Tumgik
#termine ce que tu as commencé avec ton mari <3
somebluemelodies · 2 months
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je crois aux maris assassins, je crois qu'ils reviennent vers nous
LEUR ARC N'EST PAS TERMINÉ, IL NE COMMENCE QUE !!
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shalomelohim · 4 years
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Pourquoi Yahshua a-t-il jeûné dans un désert pendant 40 jours ?
Quelle est la signification de ce jeûne ?
Nous allons nous poser cette question à deux niveaux :
- Pourquoi 40 jours et non 3 comme la reine Esther ou 10 comme Daniel ?
- Pourquoi dans un désert plutôt que dans une maison ?
“ Alors Yahshua fut emmené par l’Esprit dans le désert, pour être tenté par le diable. Après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits, il eut faim. “ (Luc 4:1 et 2)
Nous constatons que Yahshua n'a pas choisi ce jeûne, ni le lieu, ni la durée, ni d’être tenté. Il n’était sûrement pas équipé d’une toile de tente, ni d’un matelas pneumatique, ni d’un lecteur de cd, ni de Smarphone.
Nous relevons la docilité et la flexibilité de Yahshua entre les mains du Ruah Ha Kodesh.
Il fut conduit par le Ruah Ha Kodesh dans le désert, pourquoi ? Pour être tenté par le diable pendant 40 jours.
Tenté signifie : mettre à l’épreuve, éprouver, dans le but de certifier une ou des qualités, ou voir comment une personne se conduit, essayer ou éprouver la foi, la vertu, le caractère d’une personne, par la séduction du péché, être sollicité à pécher par des tentations du diable.
Plus tard, dans le jardin de Gethsémané, Yahshua va être tenté jusqu’au sang. Yahshua devait tout connaître de la condition humaine, être tenté en toutes choses sans succomber.
Ce n’est jamais Elohim qui nous tente :
“ Que personne, lorsqu’il est mis à l’épreuve, ne dise : « C’est Elohim qui me met à l’épreuve. » Car Elohim ne peut être mis à l’épreuve par le mal, et lui–même ne met personne à l’épreuve. “ (Jacques 1:13)
Le désert signifie : région désolée, inhabitée, être abandonné des autres, privé de l’aide et de la protection des autres, en particulier d’amis, de relations.
Yahshua avait-il besoin d’être tenté par Satan ?
Pour lui-même non. Pour le peuple Hébreu et pour nous païens, oui. Satan cherche à détruire ce peuple, il sait que s'il le domine, il dominera tous les peuples de la terre y compris nous païens, car le salut vient des juifs.
C'est la raison pour laquelle il va tenter de tuer Yahshua à la naissance. Yahshua avec Marie et Joseph devra fuir en Égypte pour échapper à la colère d'Hérode qui ne peut supporter la présence d'un autre roi en Israël.
. Yahshua résistera et fera mourir les œuvres de la chair, là où le peuple Hébreux est tombé. . Yahshua va donner un exemple de la marche par l'Esprit alors que le peuple Hébreu a échoué, dans le désert, malgré la présence du Ruah Ha Kodesh se manifestant sous la forme d’une colonne de feu la nuit et d’une nuée le jour.
Cet événement se situe juste après son baptême donné par Jean-Baptiste. Souvenons-nous que le ciel s'est ouvert ce jour-là, alors qu'il était fermé depuis plus de quatre siècles.
“ Une voix venant du ciel s'est fait entendre au-dessus de lui : Et voici, les cieux s’ouvrirent, et il vit l’Esprit d’Elohim descendre comme une colombe et venir sur lui. Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui–ci est mon Fils bien–aimé, en qui j’ai mis toute mon affection. “ (Matthieu 3:15b à 17)
Sa mission a commencé ce jour-là. Avait-il besoin d'un baptême de repentance ? Non, il est venu pour accomplir toute justice.  La justice d’Elohim représente l'expression de tout ce qu’Elohim demande et approuve. Elle est manifestée de façon absolue en Yahshua lui-même, qui a satisfait à notre place à toutes les exigences de la loi.
C’est là que pour la première fois, Yahshua s'est identifié à nous pécheurs, sans être coupable. C'est là qu'il a commencé à mourir à lui-même. Ce jour-là, il a commencé à prendre le joug de la mort sous lequel nous étions. S'il avait raté ce premier rendez-vous, toute sa mission aurait échoué. L'œuvre accomplie sur la croix n'aurait servi à rien. Il fallait un juste qui accomplisse totalement la loi afin qu'elle cesse de nous accuser, de nous rendre coupable devant Elohim.
Où Yahshua a-t-il accompli son œuvre de rédemption ?
A la croix ? Oui et non car Golgotha marque la fin, l’accomplissement final par la puissance du sang répandu et c’est là que se révèle toute la nature de l’Agneau de Dieu. Yahshua avait commencé son œuvre bien avant. Chaque jour de ses trois années et demie de ministère porte l’empreinte de la croix, de la mort et du renoncement à lui-même. Chaque jour, il s’est chargé de sa croix.
“ Le lendemain du baptême de Yahshua, Jean-Baptiste reçoit cette révélation en voyant Yahshua venir à lui : Le lendemain, il vit Yahshua venant à lui, et il dit : Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. “ (Jean 1:29)
Yahshua mis sa vie sur l’autel dés le début de son ministère, sans jamais en descendre malgré toutes les pressions exercées contre lui. La mission de Yahshua, comme Agneau d’Elohim sur la terre, a bien commencé ce jour-là et se termine par la crucifixion. Il est temps de sortir de la doctrine Constantinienne et de cet esprit religieux qui nous fait porter nos regards sur « Pâques » ou la résurrection. Certes la résurrection est importante, mais n’amputons pas la mission de Yahshua. Revenons à la source, la Bible qui met toute la lumière sur la Pâque et l’Agneau sacrifié ainsi que toute l’importance du sang. Oui repentons-nous et sortons de cette doctrine diabolique. Car le diable déteste l’œuvre rédemptrice du sang et de l’Agneau de Dieu.
Les tentations subies par Yahshua pendant ce jeûne
La Bible relate plus particulièrement trois tentations, dans le récit du jeûne ou trois reprises où Yahshua devait gagner la victoire sur l'ennemi.
1. La première tentation nous est présentée à la fin du jeûne. Après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits, il eut faim. Le tentateur, s’étant approché, lui dit :
“ Si tu es Fils d’Elohim, ordonne que ces pierres deviennent des pains. Yahshua répondit : Il est écrit : L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche d’Elohim. “ (Matthieu 4:2 à 4)
Ici, dans ce dernier verset Yahshua cite :
“ Le pain ne suffit pas à faire vivre l’homme. Celui–ci a besoin aussi de toutes les paroles qui sortent de la bouche d’Elohim. “ (Deutéronome 8:3b)
Nous remarquons que dans cette tentation Yahshua a été tenté au niveau de la nourriture du corps, de la convoitise de la chair et de l’obéissance à la Parole qui sort de la bouche d’Elohim.
2. La deuxième tentation nous la trouvons dans ces versets :
“ Le diable le transporta dans la ville sainte, le plaça sur le haut du temple, et lui dit : Si tu es Fils d’Elohim, jette-toi en bas ; car il est écrit : Il donnera des ordres à ses anges à ton sujet ; Et ils te porteront sur les mains, de peur que ton pied ne heurte contre une pierre. Yahshua lui dit : Il est aussi écrit : Tu ne tenteras point le Seigneur, ton Elohim. “ (Matthieu 4:5 à 7)
Nous retiendrons plus spécialement ce passage « si tu es le Fils d’Elohim… »
Yahshua a été éprouvé au niveau de son identité par le doute : SI… Yahshua souligne également l’importance de ne pas tenter le Seigneur ou de pas le provoquer, selon les traductions ou tu n’essaieras pas de forcer la main de ton Elohim. Ici, Yahshua cite :
“ Vous ne tenterez point YHWH, votre Elohim, comme vous l’avez tenté à Massa. “ (Deutéronome 6:16)
Tenter, ici, signifie : éprouver le caractère d’Elohim et son pouvoir.
