Tumgik
#sauce enragée
planetegg · 14 days
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Crudo dorade Sauce verte au rhum Condiment citron brulé Pousses et fleurs du jardin
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claudehenrion · 5 days
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Gog et Magog, ou le combat final entre le Bien et le Mal...
En même temps que de la rue, la folie s'est emparée du pouvoir : les autorités ne reculent devant rien et mentent sur tout ce qui ne va pas dans leur bon sens si mauvais... Par exemple pour continuer à nous persuader que le Covid aurait été un dragon qui renaîtrait de ses cendres, ils ont déjà inventé la grippe aviaire et la variole du singe. A quand la la phtisie du poisson rouge, la coqueluche du chihuahua ou la fièvre violette du gnou ? Notre seul espoir : une bonne grippe des politicards—que nous avons déjà pris en grippe...
Tout se met en place (et... ''en douce''!) pour que nous soyons prêts à nous soumettre à toutes leurs folies pour, soi-disant, ''nous protéger'' de fausses pandémies ou de fausses menaces inexistantes (dont l'envahissement de l'Europe par Poutine ! Un sommet, dans la créativité !)... Il faut dire que ''ça'' a tellement bien marché avec leur satané covid, qu'ils auraient tort de se gêner! Préparons-nous à un ou des ''remake(s)'' de la grande peur de l'an Mil, inspirée par l'Apocalypse selon Saint Jean –ce qui peut paraître étrange, venant de ces chantres (ou chancres ?) de l'anti-christianisme le plus enragé.
Mais ils ne sont pas à ça près : le ridicule ne tue plus, de nos jours ! La preuve ? Leur manque de panache et d'élégance : ''notre'' Apocalypse avait une autre gueule et une autre ''classe'' que ''le Great Reset'' de Klaus Schwab (dit ''le Sars-Cov II de Davos''). Quant à notre président, son ''il n'est pas possible que Poutine gagne'' alors qu'il est en train de gagner –sauf à établir contre lui de nouvelles règles-- peut nous mener à la vitrification ! Il est dangereux !
Petit rappel historique  : de l'an Mil à l'année 1033 (soit ''mille ans après la naissance et la mort du Christ''), les peuples d'Occident ont tremblé : il était écrit que ''Les mille ans accomplis, Satan sortira de sa prison pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre : leur nombre est comme le sable de la mer...''. (Apo 2-27). Il m'arrive (et je ne dois pas être le seul !) de me demander si nous ne vivons pas des jours aussi remplis de monstres, de démons, de dragons (revus à une sauce dite ARN mensonger), de guerres qui n'en sont pas, qui pourraient éclater ou pas, quoique, etc... et de disparition des populations : notre temps ayant inventé l'infanticide légal in utero et s'apprêtant à légaliser l'euthanasie... plus de bébés, en France ni en Europe et, partant, plus aucun français, à terme, hors de pseudo-français ''administratifs'', sur le papier. Le processus est très largement engagé : l'Europe ne se reproduit plus, déjà. Mais tout le monde s'en fout : on regarde ailleurs, en disant ''c'est pas grave'' !
Un retour sur image s'impose ici : une étrange prophétie d'Ezéchiel (Ez. XXXVIII) montre un prince du nom de Gog, au pays de Magog, se mettant à la tête d'une coalition des peuples du Nord (serait-ce le premier nom de l'Europe ?) contre Dieu. Les noms Gog et Magog apparaissent plusieurs fois dans la Bible et dans le Coran, toujours en lien avec une grande bataille qui annoncera le retour du Messie. Côté ''civilisation judéo-chrétienne'', on cite le livre d'Ezechiel (où les peuplades païennes de Magog représentent métaphoriquement les forces du Mal), et l'Apocalypse de Saint Jean, qui parle du combat final (dit : la bataille d'Armageddon) entre le Bien et le Mal, à la fin des temps, lors de la parousie de Jesus-Christ. Ces symboles forts mais troubles, sont souvent confondus avec les ''Quatre cavaliers de l'Apocalypse'', symboles du combat eschatologique entre le Bien et le Mal.
