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#poésie visuelle
blnxpc · 5 months
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METEOR
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la Sagrada  Frida Kahlo tombe  dans la peau d’une favorite mal-aimée 
- Fabienne PASSAMENT. 2022
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andre-rober · 5 months
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Les secousses du volcan métamorphosent le paysage. André Robèr Fonnkèr pou lo zié novembre 2023
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simonapolvani · 1 year
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REST IN PEACE
REST IN PEACE   au pied de l’arbre  dans l’écume des herbes REST IN PEACE   sans mort apparente  seul le sommeil nu de mémoire et le vent pour disperser les scories  qui obstruent les lignes des veines REST IN PEACE   sans compter le temps ni en secondes ni en jours jusqu’à ce que neuve renaître à la verticale  reprendre les trames des pas même au bout de la nuit la langue pleine de…
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garadinervi · 10 months
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10-5155-20 Art Contemporain, No. 5 / Fall 1983: 'Verbe et image: poésie visuelle', Directed by Graham Cantieni, Dick Higgins and Karl Kempton, Edited by Dick Higgins and Karl Kempton, Éditions Alternatives, Sherbrooke, 1983 [Fondazione Bonotto, Molvena (VI). room 3o2 books, Ottawa]. White cover: Klaus-Peter Dencker [Black cover: Giovanni Fontana]. Contributions by David Arnold, Jean-Pierre Bertrand, Hart Broudy, Paulo Bruscky, Ernst Buchwalder, Graham Cantieni, Doris Cross, jwcurry, A.De Araujo, Klaus-Peter Dencker, Bela Egyedi, Loris Essary, Giovanni Fontana, Scott Helmes, Dick Higgins, Karl Kempton, Shutaro Mukai, Pawel Petasz, Ruth Wolf-Rehfeldt, Ryojiro Yamanaka, Shoji Yoshizawa, Paul Zelevansky
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swedesinstockholm · 3 months
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14 décembre
pas un seul moment de mélancolie à reporter depuis hier, je sais pas ce qu'il s'est passé, j'ai eu une espèce de déclic. ce que je sais: j'ai définitivement tué la delulu. il suit une musicienne sur ig qui joue des trucs bizarres au synthé et dans certaines vidéos on l'entend parler et elle est un peu bizarre et pas très jolie et il adore tout ce qu'elle fait et je sais pas, c'est con de dire ça et de penser ça comme ça, en ces termes-là, mais ça m'a fait voir la réalité en face. j'ai vu comment il pouvait possiblement me voir. et j'ai accepté. et puis ce matin j'ai vu un post de rebeka warrior qui annonçait la sortie de son ep avec claire ottaway et omega qui sont tous les deux autistes et elle dit que quand ils se sont rencontrés ç'a été le coup de foudre et je me suis demandé si j'étais claire ottaway et r. c'était rebeka. mais non, claire ottaway est claire ottaway et r. est r. et je suis moi et puis c'est tout. je suis moi et on s'en fout.
18 décembre
j'ai rêvé que j'allais à mon rdv chez le dr. r. avec ma couette, je m'allongeais confortablement sur son bureau en me couvrant avec ma couette et ça le faisait rigoler. chez j. à paris j'ai rêvé que jenna lyons me lavait les cheveux et ça voulait dire quelque chose de très spécial mais je sais plus quoi. je dormais sur le canapé avec m., j'ai lu son texte dans le bus hier parce qu'évidemment quand elle l'a lu à la librairie j'ai pas réussi à écouter ce qu'elle disait, et dans son texte elle se genre en non-binaire mais tout le monde disait elle ce weekend. elle raconte qu'elle s'est coupé les cheveux courts et qu'elle vole les habits de ses amants (c'est rigolo parce que dans mon texte je parle de mes amantes mais les miennes sont imaginaires) et qu'elle s'achète des chemises d'homme qui se boutonnent de l'autre côté. elle est accordéoniste professionnelle et elle donne des cours d'accordéon à des enfants mais elle en a marre de faire ça parce qu'elle aime pas les enfants. alors elle se sent un peu coincée parce qu'elle sait pas quoi faire à la place et comme elle est fonctionnaire elle touchera pas le chômage si elle part. on a discuté du travail dans le métro et elle disait que tous les gens qu'elle connaissait étaient un peu devant le même dilemme: être malheureuse au travail ou être pauvre.
