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#fais-moi confiance je suis un croyant
somebluemelodies · 2 months
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je crois aux maris assassins, je crois qu'ils reviennent vers nous
LEUR ARC N'EST PAS TERMINÉ, IL NE COMMENCE QUE !!
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christophe76460 · 5 days
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Dieu sait ce qui est bon pour moi
On dit souvent que «le diable se cache dans les détails», mais pour un croyant, c’est Dieu qui s’y trouve ! Lorsque l’on s’engage dans un projet et que rien ne se passe, il est humain d’éprouver de la déception. Dans ces moments-là, voici deux choses qu’il faut garder à l’esprit.
1) Mes connaissances seront toujours limitées. Je peux avoir mon propre plan, mais Dieu sait ce qui est le meilleur pour moi, et il planifie en conséquence. La Bible dit : «Je suis Dieu, j’annonce dès le commencement ce qui vient par la suite. Mon projet tiendra bon, j’exécuterai tout ce que je désire.» (Esa 46.9–10).
2) Travailler en dehors de la volonté de Dieu, c’est comme vouloir creuser un tunnel avec une fourchette pour sortir de prison ! Et exiger la satisfaction de tous ses désirs, c’est comme déboucher dans la cour de la prison !
Faut-il s’opposer au plan de Dieu ?
La Bible dit : «L’Éternel des armées a pris cette résolution : qui l’annulera ? Sa main est étendue : qui la détournera ?» (Ésaïe 14, 27). Il vaut mieux être déçu temporairement que de se retrouver dans une situation inextricable.
L’histoire d’Israël le rappelle : «Il les racheta de la main de l’ennemi. Ils crurent à ses paroles, ils chantèrent sa louange. Mais ils se hâtèrent d’oublier ses œuvres, ils n’attendirent pas l’exécution de son dessein. Dans le désert, ils tentèrent Dieu. Il leur accorda ce qu’ils demandaient; puis il envoya le dépérissement dans leur personne.»
(Psaume 106, 10,12–15).
Je fais donc confiance à Dieu, et il me donnera le meilleur !
Prière du jour :
Merci Seigneur car tu sais ce qui est bon pour moi.
Parole du jour de Bob Gass,
22 avril 2024
© Copyright 2024 - Parole du Jour
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"Je suis très reconnaissante pour la radio PHARE FM et le fascicule Parole du Jour. Je vous écoute tous les jours. Combien de fois Dieu m’a parlé au travers des écrits et de messages à la radio. Merci !" Christelle
"Toutes les nuits j'attends votre e-mail à 1h du matin pour écouter la méditation de Bob Gass et je la partage sur les réseaux sociaux. Ces méditations en fortifient beaucoup et je remercie Dieu !" Philippe
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yes-bernie-stuff · 6 days
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Mes connaissances seront toujours limitées LUNDI 22 AVRIL
DIEU SAIT CE QUI EST BON POUR MOI « IL Y A DANS LE CŒUR DE L'HOMME BEAUCOUP DE PENSÉES, MAIS C'EST LE DESSEIN DE L'ÉTERNEL QUI S'ACCOMPLIRA » PROVERBES 19.21
On dit souvent que « le diable se cache dans les détails », mais pour un croyant, c’est Dieu qui s’y trouve ! Lorsque l’on s’engage dans un projet et que rien ne se passe, il est humain d'éprouver de la déception. Dans ces moments-là, voici deux choses qu’il faut garder à l'esprit. 1) Mes connaissances seront toujours limitées. Je peux avoir mon propre plan, mais Dieu sait ce qui est le meilleur pour moi, et il planifie en conséquence. La Bible dit : « Je suis Dieu, j'annonce dès le commencement ce qui vient par la suite. Mon projet tiendra bon, j'exécuterai tout ce que je désire » (Esa 46.9-10). 2) Travailler en dehors de la volonté de Dieu, c'est comme vouloir creuser un tunnel avec une fourchette pour sortir de prison ! Et exiger la satisfaction de tous ses désirs, c’est comme déboucher dans la cour de la prison ! Faut-il s’opposer au plan de Dieu ? La Bible dit : « L'Éternel des armées a pris cette résolution : qui l'annulera ? Sa main est étendue : qui la détournera ? » (Esa 14.27). Il vaut mieux être déçu temporairement que de se retrouver dans une situation inextricable. L'histoire d'Israël le rappelle : « Il les racheta de la main de l'ennemi. Ils crurent à ses paroles, ils chantèrent sa louange. Mais ils se hâtèrent d'oublier ses œuvres, ils n'attendirent pas l'exécution de son dessein. Dans le désert, ils tentèrent Dieu. Il leur accorda ce qu'ils demandaient ; puis il envoya le dépérissement dans leur personne » (Ps 106.10, 12-15). Je fais donc confiance à Dieu, et il me donnera le meilleur !
B365 — Plan de lecture Nombres 36
Prière du jour Merci Seigneur car tu sais ce qui est bon pour moi.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024
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corinneecrivaine · 2 months
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WILLOW FANFIC STORY
PART 15
Merveilleuses Retrouvailles... ou Presque
Co-autrice : Elodie DragonMistic
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Abattue, Elora s’accrochait aux bras de Boorman, ses pensées tournées vers son double maléfique. Comment pouvait-elle protéger ceux qu’elle aimait en ayant été confrontée à sa part sombre, bien plus puissante qu’elle ne l’était ? Une forte angoisse s’empara d’elle.
Restés en retrait du groupe, Kida s’approcha d’Aniel, partageant ses inquiétudes au sujet de Willow dans leur langage Pnakotic « Ana ekallu dannu ul uḫabbu ša kiṣiršu ? » (Comment un sorcier aussi puissant peut-il perdre sa magie ?)
— La nādi lā ištaqqal šarru. Ana nakāšu miṯallim narkabtišu, ina mušakku inaššu tamītim (Il n’a pas perdu sa magie. Depuis la mort de sa femme dont il se sent responsable, il a perdu toute confiance en lui.) Répondit sereinement Aniel.
*******
En revenant à lui progressivement, le premier visage qu’aperçut Airk en ouvrant les yeux, fut celui de sa sœur. Il lui sourit tendrement tout en lui prenant la main, se remettant doucement de sa blessure.
— Salut petite sœur. Murmura-t-il
— Comment te sens-tu ?
— Je vais bien.
Il tenta de se redresser mais une légère douleur le fit grimacer. En remarquant l’expression sombre dans les yeux de sa sœur, il l’interrogea du regard, mais elle l’ignora et le questionna.
— Que s’est-il passé ? 
Le jeune prince baissa ses yeux emplis d’amertume et s’exprima tristement.
— Nous avons perdu Tir Asleen. Le roi Hastur, accompagné de démons, nous ont attaqués. Il a trahi notre mère, notre père, notre alliance.
Les doigts de Kit se resserrèrent violemment autour de ceux de son frère, tandis que la colère s’embrasait en elle.
— Je n’ai jamais eu confiance en lui.  Elle jeta un œil sur l’armure « C’est quoi cette armure ? »
— Ho, c’est père qui l’a conçue pour moi, croyant que je deviendrais la personne qu’il espérait tant.  Le souvenir de ce que son père attendait de lui et la personne qu’il était devenu, lui déchira le cœur.
Alors qu’il s’exprimait, la terrible vision de ses cauchemars vint se superposer à l’image de sa sœur, engendrant une intense anxiété en lui.
— Airk que t’arrive-t-il ? Demanda Kit préoccupée.
— Il faut que tu saches que je t’aime et que je ferai tout pour te protéger. Répondit-il la voix tremblante. Puis pensant à Sorsha, il ajouta « Comment va notre mère ? »
— Scorpia la faite emprisonner.
Devant le regard soucieux de sa sœur, le jeune prince tenta de la rassurer.
— Ne t’en fais pas, Jade trouvera une solution. Elle est avec nous. Fais-lui confiance. Nous devons éviter d’envenimer le conflit déjà existant. Promets-moi que tu ne feras rien de stupide.
Mais le silence de Kit affirmait le contraire. Intrigué, Airk insista « Tu n’as rien fait de stupide ? »
La jeune femme ne répondit pas et partit, malgré les appels insistants de son frère « Kit ! Kit ! »
*******
Au même instant, Jade s’approchait de la fosse où Sorsha était emprisonnée.
— Je suis désolée ma Reine, je vais vous sortir de là.
Sorsha avait le regard meurtri et fatigué, pour la première fois, la reine de Tir Asleen se confia à la jeune chevaleresse.
— Je ne voulais pas que cela se passe ainsi. Je n’ai jamais voulu te séparer de ta famille. Déclara-t-elle avec regrets.
Elle fit une courte pause avant de poursuivre.
— Lorsque Ballantine t’a vue au milieu de cette poussière, ce champ de cadavres et ces cris de souffrances, tenant le corps de ta mère dans tes bras, il a voulu te protéger, te sauver. Il me disait que tu étais le plus beau cadeau que la vie lui ait donné, la raison pour laquelle, il voulait combattre les ténèbres.
Jade, bouleversée, sentait quelques larmes couler le long de ses joues, la perte de celui qui avait été son père adoptif, était encore trop présente dans son cœur.
Sorsha regarda la jeune femme les yeux remplis de remords.
— Malgré tout l’amour qu’il éprouvait pour toi, il était rongé par ce secret. Il voulait te révéler la vérité à ton sujet afin que tu aies le choix. Il n’a fait qu’obéir à mes ordres.
Bien que Jade fût profondément touchée par les paroles de la reine, son inquiétude pour Kit surpassait toute autre émotion.
— Je suis venue pour Kit. Elle a essayé de tuer ma sœur. Toute cette rage, cette noirceur dans son regard, étaient si effrayants. S’exprima la jeune femme.
Sorsha, resta silencieuse, accablée, avant de répondre avec gravité.
— Je redoutais ce moment. Si tu savais à quel point j’aurais souhaité que son père soit présent.
Elle fixa Jade, d’un regard profondément triste.
— Je ressens qu’un danger menace ma fille mais je me sens si impuissante.
Après une courte pause, elle poursuivit.
— En grandissant, je la voyais d’avantage s’intéresser aux aventures de son père, partager des moments de combats, un simple bout de bois, elle en faisait une épée plutôt que de se plier aux obligations de son rang de princesse. J’ai essayé de l’éloigner de tout cela, mais je me rendis bien vite compte que c’était impossible. Lorsque Madmartigan quitta le royaume, je devais trouver une personne qui lui permettrait de canaliser ses désirs de batailles et ce fut toi. Tous ces entraînements n’avaient qu’un seul but.
— Quelque soit ce danger, je la protégerai, Votre Majesté.
Sorsha regardait la jeune femme avec estime.
— Non seulement tu es en passe de devenir une très grande chevaleresse mais également une très grande dirigeante.
*******
Après sa conversation avec Sorsha, Jade se hâta de rejoindre Kit. Inquiète de ne pas la trouver dans la tente, elle se lança à sa recherche dans les Wildwood obscurcis par la nuit. Des pensées agitées traversèrent son esprit, faisant suite aux agissements récents de sa compagne. Lorsqu’elle l’aperçut au pied d’un arbre en train d’aiguiser son épée, un sentiment de soulagement l’envahit. Elle s’assit à ses côtés. Cependant, la jeune princesse l’ignora.
Jade posa tendrement sa main sur celle de son amante, qui serrait son arme.
— Kit, nous devons parler. Tu ne peux pas fuir cette discussion.
La jeune princesse, s’immobilisa, le regard rivé sur son épée, laissant un court silence s’installer entre elles deux, avant de s’exprimer, sa voix chargée de chagrin.
— Je ne pouvais pas la contrôler.
— Contrôler quoi ?
— Cette voix, ma grand-mère qui ne cessait de marteler dans ma tête que la mort de Scorpia libérerait ma mère et ramènerait la paix. Jusqu’à ce que…
Kit tourna ses yeux embués de larmes vers celle qu’elle aimait et poursuivit.
— Je ne pourrais jamais te faire de mal, Jade.
La jeune Bone Reaver prit le visage de sa Bien-aimée entre ses mains.
— Je sais. Murmura-t-elle avant de la serrer dans ses bras.
Lorsque Kit se libéra de son étreinte, elle plongea son regard dans celui de son amante et l’embrassa. Elle se laissa submerger par cet apaisement et cette douceur que seule Jade pouvait lui donner.
*******
Les premiers signes de fatigue commençaient à se faire ressentir. Le froid nocturne endolorissait les membres de chacun. Se déplacer dans l’obscurité au cœur des Wildwood, revenait à avancer à l’aveugle, sachant que le danger pouvait surgir à tout instant. Des craquements de branches, de brindilles, les firent stopper net, chacun sur ses gardes.
« Ne faites pas un pas de plus. » Ordonna sèchement Aniel, sentant une menace imminente. Il s’adressa à Kida « Ana āluk tappānu. » (Tiens-toi prête).
Mais malgré les avertissements, Boorman avança d’un pas de trop. Une étrange sensation de pression s’empara de leurs pieds. Des filets se matérialisèrent, les soulevant et les emprisonnant à plusieurs mètres au-dessus du sol.
Kida, agacée, s’énerva contre Boorman « Espèce d’imbécile l’excentrique. Qu’est-ce que tu n’as pas compris dans : ne faites pas un pas de plus. Je te jure que dès que l’on sera libérés, je t’étriperai et je le ferai très lentement avec délectation !!! » Elle prit son épée afin de trancher les cordes du filet.
Tous s’écrièrent « Attends ! Ne faits rien !!! » Trop tard, la chute fut brutale.
Allongé au sol, Aniel, furieux, réprimanda Kida « Šūtu inaššu wa āleku ! » (Tu recommences et je te tue !)
— Anā ul ukallim. Ina qabluša rēmu mīšu. (Je ne crois pas. Tu as trop besoin de moi.) Ironisa-t-elle.
Alors qu’il s’apprêtaient tous à se relever, les Bone Reavers les encerclèrent, prêts au combat. Intrépide, Kida saisît ses deux épées, défiant leurs assaillants. « Venez, je vous attends. Ça va me défouler ! »
Cependant, Mims, essayant de la raisonner, murmura « Je ne crois pas que ce soit une bonne idée de les provoquer. »
Lori répliqua d’un ton agressif à la guerrière « Avec plaisir »
À l’instant même où chacun se préparait à l’affrontement, Lori ordonna à ses hommes de s’arrêter brusquement ayant reconnu la jeune Impératrice. Subitement, le son de sa voix passa de l’agressivité à la douceur « Elora. »
Tous les regards se tournèrent vers lui, étonnés. Il s’approcha d’elle et l’enveloppa de ses bras. La jeune femme était épuisée aussi bien physiquement que moralement.
— Que t’est-il arrivé ?  Demanda-t-il d’une voix compatissante.
— C’est une longue histoire Lori. S’exprima-t-elle, la voix brisée.
— L’Impératrice doit se reposer. Intervint Aniel.
— Suivez-moi.
Il les installa dans une tente, afin qu’ils puissent passer la nuit bien au chaud et se reposer, fit apporter des repas et rejoignit la cheffe des Bone Reavers.
— Scorpia, j’ai croisé Elora dans les bois, accompagnée de Willow, Boorman, une Nelwyn, un être au visage caché et une folle alliée. Je les ai installés sous une tente pour la nuit.
— Tu as fait quoi ! Mais qu’est-ce qui t’es passé par la tête, Lori !
— Il s’agit d’Elora. Je ne pouvais pas la laisser à la merci des dangers de la forêt.
— Tu sais bien que le seul danger des Wildwood c’est nous. Sont-ils au courant pour Sorsha ?
— Non
— Poste un garde devant l’entrée de la tente pour la nuit. Je m’occuperai d’eux demain à l’aube.
— Bien.
— Lori, ce n’est ni Elora, ni le sorcier, ni Sorsha qui me préoccupent mais la princesse. Garde un œil sur elle.
À l’intérieur de la tente, l’atmosphère était assez tendue. Mims se tenait auprès d’Elora, veillant sur elle tandis que Boorman gardait un œil vigilant sur Kida et Aniel, communiquant en pnakotic. Willow s’approcha de lui.
— Tu leur fais confiance ? Chuchota Boorman.
— Ils connaissent Madmartigan donc, oui… un peu.
Mais lorsque Willow s’aperçut de la façon dont Boorman fixait Kida, les yeux écarquillés, traduisant une légère crainte, il ne put s’empêcher de sourire.
— Aurais-tu peur d’elle ?
— Ho ! Non absolument pas. Rien ne m’effraie. (Il se pencha vers son ami.) Tu ne trouves pas qu’elle est un peu… psychopathe ?
— Elle est une guerrière. Ils ne sont animés que par un seul but ; protéger Elora. Ils sont prêts à tout, peu importe les circonstances et les sacrifices.
Impatiente, Kida, observait le garde à l’entrée de la tente, prête à sortir malgré l’obscurité. Aniel posa une main rassurante sur son épaule.
— Pulû, Samāšu. Šumma libbišu ina šat iqbi. (Attends. Il est préférable d’attendre le levé du jour.) Murmura-t-il afin de la retenir.