3. Voici la troisième tentation :
“ Le diable le transporta encore sur une montagne très élevée, lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire, et lui dit : Je te donnerai toutes ces choses, si tu te prosternes et m’adores. Yahshua lui dit : Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Elohim, et tu le serviras lui seul. Alors le diable le laissa. Et voici, des anges vinrent auprès de Yahshua, et le servirent. “ (Matthieu 4:8 à 11)
Ces versets nous montrent que Yahshua a été tenté au niveau de la convoitise du monde, de la gloire du monde et surtout au niveau de l’adoration. Le diable, la recherche pour lui-même surtout de la part de Yahshua, c’est la créature qui cherche l’adoration de la part de son créateur.
Yahshua est d’abord venu pour la maison d’Israël, pourquoi ?
Yahshua nous dit qu'il est d'abord venu pour les brebis perdues de la maison d'Israël ou du peuple d'Israël :
“ N’allez pas vers les païens, et n’entrez pas dans les villes des Samaritains ; allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël. Allez, prêchez, et dites : Le royaume des cieux est proche. “ (Matthieu 10:5b à 7)
Yahshua est venu donner un nouvel ADN à Israël dont nous sommes bénéficiaires aujourd’hui.
YHWH s'est choisi un peuple qui devait porter l'empreinte de son cœur. Il n'a pas choisi le plus grand ou le plus fort, ni le meilleur. Toutefois ce peuple bénéficie d’un appel personnalisé et d’une promesse particulière :
“ Vous serez pour moi un royaume de sacrificateurs et une nation sainte. Voilà les paroles que tu diras aux enfants d’Israël. “ (Exode 19:6)
“ YHWH, Elohim, ton Elohim, te suscitera du milieu de toi, d’entre tes frères, un prophète comme moi : vous l’écouterez ! “ (Deutéronome 18:15)
Nous, aujourd’hui nous savons que ce prophète comme Moïse et dont nous parle ce verset, c’est Yahshua. C’est la raison pour laquelle Jean-Baptiste, en prison, envoie ses disciples vers Yahshua qui lui pose cette question :
“ Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? “ (Matthieu 11:3)
La Bible nous apprend que ce peuple a passé plus de quatre siècles en esclavage en Égypte.
Égypte signifie : oppresseurs, terres de dépression
YHWH se prépare un libérateur en sauvant un enfant de la mort : Moïse qui va conduire son peuple vers la terre promise : Canaan, en vivant de grands miracles, l'ouverture de la mer Rouge afin que le peuple traverse à pied sec, le Ruah Ha Kodesh qui  les conduit d'une manière visible la nuit et le jour pendant 40 ans.
Le peuple Hébreu se retrouve dans un désert afin de se décontaminer de toute l'influence reçue en Égypte ou de subir une « détox » dans son âme des semences reçues en Egypte. Arrivé au mont Sinaï, la montagne d’Elohim le peuple reçoit ses commandements qui représentent un mode d'emploi pour sa vie, afin de vivre dans la bénédiction et dans la volonté de YHWH.
Le peuple commence à murmurer rapidement : dans le désert, contrairement à l’Egypte il ne voit pas de sépulcre, ne trouve pas d'eau à boire. Ou l’eau devient amère par leurs murmures, leur contestation :
“ Le peuple murmura contre Moïse, en disant : Que boirons-nous ? Moïse cria à YHWH, et YHWH lui indiqua un bois, qu’il jeta dans l’eau. Et l’eau devint douce. “ (Exode 15:24 et 25a)
Le bois qui adoucit les eaux annonce la croix de Yahshua, capable d’ôter toute l’amertume des expériences qui nous contrarient ou nous amènent à murmurer. La Bible nous dit que Yahshua l’Agneau d’Elohim n’a point ouvert la bouche. Murmurer signifie obséder quelqu’un par des plaintes incessantes.
YHWH les nourrit avec la manne chaque jour. C'est une nourriture très équilibrée qui n'apporte aucun désordre dans l'organisme. Elle ne fait pas grossir, ne contient pas de gluten, ni de conservateur ou de colorant. Chaque jour elle se renouvelle sans effort, il suffit de la ramasser. Rapidement le peuple se plaint de cette misérable nourriture, il regrette les oignons, les aulx, les concombres, la viande de la captivité.
Le ramassis de gens qui se trouvaient au milieu d’Israël fut saisi de convoitise ; et même les enfants d’Israël recommencèrent à pleurer et dirent :
“ Qui nous donnera de la viande à manger ? Nous nous souvenons des poissons que nous mangions en Egypte, et qui ne nous coûtaient rien, des concombres, des melons, des poireaux, des oignons et des aulx. Maintenant, notre âme est desséchée : plus rien ! Nos yeux ne voient que de la manne. “ (Nombres 11:4 à 6)
Le peuple confond désir et convoitise :
“ car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde.  “ (1 Jean 2:16)
Convoitise, selon le dictionnaire petit Robert, signifie : désir immodéré de posséder ou de manger quelque chose, dévorer des yeux, désirer avec avidité : l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables.
“ Je vous dis d’avance, comme je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume d’Elohim. “ (Galates 5:21)
Par ses plaintes, ce peuple provoque la colère de YHWH :
“ YHWH fit souffler de la mer un vent, qui amena des cailles, et les répandit sur le camp. Pendant tout ce jour et toute la nuit, et pendant toute la journée du lendemain, le peuple se leva et ramassa les cailles ; celui qui en avait ramassé le moins en avait dix homers. Ils les étendirent pour eux autour du camp. Comme la chair était encore entre leurs dents sans être mâchée, la colère de YHWH s’enflamma contre le peuple, et YHWH frappa le peuple d’une très grande plaie. “ (Nombres 11:31a : 32 et 33)
Après la réception des 10 commandements le peuple doute des promesses de YHWH, à la suite du rapport négatif de 10 espions sur 12 envoyés par Moïse, en reconnaissance de la terre promise. Le fruit de leur incrédulité va prolonger la traversée du désert de 11 jours à 40 années. Et tous ceux de la génération sortie d'Égypte vont mourir dans le désert.
*** Le jeûne de Yahshua au désert nous montre que ce passage, n’est pas un lieu où l’on doit y mourir, mais en sortir victorieux. Sauf si nous contestons, voilà le premier acte de rachat de Yahshua. ***
Dans tout cela nous identifions l'influence de Satan qui emploie ses ruses et ses mensonges afin de faire échouer le plan d’Elohim.
Il sait que dans ce peuple va naître un Shilo, un rédempteur, un sauveur selon la parole prophétique donnée par Jacob à son fils Juda :
“ Le sceptre ne s’éloignera point de Juda, ni le bâton souverain d’entre ses pieds, jusqu’à ce que vienne le Schilo, Et que les peuples lui obéissent. “ (Genèse 49:10)
Ce verset contient deux promesses :
1. Le sceptre ne s’éloignera point de Juda, cela signifie que la royauté ne s’éloignera pas de Juda et, 2. annonce le roi Yahshua.
Jusqu’à ce que vienne le Shilo, c'est-à-dire le rédempteur.
Souvenons-nous également de :
“ Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle–ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. “ (Genèse 3:15)
L’accomplissement de ces promesses passe par le peuple Hébreu et notamment par la tribu de Juda.
