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#thoracique
rayondelun3 · 9 months
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Il faut que j'écrive sur l'intimité de mes rêves. Là, je devrais dormir, mais je viens de me voir tenir la main d'un homme, moi, le nez devant mon téléphone à farfouiller dans mes playlists et l'homme avec moi tenant un sac de sa main libre, à ma droite, contenant des livres qu'on compte lire au parc.
J'aimerais avoir cette intimité platonique, amicale, avec une personne du sexe opposé. Je me dis que peut-être si je vivais ça, déjà je réaliserai comme un rêve, je serais dans une nouvelle bulle, et je me disais que peut-être ça réparerait quelques uns des morceaux cassés par les hommes et des plus jeunes aussi qui se disaient mes amis mais ont profité de moi.
J'ai toujours du mal avec les filles. M me disait que j'avais des personnes du même sexe que moi qui m'aimaient vraiment beaucoup mais qui n'étaient pas des « filles-filles ». J'ai penché la tête sur le côté mais je voyais ce qu'elle voulait dire.
J'ai la douceur et l'énergie féminine. Il arrive que cette énergie se transforme en dark feminine et les « filles » n'ont pas l'air à l'aise tout d'un coup avec moi, ou alors elles se comportent différemment.
J'ai ce côté dur, brut, spontané et écorché. Mais je n'ai pas la curiosité des histoires d'amour de passage, des activités girly en tout genre... Parfois j'aimerais bien, pour faire plaisir, pour être adaptée et adoptée mais non je n'ai rien à dire, je ne sais pas comment me comporter.
L'intimité amicale platonique est un de mes fantasmes réconfortants. Je rêve de trouver une personne à l'aise avec mes silences ou mes bavardages incessants, qui arriverait à suivre mes raisonnements, mes théories, et qui me partagerait son expérience, son point de vue.
J'ai trop peur des hommes. Accorder ma confiance à un homme me paraît impossible aujourd'hui. Pourtant, au fond de moi, j'aimerais bien ça.
Retrouver le contraste, l'équilibre, les atouts qu'apporteraient une relation de ce genre. Si simple dans sa complexité.
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coachantidouleur · 6 months
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Anatomie et pathologies fréquentes de la colonne vertébrale thoracique
La colonne vertébrale thoracique, une partie intégrante du squelette axial, joue un rôle vital dans le soutien du tronc et la protection de la moelle épinière. Je vous propose dans cet article d’explorer la structure de cette partie essentielle du corps humain pour ainsi mieux comprendre les différentes pathologies qui peuvent l’affecter. Structure générale de la colonne vertébrale…
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Une douleur à la cage thoracique? Ça pourrait être une irritation costovertébrale!
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Une douleur à la cage thoracique? Ça pourrait être une irritation costovertébrale!
Saviez-vous que les côtes pouvaient être à l’origine de certaines douleurs? Les conditions costales sont fréquemment rencontrées en chiropratique et lorsqu’elles sont d’origine neuromusculosquelettique, le chiropraticien possède généralement tous les outils pour aider son patient à retrouver un état de santé optimal. Dans cet article, vous découvrirez l’une des conditions costales les plus fréquentes, c’est-à-dire l’irritation costovertébrale, et vous apprendrez comment la chiropratique pourrait être votre allié dans le traitement de cette condition.
Les côtes et leurs articulations
Anatomiquement parlant, les côtes bougent. Si elles ne bougeaient pas, la respiration serait très difficile puisque leur mouvement permet à la cage thoracique de prendre de l’expansion lors de l’inspiration et l’expiration.
Le corps humain comprend généralement 12 paires de côtes. De ces 12 paires, les 2 dernières sont dites flottantes, c’est-à-dire qu’elles n’ont pas d’attache à l’avant, contrairement aux 10 autres paires de côtes.
Au niveau dorsal, chaque côte s’articule au niveau vertébral, d’où le nom de l’articulation costovertébrale :
Au niveau ventral, les côtes s’articulent pour la plupart avec le sternum, d’où le nom de l’articulation costosternale :
Même si les articulations ne sont pas du même type entre la région antérieure et postérieure du dos, le mouvement est possible à chaque niveau. Comme dans tout mouvement articulaire, il est possible qu’il y ait une diminution de la mobilité, ce qui peut causer des conditions neuromusculosquelettiques comme l’irritation costovertébrale.
Quand la perte de mobilité engendre la douleur
Chaque articulation a un mouvement qui lui est propre. Ce mouvement se doit d’être optimal si l’on souhaite que l’articulation fonctionne normalement. Plusieurs causes peuvent créer une perte de mobilité articulaire :
Traumatisme direct à l’articulation
Mauvaise posture de sommeil
Mauvaise posture de travail
Mouvement répétitif
Mauvaise utilisation de l’articulation (ex.: mauvaise technique de course)
Sédentarité (non-utilisation des articulations)
Le processus plus détaillé (mais imagé) menant à l’apparition de douleur ressemble à ceci :
Lorsqu’une articulation ne bouge pas optimalement, les récepteurs articulaires envoient un signal au niveau cérébral indiquant que le mouvement n’est pas idéal.
Lorsque le cerveau reçoit cette information, il la traduit comme un problème à régler et souhaite donc “protéger” le corps.
Les signaux de protection envoyés par le cerveau peuvent être ceux-ci :
Inflammation
Hypertonicités musculaires (contractions musculaires)
Restriction dans l’amplitude de mouvement, avec douleur
Restriction dans l’amplitude de mouvement, sans douleur
Raideur des muscles environnants
Oedème local
Douleur
Douleur au mouvement
Douleur au repos
Douleur intermittente
Douleur constante
Douleur légère
Douleur intense
Douleur locale, au toucher
Douleur irradiante
Vite, on se rend compte que les hypertonicités musculaires engendrent à leur tour une nouvelle diminution de l’amplitude de mouvement. C’est ainsi que le cercle vicieux de la restriction articulaire débute :
Perte d’amplitude de mouvement = hypertonicités musculaires
Hypertonicités musculaires = encore plus de perte d’amplitude
Encore plus de perte d’amplitude = encore plus de réponses de protection = encore plus d’hypertonicités musculaires
Ainsi de suite.
Les articulations costovertébrales ne font pas exception à ce mécanisme. En général, les douleurs liées à l’irritation costovertébrale sont celles-ci :
Sensation de point à droite ou à gauche de la colonne vertébrale, dépendamment de l’articulation ciblée.
Douleur possible lors de l’inspiration ou de l’expiration, en raison du mouvement de l’articulation impliquée.
Douleur possible lors du mouvement des bras/épaules, en raison du mouvement de l’articulation impliquée.
Sensation de douleur intense à la poitrine, vis-à-vis l’articulation costovertébrale touchée. Comme si un poignard transperçait la poitrine de l’arrière à l’avant.
Le chiropraticien à la rescousse
Lors de son examen, le chiropraticien aura la tâche de déterminer si la douleur perçue par son patient est d’origine neuromusculosquelettique. Pour se faire, il utilisera l’expertise qu’il a acquise au cours de son doctorat de premier cycle en chiropratique.
