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#tiroir de bureau
mattfnwallace · 1 year
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Home Office Built-In in Paris Inspiration for a mid-sized contemporary built-in desk medium tone wood floor study room remodel with white walls and no fireplace
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alicedusstuff · 1 month
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lost soul au 2(french)
C’était un jour agité sur la montagne de fleurs et de fruits. Pour une raison quelconque, tous les singes étaient très bruyants aujourd’hui ; et c’est sans doute cela qui a forcé le roi à quitter sa réflexion pour regarder la porte depuis le confort du lit de la chambre de Macaque.
­-Je pense que ce n’aurais pas été ton jour. Les singes sont bruyants aujourd’hui.
Wukong n’a pas osé se mettre sous les couvertures. Il n’avait pas envie de mettre du désordre dans la chambre de son ancien ami. Alors il s’était simplement allongé là, sachant parfaitement qu’il ne trouverait pas le sommeil. L’endroit était resté tel qu’il l’avait trouvé à son arrivée sur la montagne. Des feuilles de papiers étaient même restés sur le sol et prenaient la poussière. Quelques dessins à l’effigie de Wukong pouvaient être aperçus sur dans un des tiroirs à moitié fermé du bureau de Macaque. Certaines poudres reposaient gentiment sur la commode du singe de l’ombre, le placard où il cachait ses déguisements était fermé ; et l’un de ses coffres débordait toujours de rouleaux, tissus, et trésors en tout genre. La chambre était bien trop rangée malgré les quelques affaires qui dépassaient du rangement implacable de Macaque. Wukong s’aimait à penser que ce petit grain de désordre était une habitude que le macaque à six oreilles avait pris de lui avec le temps. La seule chose que Wukong avait touché était les senteurs que Macaque utilisait pour parfumer sa chambre. Une odeur de vieux papier et de fruits sucrée dans lequel Wukong se plongeait les quelques fois où il venait ici.
Wukong ne put pas rester bien longtemps à penser, car les cris de ses sujets lui cassaient les oreilles. C’était devenu insupportable. Qu’est ce qui pouvait bien les mettre dans un état pareil ? Wukong essaya au mieux de comprendre ce qui était dit ; mais ce qu’il se disait était dit et mélangé tant que Wukong ne put mettre le doigt sur aucun mot propre.
­-Il semblerait que je doive te quitter bourgeon. Mon royaume m’appelle.
Aussitôt dit, Wukong sauta du lit et sortit de la chambre. Immédiatement, dans le couloir, une foule de singe se tournèrent vers leur roi au moment où il ferma la porte derrière lui. Il se passa une seconde où tout le monde sembla s’assurer que c’était bel et bien leur roi qui sortait de la chambre du décédé qui était presque considéré comme le second roi de la montagne. Puis, la foule de singe lui sauta dessus. Petit comme grands, démons singes comme singes normaux. Tous ce qui se trouvait dans le couloir l’écrasèrent de soulagement, enfouissant leur roi sous une montagne de singe.
­-Hey les gars. Vous allez me tuer là. Se moque le roi.
Personne ne trouva ça drôle. Wukong fit de son mieux pour se dégager avant de demander plus d’explications. Pourquoi diable y avait-il autant d’agitation dehors et à l’intérieur ? La réponse lui fut donné par un singe étranger que Macaque avait ramené à la montagne. Wukong se souvient de lui car Macaque l’avait présenté lui-même, lorsque Wukong était rentré après avoir été chassé par le moine.
« Il te ressemble un peu » avait rit Macaque à l’époque. « Il est très bruyant. »
Wukong se souvient qu’il n’a pas aimé l’attention que portait Macaque à ce nouveau venu, et les deux amis s’étaient disputés pour une raison dont Wukong ne se souvient même plus après.
­-Mon roi, vous avez disparu depuis trois jours et trois nuits, et vous n’aviez averti personne d’un quelconque départ. Tout le monde s’inquiétait de votre absence. Nous avons pensé le pire.
Wukong écarquilla les yeux. Les cernes sous ses yeux semblaient tirer sur sa peau. Et ses orbites étaient un peu trop sèches. Le roi ferma les yeux et se les frotta pour les humidifier un peu, sous le regard inquiet de ses sujets en première ligne devant lui.
­-Je vais bien. Annonce le roi en clignant plusieurs fois des yeux sous l’inconfort d’avoir les yeux secs.
Il ne s’était pas rendu compte qu’ils l’étaient jusqu’à ce qu’il écarquille les yeux. Combien de temps ne les avait-il pas fermés ? Combien de temps était-il resté à perdre son regard dans le plafond de la chambre de son ami ?
