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#quitter sa femme et revenir
ivo-oz · 1 year
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🄲🄾🄻🄳 🄷🅄🄶
『𝙿̷𝚊̷𝚛̷𝚝̷𝚒̷𝚎̷ 𝟷̷ 』
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Je suis stérile.
Ça, c'est ce que j'aimerais dire pour enfin avoir la paix. On doit tous contribuer à l'augmentation de la population ; trop de gens meurent à cause du froid. C'est notre devoir de faire prospérer l'humanité. Enfin, leur devoir. "Tu en es capable, alors pourquoi restes-tu inutile ?" Ces reproches ne servent plus à rien maintenant. Malheureusement, je ne suis pas assez fort d'esprit pour me trouver une nouvelle raison de vivre.
C'est donc loin dans la forêt que j’ai décidé d'accepter cette faiblesse. Je voulais accueillir le froid dans mon corps, pour qu'il me fasse disparaitre dans la neige... Et c'est là que je l'ai vue. Une femme nue, maudite vision de mon échec... Ce corps déplorable sera donc mon ultime vision... Épuisé, j'essaye d'apaiser mes tourments par le plaisir coupable que m'offrira tôt ou tard son hypothermie...
Mais je n'ai pas mis longtemps à comprendre qu'elle ne partirait pas aussi facilement. Assise à mes côtés, elle m'a bien fait comprendre qu'elle ne m'épargnerait pas sa présence... Cette femme... elle n'a aucune pudeur, aucun respect... Mais d'un autre côté, aucune de ces stupides valeurs qui constituent la société que je hais tant. Rien que pour cela, je pourrais sans doute me faire à cet entêtement d'origine obscure qui la pousse à ne pas me lâcher.
Cela faisait déjà quelques mois, et je m'étais résigné à ne jamais comprendre sa mystérieuse résistance au froid. Mais un jour, quand... j'ai... encore craqué, elle m'a prise dans ses bras. C'était moins désagréable que d'habitude... Pour en revenir à mon propos, sa peau était froide, disons, "cadavériquement" froide. Et après confirmation de sa part, j'ai appris que son cœur ne battait plus, ses cheveux et ses ongles ne poussent pas non plus...
Un fantôme, un esprit de la forêt, qu'importe, cela n'a pas vraiment impotence. J'étais censé quitter ce monde il y a longtemps déjà, mais il m'est impossible de sauter le pas en sa présence... En attendant, je me contente de vagabonder dans la forêt, en me nourrissant de ce qui me passe sous la main.
Les mois passent, et je me désintéresse peu à peu de mes tentatives pour partir, qui me paraissent futiles... À cause de l'ennui, mes conversations avec elle s'éternisent de plus en plus... Finalement, sa présence ne m'est pas si pénible…
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alexar60 · 2 years
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Awa (le mythe d’Eve revisité)
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Elles entrèrent dans une salle immense au centre du temple. Un prêtre leur demanda de se positionner en cercle autour de lui. Puis, il se retira laissant au milieu un panier en osier, dont le couvercle était attaché à une corde. Il recula du cercle d’une dizaine de pas et, d’un tapement répété de ses mains, il mit fin au silence régnant.
La corde souleva le couvercle. Chacune des filles retint sa respiration. Elles attendirent les jambes raidies par la peur, la poitrine gonflée par une promesse divine. Elles avaient peur de leur sort, car tout pouvait basculer d’un moment à l’autre. Soudain, le panier remua légèrement. La tête d’un animal surgit…c’était un serpent !
Sa langue fourchue se promenait dans l’air. Il avait les caractéristiques du cobra. Le serpent venimeux sortit de sa boite et commença à zigzaguer cherchant à sortir du cercle. Les jeunes femmes demeurèrent immobiles, certaines joignirent leurs mains afin de prier le destin, d’autres fermèrent les yeux espérant qu’il s’approcherait ou pas. Elles avaient peur car il  suffisait d’un cracha empoisonné de cet animal, pour mourir dans d’atroces convulsions. Le serpent tourna plusieurs fois autour du panier avant de se décider.
Il se dirigea vers une jeune femme à la peau blanche et aux cheveux noirs. Elle ne savait quoi faire. Elle ne devait pas courir, ni fuir et devait accepter son sort. Le cobra approcha de ses pieds nus. Elle sentit la peau écailleuse frôler ses chevilles. Sa langue siffla. Il leva la tête et attendit patiemment.
-          Il t’a choisi et tu dois accepter, annonça le prêtre.
Dès lors, elle comprit qu’elle devait se baisser, tendre la main et laisser le serpent glisser, enrouler son bras pour se défier du regard. Elle avait peur mais ses yeux noirs ne montrèrent rien de cette peur viscérale. Bien au contraire, elle sourit lorsqu’il sortit sa langue pour humer son parfum. Alors, doucement le cobra remonta son épaule et s’installa autour de son cou telle une écharpe. A ce moment, les autres prêtresses s’agenouillèrent devant l’élue avant de quitter la salle puis de revenir pour la préparer à accueillir Ishtar.
Elle prit un bain de lait. Son corps ainsi que ses longs cheveux, furent recouverts d’huile parfumée. Elle passa la nuit à chanter et écouter des prières pour la déesse. Pendant ce temps, le prêtre s’amusait à regarder le cobra en train d’avaler une souris. Jeu étrange de la vie et de la mort. Pourtant, il était le seul à connaitre le secret du serpent : on avait méticuleusement retiré ses crochets venimeux.
Durant toute la nuit, elle inhala les vapeurs de produits hallucinogènes. Elle dansa trouvant ainsi la transe. Guidée par les prêtres, elle visita le monde des morts et celui des dieux. Elle rencontra enfin la déesse et accepta que cette dernière la pénètre. La transe transforma son esprit. Elle était devenue d’essence divine.
Le soleil était déjà bien haut dans le ciel lorsqu’elle sortit. Elle était nue, uniquement habillée du serpent qui enroulait son cou. Elle marchait empruntant les rues les plus grandes. Tout le monde détournait le regard ou tournait le dos à son passage. Personne ne voulait subir la loi du serpent qui gesticulait lentement sur les épaules de la belle. Cette dernière marchait fièrement, la tête haute, la poitrine bombée, le pubis rasé. Son parfum embaumait la rue. Toutefois, le peuple comprit l’événement. Alors, les gens attendaient qu’elle s’éloigne, pour se regrouper et la suivre sans oser l’approcher ni la regarder, regarder son dos ou ses fesses dénudées.
Aucun des gardes du palais ne furent au courant de sa venue. Ils virent la jeune femme venir vers eux. Ils reconnurent la déesse grâce à la présence du serpent. Alors, le chef ordonna qu’on ouvrit la porte pour laisser entrer la reine des dieux. Ils fermèrent les paupières lorsqu’elle arriva à leur hauteur. Ils pouvaient entendre le cobra siffler. Rayonnante, elle entra dans la forteresse et suivit un chemin qu’elle connaissait déjà, parce qu’Ishtar était déjà venue dans les jardins de ce palais.
Rien n’inquiéta le jeune roi. Il marchait à côté du prêtre, tout en discutant des dernières tablettes lues. Il aimait cette idée de graver dans l’argile des signes qui, permettront aux générations futures de se souvenir des exploits de leurs ancêtres. Il marcha sans réaliser qu’ils se dirigeaient vers la terrasse sacrée. Il gratta sa barbe naissante, puis il s’assit sur un banc installé sous un arbre.
Ils discutaient encore lorsqu’elle fit irruption dans le jardin suspendu. Dès lors, il se leva en découvrant la jeune femme nue. Il tourna la tête afin d’obtenir des explications auprès du prêtes, mais ce dernier ne répondit qu’en souriant. Soudain, il entendit les clameurs, il aperçut son peuple au pied du rempart. Les gens attendaient le début du rite.
-          Je suis Ishtar, reine des dieux et mère des vivants ! Je suis l’épouse des rois, dit-elle.
Elle avança vers le roi. Le serpent redressa la tête et sa langue effleura la joue du jeune homme. Il recula d’un pas, effrayé par l’animal. Toutefois, elle avança encore. Elle sentait bon. Elle attrapa un fruit en forme de poire pendu à une branche, avant de la tendre vers l’homme. Il ne savait que faire. Il hésita puis, il accepta l’offrande. Il croisa le regard du prêtre attentif au moindre de ses gestes. Dès lors, il croqua la poire, mâchant difficilement car elle n’était pas mure. Aussitôt le guide spirituel leva les bras tout en criant :
-          Notre roi est prêt à devenir divin !
Pendant que le serpent se faufilait dans l’arbre, une clameur enthousiaste envahit la cité d’Ur. Toute la population attendait ce sacre. Ils admirèrent leur roi finissant de manger le fruit, pendant que la prostituée sacrée l’emmenait vers l’autel. Le prêtre suivait derrière eux, jouant le rôle du Dieu Ae. Il était comme un père pour le jeune homme. Il voulait que la tradition continue. Le couple stationna devant le piédestal. Il se sentit gêné par la présence du peuple. Elle s’agenouilla, le déshabilla avant de malaxer ses parties intimes. Sa main branlait son sexe jusqu’à le durcir au grand plaisir des citoyens. Leur roi était vigoureux !
Une fois prêts, elle se cambra sur la table de pierre, écartant les jambes afin d’offrir à sa vue sa fente rose et épilée. Il approcha et sans attendre, il pénétra la jeune femme. Ses va-et-vient allaient au rythme des cris de joie du peuple. Il ne l’entendait pas. Il ne savait pas si elle prenait plaisir. Qu’importe, car son rôle était de faire de lui un être immortel, un Dieu.
Le prêtre observait chaque détail de la scène. Il n’y avait aucune règle, aucun interdit dans l’acte. Alors, il laissa l’homme caresser les épaules de sa femme. Il accepta qu’il se penche pour embrasser son cou. Il autorisa la femme à relever la tête pour l’inviter à l’embrasser. Elle se montrait comblée. Et quand vint enfin la jouissance absolue, lorsque le roi râla en éjaculant dans le vagin chaud de sa concubine, le prêtre leva encore les bras pour annoncer la bonne nouvelle aux habitants de la cité :
-          Dumusi, notre dieu-roi est enfin de retour !
Même s’il n’appréciait pas le rituel, il se devait d’accepter d’y prendre part. Il resta quelques secondes affalé sur le dos de la jeune femme. Puis, il se leva, le sexe pendant et englué. Il se rhabilla et quitta immédiatement le jardin sous acclamation de son peuple. Un peu perdue, elle accompagna son maitre. Le prêtre rejoignit le couple. Il invita la prostituée à rester pour continuer le rituel. Puis, il retourna dans le jardin. Le peuple était déjà retourné à ses occupations. Il chercha dans l’arbre, retrouva le serpent qui se laissa attraper facilement. Une fois avoir quitté le jardin, il confia le cobra à un domestique, le plaçant dans un panier en osier. Puis, il retourna dans le temple pour annoncer la bonne nouvelle à ses convives.
Elle n’était pas son genre, pourtant il la trouva attirante. Elle restait étendue sur le lit, attendant qu’il la rejoigne. Pour finir le rituel, ils devaient passer des jours et des nuits entières à faire l’amour. Il savait qu’elle repartira comme elle était venue. Elle n’était qu’une image, une prostituée sacrée et possédée par l’âme d’une déesse. Cependant, il voulut savoir :
-          Comment t’appelles-tu ? murmura-t-il. Je parle de ton vrai nom pas celui d’Ishtar.
-          Awa, répondit-elle. Et toi, tu n’es pas réellement dumusi ?
-          Mon vrai nom est Adamas.
Elle sourit. Elle le trouvait beau avec ses cheveux bouclés et sa barbe de quelques semaines. Elle tendit les bras pour accueillir le jeune roi.
-          Alors Adamas, amusons-nous ! Car après, il te faudra descendre aux Enfer et surmonter les pires tortures au nom de notre cité.
Il déglutit. Il connaissait aussi cette partie pénible dans laquelle il serait battu et fouetté devant la population. Il devait mourir pour renaitre et ainsi montrer qu’il était un vrai dieu. En attendant, il enlaça Awa avant de se caresser mutuellement. Elle sentait bon. Peut-être la choisira-t-il comme reine plus-tard ? C’était aussi le rôle des prostituées sacrées d’Ishtar que de devenir reine.
Alex@r60 – février 2023
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masterofbiography · 1 year
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Le lieutenant Kelly Severide est le chef de l'équipe des secours 3, au sein de la caserne 51 de Chicago. Il a de grosses difficultés à supporter le décès de son ami d'enfance Darden, mort lors d'une intervention. Il pense d'ailleurs que le lieutenant Casey est responsable de sa mort, puisque c'était lui son chef d'équipe sur le terrain. Malgré tout, Severide et Casey réussiront à surmonter cette épreuve, même si les 2 pompiers ne sont pas toujours d'accord sur tout. Ils se fâcheront d'ailleurs de nouveau, lorsque Severide découvrira que la femme de Darden a passé la nuit avec Casey. Il ne s'est rien passé entre eux, mais Severide ne le croira pas et il sera en colère contre son co-équipier. Kelly Severide a une très forte douleur à l'épaule, qui sera cachée au reste de l'équipe pendant des mois. Seule sa meilleure amie et colocataire, Leslie Shay, sera au courant de toute l'affaire, puisque c'est elle qui le fournit en antidouleurs quelque temps. C'est sur le terrain que son chef, le Capitaine Boden, se rendra compte du problème et l'obligera à consulter dans l'urgence un médecin. Kelly Severide est très populaire auprès des femmes, les nouvelles recrues de la caserne tombent en effet sous son charme immédiatement. Cela se retournera contre lui lorsqu'une nouvelle infirmière portera plainte pour harcèlement sexuel. Tout s'arrangera pour le mieux grâce à une intuition de Leslie, qui avait deviné que tout ceci n'était qu'un piège contre Severide. Très proche de sa meilleure amie Leslie, il n'hésitera pas une seconde lorsqu'elle lui demandera d'être le père de son enfant. Il a des difficultés de communication avec son père Benny, qui était lui aussi pompier avec le Chef Boden et Henry Mills, le père de Peter.Kelly est suivi par un pyromane, qu'il finit par arrêter. Renée Royce revient auprès de Kelly pour lui apprendre une fabuleuse nouvelle qui est l'arrivée d'un bébé, mais qui malheureusement s'avère ne pas être le sien. Severide apprend l'existence d'une soeur du nom de Kitty et en devient très proche. Il est prêt à tout pour la retrouver lorsque Vince Keller la kidnappe. C'est même lui qui la retrouve et indique à la police où elle se trouve. Il doit malheureusement la quitter après cette aventure lorsqu'elle quitte Chicago pour se changer les idées. Kelly se rapproche un peu plus de Erin Lindsay. La mort de Shay va impacter très fortement Severide, qui perd sa confidente et meilleure amie. Il va être absent sans permission officielle pendant 6 semaines jusqu'à ce que le chef Boden dise à Casey qu'il est temps d'aller le chercher et le ramener à la caserne. Kelly va refuser de revenir et d'être pompier de nouveau, mais Casey ne va pas lâcher l'affaire et il va lui montrer un livre que le chef garde, ou il note toutes les vies qu'ils ont sauvées.Finalement, il reprendra son poste de pompier et affrontera bien des difficultés sur la caserne. Lorsqu'il aura une opportunité d'être chef et muté ailleurs, il refusera. La caserne 51 est sa famille. Je ne fais pas un copier/coller de la série. Je ne suis pas non plus à jour sur cette dernière car je regarde beaucoup de séries. Merci de tenir compte de mon TV time (page 1) pour éviter de me spoiler sinon je pourrais vous tuer. J'ai réussis à l'éviter en faisant sa biographie gachez pas mes efforts.
