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#sans abris
conatic · 1 year
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Un dénombrement du sans-abrisme lancé sur le territoire de Mons-Borinage - La DH/Les Sports+
Source: DHNET.be
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lemondeabicyclette · 1 year
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🇨🇦 CANADA - Voici Kelowna en Colombie-Britannique. Les sans-abri sont en voie d'y pourrir ou demander à se suicider (oui vraiment) 🤬🫣😡
Trudeau a maintenant augmenté l'immigration à 500 000 par an ! Mais il ne peut même pas prendre soin de ses propres citoyens !
Les mondialistes vous possèdent maintenant !
t.me/insider_amigo
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yann75013 · 9 months
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Paris 2024 : Les défis Olympiques d'une Ville-Lumière face aux enjeux logistiques et de sécurité
En 2024, Paris, la Ville-Lumière, se prépare à accueillir l'un des événements sportifs les plus prestigieux au monde : Les Jeux Olympiques. Cette tâche herculéenne implique de relever des défis de taille en matière de logistique, de sécurité et de gestion des controverses.
Les problématiques logistiques
L'organisation des Jeux Olympiques nécessite une planification méticuleuse, surtout dans une ville aussi dense et historique que Paris. La gestion de l'augmentation des coûts, souvent un sujet de préoccupation pour les villes hôtes, est cruciale. Les infrastructures de transport doivent être adaptées pour gérer l'afflux massif de spectateurs, tandis que les questions relatives à l'hébergement des sans-abri dans la ville requièrent des solutions respectueuses et durables.
La sécurité, un enjeu majeur
La sécurité est une autre préoccupation majeure. L'organisation d'un événement de cette envergure dans une métropole mondiale pose des défis uniques. Il est essentiel de mettre en place des mesures rigoureuses pour assurer la sécurité des athlètes, des visiteurs et des résidents, tout en minimisant les perturbations de la vie quotidienne.
Les controverses et leurs impacts
Les controverses ne sont pas rares lors de la préparation de telles manifestations. Des allégations de favoritisme dans l'attribution des contrats aux préoccupations concernant l'augmentation du budget, les organisateurs doivent naviguer dans un environnement complexe et souvent critique.
L'esprit Olympique face aux défis
Malgré ces défis, l'esprit olympique demeure. La capacité de Paris à surmonter ces obstacles et à organiser des Jeux mémorables sera un témoignage de son statut de capitale mondiale et de sa place dans l'histoire olympique. Cela nécessitera une coordination sans faille, une communication transparente et une volonté de transformer les défis en opportunités.
L'organisation des Jeux Olympiques à Paris en 2024 est donc bien plus qu'un simple événement sportif. C'est une opportunité pour la ville de démontrer sa capacité à relever des défis de grande envergure, d'innover dans la gestion urbaine et de célébrer l'unité à travers le sport. Le succès de Paris en 2024 pourrait redéfinir la manière dont les futures villes hôtes abordent l'organisation des Jeux Olympiques, marquant ainsi un tournant dans l'histoire de cet événement mondial.
Gestion des coûts et budgets
Un des plus grands défis pour Paris réside dans la gestion efficace des coûts. Historiquement, l'organisation des Jeux Olympiques a souvent conduit à des dépassements budgétaires significatifs. Paris doit donc faire preuve de rigueur financière, tout en assurant la qualité et la sécurité des infrastructures et des services.
Amélioration des infrastructures de transport
Pour accueillir des milliers de visiteurs, Paris doit optimiser son réseau de transport. Cela implique non seulement des améliorations des infrastructures existantes, mais aussi la mise en place de nouvelles solutions de mobilité, respectueuses de l'environnement et adaptées à l'ampleur de l'événement.
Prise en charge des sans-abris
Le problème des sans-abris à Paris est une question sociale sensible, exacerbée par l'organisation des Jeux. La ville doit trouver des solutions humaines et durables pour gérer cette situation, en évitant de marginaliser davantage ces populations vulnérables.
Renforcement de la sécurité
Dans un contexte mondial où la sécurité est une préoccupation croissante, Paris doit instaurer un environnement sûr pour tous. Ceci implique des mesures de sécurité renforcées, tout en préservant les libertés individuelles et en minimisant les perturbations pour les habitants.
