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#santé et social
meganval · 1 year
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2e édition de la Conférence africaine sur la réduction des risques en santé : un rendez-vous majeur au Maroc
La deuxième édition de la Conférence Africaine sur la Réduction des Risques en Santé approche à grands pas, promettant des échanges encore plus enrichissants autour du thème central de la santé en Afrique, axé sur l’eau, l’environnement et la sécurité alimentaire. Placée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, cette rencontre de haut niveau sera à nouveau co-organisée par le…
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effemeridiscettiche · 2 years
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thebusylilbee · 1 month
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"Les JO, c’est super. Mais pour qui et à quel prix ? [...]
Les fan zones sont pleines de gens qui rient et pleurent ensemble devant les transmissions des épreuves ; 5 200 personnes ont été expulsées de squats et de campements de rue en Île-de-France en un an et envoyées en région sans solution de logement.
Les transports publics roulent bien et les agent·es d’accueil sont plebiscité·es pour leur bonne humeur ; les émissions de CO2 des Jeux olympiques de Paris (JOP), 1,58 million de tonnes au minimum, seront l’équivalent de ce que rejettent 150 000 personnes en France en un an.
Des athlètes couronné·es sont d’anciens enfants placés ou ont grandi dans des quartiers pauvres ; le prix des places pour la cérémonie de clôture des Jeux va de 250 à 1 600 euros – plus qu’un mois de salaire minimum.
C’est officiellement la trêve olympique, et la délégation ukrainienne a remporté deux médailles d’or (sabre et saut en hauteur), ainsi qu’une de bronze (lutte gréco-romaine), qui deviennent des symboles de résistance face à l’agression militaire russe ; les bombardements israéliens n’ont pas cessé à Gaza, visant une école transformée en refuge le 10 août, veille de la clôture des Jeux, tuant près de cent personnes selon un premier bilan. [...]
La vasque et sa flamme olympique en LED et vapeur d’eau flottant au-dessus des Tuileries émerveillent le public ; les enfants du quartier Pleyel à Saint-Denis vont subir les pots d’échappement de la voie vers l’autoroute construite collée à leur école pour les JOP.
Imaginaire collectif coupé en deux
Cette liste pourrait s’allonger encore et encore. Dans ces conditions, quelles conclusions en tirer sur la portée de l’événement ? [...]
Une situation peut être à la fois agréable et pourtant néfaste. On peut aimer boire du Coca-Cola ou de la vodka, cela n’empêche pas que ce soit mauvais pour la santé ; adorer voyager vers des pays lointains alors que les trajets en avion contribuent à la destruction du climat [...]. Les émotions, aussi fortes soient-elles, ne suffisent pas à façonner la réalité.
En 2015, les chercheurs Stefan Aykut et Amy Dahan parlaient de « schisme de réalité » pour décrire les négociations climat, car elles voulaient réduire les gaz à effet de serre sans s’attaquer à leurs principales émettrices, les industries fossiles. Elles avaient créé un théâtre de discours sans prise directe avec le problème à résoudre.
À sa manière, Paris 2024 aura été un schisme de réalité : il y a une dissociation entre le spectacle, excitant, prenant, populaire, et les conditions de sa fabrication, brutales, excluantes, coûteuses et injustes. C’est un déchirement sensible. Le sentiment d’une immense réussite s’entend dans les déclarations des organisateurs et des dirigeants politiques. La fierté et la joie s’expriment un peu partout, aux repas familiaux, entre collègues, avec ses voisins, sur les réseaux sociaux, dans les médias. Mais qui écoute la complainte, la colère et les douleurs de celles et ceux qui ont été éjecté·es de la fête ?
Si le prix à payer en « nettoyage social », en élitisme commercial (le prix des billets, du merchandising et d’un séjour à Paris) et en destructions environnementales (climat, arbres coupés au parc Georges-Valbon, jardins ouvriers détruits à Aubervilliers et pollution de l’air à Saint-Denis), est considéré comme acceptable, le risque est d’abaisser les critères d’exigence démocratique, sociale et écologique pour la suite.
Car si un pouvoir peut décider un tel événement sans consulter la population, en cédant aux exigences d’une association croulant sous les accusations de corruption (le CIO), en engageant au moins 10 milliards d’euros sans transparence sur le coût final en argent public, et en multipliant les promesses écologiques intenables, alors pourquoi ne pas continuer ?"
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ernestinee · 21 days
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J'ai remis les pieds dans mon level 10, ça faisait longtemps. Les domaines que je veux faire évoluer sont le boulot et la santé. Les autres sont moins urgents.
Du coup boulot je me mets 6/10 et je veux monter à 7.