­-Je vais bien. Répète le roi en continuant de cligner des yeux. Mais, trois jours ? Vraiment ?
Les singes hochèrent la tête. Dehors, le vacarme s’était arrêté. Quelqu’un a dû les prévenir que leur roi était retrouvé. Wukong cligna encore plusieurs fois des yeux. Des larmes coulèrent avant de finalement laisser une vue floutée par les larmes à Wukong.
-Woah…euh… Un dernier clignement pour chasser l’eau de ses yeux, et sa vue fut de nouveau claire. Désolé de vous avoir inquiété les gars. J’ai juste fait une super grosse sieste.
C’était un mensonge. Cela faisait des lustres que Wukong n’arrivait pas à dormir, à moins que l’un des petits singe ne vienne se reposer sur lui. Un frisson familier parcourut Wukong. Il l’ignora et se pressa de rassurer son peuple. Il attrapa quelques petits dans une main, pris la main de quelques petits démons singes de l’autre, et laissa le reste de ses sujets, le suivre hors du temple.
À l’extérieur, le reste de son peuple s’était réuni autour du temple. Ils formaient un mur immense de singe qui entourait l’entrée du temple. Wukong se rendit compte alors, à quel point son peuple était inquiet. Il n’y avait pas eu de telles assemblées depuis longtemps. Il soupira et murmura dans sa barbe.
­-J’ai vraiment le dont d’inquiéter tout le monde, hein bourgeon ?
Il était évident que Macaque ne lui répondrait pas. Mais il aimait penser que le singe de l’ombre aurait pu l’entendre peu importe où il se trouvait. Comme cela a toujours été le cas lorsque Macaque était de ce monde.
­- Ah…on dirait que j’ai fait peur à tout le monde hein ?
Comme un seul singe, le mur de primate hocha la tête plusieurs fois. Puis, un murmure fort commença à parcourir la foule. Wukong suivit le son inquiet de là où il a commencé, et le suivit se propager dans la foule en vague. Chacun voulait donner son avis. Wukong ne dit rien. Il laissa un temps s’écouler avant de demander le silence, et demander à une personne de se charger de représenter la troupe. Un chuchotement bref se fit entendre avant que la troupe ne donne un nom.
« Shi Luo »
Le même singe que Wukong avait vu plus tôt ; celui que Macaque avait ramené sur la montagne, s’écarta du lot. Maintenant que Wukong le voyait, il pouvait remarquer à quel point le singe était jeune. Il allait certainement atteindre sa maturité dans quelques années, mais il était encore assez jeune. Sans doute un peu plus jeune que lui et Macaque l’étaient la première fois qu’ils s’étaient croisés. Il avait une fourrure aussi claire que les nuages, qui virait au noir au niveau de la queue. Sa peau était un peu plus grise que celle de Macaque, et un masque bleu recouvrait ses yeux. Le jeunot se rapprocha au plus proche de Wukong avant de s’incliner de la même façon que le faisait Macaque lorsque ce dernier se mettait à agir comme son vassal devant des étrangers de la montagne. Le geste pinça le cœur de Wukong. Il serra sa prise sur ses vêtements.
­-Qui es-tu ? Demande Wukong.
Le singe au marquage bleu leva les yeux vers Wukong, et les cligna plusieurs fois avant de s’empresser de répondre le plus poliment possible.
­-La vieille Lune m’a donné le nom de Shi Luo. Je suis le premier protégé de la veille Lune, votre altesse. Je serais celui qui vous offrira la voix de votre peuple aujourd’hui.
Wukong ne savait pas que Macaque avait des protégés. Il savait que lui et le singe de l’ombre trouvaient souvent des singes en difficulté, et les ramenaient à la montagne. C’était un quelque chose que Wukong était sûr que Macaque avait continué à faire après son départ ; mais les appeler protégés était excessif. Cela donnait un mauvais goût dans la bouche de Wukong. La voix de Macaque le gronda dans sa tête. Comme si Macaque avait deviné que les prochaines actions de Wukong allaient être stupides. Wukong décida de ne rien faire. Il hocha lentement la tête, il interrogerait de Shi Luo plus tard.
­-Parle.
Ordonne-t-il enfin. Shi Luo ne se fit pas prier.
