement dégagé. On redescend donc et on fait une ballade sur la côte depuis Eggum. Au pied d'une belle falaise, on s'attendait à mieux; mais c'est relaxant de ne pas faire du dénivelé positif.
On finis la journée en grimpant le Festvågtind et y pose la tente au sommet: Lofotesque. On finit le Clément devant le coucher de soleil sur les montagnes du continent séparées par la mer.
La nuit le ciel est complètement dégagée et on assiste à un festival d'aurores boréales.
Bilan: 12km, 1000m d+
15 septembre :
Au réveil le spectacle se situe à 180° de la veille: lever de soleil sur encore (mais on ne s'en lasse pas) d'autres montagne. On visite la ville de Henningsvær à cheval sur 3 petites îles et juste au pied du sommet d'où nous descendons. Vue qu'il fait beau et que le soleil ça se respecte ici, on fait une randonnée en montant au Blatinden. C'est encore une fois lofotesque avec des panoramas qui se ressemblent certes, mais si on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve, on n'admire jamais deux fois les mêmes montagnes non plus.
On finit la journée sur une double plage reliant une presqu'île. Avec le soleil c'est "plouf", puis avec le froid c'est "dodo".
Bilan: 2km, 600m d+
1 note · View note
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
MARDI 12 SEPTEMBRE 2023 (Billet 1 / 3)
Certains d’entre vous étaient inquiets… et nous l’ont même écrit. Plus d’édition du Blog ? Mais comment se fait-ce ?...
Eh bien tout simplement parce que nous étions partis 15 jours à Palmiye, un Village du Club Med en Turquie, près de la station balnéaire de Kemer. Nous l’avions suggéré par un petit message (très) subliminal avec, en guise de citation, le titre d’une chanson de François Deguelt (que les moins de 20 ans ne peuvent pas… etc.) : « Il y a le ciel, le soleil et la mer… ».
Concernant « Le ciel et le soleil… » nous avons été très gâtés. Parfois un peu trop même quant aux températures. A Palmiye il a fait très chaud et surtout très humide mais heureusement il y avait l’eau.
Tout nous a plu, nous vous montrerons de temps en temps sur le Blog des photos, vous verrez, ce Village est superbe et nous avons BEAUCOUP aimé notre séjour ! Les levers de soleil sont juste magiques ! Par contre nous avons eu un petit (gros) problème avec « la mer ».
Nous étions prévenus, la plage est une plage de galets. Mais bêtement nous pensions qu’elle allait être comme celle de Nice, avec de beaux galets blancs et gris-clair. Mais que nenni, c’était sur environ 2 ou 3 mètres des petits galets noirs et gris-foncés puis ensuite d’horribles gravillons sur lesquels on devait s’avancer pour rentrer dans l’eau. On ne vous parle pas des rangées de transats hyper spartiates, courts sur patte, de la même couleur, protégés 2 par 2 du soleil par un parasol fixe avec une toile grisâtre. En un mot, c’est la plus vilaine plage que nous ayons vue depuis que nous voyageons ! Mais encore ça, ça pourrait ne pas être trop grave car la mer était DÉ-LI-CIEUSE ! Chaude à souhait… même un peu trop ! Digne des Maldives, c’est vous dire !...
Tumblr media
Et c’est dans cette eau que nous avons rencontré, ou plutôt que Marina a rencontré son plus gros problème. Peut-être à cause du réchauffement climatique (nous avons appris que ce problème n’était pas spécifique à la Turquie, il y a eu cet été, en Méditerranée, de nombreux cas analogues), des petits poissons, d’environ 5-6 centimètres, des « sars », se la sont joué façon « piranhas » en s’attaquant aux jambes des baigneurs et principalement, délice suprême pour eux, aux veines variqueuses !!!
Tumblr media
Au moment de la morsure vous ne ressentez presque rien mais, quand vous sortez de l’eau et que vous commencez à vous sécher près de vos transats, si vous avez été mordu au bon endroit, c’est un jet de sang, semblable à la miction du célèbre Manneken Pis bruxellois, qui jaillit de votre jambe. Bon, on exagère un peu, disons que le jet est plus fin… mais il gicle ! Quand c’est arrivé, n’en connaissant à ce moment-là absolument pas la cause, JM s’est affolé et après avoir demandé à Marina de comprimer avec des serviettes en papier l’endroit d’où le sang giclait, il a foncé à la réception pour faire appeler l’infirmier. 5 minutes après il est arrivé et c’est sur le chemin pour rejoindre la plage que ce dernier lui a expliqué que cela arrivait régulièrement, que c’était des petits poissons qui mordaient les varices et pour éviter que cela arrive, il fallait, quand on se baigne, bouger les jambes en permanence. Soit.
Un peu de désinfectant, un pansement comprimant et tout est très vite rentré dans l’ordre.
Le lendemain, rien. Longues baignades, agréables mais agitées au niveau des jambes. Aucune attaque de « pirahnas ».
Le surlendemain, une nouvelle attaque et ça n’est qu’en prenant sa douche sur la plage que Marina s’est aperçue qu’elle saignait de nouveau… exactement au même endroit. JM, lui, était allé se rincer dans la grande piscine de l’hôtel et s’est en retournant sur la plage qu’il a d’abord vu que Marina n’avait pas regagné son transat. En levant les yeux, il l'a aperçue, près des douches, lui faisant de grands signes. Il a tout de suite compris, a pris dans le sac de plage des serviettes en papier et l’a rejointe au plus vite. Une charmante GM avait déjà prévenu un barman qui est arrivé peu après avec de quoi désinfecter et panser.