- Mon patient bègue évolue super bien ! C'est très technique mais il adhère totalement à ce qu'on fait et il met en pratique. Il réussit de mieux en mieux à prévoir qd il va bégayer et il réussit à court-circuiter puis réfléchir au deuxième son, ce qui lui permet d'adoucir l'attaque sur laquelle il bute. Il nous reste pas mal de boulot sur le rythme et la respiration mais c'est génial déjà. Et sa fierté quand il y arrive 🤍
- Ma patiente avec de l'anxiété sociale progresse bien aussi. C'est une anxiété liée à son trouble développemental de langage. Elle a réussi en moins d'un mois son premier objectif, qui était de réussir à lâcher sa maman dans un magasin pour aller chercher qqchose dans un autre rayon. Elle a 13 ans. Ça semble automatisé, dans le sens où elle a moins envie d'être invisible dans ces moments là. Son prochain objectif est d'acheter un pain dans une boulangerie. On a travaillé la puissance vocale et les phrases de chaque étape, on a visualisé et répété ensemble. Sa maman va lui montrer plusieurs fois, avec les étapes sous les yeux puis ce sera à son tour. Aujourd'hui elle a été spontanée deux fois et m'a regardée dans les yeux quand elle m'a parlé. Première fois que ça arrive en 8 ans.
- Les tâches se cochent les unes après les autres et mon nouveau système pour ne plus procrastiner fonctionne assez bien. Je ne suis plus débordée, je ne culpabilise plus quand je me repose le weekend.
Pourquoi seulement 6/10? Parce qu'au bout de 8 ans comme indépendante, c'est encore difficile financièrement par moments, car:
- congés scolaires= beaucoup d'absents
- automne hiver = beaucoup de malades = beaucoup d'absents
- retour du soleil = on va en profiter, c'est si rare, on va aller se balader, à la semaine prochaine
Résultat : à l'année, je dois compter 40% d'honoraires qui sont passés à la trappe. On enlève les taxes, le carburant et les entretiens, le prix du bureau qui ne change pas même quand les enfants sont quasi tous en vacances, etc. etc. Il ne reste pas beaucoup.
Cette année-ci ça s'est encore plus senti car l'ado a été énormément malade, j'ai dû rester avec lui régulièrement, puis j'étais malade à mon tour et j'ai plusieurs patients assez fragiles, qui sont ko plusieurs semaines avec un rhume, parce que ça évolue rarement bien chez eux, sans compter qu'ils le refilent à toute la fratrie et que j'ai de l'empathie pour les parents qui vont devoir gérer ça. Et puis "choper les microbes de la logopède = beaucoup d'absents"
Du coup, sur les périodes où ils sont plutôt présents, je dois bosser beaucoup plus.
Du coup je vais augmenter mon nombre de patients.
Voilà donc le challenge de l'année c'est d'augmenter le nombre de patients tout en continuant de bien gérer mes tâches et mon temps pour ne pas être débordée, et augmenter le chiffre d'affaires à l'année.
Santé : 4/10. Explications :
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Je me fissure d'un coup. C'est scientifique, il y a de vraies études sur le coup de vieux de 44 ans.
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Je ne sais pas encore bien comment (ni quand) prendre soin de ma santé pour avoir moins l'impression de me fissurer de partout. Mais cette image de la façade est exactement ce que je ressens depuis quelques mois.
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mel-et-ses-histoires · 7 months
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Hier YT me proposais en suggestion une video "analyse" sociologique sur le diagnostic d'hpi.
Alors le mec avait bossé rien a dire ca durait plus d'une heure avec des aspects historique toussa mais autant j'aime la socio autant des fois les mecs partent de la conclusion qu'ils veulent avoir et tracent le chemin apres.
En résumé le diagnostic d'hpi c'est un diagnostic au service de la bourgeoisie creer pour critiquer l'ecole et se distinguer des classes sociales basses.
Et moi j'etais genre..."ouai enfin c'est un diagnostic medical surtout a la base hein, je me fais pas chier avec des échelles pour rien. Et si ca se retrouve plus chez les csp+ que les ouvriers c'est pas un complot bourgeois c'est aussi que c'est plus facile d'avoir un développement cérébral optimal quand y a pas de probleme de santé, d'argent, que tout le monde est present etc".
Vivement qu'on m'explique que le diabète est un diagnostic créé par coca cola.
(ah et soyons clair, quand je parle d'hpi je parle bien du terme medical, les intelligences emotionelles, zèbres, cristal et toussa c'est une vision du monde de horoscope magazine, pas du milieu scientifique).
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indra69 · 1 month
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Verre à moitié plein, ou à moitié vide
L’alcool de retour en Nouvelle-Calédonie, un soulagement ou une bombe à retardement ?
Lundi 19 août 2024, la vente d’alcool sera de nouveau autorisée en Nouvelle-Calédonie, après plus de deux mois de prohibition imposée suite à l’insurrection du 13 mai 2024. Une décision qui divise, qui suscite à la fois l’enthousiasme et l’inquiétude.
Depuis l’annonce de cette réouverture, les réseaux sociaux s’enflamment. Deux camps s’affrontent, chacun défendant ardemment son point de vue.