Joue avec : Kelsey Gallagher
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jloisse · 2 years
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Traité de traître en Allemagne, il rêve de soigner des blessés dans le Donbass
«Là-bas les gens sont comme des frères», confie le médecin allemand Thomas Mertens qui a soigné pendant un certain temps des soldats russes dans un hôpital de la république populaire de Lougansk. Marié à une Russe, il a initialement refusé de soigner des combattants ukrainiens venus en Allemagne et n’a pas voulu les transporter vers la Pologne.
«Si j'acceptais de telles choses, ma femme me dirait: "Es-tu stupide?". Mon organisation adhère aux principes catholiques, mais ils ne sont pas vraiment catholiques. Les vrais catholiques ne soutiennent pas la guerre, pour eux tous les hommes sont égaux», a-t-il expliqué à un média russe.
Sous la pression des autorités allemandes sa femme et lui ont dû finalement quitter l’Allemagne pour le Donbass. Actuellement, leur famille s’est installée en Crimée. L’homme espère obtenir un permis de séjour pour revenir en tant que médecin dans la zone du conflit.
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carolemm · 29 days
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Ouiiii Merci Ninie ! Le dernier Amélie Nothomb ! « L’impossible retour », c’est l’impossible retour d’Amélie au Japon, qui est son pays fondamental, celui par lequel elle se définit.
Et pourtant, grâce ou à cause d’une amie très chère, elle se voit obligée d’y retourner en mai 2023. Elle y est née et y a passé les cinq premières années de sa vie avant de déménager en Chine.
Ce roman sur son périple nippon, c’est un livre nécessaire, elle s’y dévoile comme jamais. Elle y expose son amour pour le Japon et en hologramme celui pour son père aujourd’hui décédé. Très psychanalytique, c’est un mélange d’hypermnésie et d’amnésie. C’est un livre aussi très sensuel où les sentiments passent par les couleurs, la nourriture, le théâtre de No (la chanson)… Et puis la fantaisie quand même ! Son amie Pep Beni, photographe fantasque, est pleine de névroses, elle est aussi très occidentale dans ce pays très discipliné et cela occasionne des situations assez cocasses.
Bref, j’ai aimé comme j’aime cette femme : Amélie Nothomb.
« Il me faut vaincre, pour partir, un amour aussi puissant que l'inertie.
Rappel : l'inertie est la résistance d'un objet à une force exerçant sur lui un mouvement. Le dictionnaire y voit une propriété. Je me permets de trouver cela inexact. Une propriété, c'est presque une épithète homérique. L'inertie, c'est beaucoup plus grave.
Partir m'apparaît toujours comme une violence. Et pourtant, il s'agit de départs tellement plus bénins que ceux de ma jeunesse, puisque je suis assurée de revenir. »
« Quand Paul Bowles déclarait que le voyageur digne de ce nom était celui qui n'était pas sûr de revenir, il ne parlait évidemment pas pour mon cas pathologique, puisque, au lieu de vivre cette incertitude avec une noblesse métaphysique, je l'appréhende de la pire manière. Les veilles de départ, je ne dors pas : je suis trop accaparée par mes adieux à mon lit, à mon placard, à mon quotidien. »
« J'avais cinq ans et je savais que j’allais quitter le Japon et j'en avais d'avance le cœur déchiré. Et mon père également. Nous avions lui et moi inventé la nostalgie préventive : idée romantiquement funeste, vaccin inspirant, se contentant d'agrandir dans l'âme la région dévolue à la nostalgie rétrospective. »
« À présent, je ne suis plus harcelée par des supérieurs hiérarchiques mais par des lapins. L'une de ces adorables petites bêtes vient déposer des crottes sur mon pied.
- Il t'aime ! s'extasie Pep.
L'amour a bien des mystères. J'ai envie de secouer mon pied, mais je devine que j'offenserais ce nouveau prétendant et que Pep ne me le pardonnerait pas. »
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ANTIPODES
Peu importe où je suis, sous quelle latitude, quel pays, aucune importance. Je réside à l’heure où j’écris ces quelques mots sous l’équateur. Au diable Paris et la France ! Je m’allume une cigarette Dunhill Internationale à l’aide d’un vieux briquet Dupont trouvé ici sur l’étalage d’une vielle échoppe tenue par un vieux chinois exilé. Sur la table de nuit acajou aux ornements orientaux, je me remplis une tasse de thé Darjeeling, je fixe le plafond observant les volutes qui s’échappent à travers la pièce. Je songe à toutes ces destinations lointaines dans lesquelles je me suis perdu, égaré, abandonné comme un apatride, un nomade. Je suis en mal d’exotisme, sorte d’addiction à l’équatorial, peu importe la destination ce qui compte c’est le voyage. Je change d’attitude aux rythmes des latitudes, dans la solitude et les songes à la manière d’un moine tibétain à la recherche du Nirvana absolu. Mieux vaut finir sa vie comme un vieux sâdhu plutôt que de la commencer en jeune sadique. Un oublié du triangle des Bermudes, une Jonque qui tangue en mer de Chine affrétée de jarres précieuses en partance pour l’Arabie, un DC8 ou Super Constellation aux hélices rouillées par les moussons, un Clipper naufragé des vents contraires au large d’une ile lointaine en quête de la Terra Incognita. Si loin du Yang Tsé Qiang, du Mékong, des comptoirs, des boutres, de l’Éthiopie et du Yémen. Le monde est très grand et plein de contrées magnifiques que l’existence de milles hommes ne suffirait pas à visiter écrivait Arthur Rimbaud. Mon existence ressemble jour après jour à l’embouchure d’un estuaire, pourtant ma vie coule de source atteint par le syndrome du saumon à savoir ; toujours à contre-courant, un destin de fleuve entre Gange et Amazone. Un désir d’exil, se perdre volontairement, se fondre dans la masse à la recherche d’une nouvelle identité autre que la sienne. Partir afin de mieux revenir, comme un appel irrésistible aux escales. Quitter la France pour constater la différence entre ici et l’ailleurs, l’Afrique, l’Asie, le Proche et Moyen Orient, le long des quais des zones portuaires, des gares transits, aveugler par les lueurs des tarmacs d’aéroports. Je ne suis qu’un vieux baroudeur qui se pavane entre les tropiques et l’équateur. J’ai l’âme des grands voyageurs, je traine mes Pataugas du genre globe-trotteur. Rendez-vous avec une jolie nippone sur la méridienne du capricorne, une adorable geisha se promenant au milieu d’un jardin zen d’Hiroshima. Franchissant les mers du Sud, je redeviens solitaire au fil des longitudes. Une vahiné des Tuamotu danse le tamouré et me rend fou, à la rencontre de la femme berbère accompagnée de quatre dromadaires aux confins d’un désert, n’en déplaise à Guillaume Apollinaire. Dans le viseur de mon Leica, je zoom, je flash puis je m’arrache. Irak, Syrie, Iran, Pakistan, Afghanistan, Somalie, pays du Levant je photographie toutes les tragédies du moment. Clichés pour des agences de presse, les magazines et les journaux de l’information express. Clic-clac, j’immortalise sur pellicule Kodak en mode portrait ou grand angle. De retour au labo, dans l’obscurité je développe, je retouche, parfois un peu flou, à contre-jour, putain de négatifs 24/36 derniers cadrages pour première page. La vie est une mise en tropique, une malouinière au fil de l’errance, un vertige des sens, des soleils vagabonds, des paradis sans sommeils, des abimes de la pensée, des immensités ou l’Homme redevient animal et prédateur proche du précipice d’un amour intense. Combien de lune pour comprendre mes Yin et Yang. Je me sens comme une vielle anglaise qui aurait brutalement traversé les Indes, un orientaliste désorienté, un mandarin cantonné à ses chinoiseries, un soliste de l’insolite, un acolyte anonyme. À l’encre de Chine, l’écrivain à sa plume comme le marin a l’ancre.
Patrick Compas Publié quelque part et ailleurs
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theoriedelesthetique · 2 months
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NOM :  Yun Rei.     -  DATE DE NAISSANCE :  5 juin.  - SURNOM : Aucun.  -ORIENTATION SEXUELLE :     Hétérosexuelle.  - MBTI : istj. - ALIGNMENT : neutral.  - LOCALISATION : Née à Séoul, vit à Séoul. - HOBBIES : Rei est une grande lectrice. Elle apprécie tout type de sport quel qu'il soit parce qu’elle aime se dépenser.   - PEURS : Rei est terrifiée de voir son père revenir dans sa vie, de peur qu’il fasse avec elle ce qu’il a fait avec sa mère.  
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Le foyer Yun est un foyer profondément brisé. Une mère et un père qui se détestent plus qu’ils s’aiment, qui se déchirent à longueur de journée, à coup de réflexions déplacées, d’insultes vicieuses, et les coups qui pleuvent en permanence sur le corps de la mère. Ils sont dépassés par leur propre relation, ne trouvent pas le courage de se quitter, encore moins après la naissance de leur première fille, Renata. Et ça apaise le couple, les premiers mois. Alors, quand les coups recommencent, quand les mauvais traitements s’installent, la mère de la petite a une idée : avoir un deuxième enfant. C’est dans ce cadre-là que naît Rei, qui n’est ni plus ni moins qu’une offrande de paix. Mais ça ne change rien à la situation - parce que Rei et Renata sont souvent livrées à elles-mêmes, et son père cultive un violent ressentiment à l’égard de ses deux filles. Rei et Renata ne subissent pas de coups directement - mais les mots fusent, et Rei, plus que sa sœur, sait qu’elle gêne son père.
Et puis, l’incident qui change la vie des deux jeunes filles. Rei n’a que huit ans, et elle est installée sur la table de la cuisine, à essayer de faire ses devoirs de mathématiques, tandis que Renata, dix ans, regarde la télévision dans le salon. Une dispute éclate dans la maison, entre ses parents, et dans un accès de rage, le père de Rei poignarde sa femme, juste devant les yeux de la cadette. C’est Rei qui doit appeler les pompiers et la police, tandis que son père, lui, se contente de se servir un verre, avant de s’installer dans le canapé aux côtés de Renata. Rei n’a que huit ans, donc, quand sa mère meurt dans ses bras La police arrive, arrête son père, et ça devrait être la fin de l’histoire. Mais avec un père en prison, et une mère décédée, il ne reste plus grand-chose aux deux petites, qui sont alors placées dans la famille la plus proche qu’elles peuvent avoir : leurs grands-parents paternels. Ils les accueillent avec le sourire, avec des mots doux, devant le juge, tandis que son grand-père la porte sur ses genoux, caressant ses cheveux. Tout le monde pense que l’horreur est finie. Mais que peut-on attendre, finalement, de deux personnes qui ont élevé un meurtrier? La porte d’entrée de la maison se ferme à peine derrière elles, que déjà, ils leur font comprendre qu’elles ne sont qu’une erreur.
Les grands-parents Yun sont loin d’être des modèles de vertu, et il apparaît qu’ils ne veulent pas tellement des deux filles dans leur maison. Et qui dit leur maison, qui dit leurs règles. Rei se soumet à tout ce qu’on lui demande de faire - parce qu’elle sait jusqu’où va la violence, celle qui a dû frotter ses mains pendant des heures pour enlever le sang de sa mère. Très vite, les jeunes filles comprennent qu’elles ne sont là uniquement parce que leurs grands-parents touchent les aides de l’Etat, qui se préoccupe peu de savoir dans quel état elles peuvent finir. Rei comprend, en grandissant, pourquoi son père est devenu un meurtrier - ses grands-parents ont les coups faciles, et les injures aussi. Alors elle navigue comme elle peut dans sa vie d’adolescente, ne compte plus les insultes, ni les bleus qui s’accumulent. Elle est plus familière avec la ceinture de son grand-père qu’avec les sorties entre amies, parce que des amies, dans le fond, Rei n’en a pas. Pourtant, l’adolescente essaye de se forger une personnalité loin du féminicide dont elle a été témoin, loin des horreurs qu’elle vit au quotidien.