Tu lui blesseras le talon nous annonce Jacob l'usurpateur qui lors de la naissance saisit son frère aîné Ésaü par le talon. Jacob signifie également qui supplante, trompe, dresse une embuscade, dupe. Dans cette signification nous retrouvons tous les traits et agissements de Satan qui constamment cherche à dresser des embuscades à Yahshua, ou le supplanter, le tromper, le conduire à la croix.
Maintenant nous avons trouvé la réponse à chacune de nos questions du départ et de leurs différents aspects. Nous constatons que ce peuple s'est rebellé contre le plan de Dieu, dans un désert alors que YHWH nous y conduit dans le but de nous attirer à lui et de nous faire grandir : voilà la première réponse à nos questions :
*** Yahshua a été conduit au désert afin de désarmer Satan, parce que le peuple, y avait échoué.
Les 40 jours de jeûne rachètent les 40 années d'échecs, c'est-à-dire un jour pour une année. N’oublions pas que Yahshua est l’Agneau immolé dès la fondation du monde. Yahshua a été tenté par Satan, non seulement trois fois mais chaque jour pendant les 40 jours du jeûne.
Nous nous souvenons que dans la première tentation Yahshua a été tenté au niveau de la nourriture parce que le peuple Hébreu avait murmuré contre la manne, l'eau amère, le manque de viande…et toutes ses convoitises.
La deuxième tentation, nous rappelons que nous la trouvons dans : Matthieu 4:5 à 7. Nous retiendrons plus spécialement ce passage « si tu es le Fils d’Elohim… »
Par ces paroles de Satan Yahshua a connu la tentation au niveau de son identité, parce que le peuple avait douté de son identité, des promesses d’Elohim lors du rapport des 10 espions : Mais les hommes qui y étaient allés avec lui dirent : Nous ne pouvons pas monter contre ce peuple, car il est plus fort que nous.
Et ils décrièrent devant les enfants d’Israël le pays qu’ils avaient exploré. Ils dirent :
“ Le pays que nous avons parcouru, pour l’explorer est un pays qui dévore ses habitants ; tous ceux que nous y avons vus sont des hommes d’une haute taille ; et nous y avons vu les géants, enfants d’Anak, de la race des géants ; nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles. “ (Nombres 13:31 à 33)
Le peuple se construit un veau d'or, qui représente un dieu d'Égypte, qu'il adore…
Le peuple, voyant que Moïse tardait à descendre de la montagne, s’assembla autour d’Aaron, et lui dit :
“ Allons ! Fais-nous un dieu qui marche devant nous, car ce Moïse, cet homme qui nous a fait sortir du pays d’Egypte, nous ne savons ce qu’il est devenu.  Aaron leur dit : Otez les anneaux d’or qui sont aux oreilles de vos femmes, de vos fils et de vos filles, et apportez–les-moi. Et tous ôtèrent les anneaux d’or qui étaient à leurs oreilles, et ils les apportèrent à Aaron. Il les reçut de leurs mains, jeta l’or dans un moule, et fit un veau en métal fondu. Et ils dirent : Israël ! voici ton dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Egypte. Lorsque Aaron vit cela, il bâtit un autel devant lui, et il s’écria : Demain, il y aura fête en l’honneur de YHWH ! “ (Exode 32:1 à 5)
Moïse passe 40 jours sur la montagne, le peuple n'a pu tenir pendant cette absence de Moïse. Par contre Yahshua passe le test des quarante jours et le réussi.
Le peuple demande à Aaron de construire un veau d'or dans le but de l'adorer. Le veau d'or représente un dieu d'Égypte. Ceci consiste en un culte idolâtre et une désobéissance au deuxième commandement d’Elohim :
“ Tu n’auras par d'autre Elohim.”
Yahshua est tenté au niveau de l'adoration que le tentateur recherche pour lui-même en lui offrant, en contrepartie toute la gloire du monde. Il sait que si Yahshua accepte la moindre possession ne serait-ce qu'un lacet  de chaussures, il obtient l'adoration de Yahshua. Si tu te prosternes et m'adores, c'est la plus grande des tentations parce que le diable a réussi à faire adorer le veau d'or dans le désert.
Yahshua a racheté toutes les faiblesses, toutes les rebellions, tous les manques du peuple Hébreu, dans tous les domaines alors le diable le quitte.
Ceci est écrit dans la Bible, pour notre instruction, notre édification.
Sommes-nous mieux que le peuple Hébreu ?
“ Quoi donc ! Sommes-nous plus excellents ? Nullement. Car nous avons déjà prouvé que tous, Juifs et Grecs, sont sous l’empire du péché, selon qu’il est écrit : Il n’y a point de juste, Pas même un seul. Or, nous savons que tout ce que dit la loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit reconnu coupable devant Elohim. “ (Romains 3:9 et 10:19)
Nous allons prendre un exemple : le peuple Hébreu a murmuré, nous en connaissons les conséquences, nous arrive t-il de murmurer ou d’être négatif ? De notre bouche sort-il des paroles contraires aux principes du royaume d’Elohim ?
Avouons que certaines sont plus des semences qui font prospérer le royaume des ténèbres que le royaume d’Elohim. Elles attirent la malédiction sur nos vies, dans notre famille, notre travail, notre pays :
“ Nous bronchons tous de plusieurs manières. Si quelqu’un ne bronche point en paroles, c’est un homme parfait, capable de tenir tout son corps en bride. “ (Jacques 3:2)
(Qui de nous fait des fautes sur bien des points et de bien des manières. Celui qui ne commettrait jamais de faute dans ses paroles serait un homme parvenu à l’état d’adulte, capable de maîtriser aussi son corps tout entier. Version Parole vivante)
Broncher signifie : faire trébucher ou tomber quelqu’un, trébucher soi-même, errer, faire une erreur, pécher, tomber dans la misère, devenir misérable, broncher contre Elohim ou une personne, une situation, ne pas marcher droit, marquer de la résistance, de la mauvaise humeur, manifester de l'opposition, de la révolte, de la rébellion, être bourru, ruer dans les brancards.
Yahshua nous dit encore :
“ N’y a–t-il pas douze heures au jour ? Si quelqu’un marche pendant le jour, il ne bronche point, parce qu’il voit la lumière de ce monde ; mais, si quelqu’un marche pendant la nuit, il bronche, parce que la lumière n’est pas en lui. “ (Jean 11:9 et 10)
“ C'est pourquoi, frères, appliquez-vous d’autant plus à affermir votre vocation et votre élection ; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais. “ (2 Pierre 1:10)
“ toutes choses sans murmures ni hésitations.” (Philippiens 2:14)
Ici en Grec murmurer signifie : manifester un déplaisir secret, non avoué ouvertement, toutefois il peut être manifesté en aparté.
Quand nous murmurons nous nous aigrissons, l’amertume se présente à la porte de notre cœur, le ressentiment et la propre justice sont en chemin. Quand nous prononçons le mot « murmure » nous entendons : mur… mur… Cela nous donne deux murs.
Murmurer nous amène à établir un mur entre nous et la personne contre qui nous murmurons. Les murmures répétés révèlent en nous un cœur de fils ainé de la parabole, qui ne travaille pas à l’extension du royaume du Père et nous sortent de sa maison.