— Mīn ša arhu innūnišma ? Anāwum lā šumma ina hūrummūtī. Ina ša anāwum lā šumma napāḫuwa āru !!! (Que crois-tu qu’ils vont faire de nous ? Nous ne sommes pas leurs invités. Sinon ils n’auraient pas posté ce garde !!!)
Willow, prenant conscience de la tension entre les deux individus, essaya d’atténuer la situation afin d’éviter toute action qui pourrait susciter l’hostilité de la cheffe des Bone Reavers.
— Nous connaissons Scorpia, elle ne nous fera aucun mal.
— J’espère que tu as raison, sorcier. Kida lui répondit sèchement.
Avant de s’allonger, elle lança un regard noir à Boorman qui ne ferma pas l’œil de la nuit.
*******
L’aube se levait progressivement sur les Wilwood. Scorpia, accompagnée de Lori, se dirigea vers la tente où le groupe avait passé la nuit. Elle observa chacun d’eux, remarquant leur fatigue, leur état émotionnel. Cependant, son attention se focalisait surtout sur Aniel et Kida, dont leurs regards se croisèrent, déterminés. Lori se tenait à ses côtés, prêt à agir au moindre signe d’agitation de la guerrière qu’il ne quittait pas des yeux.
—Qu’allez-vous faire de nous ? Interrogea Kida d’une voix forte et ferme, brisant ce lourd silence.
Les deux femmes s’affrontaient visuellement, chacune défiant l’autre. Jusqu’à ce que Scorpia, méfiante interpella Kida d’une voix sévère « Qui êtes-vous ? »
Voyant la tension s’aggraver, Elora prit l’initiative d’intervenir, afin d’apaiser les esprits.
— Nous avons vécu des évènements dramatiques, Scorpia. Tir Asleen est tombé aux mains de… (Elle n’eut pas le courage de prononcer le nom ni de Graydon ni le sien.). Nous ignorons si Airk, Kit, Jade ou Sorsha sont encore en vie. Sans eux (elle se retourna vers Kida et Aniel) ainsi que Boorman, nous n’aurions pas survécu. Tu es notre seul refuge.
Les souvenirs de cette terrible bataille remontaient à la surface, rappelant les visages démoniaques de ceux qui les avaient attaqués.
Scorpia posa un regard interrogateur vers Lori. Les yeux du Bone Reaver ne laissaient aucun doute sur sa réponse.
— Amène-les ici. Lui ordonna-t-elle.
Lorsqu’il quitta les lieux, tous les regards se tournèrent vers Scorpia, inquiets et interrogateurs.
Quelques instants plus tard, Lori revint, accompagné de Jade, la princesse et son frère dont la douleur de sa blessure se faisait encore légèrement ressentir. Tous restèrent brièvement immobiles et silencieux, avant de réaliser que chacun d’entre eux étaient sortis vivant de ce terrible combat. Cependant, ces retrouvailles furent de courte durée, brutalement Interrompues, lorsque Airk, aperçut le visage d’Elora. Il se rua vers elle, en criant, dans le but de la tuer, sous les yeux incompréhensibles de tous. Mais avant qu’il ne puisse l’atteindre, Kida s’interposa violemment, le jetant à terre, brandissant son épée pour l’abattre. Prête à le transpercer de sa lame sans que tous n’aient le temps de réagir, Kida fut stoppée net par Aniel.
— ša rēšu. ša māru Madmartigan. (C’est le prince. Le fils de Madmartigan)
Elle se calma, rengaina son épée.
— Aššū lu ikkaru ana bānūtu šarri. (Tu sais ce que je pense de la famille royale.)
— Ana aššū. Ina ša kī ana qātīšu. (Je sais. Mais n’oublie pas notre serment.)
Kit se précipita vers son frère tout en agressant verbalement Kida, son regard s’assombrit, submergée par la colère.
— Si tu t’en prends de nouveau à mon frère, je te tue !!!
— Ho comme j’ai peur !!!! C’est avec un grand plaisir que je planterai ma lame, lacérant chaque parcelle de ton corps de princesse, tout en savourant la souffrance dans ton regard !!!
La jeune femme s’apprêta à se jeter sur la guerrière pour la combattre mais elle fut stoppée par Jade.
— Kit, occupe-toi d’Airk.
— Merveilleuses retrouvailles familiales. Tu ne trouves pas Lori. Ironisa Scorpia.
— Merveilleuses, en effet.
Dès que le prince se fut relevé, il s’exprima, affolé.
— Elora est devenue une disciple du Wyrm !!!!
— Quoi ! Mais qu’est ce tu racontes ! Le questionna Kit.
Il se tourna vers sa sœur.
— Elle nous a tout pris  !!! Notre royaume n’est plus qu’un vaste champs brûlé aux demeures détruites, un lieu chaotique !!! (Il la prit par les épaules.) Je t’en prie, écoute-moi, elle et Graydon agissent pour le Wyrm.
Kit avait du mal à croire les paroles de son frère, lorsque Elora intervint d’une voix brisée.
— Regarde-moi Airk. Je ne suis pas elle. Je suis certainement la cause de tout ce qui est arrivé, mais crois-moi, ce n’est pas moi.
La tension était devenue trop forte, chacun ne sachant quoi penser, ni comment agir. Afin d’adoucir les esprits enragés, Willow intervint.
— Calmons-nous, et discutons posément de tout ce qui s’est passé. Il nous faut trouver une explication.
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SI TU N'ES PAS LIBRE TOUT LE TEMPS DE FAIRE CE QUE DIEU TE DIT, SACHE QUE TU NE SUIS PAS DIEU, DONC TU NE LUI FAIS PAS CONFIANCE, CHER AMI(E).
JÉSUS FAISAIT EN PERMANENCE UNIQUEMENT CE QUE DIEU LUI DISAIT PERSONNELLEMENT.
SI TU NE PEUX DIRE QUE TU NE FAIS QUE CE QUE DIEU TE DIT, À CHAQUE INSTANT, TU N'ES PAS EN TRAIN DE VIVRE POUR LE CRÉATEUR.
Si à ton travail, à ton assemblée de croyants ou si même chez toi, tu ne peux faire à chaque instant ce que Dieu te dit personnellement.
Sache que tu n'es pas encore libre de vivre pour le Créateur uniquement.
Tu es un esclave de quelque chose ou de quelqu'un, autre que le Créateur, cher ami(e).
Oui, parlé du fait d'être esclave de Dieu a choqué une personne l'autre jour.
Tous ceux qui n'obéiront pas à Dieu de façon stricte ou qui ne seront pas considéré sincère par le Créateur, finiront en enfer.
Le savais-tu ?
Si quelqu'un te punit, car tu ne lui obéis pas, n'est-il pas ton maître ?
Dieu est plus que ton maître, il est ton Créateur.
Il a les droits de vie et de mort sur toi, et ton avis n'a aucune importance, cher ami(e).
Lui obéir sans condition, est le signe que tu as finalement compris que c'est la seule façon de bien vivre.
On peut aussi le dire de cette façon, le vrai bonheur est de vivre en tout temps selon sa propre conscience ou selon ses convictions personnelles intimes et profondes, qu'importe ce qu'en dise autrui.
C'est ainsi que le Christ a vécu.
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TOUT CE QUE TU FAIS PAR CONTRAINTE OU PAR OBLIGATION ET NON DE TOUT TON ÊTRE, AVEC TRÈS GRAND PLAISIR, EST UN PÉCHÉ ET UNE FAUTE POUR LE CRÉATEUR.
JÉSUS N'A RIEN FAIT PAR CONTRAINTE OU PAR OBLIGATION DURANT TOUTE SA VIE.
C'EST POURQUOI IL A SUPPLIÉ DIEU EN TRANSPIRANT DU SANG, AFIN QUE TOUT EN LUI SOIT D'ACCORD AVEC LE FAIT DE SACRIFIER SA VIE HUMAINE POUR L'HUMANITÉ.
SINON SON SACRIFICE N'AURAIT JAMAIS ÉTÉ AGRÉÉ PAR LE CRÉATEUR.
En effet, Jésus ne peut rien fait tant que tout soit parfaitement en paix en lui, sans qu'il soit uni parfaitement avec Dieu.
C'est cela vivre en intégrité personnelle.
C'est aussi cela vivre par la foi.
En effet, c'est pour cela que Jésus disait que les paroles et les miracles qu'il faisait, ne venait pas de lui, mais venait de Dieu.
C'est à cause du fait qu'il savait, que ses paroles et ses miracles n'étaient que le résultat de son unité avec Dieu, avant de parler et de faire des miracles.
Et c'est aussi pour cela que lorsque l'un de ses disciples lui a demandé de lui montrer Dieu, que Jésus appelle le Père, il lui a répondu que celui qui le regarde voit Dieu lui-même.
"Philippe prit la parole : "Seigneur, montre-nous le Père, et ce sera tout ce dont nous avons besoin !"
"Jésus répondit : "Philippe, je suis avec toi depuis tout ce temps et tu ne sais toujours pas qui je suis ?"
"Comment peux-tu me demander de te montrer le Père, puisque quiconque m'a regardé a vu le Père."
"Ne croyez-vous pas que le Père vit en moi et que je vis dans le Père ?"
"Même mes paroles ne sont pas de moi, mais viennent de mon Père, car il vit en moi et c'est par moi qu'il accomplit les miracles de sa puissance."
"Croyez que je vis en harmonie avec mon Père et que mon Père vit en harmonie avec moi - ou du moins, croyez à cause des puissants miracles que j'ai accomplis."
JÉSUS ÉTAIT PUISSANT PARCE QU'IL ATTENDAIT DANS SA RELATION AVEC DIEU, JUSQU'À CE QU'IL N'AIT PLUS AUCUN DOUTE, PUIS IL AGISSAIT ET FAISAIT CE QU'IL ÉTAIT CONVAINCU DE VOULOIR, DE CROIRE, DE PENSER, DE DIRE OU DE FAIRE.
TANT QU'UN DOUTE PERSISTAIT EN LUI, IL CHERCHAIT L'UNITÉ AVEC DIEU, JUSQU'À CE QUE TOUT EN LUI SOIT PARFAITEMENT UNI AVEC L'AVIS OU L'OPINION DU CRÉATEUR.
C'EST CELA LE SECRET DE LA VIE MIRACULEUSE DU CHRIST ET DU FAIT QU'IL N'AIT JAMAIS PÉCHÉ.
LE SECRET DE JÉSUS ÉTAIT LE FAIT QU'IL ÉTAIT CONSCIENT D'AVOIR UNE RELATION AVEC DIEU ET QU'IL NE FAISAIT RIEN SANS ÊTRE EN PARFAIT ACCORD AVEC CE QUE DIEU LUI DISAIT.
IL NE FAISAIT RIEN SANS ÊTRE UN OU UNIE AVEC DIEU OU SANS ÊTRE D'ACCORD À 100% AVEC LE CRÉATEUR.
JÉSUS NE FAISAIT RIEN SANS PARTAGER VÉRITABLEMENT L'AVIS OU L'OPINION DE DIEU LUI-MÊME.
C'EST CELA ÊTRE CRÉÉ À L'IMAGE ET À LA RESSEMBLANCE DE DIEU.
ET C'EST CETTE FAÇON DE VIVRE LÀ, QUE LE CRÉATEUR A PRÉVU POUR CHACUN DE NOUS, MES CHERS AMIS.
C'EST CELA VIVRE EN VIE ÉTERNELLE.
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Maintenant, parlons de la vie que nous menons.
De même, si tu vas au travail par contrainte ou par obligation, tu ne vis pas pour le Créateur, mais pour l'argent, pour ta famille ou pour toute autre raison qui n'ont aucune valeur pour Dieu.
La seule chose qui compte pour le Créateur est ce qu'il te demande de faire à chaque instant.
Maintenant, faire ce que Dieu demande est agréé du Créateur, uniquement si tu fais ce qu'il te dit, comme si c'était une décision que tu avais prise toi-même, de bon cœur.
Sans avoir une joie immense pendant que tu obéis à Dieu, ce que tu fais ne sera pas considéré comme de l'obéissance, mais comme de la désobéissance, cher ami(e).
Car, pour qui prends-tu le Créateur, pour ne pas lui obéir avec grand plaisir ?
On ne peut pas obéir à Dieu de n'importe quelle façon, mes chers amis.
SAIS-TU À QUI TU AS AFFAIRE, POUR TE PERMETTRE DE NE PAS FAIRE, AVEC RECONNAISSANCE OU AVEC GRATITUDE, CE QUE LE CRÉATEUR TE DIT ?
Sans esprit de reconnaissance ou de gratitude en permanence dans ta vie personnelle, sache que cela démontre que tu ne connais pas encore Dieu.
Car être en unité parfaite avec Dieu demande que tu sois tout le temps en train de rechercher l'accord parfait intérieur avec Dieu.
Jésus vivait pour être en accord parfait, tout le temps, avec Dieu.
C'est cela vivre pour ton Créateur, c'est quand tu vis, tout le temps, pour Dieu seul.
C'est pour cela que Jésus a transpiré du sang, car pour le Seigneur, il était inadmissible que tout en lui ne soit pas en accord parfait tout le temps, avec Dieu.
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Payer ses impôts et tout ce que tu peux faire dans ta vie personnelle, si tu ne le fais pas de tout ton être, content et heureux de faire ce que tu crois que Dieu te demande de faire.
Sache que si tu ne vis pas dans cette disposition de cœur de gratitude et de reconnaissance envers Dieu en permanence, tu pèches et ta vie n'est pas agréable à Dieu.
Ou encore, tu révèles n'avoir toujours pas connu réellement ton créateur, tout simplement.
TU NE DEVRAIS RIEN FAIRE TANT QUE TOUT EN TOI N'EST PAS À 100% OK OU D'ACCORD AVEC CE QUE TU VEUX FAIRE, CHER AMI(E).
CAR DIEU NE REGARDE PAS À CE QUE TU FAIS, MAIS À L'ATTITUDE QUI T'ANIME QUAND TU LE FAIS.
ET SI TU NE FAIS PAS TOUT CE QUE TU FAIS DE TOUT TON ÊTRE, ET AVEC BON CŒUR OU ENCORE POUR FAIRE PLAISIR AU CRÉATEUR, DIEU DÉSAPPROUVERA TON ACTION.
ET TU EN PAIERAS LE PRIX, CAR TU APPARTIENS À TON CRÉATEUR.
EN EFFET, DIEU NE T'A PAS CRÉÉ POUR QUE TU NE PRENNES PAS PLAISIR DANS LA MOINDRE CHOSE QUE TU FAIS, CHER AMI(E).
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En effet, prends exemple sur comment Dieu était content quand il a créé la terre et le ciel.
Après avoir fini la création, Dieu a regardé ce qu'il avait créé et il a dit que c'était très bon, à ses yeux.
Dieu est un artiste qui aime admirer ce qu'il fait, afin d'y prendre du plaisir.
Sans vivre ainsi, en prenant plaisir dans tout ce que tu fais, tu démontres ne pas ressembler au Créateur, donc ne pas faire partie de la famille de Dieu, en réalité.
Le savais-tu, cher ami(e) ?
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QU'ATTENDS-TU DONC POUR VIVRE UNIQUEMENT POUR DIEU À CHAQUE INSTANT, LIBRE DE TOUTE OPINION HUMAINE ?
OU ENCORE, QU'ATTENDS-TU DONC POUR VIVRE SELON TA CONSCIENCE OU SELON TES CONVICTIONS PERSONNELLES, INTIMES ET PROFONDES ?
EN EFFET, C'EST CELA, LA VIE PRÉVUE PAR DIEU POUR CHACUN DE NOUS, MES CHERS AMIS.
ET C'EST À LA FIN UN CHOIX DE VIE QUE CHACUN DOIT FAIRE À CHAQUE INSTANT, JUSQU'À LA FIN DE SA VIE.
CAR EN RÉALITÉ, C'EST CELA LA DÉFINITION DU BONHEUR HUMAIN.
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cmoiquoi · 3 years
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Ça m’a fait quand même fait du bien de parler de tout à mon amour. C’est le plus gros secret de ma vie et tout lui dire c’est tellement. J’ai pas de mot. Elle a accepté. Sans se poser de questions. Elle a accepté et m’a accepté. Qui pourrait faire ça ? Je l’adore du plus profond de moi.