Des questions précises servent à orienter son cheminement clinique.
À quel moment survient la douleur?
La douleur est présente depuis quand?
La douleur est-elle irradiante?
Est-ce que l’intensité de la douleur varie?
Le patient a-t-il des difficultés respiratoires?
Le patient a-t-il d’autres symptômes?
Un examen physique complet en lien avec les réponses aux questions aide le chiropraticien à préciser graduellement son idée diagnostique :
Amplitudes de mouvement costovertébrales
Amplitudes de mouvement costosternales
Palpation chiropratique (subluxations) au niveau vertébral
Évaluation des hypertonicités musculaires potentielles
Des examens complémentaires en fonction des résultats obtenus (radiographies)
Puisque le chiropraticien a la capacité de prescrire et analyser les radiographies, il est possible qu’il veuille avoir une image plus précise de la région impliquée. Comment est la colonne vertébrale? Comment sont les articulations costovertébrales? Comment est la qualité osseuse? Toutes ces réponses peuvent aider à déterminer si le diagnostic est d’origine chiropratique et orienter vers le traitement le mieux adapté pour le patient.
Dans l’éventualité où un traumatisme soit à l’origine de la douleur, il est possible que le chiropraticien veuille évaluer l’intégrité osseuse. Si elle est compromise et qu’il suspecte une fracture, il aura à référer son patient du côté médical pour un suivi approprié pour confirmer le diagnostic.
Dans le cas d’un diagnostic d’irritation costovertébrale, un suivi chiropratique pourra être envisagé.
Puisque le chiropraticien évalue la présence de subluxations vertébrales, il traitera celles qu’il a trouvées lors de son examen. Sachant qu’il n’y a pas que les articulations vertébrales qui peuvent être subluxées, il traitera fort probablement l’articulation costovertébrale en cause dans le diagnostic qu’il a émis puisqu’elle présentera sans doute une perte de mouvement.
Si, à son examen, des hypertonicités musculaires ont été mises en lumière, il pourra les travailler afin de rendre le muscle plus souple et moins contracté. Cela aidera à redonner une amplitude de mouvement normale à l’articulation.
Puisqu’on retrouve généralement de l’inflammation au site de l’irritation costovertébrale, il est possible que des techniques complémentaires soient utilisées, selon la localisation, l’indication et les contrindications du patient :
TENS (neurostimulation électrique transcutanée)
Ultrasons
Glace
Chaleur
Optimiser la santé de son patient
La vision chiropratique est orientée sur la santé globale de son patient. En conséquence, le chiropraticien ne se penchera pas seulement sur la douleur. Il aura toujours en tête d’optimiser son suivi et la condition de vie des gens qui le consultent en donnant des conseils sur les habitudes de vie, les postures à adopter (sommeil et travail) et les exercices qu’ils pourraient faire afin d’aider leur condition et éviter les récidives.
Le chiropraticien sait très bien que l’absence de douleur n’est pas toujours en lien avec l’absence de maladie/condition de santé. Il pourra être présent pour vous suite à la gestion de la douleur afin de vous guider vers un état de santé optimal et vous proposer des soins d’optimisation. N’hésitez pas à le consulter!
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Charlotte Mano - Série "Thank you mum"
"Demande de logement. Petit oiseau sentimental cherche abri dans cage thoracique, près cœur sensible."
Pierre Dac "L'os à moelle"
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adropintheocean-rpg · 4 months
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༄ A DROP IN THE OCEAN ⁠
forum city, époque actuelle ༄ Il y a dans l'air une odeur spéciale, un parfum fleuri de vacances paradisiaques en plein cœur de la côte est. L'exotisme des palmiers s'entremêle à la grandeur des buildings, le bruit de la ville se mélange aux vagues qui s'entrechoquent contre les rochers. Les teintes colorées des planches de surf se perdent dans l'eau bleutée. Les rayons omniprésents du soleil se reflètent sur les façades des gratte-ciels. Le temps ne s'arrête jamais, pas même dès que la lune apparaît. Dans la nuit, les lumières et la pénombre se mélangent pour former la beauté de cette ville où les espérances peuvent devenir réalité ou être emportées par la marée. Parfois, le bleu de l'océan se transforme, comme une menace lointaine que l'orage peut approcher, que tout peut changer. Dans la ville magique, les âmes aussi ont des couleurs différentes. Les esquisses de sourires sur les visages n'ont jamais la même saveur, les accélérations du cœur dans la cage thoracique, les lueurs dans le regard ont toutes une raison spéciale. Une raison unique. Car tout est unique ici. Tout est unique à Miami.
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Nous avons le plaisir de vous présenter le contexte d'un projet qui nous tient à cœur et qui, nous espérons, vous plaira. ♡
༄ Ce qu'il faut retenir : forum ancré dans la ville de Miami, en Floride; un rp par mois vous sera demandé; aucun minimum de lignes; city simple avec la possibilité de jouer tous types de personnages.
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Le forum est déjà bien avancé, il nous reste seulement quelques petits détails à fignoler, mais l'ouverture est prévue très prochainement.
༄ Vous pouvez dès à présent réserver un fc, la liste de ceux déjà réservés se trouve par ici. Vous pouvez également demandé à être prévenu.es.
A bientôt ! ☼
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licoeur · 4 months
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Le jour se lève
Le monstre a perdu ses dents
Tu n'existes plus
La pluie s'abat dans ma cage thoracique
Psychedelia-infused garage rock à l'âme
Presque nue
Santiags aux pieds
Poils et seins défient l'horizon
Attends moi, désert
Je vais rouler sur ton paysage
Clope derrière l'oreille et machine de guerre
Affronter les animaux sauvages
Quand la tempête aura cessé
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blood-mocha-latte · 10 months
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godly, illegal, versed — gene and renée drabble
for an ask from @xxluckystrike || request an edit/drabble || i contemplated briefly writing this entirely in french and offering a translation, but figured that i wanted to go a different route, lmao. plus, renée is too wonderful to have to withstand my rusty french lol. there still is french in here and it’s all mine, so if there are fuck-ups that’s why asdfghjkl
When she closed her eyes, she always saw the windows.
Her mother had had a painting like that, years ago, when she was a child. People clustered around a shop window glowing orange with comfort, holding sweets or clothes or toys inside.
“Tout Paris brille ainsi.” She’d murmur, holding her close, pressing a kiss to her hair. “Nous irons là-bas et nous danserons dans cette lumière.”
“Quand?” Renée had asked, her breath shaky, running a finger across the texture of the canvas, wondering how man could make something so godly.
That didn’t much matter, now.
The windows of the Bastogne church did not glow, nor shine, and she did not dance under their light. 
((Once, during an artillery barrage, a fire had lit against the bodies of those lined up beside the church. It had cast its deadly light every which way, not so much guidance as a flickering omnipresence. 
She had stared at that light's reflections, watched it dance in pools of blood. The man she held, keeping one hand on the side of his face and the other across his collarbones, a poor facsimile of a hug, gasped under her. Une plaie par aspiration thoracique. A sucking chest wound. There was nothing she could do.))