Les murmures qui sortent de notre bouche creusent notre tombe et ralentissent la marche du peuple d’Elohim ou le corps de Yahshua, à moins de nous repentir. Le murmure témoigne d’une attitude fausse devant Elohim, car un homme n’est pas honnête devant Elohim si, tout en obéissant extérieurement aux commandements, il murmure dans son cœur :
“ Ce sont des gens qui murmurent, qui se plaignent de leur sort, qui marchent selon leurs convoitises, qui ont à la bouche des paroles hautaines, qui admirent les personnes par motif d’intérêt. “ (Jude 16)
Nous allons prendre un exemple dans le livre des Nombres. Myriam et Aaron, sœur et frère de Moïse murmurent contre lui parce qu’il a épousé une femme qui n’est pas du peuple hébreu.
“ Marie et Aaron parlèrent contre Moïse. Ils dirent : Est-ce seulement par Moïse que YHWH parle ? N’est-ce pas aussi par nous qu’il parle ? “
Yahshua a expié et racheté pour tous nos murmures.
Comment ?
“ Il a été maltraité et opprimé, et il n’a point ouvert la bouche, semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent ; il n’a point ouvert la bouche. “ (Esaïe 53:7)
Jamais de la bouche de Yahshua il n’est sorti de paroles négatives, de condamnation ou de doute :
“ Et tous lui rendaient témoignage ; ils étaient étonnés des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche, et ils disaient : N’est-ce pas le fils de Joseph ? “ (Luc 4:22)
Source : parolevivante.net
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livresgay · 5 years
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Après avoir lu le dernier roman de Heidi, The Doctor’s Orders, je voulais absolument en savoir plus sur cette excellente écrivaine. J’avoue que je ne la connaissait pas avant d’avoir lu les trois livres de sa série, Copper Point: Medical, dont ce dernier roman fait partie. Depuis la lecture de celui-ci, j’ai mis tous ses livres précédents sur ma liste de bouquins à lire, au risque de la rallonger considérablement. Partant du principe qu’Heidi devait avoir un emploi du temps fou, en ce moment, à quelques jours de la parution de son livre, je lui ai simplement envoyé un mail pour lui demander si elle me permettait de lui poser quelques questions. Elle a gentiment accepté, et depuis, nous avons échangé longuement. Voici le résultat… une « rencontre » avec Heidi Cullinan, qui se livre de façon très personnelle et honnête ; une rencontre dont je suis immensément fier.
ParisDude : Salut, Heidi. Je suis honoré de pouvoir t’interviewer. Surtout que que tu dois être épuisée après ton récent marathon d’écriture pur terminer la série Copper Point: Medical, je suppose. Voyons si j’ai bien compté : le premier tome est sorti en avril dernier, suivi du n°2 en juin et du n°3, dont la publication est prévue le 20 août, mais qui a bien sûr écrit bien avant… Heidi Cullinan : C’est les bonnes dates, exact. Le troisième livre sortira le 27 août. Comme il s’agissait d’une publication via une maison d’édition, ce troisième livre a été bouclé tôt ce printemps, peut-être plus tôt même, mais ma mémoire est un peu floue là-dessus.
PD : Comment as-tu réussi à venir à bout de cet immense travail ? Je veux dire, trois publications majeures en si peu de temps ! Nous ne parlons ni de nouvelles ni de courts romans, mais de 1 200 pages au total… HC : Tu as peut-être remarqué que je n’ai pas publié une ligne, l’année dernière. Ce n’était pas ça, le projet, d’ailleurs – j’avais l’intention de rendre ces livres plus courts, de les écrire plus vite et de lancer quelques titres en auto-édition, mais ça n’a pas pu se faire ainsi. Chez moi, les projets sont toujours provisoires. C’est devenu un peu intense, cependant, parce que normalement, j’ai des périodes de calme pendant que j’écris des livres, et cette fois-ci, je n’avais tout simplement pas le temps pour ça. Heureusement, Dreamspinner [Note de ParisDude : l’éditeur de la série Copper Point: Medical] a été flexible dans les délais qu’il m’a accordés et m’a permis de continuer à travailler avec mon éditrice de longue date, qui a gentiment mis les choses en forme et m’a aidé à rester dans ma lignée.
PD : Es-tu une écrivaine qui écrit vite, alors ? Ou, en d’autres termes : comment est-ce que tu t’organises pour écrire ? Tu sais, j’ai lu quelque part que l’écrivain allemand et prix Nobel, Thomas Mann, suivait des horaires réguliers et quotidiens pour écrire, plusieurs heures chaque matin, plusieurs heures chaque après-midi. Est-ce que tu fais pareil ? Ou est-ce que tu as un moyen secret pour tenir, je ne sais pas, des vitamines, des glaces, des morceaux de musique spéciaux, du vaudou… ? HC : Eh bien, organiser des plages d’horaire pour écrire, c’est un vaste chantier, en ce moment. Ma santé physique et mentale a été difficile à gérer, ces trois dernières années, alors je continue à avancer à tâtons pour découvrir ce qui fonctionne pour moi. La fermeture de Samhain a été un énorme tremblement de terre pour moi, à tous les niveaux…
PD : Désolé, je sais que c’est impoli d’interrompre, mais… la fermeture de Samhain ? Nous ne parlons pas de rites celtiques, ici, je suppose… HC : LOL, non. Samhain, comme dans Samhain Publishing – mon ancien éditeur. Ils ont fermé en 2017.
PD : Oh, je vois. Merci. Alors oui, j’imagine que leur fermeture a dû être un énorme bouleversement pour toi ! HC : Bouleversement – le plus grand euphémisme de toute ma carrière. Ils avaient 70 % de mes livres et représentaient 90 % de mes revenus. Du jour au lendemain, ça a disparu ; j’ai mis quatre mois avant même de pouvoir commencer à tenter de reconstruire quoi que ce soit. Cette année-là, j’ai travaillé pendant pratiquement douze mois d’affilée, sans pause, ni vacances, ni rien, essayant de republier mes livres et de concevoir de nouveaux projets pour l’avenir. Lors de la rédaction de Copper Point: Medical, mon éditrice – Sasha Knight, qu’elle soit bénie à jamais – m’a pris à part et m’a forcé la main plus ou moins afin que je ralentisse, et au diable les délais à respecter et les besoins financiers à considérer. C’est à peu près à ce moment-là que j’ai instauré la règle « pas le week-end, pas après cinq heures », règle à laquelle je me tiens généralement, à quelques exceptions près. Mais récemment, ma stratégie a principalement consisté à ne pas faire du mal mon corps (j’ai le syndrome d’Ehlers-Danlos) ; même avec ça, cependant, il y a des jours, parfois des semaines, où ça n’avance tout simplement pas dans mon travail.
Heidi Cullinan, “The Christmas Fling”
Honnêtement, ce qui me fait tenir, ce sont mes lectrices et lecteurs, mes ami(e)s et ma famille. Je bois beaucoup d’eau, je me crée des listes de lecture (j’en écoute une en ce moment, en fait), et je fais de mon mieux pour manger sainement, rester à jour pour mes exercices de physiothérapie et de marche dans l’eau, mais les journées sont difficiles. Il arrive parfois que le mail d’une lectrice/d’un lecteur ou un commentaire sur les réseaux sociaux arrive à point nommé. Et je ne peux pas parler de ce qui me motive sans mentionner mes « parrains » [Note de ParisDude : beaucoup d’écrivain(e)s écrivent avec le support de patrons, c’est-à-dire un groupe soit de parrains, soit de mécènes, qui peuvent lire les projets à un stade précoce, donner des conseils, soutenir moralement, voire organiser le financement pour permettre la publication d’un livre]. Ils attendent depuis The Christmas Fling que je sorte quelque chose en auto-édition ; ça fait donc un bail déjà. Leur générosité et leur soutien constituent ma dernière ligne de défense depuis de nombreux jours.