De ce jour-là, nous ne nous sommes plus jamais baignés dans la mer et avons élu domicile sous un « Bali Bed » dans la très, très belle piscine Zen de l’hôtel.
Nous vous parlerons de ce lieu dans le troisième et dernier Billet.
1 note · View note
lilstjarna · 1 year
Text
Tumblr media
Sète
Sète est localisée en Hérault dans la région Occitanie au bord de la méditerranée. Bordée par un étang d'eau salée qui abrite diverses espèces animales et un sommet majestueux offrant une vue dégagée sur les environs, cette ville aux multiples canaux et aux ruelles ornées de street-art est considérée comme un des plus beaux ports de pêche et de commerce du sud.
Tumblr media
Comment venir ?
Sète se situe :
en train : 10min d'Agde, 20min de Montpellier, 30min de Béziers, 1h de Narbonne, 1h20 de Carcassonne, 1h30 d'Arles
en voiture : 35min d'Agde, 35min de Montpellier, 40min de Pézenas, 50min de Béziers, 1h de Narbonne, 1h20 d'Arles, 1h30 de Carcassonne, 2h10 de Marseille
en bus : 1h15 de Béziers
Tumblr media
Quand et combien de temps ?
Sète est la ville idéale pour passer une journée au bord de mer. Elle offre des promenades dans sa forêt, des plages où l'on peut se baigner et des ruelles ombragées pour se poser prendre une glace. Si vous souhaitez rester plus longtemps dans le département mieux vaut vous loger sur Montpellier et garder Sète pour une expédition d'un jour.
Mieux vaut s'y rendre au printemps, au début de l'été ou de l'automne afin d'éviter les grosses chaleurs de l'été ou l'ambiance morne en hiver. Les températures seront à ces périodes plaisantes et le soleil au rendez-vous.
Tumblr media
Que voir à Sète ?
Des monuments et sites historiques : quais et les canaux, vieux port, phare Saint Louis, halles , quartier de la pointe courte
Du patrimoine religieux : chapelle Notre Dame de la Salette
Des espaces verts : forêt des pierres blanches, Mont Saint Clair (panorama sur la vielle et ses environs), chemin de la pointe du rat
Des musées : le CRAC, le MACO (Musée à Ciel Ouvert que constitue les ruelles ornées de street-art de Sète), le MIAM (Musée International des Arts Modestes), musée de la mer, musée Paul Valéry, Espace Georges Brassens, Centre photographique
Tumblr media
Que voir dans les environs ?
Des villes et villages : Montpellier, Agde, Béziers, Narbonne, Arles, Carcassonne, Marseille, Pézenas
Des lieux uniques : abbaye de Valmagne, villa gallo-romaine de Loupian, Château Laurens, écluses de Fonséranes, Canal du Midi
Des espaces naturels : étang de Thau, Ferme Zoo Bouzigues, musée des dinosaures, les salines
Tumblr media
crédits photos @lilstjarna
0 notes
french-maestro12 · 2 years
Text
vacances en Égypte 2023
Tumblr media
Êtes-vous prêt à camper en Égypte? Je voudrais dire que l’expérience de camping en Égypte est l’une des plus belles expériences que vous pouvez faire en Égypte. Vous pouvez profiter d’une expérience de camping avec vos amis ou votre famille tout en passant du temps en plein air. Quels endroits pouvez-vous camper en Égypte? 1)Le désert blanc et noir
Tumblr media
C’est l’un des endroits que vous pouvez camper , où vous profiterez de la nature merveilleuse. Le désert blanc et noir est situé dans le sahara occidental de l’Égypte près des oasis Frafra. Le sahara occidental est une destination incroyable pour camper sous les étoiles. Le désert blanc en particulier est populaire auprès des amateurs de camping en raison de ses formations blanches spectaculaires, qui sont une belle merveille de la nature en Égypte. Lorsque vous faites camper dans ces déserts, Vous pouvez voir les étoiles , faire les safaris en quad sur les dunes de sable, visiter le mont Crystal, la vallée d’Aqaba et nager dans les sources naturelles de l’Oasis.
