#piotr anderszewski
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“The miniatures were shaped into a glowing sequence – bagatelles by Beethoven and Bartók framed late intermezzi by Brahms, and in every one of those pieces Anderszewski’s ability to crystallise a whole expressive world in microcosm was extraordinary. The first of Beethoven’s Bagatelles Op 126 seemed to be conjured out of silence before our ears, the hymn-like third in the same set made to melt away equally magically. The Brahms pieces were a selection of six from the sets of Op 116 to 119, played without noticeable breaks, their tone set by the first piece of Op 119, which Clara Schumann described as “grey, pearl-veiled and very precious”. Anderszewski treated each intermezzo as if it was a jewel, with not a note out of place, nor a chord not perfectly balanced.”
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Mercredi 18 juin 2025 à 19H, quatrième et dernière émission exceptionnelle de la Petite Boutique Fantasque autour de Jeux, collaboration de Claude Debussy pour la musique et Vaslav Nijinsky pour la chorégraphie. Après avoir présenté Vaslav Nijinsky, analysé ce que l’on sait de sa chorégraphie de Jeux, après avoir explicité la partition de Claude Debussy pour ce ballet, aujourd’hui, dans la dernière émission, nous allons aborder la création du ballet. Nous avons une écoute intégrale du ballet avec les annotations de Nijinsky qui permet de saisir les complexités et les subtilités de la relation musique chorégraphie. Nous poursuivons par la réception de l’œuvre et la postérité que cette musique a pu avoir, jusqu’à Darmstadt.
Programmation musicale :
1) extrait de Noces, chez le fiancé, (Igor Stravinsky) chœur, solistes et orchestre de la radio de Prague / Zdenek Kosler 2) extrait du train bleu, l’entrée de la championne de tennis et couplet avec le beau gosse (Darius Milhaud) Philarmonie de la radio allemande de Kaiserlautern / Robert Reimer 3) extrait du premier mouvement de Variations pour piano, opus 27 (Anton Webern) Piotr Anderszewski 4) extrait de Modes et valeurs et d’intensités (Olivier Messiaen) Roger Muraro 5) extrait du 7ème klavierstück (Karleinz Stockhausen) Aloys Kondrasky 6) Jeux (Claude Debussy) Singapore symphony orchestra / Lan Shui
Nous avons écouté aussi les voix de : Orphée pour Bronislava Nijinska Jean-Pierre Cacérès pour le régisseur de Diaghilev, Serge Grogoriev Tamara Karsinova a pris la voix de Marceline Bandzul Marion porte cette de Valentine Gros que nous retrouverons bientôt sur les émissions autour de Satie Jean est la voix des critiques de la Revue française de musique, la Renaissance politique et littéraire et des Annales du théâtre et de la musique Marion est Ludmilla Schollar, une des deux danseuses de la première du ballet Robert Godet, autre critique, a la voix de Jean-Christophe Et Debussy dont le témoignage cot cette émission, a la voix de Stéphane. + analyse de Jeux par Guillaume, quatrième partie + illustrations de témoignages, d’analyse sociétale : Orphée pour Bronislava Nijinska Jean-Pierre Cacérès pour le régisseur de Diaghilev, Serge Grogoriev Tamara Karsinova a pris la voix de Marceline Bandzul Marion porte cette de Valentine Gros Jean est la voix des trois critiques de la Revue française de musique, la Renaissance politique et littéraire et des Annales du théâtre et de la musique Marion est Ludmilla Schollar, une des deux danseuses de la première du ballet Robert Godet, autre critique, a la voix de Jean-Christophe et Claude Debussy a la voix de Stéphane.
Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec les podcasts de la PBF : https://www.mixcloud.com/RadioRadioToulouse/la-cr%C3%A9ation-et-la-post%C3%A9rit%C3%A9-du-ballet-jeux-la-petite-boutique-fantasque/
Sus aux Philistins !photographie de Charles Gerschel (Gallica)
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Beethoven según Norman Lebrecht

[Norman Lebrecht (Londres, 1948) / D. S.]