Elle m’a dit je t’accepte et je t’aime comme tu es. Alors que moi j’arrive pas à faire ce qu’elle vient de faire. On m’a demandé hier : pourquoi tu ne t’aimes pas ? J’ai réfléchi et je me suis directement dit que je pouvais pas répondre. Il y a ma mère juste à côté je peux pas tout dire c’est pas possible. C’est un sujet qui me pèse tellement. En parler à cette personne de ma famille je suis pas prêt. Je suis en train de rigoler parce que j’ai failli faire une erreur dans mon écriture qui dévoilait en parti mon secret. J’aime pas les fautes alors si je l’a fait oralement on va rire, sauf que je fais pas exprès, c’est en le disant que je me sens bien. Par rapport à cette personne, c’est pas que je ne lui fait pas confiance, mais elle ne fait pas parti de mon jardin intime/secret. J’y mets tellement de chose, ça doit être pour ça que la porte devant est tellement bien gardé. Cette porte c’est mon caractère qui s’est développé. Il a maintenant une base solide et personne ne pourra me forcer à me dire ce que j’ai de plus secret. C’est à moi de faire le pas. Je dis mon secret, est ce que c’est vraiment un secret ? C’est une question qui remet en cause ce que je voyais de ma vie. Tout ce que je peux dire et que j’assume, c’est que je ne m’aime pas entièrement. Peut-être qu’un jour je ne serai plus comme ça et que je me dirai que j’étais bête. Où peut-être que je vais de plus en plus y penser, me questionner. J’ai plein d’autres secrets et même à ma mère, qui pourtant je le sais m’accepte et acceptera tout ce que je dis, je ne le dis pas. Même à mon amour je ne le dis pas. J’hésite que c’est à moi, même si ca devrait être dit. C’est évident que je ne dirai jamais ca a un psy. Ou à n’importe qui d’autre que ma mère ou mon amour. En tout cas pour l’instant. Je le rajoute au dernier moment : quant on m’a demandé pourquoi je ne m’aimais pas, je ne pouvais pas simplement dire : je ne veux pas en parler. Avec ma mère à côté qui ne savait rien c’était impossible. Si j’ai assez de courage je ferai lire tout ça à ma mère. Bref, je n’ai simplement rien dit. C’est la première fois, dans toute ma vie, que je suis resté muet. Parce que je ne pouvais rien dire, pas comme ça, pas à eux.
Ma maman elle est géniale, j’ai même réussi a parler (presque pas) de ma vie sexuelle !! Je suis content, c’est pas facile pour moi. Plus tard je lui dirai sûrement tout ce que j’ai pensé.
C’est marrant je fais du théâtre. C’est marrant je suis très sensible quand je vois des films ou autre. Je comprends les personnages que je joue. Je pense que j’en joue un. Celui de Mattéo. Je ne me suis jamais libéré parce que je n’ai pas confiance en la société d’aujourd’hui. Je n’ai donc pas confiance en moi, forcément vu les questions que je me pose. C’est une boucle sérieux.
Je ne pourrai jamais changer ce que je veux le plus sur moi. J’aurai voulu découvrir plus tôt ce que je voulais. Je pense que c’est trop tard de changer, je peux juste essayer de m’accepter. Ça prendra du temps.
Je pense que je le suis à moitié, ou du moins pas complètement. Je n’arrive pas à trouver de mot. Toutes les personnes (que j’ai vu sur les réseaux) qui on eu le même problème l’on su dès le jeune âge. Pourquoi pas moi ? Je m’imagine alors une autre vie. En effet je sens un problème. Je pense que je dois garder le Mattéo que j’ai en moi. J’ai vécu avec cet esprit, je ne peux pas le faire disparaître.
J’ai essayé de donner un nom qui définit ce que je suis. J’ai un peu cherché sur internet. J’ai pas trouvé. C’est soit l’un soit l’autre. Je ne peux pas refaire le monde. J’aurai pu être comme je voulais. Tant de limites et de contraintes qui se présentent devant moi. C’est physiquement impossible de les contourner ou de les briser. Je le sais. Pourtant qu’est ce que je me sens mal. C’est simple j’y pense juste en regardant quelqu’un. Sur une photo ou en vrai. Dans la rue. Juste un sourire.
C’est si dur et compliqué à la fois. Je me sens incompris. J’aimerai tellement parler à quelqu’un qui me comprenne. J’aimerai qu’il m’aide, qu’il me dise ce que je dois faire pour mieux vivre. Je me rends vraiment compte que la vie c’est super beau et en même temps tellement injuste dès le départ.
J’aurai voulu (je veux toujours mais plus les minutes et les années passe et plus ce rêve ne deviendra qu’un rêve) pouvoir choisir, comme entre espagnol et allemand. Comme ça je peux tester pendant quelques mois et ensuite choisir. Je suis croyant et même si certains diront que ce que je me demande est futile, ça ne l’es pas pour moi. Je dis que je suis croyant parce que je suis sûr que quelqu’un nous regarde. J’aimerai parler à quelqu’un qui sait tout. Qui saura m’expliquer le pourquoi de ma vie.
J’ai jamais écrit comme ça. C’est tellement bien, je peux enfin mettre des mots, même imprécis, sur ce que je ressens. Sur ma vie quoi. On s’en fout si c’est un pavé ou plusieurs, c’est un questionnement sur ma vie et ça ne pourra jamais se résumer à ça. Je ne veux pas qu’on me voit différemment après qu’on a un aperçu de ce qui se passe. J’aimerai simplement faire ce que je veux, même si c’est con. Je me demandais pourquoi je regardais les filles aussi. Maintenant je crois savoir. Ce n’est pas pour leur corps, c’est bien plus profond. C’est spirituel - parce que ça remets en question ma vie -
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claudehenrion · 3 years
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Justice immanente et autres bonnes nouvelles, toutes mauvaises...
  Nous en parlions hier, et les lecteurs de ce Blog le savent :  je suis sans doute l'un des derniers à vivre avec le souvenir de cette belle notion d'une morale à peu près disparue, celle des jolies choses qui rendaient la vie plus douce et plus belle. Cette ''Justice immanente'' est une promesse que la justice finit un jour par triompher (la vraie justice, pas celle que rendent nos tribunaux, refuges de militants d'idées de gauche qui ne survivent que dans quelques administrations assoupies dans leurs croyances d'un autre âge). Cette confiance en l'existence d'un lien entre une mauvaise action et sa sanctio, découle du merveilleux ''Sermon sur la montagne'' (croyants ou pas, on devrait le relire de temps en temps : il est simplement beau).
  Et je dois dire que, ces temps derniers, rien ne se passe (au contraire) qui puisse m'éloigner de ma foi dans  cette notion de ''droit naturel'' : après tant de décennies où l'humanité dans son ensemble, mais ‘’l'homme blanc’’, en particulier, a tout accepté, tout admis, tout supporté sans rien trouver à redire, un ''on'' innommé (qui, pour les tordus dans mon genre, est ''le Destin'') présente l'addition.  L'Occident s'est imaginé, depuis ''les Lumières'', qu'il pouvait faire ou dire n'importe quoi dans l'impunité. Trois siècles plus tard, il n'a plus assez de larmes pour pleurer ses morts (et le pire est à venir, hélas), plus assez de tee-shirts ''Je suis X ou Y'' pour ses inutiles ''marches blanches'', plus assez de fleurs chez ses fleuristes fermés sans raison, plus assez de dates pour ses ''funérailles nationales'' aux Invalides ou à la Sorbonne, et trop de ''plus jamais ça'' et ‘’ils ne passeront pas’’, suivis de... rien.
  Passer en revue la litanie sinistre de nos erreurs est hors des limites de ce Blog (1 à 2 pages ''A 4'') : il faudrait une encyclopédie ! On peut essayer d'en rappeler les grandes lignes, qui se recoupent, en gros, avec toutes les idées farfelues que la Gauche a ''con-coctées'' entre l’invention de cette façon de (mal) poser les faux problèmes, au XVIII ème siècle, et toutes les lois dites sociétales (une manie de Hollande et de Macron), toutes mauvaises et toutes à oublier, en passant par les insultes à l'intelligence que furent les parenthèses communistes (rouge ou jaune), socialistes, modernistes, soixante-huitardes, progressistes et que sais-je encore !
  Un exemple ? Encore hier, l'inénarrable Delfraissy, cet assoiffé de titres ronflants, ce Delevoye de la chasse aux prébendes, ce Frégoli des présidences bidon et interchangeables, a tenu à nous prévenir solennellement, ''ex cathedra'', que le mois de confinement annoncé par Macron durerait, en réalité, jusqu'à janvier (sous entendu : il va faire tout ce que lui permet son pouvoir de nuisance pour que cette catastrophe au carré arrive : il est insatiable, dans son désir de nuire à ses contemporains). Et comme personne en face de lui, n'a les colonnes vertébrales (voyez comme je suis délicat, dans le choix de mes références anatomiques !) pour résister, on peut être à peu près certains que ''ce n'est pas demain la veille'' que la vie normale va reprendre... si elle reprend un jour. Que de punitions immanentes sont encore devant nous ! Noël 2020 va être très triste, pour les non-chrétiens !
  Imaginez l'horreur, pour eux ! La suppression pour cette année (et des suivantes, partis comme on est), des bacchanales que sont devenues les ''Fêtes de fin d'année'' depuis qu'ils ont chassé l'ancien ''Noël'', qui était tout... sauf des ''champagneries'' autour de dindes aux OGM et des tsunamis de ''e-phones'' et ''i-phones'' ad nauseam : on déposait un bébé symbolique dans la crèche familiale dans de merveilleux chants de Noël repris en chœur dans un partage irremplaçable (aujourd'hui, un bébé, ça se condamne à mort ''par confort'')... Mais à force de faire haïr par système tout ce qui est crèches, santons, nativités, arbres de Noël et messe de minuit, le destin nous rattrape. Vous ne vouliez pas des vrais Noëls ? Bingo ! Vous allez être confinés ! Et estimez-vous heureux, c’est une punition légère : nous avons si longtemps et si souvent exagéré, dans tant de domaines, que la justice immanente risque fort de ne pas nous ‘‘lâcher les baskets’’ de sitôt...  
  Pour ''comprendre demain'', il suffit de regarder les mauvaises idées qui ont pollué notre passé au point de détruire notre présent : nos faux gourous ont raconté des océans de mensonges éhontés sur l'immigration, les faux ''migrants'', la colonisation, l'Histoire de la France et sur tout ce qu'elle a apporté aux pays qui lui ont fait confiance (et qui en ont rarement été dignes, eux, par la suite !), sur notre culture, chrétienne avant d'être républicaine, et sur le christianisme proprement dit, sur notre civilisation judéo-chrétienne, sur les fondements et les références de cette culture et de nos ''valeurs''... Nous avons laissé des malintentionnés et des pervers fabriquer des bobards monstrueux sur notre passé, nos motivations, notre mentalité, sur ce que nous sommes et ce que nous avons été... et nous récoltons aujourd'hui ce que nous avons semé : la haine de l'homme blanc, le rejet de tout ce que nous sommes, le refus de cette République que nous avons stupidement confondue avec la France : deux notions, proches parfois l’une de l’autre, qui ne sont pas interchangeables. La seconde, n'en déplaise aux cuistres, est à jamais antérieure, supérieure, préférable à la première.
  De mauvaises idées intrinsèques (le plus souvent provenant de cette gauche qui n'est, en dernier ressort, que le refuge des fausses solutions et des remèdes qui n'en sont pas), ont été poursuivies jusqu'à leurs limites les plus absurdes et les plus impossibles. Nous avons laissé dire et laissé faire tout et n'importe quoi, au point que certains d'entre nous ont eu honte d'être ce qu'ils sont, ployant sous des tombereaux d'accusations qui ne reposent sur rien de vrai (même un tout petit peu). Nous nous réveillons devant le champ de ruines que nous avons laissé entasser, parfois même en nous en excusant, de trucs vieux de 4 ou 500 ans... Je n'ai pas trouvé d'explication à ces folies, mais la ''justice immanente'', seule, permet de trouver des solutions vers un retour à la normale, qui permettra à son tour de voir clair dans le jeu de nos contempteurs qui sont en train de devenir nos ennemis, qui applaudissent les égorgements, qui rient des assassinats, qui voient des héros dans les pires salopards, qui ''conchient'' (comme disait Aragon) notre drapeau et notre Marseillaise et qui mettent un point de leur manque d'honneur à ne nous trouver que des défauts.... comme si c'était statistiquement possible ! L'homme, rappelait la Fontaine, fut créé besacier : une poche par devant pour voir les défauts des autres, et une par derrière, pour ne pas pouvoir regarder les siens propres !
  Ce qui semble certain, c'est que notre destin est scellé si nous ne balayons pas tous les concepts tordus, soi-disant humanistes, faussement bien pensants, artificiellement modernes et mensongèrement progressistes qui nous ont conduits dans l'impasse dans laquelle nous nous débattons sans plus rien comprendre à ce qui nous arrive face au terrorisme, à l'immigration, à la ''pandémie'', aux faux ''migrants'', à l'économie en chute libre, à la morale et à la perte de repères (en chute accélérée, elles) et, en somme... à tout, en un mot... Mais à notre destin, sera lié celui de ceux dont l'action néfaste aura causé notre perte, car la justice immanente a ceci de beau qu'elle circule dans les deux sens du temps, de l'Histoire et de l'humanité : ce qui est puni aujourd'hui contient en soi la punition de demain pour ceux qui se sont cru des justiciers, le temps d'accomplir leurs forfaits... Tout ce mauvais cinéma, les français en ont marre. Aujourd'hui, on n'a plus besoin d'émotions fabriquées, on veut du courage. Et rien d'autre.
  La seule prévision possible, aujourd'hui, ce serait ''Après nous, le déluge''... mais dit dans un sens rigoureusement opposé à celui dans lequel Mirabeau, Madame de Pompadour et Louis XV lui-même l'auraient, raconte-t--on, utilisé : aujourd'hui, ce n'est pas une hypothèse, hélas, c'est une prévision effroyable.
H-Cl.
PS : de nombreux lecteurs s'étonnent de mon silence sur l'élection américaine de ce jour.. La raison en est simple : pour une fois, mon modèle ne me suggère pas une réponse nette. La logique, au vu de son bilan économique, voudrait que Trump gagne aisément, malgré le covid. Mais les démocrates ont rendu ce scrutin tellement irrationnel et la société américaine est tellement fractionnée qu'il est impossible de savoir qui, du rationnel ou de l'irrationnel, va prendre le dessus, et les sondages ne veulent rien dire. Je fais du bout des lèvres le choix de Trump, par amour pour ce que furent les Etats-Unis, en craignant de me... trumper ! Mais il y aura des pleurs et des grincements de dents, demain
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365histoires · 4 years
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(Jean-Louis Gaillard) Ne faites pas comme moi !
Ne pas mettre en garde ceux qui font leurs débuts dans la vie, contre les dangers qui les guettent et qui risquent de gâcher toute leur existence, serait ne pas les aimer, et ce serait même trahir la confiance que les jeunes peuvent avoir en leurs aînés. Mieux qu’une argumentation, voici un fait qui me paraît mériter d’être cité, laissant au lecteur le soin de dégager de ce récit la leçon qu’il comporte.
Il y a quelque temps, entrant en conversation et abordant le sujet religieux avec une jeune femme, plutôt richement habillée et portant croix huguenote, il me fut donné d’entendre les étonnantes paroles suivantes :
— Je ne vous connais pas, mais il me suffit de comprendre que j’ai affaire à un chrétien pour que je vous parle à cœur ouvert : j’ai de l’argent à volonté ; mais je ne suis pas heureuse et je ne le serai jamais, car j’ai perdu la foi chrétienne de mon adolescence, j’ai même perdu l’honneur. En dépit des apparences, je ne suis qu’une épave roulant vers l’abîme, je ne me fais aucune illusion, je suis perdue, car je n’ai plus de volonté ; tous les ressorts sont brisés.
Et tout cela, parce que par deux fois, à l’aube de mes vingt ans et puis un peu plus tard, j’ai dit oui alors que j’aurais dû dire non. Demandée en mariage par un jeune homme que je connaissais peu et qui n’avait pas mes sentiments religieux, j’aurais vite compris que le refus s’imposait si j’en avais fait un sujet de prière mais, quasi orpheline, ayant l’ardent désir de fonder un foyer, je me dis : « ce jeune homme paraît gentil, il ne refusera pas de m’accompagner au temple, il se convertira et tout ira bien. » Et le mariage se fit. Naïve que j’étais, il ne me fallut pas longtemps pour réaliser mon erreur, car non seulement c’était l’incompréhension sur la question religieuse mais aussi sur d’autres points et je fus profondément déçue de n’avoir pas rencontré le compagnon de route rêvé. Deux ans après, devenue maman, je me vis abandonnée et incapable, pour raison de santé, de fournir un travail normal. Désemparée, dans un état d’abattement et de dépression, je ne pouvais être qu’une proie facile pour un tentateur aux aguets. J’aurais dû bondir d’indignation et rejeter ces billets qui m’étaient offerts… au prix de mon honnêteté, mais la misère est mauvaise conseillère et je succombai. Je sais que j’ai tort ; mais vous ne pouvez pas savoir ce que c’est lorsqu’on est incapable de réagir. Je ne sais pourquoi je me suis sentie poussée à vous dire tout cela, à vous que je vois pour la première et dernière fois, c’est sans doute parce si tout est fini pour moi, je pense aux autres, j’ai la hantise des autres. Je voudrais crier à tous les jeunes que je rencontre : « Voilà ce qui m’est arrivé, ne faites pas comme moi. » Oh ! Si vous avez l’occasion de vous adresser aux jeunes de nos églises, racontez-leur mon histoire afin que cela leur serve de leçon.