2)La réserve de Ras Abu Galoum
Tumblr media
Ras Abu Galoum est une réserve nationale située dans le golfe d’Aqaba, à 15 km de Dahab. Dans la réserve d’Abu Galoum, vous pouvez camper sur la plage et profiter d’un mélange inoubliable de vue sur la montagne et le ciel avec le bruit de l’eau. Cette réserve comprend un grand nombre de cottages et tentes bédouins locaux où vous pouvez passer la nuit. Cependant, il est préférable d’apporter votre sac de couchage et des bouteilles d’eau. 3)L’oasis de Siwa
Tumblr media
C’est un endroit idéal pour camper et s’isoler du monde moderne. Des milliers de personnes ont visité l’oasis de Siwa constamment pour en savoir plus sur son patrimoine, son histoire et sa culture uniques. Il est à noter que les résidents de Siwa ont leur propre langue, qui est plus proche du berbère que de l’arabe. 4) Qal 'an à Marsa Alam C’est l’un des lieux de camping les plus importants en Égypte. Qal 'an est un village unique loin de la vie urbaine, à 350 km au sud de Hurghada, basé sur l’énergie solaire. Dans ce lieu , il y a beaucoup de maisons en bois pour conserver l’environnement, il est un village plein de magnifiques mangroves qui donnent au village une forme distinctive. Ce village a également une plage caractérisée par l’eau claire et le sable doux et calme qui vous aide à vous détendre. Par ailleurs , vous pouvez pratiquer quelques activités aquatiques dans ce village comme la plongée et le snorkeling. Et vous pouvez camper sur la plage de ce village et profiter de la brise de l’air et se détendre. 5)La réserve de Wadi Al-Rayyan
Tumblr media
Vous pouvez camper dans cette réserve mais cette fois le camping sera afin de profiter des activités et pas seulement pour méditer. Ne manquez pas le ski sur les dunes pour passer un bon moment au milieu de la nature. Cet environnement désertique sera une nouvelle expérience pour vous. 6)Ras Shitan
Tumblr media
La région de Ras Shitan est l’une des meilleures attractions touristiques de Taba. Là-bas, vous pouvez profiter des jardins colorés et des endroits préférés pour les aventuriers de plongée et prenez des photos uniques au milieu des eaux spectaculaires de la mer Rouge. C’est l’un des endroits de camping sur la plage les plus populaires en Égypte. Les adventages de camping:-
 Camper dans la nature loin de la vie moderne et d’échappement de voiture
 Le camping vous aide à réduire le stress. Lorsque vous allez au camp, vous oublierez tous les stresseurs
se détendre et profiter de calme
E-mail:[email protected] Mobile:-+201001422529 Site: www.egyptonlinetours.com
0 notes
coxinel · 2 years
Text
Amanohashidate, le « pont dans le ciel »
Tumblr media
Cette bande de sable plantée de pins, longue de presque 3 km est l’une des « trois plus belles vues du Japon », les deux autres étant Miyajima et Matsushima, que nous avions déjà visitées lors de précédents voyages.
Le temps est couvert mais il y a peu de risque de pluie aujourd'hui, contrairement à ce qui est prévu pour demain, aussi vaut-il mieux y aller aujourd’hui. Nous commençons par le belvédère auquel on accède soit en funiculaire soit en télésiège, qui n’ont étonnamment aucune barre de protection.
En haut se trouve un petit parc d’attraction, quasiment désert en cette période de l’année.
Tumblr media Tumblr media
Ici, le visiteur est invité à prendre la pose « matanozoki », qui permet de voir le paysage sens dessus dessous et donne l’impression d'un dragon dans le ciel.
Tumblr media Tumblr media
La visite continue par la promenade sur la bande de sable. Le sentier est réservé aux piétons et aux deux-roues.
Tumblr media Tumblr media
On peut y observer de nombreux oiseaux.
Tumblr media Tumblr media
De l’autre côté de la bande de sable, l’ambiance est plus calme. Il y a bien au moins un ou deux magasins de souvenirs et quelques restaurants, mais assez peu de monde dans les rues.
Nous trouvons un restaurant de fruits de mer, le すえひろ, servant d'excellentes tempura.
Tumblr media Tumblr media
Prix de ce festin : ¥1440 par personne pour le 天ぷら定食.
Il nous reste l’après-midi pour monter jusqu’au belvédère, cette fois en funiculaire.
Tumblr media Tumblr media
De ce côté, on ne voit pas les vagues que forment les plages du côté de la mer, mais le panorama est dégagé.
Depuis la gare supérieure du funiculaire, on peut encore monter, soit en bus, soit à pied par un sentier dans le parc Kasamatsu (傘松公園), qui rejoint ensuite la route.
Tumblr media
On retrouve ensuite un autre sentier menant à もみじ谷, la « vallée des érables » (もみじ谷) qu'il serait dommage de ne pas voir en cette saison.
Tumblr media Tumblr media
On atteint le but de la promenade, le temple Nariaji et la pagode à 5 étages qui se reflète dans un petit étang.
Tumblr media Tumblr media
Continuer un peu la route qui longe l'étang et suivre le petit panneau 写真スポット (ou demander le shashin spotto = spot photo) si l’on est perdu.
Encore quelques escaliers et l'on a alors mérité une vue panoramique sur le site.
Tumblr media
Il nous faut maintenant revenir. En regardant Google maps pour estimer l'effort qu'il nous faudra fournir pour refaire tout ce long chemin à pied, nous nous rendons compte que le parking où nous avons laissé la voiture est ouvert jusqu'à 17 heures.
Il est déjà 15 heures. Nous avons le temps de rentrer, mais il ne faut pas traîner : 20 minutes pour redescendre jusqu'au funiculaire, puis, une fois redescendus par le funiculaire, encore 3,5 km à faire pour revenir à notre point de départ. Nous avons le temps, mais il ne faut pas traîner.
Tumblr media
Nous pressons le pas, même si la fatigue commence à se faire sentir. Nous arrivons à temps au parking, sur lequel il ne reste que deux voitures. Et là, le gardien du parking, qui était invisible ce matin (il faut avouer que nous n’avions pas beaucoup cherché), attend dans un coin du parking et nous demande son dû, en parlant comme s'il s'adressait à des natifs. Mais ce n'est pas bien compliqué à comprendre.
0 notes
Text
Le soleil est un miracle de la nature. Après des jours sous un ciel gris parfois pluvieux, ce sont de doux rayons ardents qui nous ont réveillés ce matin sur une plage de l’île Quinchao. Le mardi au soleil, c'est une chose que l'on peut avoir à Chiloé.
Tumblr media
Une fois nos petits déjeuners engloutis dans nos ventres et notre tente presque sèche proprement rangée, nous roulons avec entrain vers la belle église toute de bois vêtue que nous avons vue la veille. Celle-ci s’avère être encore fermée… ce n’est pas très grave, il y en a plus de 150 dans la région! Nous décidons donc de nous diriger vers celle d’Achao, principal bourg de l’île.