Alianza publica la última obra del crítico británico Norman Lebrecht, un subjetivo recorrido por el catálogo de Beethoven
Norman Lebrecht (Londres, 1948) es uno de los críticos más populares, citados y polémicos de la música clásica internacional, oficio que ejerce desde hace años desde su influyente web Slippe Disc. El título de este su último libro responde al de uno anterior dedicado a la que es posiblemente su mayor pasión reconocida, la música de Mahler (Alianza también editó la obra en su día y ha aprovechado para reimprimirla ahora: ¿Por qué Mahler?). El británico demuestra su capacidad de síntesis en la Introducción a esta nueva obra, en la que despacha la biografía de Beethoven en tres párrafos. Esa forma de hacer síntesis a veces se convierte en simplificación. Por ejemplo: “El cuarteto de cuerda nace de la percepción de Haydn de que dos violines, una viola y un violonchelo se equilibran en una sala de estar como lo hace una orquesta completa en un escenario”. Los conocedores saben que la cosa es algo más compleja, pero el neófito puede ver confirmadas ahí sus falsas creencias en que en efecto un solo hombre (Haydn) inventó el cuarteto.
El libro es una especie de anecdotario de la vida de Beethoven, organizado en torno a cien obras escogidas del músico (en realidad, son más), comentadas sin orden cronológico y desde una perspectiva en la que domina lo subjetivo (con Hitler como personaje recurrente) y en la que siempre hay sugerencias a las grabaciones disponibles de cada pieza. Hay pocas personas en el mundo que sepan más de discos de música de los siglos XIX y XX, y ahí Lebrecht asume la perspectiva del superego y se pone metafórico. Por ejemplo, de las Bagatelas: “Sviatoslav Richter interpreta las últimas tres bagatelas como atisbos de vida eterna. Schnabel está furiosamente perplejo. Piotr Anderszewski es espiritual; Brendel, cerebral; Gould, desmedido; Wilhelm Kempf, terrenal; Stephen Kovacevich, surrealista”. Yo diría que Lebrecht es, en general, gouldiano.
[Diario de Sevilla. 29-12-2024]

La ficha ¿Por qué Beethoven? Un fenómeno en cien obras Norman Lebrecht. Traducción de Barbara Zitman. Madrid: Alianza, 2024 (edición original inglesa, 2023). 453 páginas. 25,50 € / 18,99 € (epub)
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Piano Concert in C minor No. 24, K. 491 - III. Allegretto
(Picture: Page 33 of the manuscript, of the 1st movement, where Mozart draws a face to tell the performers to repeat the music from the start)
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''Muzyka Chopina skrywa w sobie – obok cech zewnętrznych jak taneczność mazurków – inną stronę polskości: poczucie dumy, szeroki gest, szlachetność, wielkoduszność – wszystkie te wspaniałe cechy, które zgubiły kraj.''
— Piotr Anderszewski, pianista polsko-węgierskiego pochodzenia w wywiadzie dla BBC Music Magazine
#piotr anderszewski#chopin#polska#rzeczpospolita#fryderyk chopin#poland#cytaty#po polsku#frederic chopin#romanticism#romantyzm#polish romanticism#polish music#polska muzyka#szopen#fryderyk szopen#polskie cytaty#cytaty po polsku#ojczyzna#mazurki
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El clave ben temperat (llibre II)
El clave ben temperat (llibre II)
Pur nei numeri ridotti imposti dalle misure di contenimento della pandemia, la scena degli eventi culturali di Barcellona continua a essere di assoluto valore e ha in Johann Sebastian Bach un protagonista costante della programmazione della fondamentale istituzione del Palau de la Musica Catalana. Continue reading

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Drinking white claw in the bath & listening to Piotr Anderszewski instead of seeking psychiatric help
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Mercredi 18 mai 2022 à 19H, nouvelle émission de la Petite Boutique Fantasque, exceptionnelle à plus d’un titre : - tout d’abord le choix du sujet : la commande par une danseuse appelée Maud Allan d’un ballet à Claude Debussy au tout début du XXème siècle dont le titre est Khamma - ensuite sur la forme : à partir d’un canevas proposé par Guillaume nous aurons des interventions de divers participants à cette histoire et illustré musicalement. Nous aurons aussi l’argument du ballet lu sur le ballet lui-même pour approcher un peu du dessein des deux protagonistes - c’est un projet radiophonique ambitieux : faire partager la vie de Maud Allan, danseuse peu connue et sa collaboration avec Debussy pour un ballet jamais (ou très peu) joué et depuis oublié - et enfin il aura fallu plus d’un an pour passer du projet parisien à la diffusion toulousaine
Cette série de trois émissions dont vous allez écouter la première ont été amoureusement imaginées, finement écrites et parfaitement interprétées par Guillaume. C’est lui qui a choisi très précisément les extraits musicaux adéquats et l’endroit de leurs insertions dans le cours de sa démonstration.
Cette émission a été réalisée et montée au studio de RadioRadioToulouse et diffusée en hertzien, Toulouse : 106.8 Mhz ou en streaming https://www.radioradiotoulouse.net/ et pour tout le reste du temps sur les podcasts de mixcloud.