“Mes frères me manquent,” Anna told her once, as they hid in the looming shelter of the church, breaking chocolate in between them. “Mais je ne pense pas que je pourrais partir d'ici.” 
Renée had closed her eyes, just briefly, a facsimile of rest. She thought of her mother, her sister. “Oui.” She’d murmured.
Both of them would probably leave, in a moment. With blood on their hands, light gone from their eyes, in their hearts knowing that to leave these screaming boys was to be worse than the devil, worse than god. More illegal than murdering a man in cold blood and leaving him to rot in his lover's bed. But it was better to pretend they had a choice in what they’d chosen than not.
Everything was the same and different; a limbo of the church. Soldiers that were tired and sick and hurting. She wondered if she’d be better at helping them if she wasn’t also.
The boy was new.
She sat with him, on the crumbling bench, unwrapping chocolate. It tasted like ash. Everything did.
He was silent, after commenting on her hands. She wondered if she gave the wrong answer. I never want to see a wounded man again. 
She had to think carefully about her words, next, and broke off another square of chocolate to distract herself.
“My mother was a nurse in the Great War.” She told the chocolate wrapper. The boy shifted next to her. Eugène, he said. His name. She’d had an uncle named Eugène. “I wanted to… to help, like her.” Eugène was quiet next to her.
“You are helping.” He said, voice low. He didn’t look at her, either. “More than most.”
No one who would notice will live. She thought, and did not say. The silence stretched between them like silk. 
“My grand-père fought in the same war.” Eugène said. “But he killed people. Hurt them.”
“So you are not like him?”
Eugène huffed. “I think I might be.” He murmured to the snow trodden ground. Renée hummed. She thought of her mother. Of her sister.
“Stay safe, yes?” She told Eugène. “Run between the fire.”
Eugène nodded, eyes on the ground. “You too.” He said. Renée nodded back.
“Il y a un garçon qui n'a pas plus de dix-sept ans à l'intérieur.” Anna told her, later that night. The front of her clothes were stained with blood. Renée wrapped her fingers around her wrist and squeezed gently, just to know she was still there. “J'ai besoin d'aide pour le garder immobile.”
Renée let go of her to look briefly over her shoulder. The boy had gone back to his soldiers on the last van. She hoped he wouldn’t have to come back with another, screaming and bloody and calling him Gene, asking him to please help.
“Chirurgie?” She asked. Anna sighed, nodded to the back. A well versed dance.
“Bras.” Was all she said. Renée scrubbed a hand down her face. It left the coppery-taste of blood and chocolate in her mouth.
“Ma mère aimait danser.” She told Eugène. The surgeon called her down but didn’t need her help for long. She searched through torn up bedsheets and everything else for what the boy could bring back to his soldiers. “Elle a toujours voulu aller à Paris et danser sous ses lumières.” 
Eugène hummed. His face was lined with exhaustion. She could see blood under his fingernails when he picked up a roll of fabric she’d torn from a dead boy’s bedsheets. ���Si jamais vous voulez visiter Paris aussi,” He said, “Je pourrais venir avec vous.” 
Renée nodded to him. She was mostly just tired. She doubted she could ever dance again without feeling it in her bones.
She didn’t hurt. The plywood was like a blanket.
She imagined she could feel her mothers lips press to her hair, her arms holding her. Her warmth.
“Ma petite fille forte.” Her mother whispered. “Viens danser à Paris avec moi.”
When she closed her eyes, she saw the windows.
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idereahellyeah · 2 years
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J'ai vu les post de @plaidetchocolatchaud et je me suis rendue compte que j'ai été plutôt sage sur les retraites. Alors que bon.
Je m'appelle A., j'ai 33 ans, je suis infirmière depuis 10 ans et j'ai déjà deux accidents du travail reconnu qui m'handicaperont toute ma vie.
Je travaille dans un service privilégié où on a beaucoup de matériel pour nous aider, pourtant chaque jour je vois des collègues mettre leurs mains sur leurs hanches pour soulager leurs dos ou s'étirer la nuque dans l'espoir d'un craquement libérateur.
Je travaille avec une équipe jeune pourtant beaucoup portent les traumas de voir la douleur, la mort, la souffrance de vie de leurs patients. Nombreux sont ceux également qui avec l'alternance jour/nuit ne peuvent dormir sans prendre un traitement et je ne compte plus ceux qui en sortant du boulot vont systématiquement boire un coup pour ne pas ramener le boulot à la maison.
J'ai aussi la chance d'être entourée de mentor, quelques rares dinosaures qui travaillent depuis plusieurs décennies dans le service. L'expérience fait qu'ils refusent de faire certains gestes, comme les compressions thoraciques, afin de se préserver car ils savent qu'ils ne peuvent plus. Même remonter les patients dans les lits leur est difficile avec l'arthrose qui déforme leurs doigts et la fin de journée est difficile malgré les bas de contentions.
Encore une fois, j'ai de la chance, pas comme les 3/4 des services où toutes les conditions sont dégradés. Chez moi on nous demande de travailler plus avec moins, chez eux on leur demande de faire plus avec rien.
Les soignants n'arrivent pas à vieillir à l'hôpital, peu dépassent l'âge de 60 ans et les gens arrivent plus tard dans le milieu.
Et le gouvernement veut instaurer 64 ans de départ à la retraite et 43 ans de cotisation? Mais on va où sérieux?
L'hôpital va mal, ce n'est pas un secret de polichinelle, et on demande encore à ceux qui le font tenir de faire plus. C'est épuisant.
La pénibilité n'est pas reconnue pourtant, pour rappel, les femmes qui travaillent de nuit sont celles qui ont le plus de risque de développer des cancers et des maladies cardio vasculaires. Dans le discours du gouvernement on parle des aides soignants mais, outre les infirmiers, pourquoi juste eux? Les ASH qui manipulent des produits chimiques toute la journée n'ont pas un boulot pénible? Les manipulateurs radios qui se bouffent malgré tout des rayons toute la journée n'ont pas un boulot pénible? Et les médecins qui commencent à travailler officiellement à partir de l'internat, on les fait bosser jusqu'à 90 ans sous prétexte qu'ils "gagnent bien" leur vie? Sans déconner.
Hier j'étais dans la rue car je ne travaillais pas mais je pensais fort à mes collègues qui ont été réquisitionnés et qui portaient un bout de scotch sur leurs tenues marqué "En Grève".
Je pensais fort également à tous ceux qui hors de l'hôpital sont comme nous concernés, soit beaucoup trop de monde.
Force à nous tous !