Tumblr media
Cette dernière n’ouvre qu’à midi. Nous en profitons pour prendre de jolies photos avantageuses de Patochimbo dans le but de le mettre en vente à un prix pas si exorbitant (et oui, l’idée de nous séparer de notre van nous fend le cœur, mais ainsi va ce monde cruel). A l’issue de ce shooting de niveau professionnel, la batterie nous fait encore des siennes et le van refuse de démarrer…Heureusement, de gentils locaux (également nommés PNJ scriptés par Docteur X) passant comme par hasard par là nous dépannent, et nous pouvons repartir soulagés mais toujours sceptiques sur la façon dont les lois de l'électromagnétisme s’appliquent à Patochimbo.
Tumblr media
Midi dix, l’église ouvre! On découvre un intérieur coloré tout en bois, qui change radicalement des églises dont on a l’habitude en Europe. Les églises de Chiloé ont été construites par les Jésuites dans la première moitié du XVIIIeme siècle, avant que ceux-ci ne soient congédiés et remplacés par des Franciscains à partir de 1767. A l’origine, on en comptait pas moins de 200! Leur construction en bois les rendant fragiles, il n’en reste aujourd’hui plus que 150, dont 16 sont classées au patrimoine mondial de l’Unesco.
Tumblr media
Celle d’Achao est la plus ancienne de l’archipel et date de 1730. Construite en bardeaux de cyprès de Patagonie, elle a du subir de multiples rénovations. Au fil du temps, une partie des fondations a été renforcée par du béton, pendant qu’une grande partie du bois a du être remplacée.
Tumblr media
Nous poursuivons notre journée par la visites de petites bourgades et de leurs églises sur Chiloé. La plupart sont fermées au tourisme, mais on croise de mignonnes maisons en bois dans le même style architectural caractéristique de l’archipel.
Tumblr media Tumblr media
En boni, une courte balade vers une cascade devant laquelle Touille entre officiellement dans le club très select des apprentis ninjas (qui est un club dissident formé par Dr X et Touille, tous deux vexés de ne remplir aucun des critères permettant d’intégrer le réel club ninja géré par Dr Rathatton) et une île des âmes naviguantes très pittoresque avec son ponton de bois permettant d’y accéder à marrée haute. L'île contient le cimetière de la commune locale, d'où son doux nom.
Tumblr media Tumblr media
Après toutes ces aventures que la pluie -pour une fois- n’a pas interrompues, nous terminons par un bout de route qui nous mène au bord du lac Huillinco, pour une nuit qui on l’espère se déroulera tout autant au sec !
Tumblr media
1 note · View note
janelher · 3 years
Text
Mercredi 26 juillet, 20h06
Plus tu t'en vas, et plus je pleure de l'intérieur; des montagnes de douleur s'écroulent sur moi, et je me meurs doucement...
Je t'aime tellement que mon âme ressent un énorme vide.
C'est pourquoi je t'écris chaque jour ces palaces de cristal craquelés, qui me coupent avec leurs débris, et laissent couler à flots azurs sur la plage et blizzards oppressants dans mon sang.
Celui-ci s’écoule, et se confond avec cette même eau du Rhône qui s'était répandue il y a deux ans, jour pour jour, jusque sur les bords de mon cœur, lorsque tu t'étais enfui dans ce train...
Les photos de ce Vaucluse-là galopent encore dans mes rêves, car elles avaient attrapé si peur, mon amour, lorsque tu t'étais éloigné à bord de ce train...
Chaque seconde qui me sépare de toi, ardente, vertigineuse, semble durer une éternité.
Et je demeure vide et abattue, ainsi qu'un vieux vampire sans reflet dans les miroirs, m'empressant de te blottir bien au chaud dans mon esprit, précieusement et fébrilement, et je t'écris dans l'espoir de, peut-être, parvenir à calmer cette inaltérable douleur.
Pourtant, écrire ne saurait rien apaiser, et même, cela devient comme une lance empoisonnée, disséminée quelque part entre mes tripes et mes rêves tout comme il y a deux ans jour pour jour, lorsque tu avais rejoint Paris sans m'emmener. Chaque mot que je te dédie tout spécialement, tendrement, c'est comme une boule de pleurs là dans mon ventre, avec cette impression que le sol se dérobe sous mes pieds, et peu importe la robe que je porte, ma vie se met à dériver puis à délirer, sans discontinuer.
Si seulement je pouvais parfois utiliser les stratagèmes qui, à ce moment précis, m'avaient accompagnée dans ton absence, je redeviendrais cet être intouchable rien qu'en replongeant mon âme dans l'eau vive de nos souvenirs incandescents, mais ils dépendent si fort de ton corps, et de la chaleur que diffusaient tes tendres baisers...
Je repense à cet été-là d'il y a deux ans, jour pour jour, quand je ne te serrais pas pour m'endormir, et que je ne pouvais t'enlacer pour me réveiller, et je ne m'en lasse pas.
Oh oui, je m'étais mise à haïr tout le reste !
Je me voyais déjà mettre fin à l'humanité toute entière, en lui donnant la plus triste des morts; je m'étais même prise à déposer ma pauvre âme aimante à portée de la main de Dieu.
Je me souviens d'avoir voulu m'y reposer éternellement...