Extrait des morceaux suivants : - 1er mouvement de la sonate K282 en mi bémol majeur de Wolfgang Amadeus Mozart par Maria Joao Pires au piano - prélude en mi majeur BWV 878 du 2ème livre du Clavier bien tempéré par Piotr Anderszewski - Rêverie de Schumann, tiré des scènes d’enfants par Jean Efflam Bavouzet - valse-caprice d’Anton Rubinstein dans une réduction pour piano d’Arthur Rubinstein - Chant du printemps, tiré des Romances sans paroles de Mendelssohn par Balazs Szokolay - valse en la mineur de Chopin par Dmitri Alexeev - la danse d’Anitra tiré de Peer Gynt de Griegpar l’orchestre symphonique de Berge, dirigé par Edward Gardner - prélude en do dièse majeur de Rachmaninov par Alexandre Tharaud - la Tragédie de Salomé opus 50 de Florent Schmitt, le prélude et la danse de l’effroi par le BBC national orchestra of Wales dirigé par Thierry Fischer - la Danse sacrée, la première des 2 danses pour harpe et orchestre à cordes par Gulnara Mashurova à la harpe et l’orchestre symphonique de Singapour dirigé par Lan Sui
Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec les podcasts de la PBF : https://www.mixcloud.com/RadioRadioToulouse/les-premiers-pas-de-la-danse-moderne-pbf-202213/
Allons-y gaiement et sans mollir !
Photographie de studio de Maud Allan
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Skatieties pakalpojumā YouTube: “Piotr Anderszewski – J.S. Bach: Well-Tempered Clavier, Book 2: Prelude No. 8 in D-Sharp Minor”
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MUSIC ART WORDS: 1915
Karol Szymanowski, Métopes, Op.29: Wyspa syren/The Isle of Siren (1915)
Henri Matisse, Le rideau jaune (1915)
T. S. Eliot, The Love Song of J. Alfred Prufrock (1915)
#karol szymanowski#henri matisse#t. s. eliot#1915#art in 1915#art#music#poetry#music art words series#20C#1910s
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min debut på norsk / my debut in Norwegian. a little review from a very fine concert of Piotr Anderszewski i was glad to attend at Bærum Kulturhus, published in Klassiskmusikk.com : )
#Anderszewski#konsert#concert#review#anmeldelse#bærum kulturhus#klassiskmusikk#bach#chopin#mozart#Piotr Anderszewski
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"Sometimes when I'm practicing, it feels as if the piano might actually eat me."
“Sometimes when I’m practicing, it feels as if the piano might actually eat me.”
“Sometimes when I’m practicing, it feels as if the piano might actually eat me!” — Piotr Anderszewski, Polish, pianist, composer, musician
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Música de cámara del festival de Martha Argerich en Lugano 2005.
Más detalles en AllMusic.
#Martha Argerich#Piotr Anderszewski#Nicholas Angelich#Gautier Capuçon#Renaud Capuçon#Lyda Chen#Mark Drobinsky#Lucy Hall#Karin Lechner#Polina Leschenko#Mischa Maisky#Gabriela Montero#Nora Romanoff#Dora Schwarzberg#Sergio Tiempo#Mauricio Vallina#Lilya Zilberstein#Felix Mendelssohn#Ludwig van Beethoven#Wolfgang Amadeus Mozart#Sergei Rachmaninov#Manuel Infante#Johannes Brahms#Carlos Guastavino
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Piotr Anderszewski might be the most convincingly unconventional Bach pianist since Glenn Gould, and he has certainly taken a creative approach to his first, mesmerizing recording of preludes and fugues from “The Well-Tempered Clavier.” Not for him the typical, step-by-step climb through each of the keys from C to B minor; instead, a jumbled selection of contrasts and complements, one that raises eyebrows but persuades the ears.
And how! Anderszewski’s playing is a miracle of touch and temperament. When there is a chance for something offbeat, something unexpected, Anderszewski takes it, as in the puckish F minor Prelude or the percussive, spiky Fugue in F. Whatever his ability to dance, he has always been a dreamer at heart, and it is in the anguish of the minor-key fugues that his concentrated intensity enthralls and overwhelms. The one in D sharp minor evokes the most forlorn loneliness you can bear to imagine, and then some; the B flat minor somehow turns anxiety into rage; the G sharp minor wanders, bereft, ruminating as if it were the darkest Schumann. This is one of the great Bach recordings, period. DAVID ALLEN
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