Gestion des controverses
Face aux allégations de favoritisme et aux préoccupations budgétaires, les organisateurs doivent faire preuve de transparence et d'intégrité. La gestion efficace des controverses est essentielle pour maintenir la confiance du public et l'intégrité de l'événement.
En conclusion, les Jeux Olympiques de 2024 à Paris représentent une opportunité exceptionnelle pour la France de briller sur la scène internationale. Cependant, les défis logistiques, de sécurité et les controverses requièrent une attention méticuleuse et une gestion stratégique. La manière dont Paris relèvera ces défis déterminera non seulement le succès des Jeux, mais aussi l'héritage qu'elle laissera pour les futures générations et pour l'histoire des Jeux Olympiques.
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Victor
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— Ma femme elle voulait accoucher dans l’eau. C’est vrai hein, c’est vrai de ouf. Dans certaines maternités, ils font ça. Mais comme elle a jamais été enceinte, elle a pas pu réaliser son rêve. Aujourd’hui, on n'est plus ensemble, parce que tu vois, elle m’a quitté. Elle adorait l’eau mais elle supportait pas l’alcool, et comme je bois que ça, de l’alcool, ça l’a fait fuir. Enfin bref, voilà quoi. Hey, Brigitte, au fait, tu sais que j’étais beau gosse quand j’étais jeune ? — T’es pas encore tout à fait vieux. — Non mais quand j’étais tout jeunot, tout minot comme dirait mon ami Gillou, au sortir de l’adolescence quoi. J’étais vraiment beau gosse hein, de ouf ! Le mec dont toutes les meufs rêvent au lycée, que toutes les meufs regardent, eh ben, c’était moi. Je t’assure. Je les faisais toutes tomber, comme des mouches. J’étais un bourreau des cœurs. Tu peux pas savoir comment je plaisais, Brigitte, de ouf. — Oh mais j’imagine. — Y a que ma femme qui a fini par me résister. C’était au moment où j’étais plus irrésistible, sauf pour le pinard. Je lui résiste pas non plus à vrai dire : moi et le pinard c’est une grande histoire d’amour. Mais c’est pas le pinard qui accouchera de mon enfant dans l’eau.
Victor, il devait avoir moins de 40 ans mais on lui en donnait 60. Je le crois quand il me dit qu’ils les faisaient toutes craquer dans une autre vie. Au milieu de son visage usé, de son teint verdâtre et sa peau burinée par un soleil trop ardent, il avait gardé le regard intact d’une beauté flamboyante. Ses yeux bleus d’une intensité déstabilisante était comme la preuve de sa majesté perdue.
— Trop belles tes baskets Toto ! Mais c’est qu’elles sont flambant neuves en plus ! — Ouais, ils sont sympas chez Emmaüs. Bon, d’habitude ils me refilent que des godasses trop petites ou trop grandes, ou trop moches, mais là franchement j’ai eu de la chance, je peux me la péter.
Il avait sorti une énième cannette de bière de son immense de sac en plastique de supermarché. Et comme de sa main tremblante il avait cassé la languette en voulant l’ouvrir, il a sorti de sa sacoche toute rafistolée un coupe-ongle, a sélectionné la lime à ongles tranchante et a fait un trou dans le toit d’aluminium. De la mousse a giclé et il a continué à parler. — Tu sais ce que je voudrais de ouf moi, Brigitte, quand je serai vieux, mais vraiment plus vieux, tu sais ce que je voudrais de ouf ? — Non, balance, qu’est-ce que tu voudrais de ouf ? — Je voudrais faire comme toi, écrire. Écrire des beaux livres pour faire rêver les enfants. — Ben vas-y mon gars. Attends pas d’être trop vieux. Fais-le maintenant. — Ben ouais, de ouf, de ouf. Faut que je le fasse maintenant. Mais demain, parce qu’aujourd’hui j’ai trop bu, le brouillard c’est pas un super co-auteur. — Fais-le maintenant Victor. Aujourd’hui. Demain, c’est incertain. Le meilleur moment de la vie, c’est maintenant. Tiens, prend cette feuille et ce stylo. Avec ça tu peux refaire le monde et la vie, et faire rêver n’importe qui, petits et grands, écrire le passé, le futur et même le présent. Pas demain Victor, aujourd’hui, maintenant, tout de suite. Quand tu seras trop vieux, eh ben, tu seras trop vieux. Et ce sera une excellente excuse pour pas t’y mettre. — Merci Brigitte, tu déchires de ouf. Bon, je vais y aller, ça fait une heure que je te raconte ma vie, je parle trop. — Écris mon pote, écris. — Merci de m’avoir écouté en tout cas Brigitte, et bonne soirée ! — Allez, bonne soirée. Et j’te préviens, reviens pas si t’as pas écrit ! Et lève le coude sur la boisson. Je vois bien ta tête : je sais, c’est pas facile. Ça te paraît même impossible. Mais si t’y arrives, j’suis sûre qu’elle reviendra, ta gonzesse, et vous l’aurez cet enfant qui va naître dans l’eau. — C’est trop tard, Brigitte. — C’est jamais trop tard Victor, jamais trop tard.