D’un côté, les partisans d’un retour à la normale, qui voient dans cette décision une bouffée d’oxygène pour l’économie locale. La fermeture prolongée des points de vente a, certes, eu pour effet de réduire certains excès, mais elle a aussi eu pour conséquence de frustrer une population qui se sentait pénalisée pour les actes d’une minorité.
Cependant, d’autres redoutent que cette réouverture ne ravive les flammes encore fumantes des tensions sociales. Les abus, qui avaient mené à la fermeture des ventes, ne sont pas un lointain souvenir et la parenthèse de réouverture en avait été le triste rappel. Pour ces personnes, la fin de l’interdiction pourrait bien marquer le début d’une nouvelle série de débordements, faisant craindre que la situation ne dégénère à nouveau.
Cette polarisation reflète bien la complexité de la question. L’alcool, c’est bien plus qu’une simple boisson. C’est un enjeu de société qui touche à notre identité, à notre rapport à la fête, mais aussi à notre santé en général et aujourd’hui à notre sécurité.
Quoi qu’il en soit, lundi soir, certains déboucheront une bouteille pour célébrer cette “liberté”, tandis que d’autres resteront sur le qui-vive, craignant que cette liberté retrouvée ne soit que de courte durée.
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Le Forum économique mondial (WEF) a admis que la pandémie de COVID-19 était un test de l'obéissance du public à accepter son Nouvel Ordre Mondial il a publié l'admission suivante sur la page "Mon carbone" de son site web où ils font un pitch pour les villes intelligentes de 15 minutes Thegatewaypundit.com rapporte : Le premier des trois "développements" qui, selon le WEF, doivent être en place avant que le monde puisse évoluer vers sa vision utopique des "villes intelligentes et durables", est le respect des restrictions à notre liberté. Il écrit :
1. COVID-19 a été le test de la responsabilité sociale - Un grand nombre de restrictions inimaginables pour la santé publique ont été adoptées par des milliards de citoyens à travers le monde. Il existe de nombreux exemples à l'échelle mondiale de maintien de la distanciation sociale, de port du masque, de vaccinations de masse et d'acceptation des demandes de recherche des contacts pour la santé publique, qui ont démontré le cœur de la responsabilité sociale individuelle.
Ils nous testaient. C'est ce qu'était le Covid. Ils voulaient voir combien d'entre nous abandonneraient notre liberté individuelle et notre souveraineté individuelle en se conformant à une "nouvelle normalité" qui consistait en des restrictions à la limite de l'absurde. Pourquoi, par exemple, était-il "sûr" de faire ses achats chez Lowe's ou Home Depot, mais dangereux de faire ses courses dans une petite entreprise ou d'aller à l'église ? Pourquoi était-il acceptable d'aller dans des clubs de strip-tease dans le Michigan mais vous ne pouviez pas acheter de graines pour un jardin ? Ce que le WEF implique avec sa déclaration ci-dessus, c'est que pour être "durables", les personnes et les sociétés devront se conformer à un nouvel ordre mondial plus autoritaire. Ne pose pas de questions. Ne recourez pas à la logique. Il suffit d'obéir. Serions-nous obéissants face à de nouvelles lois et réglementations idiotes, comme porter des couches pour arrêter ce qui était considéré comme un virus en aérosol, et se tenir à 3 mètres l'un de l'autre en public, et se soumettre à une injection non autorisée d'ARNm jamais utilisée auparavant ?
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WEF has admitted that the COVID-19 pandemic is a test of the public’s obedience to its New World Order, posting the following admission on the “My Carbon” page of its website where it makes a 15-minute pitch for smart cities. Thegatewaypundit.com reports: The first of three “developments” that the WEF says must be in place before the world can move toward its utopian vision of “smart, sustainable cities,” is compliance with restrictions on our freedom. It writes: 1. COVID-19 has been the test of social responsibility - A large number of unimaginable public health restrictions have been adopted by billions of citizens around the world. There are many examples worldwide of maintaining social distancing, wearing masks, mass vaccinations, and accepting contact tracing requests for public health, which have demonstrated the heart of individual social responsibility. They were testing us. That’s what Covid was. They wanted to see how many of us would give up our individual freedom and individual sovereignty by conforming to a “new normal” that consisted of restrictions that bordered on the absurd. Why, for example, was it “safe” to shop at Lowe’s or Home Depot, but dangerous to shop at a small business or go to church? Why was it okay to go to strip clubs in Michigan but you couldn’t buy seeds for a garden? What the WEF is implying with their statement above is that in order to be “sustainable,” people and societies will have to conform to a new, more authoritarian world order. Don’t ask questions. Don’t resort to logic. Just obey. Would we be obedient to idiotic new laws and regulations, like wearing diapers to stop what was considered an aerosolized virus, and staying 10 feet apart in public, and submitting to an unauthorized mRNA injection never before used?