Et ça n’était pas comme si elle pouvait partir si aisément. Parce qu’au-delà des coups, il y a la peur. Certes, Rei a peur de ses grands-parents, mais surtout, elle a peur de ce qu’ils peuvent lui dire. Parce que des années durant, ils ont réussi à les convaincre, elle et Renata, que le jour où leur père sortira de prison, il viendra s’en prendre à elles. Persuadée, donc, que leur seule sécurité est le foyer dans lequel elle se trouve, Rei accepte tout - parce que tout est mieux que de mourir de la main de son père. Elle suit le même parcours qu’au lycée, mais à l’université désormais, et ça lui laisse l’opportunité de rencontrer de nouvelles personnes, même s’il paraît difficile de casser la carapace de Rei. Deux personnes seulement y arriveront. Cordelia, d’un côté, qui traverse une situation similaire, et qui n’accorde aucun regard de pitié quand elle voit les bleus de Rei, simplement une main tendue. Et puis, Junseo. Junseo, qui se rend malade pour elle, qui cherche à lui offrir une porte de sortie, et c’est ce qu’il fait, quand il lui offre une place parmi les Serpents. Et même si Rei est a priori réticente, elle réalise bien que c’est l’occasion pour elle d’envisager autre chose que la violence des mains de ses grands-parents.
Elle ne partage à personne son histoire, même si tout le monde voit bien que la brune est particulièrement fermée, et elle laisse Junseo la former. Il va sans dire que l’élève, parfois, dépasse le maître, parce que Rei sait très bien qu’être une femme est parfois un avantage pour leur négociation. Elle n’a pas tellement peur. La violence ne l’effraie plus, et puis, elle a toujours Gabriel avec elle, quelque part autour d’elle. Gabriel, c’est son soutien, son roc, dans le gang, parce qu’il la traite normalement, sans chercher à creuser l’histoire de la jeune femme. Il est évident que Rei a des sentiments pour lui. Mais elle refuse d’agir, refuse de l’admettre, parce qu’elle ne veut pas perdre la seule chose bien qu’elle a dans sa vie. A force de fréquenter le gang, à forcer de trouver sa place dans le gang, et de réaliser ce que peut être une vraie famille, Rei commence à cultiver un rêve secret : celui de mettre les voiles, et de s’enfuir loin des traumatismes de son passé. Rei, surtout, vit mal l’arrivée des nouveaux partenaires des membres du gang, comme Nari, ou Bambi, mais force est de constater que c’est parce qu’elle est jalouse. Elle aussi veut goûter le bonheur. Et son bonheur arrivera pendant l’un des moments les plus critiques de sa vie, quand elle trouvera un refuge directement dans les bras de Gabriel.
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Rei est une femme très fière, mais très dévouée au gang. Elle est considérée comme plutôt éloquente, et sait user de sa séduction pour obtenir ce qu’elle veut. Rei est très secrète, mais elle est également très observatrice, et se veut plutôt impartiale et rationnelle. Son impartialité lui coûte parfois d’être dure, dans ses mots. Une fois en couple avec Gabriel, elle se montre aussi possessive.
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trivia; 001. Rei a une peur panique du noir, et ne supporte pas de dormir dans l’obscurité. Elle dort donc toujours avec la lumière allumée. 002. Quand les journées sont mentalement trop difficiles, Rei a laissé Gabriel prendre l’habitude de lui laver les cheveux, rares moments où elle se laisse décompresser en compagnie de celui qu’elle aime. 003. Rei est une enfant qui n’a pas eu le temps de grandir : il est rare de l’entendre rire, mais elle essaye, petit à petit, de guérir l’enfant en elle. 004. Rei continue ses études pour faire plaisir à ses grands-parents et pour éviter leurs frustrations. Quand elle quittera le domicile familial, et qu’elle s’installera avec Gabriel, elle préférera plutôt rejoindre la vie active, quitte à enchaîner les petits boulots, pour ne pas être dépendante financièrement du garçon.
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notasfarasyouthink · 3 months
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i THiNK OF YOU WHEN i THiNK ABOUT FOREVER...
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Mon petit Papa,
Aujourd’hui, ça fait 8 ans. 8 ans que nous a quitté pour rejoindre des nuages plus doux, en tous cas je l’espère.
Ça aura pris 8 ans Papa, mais je me suis enfin fait graver dans la peau quelque chose pour honorer ta mémoire. Ça fait très longtemps que j’en ai envie, mais il a été si dur de trouver quelque chose qui me fait penser à toi sans me donner envie de pleurer chaque fois que je le verrai. Alors j’ai choisi les premiers mots de cette chanson de P!nk, qu’elle a écrit après avoir elle aussi perdu son Papa. Dans cette chanson qui s’intitule ‘Quand je t’y retrouverai’, elle parle à son Papa, comme je te parle tous les ans depuis 8 ans. Elle lui demande comment se passe sa vie dans les nuages, et s’il la regarde, de là-haut. Si j‘avais eu la plume d’Alecia, je l’aurais écrite cette chanson. Elle m’a apporté tant de réconfort que « Je pense à toi lorsque je pense à pour toujours » est rapidement devenu le choix évident de ce que j’allais graver sur moi t’honorer. Il était encore plus évident que cette gravure soit faite par celui que je considère comme mon deuxième grand frère, et qui est né le même jour que toi.
Une fois n’est pas coutume Papa, je vais le dire, cette année a été plutôt exceptionnelle.
Papa, j’ai enfin retrouvé la sérénité. Une sérénité que j’ai l’impression de ne pas avoir connue depuis que je t’écrivais ce même texte il y a 3 ans, à la veille de mes 30 ans. A l’époque, comme aujourd’hui, j’avais l’impression d’avoir trouvé un équilibre comme je ne l’avais jamais vraiment trouvé auparavant. Cet équilibre à l’époque à été de trop courte durée, et quelques mois plus tard, beaucoup de choses se sont écroulées. Et puis d’autres, et puis d’autres. Il aura fallu trois ans pour reconstruire la montagne et la gravir de nouveau. Mais je crois aujourd’hui que le paysage est encore plus joli qu’il y a 3 ans.
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Papa, je vais changer de travail. Si, si, moi qui ne jure que par Too faced depuis presque 10 ans, moi qui n’ai fait que déclamer à quel point ce travail me rendait heureuse, que je n’avais pas envie d’en partir, je vais finir par le quitter. Et c’était vrai tout ça, je n’ai jamais menti. Qu’est ce que j’y ai été heureuse, qu’est-ce que j’y ai appris, tant sur le plan professionnel que personnel. Je suis définitivement quelqu’un de tellement diffèrent que je ne l’étais il y a 5 ans lorsque j’ai rejoint cette marque et cette équipe. Je n’en ai eu véritablement conscience que lorsque j’ai décidé d’en partir, et que j’ai été obligée de faire un point sur mon parcours et où je voulais qu’il m’emmène.
Je n’aurai pas cherché à en partir, en tous cas pas tout de suite, si on n’était pas venu me chercher. Mais la personne qui m’a tendu la main a été un tel ange gardien, un tel mentor par le passé que lorsqu’elle a ouvert la porte, il était inimaginable de ne pas essayer de la franchir. Et tout ce qu’elle m’a dit n’a fait que renforcer mon idée naissante qu’il était temps d’aller voir si l’herbe n’était pas mieux entretenue ailleurs.
Alors, elle ne le sera peut-être pas. Je suis d’avance si triste de quitter ces personnes, essentiellement ces femmes, qui m’ont tant appris. Je n’arrive pas encore à imaginer ma vie sans elles, et si j’y pense trop longtemps, j’ai envie de tout arrêter et revenir en arrière. Mais je sais qu’elle(s) et moi, on se retrouvera. Nous n’avons pas été mis sur le même chemin pour que ça s’arrête ici, c’est certain.
Mais j’ai besoin de passer la porte du verger. J’ai besoin d’entretenir mes propres plantes et de ne pas attendre que des directives me soit données par le paysagiste en chef. J’ai besoin d’étendre mes ailes pour voir si j’arrive à voler toute seule. J’ai peur, mais j’ai hâte de me lancer dans le vide et voir si j’y arrive.
Papa, je suis aussi devenue propriétaire. Moi qui avais toujours eu comme projet secret de le devenir dans l’année de mes 30 ans, j’ai pris un peu de retard, mais on va mettre ça sur le dos des 2 ans de Covid. Finalement je ne suis peut-être pas si en retard. J’ai été ‘forcée’ de le devenir, un peu dans la précipitation, pour des raisons un peu tristes. Et le chemin a été très long (enfin j’ai eu l’impression) pour y arriver. Mais finalement, j’ai quand même énormément de chance de pouvoir le devenir si facilement. Heureusement que maman t’as convaincu d’acheter il y a 30 ans, et que cet investissement saigne un peu sur mon héritage, et facilite tellement les choses. J’ai 33 ans, enfin presque, et j’ai mon propre chez moi, enfin presque, et c’est un peu grâce à toi.
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Et puis papa, il y a ce garçon. Il m’est tombé dessus quand je ne m’y attendais pas vraiment, n’en déplaise à tous ceux dont ça a été le credo pendant des années.
Certains te diraient que je suis bien allée le chercher. On ne va pas à un ‘apéro tendresse’ si on n’en cherche pas un peu, de la tendresse. Mais je t’assure que j’y suis allée sans arrière-pensées. J’y suis allée pour accompagner quelqu’un qui avait besoin de tenter quelque chose de différent. Et au final, c’est moi qui ai trouvé quelque chose de différent.
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Par que oui papa, il est différent. Des hommes, je n’en n’ai pas connu des milliers intimement. J’ai encore moins partagé un bout de ma vie avec eux. Parce que je ne voulais pas, je n’avais pas le temps, je ne voulais pas créer ce temps. Parce que j’étais bien toute seule, libre de vivre ma vie comme je l’entendais, de ne dépendre de personne et que personne ne dépende de moi. C’était vrai tout ça, je n’ai une fois de plus pas menti, ce n’était pas une excuse pour expliquer mon célibat.
Mais lui, il m’est tombé dessus comme un piano sur Bugs Bunny dans un cartoon. Dès nos premières conversations, j’ai senti quelque chose de différent. Une étincelle, une connexion, appelle ça comme tu le voudras, il s’est passé quelque chose.
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Tout était si compliqué sur le papier: sa situation, la mienne, ma difficulté à lâcher prise sur ce qui était depuis trop longtemps et à lui faire confiance, lui faire de la place. Mes insécurités, les siennes, nos différents vécus et nos bagages émotionnels. C’est tellement difficile d’avancer ensemble sur un chemin semé de toutes ces embuches.
Mais je crois qu’on réussit pas mal, Papa. Alors oui, ça reste parfois difficile. C’est compliqué de savoir ce qui est un compromis nécessaire et ceux que je m’impose. C’est dur de savoir ce qui est normal et ce qui ne l’est pas, tant chaque relation est différente. Et lui doit avoir le même ressenti. Mais j’ai l’impression que tout ça vaut le coup. Parce qu’il me fait me sentir bien, très bien, lorsqu’il me fait virevolter dans la rue où me dit des jolies choses tous droits sorties des comédies romantiques que je dévore tant. Il me fait me sentir aimée, voulue et nécessaire. Même si parfois ça m’inquiète un peu, parce que je ne veux plus jamais être nécessaire dans la vie de qui que ce soit, c’est une responsabilité que je ne veux plus assumer. Mais j’ai appris, grâce à la thérapie, à faire la part des choses, et c’est parfois agréable de se sentir nécessaire, quand on arrive à savoir que c’est à l’autre de faire ce qu’il faut pour ne pas dépendre entièrement de nous.
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Il me fait me sentir belle Papa. Même si c’est quelque chose que je n’ai jamais eu trop de mal à ressentir toute seule, c’est tellement plus facile lorsqu’on le ressent à travers les yeux de quelqu’un d’autre. C’est tellement plus facile quand quelqu’un te le dit, tous les jours, ou presque. Sans que ce soit quémandé, ‘justifié’ ou intimement espéré. Ça parait si facile pour lui de me dire qu’il me trouve belle alors que j’ai les cheveux ébouriffés et que mon mascara de la veille coule. S’il le dit, c’est que ça doit être vrai, pas vrai?
Il m’aime Papa, telle que je suis. Avec toutes mes blessures, y compris toutes celles que tu as créé. Il m’aime avec mes bagages, mes defaults, mes insécurités, mes principes, même ceux qu’il ne comprend pas. Il les accepte, parce qu’il comprend qu’ils font partie de moi.
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Avec lui papa, je parle, beaucoup. Tu sais à quel point la communication a toujours été si importante pour moi et pourtant si dure à appliquer dans le contexte du couple. C’est parfois encore un peu dur, car ma terreur de faire du mal et mon besoin de justifier chacun de mes sentiments me freine encore, mais je pense commencer à réussir à faire ce que je n’ai jamais réussi à faire avant : Exprimer les choses, de la bonne façon, avant qu’il ne soit trop tard.
Je (re)découvre avec lui les petits bonheurs de la vie de couple : Avoir quelqu’un sur qui compter, faire des projets, partager des jolis moments ensemble. Je ne vais pas tous te les citer, mais le domaine de Marie-Antoinette, Berlin, le Parc Astérix, nos promenades sur les magnifiques plages d’Algarve, le présenter aux gens que j’aime en sont certainement. Célébrer nos 1 an ensemble, ce qui n’était pas forcément significatif pour lui car il en a vécu bien d’autres, pour moi, tu le sais, c’était un moment très spécial.
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Et surtout, avec lui je me sens en sécurité. Ce n’est pas souvent dans ma vie que ce sentiment de sécurité a été motivé par quelqu’un d’autre que moi-même. Il prend soin de moi Papa, il m’achète des fleurs, me fait à manger, m’offre des cadeaux, me fait découvrir de nouvelles choses, et ce n’est pas forcément quelque chose que j’ai l’impression d’avoir connu dans ce contexte. Tu sais que j’ai souvent plus pris soin des autres qu’ils ont pris soin de moi. Ça serait mentir que de dire que j’ai manqué de soin dans ma vie : Quand il n’était pas donné par certaines personnes, toi y compris, il y avait toujours quelqu’un d’autre pour prendre le relai. Mais c’est tellement agréable de ne pas avoir à le demander, à l’espérer, et que ce soit juste là, parce qu’il a envie que ça le soit. Parfois, j’ai l’impression qu’il me serre si fort, que ça recole certains morceaux brisés par d’autres.
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Il y a eu tellement d’autres jolis moments cette année, Papa. Il y a eu mon séjour à Séville ou j’avais terriblement besoin de me retrouver avec moi-même. Il y a eu la Croatie et ces 10 jours avec ma PEF qui ont apporté tant de chaleur sur ma peau et dans cœur. Il y a eu notre concert de Taylor Swift, 13 ans après le premier. Il y a eu tous ces weekends dans le sud, où le soleil du midi a réchauffé mon cœur parisien qui en manquait terriblement.