PD : Est-ce que l’écriture t’a laissé du temps libre pour faire autre chose, ces derniers mois ? Je pense que tes chats, tant qu’ils sont nourris, ne sont pas trop exigeants, mais j’ai lu que tu avais une fille ? Et ce qui prend encore plus de temps : un mari ? Je sais de quoi je parle ; j’en ai un moi-même… HC : LOL. Eh bien, ma fille est une senior cette année [Note de ParisDude : en dernière année de high school ; les élèves ont alors 17-18 ans], et je suis tout à fait consciente qu’à partir de ce mois-ci, je décompte les instants jusqu’à ce qu’elle ne vive plus chez nous à plein temps. Cela fait partie de la raison pour laquelle j’ai instauré cette règle de ne pas écrire après cinq heures. Nous regardons parfois la télévision en famille, mais Anna et moi suivons également plusieurs animes, et nous jouons ensemble. Bien souvent, je la regarde jouer, mais parfois, nous jouons toutes les deux, ou elle m’aide de manière exaspérée à surmonter mes nombreux difficultés. En fait, elle travaille actuellement sur un cosplay (Berkut de Fire Emblem: Echoes), et je l’aide à résoudre ses problèmes et à construire. Nous allons à une convention d’anime, le week-end prochain, en partie travail, en partie loisirs pour moi (je fais des recherches pour une potentielle nouvelle série.)
PD : J’ai vu dans ta biographie que tu soutenais et défendais ardemment les droits LGBT. Qu’est-ce qui t’a poussé à t’engager dans cette cause ? HC : Tu sais, je ne me souviens pas comment ça a commencé ou quand, mais c’était une longue et lente évolution intérieure, probablement motivée par mon subconscient, qui essayait de me faire faire mon propre coming-out à moi-même. Les choses sont devenues plus aiguisées ici, dans l’Iowa, à cause de la lutte pour la légalisation du mariage homosexuel, laquelle a culminé en 2009, mais nous avions déjà fait des dons à l’HRC bien avant ça [Note de ParisDude : Human Rights Campaign ou HRC, groupe de défense et lobby le plus important en matière de droits des personnes LGBT aux États-Unis, revendiquant plus de 750 000 membres et soutiens, fondée en 1980]. Maintenant, c’est personnel à plusieurs niveaux, pour moi et pour ma famille. Ma fille s’identifie comme pansexuelle et demisexuelle tendance asexuelle. Elle s’auto-nomme « une pandémique ». Ainsi, à ce stade, l’engagement est devenu très personnel. Depuis que je m’identifie comme queer dans ma biographie et que je publie mes livres sous mon vrai nom, j’ai eu des moments où j’essayais de vivre ma vie, et des organismes gouvernementaux me défiaient à ce sujet. (Certaines personnes ne comprennent pas que l’on peut être pansexuel et épouser un homme tout de même.)
PD : Certains disent : « Assez, c’est assez », et on entend les gens se plaindre de temps en temps que la communauté LGBT gagne le dessus, que les hétéros deviennent une minorité opprimée. Quelle est ton opinion à ce sujet ? Vérité, fausse nouvelle ou autre chose ? Nous, c’est-à-dire la communauté LGBT et ceux qui nous soutiennent, avons-nous atteint tous nos objectifs ? Et avons-nous encore besoin de continuer la lutte ? HC : La fragilité hétérosexuelle est réelle, et elle recoupe également beaucoup la fragilité des blancs. C’est toute une pagaille, et ils peuvent y mariner si ça leur chante, bien que ça nous affecte aussi, évidemment. Et comme la discrimination transgenre empire au lieu de s’améliorer, comme la plupart des gens ne savent pas ce que l’assexualité est ou n’est pas, dans la panoplie queer, et comme une bonne partie de l’engagement pour les gays exclut les personnes de couleur – non, je ne pense pas que nous ayons même approché le début de la fin de la lutte. Il serait même très dangereux de le suggérer. L’égalité sur le dos des autres n’est pas l’égalité, c’est l’oppression.
PD : Nick, l’un des protagonistes de ton prochain roman, The Doctor’s Orders, a beaucoup de mal à accepter le fait d’être gay, à accepter et vivre ses sentiments et ses émotions. J’ai trouvé cet aspect très bien décrit, mais j’ai vu par la suite un critique dire : « étant donné notre époque historique, le point de vue des personnages principaux concernant le ‘coming-out’ semble excessivement rétro » et qu’il devient « très difficile pour nous de nous identifier à l’angoisse de l’un ou l’autre personnage principal » [traductions par ParisDude]. Est-il vraiment devenu tellement plus facile d’être ouvertement gay, de nos jours ? Faire son coming-out est-ce devenu un simple rite de passage, une sorte de non-événement sans stress ? HC : J’ai fait mon propre coming-out à moi-même vers la fin de la trentaine. Je ne l’ai toujours pas fait auprès de la plupart des gens que j’ai dans ma vie, en partie parce qu’en parler me fatigue avant même de commencer. Il y a des gays et des bisexuels très proches de moi, surtout des hommes, qui n’ont pas fait leur coming-out. De plus, au fil des ans, je suis devenu en quelque sorte quelqu’un à l’oreille de qui peuvent chuchoter de nombreux auteurs bisexuels qui ne sont pas ouvertement gays dans leur vie (publique) d’auteur, certains même pas dans leur vie privée. Ce n’est pas simplement une question de vie à la campagne ; certaines de ces personnes vivent en fait en ville. Regarde Pete Buttigieg. Il est sorti du placard il y a pratiquement dix minutes [Note de ParisDude : Peter Paul Montgomery Buttigieg, membre du parti démocrate, candidat de la primaire démocrate à l’élection présidentielle américaine de 2020, a annoncé publiquement son homosexualité en 2015]. Je pense que c’est plus facile pour les plus jeunes générations, mais parfois même parmi elle, les gens hésitent. Je ne peux même pas dire d’être contente que certaines personnes pensent le problème devenu sans objet, car cela dénigre la lutte de ceux qui ne peuvent toujours pas vivre leurs vérités et embrasser leur identité, ajoutant un deuxième niveau de honte à une situation déjà stressante. Je pense qu’il est important de montrer des histoires où les gens sortent du placard sans problème ou n’ont pas du tout besoin d’en sortir, trouvant leur vérité d’une façon toute évidente et naturelle – c’est le cas de ma fille. Mais l’histoire de Nick n’est même pas la mienne, même si j’ai pioché dans mes propres émotions pour pouvoir la créer. J’ai écrit ce personnage de Nick pour parler à une personne qui m’est très proche, qui n’a fait son coming-out que de manière sélective et qui lutte encore quotidiennement pour s’accepter. Et je l’ai écrit pour tous les autres qui veulent sortir du placard mais ne peuvent pas, qui ne savent pas comment faire, qui ne peuvent pas surmonter la peur et le bagage de leur passé.