Je m'étais mise également à pleurer le sang de la lune dans la mer, car je ne ressentais plus rien lorsque je ne te sentais plus; dès lors, tu étais reparti t'affairer à ta vie, à Paris.
Troublée de ne plus savoir manger, mais assouvissant chaque désir et chaque envie en laissant craquer la pluie, en colère depuis lors contre mon cœur, comme dans un hiver...
Mais il n'y a, comme alors, aucune branche de gui pour me rattraper, ou pour me bercer.
Oui, je t'en avais voulu de me laisser, jusqu'à me mordre les lèvres et sentir physiquement que ta présence hors de ma vue était inconcevable, cruelle et totalement absurde, telle la sève de l'arbre qui s'écoule au long d’un tronc qu'on aurait écorché violemment...
Je voudrais, comme alors, oublier que tu es encore parti.
Mais déjà, lorsque tu t'en allais il y a deux ans, jour pour jour, je sentais que je perdais tout dans le même temps: tu me manquais atrocement, et j'étais restée prostrée dans mes larmes, vide et seule, puisque ma vie déjà, c'était toi; oui, la vie sans toi n'est qu'un terrain vague qui me fait trembler de peur, tant il est inconnu.
Je me rappelle t'avoir vu t'éloigner dans ce train il y a deux ans, jour pour jour, et avoir prié le ciel, contre toute attente, afin que ses rails se détraquent, et que tu me reviennes, mon amour, que tu redeviennes ce trésor d'entre mes bras, émerveillé par ces derniers, bouleversant par tes premiers sourires.
Devant ce grand ciel rose d'amour et de vent en faisant tournoyer des fleurs, ces feuilles et puis ces pleurs, cette fraîcheur dont seul l'amour sait garder le secret...
Je n'avais demandé qu'un je t'aime en plus de tous ceux qui, chaque jour, s’amusaient à prendre la forme des spores de ma peau, tournoyant et grelotant au sortir de ta bouche, avant de s'insérer dans ma vie comme un petit enfant se blottit auprès des bûches de la cheminée.
Ces je t’aime-là avaient même transformé ma vie en une pluie d'envies délicieuses que le manque de toi, aujourd'hui, incinère.
Mais l'espoir ne saurait survivre plus longtemps, car il doit déjà porter sur ses épaules tous ces morceaux de lâches au revoir.
Tu sais, depuis ce jour-là d'il y a deux ans, jour pour jour, je voulais vraiment croire en Dieu, tellement je me sentais heureuse en me sentant vide; tellement je me sentais légère en ayant besoin d'arrêter d'être triste puisque même si tu étais déjà loin, par-delà les campagnes, j'entendais que tu pleurais.
Ces larmes dans ma solitude, ces cris en silence, ces sourires pour cacher qu'en vérité sans toi, j'étais perdue, c'était pour mieux te chercher, jusqu'à épuiser mes mots et puis mes mains, pour mieux te découvrir dans mes rêves, et faire que Paris ne te récupérât jamais.
Aujourd'hui et tout comme il y a deux ans, jour pour jour, personne ne m'entend que le papier, sur lequel s'épanchent mes rimes; que ce papier qui pleurait et déclenchait dans les rues d'Avignon, un déluge éperdu pour tous les amoureux qui étaient séparés. Oh oui, j'avais peur, je pleurais et je tremblais, et toutes les rues autour de moi se ressemblaient; il y avait ton visage, flottant sur chaque affiche, et ton sourire, dilué dans les lumières de la ville, s'était mis en friche.
Je me sentais m'enfoncer dans mon oreiller, alors que le temps passait trop lentement, confiné dans mon ombre, et je sentais aussi qu'il pouvait me tuer puisque tu commençais à jouer, puis à chanter, si loin de ce train assassin dont j'avais entendu le tourment, bien distinctement dans son sifflement.
Séparés l'un de l'autre, j'avais ressenti si fort comme l'on ne pourrait plus jamais aimer avec ces cœurs-là jusqu'à ce que nous, moitiés et âmes sœurs, soyons réunis, assemblés en un merveilleux bouquet d’amour et dispersant le parfum des jours parfaits derrière nous.
Je me souviens aussi que le pire avait été de ne pas vouloir ouvrir les yeux le matin, refusant d'observer les trains qui arrivaient et qui partaient, refusant d'assumer le fait que tu n'avais pas fait demi tour et que je n'avais pas sauté dans le tien, ni ne t'avais rejoint en prenant le suivant.
Tout était devenu obscur et la lumière ne brillait plus, au bout du tunnel; j'avais essayé de me raisonner mais ce fut bien trop dur, sans ton regard glissant sur les plissures de mes jupes ou la fossette de mon sourire; je ne savais déjà plus me trouver belle. Comme j'aimerais simplement faire comme ce temps-là, où j'avais essayé de m'évader en écoutant chanter John et puis Georges, mais même à cet instant, malgré leurs efforts pour émerveiller nos vacances, mon cœur, à leurs voix, se mettait à fuir ces deux anges dans le vent afin de te souffler ce besoin de toi, sourd quoi que violent, qui voulait que tu m'appelles ou que sans moi, tu t’ennuies.
Comme j'aimerais, ainsi qu'alors, savoir faire semblant de sourire, bien que mon cœur demeurait triste et fatigué de bouger, de respirer sans toi, incapable de commenter ou d'observer aucune étoile, sinon prompt à apprendre comment tomber amoureuse de tout ce qui m'aurait fait avancer.