Du côté ''monde islamique'', on parle de ''la mère des batailles'' (Oum al-Harb), qui verra la victoire et l'avènement d'al-Mahdi, ''le douzième Imam'' qui engagera une lutte terrible, avec son armée de partisans fidèles prêts au sacrifice, en un temps où ''le monde sera plongé dans l'injustice et la tyrannie''. Pour l'islam en effet, l'histoire est une lutte constante entre, d'une part, les forces du bien, de la vertu et de l'amour d'Allah, de la justice, de la foi, de l'égalité, du sacrifice, de la pensée correcte, de la pureté et de la vérité, et d'autre part, celles du faux et du mal, de l'égoïsme, du matérialisme, de l'injustice, de l'incroyance, de la discrimination, de la corruption, de la violation des droits des autres.
La bataille finale, qu'annonce une prophétie confortée par un Hadith, aura lieu près de la ville actuellement syrienne de Dabiq où, menacée par une horde d'infidèles, l'armée des musulmans, commandée par le Christ ressuscité (Je n'y peux rien : je raconte ce qui est écrit), est décimée mais finit par triompher. Le polythéisme, les mythes, l'injustice et la corruption s'effondreront alors, et la croyance en Allah, la Vérité et la Justice triompheront. Une société islamique (?) idéale (?) sera établie sur la terre, sous l'égide d'un gouvernement idéal (re- ?) : ''Un gouvernement mondial caractérisé par la justice et la droiture sera instauré. Il s'étendra de l'Est à l'Ouest. Tous les hommes vivront sous ce gouvernement dans un climat de paix, de justice et de prospérité. Le Gouvernement Divin établi après la chute des autres systèmes, réalisera les objectifs désirés. Bien qu'il soit d'une durée limitée, il sera le dernier mot dans la justice et la droiture. Il sera la fin de l'histoire''.
La situation dans laquelle nous sommes, à cet instant ''T'', est tellement grave (dans absolument tous les domaines) que le temps serait peut-être venu de se demander si nous ne revivrions pas --mutatis mutandis-- un moment iso-apocalyptique : en cinq ou six toutes petites très longues années, tout est renversé, saccagé, cul par dessus tête : les ''Quatre cavaliers de l'Apocalypse'', qui symbolisent la guerre, la famine, la maladie et la mort (et pas Lemaire, Mélenchon, Darmanin et Macron, comme certains le prétendent), rôdent autour de nous, encouragés et soutenus par les instances officielles. Ce ne ne sont certes pas les seuls dangers qui guettent l'humanité, nous le répétons souvent (au grand dam de ceux qui n'aiment pas qu'on appelle ''chat'', un chat), mais peut-on honnêtement échapper à l'idée générale que ''rien n'est plus comme avant'', que ''tout est chamboulé'' ou que ''on ne sait plus où on va'' ?
N'oublions pas que l'immense ''bataille d'Armageddon'', cet ''épisode final de la guerre entre Dieu et les gouvernements humains'', est annoncée depuis la plus haute antiquité : le Prophète Daniel (VIIè siècle av. JC) avait eu l'intuition d'une rivalité (que nous croyons moderne et récente et que nous attribuons, un peu vite, aux ''Lumières'') entre Dieu et les plus orgueilleuses de ses créatures. Et le Psaume 2:2 ( VI è siècle av. JC) racontait déjà que les gouvernements et tous leurs partisans s’opposent à Dieu, à qui ils refusent de se soumettre...
Or dans un livre récent, ''Bio Essay'', deux chercheurs de l’Université de technologie de Singapour, Kang Hao Cheong et Michael Jones, voient aujourd'hui, quatre conditions facilement observables qui poussent notre civilisation vers une autodestruction maso-pathologique possible. Ces néo- ''cavaliers de l'Apocalypse'' qui menacent l’humanité seraient, disent ces chercheurs : la surpopulation, la mondialisation, l’hyperconnectivité, et l'attrition du nombre de chaînes d'approvisionnement (''qui faciliterait la transmission de maladies contagieuses, donc des crises sanitaires majeures'').La tragi-comédie du covid, ''qui a dévoilé de graves failles dans la dynamique mondiale, la gouvernance et la santé publique'' serait, selon ces chercheurs, un exemple des catastrophes qui pourraient frapper l’humanité, comme une ''Apocalypse 2.0''.