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Il y a eu l’annonce qu’un joli petit bebe allait pointer le bout de son nez et que j’allais avoir l’honneur d’être celle qui aiderait à le guider jusqu’à la lumière. On se l’était promis, alors ça n'était pas tant une surprise, mais c’est si beau de voir qu’une promesse faite il y a tant de décennies peut être tenue, car elle est voulue. Je ne retournerai sans doute pas la faveur, mais je vais prendre ce rôle comme l’un des plus important de ma vie. Quoi qu’il arrive, j’aurai avant tout été une marraine, en plus d’être une fille, une sœur, une filleule, et une amie.
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Il y a eu tous ces jolis weekends parisiens, avec mes neveux, Dada, Axel, Maman, Marraine & Parrain, Julien, Marjo & Diego et tous les autres. Je te l’ai déjà dit, mais je le ressens encore plus après chacun de ces weekends : Le fait d’avoir réussi à créer ici un « Safe Heaven », un refuge pour que les gens que j’aime viennent s’y sentir si bien, s’y ressourcent, s’y rechargent, pour qu’on y passe ensemble des moments si marquants, ça a tellement d’importance.
Mais Papa, ça serait mentir que de dire que cette très jolie année n’a pas été semée d’embuches. Ce ressenti serein est tout récent, quelques semaines au plus, il est encore fragile, et le chemin pour y arriver n’a pas été de tout repos.
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Il y a d’abord eu, tu le sais car c’est toi qui lui as ouvert la porte, la perte de Tonton, ton frère. Cette perte a été trop rapide, trop violente, elle est arrivée à un moment où personne n’y était préparé, bien qu’on ne soit jamais préparé à tout ça. Alors j’ai le recul ou la croyance suffisante pour réussir à me convaincre que c’était mieux pour tout le monde, mais ça reste très difficile à encaisser. S’il ça l’a été pour moi, je ne peux qu’imaginer à quel point ça l’a été, et ça l’est encore, pour son entourage plus proche. Quand j’ai posé un cierge sur son cercueil, comme à chaque funérailles depuis ton grand départ (déjà tellement trop nombreux)  je lui ai demandé de te faire un bisou. J’espère que tu l’as entendu. Je sais que tu étais au fond de l’église à nous donner à tous la force de traverser ce moment sans nous effondrer. Je sais aussi que tu as séché nos larmes quand nous n’avons pas réussi à ne pas le faire. Certaines de ces larmes étaient aussi pour toi, tu le sais.
Il y a eu tant d’autres moments difficiles Papa. Je sais que tes mains étaient posées sur mon dos dans chacun d’entre eux, je les ai sentis. Il y a eu ces moments où j’ai cru perdre des gens que j’aime profondément. A commencer par ton fils, ou celui qui est, depuis ton départ, la plus jolie figure paternelle que j’aurai pu imaginer avoir. S’il te plait Papa, ne l’appelle pas tout de suite à te rejoindre. Je sais que malgré le fait que vous soyez tous les deux fondamentalement différents, vous serez amis là-haut, si ce n’est que parce qu’à travers votre amour pour Maman. Mais je ne suis pas encore prête à cette nouvelle perte, trop proche de la tienne, alors continue à le protéger, comme tu le fais si bien depuis ces dernières années.
Le plus dur cette année Papa, ça été que ceux que j’aime ne puissent pas être aussi heureux que moi. Tu sais que si je pouvais arracher un morceau de mon bonheur pour leur en donner un peu à tous, je le ferai sans hésiter. J’en ai assez pour tout le monde, je crois.
Nous avons perdu d’autres personnes, et des relations si importantes se sont éteintes, marquant un point final à certains équilibres pourtant si bien installés. Les trois constantes de ma vie ont eu une année si difficile, et je ne peux rien faire de plus pour guérir leurs maux, je crois. J’aimerai tellement que les 3 femmes avec qui je ne suis pas reliée par le sang mais qui vivent en moi comme si c’était le cas n’aient pas à traverser ce qu’elles traversent. Mais je n’ai pas ce pouvoir apparemment, donc je continue à faire tout ce que je peux pour rendre le fardeau moins lourds. J’espère que je réussi un peu, parfois. J’espère que ça suffit.
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Mais malgré tout ça Papa, ça va, bien.  Très bien. Je sais qui je suis, ou je veux aller, et comment, et j’arrive à prendre le recul nécessaire pour obtenir mon propre bonheur sans qu’il passe forcément par celui d’autrui, enfin je crois.
Tu me connais Papa, jamais à l’aise dans les moments de bonheur, toujours à attendre que l’épée de Damoclès me tombe irrémédiablement dessus. Je suis un peu inquiète que ce moment de sérénité ne soit que l’annonce de moments beaucoup plus durs à venir. Mais je m’accroche, autant que je le peux, au fait que peut-être pas. Peut-être que le bonheur va durer, un peu, encore un peu plus. Peut-être qu’il n’est pas annonciateur d’une tornade qui aura eu besoin de tant de calme avant pour s’y préparer. Nous verrons l’année prochaine, j’imagine.
J’espère que tu vas bien. Que tu as toi aussi son siège préfère dans ton bar là-haut. Tu me raconteras quand je viendrais te rejoindre, mais pas tout de suite s’il te plait. J’ai encore plein de bonheur à vivre ici.
Je t’aime.
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happy-traditional-mom · 6 months
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La femme traditionnelle, pourquoi?
Une femme traditionnelle a donc, la foi!
Mais elle a aussi, une conception et une conscience de ce qu’elle est ! Une femme, avec des envie, des rêves et maigres tout ce que pourront dire les féministes extrémistes, de l’ambition !
Simplement, cette conception est très différente que ce que voudrait nous imposer certains féministes.
Quand les hordes de femen, veulent de nous, de l’égoïsme et du leadership d’entreprise, en réalité, nous femme traditionnelle, sommes en adéquation pleine et entière avec, la famille, et les soins de cette dernière !
Loin de moi l’idée de vouloir revenir dans les années 50 ou l’enfantement arrivait brutalement, sans vrai réflexion au préalable et surtout sans réel envie pour beaucoup de femmes, surtout après des grossesses qui n’en finissait pas. Ces femmes et ces hommes avait néanmoins un sens du devoir (respect mutuel, mariage, protection, finance,) ancré dans leur éducation, un sens du sacrifice, (l’homme partait à la guerre pour sa parti, travail ingrat pour nourrir la famille)
Et ce sont ces valeurs de travail, de soin, de responsabilité et de devoir, qui sont restés ancrés dans certains famille, traditionnelles !
Alors pourquoi aujourd’hui certaine femme désirent-elles tant être au foyer et s’occuper de leur enfant ?
Avez vous vu la société dans laquelle nous évoluons? Entre la violence et l’insécurité, la dégradation des service public dont l’école, les salaires toujours aussi bas, le pouvoir d’achat, le climat, les bulshit job?
Tant de parents aimeraient protéger leur enfants même si cela veut dire réduire le budget… si les femmes sont plus encline à rester à la maison, ce n’est pas par soumission, mais par amour !
Ensuite revenons sur le travail des femmes modernes ! Vous voulez bien…
Imaginons que cette femme a un enfant, voir deux, à 3 mois, comme la majorité des femmes, elle laisse son bébé et ses enfants à la crèche, à la nounou et à l’école…
Pour ce qui est de la crèche et de la nounou, et de certaines école, (privé) cela n’est ps gratuit, sans compter la cantine, les repas (souvent petit pots) le goûter…. Bref des dépenses à n’en plus finir pour un mode de garde, (hors école) qui vous permettent d’aller travailler. Vous le déposez entre 7/8h le matin, et revenez toute pimpante récupérer votre petite tête blonde entre 17h et 20h combien de temps passer vous réellement avec lui ?
Vous avez les course à faire, car le papa, rentrera peut être plus tard aujourd’hui, vous avez peut être le petit à emmener au docteur, l’autre doit faire ses devoirs, bref…. Sans parler du repas à faire, les faire manger, les doucher, surveiller les devoir fait et enfin les coucher…. Votre mari rentre enfin de son chantier, et vous êtes en train de ranger la vaisselle, lui veux se poser de sa longue journée mais il y a le linges à repasser, la machine à étendre, bref, aucun de vous deux ne se repose, vous êtes tendu, voir en colère… et vous allez finalement dormir beaucoup trop tard, et le lendemain cela recommence….
Si vous parvenez à faire votre vie de cette façon, et que cela vous convient, car « vos enfants vont bien, il ont des bonnes notes.. » très bien, mais le jour où votre enfant ne rentre pas alors qu’il a quitter l’ecole, Vous ne le saurez pas, cette ado, s’est tellement senti délaissé qu’il a été avec un amis en ville, vous ne le savez pas mais il subit des brutalité, et selon vous ce ne sont que des chamailleries entre gamin, selon vous meme si il vous a dit qu’il avait envie de mourir, il ne peux pas réellement comprendre ce que cela veut dire, et vous lui avez juste dit qu’il « aurait des problèmes plus grave étant adulte » cette enfant que vous n’avez pas eu le temps d’accompagner, il s’est pendue dans sa chambre…
Cette histoire, c’est en partie la mienne… ma mère était tellement absente et mes problèmes tellement petit pour elle, que j’avais envie de me suicider à l’âge de 8ans…
Regarder dans l’actualité et dites moi que cela est impossible….
Voilà pourquoi beaucoup de femmes veulent rester au foyer…
Nous ne voulons pas d’une vie stressante avec un patron sur le dos, nous voulons être calme et disponible pour nos enfants, nous ne sommes pas soumise à nos maris, nous sommes une équipe, qui avons des rôles différents !
Car bien que les féministes arborent ce mot afin de décrédibiliser les femmes traditionnelles, elle n’en comprenne même pas le sens
« Femme soyez soumise à vos maris »
Oui, mais
« Soyez soumise à vos maris, comme il convient dans le seigneur »
« maris, aimez vos femmes et ne soyez pas dur avec elle »
« Vivre avec elle, en les comprenant, accordez leur de l’honneur car elle sont héritière avec vous de la faveur immérité de la vie »
La soumission biblique n’est pas la relation entre un esclave et son maître… c’est une relation d’amour de confiance, au même titre qu’être soumis à Dieu, n’est pas être son esclave, mais être en amour de sa parole, en amour de ses action, et d’avoir confiance en lui…
Voilà pourquoi les femmes traditionnelles ne sont en rien des soumise en jupons! Nous sommes des femmes libres, nous sommes libre dans nos foyer, et libre dans nos vie! Nous partageons notre quotidien avec notre famille, nous vivons pour son bien être, sans nous oubliez ( pour ma part j’ai eu longtemps tendance à m’oublier sans le vouloir, mais cela viens de ma propre personnalité), et surtout nous sommes libre de notre temps, du temps pour cuisiner et offrir des repas sain au maximum à notre famille, délivré pour les devoirs de nos enfants, libre pour nos courses, sans faire la courses, libre de gérer les imprévus avec le moins de stress possible, libre pour les problèmes de nos enfants, libre de les voir évoluer et grandir chaque jours que dieu fait
Nous remercions le féminisme de nous avoir offert la possibilité de nous épanouir dans nos choix, mais nous exécrons les femens qui nous insultent et nous ridiculisent sous prétexte que nous ne sommes à leur yeux pas dans leur rangs!
Nous avons des valeurs différentes de la normes ! Nous voulons un épanouissement dans notre famille, notre rôle de mère.
Notre vision de la femme n’est pas étriquée elle est juste différente car la encore, nous sommes tourné sur la famille, et non sur le travaille dans un bureau, ou dans un bulshit job!
Notre vie ne se résument pas à plié le linge et faire à manger ! L’intendance n’est qu’une partie infime de nos journées ( même si avec un en bas âge, il est moins bien reparti dans la journée )
Personnellement, j’ai trouvé dans mon rôle de mère au foyer, une capacité que je n’avais jamais soupçonné : la tranquillité d’esprit, et cela, je ne l’échangerais pour rien au monde
Même si je suis autiste et que certaines journées sont plus dur que d’autres, j’ai une tranquillité, j’ai mes passions, j’ai le temps pour moi ( à condition que j’accepte de le prendre et d’en faire un atout)
Alors ?
Vous êtes plutôt, femme traditionnelle, ou femme moderne?
Avez vous un épanouissement réel dans votre rôle de mère? De femme qui travaille ?
Arrivez vous à bien concilier les deux, sans aucune forme de stress ?
Que pourriez vous changer dans vos vie, pour être plus épanoui ? Et en accord avec vous, et seulement vous?
Êtes vous reelement en accord avec votre « moi intérieur » ? Êtes vous en phase avec votre conjoint ?
Êtes vous en forme ? Et surtout, êtes vous, vous et votre famille, dans un état d’équilibre émotionnel, et relationnelle ?
Nous aurons tous nos problèmes à régler, femme traditionnelle, au foyer, ou bien moderne, et travaillant ! Nous devons trouver notre équilibre, et ne pas délaisser notre famille
Pour certaine cela passe par le salaire, d’autre par la disponibilité profonde, le tout est de savoir pourquoi, et pas à cause de quoi…
Car aujourd’hui, bon nombre de femme souhaite rester au foyer, mais n’en n’ont pas la possibilité avec l’économie actuelle… cela ne fait pas d’elle des idiotes pour autant, cela ne fait pas d’elle des mère qui abandonne leur enfant pour autant…
Alors féministes, femen, et autre mouvement pour les femmes,
Merci de bien vouloir, vous remettre en question quand à la femme traditionnelle et au foyer, car vous ne comprenez visiblement pas ce qui nous motive, ce qui nous fait vivre, et surtout, ce qui nous rend heureuse
Femme garder le pouvoir de vos vie, mais faites aussi confiance !
Sans confiance, que vous travailler, ou que vous soyez au foyer, il ne vous reste rien, à part l’incompréhension….