Peut-être avais-je cherché quelque chose, quelque part, qui jamais n'exista, ou n'existait déjà plus. Je m'étais sentie dévalisée de toutes mes forces, je ne savais plus faire quoi que ce soit; et durant ces deux années, chaque fois que tu t'en allais, c'était tout un pan de mon corps, que je sentais s'arracher.
Comme toi, qui me disais constamment que tu m'avais dans la peau...
J'étais obligée de lutter bien fort pour arrêter de penser, livrant bataille contre montres et routines, et pour admettre que le temps nous échappe bel et bien, lors même qu'il me menait jusque dans tes bras.
C'était il y a deux ans, jour pour jour, mes yeux me trahissaient bien que j'essayais de paraître plus forte; mes larmes n'étaient qu'une page froissée, arrachée, raturée puis oubliée sur une page de baisers.
Mes ailes avent pris feu, et comme tout le monde, d'Avignon au Rayol, voyait bien que j'avais mal, j'avais commencé à recouvrir un peu la mer, les vignes et les trains, de ce manque insensé de toi.
Ce manque illimité de toi. Ce manque sans dessein, mais qui me faisait tout de même me réveiller, au matin.
Parfois le soleil se cachait, comme pour mieux laisser les nuages couvrir ma détresse, et ainsi nourrir ma tristesse de ce bonheur intense que j'avais vu, niché dans ton regard, égal au désespoir que tu m'avais murmuré lorsque tu refusais de me laisser, et que tu m'observais, haletante sur ce quai, à courir comme si c'était ta vie qui s'en allait, et comme si ma vie en dépendait...
Oui, déjà, lorsque tu t'en allais il y a deux ans, jour pour jour, je sentais que je perdais tout dans le même temps: tu me manquais atrocement, et j'étais restée prostrée dans mes larmes, vide et seule, puisque ma vie déjà, c'était toi; oui, la vie sans toi n'est qu'un terrain vague qui me fait trembler de peur, tant il est inconnu.
2 notes · View notes
darkpalmor · 4 years
Text
4 JANVIER  2021
Louis Armand, on continue !
Écriture brève (10-15 minutes maximum) : Point de vue. Prendre le point de vue d’un objet familier et raconter ou décrire (en monologuant ou en s’adressant à quelqu’un) des moments de sa vie quotidienne, son environnement, ses états d’âme, etc. Objet imposé : Un masque spécial anti corona virus.
J’en ai marre de toi et de ton menton ! Ça me gratte à chaque fois que tu bouges, tu es mal rasé et c’est dégoûtant. Et puis d’abord, ce n’est pas comme ça qu’il faut me porter. Sur le nez ! Pas sous le menton ! Sous prétexte que tu as de la buée sur les lunettes, tu n’arrêtes pas de me tripoter, de me monter, de me descendre, de me pincer, et tu as les doigts sales ! Je vais te dire un truc, un truc médical : je sens l’odeur de gras à travers mon tissu. Tu sens le kebab ! Et le kebab qui a été touché par n’importe qui, ça laisse des traces. J’ai l’oreille fine, moi, pas comme toi avec mes élastiques qui te les déforment. J’entends grattouiller les petits virus qui s’agitent et qui essaient de percer ma membrane délicate. Étant donné que tu ne m’as pas changé depuis trois semaines, vieux radin, tu peux être sûr que tu vas tomber malade. Et je sais bien que je finirai mal, moi aussi : je t’ai déjà vu balancer sur le trottoir mes deux prédécesseurs, c’est dégoûtant. Moi, je suis un professionnel, toi un amateur : c’est toi qui devrais m’écouter. Chirurgical, que je m’appelle, pas à gaz, ni de carnaval. Allez, je m’arrache. Autant périr volontairement que de rester coincé sous un tel abruti. Je me concentre sur l’élastique de gauche, il va péter, et tu te retrouveras bien bête avec un mouchoir pendouillant sous ta sale tête. Adieu, voyou.
Gladys G. Je suis seul dans le noir, traînant dans la poussière avec de vieux objets... Quand soudain je suis aveuglé par la lumière. Une main me prend, je ne comprends rien à ce qui se passe. Cette main me met sur son nez, sa bouche aussi est prise. Elle me porte toute la journée sans faire attention à moi, me pince constamment sans savoir ce que je ressens, ne me demande pas si je suis bien installé et le pire du pire c’est quand elle me retire et qu’elle me jette comme si je n’étais pas vivant... Quelle honte de me traiter ainsi, elle oublie que je la protège alors qu’elle me maltraite, sans moi ils seraient sans protection envers ce virus de malheur... 
Tumblr media
Gonflette (10-15 minutes) : La bonne farce ! Farcir un court texte initial en y insérant des éléments, mais sans supprimer ni modifier un seul des mots de la phrase de départ. On n’ajoute rien avant le premier mot, rien après le dernier mot, mais on a le droit de changer la ponctuation, couper la phrase originale en phrases séparées, et d’insérer des mots où l’on veut, changer un nom commun en nom propre, pourvu que l’orthographe de chaque mot soit absolument respectée. Voici une phrase à qui vous ferez de la musculation : « Comme il faisait une chaleur de 33 degrés, le boulevard Bourdon se trouvait absolument désert. » C’est la première phrase d’un roman inachevé de Gustave Flaubert publié en 1881 à titre posthume, Bouvard et Pécuchet.