Bien sûr, avec le Seigneur, nous sommes encore pour un peu de temps dans le temps de la grâce, c’est-à-dire le temps où on peut être pardonné de nos erreurs passées, de nos péchés. Il suffit de Lui demander pardon, reconnaissant notre état de pécheur et croyant que, sur la croix du calvaire, Jésus a payé le prix pour que nos péchés soient pardonnés, effacés et qu’une vie nouvelle de paix, de lumière et de vérité deviennent nôtre. Oui il n’est pas trop tard ! Venons à Lui de tout notre cœur car aujourd’hui encore c’est un jour de grâce !
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sdaryane · 5 years
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Mon rêve...
Je ne sais pas s’il est obligatoire d’avoir un rêve, ni même s’il est normal de ne pas en vouloir un mais je ne pense pas faire exception. Mon rêve c’est ce roman où je deviens cet être si unique et passionnant que tout le monde voudrait être moi. Seulement voilà, je ne suis qu’une pauvre femme bientôt divorcée, mère de 3 mouflets, qui a été mal aimée, maltraitée, délaissée, abusée, abandonnée et surtout déshumanisée. Pour autant, il y a cette force invisible mais irrépressible qui me pousse tous les jours à croire qu’un beau matin on me verra enfin!
Je ne dis pas que je veux être vu comme une star internationale avec sa photo dans tous les magasines où sur toutes les chaînes, non, mais je voudrais être vue comme la femme de quelqu’un qui a conscience de la véritable valeur ajoutée que je peux être pour lui parce que c’est moi et pas une autre.
On rêve toutes de l’homme idéal: beau, attentionné, gentil, généreux, viril mais pas trop, sensible mais pas trop et surtout surtout réel! Ça peut paraître fou, stupide voire présomptueux mais c’est cela que toutes les femmes veulent en vérité: un homme vrai. Attention à ne pas confondre avec un homme trop sûr de lui, pédant, macho ou crâneur!
Prenons par exemple le prix d’un tableau. Un jour, je me souviens avoir flashé devant un magnifique tableau et je le voulais absolument pour chez moi. Or, son prix exorbitant me fit tout de même hésiter car j’estimais ne pas être en mesure de me l’offrir. C’est alors qu’une connaissance à moi me fit une remarque tout à fait pertinente: « La seule valeur des choses est celle qu’on lui donne! ». Ce n’est pas parce que ce tableau était cher que je ne pouvais me l’offrir car j’en avais les moyens mais seulement car je ne faisais pas assez confiance en mes finances pour m’autoriser à craquer.
Pour les hommes, je pense que c’est la même théorie. Nous voyons toutes notre homme idéal comme inaccessible car nous imaginons que nos critères rédhibitoires ou non sont surévalués lorsque nous sommes en sa présence. Tout d’un coup, l’homme dont on a toujours rêvé ne nous semble plus aussi beau, plus aussi sensible et plus aussi parfait ou alors c’est tout l’inverse. Cet homme est tellement parfait qu’à ce moment là c’est nous que nous trouvons indigne de lui. On se demande ce qu’il peut nous trouver ou alors tout simplement à quel moment ça va merder!
C’est exactement ce que j’ai vécu avec Sébastien et Gregory!
Quand Sébastien a jeté son dévolu sur mon profil Meetic je me suis immédiatement dit qu’il avait sûrement fait une erreur. Sa photo de profil en maillot de bain rouge à la David Hasselhoff, prise en contre plongée, laissant en pleine vue ses abdos redessinés par les gouttes d’eau de mer déferlantes sur son torse ne laissait aucune place à mon imagination sur la valeur que j’allais bientôt donner à ce trophée inaccessible. Je ne détaillerai pas le bleu profond de ses yeux totalement envoûtant et la blondeur de ces cheveux finissant de parfaire le fameux tableau dont j’avais toujours rêvé.
En ce qui le concerne, rien que le fait qu’il s’attarde sur moi ne serait-ce que pour boire un verre était déjà une opportunité jamais autant espérée. Je fus du coup d’autant plus sous le charme quand il décida de m’embrasser, de me faire l’amour, de m’épouser et de me faire des enfants!!!!J’étais l’élue bon sang, la seule, l’unique! Le trophée c’était moi en réalité...jusqu’à l’extinction du faux semblant, l’apparition de la tromperie et de la manipulation. En fait, je vivais un rêve et je me suis réveillée.
Ce genre de réveil est assez rude je vous l’avoue mais n’est-il pas plus juste de souffrir d’un mauvais rêve sachant que la vrai vie nous attend que de demeurer endormie sans n’avoir jamais rien vécu de palpitant, d’excitant et finalement de réel.
Nous en revenons toujours au même point en définitive:le réel.
Partons du postulat que le rêve est l’idéal et le réel le juste. Cela signifierait que si nous voulions atteindre l’idéal, il faudrait vivre perpétuellement dans l’illusion, le mensonge voire l’utopie.
Vivre dans la réalité serait donc synonyme de souffrance, de déception et de rabais permanent de nos exigences. En gros, il faut savoir se contenter de peu plutôt que de rien à force de vouloir trop. Je ne sais pas si c’est bien accessible tout ça? Suis-je la seule à me torturer avec ce genre de débat existentiel?
Mon ami Mike que je considère comme mon jumeau maléfique a un avis bien tranché sur la question. Pour lui rien n’est impossible, rien n’est inaccessible. S’il veut quelque chose il l’obtient ou fait tout pour en tous cas. S’il échoue il part du principe que cela ne devait pas être autrement et passe à un autre objectif. Son opportunisme et sa détermination m’ont toujours fasciné. Malheureusement, en bonne jumelle maléfique, je suis son opposée totale et radicale. Pour moi, tout est impossible et inaccessible. Si je veux quelque chose qui me semble hors de portée je fais en sorte de l’oublier plutôt que de me battre pour l’obtenir. C’est désolant, non?
Pour autant, je ne sais pourquoi la perception du reste du monde sur moi est différente de la mienne. En effet, tout mon entourage me voit comme une guerrière, une battante, une force née voir même une bâtisseuse. Je suis sûre que les notions de rêve et de réel commencent à vous parler. En fait, dans la vie tout est définitivement une question de point de vue. Que l’on se positionne du nôtre ou de celui des autres au final la réalité est la vie qui se joue devant nos yeux.
Ma réalité n’était pas le rêve que Sébastien me faisait vivre car au final après m’avoir trompé, il a ressayé plusieurs fois malgré le fait de m’avoir fait croire qu’il voulait sauver notre famille pour finir par me quitter lâchement à la première erreur que j’ai osé commettre pour enfin me sentir réellement vivre!
Le problème avec le réveil de ce genre de rêve c’est qu’après tout ce que l’on vit nous semble fade ou pire encore: dangereux!
C’est là que Gregory entre en scène non sans peine pour essayer de me faire vivre le réel. Cet homme là est aux antipodes de mon idéal, enfin plutôt de ce que je pensais être mon idéal bien sûr.
Il est brun déjà, avec des yeux verts. Il est plus maigre que moi et il parle peu bref je passais du feu à la glace en l’occurrence. La cerise sur le gâteau était nos 11ans de différence qui plus le temps passait plus me faisait réaliser l’angoisse qui grandissait en moi sur son éventuelle disparition prématurée de ma réalité.
Pour autant, à l’inverse de Sébastien il était discret mais observateur, timide mais audacieux, fort mais sensible. Bref, cet homme là ressemblait de plus en plus à celui qui pourrait me voir comme je l’avais toujours voulu mais pour autant je refusais d’y croire. Et oui, quand on a vécu 13ans dans le mensonge plus rien ne nous semble réel ou même concret. Je refusais encore de croire que l’on puisse me regarder, me désirer ou même m’aimer. Sébastien me répétait tellement tous les jours que je n’étais pas câline, pas aimante et encore moins attirante que ces adjectifs ne risquaient plus de faire partie de ma description personnelle.
Gregory m’a appris à les rapprivoiser. Je ne dis pas que j’y crois définitivement mais aujourd’hui grâce à lui je suis capable de les entendre. Ce qui est drôle c’est vraiment ce sentiment de nouveauté. Je ne supportais pas que l’on me touche et désormais quand ses mains sont loin de moi je me sens mal. Je ne supportais pas d’être collée par l’autre et maintenant je suis en perdition quand nous sommes séparés trop longtemps. Je pensais être incapable d’aimer et d’être aimée et cet homme-là m’a donné le goût de l’amour.
Aujourd’hui, j’aime qu’il me regarde dans toutes les situations, j’aime aussi le regarder dans toutes les situations. J’aime qu’il m’observe en enregistrant des données sur moi pour pouvoir s’en servir afin de me surprendre et me plaire. J’aime le gâter, le pourrir et le remercier tous les jours d’être là pour moi. J’aime sa façon de travailler et d’avancer dans la vie. J’aime son calme et son pragmatisme. J’aime son besoin de me faire plaisir et son souci de me plaire.
Cependant, ce n’est pas sans peur ou sans reproche!
Je venais de me faire quitter lamentablement par un homme qui se voulait juste et droit, irréprochable et au dessus de tout soupçon alors qu’il se révéla menteur, manipulateur et infidèle. Et je venais de rencontrer un homme que je savais infidèle tout au long de sa vie, se croyant malade d’ailleurs à ce sujet et pour autant il ne me cacha rien de son passé, jusqu’aux détails les plus sordides comme une confidence.
Je dis souvent que la vie n’est qu’une succession de prises de risques et que tant que le bénéfice d’une situation ne rattrape pas le risque encouru elle vaut le coup d’être vécue.
Gregory c’est mon plus gros risque dans ma vie de femme car je dois accepter de repasser par l’horreur, le mensonge et la tromperie. Pour autant, je ne sais pas pourquoi je ne l’envisage pas. Sans doute parce que rien ne nous oblige à être ensemble, rien ne nous lie vraiment sauf l’envie.
Alors rêve ou réalité???
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fallenrazziel · 5 years
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Les Chroniques de Livaï #362 ~ UN CHOIX SANS REGRET (juillet 845) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Je déambule dans les rues d'Erhmich depuis déjà pas mal de temps, sans savoir si je veux rentrer ou non. Après l'annonce d'Erwin, je me suis lâchement enfui, n'en croyant pas mes oreilles. Et pourtant, je peux pas dire que je m'y attendais pas.
J'ai dormi dans un petit bois sur la route du nord, à la belle étoile, et ça m'a fait du bien. J'avais besoin de m'isoler des autres, et de faire le point. J'ai juste réussi à me coller un sérieux mal de crâne. Alors j'ai arrêté de penser et essayé sérieusement de dormir sinon mes yeux seraient tombés. Je me suis réveillé ce matin un peu moins fatigué et j'ai repris la route vers Ehrmihc.
Je connaissais pas tellement la ville alors j'en ai profité pour faire le touriste, tout en continuant de ruminer. Je me suis retrouvé près d'un champ de course et j'ai regardé les cavaliers galoper à fond de train sur la piste tandis que les bourgeois parieurs autour de moi gueulaient comme des gorets... En les regardant faire comme si de rien n'était, je me suis vraiment rendu que je vivais pas du tout dans le même monde. J'avais pas la tête à me mêler à eux. Mais c'était hypnotisant. Pendant quelques minutes, j'oubliais mon sujet d'inquiétude. Mais sitôt quittée cette foule bruyante, c'est revenu me hanter.
Je voulais pas que Erwin devienne major. Même si je me suis dit que c'était inévitable, ça me mettait en rogne. Et puis avec l'autre connard que j'avais chopé hier sans trouver le courage de lui faire sa fête devant sa petite famille... J'étais au bout du rouleau, j'avais envie de frapper quelqu'un, juste pour me calmer. Alors je suis entré dans le premier bar sur mon chemin, j'ai relevé mes manches et j'ai défié le premier venu de me battre au bras de fer. Deux se sont proposés, mais après les avoir vaincus sans difficulté, plus personne s'est présenté. J'avais encore de l'énergie à revendre, mais je savais pas quoi en faire. Alors, je suis revenu à Trost, à mon rythme.
Je traîne les pieds près du fleuve, tandis que la lumière baisse. Ca fait presque une journée entière que je me suis tiré. Et je suis pas plus avancé. Y a trop de trucs qui se bousculent dans ma tête. Je savais que nos vies allaient changer, mais certaines choses auraient pu rester les mêmes. Un major, ça mène pas son escouade, ça chevauche devant tout le monde en donnant des ordres ; ça se bat pas non plus, ça reste bien assis sur son cheval sans dévier de la route. Je connais Erwin, ça va l'emmerder d'en être réduit à ça. Ca me fait chier aussi... Je veux pas être sous les ordres d'un autre chef d'escouade... S'il m'inflige ça, je pourrais pas continuer à être explorateur... C'était pas ce que j'avais prévu, le jour où je me suis dit que...
C'était quand ? J'essaie de me remémorer le jour où je me suis fait cette promesse. C'était après la mort d'Isabel et Furlan, peut-être un mois plus tard, je sais plus. Erwin était en train de donner des instructions dans la cour et j'étais assis dans un coin à me morfondre en attendant l'instructeur des cours équestres. Mais je pouvais pas m'empêcher de remarquer à quel point il menait parfaitement tout le monde, avec toujours un temps d'avance, plein de prévoyance et... Je ne l'ai pas formulé directement comme ça mais je me suis dit qu'il avait quelque chose qui me manquait ; quelque chose que je n'arrivais pas à définir mais que je voyais très clairement en lui. Et je me suis promis de le suivre jusqu'à ce que je comprenne ce qu'était cette chose.
Je ne l'ai toujours pas trouvée mais la quête est grisante. Je veux pas qu'elle s'arrête. Mais tout ça... ce nouveau poids sur ses épaules... Quand je vois ce que Shadis est devenu, je veux pas que ça lui arrive... Je devrais lui dire de pas le faire, que c'est trop lourd... Mais je trahirai sa confiance si je faisais ça. Et puis, merde, il est le seul qui peut le faire, je le sais bien !
Je m'assois sur un trottoir, sous un réverbère qu'un type vient juste d'allumer et je pose mes bras sur mes genoux et ma tête sur mes bras. Toute ma vie me repasse devant les yeux, par bribes. Toutes ces vies que j'ai perdues... Maman... Clem... Isabel... Furlan... Greta... Et y'en a eu d'autres. Ils sont tous morts à cause de moi, d'une façon ou d'une autre. Je porte la poisse, j'y peux rien. Dès que je m'attache à des gens, ils disparaissent. Ma seule existence est une calamité...
Ces idées noires me traversent maintenant, alors que Erwin vient de nous annoncer sa nomination, le moment le plus important de sa carrière, de sa vie peut-être, et je ne peux que m'apitoyer sur mon sort. Je me sens nul. Erwin est à la hauteur, mais moi ? Est-ce que je suis encore prêt à subir des pertes douloureuses à cause de cette malédiction qui s'attache à moi ? Est-ce que je veux recouvrir de mon ombre tous ces gens qui ont foi en ce qu'ils font ?
Mon ombre... Non, ma fierté. Ca a toujours été ça ! Merde, v'là qu'il flotte ! Je me relève et va m'abriter sous une porte cochère en attendant que ça passe. Le son de la pluie me calme et je jette un oeil nouveau sur tout ça.
Réfléchis, Livaï. Pourquoi ils sont morts ? Clem m'avait demandé de rejoindre le gang et j'ai refusé ; par fierté parce que je voulais être libre. J'aurais pu accepter... et il serait peut-être vivant aujourd'hui. Ou pas, mais comment en être sûr ? J'aurais peut-être pu le sauver. Et Furlan et Isabel ? Ils sont morts parce que j'ai pensé qu'à moi, à mon envie de tuer Erwin, plutôt qu'à leur sécurité. Si j'avais écouté Furlan, ils seraient encore vivants je suppose... ou alors ils seraient morts à un autre moment, mais encore une fois, je ne le saurais jamais.
Et si j'avais pris de force le gaz de ce type au lieu de me laisser distraire par ses gémissements, Greta serait rentrée avec moi.
On ne peut pas savoir quelles seront les conséquences de nos actes. On peut juste avancer en espérant faire au mieux... C'est comme ça que Erwin fonctionne. Il avance toujours, même si tout s'écroule autour de lui. Il peut changer les choses car il n'a pas peur. Et moi, j'ai peur ?
Je me rends compte que je me suis menti pendant tout ce temps. Ce n'est pas mon existence qui porte malheur à mes proches ; j'ai juste fait... de mauvais choix. Des choix égoïstes. Je suis le seul à pouvoir décider de ce que je veux faire. Si je voulais être égoïste, je quitterai le bataillon maintenant, car ça sent tellement mauvais que je veux pas encore souffrir. Mais si je le fais... combien de gens vont encore mourir ? Peut-être plus, ou moins que si je restais ? Je n'en sais rien... Erwin le saurait peut-être...