Car franchement, qui aurait pu penser que les rodomontades, dites ''sanctions'', déchaînées (contre nous, bien plus que contre la Russie !) par les Rambos de nos Palais nationaux allaient si vite foutre par terre nos économies, nos structures, nos systèmes et nos sauvegardes ? Ah ! les cons ! Un an plus tard... nous sommes coincés dans des engrenages de catastrophes imprévues... sans possibilité d'interruption ni ''de passer notre tour''.... et ayant perdu tout espoir de gagner cette guerre, malgré les torrents d'éloquence vide de toute raison de notre personnel –très nul !
La crise actuelle aurait, selon toute logique, dû amener une prise de conscience collective et une remise en question du système, afin d’empêcher que des catastrophes encore plus graves ne se produisent.... question qui nous ramène à notre sujet du jour : Que pourraient représenter de nos jours les symboles portés par Gog et Magog ? Devant l'urgence dramatique de ces questions angoissées, je reviens, comme rituellement, à ma vieille idée : ''La folie est sortie des asiles''... Et la réponse se précise, avec le temps qui passe : c'est ''Oui'' !
H-Cl.
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shanomiko · 6 years
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8月28日2018年 19:54
Ce soir je suis fatiguée, morne et vide mais pas complètement abattue pour autant. Je suis passée par beaucoup d’émotions en très peu de temps. Je m’écoute les OST des divers jeux de la série Pokémon car j’aime bien depuis que je suis ici, ça me détend. Mais reprenons.
Hier je me suis réveillée... Seule, ni Tetchan ni Akiko. Quelques uns d’entre vous m’ont écrit inquiets par rapport à mon dernier article. J’ai peut-être mal exprimé mes mots et je vous demande pardon. Je n’ai pas l’intention de changer ma personnalité au profit d’une religion extrémiste de soumission ou je ne sais quoi en tant que Miko. Je ne me dénigre pas non-plus non. Je me considère simplement un peu comme un diamant brut et j’ai soif d’apprendre et de faire de mon mieux sur cette voie car c’est ce que je ressens. Et puis chaque sanctuaire est différent, il y en a des strictes et des moins strictes donc soyez rassurés.
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J’ai fait mes tâches quotidiennes et cherché des idées de photos, Marceline la grosse araignée se porte plutôt bien. Josette sa voisine aussi d’ailleurs. Mais Joceline est toujours portée disparue... J’ai ensuite continué mes effets “Aventures de Mini Shano” Pour le blog. Ho, on a reçu de la publicité avec des Kappas rigolos dessus.
Akiko est arrivée dans l’après-midi, elle était super en forme, ce week-end lui avait fait du bien et ça faisait plaisir à voir. Je lui ai dit que je souhaitais parler avec elle mais qu’avant cela nous devions faire quelques courses.
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Cette fois-ci, comme l’automne approche et que je change de goût préféré avec les saisons, je n’ai pas pris du jus de Pêche japonaise mais du jus de raisin violet. En fait, c’est un type de raisin que j’ai déjà eu mangé à plusieurs reprise en Suisse mais je sais pas vraiment son nom (americano au Tessin) donc je le trouvais plutôt rare. Ici il n’y a que ça ! Je suis aux anges !
En repartant le vent soufflait fort et le coucher de soleil était magnifique. La tempête se préparait !
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Ben quand il pleut ici ça rigole pas hein et ces éclairs, je suis aux anges. Bon j’ai dû sortir sous la pluie pour récolter du Basilic car ce soir c’est moi qui cuisinais.
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Une fois le repas cuisiné, spaghetti avec une sauce tomate, thon, olives et carottes. J’ai pu discuter avec Akiko et Tetchan. Ce qui en est ressorti :
- Je dois me sentir libre de partir quand je veux, cela ne pose pas de problème à Akiko.