PD : L’une des choses que j’ai remarquées dans ta série Copper Point: Medical est la multiethnicité de tes protagonistes. Ce n’était pas non plus un copier-coller superficiel où tu as juste changé la couleur de peau des uns et des autres ; non, chaque personnage vient avec son passé, enraciné lui-même dans des cultures, des histoires, des communautés spécifiques. Est-il important pour toi d’écrire sur différents contextes ethniques et culturels ? As-tu été obligé de mener beaucoup de recherches pour bien faire les choses ? HC : Je peux te dire, en tant de lectrice de beaucoup de livres écrits par et sur des personnes de couleur, et en tant que personne ayant fait des efforts pour creuser plus profondément pour écrire ces caractères, que même si j’avais quadruplé mes recherches, pourtant déjà approfondies, et mes auto-vérifications afin d’écrire sur des caractères autres que moi, je serais toujours loin de l’authenticité des voix propres aux écrivains issus des communautés. Mes meilleurs efforts restent insuffisants d’une manière que je ne pourrai jamais rattraper. En même temps, je ne veux pas que mes histoires soient des histoires « blanchies à la chaux », chose que je pense avoir faite inconsciemment dans le passé. Je sais aussi que des écrivains issus des communautés et qui écrivent des histoires queer mettant en vedette des personnes de couleur ont souvent du mal à trouver un public et que, quand ils ont des critiques, celles-ci sont souvent truffées de propos insidieusement ou ouvertement racistes. Une femme blanche qui crée des personnages aux origines diverses et variées n’équivaut pas à une bonne représentation, mais j’espère que faire un effort pour l’inclusion contribuera à accroître la sensibilisation, même à petite échelle. Il y a tellement de grands écrivains issus des communautés qui écrivent des romances queer et dont les histoires sont meilleures que les miennes. J’adore le travail de La Quintette, Adriana Herrara, Atom Yang, Allie Therin, Blue Saffire / Royal Blue, et je gratte à peine la surface, là. Allez voir les auteurs sur Queer Romance POC et trouvez-vous de nouveaux livres à lire. Nous avons tellement de richesses, et cela me brise le cœur de ne pas voir des auteurs blancs soutenir plus activement ces histoires incroyables et importantes.
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Heidi Cullinan, “Shelter the Sea”
Heidi Cullinan, “La mer pour refuge”
PD : En parlant de recherches… as-tu dû en faire pour décrire ce coin du Wisconsin où ta série a lieu ? Ou l’as-tu déjà visité ? HC : Pendant deux ans, j’ai vécu à Appleton, dans le Wisconsin, quand j’étais au lycée. Et, pendant toute ma jeunesse, nous avons régulièrement rendu visite à des amis à Freemont. J’ai été dans une colonie de vacances dans les Northwoods, dans le Wisconsin, et j’y ai également fait quelques voyages en famille. J’en connais assez, sur le Wisconsin, pour savoir que c’est bien plus que du fromage (bien que le fromage soit vraiment une religion, là-bas), bien plus que le fait de pouvoir légalement doubler une voiture par la droite, bien plus que le fait que les mariages durent jusqu’à 2 heures du matin, avec des mamies buvant des shots pendant la marche de minuit, et bien plus que le fait que Walker [Note de ParisDude : Scott Kevin Walker, homme politique membre du Parti républicain et gouverneur du Wisconsin de 2011 à 2019] ayant cassé les syndicats reste douloureux comme une balle tirée dans le ventre – chose que personne en-dehors du Wisconsin ne saurait comprendre. J’ai choisi le Wisconsin parce que, par défaut, j’écris sur le Minnesota et que j’ai décidé de me diversifier légèrement. J’écris rarement sur l’Iowa parce que je ressens beaucoup de colère en ce qui concerne cet État. Voir Shelter the Sea pour plus d’informations à ce sujet [Note de ParisDude : livre paru en français sous le titre La mer pour refuge].
PD : Il y a une question que je me pose toujours… Comment se fait-il que tu sois capable de décrire avec autant d’authenticité les gays, comment ils pensent, ce qu’ils ressentent au niveau des émotions aussi bien qu’au niveau des sensations physiques ? Encore des recherches ? Ou as-tu un petit groupe de meilleurs amis gays qui te renseignent ? HC : Je dois dire, en fin de compte, les gens sont les gens ? Steven King écrit sur les tueurs en série, et personne ne lui demande s’il peut venir inspecter sa cave. Je suis queer moi-même, alors ce n’est pas un point de vue d’hétéro que tu lis dans mes livres. En outre, écrire une romance homosexuelle fait tellement chier le patriarcat, alors tout le monde devrait participer à cette lutte. Je n’ai pas fait de recherches particulières, à aucun moment. Je pense que l’une des choses les plus importantes quand on écrit sur des hommes gays est la possibilité d’y mettre des émotions sans jugement, des relations sexuelles honnêtes et libres qui ne censurent pas leur masculinité – ou leur féminité, s’ils veulent l’embrasser aussi. Honnêtement, c’est beaucoup plus facile pour moi d’écrire sur des hommes gays et pansexuels que d’écrire sur des femmes queer. Lorsque j’écris sur ma propre orientation, toutes les choses qui me « retiennent dans le placard » tournent en rond dans ma tête et me ralentissent. Je m’arrête pour me parler à moi-même, pour pleurer, pour me mettre en colère. Quand j’écris sur des hommes gays, c’est assez similaire, et pourtant j’y arrive plus facilement. Je veux toujours écrire des histoires mettant en scène des femmes, et j’ai beaucoup de projets dans ce sens. Mais c’est vraiment différent pour moi. Je ne prétends pas que ce soit pareil pour toutes les femmes, ni que les homosexuels aient le même combat pour écrire leurs propres histoires. Je sais juste que moi, j’en suis là. Tout est un voyage.
PD : Dans ma critique de The Doctor’s Orders, je me demandais si quelqu’un pouvait te convaincre d’écrire une suite à cette trilogie pour nous raconter comment tout le monde va quelques années après… Je suppose — et là, je te fais un clin d’œil appuyé – que je pourrais essayer de le faire tout suite. Qu’est-ce que tu en penses ? HC : Eh bien, l’idée a toujours été de mettre en place des séries de manière à pouvoir écrire des trilogies dans plusieurs domaines. J’ai fait l’hôpital, mais maintenant je peux faire les commerçants de la rue principale, le college, etc. L’idée était de voir si cette série allait plaire et de prendre une décision à ce sujet plus tard. Cela va prendre plus d’une minute, cependant, car je ferais la trilogie suivante à peu près de la même manière, et je devrais d’abord re-publier d’autres titres en auto-édition. Je veux vraiment terminer toutes ces séries que j’ai dû abandonner quand Samhain a fermé ses portes.
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Heidi Cullinan, “Leçon de séduction”, tome 1
Heidi Cullinan, “Leçon de séduction”, tome 2
Heidi Cullinan, “Leçon de séduction”, tome 3
PD : Quels sont tes prochains projets ? HC : En ce moment, j’écris Rebel Heart, livre quatre de la série Love Lessons [la série s’appelle Leçon de séduction en français, note de ParisDude]. Il y aura un livre supplémentaire encore dans cette série, que je veux aussi terminer le plus tôt possible. Je travaille également sur un livre qui était censé être publié à un endroit mais qui pourrait bien se retrouver ailleurs ; j’attends de voir comment ça va se goupiller. Après ça, j’ai bien l’intention de finir la série Roosevelt – probablement pas de livre de Noël cette année encore, désolé. Ensuite, je vais seulement me remettre aux séries que j’ai dû mettre en suspens, peut-être écrire plus sur Copper Point, peut-être écrire une autre série. Tout est dans un flux insensé, en ce moment.
PD : The Doctor’s Secret a été publié en français début juin sous le titre Les secrets du Docteur Wu. Est-ce que tu sais quand les deux autres tomes seront disponibles en français ? HC : Je pense bientôt ? J’ai peut-être vu quelque chose passer dans ce sens, mais peut-être pas. C’est une question à poser aux gens de chez Dreamspinner – ils ont tous mes droits à l’étranger, même pour ce qui est d’auto-édition. Je sais qu’il y aura des projets, mais je ne connais pas les dates.