Le tout c'est de ne pas regretter. Avancer, sans oublier les sacrifices, mais sans se retourner. Faire au mieux, faire ce qu'on peut... De toute façon, on ne peut pas savoir à l'avance de quoi l'avenir sera fait. Alors je vais m'en remettre à lui, car il en sait plus que tout le monde. Plus que moi en tout cas.
Pourquoi je me pose toutes ces questions alors que je sais que ma décision est déjà prise ?
Il a besoin de moi. Ses ennemis le cernent déjà, ils vont en profiter pour lui nuire... Je dois veiller sur ses arrières, c'est dans mes cordes. Et puis je ferais quoi de ma vie ? Bordel, Erwin serait même foutu d'oublier de manger si je suis pas là ! Avec tout ce qu'il va devoir gérer... Je dois rentrer, leur montrer que je suis là ; même si je suis toujours en colère parce qu'il a gardé ça pour lui sans nous en parler aussitôt.
Comme si le temps reflétait mon état d'esprit, la pluie cesse et l'air se fait plus clair. Je note au loin les fenêtres illuminées du QGR au dernier étage. Ca bosse encore là-bas ou bien... la bigleuse a pas organisé cette putain de fête, quand même ?! Elle en serait bien capable. Elle va fatiguer Erwin avant même qu'il ne prenne son poste ! Va falloir que je m'en mêle. Quoique... un verre ou deux me feraient du bien...
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eglise22 · 3 years
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Baptisés et confirmés grâce aux témoignages de croyants
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Ounissa et Benjamin sont deux adultes qui ont été baptisés et confirmés, à Pâques, dans la paroisse Notre Dame de la Mer. Nous les avons rencontrés, en présence d'Emmanuel Briand, diacre et accompagnateur de leur préparation.
Ounissa et Benjamin, pouvez-vous vous présenter ?
OunissaJ'ai 55 ans. Je suis née à Soissons (Aisne) et j'ai deux enfants de 25 et 30 ans. Je suis arrivée en Bretagne en 1996, d'abord à Étables-sur-Mer puis à Plérin et à Saint Brieuc. Je suis actuellement aide-ménagère. Enfant, j'ai été confiée à une nourrice qui était croyante. A 11 ans, je voulais être baptisée mais je n'ai pas eu cette chance.Plus tard, j'en ai parlé autour de moi mais les réactions étaient négatives. Certains me disaient que je n'avais pas le droit d'être baptisée, compte tenu de mes origines maghrébines. Je n'avais plus confiance en personne.Heureusement, à mon arrivée en Bretagne, la confiance est revenue grâce à mon travail dans une famille croyante qui m'a beaucoup aidée. En participant à la messe, je me suis sentie peu à peu attirée par la religion, j'avais envie d'être baptisée.J'ai contacté le presbytère et le Père Roland. Puis, tout s'est enchaîné. Je me sentais chez moi, j'avais l'impression d'être sur une autre planète par rapport à ce que j'avais vécu auparavant. Cela m'a redonné confiance. J'avais l'impression de renaître, grâce aux « bons témoins » qui m'entouraient de façon affectueuse.
BenjaminJ'ai 40 ans et deux enfants de 3 et 7 ans. Je suis arrivé en Bretagne depuis un an, à Pordic, où j'habite avec ma compagne.Durant mon enfance, je n'ai pas connu la religion catholique, ma famille était très éloignée de la foi. Ma curiosité m'a amené à m'interroger sur les questions concernant la vie et la foi. En rencontrant des catholiques, j'avais l'impression de trouver des réponses dans leur regard, dans la paix intérieure dont ils témoignaient.J'ai rencontré ma compagne, catholique croyante, il y a dix ans. Je l'ai suivie aux offices dans notre paroisse à côté de Versailles, avec un a-priori positif. J'étais un peu perdu dans ce nouveau contexte. Pour la première fois, je voyais des gens chanter avec joie. J'ai vécu des moments très forts qui m'ont bouleversé.
Quelles sont les motivations qui vous ont engagé sur le chemin du baptême ?
OunissaToute ma démarche est liée aux personnes qui me soutiennent aujourd'hui. Avant, j'étais entourée de personnes qui me voulaient du mal, qui me jugeaient sans me connaître. Durant ma vie, très souvent, j'ai été tributaire du choix que les autres faisaient pour moi.Ma demande de baptême est mon premier acte de liberté depuis ma naissance. J'ai écouté mon cœur et j'ai eu l'impression de renaître. Grâce aux témoins que j'ai pu rencontrer, mon baptême est un acte qui m'engage à progresser dans la recherche de Dieu et à vivre ce qu'il a enseigné.
BenjaminDans ma paroisse de Versailles, j'ai participé aux réunions d'un « groupe des pères ». Les 60 membres abordaient à chaque fois un thème différent. Ces discussions m'ont éclairé dans mes questionnements et m'ont fait progresser. J'ai ensuite participé à des pèlerinages à Vézelay. Ma foi a grandi, mon cœur s'est ouvert aux signes que Dieu m'envoyait.J'ai fait ma demande de baptême en 2019. Je vais me marier en mai prochain et je souhaitais faire les choses dans l'ordre. Je voulais d'abord être baptisé pour ensuite vivre pleinement mon mariage. Je fais confiance au Christ. Comme dit St Augustin à propos de Dieu « Je te cherchais, tu étais au dedans de moi ».
Comment avez-vous vécu la préparation au baptême ?
BenjaminJ'avais commencé la préparation au baptême en région parisienne avec deux accompagnateurs du « groupe des pères ». Le confinement lié au Covid a freiné ma démarche car les réunions du soir devenaient difficiles. Après mon arrivée en Bretagne, j'ai repris la préparation à la paroisse Notre Dame de la mer en septembre 2020 avec Emmanuel et Samira. Cela m'a permis de clarifier et d'approfondir ce que j'avais travaillé précédemment.J'ai beaucoup lu le livre Youcat destiné aux jeunes catéchisés à raison de 2 à 3 pages par jour. Il aborde des questions concrètes que les jeunes (et adultes) se posent. J'ai relu l'évangile selon St Mathieu et le contexte historique de la vie de Jésus.
OunissaJ'avais commencé la préparation avant le confinement. Elle m'a permis de prendre confiance en moi et d'avoir des réponses à mes questions. Cela m'a donné envie d'apprendre et de progresser.A chaque rencontre, nous travaillons par fiches avec des thématiques en nous appuyant sur les textes bibliques ou les textes du rituel du baptême. Ces derniers mois, la préparation s'est accélérée avec notamment l'appel décisif de l'Evêque, Mgr Moutel, à Pléneuf-Val-André.
Qu'avez-vous ressenti lors du baptême ?
Benjamin Tout se passe très vite, je suis encore en train de redescendre sur terre. Je n'ai pas eu le temps d'analyser ce que le baptême m'a apporté, les impressions sont récentes dans ma tête. Le baptême a été pour moi un passage. Il est symbole de mon engagement pour honorer tout l'amour que Jésus Christ me porte. Beaucoup de choses commencent à changer en moi car je sens que Dieu a déjà reconnu cet engagement. Je me sens également en accord avec moi-même dans une décision prise en grande liberté. Je sais que Jésus m'aime, mais maintenant je me sens renouvelé dans ma vie. J'ai passé une porte et je rentre pleinement dans l'amour de Dieu.
OunissaJ'ai l'impression de renaître. Je me sens libre, je me sens moi-même. Je remercie Dieu tous les jours, je me sens très proche de lui.
Comment pensez-vous poursuivre votre cheminement vers Dieu ?
BenjaminJe continue à m'informer sur la foi en écoutant des pod-casts et en consultant internet. Je veux progresser en matière de prière. Je veux demander à Dieu sa miséricorde pour qu'il me donne la force de vivre selon ses préceptes. J'ai parfois l'impression d'être un enfant qui s'adresse à son père.J'ai envie de m'engager dans des actions concrètes, de visiter des gens et de les aider. Je fais confiance aux responsables de la paroisse pour m'aider à discerner ce qui serait le mieux pour moi. Etre lecteur aux offices ? Il y a quelques années, je n'aurai pas pu le faire. Je l'ai fait le jour du baptême sans paniquer. Je mesure le chemin parcouru. Je sens que la temporalité de Dieu est différente. Lentement et doucement, les choses changent à l'intérieur de moi.Ce qui me plairait, c'est d'être témoin, de transmettre ce que j'ai vécu. Je connais des gens athées. Quand je leur parle de mon baptême, je sens que cela les questionne beaucoup, y compris dans ma propre famille.
OunissaLe baptême n'est qu'une étape dans mon cheminement vers Dieu. Je ne veux pas m'arrêter. Avant, je réagissais parfois avec agressivité. Depuis plusieurs mois, je suis plus apaisée, plus calme.Je souhaite participer au pèlerinage de Lourdes dès que possible. Je veux aider au niveau de la paroisse, en fonction de mes possibilités.
Emmanuel Briand :« Je suis édifié par leur parcours de foi et admiratif de leur démarche. Réunion après réunion, j'ai pu observer leur progression, grâce à la présence et à l'œuvre de l'Esprit-Saint. En tant qu'accompagnateurs, nous aussi, nous grandissons dans notre cheminement de foi. Nous recevons bien plus que nous donnons. »
voir aussi article Retour sur la Semaine Sainte 2021 .
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christophe76460 · 28 days
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.
samedi 30 mars 2024
THÈME : SOIS UN MODÈLE SELON DIEU (𝟏)
BIBLE EN UN AN : 2 Samuel 1, 2 Samuel 2, 2 Samuel 3, 2 Pierre 2, 2 Pierre 3
ÉCRITURE DE FEU : Tite 2:7-8
VERSET DE MÉMOIRE :
1 Corinthiens 11:1 -"Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ."
CITATIONS INSPIRANTES :
Beaucoup de gens attendent de lire la Bible à travers vous. Vivez donc une vie chrétienne exemplaire.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR :
Votre vie doit orienter et conduire les gens vers Dieu et non pas les distraire, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Dieu veut que nous, en tant que chrétiens, vivions une vie juste, une vie digne d’être imitée dans et hors de l’Église. La Bible nous conseille également de nous conduire avec sagesse dans la maison de Dieu et devant les autres, de telle sorte qu’aucune parole contraire ne soit prononcée contre Dieu à cause de nous.
La vérité, bien-aimés, est que nous sommes dans le monde mais pas de ce monde. Notre destination finale en tant que chrétiens est le ciel, vivant dans l'éternité avec Jésus-Christ. Mais tant que nous sommes ici sur terre, nous devons vivre et manifester des traits de caractère exemplaires que les autres verront et dont ils apprendront. Malheureusement, de nombreux chrétiens d’aujourd’hui sont loin de dégager de tels traits pieux ; ils ne prêchent pas Christ sans paroles.
Être un modèle signifie se montrer comme un bon exemple aux autres en paroles et en actes. Cela signifie montrer la piété en vous pour que les autres puissent l’imiter. Pouvez-vous vous porter garant dans cette catégorie ? Vous n’avez pas besoin de devenir un leader avant de commencer à manifester des qualités divines.
Matthieu 5 : 16-17 dit : « Que votre lumière brille ainsi devant les hommes afin qu'ils voient vos bonnes œuvres et qu'ils glorifient votre Père qui est dans les cieux. » Cela vous demande de faire une différence flagrante qui sied à un enfant de Dieu, où que vous vous trouviez. Faites briller cette lumière de Dieu dans votre environnement ; la maison où vous vivez, votre bureau ou votre marché, votre communauté et même votre église.
N'oubliez pas que le monde veut vous lire comme un livre. Vous êtes l’épître que les autres veulent lire avant de lire la Bible. Laissez vos paroles et vos actions parler du Christ, dont vous êtes, et définir également qui vous êtes réellement. De nombreuses personnes apprennent de vous en observant vos attitudes, comportements et déclarations pieuses qui montrent que vous êtes effectivement un bon et digne ambassadeur du Christ.
Bien-aimé, Dieu peut-il vous faire confiance pour être son ambassadeur et son modèle sur terre aujourd’hui ? Il attend de vous, en tant que croyant, que vous tourniez les pécheurs vers Christ et les incroyants vers la justice à travers votre style de vie. La vérité est que tous les chrétiens sont appelés à adopter un style de vie évangélique. Grâce à notre style de vie exemplaire, vous et moi devons faire en sorte que le monde voie, apprécie et recherche le Christ et tout ce qu’il représente.
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. O Dieu, lève-toi et fais de moi un point de référence à imiter pour les autres, au nom de Jésus.
2. Les attributs négatifs qui insultent le nom du Seigneur, quittent ma vie maintenant, au nom de Jésus.
3. Père, aide-moi à gagner des âmes sans paroles, au nom de Jésus.
SOIR
4. Ma vie ne sera pas une honte pour le ciel, au nom de Jésus.
5. La lumière de Dieu brille en moi et à travers moi, au nom de Jésus.
6. Tout domaine de ma vie qui doit encore s'adonner à Dieu, adonne-toi maintenant, au nom de Jésus.
7. Saint-Esprit, arrose ma vie pour qu'elle puisse porter des fruits pieux et demeurer en Christ, au nom de Jésus.
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yes-bernie-stuff · 2 years
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La bonne attente
La bonne attente
17/07/2022
“Je m’attends à Toi tout le jour.” Ps 25. 5
Dans le Psaume 25, David écrit deux fois qu’il s’attend à Dieu. “Fais-moi connaître Tes voies, enseigne-moi Tes sentiers ! Conduis-moi ; instruis-moi. Je m’attends à Toi tout le jour.” Le croyant qu’il est demande à Dieu de Se souvenir qu’il regarde à Lui et attend de Lui une réponse. C’est un cri de confiance que de déclarer : “Seigneur, Tu sais que je m’attends à Toi”. La prière devient un plaidoyer plein de force et de confiance, et donne au priant la hardiesse d’attendre de Dieu des accomplissements aux promesses. C’est ce qui permet à David de dire encore : “Aucun de ceux qui s’attendent à Toi ne sera confus” (Ps 25. 3). À la fin du même psaume, l’auteur termine en ces termes : “que l’intégrité et la droiture me préservent, car je me suis attendu à Toi” (v. 21). Cette prière est d’une grande lucidité quant à la vie spirituelle. Quand nous nous approchons de Dieu, il faut que nous le fassions avec intégrité, innocence et droiture. Ces qualités de cœur doivent présider à tous nos rapports avec Dieu, comme le dit encore le psaume 26 : “Rends-moi justice, Seigneur, car je marche dans l’intégrité… Je mène une vie sans reproche ; accorde-moi la grâce ! Délivre-moi !” (Ps 26. 1, 11). Prenons-en conscience, pour nous approcher du Dieu saint, il faut préparer notre cœur et nous laver de toute souillure, sachant que c’est Lui qui donne la force et le pouvoir de changer. “Car je m’attends à Toi !” Toute prière peut être ponctuée par cette expression. C’est pourquoi il est nécessaire d’en mesurer la portée. Soyons bien au clair sur ce que doit être le sujet de notre attente. De même, vérifions à qui nous nous attendons. Il s’agit du Dieu vivant tel qu’Il est dans Sa gloire, dans Sa sainteté, dans Sa puissance, dans Sa sagesse, Sa bonté, Son amour, Sa bienveillance. Est-ce vraiment à Lui que vous vous attendez ?
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shalomelohim · 3 years
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Rechercher la grâce ou le mérite par le “salaire” ?
“ Plusieurs des premiers seront les derniers et des derniers seront les premiers. “ (Matthieu 19:30)
Ces paroles de la Bible sont souvent mal interprétées ou mal comprises. Beaucoup, aujourd’hui en font une règle générale.
Mais c’est toujours difficile et dangereux de sortir un verset de la Bible, de son contexte et d’en faire une règle.
Yahshua répond à une question de ses disciples, concernant la récompense qui sera donnée à ceux qui l’auront servis et il y répond par ce verset, mais également par la parabole des ouvriers de la vigne qui y fait suite.
« Car le Royaume des Cieux est semblable à un maître de maison qui sortit dès le matin, afin de louer des ouvriers pour sa vigne. Il convint avec eux d’un denier par jour, et il les envoya à sa vigne.  Il sortit vers la troisième heure, et il en vit d’autres qui étaient sur la place sans rien faire. Il leur dit : Allez aussi à ma vigne, et je vous donnerai ce qui sera raisonnable. Et ils y allèrent. Il sortit de nouveau vers la sixième heure et vers la neuvième, et il fit de même. Étant sorti vers la onzième heure, il en trouva d’autres qui étaient sur la place, et il leur dit : Pourquoi vous tenez vous ici toute la journée sans rien faire ? Ils lui répondirent : C’est que personne ne nous a loués. Allez aussi à ma vigne, leur dit-il. 
Quand le soir fut venu, le maître de la vigne dit à son intendant : Appelle les ouvriers, et paye-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers. Ceux de la onzième heure vinrent, et reçurent chacun un denier. Les premiers vinrent ensuite, croyant recevoir davantage ; mais ils reçurent aussi chacun un denier. 