- Mon budget est quand même passablement serré, trop pour survivre 6 mois si je double mon Visa.
- Je devais vérifier si j’ai la possibilité de déplacer mon vol de retour (Non hélas) faute de quoi, devoir racheter un billet serait bien trop tendu avec mon budget.
- Je m’en doutais déjà mais intégrer un sanctuaire prend du temps car il faut gagner la confiance et se faire des amies Miko. Mais du temps je n’en ai pas (2 mois)
- Trouver un travail au plus vite pour gagner des sous ici mais sans Visa business et avec mon niveau actuel de japonais c’est très difficile.
- L’aller retour en Corée serait à éviter si je veux devenir Miko, afin d’éviter d’apparaître dans un genre de liste noire. Donc retour en Suisse pratiquement obligé.
Ma tête commençait à bourdonner fort et le chaos s’installer dans mon cœur. Je suis allée me coucher tôt et ai passablement mal dormi.
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Mais Tsukuyomi-sama veillait sur moi, la lune était juste magnifique...
Ce matin je me suis réveillée enragée, une puissante rage du Dragon que je suis brûlait du fin fond de mon être, j’étais en flammes. La rage de la détermination.
J’ai eu énormément de mal à me concentrer mais j’ai fait quelques recherches. Si je dois revenir en Suisse je le ferai, mais je ne le ferai pas sans me battre avant, la discussion d’hier ne m’a pas vraiment appris plus que ce à quoi je m’attendais déjà mais elle m’aura au moins permis un retour à la réalité. À présent c’est la guerre me suis-je dit.
J’ai trouvé quelques informations mais rien de bien concluant. Je devais surtout réfléchir, réfléchir à une stratégie, faire appel à toutes mes ressources. J’ai fait mes tâches un peu plus tard et la rage s’est dissipée. J’ai pris une grande douche et un bon bain mais j’ai continué à réfléchir.
Puis petit coup de tristesse, morne. Vers la fin de l’après-midi, mon âme a hurlé de douleur et j’ai pleuré. Je vous avais dit que le fait de revenir au Japon avait confirmé mon ressenti de retour alors la simple idée de repartir me déchire littéralement. Je suis allée prier au sanctuaire de Sueno, cela m’a apaisée car j’ai demandé au Kami d’apaiser mon cœur et dissiper les ombres qui pesaient sur mon cœur.
J’ai aussi eu le soutien de mes amis cela m’a fait du bien. Je dois avouer qu’à cause de toutes les tares administratives, chômage, argent, logement, retourner en Suisse me fait un peu peur. Mais si je le dois. Si je dois revenir en Suisse pour mieux me préparer et retourner au Japon pour y rester enfin alors je le ferai. Je donnerai tout ce que j’ai, me déchaînant avec la puissance du Dragon.
Peu avant d’écrire, j’ai encore un peu pleuré... C’est que, mes émotions étaient partiellement bloquées dans la journée. Notamment ces larmes, alors cela m’a fait du bien.
Je suis fatiguée mais écrire m’a fait du bien car ça permet de vider sa tête. Rassurez-vous, je suis toujours aussi déterminée mais... J’ai fait de mon mieux aujourd’hui et on fait tous toujours de notre mieux, jour après jour, sachant que ce mieux varie. C’est tout à fait normal. Mais ça a été quand même un sacré chaos entre ma tête, mon cœur et mes tripes.
Je vais bien, après une nuit de repos et un peu de méditation j’aurai à nouveau les idées claires, je dois vraiment établir une stratégie efficace. Car c’est bien joli d’aller à Kyoto maintenant mais, ici je suis nourrie logée blanchie. Là-bas c’est incertain et j’ai 200000 yens de budget (2000.-) donc je dois rester très très prudente.
Aller, j’vous tiens au jus et je vais rester forte. Peu importe ce qui arrivera, comme je l’ai toujours fait. Merci d’être là pour moi malgré la distance les amis...