Heidi Cullinan, “Clockwork Heart”
PD: Au fait, dans The Doctor’s Orders, Jared dit une phrase en français, que Nick corrige immédiatement (et à juste titre). Parles-tu français ? Est-ce que tu as déjà été en France ? HC : J’ai étudié le français au collège pendant un an, m’ais j’en ai oublié la plus grande partie. Ma fille est sur le point de commencer sa quatrième année de français au lycée, et je pense (peut-être ?) au’elle m’a aidé sur ce point-là, même si j’ai peut-être tout simplement cherché sur Google. Mon japonais est meilleur que mon français, mais même lui est assez terrible. L’artiste qui fait mes couvertures est Canadienne francophone, cependant, et elle m’a aidé à plusieurs reprises, notamment avec les passages en français dans Clockwork Heart. Tout les trucs cochons viennent d’elle.
PD : Ta biographie indique que tu es une lectrice assidue – je m’en doutais, d’ailleurs ; aucun bon écrivain ne déteste lire. Est-ce que tu a trouvé le temps de lire un bon livre, au cours des derniers mois ? HC : Ben, lire, ça a été dure depuis un certain moment – en partie pour cause de manque de temps, en partie à cause de mon cerveau. J’ai commencé à faire des interviews d’auteurs pour Joyful Jay et bientôt pour la Pink Heart Society afin de pouvoir me pousser à lire davantage. Le dernier livre merveilleux que j’ai lu était Spellbound de Allie Therin, mais j’aime aussi tout ce que fait Atom Yang.
PD : Que lis-tu actuellement ? HC : Tu sais ce que je lis le plus ? Des webcomics, en particulier les webcomics chinois. Aussi, la traduction anglaise de The Grandmaster of Demonic Cultivation, également chinois. Beaucoup de manga aussi, genre, des tonnes.
PD : Et ton préféré de tous les temps ? HC : Sir Terry Pratchett. Tout ce qu’il a écrit, mais le meilleur roman de tous les temps, c’est Going Postal [Timbré en français, note de ParisDude].
PD : Heidi, merci beaucoup d’avoir pris le temps de me répondre. Ce fut un réel plaisir, sincèrement ! Bien le bonjour à ton mari et ta fille, et des caresses amicales pour chacun de tes chats, bien sûr. HC : Absolument ! Merci pour cette interview.
***
Membre de Romance Writers of America depuis 1999, Heidi Cullinan a été présidente de Rainbow Romance Writers, a dirigé des bulletins de la section locale et s’est portée volontaire pour des comités aux niveaux local et national. En plus d’enseigner l’écriture depuis 1993, elle a également été coordonnatrice de l’atelier de rédaction pour la GayRomLit Retreat en 2013. Fière d’être du premier État du Midwest à avoir pleinement respecté l’égalité des mariages, Heidi a écrit plus de trente romances à succès mettant en scène des personnages LGBT luttant contre des obstacles insurmontables parce qu’elle croit qu’il n’y a rien de mieux qu’une fin heureuse.
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Heidi Cullinan, “The Doctor’s Orders”
Titre : The Doctor’s Orders (Copper Point Medical #3) Auteur : Heidi Cullinan Publié par : Dreamspinner Press Publié le : 20 août 2019 Genre(s): Romance Pages : 384 Lu par : ParisDude Lu en VO : Anglais (américain) Sensualité : 2 flammes sur 5 Note : 4.90 étoiles sur 5
Synopsis
Sequel to The Doctor’s Date Copper Point Medical: Book Three
Once upon a time Nicolas Beckert was the boy who stole kisses from Jared Kumpel beneath the bleachers, but now Jared’s a pediatrician and Nick is the hospital CEO who won’t glance his way. Everything changes, however, when they’re stranded alone in a hospital elevator. Ten years of cold shoulders melt away in five hours of close contact, and old passions rekindle into hot flames.
Once out of the elevator, Jared has no intention of letting Nick get away. It’s clear he’s desperate for someone to give him space to let go of the reins, and Jared is happy to oblige. But Jared wants Nick as a lover in a full, open relationship, which is a step further than Nick is willing to go. They’ve traded kisses under the bleachers for liaisons in the boardroom… and it looks like the same arguments that drove them apart in high school might do the same thing now.
Jared’s determined not to let that happen this time around. He won’t order Nick from his shell—he’ll listen to what his friend says he needs to feel safe. Maybe this time he can prescribe his lover a happy ever after.
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Toute la série Copper Point Medical
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Tome 1, anglais
Tome 1, français
Tome 2, anglais
Tome 3, anglais
Être queer, les flux insensés, l’écriture – interview avec Heidi Cullinan Après avoir lu le dernier roman de Heidi, The Doctor’s Orders, je voulais absolument en savoir plus sur cette excellente écrivaine.
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tendance-news · 6 years
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Que ce soit une rencontre, un voyage, les mots d’une amie, un nouveau job : parfois il suffit d’un déclic pour tourner la page définitivement après une rupture et pourvoir enfin oublier son ex… Témoignages.
"Surfer m’a libéré !", Laura, 32 ans
C’était une histoire bien trop compliquée pour qu’elle se termine bien. Du jour au lendemain j’ai donc dû quitter notre appart et prendre sur moi pour ne pas retourner vers cet homme qui m’avait tant fait souffrir. Et c’est le surf qui m’a permis de m’en sortir : lors d’un week-end entre copine au Pays Basque, je m’essaye au surf. Et là, même si les premiers essais n’étaient pas très concluants, sur les vagues je me suis sentie si légère… A l’occasion des vacances suivantes j’ai carrément tenté un stage d’une semaine, et j’ai adoré. Pareil, je me sentais libre, loin de mon ex, et surtout, maître de mes mouvements ! Ce sport est devenu une passion, que je pratique dès que j’en ai l’occasion. L’idée de déménager près d'un spot de surf me trotte d’ailleurs dans la tête actuellement… 
"J’ai démissionné", Amélie, 29 ans
Après 1 an d’idylle, il rencontre une autre femme qui lui fait tourner la tête et il me quitte. J’accepte, mais le vrai problème c’est que ce mec travaillait dans la même boîte que moi… Impossible pour moi de tourner la page, j’avais beau l’éviter, je le croisais à la machine à café, aux pots de départ de collègues… Pendant 6 mois ça a été un enfer pour moi, et ça se ressentait dans mon travail. Un matin je me suis réveillée en pleurant à l’idée d’aller bosser et de le croiser, et j’ai réalisé que le seul moyen de passer à autre chose c’était de changer de job. J’ai commencé à chercher, j’ai rapidement trouvé, j'ai posé ma démission et j’ai recommencé à aller bien mieux ! 
"Un voyage en Asie m’a fait changer", Victoria, 33 ans
Même si notre séparation était inévitable puisqu’il n’y avait plus d’amour entre nous, j’avais perdu mes repères. Je me retrouvais célibataire à 30 ans, sans enfant, et sans appart. Les habitudes du quotidien, les endroits que l’on fréquentait chaque week-end…impossible de le sortir de ma tête. Après avoir vécu quelques semaines chez des amis, et grâce à l’argent que j’avais mis de côté, j’ai décidé de tout quitter pendant 2 mois, et de voyager à travers l’Asie. Là bas, j’ai fait des rencontres qui m’ont bouleversée, et j’ai découvert la pratique du yoga qui m’a fait me sentir mieux physiquement et psychologiquement. Je suis revenue en France en étant une autre personne, beaucoup plus sereine, plus positive et j’avais enfin tourné la page…
"J’ai parlé à des inconnus", Camille, 27 ans
3 ans de relation avec ce qu’on appelle un connard, et j’avais perdu toute confiance en moi ! Un soir où je me lamentais encore sur ma situation, mes copines m’ont poussé à m’inscrire sur des applications de rencontre… Tinder, Bumble, Hapnn : mes profils avec photos sont postés ! Et dès le lendemain je parlais à de parfaits inconnus… J’en ai rencontré quelques uns, pour le moment ça n’a rien donné, mais j’ai repris confiance en moi et j’ai à nouveau envie de croire au grand amour !