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sh0esuke · 9 months
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" Mordant "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Eustass Captain Kid.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Kid était têtu, il était le genre de pirate à ne rien laisser sur son passage, juste parce que ça lui plaisait de briser des vies et de dépouiller de pauvre innocents. À ses yeux, c'était ça la piraterie. Lorsqu'il désirait s'emparer de quelque chose, il ne reculait devant rien, il se servait. Kid avait les mains pleines, l'égo boosté. Cependant, s'emparer d'objets et s'emparer d'une femme étaient deux choses bien différentes et ça, il le compris lorsqu'il fit face à une chose qu'il n'eût pas convoité depuis bien longtemps. Elle n'était pas seulement sublime, elle était puissante. Sa férocité et force brute n'avaient rien à envier à la sienne. Dès que Kid croisa son regard, il le sut : il la voulait. Qu'elle le veuille ou non, elle serait sienne.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : violence.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS.If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS.Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟏,𝟕𝟎𝟑.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Un boucan diabolique retentissait sur l'île. Il était infernal. Le sol se brisait, il se fissurait, craquelait et cédait sous l'impact apporté. La mer au alentour s'agitait, elle ricochait contre la pierre autour de l'île, giclait sur les arbres, la verdures et le reste d'oiseaux prenant la fuite. D'immenses vagues secouaient le Victoria Punk amarré, elles manquaient de le faire chavirer à plusieurs reprises. C'en était cauchemardesque. Et alors que le ciel se couvrait de nuages d'un grisâtre inquiétant, l'électricité dans l'air ne tardait pas à donner naissance à des orages. Un rire retentissait soudainement. Il était d'un diabolique incomparable. C'était un ricanement, un cracha au visage des cieux eux-mêmes. Un rire moqueur, capable d'attiser la colère de la plus douce des âmes. Ce rire retentissait dans les quatre coins de la petite île, il faisait écho dans l'air et, l'instant suivant, un éclair s'abattait au bord de la plage.
La jeune femme avançait dans tout ce chaos; sa chevelure secouée par la bourrasque de vent, son immense hache à la main, vêtue uniquement d'un body d'un blanc tâché par le sang et la terre, ainsi qu'une longue paire de bottes à talons remontant jusqu'au haut de ses cuisses d'un blanc similaire. Elle avançait de manière nonchalante, un sourire séducteur sur le coin de la bouche tandis que son regard tirait des éclairs en direction de son adversaire.
« Eustass Kid, tu n'as aucune chance contre moi. » déclara-t-elle. « Abandonne donc, personne ne t'en tiendra rigueur. »
Kid attirait de la ferraille à lui. Dans un sourire carnassier, il ramassait les armes laissées par ses hommes et hissait le tout dans les airs. Tel un nuage de mauvais augure les surplombant, il grossissait, grinçait et penchait en leur direction. Kid tenta de se saisir de la hache de la demoiselle, néanmoins, la poigne inhumaine qu'elle exerçait dessus l'en empêcha. Elle en faisait même craqueler le manche en bois. Il se contenta alors du monstrueux amas de ferrailles perché au dessus de sa tête.
« Approche un peu, ma jolie. On va voir qui repartira la queue entre les jambes. » il la taquina.
La jeune femme rit de nouveau.
Elle enjambait les nombreux cadavres sur son chemin. Lorsqu'elle ne put en éviter certain elle se contentait alors simplement de les user afin de se hausser et de toiser le roux. Plantant l'aiguille de son talon dans leur chair et brisant leur cage thoracique, elle n'y fit guère attention. Elle avançait à un rythme parfaitement exécuté, sans aucune once d'hésitation dans le sang. Et tandis qu'une averse colossale s'abattit sur l'île, trempant brusquement son entièreté, la jeune femme avait pointé le tranchant de sa hache en direction du pirate. La pluie la nettoyait, peu importait si elle était ensanglantée. Son body ainsi sur ses chaussures de cuir, ne purent y échapper.
« En garde. »
Kid éclatait de rire. L'instant suivant, il noyait la guerrière sous un océan de ferrailles, le sien. Brusquement, son bras s'était abattu et elle avait disparu de son champs de vision, malgré la lourdeur de tous ces boulets de canon, ces armes, ces poignards, ces arbalètes, il n'eu aucun mal à la prendre par surprise. Le métal et le bois grinçaient sous la pluie, et l'obscurité dans laquelle les deux combattants étaient plongés n'était brièvement éclairée que par les quelques éclairs apparaissant ici et là lors de rares occasions. C'en était apocalyptique. Kid en prenait un plaisir malsain, et tandis qu'il voyait la jeune femme sortir de sa tombe, il sentait son sourire carnassier s'agrandir. À main nue, son arme abandonnée à même le sol à ses côtés, elle avait attrapé l'extrémité du nuage de ferraille pour le réduire à l'état de poussière. La force dont elle fit preuve en faisait trembler l'air. L'espace d'une seconde, la pluie cessa même de tomber, avant de brutalement s'abattre de nouveau.
La guerrière rattrapait sa hache et avançait jusqu'à Kid. Elle utilisait le cadavre du nuage de métaux pour prendre en hauteur. Sa vitesse ne cessait de prendre en grandeur. Une fois suffisamment proche du roux, la demoiselle sauta dans les airs, elle fit brusquement retomber sa hache dans sa direction et son corps suivit la cadence. À l'œil nu, il aurait été presque impossible de l'apercevoir, la vitesse dont elle faisait preuve dépassait l'entendement. Voilà pourquoi Kid ne fit pas usage de sa vue, mais plutôt de son instinct pour, à la dernière seconde, éviter de près son assaut.
« Bordel ! Fais chier. »
Le capitaine du Victoria Punk ne put cependant pas éviter les dégâts que l'impact causa. Il en fut propulsé en arrière et son dos heurta violemment un roc à une vingtaine de mètres. Le temps de cligner des yeux, du sang tachait déjà ses paupières et sa vue se troublait. Kid geint. Il observait une silhouette trouble s'approcher de lui. Camouflée par un épais nuage de poussière et avançant dans un rythme sinistre, menaçant, la guerrière revenait à la charge. Toujours armée de sa hache, sur laquelle elle raffermissait sa prise, proche de sa cuisse, elle jetait un regard accusateur en direction du pirate.
« Abandonne, Eustass Kid. Tu n'es pas de taille face à moi. » elle insista. « Tu vas finir par mourir. »
Elle le surplombait. Postée droit devant lui, entre ses jambes écartées, et les sourcils haussés, elle le toisait. D'un air hautain elle admirait la façon dont Kid respirait et saignait. Il inspirait et expirait bruyamment, sa poitrine secouée violemment et ses bras étendus le long de son corps. Lorsqu'il jeta un coup d'œil au ciel pleureur, il ne put s'empêcher de rire.
« Je suppose que je pourrai jamais te battre, hein ? » murmura-t-il.
Ma race est supérieure, nous avons été façonnés par les Dieux eux-mêmes. Si je perdais face à toi, cela tiendrait du miracle. Voilà ce qu'elle désirait répondre. Du plus profond de son cœur, par pur vantardise et fierté.
Elle se retint cependant. À la place, elle plaçait le tranchant de sa hache sous sa gorge et s'accroupissait face à lui. Kid la regardait faire en agonisant.
« Tu abandonnes, alors ? »
Kid grognait.
« Plutôt mourir. » cracha-t-il.