j. fait un truc de gestion-comptable dans un grand groupe immobilier. elle a fait des études de lettres à la sorbonne comme moi mais au lieu de laisser tomber son master pour faire un séjour en clinique psychosomatique puis partir en islande pour faire de l'art qui sert à rien elle a fait un master de gestion en parallèle de son master littéraire, to be on the safe side, et maintenant elle a un job bien payé un appart à paris avec un balcon dans lequel elle habite avec sa copine elle a publié un recueil de poésie et elle co-dirige une revue littéraire. elle a bien pris le tournant. l'autre jour m. disait que moi j'avais pas mal tourné, j'avais juste jamais tourné du tout. ça m'a un peu vexée. j'aurais préféré mal tourner, c'est plus intéressant.
s. qui co-dirige la revue avec elle est doctorant, il vient d'une longue lignée d'universitaires aussi bien du côté de sa mère que du côté de son père (ça me fascine), il a fait l'ens et en ce moment il fait une pause dans sa thèse parce qu'il a reçu une bourse pour faire des recherches sur la poésie visuelle et concrète à londres. le reste du temps il enseigne le français dans une boarding school chic avec des maisons avec des blasons comme à poudlard dans le village natal d'ed sheeran. c'était sa petite anecdote rigolote. sa copine habite dans un manoir avec une piscine au milieu de londres. il parlait beaucoup, il était très à l'aise, il prenait beaucoup de place et il prononçait les mots anglais avec un accent anglais très prononcé.
plus je les écoutais parler, plus je me rendais compte que, malgré ma situation infortunée et la brièveté de mes études, j'étais tout à fait à leur niveau. intellectuel je veux dire. je connaissais les choses dont ils parlaient, je connaissais les mots grecs et latins qu'agitait s. pour mettre sa culture en étalage, je parle quatre langues et un peu plus, j'ai voyagé, ça va. quand on est allé boire un verre après la lecture, l. discutait des nouveaux mots qu'elle avait découvert dans mes poèmes avec ses deux amis du master de création littéraire de paris 8, ils portaient tous les deux une veste en cuir et ils se la frottaient l'une contre l'autre pour voir laquelle crissait le plus. celui qui ressemblait à robert pattinson avec son air paumé et ses cheveux décoiffés avait un livre gallimard de patrick modiano qui dépassait savamment de la poche de sa veste en cuir. il était bibliothécaire. quand un vendeur de roses est passé à notre table il a nonchalamment négocié une rose rouge à deux euros pour l'offrir à l. je sais pas pourquoi pendant un quart de seconde je me suis dit qu'il allait me l'offrir à moi.
et donc il me demandait ce qu'étaient les champs phlégréens et celui avec la veste en cuir noire me demandait ce qu'était la diapause et pourquoi j'avais choisi le mot mégalithe et pas monolithe (parce que c'est pas le même mot??) et comme je les faisais deviner robert pattinson a proposé qu'on devine chacun une définition et quelqu'un a lu le passage de mon poème où je dis que je suis en pyjama en diapause comme les morses et les papillons, pour donner le contexte, et je me suis sentie très vulnérable et exposé en entendant mes mots dans la bouche de quelqu'un d'autre. j'ai zéro pudeur ni sentiment de vulnérabilité quand je lis moi-même mes textes, mais dès que j'ai plus le contrôle dessus, ça fait bizarre. et puis robert pattinson a sorti sa liste de mots obscurs sur son téléphone pour continuer le jeu et je pensais à c. et à son cours de français de vieux réacs où chaque semaine quelqu'un doit apporter un mot compliqué pour en faire deviner sa signification. s. en faisait des tonnes avec les racines grecques en gesticulant beaucoup et moi je les écoutais en silence avec un léger sourire, savourant ma présence au sein du groupe.
quand les deux garçons en veste de cuir sont partis j'ai discuté avec l. et elle m'a fait lire le poème qu'elle voulait envoyer à la revue mouche, on l'a lu ensemble sur son téléphone et on a discuté du thème bizarre et je l'ai encouragée à l'envoyer parce que je le trouvais vraiment bien. elle a 26 ans. on discutait de notre âge en mangeant nos sandwiches halloumi falafel après et m. disait qu'elle était persuadée comme moi qu'elle allait peaker à quarante ans, mais que ça commençait quand même à se rapprocher maintenant et qu'elle devait un peu se dépêcher si elle voulait arriver au sommet. mais elle a que 32 ans donc moi je trouve que ça va elle a le temps. on était plus que toutes les quatre et sans la présence d'égo de mâle encombrant j'étais déjà beaucoup plus bavarde.