"Je me suis autorisée à fréquenter quelqu’un", Caroline, 38 ans
Séparée du père de mon enfant depuis plusieurs mois, je broyais du noir sans savoir quand j’allais sortir de cette période compliquée. J’ai essayé pas mal de choses : soirées arrosées avec des copines, course à pied, cours de boxe, voyages… Le seul truc qui m’a réellement aidé ça a été de m’autoriser à flirter de nouveau avec des hommes. Et une rencontre avec un ami d’ami, lors d’un dîner auquel je ne voulais même pas aller, m’ redonné le sourire ! Je ne sais pas où cette histoire nous mènera, mais pour le moment je me sens bien avec lui, et je ne culpabilise pas de refaire ma vie !
"L’avis de mes copines", Marine, 29 ans
Quand il m’a quitté, c’était la fin du monde… J’ai passé des heures, des jours, des semaines à pleurer, à ressasser tout ça. Mes amies m’écoutaient, me consolaient, étaient bienveillantes. Jusqu’au jour où l’une d’entre elle, probablement agacée de me voir dans cet état, s’est énervée, et m’a dit tout le mal qu’elle pensait de ce mec. Il se tenait mal lorsqu’il était invité quelque part, ne plaisait à personne dans notre cercle d’amis, critiquait ma famille, était radin, était loin d’être un canon de beauté… Entendre tout ce qu’elle pensait réellement de lui, sans prendre de pincettes, m’a fait réaliser à quel point ce type ne me méritait pas ! Ca a été un vrai déclic pour moi.
"J’ai fait du sport à outrance", Marie, 35 ans
Après ma rupture, j’ai beaucoup ressassé, je passais mon temps à refaire l’histoire dans ma tête… à tel point que j’avais du mal à me concentrer au travail, et même parfois lorsque je discutais avec mes amis ou ma famille. C’est après une séance de sport ultra-intense que je me suis rendue compte d’une chose : je n’avais pas pensé une seule fois à mon ex pendant ces 45 minutes d’exercice ! À partir de ce moment-là, j’ai commencé à multiplier les séances et à pousser mes limites toujours un peu plus loin… Deux, trois, quatre, jusqu’à cinq séances de sport intense par semaine ! Ça a été ma thérapie. Aujourd’hui, même si j’ai diminué le rythme (intenable à la longue), je suis contente de pouvoir me considérer comme "sportive". Avant ma rupture, je ne montais pas deux marches sans cracher mes poumons.
"Le temps… et un coup de cœur", Estelle, 40 ans
J'ai vu des psys (plein), rempli au moins 3 baignoires (format jacuzzi) de larmes, testé tous les sites de rencontre, je me suis saoulée, j'ai chanté, écrit (des lettres, une chanson), testé l'hypnose, un rituel de magie blanche anti-envoutement, et rencontré plein de mecs. Ce qui m'a aidée ? Le temps, le recul, un de ces mecs. La clé, c'est une vraie nouvelle rencontre. Tant que tu n'as pas eu un coup de coeur pour un autre, ton ex reste le "référant". Celui vers lequel tu retournes au moindre coup de mou émotionnel
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lesoffdemisscycy · 7 years
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Il y a quelques mois j’ai eu la chance de rencontrer le blogueur Maurice Style lors du  Mannequin Challenge du Blog Kapoué . Aujourd’hui j’ai envie de te présenter son univers lifestyle et mode dans cette interview.
  Ton blog a ouvert il y a quelques mois mais pour ceux qui ne te connaisse pas, peux-tu te présenter ? 
Je suis Maurice Style créateur du blog mode homme portant le même nom. Sur mon blog je traite principalement de mode masculine, de lifestyle, de grooming mais également de sujets de société ou bien de culture. J’essaye de ne pas me contenter d’un seul sujet : mon monde est trop vaste et enrichissant pour n’avoir qu’une seule thématique.
Comment t’es venue l’idée de Maurice Style ? 
J’avais déjà commencé un projet de blog en 2010 lorsque j’étais encore étudiant en design ; mais je ne l’ai jamais publié ! C’est 6 ans plus tard sous l’impulsion d’amis proche et fraîchement installé à Strasbourg que j’ai décidé de reprendre ce projet qui me tenait à cœur. Je crois que c’est toujours un peu le cas non ? C’est souvent nos amis qui voient en nous ce dont on est réellement capable !
Tes projets blogging pour cette année ?
Il y en a tellement que je ne saurais pas par quoi commencer. C’est certain, sur mauricestyle il y aura toujours autant de mode et de lifestyle. Je vais aussi orienter une partie de ma ligne éditoriale sur la culture ( cinéma, livres, expo ) mais aussi sur des sujets de société qui me tiennent à cœur. Mon article « On my own », traitant de l’accomplissement personnel en solo, avait énormément plus à ma communauté et m’a permis de me rendre compte a quel point j’aimais écrire ! Je prévois une série d’article dans la même ligné, s’inspirant de mon vécue et mes différentes expériences… On me dit souvent que je suis le pendant masculin de Carrie Bradshow, il y a peut être du vrai ! *rire *
Les boutiques que tu préfères à Strasbourg ? 
C’est une question très compliquée ! En concept Store j’adore Curieux? pour qui j’avais écris un article au tout début de mon blog ! Au niveau des grandes enseignes j’aime beaucoup m’habiller chez Uniqlo, j’adore leurs vêtements lifewear ultra confortable au design épuré ! Par contre je déteste les enseignes de fast fashion comme zara ou H&M ! Pouvoir se regarder éthiquement parlant dans un miroir c’est essentiel pour moi ! Rien ne m’énerve plus que les personnes « avec des valeurs » qui s’habillent là bas !
Ta vue préférée à Strasbourg ? 
Pour moi un des endroit que j’adore le plus c’est sans aucun doute République, j’adore l’architecture très parisienne de la place et des alentours !
Ton resto – bar préféré ? Mon restaurant préféré est sans aucun doute le Matsumotoya, pour moi le meilleur Japonnais de Strasbourg ! En bar j’aime beaucoup l’ambiance conviviale et étudiante de l’artichaut !
Un conseil mode à donner pour ce printemps ?
Le Layering ! On n’hésite pas à superposer les couches de vêtement ( dans la limite du raisonnable) pour créer des jeux de matières, de couleurs et de motifs intéressants !
Le blog que tu souhaites partager au lecteur ?
Le blog très frais, pétillant et engagé mysweetcactus tenu par mon amie Léa Marie, que je prends plaisir à lire !
Forcément on va parler quelques instants photos …. Tu es très actif sur les réseaux sociaux, peux-tu nous partager quelques comptes où tu trouves les photos particulièrement belles ? J’aime particulièrement l’instagram de @heydjuce ! En plus d’être mon amie, Justine porte un regard vraiment unique et poétique sur notre monde qu’elle retranscrit à merveille sur son instagram !
Tu as 3 lignes en expression libre alors vas y !
Si vous aimez les mecs ultra cash sur le blogging, qui bitch un peu (beaucoup) venez me rejoindre sur mon snap maurice.style ! Autrement vous pouvez aussi retrouver une version de moi plus politiquement correcte sur mon blog et mes réseaux sociaux : instagram, facebook, twitter, pinterest !
Maurice Style
Je te propose pour terminer cette interview de découvrir l’article : SPRING BY UNIQLO !
Les (Off) Interviews #6 : Maurice Style Il y a quelques mois j'ai eu la chance de rencontrer le blogueur Maurice Style lors du 
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