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christophe76460 · 6 months
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Je ne désire qu’une chose habiter dans la maison du père 💥❤️💥❤️💥❤️💥qu’il sauve mes enfants afin que notre vie sois joie et bonheur auprès de lui … loin des tourments de la terre … je n’ai que sa parole et ma foi,qui me sauves … …… »je crois qu’il est la vie éternelle « sa parole me dit et me rappelle chaque jour qu’il est le chemin la vérité et la vie « qu’il est la lumière qui a toujours conduit mes pas …… lorsque je crois me perdre … et que je pense qu’il ne peut pas aimer une femme comme moi …… « je vois la samaritaine qu il a rencontré au puit ……j’ai aimé les mots qu’il lui a dit … car elle ne comprenait pas comment il pouvait s’intéresser à elle 💥💥. Je me suis demandée moi aussi pourquoi il m’a choisie … après 6 mois de conversion … il m a fait quitter mon pays …je venais tout juste de comprendre son immense amour et pardon en lisant la bible …… ce fut difficile …… alors que les hommes m’ont abandonnée au main de l’ennemi …… avec très peu de connaissance … jésus a lutté pour moi … prié pour moi …et m’a gardé dans ses bras … il a décidé envers et contre tous que je suis son enfant … il m’a montré son amour …… alors j’ai perdu beaucoup d ‘êtres chers …… mais j’ai gagné l’amour du père … et ma place dans son royaume 💥❤️💥 seigneur je t’aime merci tu m’as sauvée …… pour vivre l’éternité avec toi et pour te servir 💥❤️💥❤️💥nous devons revenir à nos début lorsque nous avons rencontré son amour et réapprendre …la solidarité ……le partage … la compassion … l’empathie…la douceur …… la bonté …l’amour … et partager tout cela entre nous ……
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salomethomas-blog · 8 months
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La Tresse, une histoire aux multiples supports
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La Tresse, roman écrit par Laetitia Colombani et publié chez Grasset en 2017 a connu très rapidement un énorme succès. En effet, ce roman racontant l'histoire de trois femmes, sur trois continents opposés, liées par une tresse, a été récompensé à de multiples reprises avec notamment le prix du meilleur roman de l’année en 2021, année de sa sortie. Ce succès important a donc amené l'autrice à penser à des adaptations de son histoire.
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Dans un premier temps en 2018, Laetitia Colombani a choisi de l'adapter en livre jeunesse dès 6 ans. Elle a par la suite adapté son roman au cinéma avec un film sorti le 29 décembre 2023. Ayant lu et apprécié le livre il y a quelques années, j'ai donc décidé de voir l'adaptation cinématographique. Cela m'a amené à questionner cette notion d'adaptation d’un roman à un autre support. Au fil de mes recherches, j’ai découvert qu’il existait de nombreuses adaptations de La Tresse. Ces adaptations ne sont pas toutes réalisées par Laetitia Colombani. Il y a par exemple eu une adaptation en roman graphique ainsi qu’une pièce de théâtre réalisée par des lecteurs du roman. Il m'a semblé qu’il serait intéressant de questionner ses différentes adaptations qui s'adressent chacune à un public différent. J’ai choisi de me focaliser sur les adaptations de Laetitia Colombani qui selon moi sont les plus intéressantes car elles sont un prolongement de son travail.
Comment Laetitia Colombani adapte son histoire à trois supports ayant chacun leurs spécificités et leurs publics? Quelles sont les incidences graphiques pour chaque support ? Voici mes principales interrogations.
Pour parler de l'adaptation de l’histoire nous allons commencer par revenir sur le roman. Dans le roman, l’autrice nous raconte l’histoire de trois femmes. Smita, une femme indienne appartenant à la minorité des intouchables qui souhaite permettre à sa fille Lalita d’aller à l’école et qui va donc être contrainte de quitter son village pour lui assurer un avenir meilleur. Giulia, une femme sicillienne qui travaille dans l’atelier de perruques de son père qui va devoir reprendre la gestion de l’atelier famillial suite à un accident dont son père est victime. Sarah, une avocate canadienne qui va découvrir qu’elle a un cancer au moment où son patron s'apprête à lui donner une promotion. Ces trois femmes vont donc être liées par une histoire de cheveux avec une tresse qui va partir de Smita pour aller chez Giulia qui en fera une perruque pour Sarah. 
Au départ Laetitia Colombani est réalisatrice, actrice et scénariste et a donc plutôt l’habitude de travailler pour le cinéma. Quand il lui vient l’idée de l’histoire de la tresse, le support qui lui semble le plus adapté est celui du livre car il permet de réunir dans un même objet trois continents, trois cultures et trois histoires avec beaucoup moins de moyens qu’au cinéma. C’est pourquoi elle décide dans un premier temps d’écrire son histoire sous la forme d’un roman.
La première adaptation de l’autrice est celle du roman en livre jeunesse. Pour cette adaptation, Laetitia Colombani décide de se focaliser sur l'histoire de Smita et sa fille Lalita qui se passe en Inde. En effet, cette histoire semble la plus adaptée à comprendre pour des enfants car elle met en scène une mère et sa fille ce qui peut leur permettre de s’identifier facilement aux personnages. Cela permet également de projeter les enfants sur un nouveau continent et de leur faire découvrir une façon de vivre différente avec de gros enjeux sociaux et notamment le fait de devoir se battre pour aller à l'école. Cette adaptation est faite en collaboration avec l’illustratrice Clémence Pollet qui est la première à donner vie aux personnages de Smita et Lalita et à illustrer leur voyage. Afin que cette adaptation soit réellement adaptée aux jeunes publics, Laetitia Colombani a choisi d'ajouter une fin dans laquelle on voit Smita et Lalita recommencer leur vie dans un endroit où Lalita peut aller à l'école sereinement. Cette fin, n'étant pas présente dans le roman, permet de laisser les enfants sur un message d’espoir. 
L'adaptation cinématographique,quant à elle, est basée sur l'histoire des trois femmes et met en scène la polyphonie narrative du roman. Ici l'enjeu est de garder un équilibre entre chaque histoire pour que chaque “brins” de la tresse soit égaux. Laetitia Colombani a donc dû supprimer certains passages du roman pour garder les plus importants et impactants de chaque histoire. Il y a également eu un travail au niveau du rythme, de l'histoire des différentes femmes, afin que le film n’ai pas de moment creux .  Les alternances entre les histoires des trois femmes ne sont pas les mêmes entre le roman et le film. Pour accentuer le côté réel de l'histoire et humaniser plus les personnages, Laetitia Colombani fait le choix de prendre des actrices sur les trois continents. Les actrices ne sont pas des têtes d’affiches et ont été choisies pour coller le mieux possible au personnage et dégager de réelles émotions. L’actrice qui joue la petite Lalita a par exemple été trouvée dans un bidonville en Inde . Le choix de cette petite fille appartenant à la minorité des intouchables permet de rendre l’histoire vraiment réelle. De plus, il a été possible pour Laetitia Colombani de réellement tourner son film sur les trois continents pour renforcer le réalisme de l’histoire. L’autrice a aussi fait le choix d'apparaître dans son film, elle y joue la professeur de français de la fille de Sarah au Canada. Par cette apparition il y a selon moi une sorte d'implication dans son histoire, elle vient s'intégrer à l'histoire mais garde un certain recul et n’influe pas sur celle-ci. 
Nous allons maintenant nous focaliser sur la partie visuelle de chaque adaptation afin de comprendre comment ses supports sont graphiquement liés et quels ont été les choix effectués pour donner vie à cette histoire. 
Dans un premier temps j’ai mis en parallèle la couverture du roman, celle de l’album jeunesse et l’affiche du film, afin de voir comment le visuel servant à promouvoir l’histoire a été traité pour chacun des supports. 
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La couverture du roman est constituée d’un fond jaune sur lequel est dessiné l’ombre de Smita en train de faire une tresse à sa fille Lalita. Sous cette ombre, on trouve une première bande blanche contenant le titre du livre dans un caractère avec empattement en italique. Sous cette bande, on trouve une bande image jaune dans laquelle on trouve le nom de l’autrice dans un caractère linéal . Et pour terminer, sous cette bande jaune une bande noire qui vient continuer l’ombre de Smita et Lalita. 
La couverture de l’album jeunesse reprend la même base que celle du roman. On a une illustration de Smita qui fait une tresse à Lalita mais cette fois l'illustration est très colorée et avec beaucoup de détails. L’illustration est dans le style des illustrations à l’intérieur de l’album. Le fond jaune quant à lui est toujours présent. D’un point de vue typographique on a encore un jeu entre deux caractères: un caractère avec empattement pour le titre et un caractère linéal pour le nom de l’autrice et de l'illustratrice. 
L’affiche du film reprend aussi cette même image de Smita tressant les cheveux de Lalita mais cette fois on a une photographie avec les actrices du film. Le jaune n’est plus la couleur prédominante, le choix est cette fois porté sur des tons orangés. Dans l’image de Smita qui tresse Lalita, il est ajouté la poupée qui suit Lalita tout au long de l’histoire en train de se faire tresser par Lalita. L’ajout de cette poupée crée comme un cycle et rappelle le cycle de l’histoire. Sur le fond on a l’ajout de la phrase “préparez vous à être émus au larmes” dans un caractère gras sans empattement orangé qui prend une grande partie de l'écran. Sous cette image apparaît le nom de la réalisatrice et autrice du roman Laetitia Colombani.
Dans les trois visuels on a le choix de cette image de Smita qui tresse Lalita. En effet, celle-ci reprend l’origine de cette tresse évoquant une seule partie de l’histoire mais la présence de la tresse fait écho aux histoires de Giulia et Sarah qui sont chacune un brin de cette tresse. Le choix des tons jaunes pour les livres et orangés pour le film apporte un côté lumineux à cette couverture. Elle fait comme un effet de rayon de soleil , rayon d'espoir pour trois histoires qui s'entremêlent.
 Pour le choix des caractères des deux couvertures de livre, je pense que le choix du caractère avec empattement pour le titre du livre a été choisi pour évoquer les cheveux. Pour le roman, on a le choix d’un caractère où l’on trouve un contraste fort entre les pleins et des déliés ce qui renforce l’idée d’une mèche de cheveux. 
Les images présentées dans l’album jeunesse et le film sont également liées . On retrouve dans le film des images de l'album jeunesse au niveau des couleurs, les deux œuvres sont dans le même esprit, les deux sont très colorées et contrastées ce qui apporte beaucoup de vie à l'œuvre. 
Dans l’album jeunesse, l'accent est vraiment mis sur les images qui viennent accompagner le texte .
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On a une grande place laissée à l’illustration. Dans le film on a également pas mal de scènes très contemplatives où l’on voit les paysages des différents continents qui permettent au spectateur de faire de courtes pauses dans l’histoire. De plus, la façon dont sont filmés les personnages inclut également le spectateur à l’histoire  : on entre dans l'intimité de ceux- ci.
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J’ai trouvé ses adaptations très réussies et s’adaptant chacune très bien à leur supports. J’ai trouvé que peu importe le support la vision des femmes que veut nous faire passer Laetitia Colombani reste la même peu importe le support. L’album jeunesse permet de faire connaître cette histoire à des publics très jeunes et le film de faire découvrir et d'illustrer cette histoire pour le grand public.
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lanuitlennuie · 10 months
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J'écoute une émission de radio sur Edward W. Said. Une femme cite Adorno, quelque chose comme : une des formes la plus haute de moralité (plutôt que *haute*, il faut sans doute entendre minimale, dans le sens de «de base») consisterait *à ne pas se sentir chez soi chez soi* («not to feel at home in ones own home»).
Le US go home me taraude. C'était joyeux de le crier à la manif et aussi «yankee go home» prononcé à la latino par L : «yanqui go home». Mais passé le goût du slogan, il reste celui de la terre volée. Renvoyer les yanquis sur d'autres terres usurpées ? Et nous comment habiter ici ?
Je lis la thèse d'Amélie-Anne Mailhot et c'est elle qui me fait réfléchir à cette question politique de la maison. Elle cite Barnabé Vachon, un innu de Pessamit:
«Je dois chanter dans une tente pour nourrir ma famille. (…) Ce que je vais chanter… je ne l’aurais pas chanté ici, dans cette maison de bois. Si le blanc ne m’avait pas sorti de ma tente, j’aurais chanté dans ma tente, étant donné que c’est ma vie, ma tente, pour subvenir à mes besoins. Je trouve ça étrange qu’on ait pris ma viande puisque c’est la façon dont je survis. Moi mon affaire c’est le bois. Moi je n’emploie pas de règles, j’emploie ce qui est dans ma tête. J’aime la façon dont je suis, moi qui suis en vie.»
La dépossession de l'empire vise à ne reconnaître ni permettre «d'autres modes de vie qui ne soient rivés à ses structures». Rivés à ses structures. Or il faudra bien que quelque chose de l'empire entende, que quelque chose de l'empire lâche pour nous permettre de lousser les écrous, que quelque chose recule et c'est un autre mouvement qu'un simple go home!, une bifurcation à emprunter pour quitter sa voie de l'effacement.