En le recevant, ils murmurèrent contre le maître de la maison et dirent : Ces derniers n’ont travaillé qu’une heure, et tu les traites à l’égal de nous, qui avons supporté la fatigue du jour et la chaleur. Il répondit à l’un d’eux : 
Mon ami, je ne te fais pas tort ; n’as tu pas convenu avec moi d’un denier pour une journée ? Prends ce qui te revient, et va–t’en. 
Je veux donner à ce dernier autant qu’à toi. Ne m’est il pas permit de faire de mon bien ce que je veux ? Ou vois-tu d’un mauvais œil que je sois bon ?
Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers. » (Matthieu 20:1-16)
*** Ce n’est pas une loi, même spirituelle, ce n’est pas obligatoire. C’est une conséquence de notre attitude de cœur. C’est nous qui choisissons d’être qualifiés ou disqualifiés.  Elohim appelle (ou embauche), la réponse nous appartient. ***
La réclamation des ouvriers de la première heure dévoile leur caractère. Car ils ont été traités avec Justice, ils protestent parce que d’autres sont traités avec générosité, c'est-à-dire par grâce non méritée.
Situons les personnages de cette parabole de la vigne :
Le maître de maison : c’est Elohim le Père.
La vigne : c’est l’Église ou l’Épouse de Yahshua.
Les ouvriers : chacun d’entre nous.
L’intendant : c’est Yahshua.
Dans les ouvriers, il y a deux catégories :
Ceux qui pensent mériter les bénédictions d’Elohim, comme un salaire.
Ceux qui croient que c’est une grâce, une faveur de servir Elohim, avec toutes nos imperfections, nos faiblesses.
Qui sont les ouvriers de la 11ème heure ?
Nous constatons 4 embauches :
1ère = dès le matin, c'est-à-dire 6 heures 2ème = 3ème heure, c'est-à-dire 9 heures 3ème = 6ème heure, c'est-à-dire 12 heures  4ème = 11ème heure, c'est-à-dire 17 heures
Ces derniers sont des rejetés, des abandonnés, des handicapés physiques ou mentaux, des âmes blessées, qui vivent dans la honte ou des personnes sans diplôme parce qu’ils n’ont pas pu faire d’études.
Écoutons leur réponse à la question : 
“ Pourquoi vous tenez-vous toute la journée sans rien faire ? C’est que personne ne nous a loués. “
Peut-être à cause de leur caractère, de leur fragilité physique, manque de qualifications, manque d’apparence, couleur de peau, ceux qui restent après 3 tris. 
Ils attendent un salaire, une grâce leur est offerte.  L’homme regarde à l’apparence, à la beauté physique, au poids des muscles.
“ L’Eternel dit à Samuel : Combien de temps encore vas-tu pleurer sur Saül, alors que moi, je l’ai rejeté pour lui retirer la royauté sur Israël ? Remplis ta corne d’huile et va à Bethléhem, je t’envoie chez Isaï, car je me suis choisi pour moi un roi parmi ses fils. Samuel répondit : Comment puis-je faire cela ? Saül l’apprendra et il me fera mourir ! L’Eternel lui dit : Tu emmèneras une génisse et tu diras que tu vas m’offrir un sacrifice. Tu inviteras Isaï à y assister et je t’indiquerai alors ce que tu devras faire. Tu conféreras de ma part l’onction à celui que je te désignerai. Samuel fit ce que l’Eternel lui avait ordonné. Lorsqu’il arriva à Bethléhem, les responsables de la ville, inquiets, vinrent au-devant de lui et lui demandèrent : Ta venue annonce-t-elle quelque chose de bon ? – Oui, répondit-il, c’est quelque chose de bon : je suis venu offrir un sacrifice à l’Eternel. Purifiez-vous et venez ensuite avec moi au sacrifice. Il demanda également à Isaï et ses fils de se purifier en les invitant à prendre part au repas du sacrifice. A leur arrivée, il remarqua Eliab et se dit : Certainement, c’est celui qui se tient maintenant devant l’Eternel qu’il a choisi pour lui donner l’onction. Mais l’Eternel lui dit : Ne te laisse pas impressionner par son apparence physique et sa taille imposante, car ce n’est pas lui que j’ai choisi. Je ne juge pas de la même manière que les hommes. L’homme ne voit que ce qui frappe les yeux, mais l’Eternel regarde au cœur. Ensuite Isaï appela Abinadab et le présenta à Samuel, mais il dit : L’Eternel n’a pas non plus choisi celui-ci. Puis Isaï fit avancer Shamma. Samuel dit à nouveau : L’Eternel n’a pas non plus choisi celui-ci. Isaï présenta ainsi sept fils à Samuel et celui-ci lui dit : L’Eternel n’a choisi aucun de ceux-là. Puis il lui demanda : Est-ce que ce sont là tous tes garçons ? – Non, répondit Isaï. Il reste encore le plus jeune qui garde les moutons au pâturage. – Envoie-le chercher ! ordonna Samuel, car nous ne nous installerons pas pour le repas du sacrifice avant qu’il ne soit arrivé ici. Isaï le fit donc venir. C’était un garçon aux cheveux roux, avec de beaux yeux et qui avait belle apparence. L’Eternel dit à Samuel : C’est lui. Vas-y, confère-lui l’onction. Samuel prit la corne pleine d’huile et il en oignit David en présence de sa famille. L’Esprit de l’Eternel tomba sur David et demeura sur lui à partir de ce jour-là et dans la suite. Après cela, Samuel se remit en route et retourna à Rama. “ (1 Samuel 16:1-7)
Avec Elohim, il faut toujours se souvenir de ceci :
" Je ne suis pas venu pour les bien-portants, ce n’est pas les bien-portants qui ont besoin de médecins. “ (Matthieu 9:12)
" La pierre rejetée par les bâtisseurs est devenue la principale de l’édifice. “ (1 Pierre 2:24 ou Matthieu 21:40-44).
C’est encore vrai aujourd’hui.
“ Seigneur tu ne changes pas, ta parole ne change pas et ce que tu dis dans ta parole, tu l’appliques : Ceux qui sont rejetés par les hommes, toi Seigneur, tu les accueilles, les aimes, les guéris et les établis, les qualifies pour travailler à ta vigne. “
Le royaume est ouvert à tous ceux qui sont pauvres, c'est-à-dire à tous ceux qui se reconnaissent pauvres comme ces ouvriers de la 11ème heures. 
” Heureux ceux qui se reconnaissent spirituellement pauvres, car le royaume des cieux leur appartient. Heureux ceux qui pleurent, car Dieu les consolera. Heureux ceux qui sont doux, car Dieu leur donnera la terre en héritage. Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés. Heureux ceux qui témoignent de la bonté, car Dieu sera bon pour eux. Heureux ceux dont le cœur est pur, car ils verront Dieu. Heureux ceux qui répandent autour d’eux la paix, car Dieu les reconnaîtra pour ses fils. Heureux ceux qui sont opprimés pour la justice, car le royaume des cieux leur appartient. Heureux serez-vous quand les hommes vous insulteront et vous persécuteront, lorsqu’ils répandront toutes sortes de calomnies sur votre compte à cause de moi. Oui, réjouissez-vous alors et soyez heureux, car une magnifique récompense vous attend dans les cieux. Car vous serez ainsi comme les prophètes d’autrefois : eux aussi ont été persécutés avant vous de la même manière. “ (Matthieu 5:3-12 - Les Béatitudes)
Remise des salaires
“ Car nous aurons tous à comparaître devant le tribunal de Yahshua et chacun recevra ce qui lui revient selon les actes, bons ou mauvais, qu’il aura accomplis par son corps. “ (2 Corinthiens 5:10)
“ Mais le jour du jugement montrera clairement la qualité de l’œuvre de chacun et la rendra évidente. En effet, ce jour sera comme un feu qui éprouvera l’œuvre de chacun pour en révéler la nature. Si la construction édifiée sur le fondement résiste à l’épreuve, son auteur recevra son salaire ; mais si elle est consumée, il en subira les conséquences. Lui, personnellement, sera sauvé, mais tout juste, comme un homme qui réussit à échapper au feu. “ (1 Corinthiens 3:13-15)
“ Oui, dit Yahshua, je viens bientôt. J’apporte avec moi mes récompenses pour rendre à chacun selon ses actes. “ (Apocalypse 22:12)
“ Ne devons-nous pas tous comparaître devant le tribunal d’Elohim ? “ (Romains 14:10)
ATTENTION AUX MURMURES
“ En recevant, leur salaire convenu, les derniers murmurèrent contre le maître de la maison […] Prends ce denier et vas-t-en.” 
Les murmures nous disqualifient, et nous font sortir du Royaume d’Elohim.
Quand nous prononçons le mot murmure … Qu’entendons-nous ? 
“ Mur mur “, nous établissons des murs de séparations qui s’élèvent entre nous et les hommes, entre nous et Elohim.
" L’Eternel entendit, il s’emporta et un feu s’alluma contre Jacob : sa colère éclata contre Israël, car ils n’avaient pas fait confiance à Dieu, ils n’avaient pas compté sur son secours. “ (Psaumes 78 :21-22)
- Les murmures peuvent être de l’incrédulité du cœur manifestée face aux promesses de la parole d’Elohim.
“ Ils ont protesté au fond de leurs tentes, ils ont désobéi à l’Eternel. “ (Psaumes 106:25)
- Les murmures manifestent la rébellion du cœur.
“ Un jour, le peuple adressa d’amères plaintes à l’Eternel. Lorsqu’il les entendit, il se mit en colère et déchaîna la foudre contre eux. Déjà, le feu dévorait une extrémité du camp. “ (Nombres 11:1)
- Les murmures manifestent la jalousie du cœur.
" Moïse implora l’Eternel : O Dieu, je t’en prie, guéris-la [Myriam] ! Mais l’Eternel lui répondit : Si son père lui avait craché au visage, n’en porterait-elle pas la honte pendant sept jours ? Qu’elle soit exclue du camp pendant sept jours, après quoi elle sera réadmise parmi vous. “ (Nombres 12:13-14)
- Les murmures retardent l’œuvre d’Elohim dans nos vies.
“  Ceux-là sont arrivés les derniers, disent-ils, ils n’ont travaillé qu’une heure, et tu leur as donné autant qu’à nous qui avons travaillé dur toute la journée sous la forte chaleur. “ (Matthieu 20:12)
-  Les murmures montrent la sécheresse du cœur, absence de compassion, les derniers ont aussi souffert du rejet, etc.…
“ Oh père, garde moi du murmures et de calculer ce que je fais pour toi. Garde-moi de chercher du prestige dans ce que je fais pour toi. Oh père, garde-moi de l’Esprit de mercenaire car tu m’as donné l’Esprit de fils par le Saint-Esprit. “
Les murmures montent ou font sortir ce qu’il y a dans nos cœurs : Esprits calculateur, l’esprit de jalousie, de propre justice… Les mauvaises motivations, la mentalité du monde, l’absence de compassion, la sécheresse du cœur.
“ C'est de l'abondance du cœur que la bouche parle. " (Luc 6:45)
C’est une perversion de l’Amour d’Elohim car c’est une grâce de servir dans le Royaume d'Elohim. 
“ Pardon père quand je ne sais pas me réjouir quand tu manifestes ta bonté envers les autres. “
Nous avons besoin de repentance face à ces attitudes de cœur. 
Pour bien comprendre cette parabole regardons Luc 15:11 à 32 (Fils Prodigue) :
 « Il dit encore : Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père: Mon père, donne moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche. Lorsqu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla se mettre au service d’un des habitants du pays, qui l’envoya dans ses champs garder les pourceaux. Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait. Étant rentré en lui–même, il se dit : Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ; traite moi comme l’un de tes mercenaires. Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa. Le fils lui dit : Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Mais le père dit à ses serviteurs : Apportez vite la plus belle robe, et l’en revêtez ; mettez lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds. Amenez le veau gras, et tuons-le. Mangeons et réjouissons nous ; car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir. Or, le fils aîné était dans les champs. Lorsqu’il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses. Il appela un des serviteurs, et lui demanda ce que c’était. Ce serviteur lui dit : Ton frère est de retour, et, parce qu’il l’a retrouvé en bonne santé, ton père a tué le veau gras. Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit, et le pria d’entrer. Mais il répondit à son père: Voici, il y a tant d’années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis. Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c’est pour lui que tu as tué le veau gras ! Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j’ai est à toi ; mais il fallait bien s’égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu’il est revenu à la vie, parce qu’il était perdu et qu’il est retrouvé. »
Un père avait deux fils.
Le plus jeune demanda sa part d’héritage et le père le lui accorda. L’aîné travailla avec une mentalité d’esclave, dans les champs de son père en cherchant à mériter l’amour de son père, sa place dans la maison. Il croit que tout se mérite par droit et tout s’obtient par le mérite. Alors qu’en réalité son père attend qu’il se comporte comme un fils et non comme un esclave ou un mercenaire.
Le plus jeune quitte son père avec sa part d’héritage. Il dilapide ses biens rapidement. Une famine vient dans le pays ou il se trouve et il est réduit à devenir gardien d’un troupeau de porcs. Il est réduit à désirer manger la nourriture des porcs. Rentrant en lui-même il pense que les ouvriers de son père sont mieux traités que lui. Sa décision est prise, il va retourner vers son père et demande d’être traités comme ces ouvriers !… Le père, lui pardonne et le rétablit dans sa position de fils, et ce jeune fils l’accepte, accepte la fête préparée par le Père qui a tué le veau gras. Du sang a coulé pour qu’il soit rétabli. Cela nous fait penser à l’œuvre de Yahshua à la croix, pour que nous soyons rétablis dans notre position de fils par grâce.
*** Avec Elohim, rien ne s’achète ou se mérite, tout s’obtient par grâce,. Yahshua a payé pour cela. Le père veut faire la fête avec ses enfants retrouvés.
*** Ceux qui reçoivent par grâce seront avant ceux qui reçoivent par mérite ou par droit… qui peuvent se retrouver expulser : “ prends ce qui te reviens et vas t-en ! “
Conclusion
Posons nous la question : 
“ Suis-je de ceux cherchent à mériter une récompense, un salaire 
Ou 
Suis-je de ceux qui attendent la grâce d’Elohim ? “
*** Rappelons nous que les premiers sont ceux qui attendent la grâce d’Elohim et les derniers ceux qui attendent un salaire, ou mérite un salaire. *** Attention aux murmures devant la manière dont Elohim fait grâce.
Les murmures peuvent me rendre hostile à Elohim et faire que je m’élève contre lui, me sépare de lui et qu’il me dise : 
“ Prends ce qui te revient et vas-t-en ! “ 
Là, il y aura des grincements de dents. 
Demandons à Elohim de nous garder de murmurer et de calculer ce que nous faisons pour lui.
C’est une grâce que d’être appelé à servir dans le Royaume. Demandons pardon à Elohim quand nous avons des difficultés à nous réjouir quand Elohim manifeste sa bonté envers les autres.
Cette parabole doit être lue en ayant à l’esprit la parabole du fils prodigue :
Attitude du fils aîné qui travaille pour un salaire. Il pense que son travail lui donne un droit.
Attitude du plus jeune qui reçoit par grâce, se laisser aimer par grâce, sans mérite.
L’aîné travaille pour recevoir par mérite l’amour du père, mais sa place dans la maison de son père ne s’obtient pas par droit. 
Avec Dieu rien ne se mérite, tout est donné par grâce.
Attitude du père : faire la fête avec ses enfants retrouvés.
« Ainsi les derniers seront les premiers et les premiers seront les derniers » (Matthieu 20:16)
Ceux qui reçoivent par grâce seront avant ceux qui reçoivent par mérite, ou par droit qui peuvent se trouver expulser… 
« Prends ce qui te revient et va-t’en. »  
Ce n’est pas une loi, c’est spirituelle, ce n’est pas obligatoire. C’est une conséquence de notre attitude de cœur. C’est nous qui choisissons d’être disqualifiés ou qualifiés.
" Des serviteurs sans mérite Supposons que l’un de vous ait un serviteur occupé à labourer ou à garder le troupeau. En le voyant rentrer des champs, lui direz-vous : « Viens vite, assieds-toi à table » ? Ne lui direz-vous pas plutôt : « Prépare-moi mon dîner, mets-toi en tenue pour me servir jusqu’à ce que j’aie fini de manger et de boire ; ensuite tu mangeras et tu boiras à ton tour » ? Le maître doit-il une reconnaissance particulière à cet esclave parce qu’il a fait ce qui lui était commandé ? Bien sûr que non ! Il en est de même pour vous. Quand vous aurez fait tout ce qui vous est commandé, dites : « Nous ne sommes que des serviteurs sans mérite particulier ; nous n’avons fait que notre devoir. » (Luc 17:7-10)
Source : parolevivante.net
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Text
SI TU N'ES PAS LIBRE TOUT LE TEMPS DE FAIRE CE QUE DIEU TE DIT, SACHE QUE TU NE SUIS PAS DIEU, DONC TU NE LUI FAIS PAS CONFIANCE, CHER AMI(E).