Il se saisit brusquement du manche de la hache et, à l'aide de ses pouvoirs du fruit du démon, devança la guerrière. Elle lui glissait des mains. Kid en profitait pour se relever, sur son genoux, et fracassait dans un geste d'une violence inouïe le tranchant de la lame contre sa gorge. Une vaine tentative de la décapiter, d'en finir en un seul coup. De mettre fin au cauchemar. Les yeux de Kid s'écarquillaient le moment où il se rendit compte que la guerrière s'en sortait indemne. Pas une seule égratignure. Sa peau restait aussi parfaite et resplendissante qu'au départ, c'était comme si elle n'avait été que spectatrice de ce combat. Elle se contentait d'observer Kid avec des yeux incrédules, surprise par sa détermination. Depuis tout ce temps, il aurait pourtant dû se rendre compte que rien, ni personne, n'était en mesure de la tuer. Sa peau résistait à tout. Elle était invincible.
« Bien tenté. » articula la guerrière d'une voix quelque peu rouillée. « Tu m'excuseras, je te le reprends. »
Ses doigts s'enroulaient auront du manche de son arme. Elle l'arrachait des mains de Kid sans aucun mal, sans aucune once de résistance de son côté. Il lui obéissait docilement, presque effrayé à l'idée de s'attirer ses foudres. La jeune femme raffermissait une prise des plus possessive sur sa hache. Elle faisait face au visage de Kid. Leur proximité la frappa à l'instant même. Il n'était qu'à quelques centimètres d'elle, après avoir tenté de l'égorger. Le roux était ivre d'adrénaline, il respirait bruyamment et saignait à grosses gouttes. Ses yeux étaient exagérément dilatés. Il était dirigé par ce besoin malsain, sanglant : il avait besoin de toujours plus.
« Rejoins mon équipage. »
La jeune femme grimaçait.
« Jamais de la vie, plutôt mourir. »
Kid attira rapidement à lui un sabre dont il fit glisser le tranchant contre la hanche de la guerrière. Elle avait tenté de l'attaquer brusquement, tandis que lui avait riposté bien avant. L'arme de Kid voltigea sans mal hors du champ de bataille, il n'était pas en mesure de résister voire de contrer la force de l'arme de prédilection de la demoiselle ainsi que sa force brute. Cela ne l'empêcha tout de même pas de continuer à contrer les attaques monstrueuses de la jolie créature face à lui. Et peu importait si cela faisait des heures qu'ils étaient ici, que son corps criait à l'aide ; il n'en avait jamais assez.
« Si je te casse assez la gueule, peut-être que tu finiras par accepter. » conclut Kid. « Allons-y, dans ce cas. C'est pas un petit échauffement qui va me faire peur. » se vanta-t-il.
Un éclair tomba soudainement. Non loin de là, il déchira un endroit où les cadavres de pirates n'avaient pas encore recouvert la verdure. Cela ne les empêcha toutefois pas d'en subir de légères brûlures. Le bruit sec et horrifiant de la foudre fit trépigner Kid d'impatience. Sa lumière d'un blanc éblouissant jaillissait sur le côté droit de son visage, illuminant ainsi l'expression amusée encrée sur sa peau. L'espace d'un instant, la jeune femme se figeait sur place. Elle admirait Kid, sa splendeur, son visage si rugueux à la peau ensanglantée, blessée, et ne su trouver la force de se mouver. Lorsqu'elle reprenait ses esprits, il avait déjà regroupé des cadavres de ferrailles abandonnés ici et là par sa précédente défaite. Il reconstruisait un imposant nuage d'armes, persuadé qu'à l'usure, la guerrière finirait par céder, comme si elle était celle à bout de souffle, celle blessée et celle recouverte de son propre sang.
Kid en était convaincu ; elle se joindrait à son équipage. Qu'elle le veuille ou non, elle faisait déjà partie des pirates du roux. Il pouvait déjà se voir à ses côtés, pillant villes et royaumes, arrachant la vie aux innocents et torturant les méritants. Et elle le savait. Elle se voyait elle aussi à ses côtés, elle se voyait mourir pour son capitaine. Elle n'était juste pas encore prête à l'avouer.
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chicinsilk · 3 months
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US Vogue June 1969
Elizabeth, Princess of Toro wears a U-shaped navy ribbed knit that covers the arms and bares the ribcage above matching navy short shorts - a knotted white rope is the rigging here. By Beldoch Popper, in Durene cotton. Rope of Sant'Angelo. Makeup: Beauty Bronze, the shade of Kenneth's Beauty Base liquid makeup. Hair: Alan Lewis of Kenneth.
Elizabeth, Princess of Toro porte un tricot côtelé bleu marine en forme de U qui recouvre les bras et découvre la cage thoracique au-dessus du short court bleu marine assorti - une corde blanche nouée est le gréement ici. Par Beldoch Popper, en coton Durene. Corde de Sant'Angelo. Maquillage : Beauty Bronze, la teinte du maquillage liquide Beauty Base de Kenneth. Coiffure : Alan Lewis of Kenneth.
Par Photo Gianni Penati vogue archive
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rayondelun3 · 4 days
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[m o n * c o e u r]
Mon cœur a gelé. Mon cœur transperce ma cage thoracique. Mon cœur va mal... Mon cœur n'est plus simplement affamé : il meurt de fin ; j'agonise. Mon cœur, je dois le réchauffer, le mettre à l'abri ; j'ignore encore comment. Mon cœur malade, mon cœur tout froid mais ne sait rester de glace. Mon cœur mourant ; qui en veut ? Personne ? Personne...
Mon cœur n'est qu'un cœur ; rien de plus et pourtant,
Pourtant, c'est déjà trop.
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swedesinstockholm · 2 months
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2 juillet
dernier matin seule dans la maison, maman est en vacances demain. j'aurais du mettre me réveil à huit heures et profiter de chaque seconde. hier maman m'a dit que j'en avais assez profité non? oui, mais mes matins seule à la maison sont ce que j'ai eu de plus précieux, de plus sacré ces dix dernières années, et je les aime comme au premier jour, quand j'avais quatorze ans et que je séchais les cours pour rentrer. une vie entière ne suffirait pas pour profiter des matins tranquilles à la maison. cette nuit j'ai rêvé que je me réveillais dans la même chambre que n. et ses deux colocs, je dormais dans un lit superposé et un des deux colocs dormait au dessus de moi et quand il grimpait sur l'échelle tout le lit se mettait à trembler. on dormait à l'intérieur d'une espèce de grand sac de couchage relevé par dessus la tête pour protéger son intimité et je regardais par le trou du sac de couchage au dessus de ma tête et je me disais que malgré tout, il valait mieux ça que de rentrer à la maison. hier n. m'a écrit que si j'étais encore là dans un an on pourrait participer aux 48h neukölln et j'avais envie de lui répondre que oui je serais là parce que de toute façon je peux pas être ici. pas le choix. je lui ai dit i'm going batshit crazy here et elle m'a dit qu'elle était encore plus contente que je vienne alors. c'est la deuxième fois qu'elle me sauve la vie en un an. la première fois c'était de r. cette fois c'est de maman.