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e642 · 2 months
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Plus le temps passe plus mon angoisse est silencieuse. Par silencieuse j'entends que ça ne se voit plus, seulement je la ressens. Ça tourne autour de l'insomnie, la dissociation, les symptômes physiques (nausées, mal de tête, gorge nouée, tachycardie, impression de malaise), mais je ne fais plus de crise d'angoisse au sens premier du terme, personne ne peut le voir. Ce mois de juillet est long et tumultueux, j'en écris des tartines à rallonge parce que je me sens si inconfortable dans l'existence. Tout me dérange. Tout me déstabilise. J'aime pas le changement, les décisions importantes, les grosses dépenses parce que ça m'ébranle, ça me fait réfléchir, me demande de m'adapter, de prendre sur moi. Ça me paraît pourtant si dérisoire parce que c'est commun ce genre de période, d'indécision, de réflexion. L'anxiété sociale est aussi à son paroxysme depuis que j'ai retrouvé un téléphone, toutes les notifications, les conversations creuses, les infos qui affluent de partout.. ça me broie la trachée parce que ça a de moins en moins de sens pour moi tout ça, parce que je n'ai pas la même manière d'exprimer le manque, ou plutôt, je ne le ressens pas. Personne ne me manque réellement, ou c'est très rare (et je saisis l'occasion) mais autrement, je pourrais me passer de tout contact, d'amitié, de racontage de vie, de verres à boire par politesse. Je n'arrive pas à m'intéresser aux autres mais ça ne veut pas dire qu'ils ne le sont pas, seulement j'ai un mal fou à comprendre ce qu'il faut que je fasse, dise, comment je dois me comporter. J'ai juste envie d'être seule. Je vais partir en vacances avec mon mec, son père m'a bizarrement forcé la main et je crois que ça participe beaucoup à mes appréhensions, que ce soit un barrage pour le quitter car je me sens réellement mal dans cette relation. Ça me fait toujours mal au ventre de le reconnaître parce que j'aurais aimé que ça se passe autrement, que je me sente autrement et que je sois dans une relation bonne pour ma santé mentale mais ce n'est pas le cas. Je sens l'accumulation d'eau contre le barrage et ça va finir par craquer. Je vais finir par craquer. Le stage pète les scores lui aussi, impossible de vivre en sachant que c'est le truc qui va déterminer mon année et mon accession aux masters. Je ne sais pas comment je vais faire si j'en ai pas un. J'ai du mal à rationaliser ça alors que je sais que c'est les vacances, que c'est un simple stage, que j'aurais sûrement plus de réponse à la rentrée mais j'ai besoin que ce soit réglé. En fait voilà, j'ai un grand besoin de mise au point, de finir ce que j'ai commencé, de repartir sur des bases clean parce que je m'enlise à faire semblant et faire comme si j'arrivais à parfaitement respirer à chaque instant. La vérité c'est que j'ai l'impression qu'il y a deux grosses mains autour de mon cœur et qu'elles le serrent fort, mais tellement fort que ça en est douloureux physiquement. À chaque conversation, je m'entends parler de loin, je me vois de loin répondre automatiquement, essayer de faire bonne impression mais au fond je m'entends aussi ricaner parce que c'est ridicule ce que je peux dire ou faire. Je me sens minable. Un ramassis de fissures toutes plus suintantes les unes que les autres. La sensation d'être une plaie purulente qui ne guérit jamais, qui se draine par moment certes mais qui se gorge et se collecte juste après. Je suis à côté de la plaque et c'est une des impressions que j'aime le moins. Les choses se passent et moi j'essaie de les attraper au vol avec un temps de latence qui ferait pâlir les plus à la ramasse.