­-Nous sommes inquiets pour vous votre altesse. Des sifflements positifs s’élevèrent de la foule, encourageant le singe les représentants, à parler. Vous êtes restés des années à pleurer une personne qui n’existe plus. La montagne à besoin de leur roi. Nous pleurons avec vous la perte de la vieille Lune, mais vous ne pouvez pas vous laisser dépérir ainsi. Encore une fois, nous avons besoin de vous. La montagne n’a pas connu de véritables beaux jours depuis que vous avez cessé de sourire. Certains des fruits que la vieille Lune adorait ne donnent plus de fruits, comme si vous l’aviez commandé. Les humains et les démons s’aventurent un peu plus près de la montagne à chaque jour qui passent, et nous craignons que, si le chagrin ne vous tue pas, ce sera la prochaine attaque à l’encontre de la montagne qui prendra vos immortalités.
Wukong émit un rire moqueur à la dernière phrase du jeune singe. S’il pouvait mourir de si peu, il serait déjà parti depuis longtemps. Son immortalité le condamnait ainsi, à vivre sans Macaque.
­-Ne vous en faites pas. Je ne mourrais pas de si peu. Et je m’occuperais de vous.
Shi Luo leva les yeux vers la foule qui s’était remise à murmurer en désordre. Wukong réussit à retenir quelques mots. Mais visiblement, Shi Luo réussit mieux que lui à assimiler ce qui intriguait tout le monde dans la troupe. Il arrivait certainement à démêler les inquiétudes de tout le monde par ce qu’il avait les mêmes préoccupations. C’est comme cela qu’il démêlait si bien le charabia de mot si fermement gribouillé.
­-Nous vous croyons mon roi. Mais nous tenons à vous. Nous aimerions que vous puissiez vivre à nouveau malgré le départ de la vieille Lune.
Le jeune homme sembla vouloir dire quelque chose. Il hésita une seconde, jeta un regard à la troupe, demandant s’il pouvait parler du sujet délicat que tous, semblaient avoir pensé, avant d’ouvrir à nouveau la parole.
­-Nous pensons que vous devriez peut-être chercher un nouveau compagnon.
La fourrure de Wukong se hérissa de colère. Il ignora même le fait que le plus jeune impliquait que son amitié avec Macaque était plus que cela. Ses griffes s’enfonçaient dans ses paumes pour essayer de ne pas tuer le jeunot tout de suite. Les petits qui étaient sur lui, descendirent en sentant la tension monter. La gorge de Wukong se serra, il fit de son mieux pour retenir la boule de rage au fond de son œsophage. Ignorant le danger, Shi Luo continua.
­-La vieille Lune est, et restera irremplaçable. Mais… nous pensons que peut-être, si vous trouviez quelqu’un pour combler le vide qu’elle… qu’il a laissé ; vous seriez capable de passer à autre chose. Il n’est pas bon de s’attarder sur le même problème indéfiniment. Nul ne peut vaincre la mort, une fois qu’il l’a traversé.
­-J’ai vaincu la mort. Grinça Wukong. Je suis allé aux enfers et ai retiré mon nom de la mort elle-même. Rien ne m’est impossible. Je suis Le grand roi singe égal au ciel. Et je le dis aujourd’hui et maintenant. Rien ni personne ne remplacera Macaque.
­-Ce n’est pas ce que je voulais dire… Nous pensons…
­-Alors ne pensez plus.
Wukong se tourna directement vers sa troupe, les crocs à découvert.
­-Alors c’est ça ? Vous voulez que je trouve un remplaçant à Macaque ?
Un brouhaha se fit entendre. Shi Luo repris la parole pour pouvoir retranscrire ce que la foule pensait et que Wukong avait déjà compris.
­- Nous ne voulons pas de remplaçants à la vieille Lune. Nous souhaitons seulement votre bonheur, grand-père Sun. Shi Luo hésita avant de dire ce qu’il pensait personnellement. La vieille Lune était une personne logique. Elle serait d’accord avec cette décision.
­-Assez !
Le cri de Wukong se répercuta dans toute la montagne. Chacun se tût.
­-Je ne veux plus jamais vous entendre, ne serait-ce qu’évoquer cette idée stupide. C’est un ordre. Si jamais l’un d’entre vous le fait, je l’écorcherais vif, moi-même.
Suite à ses mots, Wukong s’enfonça dans la forêt. Les singes ne le retinrent pas. Ils attendirent que leur roi parte avant de chuchoter.
­-Notre roi a perdu la raison.
Entendait-on.
­-La perte de grand-mère Lune l’a brisé.
Se chuchotait entre les parois.
­-Notre roi ne pourra plus être le même.