Je vous aime,
Shanoa
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rosepasteque · 7 years
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#9 Les Vegans.
Bien le bonjour mon ami !  Alors aujourd’hui comme tu le vois, c’est très particulier, on va essayer de survivre face a un vegan. 
Un vegan c’est quoi ? (moi non plus j’savais pas)  Un humain de type vegan c’est un fervent défenseur de la cause animale (no chair vivante/no oeufs/no lait/no cuir/no laine/no miel/no stradamus..), de la planète(écologie/préservation de la faune et la flore/sensibilité au gaspillage d’eau/..), et du slip kangourou de ton père (ça va c’était pour rire le dernier.)  Un vegan cool c’est un vegan qui te feras juste les gros yeux quand tu mangeras ton gros steak haché sauce mayo, et après (tiens toi bien) y a le vegan extrémiste. Le vegan extrémiste c’est celui qui va vouloir te tuer si tu porte de la fourrure par exemple (ouais, mais moi aussi j’aime pas ça pauvres petits chatons façon cols roulés.). 
Alors si toi aussi tu dois faire face a un vegan enragé voici quelques conseils qui pourront peu être t’éviter le bûcher a ton prochain apéros entre potes. (y a toujours un des leurs qui mange que des chips et des olives et qui touche pas au mini quiches.) Evite toutes réflexions du type :
 “ T’es vegan du coup tu manges des racines ? “  “ Les carottes elles souffrent pas tu crois ? “  “ Non mais être vegan c’est une mode so 2016.” “ Et si tu fais Koh-Lanta tu mangeras quoi ? Des cailloux ? “  “ Moi aussi je suis vegan des fois je prends une pizza aux légumes.”  Alors oui, moi je les respecte grave les vegans, ils arrivent a faire passé leurs convictions avant leurs confort alimentaire/vestimentaire..  En revanche si tu souhaites mourir rapidement, je te conseilles d’invité a un barbecue ton pote Polo tu sais le mec qui a les cheveux qui sentent l’eucalyptus, tu vas voir, tu vas a-do-ré. (Paix à ton âme jeune apprenti)
  C’est pas une secte je vous assure(je suis obligée d’écrire ça par ce que j’en ai une juste à côté de moi, et elle est un peu relou) ((love)).  Ah j’allais oublier ! Le conseil bonus ! * JINGLE DE SUSPENS *  Le meilleur conseil que je pourrais te donner si tu es face a un vegan de niveau 8 (c’est un peu comme si tu avais Super Sagat face a toi) c’est d’être tolérant, compréhensif et de courir vite ou alors de te faire passer pour un frère vegan, comme ça, pas de soucis (t’inquiètes pas besoin d’une carte de membre.) #FautJusteReflechirDifferemment
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lavegetarienne · 3 years
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Une nouvelle recette de pâtes du weekend... Cette fois, je suis parti des pâtes elles-mêmes et non de la sauce. Un paquet d'orecchiete que j'avais sous les yeux et pas vraiment d'idées. Et puis l'idée m'est venue de les cuisiner dans une sauce piquante comme je l'ai vu dans plusieurs recettes italiennes...
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happybeurzdisque · 6 years
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21-11-2003 // Take a look in the mirror
PUTAIN, 15 ans!