// Dédé ANYOH //
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breadstyx · 2 years
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Expropriez tous les proprios pour donner le logement aux habitants.
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aurianneor · 3 months
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Travail, le tout ou rien.
Dans l’Antiquité grecque, romaine et orientale, le travail était vu comme un mal nécessaire. Si c’était possible, on imposait aux autres de le faire pour soi. Les premières références au travail en Mésopotamie représentaient des Dieux qui imposaient leur tâches aux hommes, parce qu’ils étaient plus forts. La valeur dans l’Antiquité n’était pas le travail mais la connaissance, l’information et les arts.
Dans la société médiévale, le privilège des nobles était de ne pas travailler et il leur fallait éviter d’avoir des marques du travail: mains calleuses, bronzage, etc. On commence à parler du travail quand le noble force le faible à faire une corvée. On ne parlait pas de travail pour l’artisan, celui qui fabrique. Jusqu’à la Révolution Industrielle, l’artisan avec son réseau fabriquait l’intégralité d’un produit et il était payé pour le produit fini. Par exemple, on achetait un lit. Le prix était fonction de la qualité, il n’y avait pas de notion de temps de travail.
Avec la révolution industrielle, la qualité compte moins. On considère le prix. Tout est produit dans la division du travail, le travailleur se fait payer son temps. C’est la naissance au XIXème siècle de la valeur travail. L’employeur demande au travailleur de travailler le plus possible dans le temps qui lui est payé. L’église a modifié sa doctrine pour dire que l’homme pouvait se rapprocher de Dieu par le travail.
Au début du XXème siècle, le patron achète des heures, le travailleur devait donner son maximum. Avec la première guerre mondiale, une grande partie des hommes sont allés sur le front. Les femmes produisaient de l’armement. Pourtant, on constate que pour la majorité de la population en Europe, sauf en Russie qui n’était pas industrialisée, tout fonctionnait normalement: magasins, services publics, etc. Quand les soldats sont revenus du front, il fallait des salaires à plein temps pour les employer. En 1920, Bertrand Russel se demande pourquoi. Pourquoi demander aux hommes et aux femmes de travailler du matin au soir alors que d’après ses calculs de l’époque, la société fonctionnerait grâce aux progrès techniques normalement en faisant travailler les gens 4 heures par jour, 4 jours par semaine. Pourquoi le citoyen doit choisir entre travailler de toutes ses forces et de toute sa santé jusqu’à l’exténuation ou être destitué, perdre tout? Si le travail mène à la sainteté, pourquoi les nobles ne travaillent pas? N’aspirent-ils pas eux aussi à la sainteté? Que faire de ceux qui n’ont pas de travail? Dans les années 20, se multiplient les sans-abris dans les rues des villes européennes.
Pourquoi ne pas partager le temps de travail?
L’absurdité ne s’arrête pas là. Dans les années de l’après-guerre, l’économie a essayé de devenir une science. Les économistes ont démontré que l’évolution de la productivité vient essentiellement de l’évolution des méthodes de travail et pas du temps de travail. Pour produire plus de voitures dans la même usine, cela ne dépend pas de la charge d’effort des travailleurs mais des méthodes de travail.