je suis retombée sur le post de l'article sur grey gardens et dans les commentaires tout le monde s'indignait de la lecture complètement erronée et romantisée du film par la journaliste et j'avais un peu honte de m'être laissée avoir par sa vision de l'histoire, parce que je l'ai vu ce film et il est terrifiant. la mère de little edie est un monstre qui veut pas que sa fille aille vivre sa vie à new york, little edie qui rêve d'amour et de devenir une star à broadway mais elle est prisonnière de sa m��re dans leur manoir qui tombe en ruines, isolées du reste du monde. depuis que j'ai vu ce film mon pire cauchemar c'est de finir comme little edie et sa mère, même si on habite pas dans un manoir délabré et que maman n'est pas folle. parfois maman m'apparait comme un monstre auquel je dois échapper. le dimanche dans la forêt quand je l'entends derrière moi qui me rattrape parce qu'elle court et moi je marche, ça devient littéral. je suis remplie de colère contre elle. j'ai tellement de colère à l'intérieur de moi que ça me fait peur. je vois probablement que la pointe de l'iceberg en plus.
hier on a fait une séance de yoga à la maison avec a. et dès le début quand elle nous a fait faire des micro mouvements avec les pieds j'ai senti les larmes me monter aux yeux et je me suis dit oh putain le trauma, je l'avais oublié celui-là. enfin bof pas trop, mais ça faisait un moment qu'il s'était plus manifesté à travers le corps. j'ai pensé à la phrase your body is a library of pain, perfectly filed. j'ai senti que mon corps contenait un océan de douleur. je contiens un océan de douleur et de colère. c'est-à-dire une tempête. avec des vagues scélérates. mais c'est un océan intérieur comme dans voyage au centre de la terre, un océan souterrain dont rien ne parait à l'extérieur, sauf parfois des larmes, comme des gouttelettes d'eau de mer qui suinteraient à travers la croûte terrestre. à la fin a. a posé la paume de sa main chaude sur mon dos pour que je sente comment ma cage thoracique était plus grande d'un côté que de l'autre et j'ai de nouveau eu envie de pleurer. je lui ai dit que je voulais trouver un truc de thérapie par le mouvement à berlin mais j'ai trop peur d'exploser.
bon finalement c'est pas plus mal que ce soit la fin de mes journées seules à la maison parce que j'ai encore éclaté en sanglots au milieu de l'après-midi comme ça sans prévenir. je pleurais comme kate winslet, avec mes sanglots de désespérée. c'était théâtral et pathétique et j'ai du regarder un épisode de curb your enthusiasm en mangeant du chocolat pour me calmer parce que j'étais trop déprimée pour continuer à travailler. le TEMPS qu'il me vole depuis un an ce mec, c'est vertigineux, c'est criminel, je pourrais le poursuivre en justice, et ce serait même pas la première fois qu'il se retrouverait au tribunal. je me demande s'il a parlé de moi à son psy, par rapport à son complexe de connard, et si son psy lui a conseillé de me laisser tranquille pendant quelques temps, pour me laisser le temps de me sevrer et de guérir proprement. l'autre hypothèse, plus probable: il est trop occupé par la personne avec qui il discutait sur whatsapp l'autre jour pendant que je lui envoyais des passages de heart of a dog et je suis tout simplement passée au second plan.
hier a. m'a dit que je devais faire du core strengthening pour renforcer ma colonne vertébrale et développer mes abdos pour qu'ils aident à la soutenir. peut être que si je fais ça je me laisserai moins aplatir par les gens. j'ai toujours eu l'impression que mon maintien bancal était lié à mon estime de moi bancale. j'ai vu qu'il allait faire 33 degrés à berlin la semaine prochaine. j'ai peur de me retrouver clouée à l'appart étalée sur mon lit sans pouvoir bouger avec les jambes lourdes et la tête qui fourmille satané réchauffement climatique il va me foutre en l'air tous mes plans de réinvention de moi-même. peut être que dans un premier temps je pourrai me concentrer sur l'écriture. me concentrer dessus pleinement je veux dire. et puis je sortirai le soir. c'est bien aussi. c'est très bien même, vu que ça avance pas trop trop ces derniers temps.
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psykovskyyy · 2 months
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Non non non
Tous ces mots d’amour ne sont que mensonges et chaque nuit je rêve d’un exil sans fin
Que la chaleur me termine, je coule sur le sol, le monde s’habille en noir
Deuil universel
Quelle vie vide sans toi
Mode faucheuse activée, les femmes aiment alimenter un amour noir presque toxique du venin des serpents se tordent autour de ma gorge
L’envoûtement se durci dans ma cage thoracique tant de drogues m’ont noyé mais aucune n’a détruit ma lueur comme tu l’as fait
Toujours ces faux semblants l’amour depuis mes 6 ans c’est une scène de théâtre, une farce ornée de tendresse on me fait croire que c’est doux mais ça brûle au plus profond
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liemhurle · 1 year
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Jour 5 : Vibration
Un battement de coeur, quand il est calme, est une vibration. Un silence, un écho, un frisson. Il vibre, doux, tendre, subtil, caché sous les poumons, derrière la cage thoracique. Il volète, palpite, tremble avec douceur, comme un papillon aux longues ailes fragiles, comme une feuille qui glisse dans le vent. Un coeur calme est silencieux comme une respiration, poignant comme un soupir.
Et soudain, à la vue du danger, ou de l'amour, ou de l'inconnu, il éclate, il tambourine, il balance, il tonne : il bat à toute vitesse, tape de grands coups dans la poitrine, pompe de grandes lampées de sang, avale de larges quantité d'oxygène. Un coeur aux abois est un tambour, le galop d'un cheval affolé, le grondement du tonnerre au creux de la nuit : il brûle, blesse, déchire, halète, se démène pour survivre.
Il prendra son temps pour se calmer, pour ralentir, pour reprendre son rythme de croisière : le coeur est prompt à accéler, à bondir, mais réticent à retourner au repos. Il ralentira lentement, hésitant, avec précaution, jusqu'à retrouver le confort d'un battement régulier, d'une vibration familière.
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adropintheocean-rpg · 4 months
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༄ A DROP IN THE OCEAN ;; ouverture
Il y a dans l'air une odeur spéciale, un parfum fleuri de vacances paradisiaques en plein cœur de la côte est. L'exotisme des palmiers s'entremêle à la grandeur des buildings, le bruit de la ville se mélange aux vagues qui s'entrechoquent contre les rochers. Les teintes colorées des planches de surf se perdent dans l'eau bleutée. Les rayons omniprésents du soleil se reflètent sur les façades des gratte-ciels. Le temps ne s'arrête jamais, pas même dès que la lune apparaît. Dans la nuit, les lumières et la pénombre se mélangent pour former la beauté de cette ville où les espérances peuvent devenir réalité ou être emportées par la marée. Parfois, le bleu de l'océan se transforme, comme une menace lointaine que l'orage peut approcher, que tout peut changer. Dans la ville magique, les âmes aussi ont des couleurs différentes. Les esquisses de sourires sur les visages n'ont jamais la même saveur, les accélérations du cœur dans la cage thoracique, les lueurs dans le regard ont toutes une raison spéciale. Une raison unique. Car tout est unique ici. Tout est unique à Miami.