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artslab26 · 1 year
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VISUAL POETRY PROJECT
"Visual Poetry Project" invite à créer et réaliser des livres d'artiste où les Arts Visuels et la Poésie se rencontrent.
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whencyclopedfr · 1 year
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Sandro Botticelli
Sandro Botticelli (1445-1510), de son vrai nom Alessandro di Mariano Filipepi, était un artiste italien du début de la Renaissance. Peintre prolifique, notamment de retables et d'œuvres à thème religieux, l'œuvre la plus célèbre de Botticelli est aujourd'hui, ironiquement, la mythologique Naissance de Vénus qui est exposée à la Galerie des Offices de sa ville natale, Florence. Largement considéré comme l'un des plus grands peintres de l'art occidental, Botticelli a mélangé la couleur, la forme et la perspective pour produire des œuvres religieuses et profanes d'une remarquable poésie visuelle. Réinterprétant et entrelaçant l'imagerie traditionnelle de la mythologie classique et de l'art chrétien, ses peintures sont souvent ouvertes à de multiples interprétations.
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athenahonora · 2 years
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AthenaHonora.tumblr est un mini blog  aesthete où je pourrais enfin exploiter le plein potentiel de mon esprit en arborescence d'HPE et expérimenté mon art créatif dans mes nombreux domaines que j'aime et que je perfectionne au fil des années comme la photo-vidéographie, le design (web /motion /fashion /home),  Le dessin, le graphisme etc ...
tout en associant harmonieusement mes hobbys comme  les animes (surtout retro)
le gaming,  la musique, l'esthétique,  la nature, l'espace, la poésie, la lecture, la danse, le sport, les gourmandises, la nourriture en tout genre, Le mélange de styles, surtout la positive vibe & love ! et je vous en passe il y en a trop !
En résumé, vous aurez compris tous les domaines qui exigent une part de créativité, qui me font évoluer de jour en jour qui m'interpellent et résonnent en moi en toute liberté ! . .
Si vous préférez mon art photographique plus professionnel. N'hésitez pas à découvrir mon instargram : @enaista et mon site : www.enaista.com
Bonne balade dans mon utopie visuelle J'espère que vous passerez du bon temps dans mon petit pays des merveilles.
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fullnft-fr · 18 days
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Tableau floral harmonique émerveillant
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Tableau floral harmonique émerveillant
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Plongez dans un monde de splendeur florale avec notre tableau floral harmonique émerveillant. Chaque pétale vibrant et chaque teinte délicate s’entrelacent pour créer une symphonie visuelle captivante. Avec ses couleurs chatoyantes et ses motifs enchanteurs, ce tableau évoque une sensation d’éblouissement et de pureté. Accrochez-le dans votre espace pour apporter une touche d’harmonie naturelle et éveiller vos sens à la beauté intemporelle de la nature. Laissez-vous transporter dans un univers de féérie où la magie des fleurs prend vie sous vos yeux. Offrez-vous ce véritable enchantement visuel et laissez-vous emporter par la poésie florale qui s’épanouit devant vous.
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viedemaigre · 22 days
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#41 Le slam et l'IA
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La question est sur toutes les lèvres depuis quelques mois.
Des répliques d’Arnold Schwarzenegger finiront-elles par remplacer les artistes ? Plutôt qu’hurler avec les loups, j’ai préféré prendre un peu de distance et passer le sujet au prisme de ma modeste pratique : le slam poésie.
En septembre dernier, j’ai donc suivi un atelier aux JIRAFE (Journées de l’Innovation, la Répétition, l’Accompagnement, la Formation et l’Environnement) des musiques actuelles à Paris intitulé « Intelligences artificielles (IA) génératives : des outils pour la création musicale ? » et animé par Jérôme Pons, sympathique producteur de spectacles rennais.
Jéjé a poussé le vice en utilisant l’IA pour concevoir sa présentation. L’objectif ? Nous présenter les possibilités de la machine en matière de conception de visuels, de génération de vidéos, de production d’instrumentales et surtout en ce qui nous concerne…d’écriture de textes.
Premier constat (objectif) : la plupart des outils sont payants par abonnement et donc chers. Les versions gratuites étant volontairement limitées, modèle économique oblige.