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droitsdesfemmes · 2 months
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« Il n'y a pas d'esprit féminin. Le cerveau n'est pas un organe sexuel. Autant parler d'un foie féminin. » Charlotte Perkins Gilman
Charlotte Perkins Gilman, née le 3 juillet 1860 à Hartford, Connecticut et décédée le 17 août 1935 à Pasadena, Californie, était une écrivaine, conférencière, réformatrice sociale et féministe américaine influente. Elle est surtout connue pour sa nouvelle semi-autobiographique « The Yellow Wallpaper » (1892), qui explore les effets débilitants du traitement médical de la « cure de repos » sur les femmes souffrant de troubles mentaux, une expérience qu'elle a elle-même vécue. Charlotte a grandi dans la pauvreté après que son père ait abandonné la famille. Elle a passé beaucoup de son enfance à Providence, Rhode Island et a fréquenté la Rhode Island School of Design grâce à un soutien financier de son père absent. Elle a ensuite travaillé comme artiste et tutrice. En 1884, elle a épousé l'artiste Charles Walter Stetson et a eu une fille, Katharine, en 1885. Peu après la naissance de sa fille, elle a souffert d'une grave dépression post-partum. Elle a été traitée par le Dr Silas Weir Mitchell, qui lui a prescrit la « cure de repos », une expérience qui a aggravé sa condition. Cette période a inspiré « The Yellow Wallpaper », un récit poignant sur les effets de l'isolement et du manque d'activités intellectuelles. Après s'être séparée de son mari en 1888, elle a déménagé à Pasadena, Californie, où elle est devenue active dans les mouvements de réforme sociale et féministe. Elle a publié de nombreux ouvrages influents, dont « Women and Economics » (1898), où elle soutient que l'indépendance économique est essentielle pour l'émancipation des femmes. Elle a également édité son propre magazine, « The Forerunner », de 1909 à 1916, où elle a publié de nombreuses histoires et articles​. Malgré ses contributions progressistes au féminisme et à la réforme sociale, certaines des vues de Charlotte sur la race et l'immigration sont controversées et reflètent des attitudes eugénistes de son époque. Diagnostiquée d'un cancer du sein incurable en 1932, elle a choisi de mettre fin à ses jours en 1935 par une overdose de chloroforme, préférant cela à une mort par cancer​. Charlotte Perkins Gilman est aujourd'hui reconnue comme une figure majeure de la première vague du féminisme américain et ses œuvres continuent d'influencer les débats sur les droits des femmes et la santé mentale. Elle a été intronisée au National Women’s Hall of Fame en 1994, soulignant son impact durable sur le mouvement pour les droits des femmes.
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meganval · 2 years
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Le Maroc à l’initiative d’un débat fructueux sur la réduction des risques sanitaires
Le Maroc à l’initiative d’un débat fructueux sur la réduction des risques sanitaires
Mercredi 16 novembre 2022. Ouverture officielle au Fairmont Royal Palm de Marrakech, de la première conférence africaine sur les risques en santé. L’événement qui a été mis sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu l’assiste, réunit en conclave un parterre d’acteurs scientifiques, experts en politique, décideurs et de spécialistes de la protection sociale. Ils sont venus de…
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chifourmi · 8 months
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Je cherchais où je pouvais faire du bénévolat parce que j'ai envie de faire quelque chose durant les prochains mois quand-même et ce qui m'intéressait le plus c'est le travail avec les animaux mais toutes les assocs sont trop loin de chez moi donc j'ai assez vite abandonné l'idée. Puis je suis tombée sur l'annonce PARFAITE. Faire du travail administratif dans une maison de santé à taille humaine dans laquelle travaille une équipe pluridisciplinaire. Bon évidemment le travail en tant que tel ne vend pas du rêve mais en tant que future assistante sociale, c'est une expérience hyper pertinente à ajouter à son CV. En plus j'ai toujours voulu faire mes stages dans des maisons de santé et travailler dans une équipe pluridisciplinaire mais je n'ai jamais pu finalement. Ce sera l'occasion de voir ça de loin! Les lieux ont l'air super accueillants, super cocoonings tellement c'est tout petit, et l'équipe a l'air trop chouette (y a que des femmes 🥰). Mais en plus de ça c'est à 5 minutes à pieds de chez moi??!! Et ils demandent de travailler jusqu'en juillet donc c'est tout bon!!! Du coup je me suis proposée et je vais prier l'univers pour être prise.
(05/02/2024)
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Deux réflexions de Georges Canguilhem sur la santé
«Les normes de vie pathologiques sont celles qui obligent désormais l’organisme à vivre dans un milieu "rétréci”, différent qualitativement, dans sa structure, du milieu antérieur de vie, et dans ce milieu rétréci exclusivement, par l’impossibilité où l’organisme se trouve d’affronter les exigences de nouveaux milieux, sous forme de réactions ou d’entreprises dictées par des situations nouvelles. Or, vivre pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. La santé est précisément, et principalement chez l’homme, une certaine latitude, un certain jeu des normes de la vie et du comportement. Ce qui la caractérise c’est la capacité de tolérer des variations des normes
auxquelles seule la stabilité, apparemment garantie et en fait toujours nécessairement précaire, des situations et du milieu confère une valeur trompeuse de normal définitif. L’homme n’est vraiment sain que lorsqu’il est capable de plusieurs normes, lorsqu’il est plus que normal. La mesure de la santé c’est une certaine capacité de surmonter des crises organiques pour instaurer un nouvel ordre physiologique, différent de l’ancien. Sans intention de plaisanterie, la santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. […] Il ne peut rien manquer à un vivant, si l’on veut bien admettre qu’il y a mille et une façons de vivre.» (Georges Canguilhem, La Connaissance de la vie, 1952)
«À partir du moment où "santé" a été dit de l’homme en tant que participant d’une communauté sociale ou professionnelle, son sens existentiel a été occulté par les exigences d’une comptabilité […]
L’élargissement historique de l’espace où s’exerce le contrôle administratif de la santé des individus a abouti, dans le présent, à une Organisation mondiale de la santé qui ne pouvait pas délimiter son domaine d’intervention sans publier, elle-même, sa propre définition de la santé. La voici: “La santé est un état de complet bien-être physique, moral et social, ne consistant pas
seulement en l’absence d’infirmité ou de maladie.” […] Ce discours est celui de l’Hygiène, discipline médicale traditionnelle, désormais récupérée et travestie par une ambition socio-politico-médicale de règlement de la vie des individus […] L’hygiéniste s’applique à régir une population. Il n’a pas affaire à des individus. Santé publique est une appellation contestable.