Jacques B. Comme il neigeait fort sur la grand-route, j’ouvris grand mon parapluie - j’en avais un, volé sans doute au seau planté à l’entrée de la salle des profs du lycée que je quittais, à peine retrouvé au retour des vacances de Noël. Il faisait blanc à Chambéry. Je rêvais de rivières, de grenouilles et d’infinis pâturages. Mais de grenouille, pas une, et pas de pâturage. Les tours de béton gris folâtraient parmi les pylônes à haute tension. La neige était épaisse, collante, d’une chaleur flasque. S’épaississant, elle formait un gruau étrange, presque de boue. Je parvins à peine à me frayer un chemin parmi les trentenaires inscrits pour une étrange course de côte organisée par le conseil municipal - pensez donc : une course en baignoire à rame, dans le sens de la montée, et dans la neige. J’eus deux ou trois hoquets dont je me remis par degrés. Le boulevard se vida peu à peu des baignoires. Un plombier, dans sa voiture balai, suivait de loin l’étrange convoi. Moi, qui avais toujours voulu apprendre la vielle à roue pour la seule joie du bourdon, je ne trouvais rien qui valût d’être bouleversé. Je, qui est un autre, se trouvait ici et alors absolument désert.
Marie CH. Comme à son habitude sur notre planète bien aimée, le soleil se revêtait d’une enveloppe bleutée au milieu de l’année. Signe de son équinoxe annuelle, il faisait voleter ses rayons dans l’atmosphère, nous donnant l’impression de baigner dans une chaleur de 33 degrés. Perdu dans une nage aérienne, tout le monde dansait au-dessus du boulevard Bourdon. Néanmoins se trouvait toujours, loin de cette activité passionnelle que la foule partageait chaque été, un lieu reculé. Qui connaissait aussi la chaleur de notre étoile mais absolument pas la joie des chorégraphies endiablée. Ce lieu si calme et protégé de tous, se nommait tendrement le désert.
Gladys G. Comme il faisait beau, sur la plage il faisait une chaleur étouffante, plus de 33 degrés à l’horizon ! Une belle journée s’annonçait sur la plage d’Espagne ! Hélas quand je me réveillais je me trouvais au boulevard bourdon, absolument dépourvu de que qui m’arrivais car cela était si réel mais tout était désert...
Comme d’habitude Gustave avait trop bu. Il faisait pitié à voir, une loque écrasée par la chaleur du pack de Kro de chez Lidl. La bière en 33 centilitres, même à 5 degrés, quand on en prend une douzaine, ça le fait bien. Il regarda le boulevard désert, qui lui foutait le bourdon rien qu’à imaginer qu’il se trouvait encore à une heure de marche de chez lui, à condition d’aller droit. Il était absolument raplapla quand il s’écroula, dégueulant sur le bitume, et l’esprit plus ensablé qu’un désert.
Comme ci comme ça, et toi ? Moi c’est pareil. Il fait beau, alors… La conversation se faisait molle, les deux amis n’avaient plus rien à se dire. Une fois de plus ils s’apercevaient que leur prétendue amitié avait fondu comme boule de neige à la chaleur d’un poêle à charbon. Ils revoyaient leurs 33 ans de relation amicale, et comprenaient que par degrés elle s’était diluée dans l’indifférence et les habitudes. Le pire, c’est qu’ils s’en étaient rendu compte, mais avaient laissé dégénérer la situation. Le bourdon de la cathédrale les rappela à la réalité, sordide : ils devaient se quitter, pour de bon. Jacques trouvait que c’était dommage, Bernard aussi. Absolument navrés l’un et l’autre, ils décidèrent de revenir en arrière, grâce à la machine du professeur Marty, et appuyèrent ensemble sur le bouton reset. Aussitôt, ils comprirent que la machine était détraquée : ils n’étaient plus devant le beau lycée Louis Armand, mais sur une étendue de sable, pleine de dinosaures et de bestioles improbables. La machine à voyager dans le temps les avait catapultés dans un désert !
Une petite liste (5 minutes maximum) : À la manière de Sei Shōnagon. Les Notes de chevet de Sei Shōnagon (966-1025 environ) établissaient des listes improbables, à la charge poétique inattendue. On tâchera d’énumérer rapidement quelques-unes des Choses qui s’emportent en forêt.
Tumblr media
Un couteau. Un panier pour les champignons. Un bâton contre les loups. Du papier à lettres et des timbres et de quoi écrire. Des pansements pour les ampoules aux pieds. Quelques souvenirs de promenades. Un petit chien noir.
Gladys G. Un opinel. Une couverture. Une carabine pour chasser. Mon chat. Du parfum. Mon livre préféré. De la nourriture. Des amies. De l’aventure. Une corde. Un sourire. De l’émotion.
Jacques B. Une boîte de sardines en boîte. Une boîte à choses à ne pas oublier. Une boîte contenant un trente-trois tours de Yellow Submarine. Un mange-disque. Une prise de courant pour le mange-disque. Les verbatim complets des discussions de Jean-Michel Blanquer avec les recteurs d’Académie. Un tire-bouchon au cas où. Un cherche-bouchon automatique. Une boîte à ranger les boîtes. Les discussions molles de Bernard Maréchal, T.1, 2021. Un téléphone yaourt à connecter au ciel pour converser avec Dieu, et une assez longue ficelle.
Marie CH. Un livre. Une balançoire. Des bottes. Des jumelles. Un appareil photo. Un sifflet. Un sac à dos. Un petit drapeau. Une craie. Un fil d’Ariane.
Véronique G. Une couverture de survie. Du parfum. De la soie. De la musique. Un sandwich. Un thermos de café. Une lampe torche. Une boussole.