Deuxième constat (subjectif) : les résultats actuels ne sont pas extraordinaires. Si certains visuels générés pourraient faire office de pochette d’album surréaliste potable, que certaines vidéos frôlent les cinématiques d’un Final Fantasy VIII (1999 quand même), les instrumentales se révèlent médiocres (moins sur les arrangements que la qualité du son) et les textes clichés voire incompréhensibles. Codée en anglais, la machine galère avec la langue de Molière. Bref, il faut repasser derrière.
« Mais tout dépend du prompt » assure Jéjé. C’est-à-dire des instructions transmises pour arriver au résultat souhaité.
Piqué mais pas Gérard, je décide donc de tester le fameux félin à trois lettres (ChatGPT) en lui demandant de m’écrire un slam à la manière de Grand Corps Malade, Kery James ou encore Hippocampe fou. Puis de m’écrire un slam sur X sujet en trois parties.
Là encore, les résultats sont peu probants et une évidence me saute aux yeux. La machine se contente de recracher un mix de données digérées. Elle ne peut pas innover. Alors que la quête de formes nouvelles est l’essence même de la poésie.
Mon approche aurait pu en rester là. C’était sans compter le mois de février. Je suis en plein cycle d’atelier slam, troisième séance quand un soupçon s’éveille en moi. Deux collégiens qui peinaient encore à écrire hier reviennent avec deux textes achevés, spatialement bien structurés sur le papier. L’un avance l’aide de sa sœur, l’autre le soutien de son voisin de table qui ne semble pas assumer tant de maturité.
Je n’ai pas de preuves mais ça sent l’entourloupe. Je suis pris de court sans avoir pu réfléchir au problème. Alors je vais me permettre de reproduire ici la réponse que j’ai tenu à la classe entière :
Je n’ai pas d’avis tranché sur l’IA dans le slam. Pour le moment. C’est un outil. Il peut donner des idées, inspirer, même si je trouve qu’il est limité et qu’a priori, il utilise le travail de créateur.e.s sans leur consentement. Pour le moment. Cela changera peut-être. En revanche, je pense que cela doit rester un outil et ne pas devenir un prolongement de la créativité humaine. Ne laissons pas ChatGPT devenir à l’imagination ce que la calculatrice est devenu au calcul mental et le GPS au sens de l’orientation. Cela passera peut-être en atelier. Pas sur une scène slam tout public. Pas lors d’un examen oral. Pas lors d’un entretien d’embauche. Pas pour faire rire ses potes. Pas pour séduire l’élu(e) de son cœur. C’est comme un muscle. Si on laisse l’effort à la machine, le muscle fond. Alors gardons la forme. Surtout en milieu scolaire.
Le reste n’appartient qu’à l’avenir.
- Image : ©kung_tom/Shutterstock
- Musique : « Savages » - AlttA
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blnxpc · 5 months
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Worduction
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MARDI 20 FEVRIER 2024 (Billet 4/4)
DAAAAAALI ! (1h 18min)
Un film de Quentin Dupieux, avec Anaïs Demoustier, Edouard Baer, Jonathan Cohen, Gilles Lellouche, Pio Marmaï, Romain Duris…
Synopsis :
Une journaliste française rencontre Salvador Dali à plusieurs reprises pour un projet de documentaire.
Ci-dessous, quelques critiques pour mettre l’eau à la bouche à des cinéphiles qui aiment la folie (douce mais pas que…), les films (complètement et gentiment) déjantés, l’humour (souvent très) décalé, les puzzles absurdes avec des pièces (volontairement) manquantes, les castings top de chez top (Edouard Baer en tête)… et surtout Salvador Dali.
Nous lui avons donné tous les deux ❤️❤️❤️,5 sur 5.
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Bande à part
En s’emparant pour la première fois d’une figure célèbre, Quentin Dupieux concocte à nouveau la recette désormais bien connue de son cinéma, un casting détonnant au service d’un film concept, drôle et déconstruit. Il pousse cette fois-ci tous ces curseurs au maximum et dans une outrance assumée, parvient à saisir une certaine vérité de Salvador Dali dans ce portrait-hommage.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le cinéaste fait du cinéma avec un mix de ciseaux et de fantaisie, découpant la réalité à la manière d'un collage visuel, créant un personnage puzzle constitué de pièces désordonnées.  Dali était surréaliste, Dupieux lui est dadaïste.