Salubrité conviendrait mieux. Ce qui est public, publié, c’est très souvent la maladie. Le malade appelle à l’aide, attire l’attention ; il est dépendant. L’homme sain qui s’adapte silencieusement à ses tâches, qui vit sa vérité d’existence dans la liberté relative de ses choix, est présent dans la société qui l’ignore. La santé n’est pas seulement la vie dans le silence des organes, c’est aussi la vie dans la discrétion des rapports sociaux.» (Georges Canguilhem, La Santé. Concept vulgaire et question philosophique, conférence donnée à Strasbourg en 1988)
Il est clair qu’aucun des télétoubibs, membres du Conseil pseudo-scientifique, journalistes ou politiques covidiotistes n’a jamais lu une ligne du plus grand philosophe français de la médecine…
Les champs sémantiques recouverts par les termes de "santé" et de "numérique" sont originellement disjoints et n’ont radicalement rien à faire ensemble, sauf à vouloir induire un forçage idéologique voué à la catastrophe humaine et sociale.
Le corps, c’est la part de "nature" qui entre dans la constitution du sujet.
Plus la "nature" (même étymologie que naissance) tarde à se venger des offenses commises contre elle, plus sa vengeance est cruelle…
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21stdilema · 7 months
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Les effets manipulateurs des réseaux sociaux : comment s'en protéger ?
Introduction :
Les réseaux sociaux ont pris une place prépondérante dans nos vies, nous permettant de rester connectés en permanence avec nos proches, de partager nos expériences et de découvrir de nouvelles informations. Cependant, derrière ces écrans se cachent des effets manipulateurs qui peuvent avoir un impact néfaste sur notre bien-être et notre santé mentale. Dans cet article, nous allons explorer les différents mécanismes de manipulation utilisés sur les réseaux sociaux et vous donner des conseils pour vous en protéger.
1. La création d'une dépendance :
Les plateformes de réseaux sociaux sont conçues pour nous garder engagés et accrochés à nos écrans le plus longtemps possible. Des fonctionnalités telles que les notifications incessantes, les likes et les commentaires génèrent une gratification instantanée qui nous pousse à revenir régulièrement pour obtenir notre dose de validation sociale. Cette dépendance peut affecter notre productivité, nos relations personnelles et même notre estime de soi.
2. La manipulation de l'algorithme :
Les réseaux sociaux utilisent des algorithmes sophistiqués pour personnaliser notre expérience en ligne. Cependant, ces algorithmes sont également utilisés pour manipuler nos comportements et nos opinions. En fonction de nos interactions passées, les plateformes nous présentent du contenu ciblé qui renforce nos croyances existantes et nous enferme dans des bulles de filtrage. Cela peut nous pousser à adopter des points de vue extrêmes et à polariser notre vision du monde.
3. L'influence des influenceurs :
Les influenceurs sur les réseaux sociaux ont un pouvoir considérable sur leurs abonnés. Leurs recommandations, leurs modes de vie idéalisés et leurs produits sponsorisés peuvent nous pousser à prendre des décisions basées sur l'envie et la comparaison sociale. Il est important de développer une conscience critique et de ne pas se laisser influencer aveuglément par ces personnalités en ligne.
4. Stratégies pour se protéger :
Pour se protéger des effets manipulateurs des réseaux sociaux, il est essentiel de prendre certaines mesures. Tout d'abord, il est recommandé de limiter le temps passé sur les réseaux sociaux et de définir des moments précis pour les consulter. Ensuite, il est important de diversifier nos sources d'information et de suivre des comptes qui présentent des points de vue différents. Enfin, il est crucial de développer une conscience critique et de remettre en question les informations que nous trouvons en ligne.
Conclusion :
Les réseaux sociaux peuvent être des outils puissants pour rester connectés et partager des moments précieux. Cependant, il est essentiel de prendre conscience des effets manipulateurs et néfastes qu'ils peuvent avoir sur notre bien-être mental. En suivant les conseils de cet article, vous serez en mesure de vous protéger et de profiter pleinement d'Internet tout en préservant votre santé mentale
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plexussolaire · 9 months
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Pousser la porte et prendre une chaise
Hier soir, troisième semaine de réunion des Alcooliques Anonymes. C'est ma sixième réunion.
La plus belle réunion depuis la première.