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Quand on y pense, depuis que l’homme tape sur des bambous (et pince des cordes en boyau de mouton), le néo-métal est peut-être le genre musical qui a le plus vite sombré aux oubliettes après son invention. Propulsé dans les gourdines d’ados en mal de bien-être au milieu des 90s, la zik d’énervés en sapes de racaillou a été tendance pendant en gros quoi, une décennie? avant Et quel héritage il nous laisse: allez, en arrondissant les angles une vingtaine d’albums fondateurs, le Hellfest et 2-3 leaders charismatiques étouffés dans leur vomi après une nuit d’excès. C’est ce qui rend la chronologie de ‘Take a look in the mirror’, sixième opus de Korn - incontestablement un des leaders du ‘nu-metal’ - intéressante. Et ce serait un peu expéditif d’envoyer le disque au pilon, en même temps que la montagne de bouses néo-métal produite après l’an 2000.    2003: la locomotive du néo-métal Korn (KoRn avec un R retourné, pour les ‘hardcore fans’) a selon toute vraisemblance chopé le melon, à force d’être cité comme référence ultime par les boys band à grosses guitares qui veulent eux aussi une place au soleil. Avec ‘Untouchables’, son effort précédent, ça semble une affaire entendue que le quintet à dreadlocks va progressivement s’éloigner du métal pour entrer dans l’ère prometteuse du rock progressif:
[Jonathan « Jon » Davis]: « et Pan! dans tes dents Chino Moreno, tu peux aller te rhabiller toi et ton ‘White pony’! »
Sauf que non en fait.
Le sixième album a pris pas mal de ‘korn kids’ à contrepied. Déjà, par sa date de sortie, un an après ‘Untouchables’, là où Korn nous avait habitués a un opus tous les 2 ans. Ensuite, parce que l’évolution mélodique n’est finalement pas au rendez-vous. Et tant mieux si les papes du néo-métal peuvent déjouer les pronostics. Certes, la galette se plante par moments en beauté. Coucou le single ‘Did my time’ qui, pour rappel, a terminé sur le soundtrack du gros nanar blockbuster Tomb Raider. Malgré un riff de guitare et de basse annonciateur d’un joyeux chaos musical, le tout retombe comme un soufflet dès le refrain con comme la Lune, puis un pont ‘WTF’ dont le seul intérêt semble être d’allonger la sauce. Vite écrémés aussi, ‘Deep inside’ et ‘I’m done’, gaulés comme ma tante... et c’est pas un compliment! En résumé, quand ça traîne en longueur, on se fait chier. A l’exception peut-être de ’Alive’, dont l’alternance couplet éructé-refrain chanté rend un bel hommage aux premiers disques du groupe. L’expérimental n’a jamais trop réussi à Korn, comme devait le confirmer les fricotages du groupe avec le dub-step quelques disques plus tard.
[Jon]: - « Je vais te dire, chez KoRn, on fait pas de la soupe instantanée, on explose les codes du métal, limite sur ‘Did my time’ on fait du néo-métal progressif, tu vois ».
[La Sagesse]: - « Hmmmm hmmm... » (ou, dans sa version moins enrobée: « ta gueule, Jon »)
Non mon Jon, assez de bullsh*t, le seul reflet de Korn qu’on aime voir, c’est celui qui ne garde QUE l’essentiel. Une basse hip-hop bien kiffante entre les percus, des riffs bidouillés pour sonner glauques à souhait, le chant plein de tension de Mister Davis. ‘Right Now’ et ‘Break some off’, qui démarrent les hostilités sur une note enragée, sont la synthèse parfaite. Plus loin, on se surprendra à scander les paroles robotiques de ‘Y’all want a single’, ou le refrain entêtant de ‘Let’s do this now’, morceau qui donne l’impression d’être joué en accéléré, après une intro faussement calme à la cornemuse. A retenir aussi, le track 8, ‘Play me’: rarement un phrasé hip-hop aura été autant en osmose avec l’orchestration métal. La seule fusion que Korn ait jamais réussi à maitriser, en vérité.  
Au final, ‘Take a look in the mirror’ est un testament sonore indispensable pour qui a déjà headbangué nerveusement sur du néo-métal: on l’aime, quand il procure toute l’énergie que peu de groupes comme Korn savent condenser; on le déteste, lorsqu’il trahit l’obsession du groupe de vouloir se réinventer et s’hybrider à tout ce qui bouge, surtout le derniers sample ou la dernière sonorité en vogue.
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‘Right now’, c’est du malaise, de l’humour bien noir, des lyrics balancés en pleine poire plutôt que susurrés à l’oreille... Bref, tout ce pour quoi on aime Korn!