Elle
Un anti-biopic drôle, fantasque et foutraque.
Le Figaro
Ce Dali dans tous ses états souffle sur la poussière des musées, invente son propre personnage, bouscule sa légende. Entre deux éclats de rire, on percevra cette chose si rare, l'amour du cinéma.
Le Parisien
Un film délirant, savoureux, un peu fou… comme Salvador Dali.
Libération
Délirant autour de la figure du peintre surréaliste, bringuebalée dans une interprétation à cinq têtes, le dernier long du cinéaste Dupieux subvertit la temporalité par une esthétique du ressassement.
Télé 7 Jours
Un régal absolu de poésie absurde et de comédie pure, qui nous met la tête à l’envers.
Télérama
 Quand le cinéaste de l’absurde s’en prend à l’ego démesuré de l’artiste espagnol, cela donne un film… surréaliste !
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garadinervi · 10 months
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10-5155-20 Art Contemporain, No. 5 / Fall 1983: ‘Verbe et image: poésie visuelle', Directed by Graham Cantieni, Dick Higgins and Karl Kempton, Edited by Dick Higgins and Karl Kempton, Éditions Alternatives, Sherbrooke, 1983 [Fondazione Bonotto, Molvena (VI). room 3o2 books, Ottawa]. Black cover: Giovanni Fontana [White cover: Klaus-Peter Dencker]. Contributions by David Arnold, Jean-Pierre Bertrand, Hart Broudy, Paulo Bruscky, Ernst Buchwalder, Graham Cantieni, Doris Cross, jwcurry, A.De Araujo, Klaus-Peter Dencker, Bela Egyedi, Loris Essary, Giovanni Fontana, Scott Helmes, Dick Higgins, Karl Kempton, Shutaro Mukai, Pawel Petasz, Ruth Wolf-Rehfeldt, Ryojiro Yamanaka, Shoji Yoshizawa, Paul Zelevansky
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lacephale · 3 months
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Une page extraite de Calligrammes ; poèmes de la paix et da la guerre, 1913-1916
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Guillaume Apollinaire (1880-1918)
Bien que plus adaptée aux arts visuels, la quatrième dimension a également fait des incursions dans la littérature, avec Apollinaire et ses calligrammes sans doute une manifestation. Gertrude Stein, avec sa poésie frappante, visuelle et désorientante, a également été accusée d’écrire sous son influence, ce qu’elle a réfuté dans une interview accordée au Atlantic Monthly en 1935 : « Quelqu’un a dit que je m’efforce moi-même d’atteindre une quatrième dimension dans la littérature. Je ne cherche rien de ce genre et je ne m’efforce pas du tout, mais je ne fais que grandir progressivement et devenir progressivement plus conscient de la façon dont les choses peuvent être ressenties et connues par des mots. » La réfutation indique au moins la présence durable de l’idée.
Source
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disparate-gallery · 3 months
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Retour en images sur le vernissage LE JEUDI 11 JANVIER 2024
LANCEMENT & EXPOSITION DAMIEN MAZIÈRES
EXPOSITION VISIBLE JUSQU’AU 10 FÉVRIER 2024
LIBRAIRIE DISPARATE 99 RUE DE BÈGLES _ 33800 BORDEAUX
Présentation de la revue The Flesh et du nouveau projet éditorial "ASHES" Exposition des productions vidéos récentes de Damien Mazières
À propos de la revue The Flesh : La revue The Flesh a été créée, il y a une dizaine d’années par Yann Géraud et Damien Mazières. Elle s’articule à chaque numéro autour d’un ensemble de textes et d’images, de productions développées sous la forme de « cartes blanches », autour d’un thème particulier, mais non spécifié avec des auteurs aux registres divers : arts visuels, cinéma, poésie, littérature, architecture... Pour chaque numéro, sont traités les événements actuels liés à l’art contemporain au sens large et les documents apportés en tant que commentaire sont à considérer comme la constitution d’une archive spécifique, particulière. Ces documents proviennent dans leur ensemble des archives de galeries, de musées, de centres d’art, mais aussi d’artistes ou de critiques. Chaque numéro peut être lu comme un dossier informel, sans nomenclature ni registre, mais possédant les qualités d’une mémoire en devenir, comme un grenier encore mal rangé qui se découvre au fil de la curiosité.
instagram.com/damienmazieres/
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