Ça fait quinze jours que je suis abstinente, j’en savoure les premiers effets bénéfiques. Je dors le même nombre d’heure mais la qualité de mon sommeil s’est significativement améliorée, si l’on exclue les réveils nocturnes causés par le chat. Je me sens calme, reposée, mon humeur s’est stabilisée : je ne pars pas dans les tours, je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de re-fonder ma vie entièrement et sur de nouvelles bases, chaque matin. Je ne me mets pas en colère, je ne panique pas dès qu’un problème se présente, je suis tranquille. Je crois que j’ai cessé d’avoir peur tout le temps, et d’avoir honte. Je n’ai plus cette croix à porter, si lourde sur mes épaules, le lendemain d’une simple bière légère.
Je suis même heureuse, je peux le dire. C’est aussi simple. C’est ce sentiment euphorique qui m’avait convaincu d’arrêter la thérapie. Je me souviens de ce fameux mois de septembre, il y a un an et demi, où tout roulait, mon quotidien, ma vie sociale, mes valeurs, l’intérêt que je portais à la vie, le désir, l’enthousiasme. Sans alcool. J’ai replongé après, mais c’était la première fois de ma vie que je me sentais légère et joyeuse, durablement. J’ai passé un temps infini à livrer une bataille titanesque contre le poison qu’insinuait l’alcool dans mes veines, même quand je ne buvais pas deux jours, et c’est ça que je trouve fascinant aujourd’hui, en écrivant et réfléchissant à mon rapport à l’alcool, c’est que tant qu’on n’est pas abstinent, tant qu’on laisse une place à l’alcool dans notre vie, même quand on ne le consomme pas abusivement, il nous empoisonne l’esprit. Il est présent. Il ravive une petite honte, une fatigue, des souvenirs douloureux, des symptômes physiques. Il reste physiquement et mentalement dans notre système et nous met des bâtons invisibles dans les roues. Il change la face de notre quotidien sans qu’on s’en aperçoive.
J’ai tellement lutté pour dépasser la honte et la culpabilité d’être alcoolique, que j’ai développé à force d’obstination et de persévérance, des attitudes très saines pour compenser cet excès morbide. J’apprenais à lire tous les jours, à faire du sport régulièrement, j’ai mis en place des routines du matin, du soir, essayé des choses, reporté, recommencé, pendant des mois, à installer des habitudes pour bien vivre. J’ai lutté pour ma santé mentale. C’est un cadeau que je me suis fait : après tant d’effort pour les inscrire dans mon quotidien, arrêter l’alcool a suffit. Toutes ces habitudes qui me demandaient tant d’effort face à la petite voix de mon cerveau qui me disait : “tu es nulle”, “tu n’arriveras jamais à rien”, “tu ne sais rien faire”, deviennent infiniment plus simples depuis que j’ai retiré l’alcool de ce même quotidien. Tout est plus simple, alors, juste comme ça, je suis simplement heureuse. J’ai enlevé le bâton de ma roue, et je l’ai fait quand j’ai compris qu’il fallait le faire pour moi. Arrêter de boire, je l’ai fait pour moi, et il n’y a pas d’autre façon d’arrêter de boire.
Le partage de P. Hier en réunion parlait de ça. Pour certains, on arrête pour les autres, pour retrouver un travail, récupérer son permis, son appartement… mais c’est seulement quand on comprend qu’on mérite d’arrêter de boire et d’aller mieux, soi, parce que personne ne le fera pour nous, qu’on passe le cap de l’abstinence. On replongera plusieurs fois, mais on n’attendra plus que la solution viennent de l’extérieur. C’est pas qu’on en est pas capable, mais on arrête de boire seulement quand on se met à penser qu’on le mérite. Parce que nous sommes nos propres parents, nous devons d’abord être aimés par nous même, comme nous aurions aimé être aimé au départ. Toutes les personnes que je croise en réunion ont eu des enfances et des foyers dysfonctionnels. C’est tellement fort d’être parmi les siens. D’être parmi des gens qui comprennent ce que c’est que de vouloir se détruire parce qu’on n’a pas trouvé d’autre voie dans la vie, parce qu’on a pas trouvé de soutien ni de raison, déjà tout petit, de se lever et d’avancer.
Hier soir, j’ai trouvé du soutien. J’ai senti mon appartenance. Comme a dit S. Ici, j’ai ma place, parce que quand j’arrive, j’ai une chaise pour m’asseoir. Je peux m’exprimer. Personne ne va m’interrompre, je vais parler aussi longtemps que je le veux, et ces gens vont m’écouter comme on ne m’a jamais écouté nulle part. Ces gens dont je ne sais rien, à part les lieux sombres de leur addictions, leurs démons, leurs joies aussi dans leur rétablissement, m’ont apporté plus que ne l’a jamais fait ma propre famille.