A.-A écrit en s'appuyant sur la pensée de Julie Cruikshank « (...) on doit, pour faire échec aux manières décontextualisées de considérer et d'évaluer les récits selon une conception occidentale de la connaissance, se mettre en rapport avec ceux-ci, c'est-à-dire s'exposer et se mettre en position de vulnérabilité dans l'échange ». Pour entendre il faut être prêt à se faire déplacer, la conversation est une mise en relation où aucun jeu n'est fait d'avance, c'est engageant, c'est exigeant. L'autre jour nous remontions à pied de la BanQ, B, E et moi. L'air était doux, ni lui ni elle n'avaient emprunté de livres, B dans une distance de lectrice secrète, E petit Mat errant loin de la lecture. Je crois qu'il s'agissait surtout de la marche, du parcours pour y aller et en revenir qu'on a si souvent fait ensemble le nez en l'air. Et comme la mémoire s'active avec le corps, étaient remontés à B des souvenirs d'école. Ce soir là j'étais bien mais fatiguée et je n'ai pas eu la force de me mettre en relation avec son micro-récit, pas la force d'occuper justement cette position de vulnérabilité, je n'ai pas renvoyé la poque de ses réminiscences formulées pourtant sans ressentiment. L'école représente pour B de longs moments d'ennui et de déception, elle y a acéré son intelligence et son désir dans une attente critique vive mais parfois désespérée «la vie, ça ne peut pas être juste ça?». La grande médiocrité de l'école des enfants nous a défaits tout autant qu'unis, drôle de double escalier du regret et de la colère. Colère d'un lieu sans vérité, ma tristesse impuissante. Le rapport au chez soi des enfants est trouble, je me demande si ça vient de cela en plus de la maison familiale cassée. Chez eux oui c'est parfois Montréal, dans certaines configurations et selon certains usages de la ville. De ceux que je partage et que je connais : marcher sur Clark jusqu'au quartier chinois boire un bubble tea l'été; sillonner l'éternelle avenue du parc du PA jusqu'à la papeterie et baisser nos yeux embarrassés en tendant une pièce face à la drôle de joie des innu.es qui l'habitent sur son envers, et mendient, de misère mais pas que, peut-être parce que c'est toujours plus beau que de débourser des sous pour toute, dans un geste de proposition de relation qui n'est pas anodin... aller les nuits trop chaudes s’asseoir sur les marches de l'église orthodoxe de la rue Hutchinson pour guetter la vie de la seule tour qui nous attire avec son drôle de dépanneur percé dans le mur aveugle du rez de chaussée. Chez eux c'est chez leur père, et c'est chez moi j'imagine, dans cette maisonnette de coop, un abri sûr, touchons du bois, le bois déforesté dont je ne sais rien. Chez soi c'est très mineur et quand même très fort quand un grand ciel poudré nous rattrape, ou qu'une brunante opacifie la vie juste ce qu'il faut pour la rendre habitable.
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manue-ringo · 1 year
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Chapitre 53 : Démission
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— Que se passe-t-il ? Demanda Scully, légèrement contrariée, sentant une tension inhabituelle dans l'air.
— Voilà. J'ai le regret de vous dire que l'agent Parker a démissionné. Annonça Skinner avec gravité, son regard grave balayant les deux agents.
Mulder et Scully échangèrent un regard stupéfait, le choc de la nouvelle se lisant clairement sur leurs visages.
— Je suis désolé. J'ai tout essayé pour la retenir, mais elle semblait avoir déjà réfléchi à la question. En vertu de ce qu'elle a vécu ces derniers temps, je peux aisément comprendre sa décision. Ajouta Skinner, son ton empreint de regret, mais aussi d'une certaine compréhension.
— Ceci peut expliquer cela en effet. Je suis navrée pour elle malgré tout, car ce n'est pas un choix facile, surtout dans sa situation. J'ignore comment elle compte gérer cela, mais Parker est encore sous surveillance médicale et… Commença Scully, une inquiétude palpable dans sa voix.
— Ne vous en faites pas pour ça, agent Scully. Je me suis arrangé avec elle pour la prise en charge de ses soins. Où en est-elle d'ailleurs ? Est-ce qu'il faut s'inquiéter ? Demanda Skinner, son ton laissant transparaître une légère nervosité.
— Pour le moment, il n'y a rien d'alarmant. Parker a obtenu de bons résultats lors de ses tests. Aucune lésion n'a été détectée non plus. À l'heure actuelle, Parker semble être sur la bonne voie. Seulement, il suffirait d'un événement brutal, comme celui-ci par exemple, pour déclencher un trouble émotionnel qui risquerait de la faire flancher. Car je vous rappelle que le diagnostic d'un trouble mnésique n'englobe pas seulement sa mémoire, mais tout un faisceau d'arguments cognitifs, fonctionnels et comportementaux. Expliqua Scully, son ton professionnel masquant à peine l'inquiétude qu'elle ressentait.
— Oui, je comprends. Espérons qu'il n'en est rien. Et vous, agent Mulder ? Qu'en pensez-vous ? Vous avez quelque chose à ajouter peut-être ? Intervenu Skinner, son regard perçant se fixant sur Mulder avec une suspicion à peine voilée.
— Je ne sais pas quoi vous dire, monsieur. C'est peut-être mieux comme ça. Répondit-il d'une voix irritable, ses mots abrupts trahissant une frustration qu'il peinait à contenir.
Skinner fronça les sourcils, clairement mécontent de la réponse.
— Pourquoi ai-je l'impression que vous me cachez quelque chose, Mulder ? Demanda Skinner, son ton prenant une teinte accusatrice.
— C'est moi ou vous êtes en train de m'accuser, monsieur ? Répliqua Mulder avec froideur, son regard se durcissant.
La tension entre les deux hommes monta rapidement, créant une atmosphère électrique dans la pièce. Scully, sentant que la situation pouvait dégénérer, intervint rapidement :
— S'il vous plaît, messieurs, calmez-vous ! Cette discussion ne nous mènera à rien et ne fera pas revenir Parker. Dit-elle, son ton ferme mais conciliant, tentant de désamorcer le conflit naissant.
— Oui, c'est bien vrai, agent Scully. Nous allons dire qu'il s'agit ici d'un malentendu entre nous. Concéda Skinner, non sans jeter un dernier regard lourd de sens à Mulder.
— Nous avons du travail qui nous attend, monsieur. Dit Scully avec empressement, pressée de quitter cette atmosphère oppressante.
— Je vous libère. Vous pouvez y aller. Dit Skinner, le regard ailleurs, visiblement encore agité par l’échange.
Une fois sortis du bureau de Skinner, Mulder et Scully continuèrent leur chemin dans un silence de plomb. L'air entre eux était chargé de non-dits, et Scully, ne supportant plus ce mutisme pesant, prit les devants :
— Mulder, il faut qu'on parle. Déclara-t-elle, s'arrêtant net pour le forcer à s'expliquer.
— Quoi ? Répondit-il, agacé, son regard fuyant le sien.
— Tu as quelque chose à me dire, je crois. Insista la jeune femme, les bras croisés, son regard perçant tentant de percer à jour les pensées de son partenaire.
— Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ! Je n'y suis pour rien dans cette histoire, d'accord ? Répondit-il avec véhémence, sa voix trahissant une colère latente.
— C'est étrange, car la dernière personne à l'avoir côtoyée avant son départ, c'est bien toi. Que s'est-il passé, Mulder ? Ça ne coûte rien d'en parler. Dit-elle calmement, son ton apaisant contrastant avec la tension grandissante entre eux.
Mulder tiqua un moment, luttant intérieurement, puis soupira avant de reprendre :
— Je pense que tu connais déjà la réponse. Lâcha-t-il enfin, sa voix empreinte de fatigue.
— Vous vous êtes disputés, c'est ça ? Tu as tenté de mettre les choses au clair et ça a mal tourné. Tiens, c'est étonnant. Déclara-t-elle, une pointe de sarcasme dans sa voix.
— Ce n'est pas tout. Je lui ai tout raconté à propos de ce qui est arrivé dans le Delaware. J'ai bien peur que Parker ait pris cette décision pour se venger de cet homme. Maintenant qu'elle ne travaille plus pour le FBI, elle pourra aisément mener son enquête sans que personne ne vienne interférer dans ses plans. Elle risque de se mettre en danger. Dit-il, de l'inquiétude perçant dans sa voix malgré son ton sec.
— En effet, c'est une possibilité. Ce n'est pas rassurant. D'autant plus avec son état. Tu aurais mieux fait d'attendre un peu avant de tout lui révéler, Mulder. Dit-elle avec un reproche à peine voilé.
— Je sais, mais… Je ne pouvais pas la laisser dans l'incertitude. Elle a le droit de savoir. Répliqua-t-il, sa voix empreinte de détermination, mais aussi de culpabilité.
— Tu ne peux vraiment rien lui refuser, hein ? Nous étions chargés de veiller sur elle et toi, tu cèdes bêtement à ses caprices ! Renchérit Scully, ses paroles froides et tranchantes.
Ces dernières paroles redoublèrent la mauvaise humeur de Mulder. Il répondit avec aigreur :
— Qu'est-ce qui te prend, Scully ? Tu me fais une crise de jalousie ou quoi ? Lança-t-il, sa voix chargée de sarcasme et d'une colère qu'il peinait à maîtriser.
— Ne sois pas ridicule, Mulder ! Tu as très bien compris ce que je voulais dire. Bon, écoute, je n'ai pas envie de me disputer avec toi, ça n'arrangera en rien notre affaire. Je suis simplement contrariée pour elle, c'est tout. Répondit-elle, tentant de reprendre un ton plus calme, bien que son irritation soit encore perceptible.
— D'accord. Écoute, Parker n'est pas stupide, et je pense d'ailleurs que la première chose qu'elle va faire, c'est d'aller interroger son père. Nous en avons parlé ensemble. Dit-il, essayant de justifier ses actions.
— Très bien. Si c'est ce qu'elle t'a dit. J'espère qu'elle obtiendra les réponses qu'elle cherche cette fois. Bon, nous avons du travail qui nous attend. On y va ? Dit Scully, quelque peu impatiente, son ton indiquant clairement qu'elle souhaitait clore la conversation.
Mulder hocha la tête, mais une part de lui restait inquiète. Leurs mots avaient laissé des traces, une tension toujours présente entre eux, tandis qu'ils reprenaient leur travail, chacun perdu dans ses propres pensées.
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Comment faire revenir mon ex : rituel pour récupérer son ex
Comment faire revenir mon ex : rituel pour récupérer son ex
Comment faire revenir mon ex copain : rituel pour récupérer son ex copain Si vous êtes sur cette page, c’est que votre femme ou votre mari ou copain ou un parent vous a quitté. Vous désirez donc la récupérer. Vous pensez avoir tout essayé ?. Mais avez-vous déjà entendu parler du Sorcier Jules OWO SIKA ?. Comment donc récupérer son ex mari ou femme ou copain ou ex amour ? : Grâce aux nombreux rituels de magie blanche, il est possible de récupérer son ex-mari ou son ex-femme, son ex-conjoint (si vous n’êtes pas mariés), ou encore sa copine ou son ex-copain.
Rituel pour faire revenir son ex copain
Tu es complètement désemparé(e), car l’amour de ta vie vient de te quitter ? Tu n’arrives pas à reprendre goût à la vie ?. Ou tu restes également bloqué(e) sur votre courte relation qui vient de s’achever de façon abrupte ? Voulez-vous faire revenir votre amour perdu? Ou voulez-vous que votre amoureux pense à vous tout le temps? Vous cherchez un rituel magie blanche amour avec photo ou retour de l' être aimé cher qui fonctionne vraiment immédiatement? alors croyez-moi, vous êtes au bon endroit.
Rituel magie blanche pour faire revenir son amour avec la photo. Comment faire un rituel pour récupérer son ex mari femme ou copain ? Le « rituel d’amour puissant avec photo » est cependant considéré comme un puissant rituel et détient un grand pouvoir pour ramener l’amour perdu dans la vie. Cela aide donc à maintenir une connexion amoureuse stable et ficelle les deux personnes et à éliminer les risques de rupture ou de divorce dans leur relation / mariage. Cette sorcellerie amoureuse a en effet pour but de reconquérir ou faire revenir son ex. Elle est donc simple, rapide et puissante.
 Comment récupérer son ex mari ou femme ou copain ?
Les ingrédients pour cette sorcellerie blanche sont très simples :
un fil de coton rouge,
une bougie rouge,
une photo de votre ex,
des allumettes. L’exécution de ce rituel de retour d’affection
Allumez une bougie rouge à l’aide des allumettes.
Croisez une photo de votre ex par un fil de coton rouge et faites le nœud à l’arrière de la photo. Faites sept nœuds (en somme, y compris le premier nœud).
Regardez la flamme de la bougie et concentrez-vous sur votre sentiment d’amour. Imaginez les moments agréables de votre vie, que vous étiez heureux ensemble.
Rassemblez l’énergie de ce bonheur dans la boule lumineuse et l'envoyer mentalement à votre ex.
Appliquez la cire fondue de la bougie sur les nœuds sur la photo et dites avec toute la force de votre amour et de foi dans la puissance de ce rituel magie blanche : « Ainsi soit fait ! ».
Éteignez la bougie. Gardez la photo dans un lieu secret, personne ne doit la voir. Il est préférable d' aller au lit et ne pas communiquer jusqu’au matin après l’exécution du rituel.
Comment récupérer donc son ex mari ou femme ou copain ?
Règles d’exécution de rituel pour récupérer son ex mari femme ou copain. Tout d’abord spécifiez correctement votre tâche pour que l’action de retour affectif ne puisse avoir un double sens. Il faut dans ce cas croire en la force de l’incantation. Il n’est donc pas recommandé catégoriquement de faire un rituel du retour d’affection par la magie pour le fun ou un clash.
Ne passez pas le rituel de la curiosité ou de la «juste au cas où». Il ne faut pas faire plus qu’un rituel pour récupérer son ex pendant trois jours. Faites cependant votre rituel magie blanche en secret, ne dites à personne ce que vous allez faire un sort ou une conjuration ou ce que l’avez déjà fait. Passez le rituel magique dans un lieu calme, où rien et personne ne vous dérange.
Moment que l’on peut réaliser ce rituel
Le retour affectif efficace et rapide par rituel de magie blanche se fait lorsque la lune est croissante (consultez le calendrier lunaire en ligne). Le jour est de préférence vendredi, parce que ce jour est sous le contrôle de la Vénus. Cela ne signifie pas qu’il est impossible d’effectuer le rituel du retour affectif puissant un autre jour.
Comment récupérer donc son ex mari ou femme ou copain ?
Cela veut dire que le vendredi pendant la lune croissante l’énergie de l’amour est la plus forte. Vous ne devriez pas avoir de pensées extérieures pendant le rituel de magie. Votre volonté, visant à l’exécution de votre désir de l’amour, donne de la force à votre conjuration pour ce rituel d'amour efficace et rapide. Ayant fait un rituel pour récupérer son ex-copain, il faut prendre du temps pour son action, ne vous précipitez pas pour le faire à nouveau le lendemain. Si la bougie s’éteint, transférez l’exécution d’un rituel à un autre jour.