Nous avons l'immense plaisir de vous annoncer l'ouverture officielle de notre petit projet, A Drop In The Ocean. Milles mercis à celles et ceux qui ont suivi le projet, qui nous ont soutenu et contenu de le faire, ça nous fait vraiment chaud au coeur. 🎔
Nous espérons que notre maison deviendra la vôtre également. ☀︎
NOUS REJOINDRE NOUS REJOINDRE NOUS REJOINDRE
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 21
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour tout le monde,
La suite du Hateread a pris son temps, mais pour vous récompenser de votre patience, je vous livre la review de trois chapitres courts plutôt qu’un seul. J’espère que ça vous plaira ! Je vais aussi faire un petit sondage (voire plusieurs) pour récolter vos avis sur les articles à venir.
Dans le chapitre précédent, Archange arrivait sur Tadix avec sa suite, un échange de cadeaux s’opérait, Angelica suivait un démon vers une destination inconnue et Tara, au milieu de la nuit, se faisait réveiller par une voix familière.
Une voix dont l’identité n’est pas un mystère, car le chapitre d’aujourd’hui s’intitule « Robin, ou comment l’histoire du concombre prit tout son sens. »
Deux choses à dire sur ce titre :
1/ C’est peut-être la troisième fois dans ce tome qu’un cliffhanger perd sa tension, simplement car le titre du chapitre suivant spoile quel personnage est concerné/que ledit personnage est vivant. Je ne peux pas dire que c’est un défaut, peut-être que madame S.A.M. n’a pas particulièrement envie de laisser le suspense s’attarder. Mais bon, je le relève, vous en faites ce que vous voulez.
2/ Dans le tome précédent, Robin et Tara étaient en froid dans leur relation. En effet, dans le tome 8, Robin avait couché avec une démone qui s’était faite passer pour Tara, ce qui avait indigné notre héroïne quand elle l’avait appris. En discutant avec Cal pour savoir comment il pouvait reconquérir l’amour de sa dulcinée, Robin s’est vu recommander par le Voleur d’inventer un code pour s’assurer que Tara était bien elle-même. Le code en question était « concombre ». Voilà, et comme on a des histoires de changelins et d’apparence copiée dans ce tome, je suppose que c’est vers là que l’intrigue du chapitre se dirige.
« — Robin ?
Le demi-elfe ne lui sourit pas. Il avait l’air fatigué et angoissé.
— Tu cours un terrible danger, lui dit-il. Je dois t’avertir que…
Tara sauta au bas de son lit et se précipita sur lui, l’étreignant avec une force à la mesure de son inquiétude.
Elle faillit le carboniser au passage, parce qu’elle avait oublié d’éteindre sa magie.
Robin la serra brièvement contre lui puis recula. Tara reprit vite ses esprits, même si mille questions se bousculaient dans sa tête :
— Robin ! J’ai eu la peur de… mais comment as-tu fait pour… tu es toujours recherché !
Ça commençait à bien faire tous ses amis qui non seulement ne lui obéissaient pas alors qu’elle essayait de leur sauver la vie, mais en plus s’introduisaient partout comme dans un moulin. Même si, pour une fois, elle était très contente. Et soulagée. »
Je n’ai pas grand-chose à dire, à part que j’aime bien ce début de chapitre.
Robin lui parle ensuite de l’assassin qui est envoyé pour tuer Tara, et du complot qui se prépare contre elle, probablement orchestré par les démons. Il était dans la cellule voisine du type qui avait tenté d’assassiner Mourmur, qui apparemment a beaucoup bavardé sur les contrats les plus juteux du moment.
Mais au fil de la discussion, tout ça ne paraît pas naturel à Tara : Sourv, le Familier de Robin, n’est pas dans les parages, et Robin se comporte bizarrement. L’elfe l’embrasse, et elle décide d’utiliser le safe word, « concombre », dans une de ses phrases ; et comme Robin ne réagit pas, elle l’attaque en le plaquant au mur avec sa magie.
« — Je peux maintenir ma magie indéfiniment, mentionna-t-elle d’un ton détaché. Cela ne me demande aucun effort. Je peux même accentuer la pression, tout aussi indéfiniment.
La cage thoracique de Robin craqua soudain alors que la magie pesait de plus en plus lourd sur lui. Le demi-elfe croisa le regard de Tara. Elle était absolument sûre de ce qu’elle avançait. Il n’y avait aucune faille, rien qui puisse lui permettre de la tromper ou de la faire fléchir. Il s’affaissa un peu, dégoûté. Cela n’allait pas arranger ses affaires.
— Arrête ! cria-t-il, ça va ! Je me rends !
— Excusez-moi, persifla Tara, mais il est inutile de vous rendre, puisque vous êtes déjà mon prisonnier, Monsieur… ?
— Appelle-moi Monsieur X, grogna Robin d’un ton acariâtre. Et réduis ta foutue magie avant que mon corps ne craque. Bon sang, on ne devrait pas laisser autant de pouvoir entre les mains d’une gamine ! »
Donc un type inconnu, qui a pris l’apparence d’un jeune homme et a roulé une pelle à Tara sous cette apparence, la mentionne maintenant comme une « gamine ». Est-ce que le baiser était nécessaire ? Non. Déjà, qu’un inconnu embrasse Tara en déguisant son apparence était franchement dégueu, mais il y a la question de l’écart d’âge qui me débecte d’autant plus. Quand on ajoute ça à la scène avec Chem dans le chapitre 10, je me demande s’il n’y a pas un genre de kink sous-jacent. C’est la deuxième fois dans ce tome qu’un type nettement plus âgé vient sous l’apparence d’un jeune homme dans la suite de Tara quand elle est seule, pour la tromper et la manipuler, et qu’il tente de la séduire. Je ne sais pas vous, mais moi je trouve ça vraiment écœurant.
Le type explique qu’il l’a embrassée car il est télépathe et ça marche pas sur elle du coup peut-être qu’avec un contact physique- non.
Non, ça, c’est un prétexte de madame S.A.M. pour faire de la presse à scandale dans son bouquin. « Tara embrassée par un inconnu qui se faisait passer pour Robin ! Mais non, c’était un malentendu, il ne voulait que fouiller son esprit aha ! ». La plupart des auteurs de fanfictions que je connais sont mille fois plus inventifs pour rendre les kiss entre personnages crédibles. Ou au moins, ils savent assumer leur fétichisme comme tel et mettent des tags appropriés sur leurs histoires. Ou bien, troisième option, ils écrivent la scène comme cringe en assumant qu’elle l’est et en faisant quelque chose avec ça dans la narration.
D’ailleurs, Tara devrait manifester du dégoût à avoir été embrassée par un vieux type déguisé en son ex. Là, je ne parle pas de Tara en tant que personne, mais Tara en tant que personnage : Madame S.A.M. aurait dû lui donner une réaction dégoûtée, mais elle ne l’a pas fait. Je trouve ça frappant.