JÉSUS FAISAIT EN PERMANENCE UNIQUEMENT CE QUE DIEU LUI DISAIT PERSONNELLEMENT.
SI TU NE PEUX DIRE QUE TU NE FAIS QUE CE QUE DIEU TE DIT, À CHAQUE INSTANT, TU N'ES PAS EN TRAIN DE VIVRE POUR LE CRÉATEUR.
Si à ton travail, à ton assemblée de croyants ou si même chez toi, tu ne peux faire à chaque instant ce que Dieu te dit personnellement.
Sache que tu n'es pas encore libre de vivre pour le Créateur uniquement.
Tu es un esclave de quelque chose ou de quelqu'un, autre que le Créateur, cher ami(e).
Oui, parlé du fait d'être esclave de Dieu a choqué une personne l'autre jour.
Tous ceux qui n'obéiront pas à Dieu de façon stricte ou qui ne seront pas considéré sincère par le Créateur, finiront en enfer.
Le savais-tu ?
Si quelqu'un te punit, car tu ne lui obéis pas, n'est-il pas ton maître ?
Dieu est plus que ton maître, il est ton Créateur.
Il a les droits de vie et de mort sur toi, et ton avis n'a aucune importance, cher ami(e).
Lui obéir sans condition, est le signe que tu as finalement compris que c'est la seule façon de bien vivre.
On peut aussi le dire de cette façon, le vrai bonheur est de vivre en tout temps selon sa propre conscience ou selon ses convictions personnelles intimes et profondes, qu'importe ce qu'en dise autrui.
C'est ainsi que le Christ a vécu.
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TOUT CE QUE TU FAIS PAR CONTRAINTE OU PAR OBLIGATION ET NON DE TOUT TON ÊTRE, AVEC TRÈS GRAND PLAISIR, EST UN PÉCHÉ ET UNE FAUTE POUR LE CRÉATEUR.
JÉSUS N'A RIEN FAIT PAR CONTRAINTE OU PAR OBLIGATION DURANT TOUTE SA VIE.
C'EST POURQUOI IL A SUPPLIÉ DIEU EN TRANSPIRANT DU SANG, AFIN QUE TOUT EN LUI SOIT D'ACCORD AVEC LE FAIT DE SACRIFIER SA VIE HUMAINE POUR L'HUMANITÉ.
SINON SON SACRIFICE N'AURAIT JAMAIS ÉTÉ AGRÉÉ PAR LE CRÉATEUR.
En effet, Jésus ne peut rien fait tant que tout soit parfaitement en paix en lui, sans qu'il soit uni parfaitement avec Dieu.
C'est cela vivre en intégrité personnelle.
C'est aussi cela vivre par la foi.
En effet, c'est pour cela que Jésus disait que les paroles et les miracles qu'il faisait, ne venait pas de lui, mais venait de Dieu.
C'est à cause du fait qu'il savait, que ses paroles et ses miracles n'étaient que le résultat de son unité avec Dieu, avant de parler et de faire des miracles.
Et c'est aussi pour cela que lorsque l'un de ses disciples lui a demandé de lui montrer Dieu, que Jésus appelle le Père, il lui a répondu que celui qui le regarde voit Dieu lui-même.
"Philippe prit la parole : "Seigneur, montre-nous le Père, et ce sera tout ce dont nous avons besoin !"
"Jésus répondit : "Philippe, je suis avec toi depuis tout ce temps et tu ne sais toujours pas qui je suis ?"
"Comment peux-tu me demander de te montrer le Père, puisque quiconque m'a regardé a vu le Père."
"Ne croyez-vous pas que le Père vit en moi et que je vis dans le Père ?"
"Même mes paroles ne sont pas de moi, mais viennent de mon Père, car il vit en moi et c'est par moi qu'il accomplit les miracles de sa puissance."
"Croyez que je vis en harmonie avec mon Père et que mon Père vit en harmonie avec moi - ou du moins, croyez à cause des puissants miracles que j'ai accomplis."
JÉSUS ÉTAIT PUISSANT PARCE QU'IL ATTENDAIT DANS SA RELATION AVEC DIEU, JUSQU'À CE QU'IL N'AIT PLUS AUCUN DOUTE, PUIS IL AGISSAIT ET FAISAIT CE QU'IL ÉTAIT CONVAINCU DE VOULOIR, DE CROIRE, DE PENSER, DE DIRE OU DE FAIRE.
TANT QU'UN DOUTE PERSISTAIT EN LUI, IL CHERCHAIT L'UNITÉ AVEC DIEU, JUSQU'À CE QUE TOUT EN LUI SOIT PARFAITEMENT UNI AVEC L'AVIS OU L'OPINION DU CRÉATEUR.
C'EST CELA LE SECRET DE LA VIE MIRACULEUSE DU CHRIST ET DU FAIT QU'IL N'AIT JAMAIS PÉCHÉ.
LE SECRET DE JÉSUS ÉTAIT LE FAIT QU'IL ÉTAIT CONSCIENT D'AVOIR UNE RELATION AVEC DIEU ET QU'IL NE FAISAIT RIEN SANS ÊTRE EN PARFAIT ACCORD AVEC CE QUE DIEU LUI DISAIT.
IL NE FAISAIT RIEN SANS ÊTRE UN OU UNIE AVEC DIEU OU SANS ÊTRE D'ACCORD À 100% AVEC LE CRÉATEUR.
JÉSUS NE FAISAIT RIEN SANS PARTAGER VÉRITABLEMENT L'AVIS OU L'OPINION DE DIEU LUI-MÊME.
C'EST CELA ÊTRE CRÉÉ À L'IMAGE ET À LA RESSEMBLANCE DE DIEU.
ET C'EST CETTE FAÇON DE VIVRE LÀ, QUE LE CRÉATEUR A PRÉVU POUR CHACUN DE NOUS, MES CHERS AMIS.
C'EST CELA VIVRE EN VIE ÉTERNELLE.
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Maintenant, parlons de la vie que nous menons.
De même, si tu vas au travail par contrainte ou par obligation, tu ne vis pas pour le Créateur, mais pour l'argent, pour ta famille ou pour toute autre raison qui n'ont aucune valeur pour Dieu.
La seule chose qui compte pour le Créateur est ce qu'il te demande de faire à chaque instant.
Maintenant, faire ce que Dieu demande est agréé du Créateur, uniquement si tu fais ce qu'il te dit, comme si c'était une décision que tu avais prise toi-même, de bon cœur.
Sans avoir une joie immense pendant que tu obéis à Dieu, ce que tu fais ne sera pas considéré comme de l'obéissance, mais comme de la désobéissance, cher ami(e).
Car, pour qui prends-tu le Créateur, pour ne pas lui obéir avec grand plaisir ?
On ne peut pas obéir à Dieu de n'importe quelle façon, mes chers amis.
SAIS-TU À QUI TU AS AFFAIRE, POUR TE PERMETTRE DE NE PAS FAIRE, AVEC RECONNAISSANCE OU AVEC GRATITUDE, CE QUE LE CRÉATEUR TE DIT ?
Sans esprit de reconnaissance ou de gratitude en permanence dans ta vie personnelle, sache que cela démontre que tu ne connais pas encore Dieu.
Car être en unité parfaite avec Dieu demande que tu sois tout le temps en train de rechercher l'accord parfait intérieur avec Dieu.
Jésus vivait pour être en accord parfait, tout le temps, avec Dieu.
C'est cela vivre pour ton Créateur, c'est quand tu vis, tout le temps, pour Dieu seul.
C'est pour cela que Jésus a transpiré du sang, car pour le Seigneur, il était inadmissible que tout en lui ne soit pas en accord parfait tout le temps, avec Dieu.
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Payer ses impôts et tout ce que tu peux faire dans ta vie personnelle, si tu ne le fais pas de tout ton être, content et heureux de faire ce que tu crois que Dieu te demande de faire.
Sache que si tu ne vis pas dans cette disposition de cœur de gratitude et de reconnaissance envers Dieu en permanence, tu pèches et ta vie n'est pas agréable à Dieu.
Ou encore, tu révèles n'avoir toujours pas connu réellement ton créateur, tout simplement.
TU NE DEVRAIS RIEN FAIRE TANT QUE TOUT EN TOI N'EST PAS À 100% OK OU D'ACCORD AVEC CE QUE TU VEUX FAIRE, CHER AMI(E).
CAR DIEU NE REGARDE PAS À CE QUE TU FAIS, MAIS À L'ATTITUDE QUI T'ANIME QUAND TU LE FAIS.
ET SI TU NE FAIS PAS TOUT CE QUE TU FAIS DE TOUT TON ÊTRE, ET AVEC BON CŒUR OU ENCORE POUR FAIRE PLAISIR AU CRÉATEUR, DIEU DÉSAPPROUVERA TON ACTION.
ET TU EN PAIERAS LE PRIX, CAR TU APPARTIENS À TON CRÉATEUR.
EN EFFET, DIEU NE T'A PAS CRÉÉ POUR QUE TU NE PRENNES PAS PLAISIR DANS LA MOINDRE CHOSE QUE TU FAIS, CHER AMI(E).
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En effet, prends exemple sur comment Dieu était content quand il a créé la terre et le ciel.
Après avoir fini la création, Dieu a regardé ce qu'il avait créé et il a dit que c'était très bon, à ses yeux.
Dieu est un artiste qui aime admirer ce qu'il fait, afin d'y prendre du plaisir.
Sans vivre ainsi, en prenant plaisir dans tout ce que tu fais, tu démontres ne pas ressembler au Créateur, donc ne pas faire partie de la famille de Dieu, en réalité.
Le savais-tu, cher ami(e) ?
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QU'ATTENDS-TU DONC POUR VIVRE UNIQUEMENT POUR DIEU À CHAQUE INSTANT, LIBRE DE TOUTE OPINION HUMAINE ?
OU ENCORE, QU'ATTENDS-TU DONC POUR VIVRE SELON TA CONSCIENCE OU SELON TES CONVICTIONS PERSONNELLES, INTIMES ET PROFONDES ?
EN EFFET, C'EST CELA, LA VIE PRÉVUE PAR DIEU POUR CHACUN DE NOUS, MES CHERS AMIS.
ET C'EST À LA FIN UN CHOIX DE VIE QUE CHACUN DOIT FAIRE À CHAQUE INSTANT, JUSQU'À LA FIN DE SA VIE.
CAR EN RÉALITÉ, C'EST CELA LA DÉFINITION DU BONHEUR HUMAIN.
Ne pas vivre de tout son être ou de tout son cœur, c'est forcément être un hypocrite, une personne qui vit sans vivre réellement.
C'est ne pas vivre sa vie à 100%.
C'est vivre à regret, en se retenant.
Il s'agit de ne pas vivre en donnant tout de nous, à chaque instant.
En effet, en réalité, tu ne peux vivre en donnant tout de toi, en suivant ce que quelqu'un te dit.
C'est impossible.
C'est pourquoi si tu travailles pour quelqu'un, ou sous les ordres de quelqu'un, tu es forcément malheureux et frustré.
Car Dieu nous a créé pour dominer la terre, pas pour suivre les ordres d'un être humain.
Tu as été créé pour vivre exactement comme le Seigneur Jésus, cher ami(e).
On ne peut vivre en donnant tout de nous, qu'en suivant en permanence notre propre conscience et nos convictions personnelles, intimes et profondes.
C'est cela, la définition d'être sérieux, d'être sincère, et d'être intègre et vrai, mes chers amis.
C'est en réalité cela être heureux pour Dieu.
---
TU NE DEVRAIS PLUS AVOIR LA NOTION DU "TEMPS QUI PASSE", CHER AMI(E).
"LE TEMPS QUI PASSE" EST UNE NOTION QUI N'EXISTE PAS POUR DIEU, EN RÉALITÉ.
EN EFFET, LA MESURE DU TEMPS QUI PASSE EXISTE UNIQUEMENT POUR LE MONDE VISIBLE, CAR AU CIEL, ON EST CONSCIENT QUE DE DIEU UNIQUEMENT ET DE CE QUE LE CRÉATEUR DIT À CHAQUE INSTANT.
C'EST POURQUOI, JÉSUS QUI EST DIEU, NOUS A RAPPELÉ CECI :
"IL RÉPONDIT : "LES ÉCRITURES DISENT : LE PAIN SEUL NE RASSASIE PAS, MAIS LA VRAIE VIE SE TROUVE DANS TOUTE PAROLE QUI SORT CONSTAMMENT DE LA BOUCHE DE DIEU.""
LE TEMPS QUI PASSE NOUS METS SOUVENT LA PRESSION, ALORS QUE NOTRE SEULE SOURCE DE PRESSION DEVRAIT ÊTRE LE CRÉATEUR ET CE QU'IL NOUS DIT PERSONNELLEMENT, À CHAQUE INSTANT.
LE SAVAIS-TU ?
Sais-tu qu'un miracle représente la suppression du temps qui passe dans une situation afin que la volonté de Dieu s'accomplisse ?
Quand Dieu intervient dans le monde visible, le temps qui passe est modifié par le Créateur et il fait que finalement tout rentre dans l'ordre instantanément ou dans un laps de temps beaucoup plus court que de façon normale.
Je dis cela au sujet du temps qui passe, car cette notion remplace Dieu dans beaucoup d'occasions de nos vies personnelles, mes chers amis.
Combien de personnes se plaignent du temps que cela prend pour se marier ou pour trouver un conjoint.
Du temps que cela prend pour trouver un travail, un logement, avoir de l'argent, etc. …
Le temps qui passe est censé être un allié et non un ennemi.
On est censé devenir plus fort au fur et à mesure que l'on connaît Dieu, donc plus le temps passe.
Non ?
Le Seigneur nous a bien dit que le lendemain s'inquiétera de lui-même, à chaque jour suffit sa peine.
Jésus était un adepte de savoir vivre à fond l'instant présent et de laisser demain pour demain, mes chers amis.
---
L'INQUIÉTUDE EST TON ENNEMIE ET NON PAS TON AMI.
S'INQUIÉTER, C'EST DEVANCER DIEU DANS SES PROJETS POUR TOI.
CELUI QUI S'INQUIÈTE SE CONSIDÈRE ÊTRE SON PROPRE CRÉATEUR, CELUI QUI ÉLABORE LES PLANS OU LES PROJETS POUR SA PROPRE VIE, EN RÉALITÉ.
C'EST SORTIR DE LA PAIX DIVINE POUR PENSER À CE QUE DIEU NE T'A PAS DIT DE PENSER.
Rappelons-nous les paroles du Seigneur Jésus au sujet :
Des inquiétudes, des angoisses, du stress, des afflictions, du fait d'être agité, alarmé, anxieux, apeuré, épouvanté, du fait d'avoir des apréhensions, des chagrins, des peurs, des crises, du désarroi, du désespoir, du défaitisme, au sujet des détresses, des douleurs, des situations embarassantes, au sujets des faiblesses, des maladies, de la mort, au sujet de l'impatience, des hésitations, des horreurs, des malaises, des mélancolies, des obsessions, des paniques, des peines, des préoccupations, des soucis, des terreurs, des tourments, des tristesse et des troubles.
"Personne ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l'un et aimera l'autre, ou bien il s'attachera à l'un et méprisera l'autre.
Vous ne pouvez pas servir Dieu et Mammon [l'argent, les biens, la célébrité, le statut, ou tout ce qui a plus de valeur que le Seigneur].
"C'est pourquoi je vous dis : cessez de vous inquiéter et de vous tourmenter (d'être perpétuellement inquiets, distraits) au sujet de votre vie, pour savoir ce que vous mangerez ou ce que vous boirez, et au sujet de votre corps, pour savoir de quoi vous serez vêtus.
La vie n'est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ?
Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment pas [les graines], ils ne moissonnent pas [la récolte], ils n'amassent pas [les récoltes] dans des greniers, et pourtant votre Père céleste ne cesse de les nourrir. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu'eux ?
Et qui d'entre vous, en s'inquiétant, peut ajouter une heure à [la durée de] sa vie ?
Et pourquoi vous inquiétez-vous pour vos vêtements ?
Voyez comment croissent les lis et les fleurs des champs ; ils ne travaillent pas et ne filent pas [la laine pour faire des vêtements], et je vous dis que même Salomon, dans toute sa gloire et sa splendeur, ne s'est pas vêtu comme eux.
Mais si Dieu habille ainsi l'herbe des champs, qui est vivante et verte aujourd'hui et qui demain sera [coupée et] jetée [comme combustible] dans la fournaise, ne vous habillera-t-il pas à plus forte raison ?
Vous qui avez peu de foi ! Ne vous inquiétez donc pas et ne soyez pas anxieux (perpétuellement inquiets, distraits), en disant : "Que mangerons-nous ?", "Que boirons-nous ?", "De quoi nous vêtirons-nous ?".
Car les nations [païennes] recherchent avec ardeur toutes ces choses ; [mais ne vous inquiétez pas,] car votre Père céleste sait que vous en avez besoin.
Mais avant tout et surtout, cherchez (visez, efforcez-vous) son royaume et sa justice [sa façon de faire et d'être juste - l'attitude et le caractère de Dieu], et toutes ces choses vous seront données à vous aussi.