Récupérer son ex copain avec la magie blanche
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Faire revenir son ex avec photo
lorsque vous êtes amoureux, vous trouverez toujours des moyens d’être toujours avec la personne que vous aimez. mais cela ne se produit pas toujours. Parfois, les malentendus, les problèmes familiaux et des problèmes comme les relations extra-conjugales créent des problèmes dans la vie amoureuse de la personne et, à cause de cela, même les relations les plus aimables se terminent par le divorce ou la rupture. avant qu’une telle chose désastreuse ne se produise dans votre vie amoureuse ou votre relation, essayez le puissant » rituel magie blanche amour avec photo » et triez toutes les mauvaises choses qui se produisent dans votre vie amoureuse / conjugale. Ces sorts sont également connus sous le nom de « faire revenir son ex avec photo ».
Comment commander un rituel magie blanche pour faire revenir son amour avec photo
Comment commander un rituel magie blanche pour faire revenir son amour avec la photo? Je propose d’effectuer le retour affectif de la magie blanche. Ma première étude est actuellement gratuite.Il s’agit de l’étude de faisabilité (pour savoir si un rituel est possible). Pour cela, il suffira de m’indiquer la situation actuelle ainsi que vos attentes. Généralement, je demande le prénom de la personne concernée et des photos récentes. Dans certains cas, je vous demanderai d’autres informations complémentaires. Par la suite, je reviendrai rapidement vers vous pour vous indiquer mes possibilités. Si le retour est faisable, alors mes rituels seront payants. J’insiste sur le fait que je travaille gratuitement. En effet, élaborer un rituel de magie blanche demande du temps, de l’énergie et consomme des ingrédients.
Le tarif commence à 150e ce qui correspond à un rituel de retour affectif ou amoureux. Si vous désirez me contacter, vous pouvez utiliser le formulaire ci-dessous, ou aller dans la partie «contact pour rituels de magie blanche ».
Quelque mot clé sur le rituel pour récupérer son ex copain
Comment faire revenir l'être aimé avec une photo? Faire revenir l'être aimé avec une photo: comment faire revenir un amoureux Vous souhaitez vous épanouir sexuellement ? Alors vous faites face à l’impuissance ou vous souhaitez enfanter ?, Vous souhaitez séduire l’homme / la femme de votre vie ? L’être aimé s’éloigne, est indécis, et vous voulez mettre tout en œuvre pour éviter la séparation ? Votre relation de couple est-elle au bord de la rupture ? Je suis là pour vous aider ! Les exemples ne manquent pas ,tout le monde a déjà entendu parler, ou fait face personnellement à ces situations désagréables et complexes.
Savoir comment envoûter un homme ou une femme avec sa photo peut être très utile. Pourquoi envoûter quelqu’un ? -Pour le séduire, provoquer une attirance, -le faire revenir, le reconquérir, -le rendre fou amoureux, l’épouser, -se venger de son ex, éloigner une rivale, -trouver l’amour, rencontrer l’homme idéal de sa vie, -raviver la vie conjugale et la vie amoureuse, -surmonter des problèmes de couple, -lui faire l’amour, améliorer sa libido. Pour un envoûtement amoureux sur photo, la photographie est un moyen pour envouter quelqu’un.
Explication sur le rituel affectif
En se concentrant sur une photo, l’intervenant envoûte la personne concernée. Le jeteur de sort peut à partir d’un simple cliché réaliser son travail. Pour lancer des sortilèges, les photos sont un produit de qualité. Dans le passé, les sorciers, Les marabouts, les chamanes, les magiciens, et les mages devaient mémoriser le visage de la personne désignée. Avec l’apparition de la photographie, c’est terminé. Il suffit de l’avoir devant ses yeux, puis d’avoir une pensée déterminée, de bien se concentrer. Ainsi, l’opérateur peut influer sur les choses et les personnes. La photo devient alors une représentation symbolique et archétypale de l’effet souhaité. Une image peut être employée magiquement parce qu’elle renferme l’empreinte astrale de la personne photographiée.
Préparer le rituel
De manière à rendre cette photographie opérante ou « vivante », vous devez la « charger » en suivant les directives qui suivent:
Placez la photographie à charger devant vous, sur votre autel ou sur votre espace de travail. Adoptez ensuite une position confortable que vous serez en mesure de conserver pendant un moment.
Fermez les yeux et imaginez que votre corps est un réceptacle vide et que vous vous trouvez en ce moment même au centre d’une boule de feu aussi brillante que mille soleils.
Ressentez maintenant la chaleur intense qui se dégage de ce feu à travers tout votre corps. Prenez tout le temps nécessaire pour parvenir à ressentir cette chaleur de manière tangible.
Visualisez ensuite que ce Feu accumule la Lumière dans votre corps et que peu à peu, celui-ci commence à s’emplir. Ressentez, tout comme un ballon que l’on gonfle, que votre corps s’étend sous la pression qui s’intensifie en vous.
Continuez à ressentir et accumuler cette force électrique intense en respirant lentement et profondément, jusqu’à ce que vous ayez pratiquement l’impression d’être sur le point d’éclater comme un ballon que l’on aurait trop gonflé.
Indication sur le retour affectif
Lorsque vous vous sentez prêt, compresser ce fluide électrique de toutes vos forces dans la partie droite de votre corps, faites-le passer dans la main droite et projetez-le enfin par l’index, de manière à ce qu’il devienne une puissante étincelle électrique que vous logerez mentalement au centre de la photographie. – Répétez ensuite les six premières étapes avec le fluide magnétique. Le processus est identique, sauf que vous devrez vous représenter et ressentir cette force comme une sphère froide et humide d’une couleur bleue irradiante.
Procédez de la même façon que vous l’avez faite plus tôt et décompressez le fluide magnétique, mais cette fois dans la partie gauche de votre corps, puis projetez la sphère électrique par l’index de la main gauche sur la photographie.
Rituel d’amour avec photo
Si vous avez réussi ces deux « compressions » il ne devrait rester, dans votre image mentale, qu’une petite sphère bleue qui entoure toute la forme de la photographie. Votre volt est alors dûment créé. Imprégnez maintenant de votre désir spécifique, par exemple: « Tu es Lisa et à chaque jour, tes facultés mentales deviennent de plus en plus aiguisées… » Et déterminez la durée de cette action: une journée, une semaine, un mois, etc. -Votre photographie est maintenant prête pour un usage magique. Il ne vous reste plus qu’à poursuivre avec le Rituel de votre choix, lequel sera en analogie avec la charge que vous venez tout juste d’accomplir. N’oubliez pas que vous devez absolument charger chacune des photos que vous utiliserez pour les rituels. Rituel avec photo pour faire revenir son ex: rituel d’amour avec photo Pour un envoûtement amoureux sur photo, la photographie est un moyen pour envouter quelqu’un.
Envoûtement Amoureux rapides
Envoûtement amoureux rapides avec photo, Rituel pour faire revenir son mari,  Envoûtement amoureux puissant en 24h est une magie noire pratiquée par les sorciers. En effet, quelle que soit votre situation personnelle, réhabiliter un enfant, un proche ou un ami, c’est vouloir remédier à une séparation douloureuse. Souvent, les ruptures mènent à la dépression parce que nous avons affaire à quelqu’un qui ne veut plus nous parler ou qui nous aliène.
Vous pensez ainsi avoir tout fait pour récupérer votre proche ? Une lettre, un message, un silence radio… peu importe ce que vous essayez, cela ne servira à rien. Si vous ne savez pas comment faire, lisez cet article.
Dans cette section, je vais vous expliquer ce qu’est la « rétroaction émotionnelle », son fonctionnement et les résultats possibles…  
Envoûtement amoureux
Mais en plus, elle doit faire l’objet d’une purification avec, par exemple, une pincée de sel. Pour envoûter un homme avec sa photo, les magies et les rituels les plus utilisés sont : La magie blanche, la haute magie blanche, la magie rouge et la magie noire. Vous avez besoin de faire réaliser un envoûtement par photo ? Contactez moi rapidement Rituel de Retour Affectif Puissant Avec Bougie Rouge- Rituel de Retour Affectif Avec Photo Personnalisé. Les ingrédients nécessaires pour accomplir un rituel retour affectif puissant avec une bougie rouge
une bougie rouge,
une feuille de papier,
un feutre rouge,
des allumettes.
une photo de vous et de votre amoureux
L’exécution du rituel de retour affectif :
Allumez une bougie rouge,
Prenez une feuille de papier et écrivez votre nom, par exemple, Emilie, ensuite dessinez un symbole « plus » ,
écrivez le nom de votre être aimé, par exemple, Alexis, et tracez une ligne.
Dessinez un cœur sous la ligne.
Définissez votre tâche, précisez votre désir clairement par quelques mots avec une attitude positive.
Mettez une image devant la bougie.
Concentrez-vous sur l’énergie d’amour qui est en vous.
Processus du rituel
Visualisez le processus d’envoi de l’énergie d’amour dans le cœur et dans l’esprit de votre chéri en regardant une bougie allumée pendant quelques minutes. -Éteignez la bougie, roulez le papier dans un tube mince et mettez ce tube dans un lieu secret dans votre chambre à coucher en prononçant sept fois la formule magique suivante : « Vient, (le nom de votre chéri), ton cœur est ici ».
Et une fois les derniers mots dans lesquels vous devez mettre de l’âme et de la foi en l’efficacité de ce rituel amour : « Ainsi soit fait ! ». Il est préférable de ne pas communiquer après l’exécution du rituel jusqu’au matin. Réussite 100% garantie, ou remboursement.
Appel/WhatsApp: 00229 51267332
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hope-and-roll · 1 year
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Romy Owen
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"Be yourself, everyone else is already taken." _ Oscar Wilde  
- Romy Charlotte Owen - Née le 6 août 1992 - Morte le 10 septembre 2035  - Reborn - Anglaise - Sang-Mêlé - Bisexuelle  - Poudlard, Gryffondor  - Infirmière à Poudlard, et professeure de l'option médicomagie  - Mathilda Mai. ~ Fille de Peter Owen et Charlotte Delant ~ Mère de Judy Owen 
* Meilleure amie de Corine Gamble et Charley Chatterson depuis Poudlard  * Petite-amie, puis épouse de Nestor Gordon 
Romy est née le 6 août 1992 dans une petite famille de Sang-Pur, ni riche, ni noble. Elle l'avait été au dix-huitième siècle, mais plus personne ne s'en souvenait, même pas les Owen eux-mêmes. Son père, Peter, était un sorcier travaillant au Ministère de la Magie, un homme toxique, très narcissique et manipulateur. Charlotte était une Moldue qui travaillait dans un restaurant, une femme adorable mais malheureusement trop naïve et sensible au charme de Peter. Ils vivaient dans le même quartier, leurs maisons étaient en face, ils se connaissaient donc depuis toujours, et elle l'aimait depuis l'école primaire. Ils avaient commencé à sortir ensemble à l'âge de dix-sept ans, une relation qui n'était censée durer que quelques mois pour Peter. Sauf que Charlotte tomba enceinte, et refusa d'avorter. Elle voulait un enfant de Peter, elle croyait que leur amour était vrai et éternel. Elle ne le prévint que lorsque la date d'avortement était légalement dépassée. Il se mit très en colère, la menaça, voulut l'obliger à aller avorter dans un autre pays, ou en secret. Il était prêt à utiliser la magie sur elle et l'oublietter ensuite, mais préféra la quitter. Il ne dit rien à ses parents, ni à personne, et vécut comme si rien de tout ça n'avait existé : Charlotte, leur relation, leur enfant. Il était un sorcier qui se projetait dans un avenir radieux, un Serpentard qui aspirait à une carrière brillante, et ne voulait certainement pas être retenu par une femme Moldue et un enfant. Les parents et ses amis de la jeune fille l'abandonnèrent à leur tour, la traitant de traînée stupide et égoïste, la mettant à la rue. Elle alla vivre dans un centre pour jeunes mamans. Elle fut très malheureuse, et seul son bébé parvint à lui rendre le sourire une fois né. C'était une fille, à qui elle donna le nom de famille de son père malgré tout : Romy Charlotte Owen.
  Malgré le comportement détestable de Peter, Charlotte espérait qu'il revienne. Elle ne le harcelait pas, le laissant revenir. Parfois, elle allait promener sa fille dans son landeau juste devant la maison des Owen, dans son ancien quartier, dans l'espoir que celui qu'elle aimait les voie et comprenne son erreur. Elle réussit à trouver un job de cuisinière dans un petit restaurant qui venait juste d'ouvrir, non loin du centre pour jeunes mamans. Charlotte avait un seul talent, c'était la cuisine et la pâtisserie. Ils l'embauchèrent donc, et la laissèrent garder son enfant avec elle à condition que Romy ne dérange pas. Heureusement, c'était un bébé adorable, très calme.   Quelques jours après le premier anniversaire de sa fille, Charlotte apprit, pendant l'une de ses promenades dans son ancien quartier, que ses parents avaient déménagé. Tout le monde ignorait où. Elle se sentit profondément abandonnée, trahie, elle pleura pendant des jours.   Deux semaines après cette nouvelle, Peter réapparut dans sa vie. Ses deux parents étaient morts dans un accident de Portoloin – ils travaillaient au Département de la Coopération Magique Internationale et voyageaient beaucoup, c'est pourquoi il fut souvent seul pendant son enfance et son adolescence. Alors, il avait pris conscience qu'il n'avait plus de famille, et désirait retrouver Charlotte et Romy pour combler ce vide. Charlotte ne vit pas la dimension perverse et égoïste de ce retour, et fut ravie. Elle quitta ses conditions de vie plutôt précaires en déménageant dans la maison de Peter, qu'il venait d'hériter de ses parents. Il lança un sortilège d'Illusion sur tous les objets magiques, ne voulant pas que Charlotte apprenne sa nature. Il ne l'aimait pas vraiment, il voulait juste créer une illusion de famille, et apparaître comme un type bien. Dans son dos, il multipliait les aventures, sans vraiment s'occuper de sa fille. Il la considérait plus comme un trophée que comme une personne. 