Des les années 50, les économistes ont montré qu’augmenter l’effort des travailleurs diminue la productivité à cause du manque de concentration des travailleurs et des accidents du travail. Cela coûte à la société et pollue: les burn-outs, les anti-dépresseurs, les maladies liées à la sédentarité et la mal-bouffe, la garde des enfants dont certains deviennent délinquants, les trains et autoroutes nécessaires pour que les gens aillent tous au travail le matin et rentrent ensemble le soir, etc. La nécessité de travailler se paie aussi sur le plan humain: harcèlement, suicides, abus, acceptation de conditions de travail dangereuses, isolement, etc.
Pourquoi les emplois qui fournissent les plus grands services sont ceux qui ont le plus de travail et sont les moins payés: travailleurs en crèche, infirmiers, policiers, etc?
Le problème n’est pas économique. Pour gagner plus, il faut travailler moins.
Dans la société en général, on accepte communément qu’il faut travailler jusqu’à épuisement: regardez les infirmiers, les cuisiniers, etc. 75% de nos représentants sont des propriétaires immobiliers ou avec des actions en bourses, qui vivent sans travailler, qui sont les plus riches.
La valeur travail est une notion toxique. Celui qui travaille, c’est le serviteur et celui qui ne travaille pas, c’est le maître. Rien n’a changé. Forcer les gens à travailler pour survivre via le salaire, c’est utiliser par le biais du travail ce que la révolution française avait détruit en supprimant les privilèges.
Le travailleur est contraint de travailler, sinon il n’a droit à rien. Il faut avoir les exemples de gens destitués qui servent d’épouvantails pour pouvoir contrôler les autres. Travailler dur n’est pas une qualité, c’est pas un but et ce n’est pas viable économiquement. Se lever tôt et travailler tard n’apporte rien.
De plus, ceux qui détruisent les emplois en délocalisant ou en utilisant une concurrence déloyale (produits à l'étranger dans de mauvaises conditions sociales et environnementales) sont les premiers à traiter de fainéants ceux qui ont perdu leurs sources de revenu et qui ne peuvent pas trouver d'emploi.
L’objectif devrait être d’apporter quelque chose à la société, de rendre service, de créer des choses utiles, de faire attention à la qualité de son travail.
Le partage du travail et des richesses est nécéssaire pour supprimer la société des privilèges et des classes. C’est économiquement viable.
Mettre les gens au travail pour assurer le contrôle de la population, c’est anti-démocratique. En effet, comment s’occuper de la politique, de son alimentation, de l’éducation de ses enfants ou de ses aînés si on est épuisé par son travail. Priver les citoyens d’oisiveté, c’est les contrôler.
Le travail c’est la sainteté – Cathédrale de Perpignan: https://cathedraleperpignan.fr/le-travail-cest-la-saintete/
Le Temps des ouvriers – 4 épisodes – arte campus: https://campus.arte.tv/serie/le-temps-des-ouvriers-tous-les-episodes
Valeur travail (idéologie) – Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Valeur_travail_(id%C3%A9ologie)#:~:text=Au%20XIX%20e%20si%C3%A8cle,-Au%20d%C3%A9but%20du&text=%C3%80%20la%20fin%20du%20si%C3%A8cle,revenus%20se%20mettent%20en%20place
Roger & Me – Michael Moore – 1985: https://en.wikipedia.org/wiki/Roger_%26_Me
Éloge de l’oisiveté – Bertrand Russell – Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89loge_de_l’oisivet%C3%A9
Pourquoi les personnes occupant un emploi “essentiel” sont-elles si mal payées ? – Bruno Palier- Sciences Po – Hal Open Science: https://sciencespo.hal.science/hal-03102794v1/document
Rythmes de travail… et cadences infernales – Work pace setting and control Pierrette Sartin – Erudit: https://www.erudit.org/fr/revues/ri/1970-v25-n2-ri2811/028126ar.pdf
Bullshit jobs – David Graeber – Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Bullshit_jobs
Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée…– Christiane V. Felscherinow: https://www.babelio.com/livres/Felscherinow-Moi-Christiane-F-13-ans-droguee-prostituee/9577
Plus rien – mickey3d: https://youtu.be/phy1WOyQUYI?si=tfM6pjhRZ3oStzRK
youtube
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4-day workweek: https://www.aurianneor.org/4-day-workweek/
Work: https://www.aurianneor.org/work-work-1915-charlie-chaplin/
Donner ou pas donner?: https://www.aurianneor.org/donner-ou-pas-donner-donner-de-largent-a-un/
Le revenu de base, c’est possible: https://www.aurianneor.org/le-revenu-de-base-cest-possible-the-instrument/