Sans légende (10-15 minutes) : Écriture asémique ? Voici un dessin que m’a offert le peintre Sergio SCHMIDT IGLESIAS, né à Mercedes (Uruguay) en 1941. Il vit et travaille à Paris depuis 1967. Ce dessin de novembre 2017 mérite une légende, ou une tentative d’explication artistique. C’est ce qu’on écrira en une dizaine de lignes, sur un ton sérieux et presque savant.
Tumblr media
Gladys G. Lorsque que je regarde ce tableau, il me met mal à l’aise, en effet il est spécial et pas comme les autres.... Le dessinateur a fait exprès de représenter des sortes d’écritures que nous n’arrivons pas à déchiffrer et cela crée une atmosphère particulière. Le fait qu’un bonhomme soit dessiné avec de gros trait épais et noir comme l’obscurité cela ne m’inspire pas confiance. Il y a le fait aussi qu’il soit dessiné un peu en 3 dimensions, j’ai l’impression qu’il va sortir du tableau et se jeter sur moi, il a l’air presque réel, c’est autant effrayant que fascinant !
Le quadrillage en forme de cage s’est déchiré sous la pression des mots qui emplissent l’esprit de l’homme rectangulaire, celui de l’autoportrait. Sergio s’efface et sort de lui-même. Phrases de bile noire et bleue, phrases de sang, c’est l’expression du désir de liberté qui s’affiche ici. L’homme artificiel voudrait parler, peu importe de quoi : l’écriture asémique, c’est la preuve que les mots ne comptent pas, c’est le débit et l’abondance qui priment. Sergio sort de son propre corps de feutre noir, son corps crucifié et de deuil, à grands coups de stylo bille et de feutre, son griffonnage emplit la page et devient l’espace lui-même. Écriture enfantine, naissance de l’écriture et du dessin, naïveté qui conserve la rigueur du cadre : on ne déborde pas, même pour signer.
Jacques B. La composition de l’homme croisillonné, parfois appelé l’assomption d’un jurassien à carreaux, unit librement des événements de différentes époques. Signée Sergio, la toile est d’auteur inconnu. On doit sa découverte à un écrivain né en 1881 à Neuchâtel, qui prétend l’avoir trouvée cachée sous le lit du prieur en chef d’un monastère d’Irkoutsk. Ici, la figure postmoderne de la Visitation du Maréchal représente également le moment de l’apparition de Bernard-le-cube-plat, et la venue de l’Écriture pour recueillir l’âme du CDI afin de l’emporter au ciel (assomption). Non seulement l’événement clé est placé au centre, mais son importance est en outre rehaussée par une représentation à une échelle agrandie. Ainsi, le spectateur saisit dès le premier regard l’essentiel en le complétant de détails après avoir regardé plus attentivement : ce tableau, qui appelle une inversion de l’ordre de lecture occidental, invite à une élévation du regard : les cheveux qui le surplombent sont bien ceux du poète barbu que nous connaissons, et qui auraient migré au sommet de son crâne. Les icônistes de la grande Tradition préparaient leurs propres peintures en mélangeant des pigments naturels avec de l’eau et du vinaigre ou du vin blanc pour la conservation. Cette tradition, ici respectée, à ce jour, est traitée dans une farandole de Bic noir, bleu et rouge.
Marie CH. Dans la petite œuvre dessinée par Sergio SCHMIDT IGLESIAS, j’imagine un enfant voulant se couper du monde bavard et incompréhensible, qu’est celui des adultes, des grands. Dans ce flot interminable de paroles débitées avec assurance et certitude, l’enfant ne peut créer sa place. Sa seule ressource est donc de se la créer tout seul, s’isoler de ces paroles sans émotions et profiter de son enfance, avant que lui aussi, ne passe la frontière invisible séparant les deux mondes.
Le Merci de Sergio !
Tumblr media
1 note · View note
albert-prous · 3 months
Text
ACT194
pieds dans l'eau vacances d'été simple bassine au bleu de méthylène touché coulé seau mercurochrome tasse au lever du jour nitrate d'argent nez dans les embruns vague épuration ça sent fort date limite iode impur aérosol bon marché écoutilles closes crème solaire extra huile à frire culs à volonté photos en main extension des voluptés sous les 100 watts vue trouble sur les poissons de l'aquarium dessalement sous la douche shampoing gras serviette de plage basse ceinture vingt heures météo marine prévisions alerte sécheresse plus d'eau dans la bassine impuissance niveau au plus bas coule de source à gué à gué oyé Pharaon t'es un bon trop de vapeurs requins coquins passages pour piétons d'une rive l'autre bleu des eaux main droite ou main gauche bleu du ciel pareil gauche ou droite ah les marées voir les horaires je veux pas vous voir aller seul au cimetière premières tombes sont les lépreux illisibles vu d'un tapis volant ou sur des échasses les fosses sont percées ça fuit de partout les clochers les revoilà les jardins japonais son front de rides seins avec balises au fond les dieux tous parmi les épaves canyons sous marin malles frou frou or l'histoire vraie des trois petits palétuviers sur les planches secrets de polichinelle le port haut front à rides cœur à trous sous le plancher crâne lisse à boire santé étendue de matières sèches salées comment s'habillaient les marins en ville quelle veste était portée à l'origine par les marins où était fabriqué les cirés et paletots comment s’appelait une veste de marin dessaler depuis sémaphores savaient-ils qu'il n'y aurait plus une goutte hep hep poète crois mare où là à tes pieds grenouilles si grosses couleuvres avalant corbeau cormoran ami ami
prous
0 notes