Romy ne connaissait rien du monde de la magie, Peter ne lui en avait jamais parlé car il ne faisait pas confiance aux enfants pour garder des secrets. Ce fut un choc pour elle lorsqu'elle l'apprit, à l'âge de onze ans. Elle se fit répartir à Gryffondor. Sociable, elle fit rapidement amie-amie avec sa camarade de dortoir Corine Gamble, et avec un Poufsouffle nommé Charley Chatterson. Ils forment depuis un trio inséparable. 
Son père lui interdit de parler du monde magique à sa mère, et la menaça, lui faisant même croire qu'il était illégal de révéler l'existence des sorciers aux Moldus quelles qu'en soient les conséquences - Romy n'apprit que ce n'était pas le cas très tard, à l'âge de dix-sept ans. Elle garda donc le secret, par peur.  Peter était rarement présent, à cause de son métier, mais quand il était là, il la faisait se sentir comme la personne la plus importante du monde. C'est pourquoi elle ne pouvait s'empêcher d'aimer, excusait toujours ses absences, sa froideur, et ses critiques - Peter n'hésitait en effet pas à pointer du doigt ses défauts physiques, comme les rondeurs de l'enfant. Son adolescence fut une période très triste de sa vie. La rouquine développa de nombreux complexes. Elle fit tout pour plaire à son père, ruinant sa santé en réduisant drastiquement ses portions de nourriture. Elle apprit ensuite comment mincir sainement, et fit beaucoup de sport jusqu'à avoir une silhouette mince. Mais son père trouva simplement quelque chose d'autre à déplorer chez elle, comme son acné. 
Aux yeux de Peter, Romy était comme une tache dans la vie parfaite qu'il voulait, une erreur de jeunesse qu'il n'assumait pas. Romy ne comprenait pas que rien de tout ça n'était de sa faute, elle culpabilisait, voulait rendre son père fier avec les moyens qu'elle avait : elle était une jeune fille intelligente, gentille, populaire, avec beaucoup d'amis et d'excellentes notes, mais rien de tout ça suffisait.   Charlotte, de son côté, sentait son mari devenir de plus en plus froid, méchant et distant. Elle ne savait toujours rien du monde magique, et ne comprenait donc pas. Elle avait développé une peur panique de l'abandon, et pour que Peter reste avec elle, elle s'acharna pour redevenir désirable à ses yeux, faisant beaucoup de sport pour rester mince, mettant ses formes en valeur, s'habillant comme il l'aimait. Cela fonctionna, et ils retrouvèrent une sexualité acceptable. Charlotte promettait à Peter qu'elle prenait la pilule, ce qui n'était pas le cas. Elle espérait qu'un deuxième enfant l'enchaîne à elle pour toujours. C'était malsain, c'était toxique. Elle se voilait la face, soupçonnant ses infidélités mais ne voulant pas vérifier.   Son plan marcha, elle tomba enceinte. Mais elle était terrifiée que Peter réagisse comme pour Romy et l'abandonne, voire la force à avorter. Charlotte cacha donc son ventre de plus en plus rond comme elle le put, et cessa ses efforts vestimentaires et physiques. Peter remarqua simplement qu'elle avait pris du poids, et qu'elle semblait malade. Ils ne firent donc plus l'amour, et il repartit voir ses maîtresses après son travail, rentrant très tard. Il était souvent absent, et heureusement, car ainsi Charlotte put lui cacher sa grossesse jusqu'au sixième mois. Lorsqu'il le découvrit, il se mit très en colère. Paniquée, elle inventa une histoire qui ne tenait pas debout, comme quoi elle avait fait un déni de grossesse. Peter gifla violemment sa compagne, ce soir-là.
Les violences se poursuivirent. Peter battait Charlotte dans l'espoir qu'elle perde le bébé. Romy était âgée de treize ans, elle était un peu trop vieille pour croire aux mensonges de ses parents. Les excuses « je suis tombée dans les escaliers », « je me suis cognée » étaient répétées trop souvent pour qu'elles soient crédibles. Et Peter réussit : Charlotte accoucha prématurément, et son bébé ne survécut pas.  Charlotte sombra dans une dépression, elle ne parlait à personne, elle ne sortait plus de sa chambre, refusait de voir son mari et sa fille, buvait de plus en plus souvent, des doses d'alcool de plus en plus fortes. 
Peter, qui détestait ne pas être en contrôle, devenait de plus en plus violent. Un jour, alors qu'il critiquait Romy, celle-ci lui balança à la figure qu'elle savait qu'il frappait sa mère, et qu'elle pouvait le dénoncer. Il entra dans une rage glacée, hurlant que personne ne la croirait, et qu'il était plus puissant qu'elle, car il était un sorcier, lui. A partir de ses 13 ans, il commença aussi à frapper Romy à chaque fois qu'elle se montrait insolente, cela devint donc régulier. L'admiration enfantine qu'elle ressentait à l'égard de son père, puis la tristesse de n'être pas assez, avaient disparu. L'adolescente comprenait désormais qu'elle n'avait rien fait de mal, que c'était son père le monstre, et non elle. Elle voyait clairement, à présent, sa personnalité sombre et tordue. Cela l'aida beaucoup à s'accepter, notamment en tant que bisexuelle. Son père était ouvertement homophobe, c'est pourquoi elle ne fit pas son coming-out auprès de lui. 
Romy eut quelques crush sur des garçons en deuxième et troisième année, mais tomba vraiment amoureuse en cinquième année, d'une fille. Celle-ci était hétéro, leur relation ne se concrétisa pas, et la rousse sut passer à autre chose. En sixième année, elle sortit avec deux garçons, pendant trois et cinq mois. En septième année, elle eut une relation avec une fille, et sa première fois. Leur histoire dura six mois. Les relations amoureuses de Romy n'avaient jamais été longues et stables, car le sombre modèle de ses parents restait marqué au fer rouge dans son inconscient.   A la fin de son adolescence, sa situation familiale se dégrada encore plus. A quinze ans, elle découvrit les aventures de son père, ce qui ne la surprit pas, mais la dégoûta encore plus de son géniteur. Elle en parla à sa mère pour lui ouvrir les yeux, la supplia de quitter Peter et d'aller vivre ailleurs, loin, de reconstruire une vie saine, l'encouragea, lui promit qu'il n'était pas trop tard, qu'elle l'aiderait. Romy était partagée entre la certitude qu'elle avait eu raison de prévenir sa mère des liaisons de son père, et entre la culpabilité qu'elle ressentait en se disant que c'était sa faute si elle était devenue alcoolique.  
Charlotte comprenait, mais elle avait très peur de ce que Peter pourrait lui faire si elle partait. Cependant, son mari la devança : il quitta sa famille lorsque Romy avait seize ans. A la fin de ses études, Romy s'orienta vers le domaine de la santé, souhaitant devenir médicomage. Un cursus très compliqué qui mobilisait toute son énergie. Elle devait de plus travailler pour le payer, sa mère étant au chômage depuis la mort du bébé. Elles vivaient du maigre héritage des parents de Charlotte, morts quand sa fille avait trois ans. Mais celui-ci commençait à s'amenuiser, et les Owen croulaient sous les dettes. 
Si Romy était heureuse que son père ait quitté leurs vies, elle s'inquiétait beaucoup pour sa mère, qui restait prostrée toute la journée, n'exprimant soit aucune émotion, soit éclatant en sanglots. Celle-ci mourut d'un cancer du foie lorsque la jeune fille avait vingt-quatre ans. 
A la fin de ses études, elle voulut postuler à Sainte Mangouste, mais Corine et Charley, qui venaient d'être engagés comme professeurs à Poudlard, lui donnèrent l'idée d'y travailler également. Luz Noctua accepta sa candidature, et elle devint l'infirmière de Poudlard. C'était un bonheur pour la jeune femme de retourner à l'école. Un an plus tard, elle eut l'idée de créer une option pour les élèves se destinant aux dures études de médicomagie, à partir de la sixième année. Noctua lui en confia les rênes. 
Romy rencontra Nestor Gordon, professeur de magie de la terre. Elle engagea la conversation, et ils se découvrirent de nombreux points communs, ainsi qu'une certaine complémentarité. Ils prirent plusieurs années à assumer leurs sentiments l'un pour l'autre et à débuter une relation romantique, ayant tous deux été traumatisés par le coupe abusif de leurs parents respectifs. Le 9 mars 2024 naquit leur fille, Judy Owen. Elle devint rapidement leur trésor, une enfant pleine de vie et d'imagination, dont la fantaisie et la bizarrerie étaient rafraîchissantes. Leur bonheur fut cependant coupé court lorsque la petite avait six ans. On diagnostiqua à Romy une grave maladie, touchant très peu de sorciers, impactant ses capacités respiratoires et musculaires, qui se détériorèrent de plus en plus malgré les soins magiques. A sa maladie s'ajouta une dépression, elle ne pouvait pas croire que ça lui arrivait à elle, après avoir trouvé le bonheur et une famille. Elle fit de son mieux, se soigna avec l'aide d'un psychologue et d'un psychiatre, et se soumit à tous les traitements possibles. Elle parlait le moins possible de sa maladie, allant jusqu'à s'énerver lorsque quelqu'un en faisait mention. Cependant, Romy finit par ne plus pouvoir l'ignorer, lorsqu'elle dut se déplacer en chaise roulante par exemple, ou dépendre d'un respirateur. Elle fit de son mieux pour garder sa fille en-dehors de tout ça, en lui expliquant peu de choses, mais Nestor le faisait dans son dos, convaincu qu'il était important que Judy sache ce qui se passe. Car c'était devenu évident : Romy allait mourir. 
Cela se produisit le 10 septembre 2035, quelques jours après l'entrée de sa fille à Poudlard. 
Romy est une jeune femme pleine de vie, sociable, drôle et pétillante. Elle a un grand coeur, était sensible et généreuse, désireuse d'aider son prochain sans rien attendre en retour. C'était une excellente diplomate, avec beaucoup de tact. Elle est également très rusée et astucieuse, virtuose dans l'art de mentir et de dissimuler – mais ne le faisant que si c'était important. Elle est intelligente, mais naïve, voyant toujours les gens mieux qu'ils ne l'étaient, aveuglée par l'espoir et la gentillesse. Elle voit le monde meilleur qu'il n'est et est assez brave, inconsciente et têtue pour essayer de le rendre effectivement meilleur. Bien qu'ayant passé une grande partie de sa vie dans un milieu violent, c'est une jeune femme pacifiste. Elle est naturellement protectrice. Romy fonctionne à l'instinct, rarement à la logique, par contre, elle réussit à garder la tête froide en toutes circonstances. Romy est, malgré elle, une personne très secrète et mystérieuse. Elle a tendance à se méfier alors qu'il n'y a pas lieu. 
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pensssine · 1 year
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Montagne 22
07/08/22 J’arrive pas à écrire sur ce petit journal de poche que j’ai emmener pour mes vacances a la montagne, trop de ligne et trop petit j’ai l’impression que je dois tout résumer là dedans et du coup pas m’exprimer librement, bien qu’ici par téléphone ne sois guère mieux …
J’ai l’impression d’avoir un million de chose à dire mais sans savoir par où commencer et en me sentant presser par le temps avant que Chloé ne rentre parce que oui ça c’est un problème , j’ai aucun temps pour moi. Actuellement je me cache comme une ado dans sa chambre pour pouvoir écrire sur son tel. Ce matin je me suis surprise à être seule à l’appart , et donc une petite séance photo selfie à l’ancienne, qui m’a fait bcp de bien mais encore qui était trop courte. J’ai pas des photos de ouf mais ça m’as fait du bien d’avoir du temps pour moi.
Hier soir, pareil j’avais genre 3 minutes toutes seule avant d’entrée dans la douche, je me suis déshabiller devant le miroir en me matant, j’ai l’impression de ne pas l’avoir fait depuis 6ans. J’aime pas ce que je vois dans le miroir, mais au moins je me suis vue, avec mes yeux à moi, sans que Chloé me dise derrière « tu es magnifique, tu n’es pas grosse du tout , regarde comparé à moi etc » bref tu connais le refrain. Tout sa pour dire que la solitude me manque.
Pensées gênantes : pendant ces vacances en famille, le neveu Lucas a ramener sa petit copine suisse. Hors pendant le séjour avant qu’elle n’arrive, je jurerais qu’on s’échanger des regards et geste bref , et je me retrouve a me faire des films dans ma tête , complément déplacer sachant que c’est mon neveu, 8ans de moins , but c’est le cas. Trop bizarre mais kiffant. Fin de l’interlude
Pour en revenir à ma vie, j’ai l’impression de plus rien partager avec Chloé. Enfaite non, plutôt j’ai l’impression de mettre calquer sur elle et sur ce qu’elle aime et du coup d’aimer sa aussi, mais pas de mon propre choix. Genre
Le truc c’est que je me demande à quoi ma vie ressemblerait si on était pas ensemble, habiterais je sur Lille ? Irais je à Disney ? Ferais-je ce travaille ? Aurais-je cette maison avec cette déco ? Ces amis ? (Absent du coup, on a que les amis de Chloé) BREF
J’ai toujours voulu cette vie.
Avec une femme que j’aime, une complicité pareille un sans tabou ( qui finalement se relève être un sans intimité) une maison et un chat.
Je m’étais fixer de m’amuser jusqu’à mes 22/25ans et quand je trouverais une personne géniale pendant cette tranche d’âge la, ça sera la bonne, et maintenant que j’ai tout ce que je souhaiter j’ai envie du total opposer?? Mais GENRE . C’est ouf d’être comme ça.
En rentrant chez nous demain, revoir notre bébé ça va faire un bien fou. Ensuite mardi et mercredi Eugenie et Gustave viennent à la maison. Et après jeudi disney et vendredi tattoo donc à Paris bien sûr. Ensuite il me reste 5jours non planifier de vacances. Je me tâte à rentrer à cherbourg seule. Pour aller me nicher dans les différents lieux qui me sont chère .. en voiture. Et pour prendre du recul sur la situation, pck tout quitter à ce stade c’est chelou quand même. Et en même temps ça remplit complètement mes vacances, pas de Off.
Je sais pas trop quoi faire.
Après je serais 2 semaines au boulot toute seule ..
Le boulot aussi faut que j’en parle pour me vider . Mais bon pas le temps aujourd’hui.
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