Depuis que j’ai arrêté de travailler Et que j’ai recommencé à réfléchir, J’y gagne!: https://www.aurianneor.org/depuis-que-jai-arrete-de-travailler-et-que-jai/
Marche à l’ombre: https://www.aurianneor.org/marche-a-lombre-quand-l-baba-cool-cradoque-est/
Fée du logis, fait tout sans travailler: https://www.aurianneor.org/fee-du-logis-fait-tout-sans-travailler-legalite/
Le mépris, c’est pas automatique: https://www.aurianneor.org/le-mepris-cest-pas-automatique/
Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
Comment regagner la confiance?: https://www.aurianneor.org/comment-regagner-la-confiance/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Vivre dignement: https://www.aurianneor.org/vivre-dignement/
L’ absentéisme au travail: https://www.aurianneor.org/l-absenteisme/
Ma valeur n’est ni marchande ni raciale: https://www.aurianneor.org/ma-valeur-nest-ni-marchande-ni-raciale/
La part du gâteau: https://www.aurianneor.org/la-part-du-gateau/
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ejcmedia · 5 months
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"J’ai arrêté de croire en Dieu, après ma première nuit dans la rue"
Ancien ouvrier du bâtiment, Roro s’est retrouvé à la rue à 65 ans après une blessure au poignet. Aujourd’hui, il survit comme plus de 10 000 personnes sans domicile fixe dans les rues de Marseille à la recherche de sourires et de quelques pièces.  Roro (son surnom), sur les marches de l’escalier monumental de la gare de Marseille. Par superstition, il change de côté chaque jour. Photo V.D Assis…
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2t2r · 8 years
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Borderlife des pièces dans des bouches d'égout par Biancoshock
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/des-pieces-dans-des-bouches-degout-par-biancoshock/
Borderlife des pièces dans des bouches d'égout par Biancoshock
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ruemorinpointcom · 10 months
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Inauguration de la Maison d'accueil sans-abri de Chicoutimi
36 chambres supplémentaires pour les personnes en situation d’itinérance au Saguenay Continue reading Untitled
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siao42 · 11 months
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Retour sur la mobilisation #BraderieDuSocial du 12 octobre avec cette revue presse locale. L'article évoluera au gré des suites qui seront données à cette journée.
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conatic · 1 month
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L’Ontario a dénombré 1400 campements de sans-abri en 2023 | La Presse
Source : lapresse.ca
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gulshanwhydonate · 1 year
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Comment Collecter Des Fonds Pour Les Refuges Pour Sans-abri
Apprenez à collecter des fonds pour les refuges pour sans-abri. Lancez le financement participatif et aidez les sans-abri là où vous vous trouvez.
Comment Collecter Des Fonds Pour Les Refuges Pour Sans-abri
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dessinsdebado · 1 year
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Des milliers de sans-abri doivent survivre à l'extérieur en raison du manque de places dans les refuges de Toronto. (Le Droit, mercredi 2 août 2023)
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dessinduframbois · 1 year
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Jeux Olympiques « Paris 2024 »
L’ombre de la chienlit Angoisse et réflexion en haut lien avec Macron et Borne : ça ruisselle ! Référence à lire :Transférer les sans-abri de Paris : le projet qui inquièteLe gouvernement souhaite inciter les sans-abri à quitter la région parisienne, où l’hébergement d’urgence est saturé. Les associations s’inquiètent des conditions dans lesquelles ces déplacements sont effectués.Faïza Zerouala…
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sirenelove · 1 year
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Intéressant : Une femme riche achète un sans-abri pour donner une leçon à ses parents 🥰🙏
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2t2r · 10 years
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Des maisons imaginaires pour les sans-abris en street art
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/des-maisons-imaginaires-pour-les-sans-abris-en-street-art/
Des maisons imaginaires pour les sans-abris en street art
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