Monsieur X demande à Tara de le libérer de ses mouvements, en échange de quoi il répondra à ses questions. Elle garde sa magie autour de lui mais le laisse s’asseoir dans un fauteuil, suite à quoi il avoue être l’assassin envoyé pour la tuer. Donc c’est lui, le mec sugar daddied dans le prologue. Je retiens.
Monsieur X informe Tara que Robin est retenu prisonnier dans un lieu qui s’autodétruira d’ici trois jours, si l’assassin n’est pas revenu à temps pour le délivrer. Et comme ces deux passages font l’affront de s’enchaîner presque à la suite, je vais vous les offrir :
« Tara pâlit. Monsieur X n’était pas un idiot. Il venait de lui lier les mains. Que cela soit vrai ou pas, elle ne pouvait plus le tuer. Même si, contrairement aux sanguinaires AutreMondiens, en dépit de sa réputation, Tara ne tuait personne, du moins, pas si elle n’y était pas obligée, en général pour sauver sa vie d’ailleurs. (je relève cette dernière phrase, parce que six virgules c’est toujours trop + on ne comprend pas cette phrase tout de suite parce qu’elle devrait s’enchaîner avec la précédente plutôt que d’être coupée par un point)
Il lui restait une option, très « magisterienne ». Elle resserra le champ sur l’homme qui se figea, apeuré.
— Je ne peux peut-être pas vous tuer, fit la jeune fille d’une voix mortellement douce. Mais je peux vous faire mal. Vous faire tellement mal que vous me supplierez de vous écouter lorsque vous me direz exactement où se trouve Robin et comment le délivrer. Ce champ peut vous écorcher vif, très lentement. Je peux aussi le faire chauffer.
Elle joignit le geste à la parole et la peur envahit le visage de Monsieur X, lorsque, soudain, la température du champ augmenta, tandis qu’il devenait rugueux au point qu’en bougeant légèrement l’homme s’entailla la peau de la main. »
Uiui je suis une petite sainte qui ne tue personne et qui trouve le système carcéral de Tadix affreux, par contre la torture c’est okay uwu slay
La moralité de Tara dans ce tome et les précédents est un métronome qui va full vitesse. Elle est dans un entre-deux dont j’ai du mal à situer la cohérence : parfois on la décrit comme un portrait craché de Lisbeth, prête à tout pour affirmer sa posture d’Héritière quitte à se laisser corrompre par le pouvoir et abuser d’autrui, et puis d’un coup elle désapprouve des politiques dures et refuse de tuer, tout en admettant qu’une lente agonie est un choix moral. Et à aucun moment, ses contradictions internes ne sont l’objet d’une introspection. Ça rend le personnage plutôt dur à suivre, et très infantile.
« — Je ne suis pas votre ennemi, Tara Duncan, dit-il rapidement. Nous libérerons Robin, ensemble, là n’est pas la question. Et il est inutile de me torturer, parce que je suis venu ici pour vous aider. Et vous sauver tous les deux. Et AutreMonde aussi si possible !
Tara relâcha un peu le champ, lui rendit sa forme et sa consistance normales. Elle fixa Monsieur X et celui-ci lut dans le regard bleu impitoyable qui lui faisait face qu’elle n’hésiterait pas une seconde à recommencer si cela était nécessaire. Ignorant le sang qui coulait de sa main, il commença :
— Au début, j’ai cru que le commanditaire était un AutreMondien. Vous avez gêné les plans de nombreuses personnes, et toutes aussi nombreux sont les gens qui ont peur de vous et de votre pouvoir. Mais au fur et à mesure que le commanditaire m’expliquait ce qu’il voulait que je fasse, je commençais à me demander si je ne m’étais pas trompé, si tout ceci était bien plus vaste qu’un simple assassinat. J’ai pensé refuser, mais je ne suis pas le seul assassin sur AutreMonde. Il y en a d’autres. Je ne pouvais pas courir le risque qu’il engage quelqu’un de suffisamment compétent pour vous tuer. J’ai donc accepté le contrat. »
Comment dire… j’aurais parfaitement pu suivre ce retournement de situation, accepter l’espèce d’alliance avec semi méfiance entre Tara et Monsieur X, et même apprécier ce personnage d’assassin semblant jouer sur plusieurs tableaux… mais le baiser entre lui et Tara n’était réellement pas nécessaire. Ce choix de scène cheloue et dégoûtante, non traitée, rend tout investissement caduc de mon côté.
Monsieur X explique ce qu’on a déjà deviné, à savoir qu’il est un changelin. Il décrit le procédé de copie d’un corps, grâce à l’absorption d’un peu d’ADN (cheveux, morceau de peau ou autre). Il explique aussi que les changelins ne montrent jamais leur vrai visage, sauf en famille, et il mentionne qu’il a une femme et un bébé (pourquoi t’embrasses une gosse si tu as une femme espèce de porc putain je te déteste, je déteste que personne ne te mette en face de ça), qu’il a été scripte à une époque, qu’il est ensuite devenu un assassin de la Guilde. Bref, du lore qui serait intéressant si je ne haïssais pas déjà le personnage. Il parle ensuite de la façon dont il s’est évadé de prison, évoquant au passage que c’est un sangrave qui a tenté de récupérer Selenba, prouvant ce qu’on sait déjà : la sincérité de la vampyr quant au fait d’être réhabilitée.
On en vient ensuite à l’origine de la machination : les démons de deux factions n’appartenant pas tout à fait à Archange, et refusant les transactions avec AutreMonde. Bref, tout ce joyeux bordel nous explique enfin ce qu’on fout là, et je pense que le reste des chapitres dépliera lentement les autres questions qu’on se pose.
Tara contacte Lisbeth et lui explique tout ce qu’elle vient d’apprendre. Un concert va bientôt commencer, et elle missionne Monsieur X pour qu’il retrouve son commanditaire. Monsieur X l’avertit que s’il meurt, Robin mourrait dans les trois jours suivants ; bref, ils travaillent ensemble, pour mon plus grand déplaisir, et comme la fin du chapitre a apparemment besoin de me rappeler pourquoi je déteste leur dynamique :
« Tara ordonna à la changeline de lui créer une tenue de cérémonie. La changeline fit disparaître son armure et lui créa une magnifique robe noir et blanc qui lui dénudait le dos et les épaules, sculptant son corps, son ventre plat et ses cuisses fines comme une statue. Monsieur X écarquilla les yeux, siffla doucement, hommage respectueux à la beauté de la jeune fille (PFAHAHA va mourir), puis se transforma lui aussi. L’instant d’après, il était nettement plus petit et vert, s’étant changé en lutin P’abo. »
Allez, tg.
Le chapitre est fini ! Je suis très prise dans l’action, mais cette écriture dégueulasse ne m’avait pas manquée. Dans le prochain chapitre, on se concentrera sur Mara.
J’espère que son PDV sera plus palpitant que la dernière fois.
Portez vous bien et à bientôt !
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