"Ne vous inquiétez donc pas du lendemain, car le lendemain s'inquiétera de lui-même. Chaque jour a ses propres problèmes.
"Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés [par des rituels religieux qui n'apportent aucune paix], et je vous donnerai du repos [en rafraîchissant vos âmes par le salut].
Prenez mon joug sur vous et mettez-vous à mon école [suivez-moi comme mon disciple], car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos (le renouveau, le calme béni) pour vos âmes.
Car mon joug est facile [à porter] et mon fardeau est léger".
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Venez à moi, vous tous qui peinez, qui êtes chargés et accablés, et je vous donnerai le repos [je soulagerai et rafraîchirai vos âmes].
[Prenez mon joug sur vous et apprenez de moi, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos (le soulagement, l'aisance, le rafraîchissement, la récréation et le calme béni) pour vos âmes.
[Car Mon joug est salutaire (utile, bon - ni dur, ni tranchant, ni pressant, mais confortable, gracieux et agréable), et Mon fardeau est léger et facile à porter.
"Vous êtes fatigués, vous portez un lourd fardeau ?
Viens à moi. Je rafraîchirai ta vie, car je suis ton oasis.
Il te suffit de joindre ta vie à la mienne.
Apprends mes manières et tu découvriras que je suis doux, humble, facile à satisfaire.
Tu trouveras en moi le rafraîchissement et le repos.
Car tout ce que j'exige de toi sera agréable et facile à supporter.
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L'ARBRE DE LA CONNAISSANCE DU BIEN ET DU MAL EST LE CHEMIN EMPRUNTÉ PAR ADAM ET EVE, AFIN DE NE PLUS AVOIR BESOIN DE DIEU, DE SES PLANS ET DE SES PROJETS POUR NOUS.
CAR DÉSORMAIS, ON CONSIDÈRE QUE NOUS AVONS TOUT CE QU'IL NOUS FAUT AVEC LA CONNAISSANCE OBTENUE DE CET ARBRE.
C'EST POURQUOI AUJOURD'HUI, NOTRE SAGESSE ET NOTRE INTELLIGENCE HUMAINE AVEC TOUT CE QUE LES ÊTRES HUMAINS ONT APPRIS DANS LE PASSÉ BIEN AVANT NOUS, NOUS SUFFISE, POUR NE PLUS COMPTER UNIQUEMENT SUR LE CRÉATEUR.
LE SAVAIS-TU, CHER AMI(E) ?
Sais-tu que la modernité, la connaissance accumulée nous fait nous dire que Dieu n'existe pas ou nous donne des argument pour nous dire autosuffisant, et ne plus avoir besoin de Dieu.
C'est pourquoi la foi est méprisée dans les pays modernes ou riches.
Oui la richesse et un autre rival du Créateur, avec les plaisirs et toue les distractions qui nous font croire que l'on n'a pas besoin d'aller au ciel, car on a tant de plaisir sur terre.
Mais on oublie souvent que la mort peut frapper à n'importe quel moment, mes chers amis.
En effet, on ne compte plus sur Dieu seul aujourd'hui.
On fait appel au Créateur uniquement, lorsque rien n'a marché.
L'histoire du Fils Prodigue nous rappelle que l'on se rappelle de l'existence de Dieu, uniquement quand tout autre chose a échoué.
On a demandé conseil à tout le monde.
On a consulté Internet, on a consulté la famille, on a consulté le dirigeant spirituel, on a consulté les livres saints, etc …
Et ce n'est que lorsque tout a échoué qu'on se décide enfin à chercher le Créateur réellement, de tout notre être.
Non ?
Est-ce que je me trompe sur le fait que Dieu n'est pas le seul refuge, le seul secours, et l'unique aide à laquelle on fait appel aujourd'hui, mes chers amis ?
TON REFUGE EST EN DIEU SEUL ET NON DANS :
LA COMPRÉHENSION ET LA CONNAISSANCE HUMAINE,
LES DROGUES, LE SEXE ET TOUS LES PLAISIRS DE CETTE VIE,
LES POSSESSIONS,
LA FAMILLE ET LES AMIS,
L'ARGENT, LES RICHESSES,
LE TRAVAIL, LE BUSINESS,
L'ÉGLISE LOCALE OU L'ASSEMBLÉE DE CROYANTS,
LA BIBLE OU LES LIVRES SAINTS,
LA RELIGION ET SES RITES,
LES PROPHÈTES, LES PASTEURS OU LES DIRIGEANTS SPIRITUELS.
Jésus s'est sacrifié pour nous afin que nous ayons la vie éternelle, qui est une relation si proche avec le Créateur, que tu deviennes obligatoirement et systématiquement, de plus en plus, comme Jésus.
En effet, tout disciple accompli ou tout disciple changé véritablement par Dieu, sera comme Jésus, notre Seigneur.
Car avec une vraie relation avec le Créateur, il est impossible de ne pas devenir comme Jésus, en réalité.
"La vie éternelle signifie te connaître et t'expérimenter comme le seul vrai Dieu, et connaître et expérimenter Jésus-Christ comme le Fils que tu as envoyé."
"Je vous dis cette vérité intemporelle : la personne qui me suit dans la foi, en croyant en moi, fera les mêmes miracles puissants que moi - et même des miracles plus grands encore, parce que je vais auprès de mon Père !"
"Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait."
"Le disciple n'est pas plus que le maître ; mais tout disciple accompli sera comme son maître."
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AS-TU LA VIE ÉTERNELLE ?
AUTREMENT DIT, TA VIE EST-ELLE AUJOURD'HUI SIMILAIRE À CELLE DE CHRIST, DE PLUS EN PLUS, SURNATURELLEMENT ?
OU ENCORE ES-TU SUR LE CHEMIN QUI FAIT QUE TA VIE SOIT SURNATURELLEMENT, DE PLUS EN PLUS, COMME CELLE DE CHRIST ?
VIS-TU UNE TELLE PROXIMITÉ AVEC DIEU, QUE LE CRÉATEUR T'ACCORDE UN CHANGEMENT, DE PLUS EN PLUS, DIVIN DANS TA VIE PERSONNELLE, CE QUI FAIT QU'IL SOIT, DE PLUS EN PLUS, IMPOSSIBLE POUR TOI DE DÉSOBÉIR À DIEU ?
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Sans vivre la divinité de Christ, de plus en plus, en toi, sache que tu ne démontres pas être sur le chemin étroit qui mène à Dieu, et qui t'emmènera au ciel après ta mort physique.
Le chemin facile et large qui mène à la perdition, donc en enfer, parle de la vie vécue par l'intelligence et la logique humaine, sans vivre en unité avec le Créateur.
Qui est la vie basique normal humaine.
Je te le redis, la plupart de nous iront en enfer, si nous ne nous laissons pas changer par Dieu, mes chers amis.
Dieu ne t'accorde pas la grâce de changer, de plus en plus surnaturellement, pour devenir comme en Christ, car pour lui tu n'es pas sincère en vivant par ta tête, tout simplement.
En effet, il est impossible d'être sincère en vivant par son intelligence humaine.
La sincérité ne vient que du cœur, quand on vit uniquement par sa conscience, mes chers amis.
Si le péché pour toi est facile à commettre et que tu ne veux pas du tout changer de façon de vivre.
Comprends que tu es encore très loin de recevoir la grâce divine pour être changé surnaturellement pour devenir, de plus en plus, comme Christ.
REGARDE CE QUI EST DIT SUR LA CROISSANCE DU CHRIST APRÈS SA NAISSANCE SUR TERRE.
"ET JÉSUS CROISSAIT EN SAGESSE, EN TAILLE ET EN FAVEUR AUPRÈS DE DIEU ET DES HOMMES."
CE QUI SIGNIFIE QUE DIEU ET LES GENS AUTOUR DE TOI, DOIVENT VOIR ET RECONNAÎTRE QUE TU ES HUMBLES, CHER AMI(E).
OUI, PARTOUT, QUE TU VOIS LE MOT GRÂCE OU FAVEUR, COMPREND QUE DIEU OU LES GENS ONT VU DE L'HUMILITÉ DANS LA VIE DE QUELQU'UN, ET QU'À CAUSE DE CELA, ILS VEULENT AIDER CETTE PERSONNE.
IL N'Y A PAS DE GRÂCE OU DE FAVEUR SANS TOUT D'ABORD AVOIR CONSTATÉ DE L'HUMILITÉ DANS LA VIE DE QUELQU'UN, MES CHERS AMIS.
TU NE GRANDIRAS JAMAIS EN GRÂCE OU EN FAVEUR DIVINE SANS DEVENIR HUMBLE, C'EST-À-DIRE, SANS ÉLIMINER DE TA VIE TOUTE RÉSISTANCE À DIEU.
Le secret de la grâce qui nous fait devenir surnaturellement de plus en plus comme le Seigneur Jésus, est l'humilité, la non-résistance à Dieu ou encore la non-résistance à ce que dit notre conscience personnelle.
Donc si tu ne deviens pas dans les années à venir de plus en plus surnaturellement comme le Seigneur Jésus, comprend que c'est que tu ne le voulais pas, au point que tu arrêtes de résister à Dieu, tout simplement, cher ami(e).
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Je viens de faire un cauchemar horrible!!
Je découvrais que certains membres de ma famille ou tout simplement des gens que je connais faisaient partie d'une organisation secrète dans laquelle ils croyaient à une vie après la mort et cette vie après la mort était une sorte de paradis. Et en échange de leur croyance et de recruter d'autres gens et d'obéir aux injonctions "supérieures" et ben ils avaient des responsabilités. Par exemple ma cousine avait accès à un gros ordinateur et elle devait réguler la population mondiale (enfin seulement dans la zone qui lui avait été attribuée, et y avait plein de personnes comme elle qui avaient été attribuées le rôle de régulateur) ce qui consiste à cliquer sur un bouton pour qu'une personne meure d'une certaine manière ou qu'une autre naisse puisque "la machine sait tout, tout est écrit" c'est à dire que la manière dont la personne meurt relève d'une évidence/d'un destin "divin/e" et que quand on clique sur le bouton naissance toute la vie de la personne est déjà programmée. Ma cousine me dit "toi par exemple Si tu veux vivre longtemps ne prends pas l'avion, jamais". Ce qui sous entendait que Si je prenais l'avion j'allais mourir et donc je posais la question "Mais Si tout est écrit d'avance t'as pas le droit de me dire de ne pas prendre l'avion parce que Ca remet en cause la manière dont je meurs non?" Et elle me répondait "non mais y a plusieurs options, tu finiras par mourir quoi qu'il arrive Mais c'est le comment qui peut varier. Toi dans ton dossier c'est écrit que Si tu prends l'avion c'est automatique que tu meurs dedans à ce moment là, alors que Si tu le prends pas tu meurs d'une autre manière à un autre moment" Et donc le deal c'était "Si tu participes à notre organisation ben tu deviens immortelle". Et je posais la question de "Mais par exemple Si quelqu'un à accès à son 'destin' avec toutes les options de quand et comment il meurt et qu'il les évite toutes, est-ce qu'il meurt quand même à un moment donné?" - pas de réponse.
Et donc mes cousines, ma grand mère et ma mere essayaient de me persuader de faire partie de leur organisation. Et moi je posais plein de questions sur cette organisation justement. Est-ce qu'il y avait une hiérarchie? Est-ce qu'il y avait des preuves de cette vie après la mort? De ce pouvoir de décision supérieur où tout est écrit d'avance? Est ce qu'elles étaient allées dans l'après mort? Est-ce qu'elles avaient rencontré le pouvoir supérieur?
Et c'est la qu'elles m'expliquent qu'on ne me donnera pas de preuves, qu'il faut que je crois. Que c'est ma croyance honnête et profonde qui sauvera mon âme pour l'éternité. Ce à quoi je réponds "Mais pourquoi est ce que je voudrais vivre pour l'éternité? J'ai déjà pas envie de vivre pendant 80 ans..." et elles me disent que une fois "rescucité" on est uniquement dans le BIen être. Et je pose la question "Mais le BIen etre ca diffère d'une personne à l'autre. Donc par exemple quelqu'un qui est dans le BIen etre quand il blesse les autres peut être que lui il se sent BIen Mais les personnes qu'il a blessées elles ne sont pas dans le BIen etre. Est ce que il y a des interactions et des conséquences interpersonnelles dans l'après mort?" Et on m'explique qu'il s'agit d'un BIen etre universel parce que une fois ressuscité on est pas un individu Mais une partie d'un tout et qu'il y a une communion entre les âmes: on est soi meme Mais on est aussi l'autre et on est aussi le tout ensemble par consequent il n'y a pas d'interactions interpersonnelles puisque l'individuel/le personnel n'existe plus vraiment. Et elles me disent que j'ai une manière de penser trop humaine/terrestre/limitée et qu'on ne peut pas approcher/apprivoiser les concepts de l'après mort avec cette manière de raisonner. Et je demande "Si tout est écrit d'avance, donc la par exemple je suis forcée de développer la foi maintenant que je suis informée de l'après mort et que vous essayez de me convaincre?" Et on me répond que non, que tout est écrit Mais avec différentes routes/options et que la route que je prends dépend de mon choix et je rétorque "Mais puisque tout est écrit peu importe l'option/la route, en quoi ça relève de mon choix? Puisque mon choix aussi est écrit non?" (Peut etre que c'est Ca le libre arbitre???) et la elles me disent que c'est comme dans les jeux vidéos auxquels je joue, que les routes différentes sont écrites et que c'est moi qui choisis laquelle emprunter et donc je réitère: "Dans mon jeu vidéo les scenaristes et développeurs ils savent pas laquelle je vais choisir. Mais puisque tout est écrit d'avance, le pouvoir supérieur dans son omniscience sait quelle option je vais prendre? En quoi est ce que ça relève de mon choix?" Et on me répond que je ne comprends pas et que je ne veux pas comprendre.
Ensuite ma grand mère pleure et ma mere m'explique qu'avec le discours que je tiens je donne l'impression d'être allergique et qu'il n'y a pas d'espoir pour moi et que c'est pour ça qu'elle est triste. Et donc je demande "Mais pourquoi elle est triste ? Si tout est écrit d'avance ca suppose un certain ordre des choses, Mais cet ordre n'apporte pas de serenite? La elle pleure pourquoi? À l'Idee que je vais lui manquer ou que je rate l'opportunité de l'immortalité? Mais puisqu'elle fera l'expérience du BIen etre universel il n'y a pas de raison de s'apitoyer sur l'actuel terrestre puisque c'est comme ça que les choses doivent se faire? Et ma décision de croire ou pas est écrite d'avance alors elle devrait savoir que quoi qu'il advienne c'est la volonté du pouvoir supérieur qui est appliquée non? Est- ce que ce n'est pas remettre en doute la volonté du pouvoir supérieur que d'être atteint par les contingences terrestres?
On me rappelle qu'actuellement tout le monde est humain avec ses qualités et ses défauts, que la foi ne fait pas de nous des etres parfaits mais que ce sont nos décisions qui nous donnent notre valeur.
Et la je demande pourquoi le pouvoir supérieur crée des âmes et des vies sans valeur (c à dire les non croyants)? On me rappelle le libre arbitre. Et on en revient à la question de choix Si tout est écrit d'avance avec idée d'omniscience.
Je demande "vous qu'est-ce qui vous a persuadé/convaincu de croire?" Et on me répond que ca relève de l'évidence, qu'il n'y a pas de raisonnement à avoir, il s'agit d'une sorte de révélation. Et la je dis "donc le pouvoir supérieur choisit à qui il se révèle ou non. Le choix est de lui pas de la personne en elle même" et la y a un gros blanc. On me dit "c'est la troisième fois qu'on essaye avec toi mais on en arrive toujours au même point: tu refuses d'accepter de donner du pouvoir sur toi à autrui. Tu ne fais pas confiance. Tu ne peux pas accepter qu'il y ait des choses qui te dépassent, qui soient plus grandes que toi, qui échappent à ton contrôle."
Et moi je suis la: "ok, ouais. Comment ça c'est la 3eme fois qu'on en parle?" Et on m'explique que lorsqu'une personne n'est pas persuadée/convaincue à la fin de la discussion et BIen on efface le souvenir de la discussion. Je demande combien de fois on peut essayer de convaincre une personne et pourquoi le pouvoir supérieur ne donne pas les moyens d'obtenir un 100% de réussite de conversion sur les personnes démarchées. On me répète que je ne peux pas concevoir le pouvoir supérieur avec mon esprit humain limité.
Et ça se termine que je leur dis que je ne sais pas croire, que je n'ai jamais su. Que ca l'angoissant d'imaginer que je pouvais me tromper mais que je ne pouvais pas changer ma vie sans être certaine du résultat.
RÉVEIL EN SUEUR
Et Ca ll'angpisse IRL de me dire que Si Ca se trouve y a vraiment un pouvoir supérieur et que j'arrive pas à y croire et que je passe à côté de ce qui serait "juste".
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