Francis Skeud B-)
La note complètement arbitraire de HBD pour ‘Take a look in the mirror’: 7,5/10
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affairesasuivre · 6 years
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De Memphis à Memphis
Depuis plus de trente ans, au sein de Carte de séjour puis en solo, il concilie rock et raï, Oum Kalsoum et Bashung, Farid El Atrache et les Clash. Zoom sur Rachid Taha, en concert à Schiltigheim dans le cadre du Festival Strasbourg Méditerranée.
Admirateur de John Wayne, Taha, Stetson sur la tête, dégaine et tire (à blanc). Bang bang ! Le cowboy du bled balance des “rockettes” arabopunk sur la Douce France qui ne peut s’empêcher de remuer du popotin en écoutant Ida et ses trompettes mortelles, Ya Rayah, donnant une irrésistible envie de s’essayer à la danse du ventre, ou Rock El Casbah, relecture du tube des Clash qu’il jouera en compagnie de Mick Jones himself, un de ses héros. Rachid Taha est un artiste sans passeport ni visa (confère les paroles des Artistes), sans carte d’identité française (« Je viens de faire la demande… Il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis »), sans dieu ni maître. À la lecture de la Bible ou du Coran, il conseillera plutôt d’aller boire un verre en bonne compagnie. Peut-on réconcilier les peuples autour d’une bouteille ? « Bien sûr que oui : comme dit l’écrivain persan Omar Khayyâm, le vin c’est la porte de l’autre ! » affirme-t-il. Si le musicien refuse de s’incliner devant quelque idole, il a cependant un panthéon personnel en haut duquel trônent Pasolini ou Elvis. Le spectre du King plane sur son dernier album, Zoom – envisagé comme la rencontre entre Memphis (Tennessee) et Memphis (Égypte) – grâce à une étonnante relecture de son Now Or Never, slow du crooner Presley s’appuyant sur la mélodie du standard napolitain O Sole Mio. Un duo masculin / féminin avec Jeanne Added, une jolie reprise sous forme de dialogue bilingue, en anglais et en arabe.
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Son message fraternel est clair. Nul besoin de longs discours : l’artiste engagé, doucement destroy mais jamais enragé, préfère réconcilier les contraires le temps d’une chanson et crier son indignation sur les dance-floors. À l’heure où certains se radicalisent, se raidissent, se renferment, d’autres, comme lui, s’ouvrent au monde, font des Sèlu (salut) à tout va, inventent des endroits où se rencontrent les pôles et imaginent des grandes fêtes fusionnelles. Vingt ans après exactement, le chanteur reprend son hymne antiraciste et dansant Voilà Voilà qui clôt son nouveau disque : une manière de dire que le combat (rock) n’est pas fini. La version 2013 du titre produite par Brian Eno (ex-Roxy Music, pape de la musique ambient), réunit (dans le clip) des personnalités aussi différentes que Mick Jones (« on partage les mêmes idéaux ») et Agnès b., Camélia Jordana et Éric Cantona, Rachida Brakni et Femi Kuti. Rachid est un type accueillant et généreux, jamais avare en Bonjour (titre de son précédent album) et en Salamaleïkoum. « Si tu veux faire l’amour avec quelqu’un, autant lui ouvrir les bras, non ? », s’amuse celui qui aime s’entourer des êtres qui lui sont chers. Même des fantômes : avec Zoom sur Oum, il s’autorise un duo impossible en utilisant la voix samplée de la diva égyptienne Oum Kalsoum, « le temps d’une mélopée ».
Né à Oran à la fin des années 1950, cet « Oriental désorienté » qui se considère plus alsacien qu’algérien passa une bonne partie de son enfance à Sainte-Marie-aux-Mines, lieu de sa « deuxième naissance ». Aujourd’hui célébré dans l’Hexagone et un peu partout dans le monde (chose plutôt rare pour un artiste français), Rachid continue à assaisonner le rock à la sauce orientale et à métisser les sonorités Made in Medina à l’electro ou la pop. Il relie les continents dans une évidence : « La musique a toujours été mélangée. Le rock’n’roll vient d’Afrique et je ne fais que de la cartographie musicale. »
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