Il y a trois semaines, c’était Noël. Un événement tellement désacralisé et obligatoire, qu’il ne ressemble plus qu’à un simple repas de famille du samedi midi. Il ne s’est rien passé de différent, mais j’ai mis deux semaines à m’en remettre, à me sentir terriblement vide, blessée, profondément malheureuse, dévastée, déprimée. Je n’arrivais plus à sortir de ce marasme d’idées noires, jusqu’à me dire mais à quoi bon ? À quoi bon vivre, si c’est pour ressentir ça ? Mais alors que s’était-il passé là-bas, pour qu’avec ma propre famille, je me sente si abîmée ? Et bien, il n’y avait rien. Pas de lien, pas de regard, pas de sourire, pas de câlin, pas même une tape sur l’épaule, un compliment ou une parole affectueuse. Que des visages renfrognés derrière des masques de personne qui luttent, qui ne veulent pas montrer leurs émotions, ni les ressentir ni les offrir. Pas d’écoute, pas d’attention, pas d’amour. Pas de connexion. Rien, en vérité. Des mots vides, répétés cent fois, sans foi, des mots qui passent entre les couverts, les verres de vins et s’échouent plus loin au pied de la table. Des ricanements débiles, des moqueries, des humiliations même parfois, de celles qui vous saccagent l’esprit avant même de savoir que vous en avez un.
Hier, T. A dit une phrase qui m’a fait réfléchir. La puissance supérieure des AA, c’est la puissance supérieure que nous avions placé dans l’alcool et qui nous dictait nos façons d’agir. Il suffirait de la déplacer dans autre chose, que ce soit Dieu, que ce soit l’Univers, que ce soit le groupe. Je crois qu’il a raison. Il existe encore quelque part dans mon cerveau une croyance, que je tends à déconstruire à présent grâce au programme, une croyance que l’alcool va m’aider à ne plus ressentir la souffrance d’abandon que m’a fait vivre ma famille, qu’il va m’aider à m’extirper de ma dépendance affective. J’ai déplacé en quelque sorte, ma dépendance désastreuse à ma famille, vers une dépendance désastreuse à l’alcool. Car je souffrais, et je souffre encore profondément, Noël me l’a montré. Renoncer à l’alcool, c’est aussi renoncer à cet amour que je n’aurai jamais, ce soutien que je n’aurai jamais, de leur part. Renoncer à mes dépendances, c’est m’accorder enfin la liberté de vivre sans cela, d’en faire le deuil. C’est vivre librement, sans attendre ce réconfort qui ne viendra jamais, qui n’est qu’illusion, et se change en griffe quand on s’approche un peu trop près.
Les personnes dépendantes cherchent à jamais la nourriture affective dont ils ont manqué, cherchent à jamais la sécurité affective et l’attention qu’on leur a refusé. Jusqu’au jour où ils s’aperçoivent que le produit qu’ils consomment possède la même essence que ce poison d’abandon, que le dépit familial. Consommer à outrance, c’est s’enfoncer un peu plus dans la mort et les idées noires, à rechercher l’oubli et l’aisance que nous aurait apporté cet amour initial. Mais la vie sans eux est plus douce, et c’est cela qui soigne.
Remplacer un vide par un gouffre, mais alors qu’est-ce qui vient après ? Comment remplace-t-on l’alcool ? Je crois que les AA sont effectivement une réponse. Je crois que ça marche. Ils m’apportent, une à deux fois par semaine, une drogue douce, humaine : la connexion, le partage, l’écoute, le soutien, gratuit, inébranlable, inconditionnel. Une drogue de rêve que j’ai désespéré de trouver un jour, alors qu’il suffisait de pousser la porte, et de s’asseoir sur une chaise.
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helshades · 1 year
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Remboursement de la Sécu : a priori 3 centimes par verre, plus trois centimes pour les montures. Et oui, je n'ai pas daigné piocher dans le panier 100% santé et je voulais des verres photochromatiques. Et mettre mes solaires à ma vue, ça peut toujours servir.
Ma mutuelle devrait me renflouer du montant d'une moitié de verre, un verre complet (une centaine d'euros par carreau, les vrais myopes savent) si vraiment j'ai de la chance.
Soit dit en passant, ma mère porte des bésicles à 500 balles le verre, non remboursées toujours parce qu'être myope, astigmate, presbyte et hypermétrope via un début de cataracte ne compte apparemment pas comme une pathologie de l'œil.
Rien que ça, ça devrait justifier une révolution populaire. La destruction de la Sécurité sociale est un crime national.
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presslakay · 1 month
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Santé : le premier cas de mpox ou variole du singe en dehors de l'Afrique détecté en Suède
Un premier cas hors d’Afrique de l’épidémie actuelle de mpox (anciennement connue sous le nom de variole du singe ) a été détecté, jeudi 15 août 2024, en Suède. C’est ce qu’a annoncé les autorités suédoises. Selon les informations fournies par le ministre suédois des Affaires sociales, Jakob Forssmed, le cas a été détecté dans la région de Stockholm, et il s’agit d’une personne qui se trouvait…
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