Les murmures résonnèrent encore et encore, reflétant la panique du peuple. Tout le monde aimait Macaque. Mais même eux savaient que la mort était définitive, et qu’ils ne pouvaient rien faire à ce sujet si ce n’est aller de l’avant. Il n’était pas question d’oublier le passé. Mais on ne devait non plus être ralenti par ce dernier. Ceux qui avaient survécu à l’incendie de la montagne de fleur et de fruits comprenaient certainement le mieux le roi singe. Mais même eux savaient que le roi devait agir comme tel. Macaque ne reviendrait pas. Tout comme les morts de ce jour-là. Cela faisait des mois, des années, quelques siècles, que le roi pleurait Macaque. Il ne pourrait pas le faire pour l’éternité. Il devait se ressaisir. Mais Wukong restait le même enfant têtu qui avait sauté dans la cascade. Et il ne voulait pas voir la réalité en face.
chapitre 1 _ chapitre 2_ Chapitre 3
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clhook · 7 months
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L'autre jour une dame entre dans la médiathèque un peu catastrophée elle me dit "à tout hasard vous n'auriez pas un antivol ? J'imagine que non mais j'ai oublié le mien et je veux pas laisser mon vélo comme ça dans la rue" mais moi je n'ai pas peur des défis alors ni une ni deux je sors l'antivol de notre vélo de service de mon tiroir de bureau elle était émerveillée eh oui c'est ça le ✨service public✨ ma chère madame
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penguinwriter24 · 1 year
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Chapitre 14 : The King is dead! Long live the King! [ Fr ]
TW : mention de la mort + mention du passé traumatique d’Edmund, sinon c’est tout, mais comme à chaque fois, si j’en ai oublié faîtes le moi savoir.
--
Edmund
Les corps sans vie des soldats Narniens tombés au combat étaient tous disposés dans la cour, les survivants s'occupaient de les mettre dans un linge blanc pendant que d'autres étaient occupés à creuser les tombes dans lesquels ils seraient tous enterrés. Edmund s'occupait personnellement du corps de Caspian.
Le corps de Caspian n’irait pas dans une simple tombe, Edmund avait demandé à ce qu’un tombeau soit construit pour lui, pour que les Narniens puissent venir se recueillir sur sa tombe à travers les âges. Il voulait que Narnia se souvienne du Roi Caspian X, parce qu’il méritait qu’on se souvienne de lui. Caspian avait été un très grand Roi, après tout.
Edmund avait vêtu Caspian de ses plus beaux vêtements, il lui avait mis sur la tête la couronne qui avait un jour appartenu à Peter. Caspian avait été le deuxième meilleur Roi de Narnia et Edmund savait qu’après Caspian et Peter, Narnia ne connaîtrait plus de tel Roi, alors la couronne devait disparaître avec Caspian plutôt qu’une personne qui ne la méritait pas la porte sur sa tête. Plus personne n’en serait digne.
-Votre Majesté.
Edmund releva la tête pour voir Glenstorm se tenir juste devant lui.
-Oui, Glenstorm ?
-Bon nombre se demande ce qu’il adviendra de la couronne maintenant que Caspian n’est plus et qu’il n’y a pas d’héritier.
-Suivez-moi.
Edmund se remit sur ses pieds et il amena Glenstorm dans le bureau de Caspian. Il ouvrit le fameux tiroir qui contenait le parchemin signé de la main des deux Rois et il le tendit à Glenstorm qui le lu.
-Dois-je en conclure que vous resterez à Narnia ?
-C’est exact. Cette fois, je reste à Narnia aussi longtemps que vous voudrez de moi.
-Personne ne vous laissera partir, alors.
Glenstorm tenta de détendre un peu l’atmosphère et cela avait fonctionné, Edmund avait légèrement rigolé avant de hocher la tête de haut en bas.
-Sinon, les tombes ont fini d’être creusées on vous attend.
-D’accord.
Ils allèrent dehors, les corps sans vie étaient déposés et entassés sur plusieurs carrioles et ils étaient transportés jusqu’au cimetière. Pendant presque une heure Edmund et Dahlia assistèrent à la mise en terre des Narniens.
Edmund se sentait bizarre. Il ne savait pas s’il était triste ou en colère ou si c’était un mélange des deux. Il était triste que ç'avait dû en arriver là, il n’avait pas voulu tout ça. Si ça n’avait tenu qu’à lui, il aurait trouvé une alternative pour éviter que des centaines de Narniens perdent la vie. Son rôle était de protéger le peuple de Narnia et il avait fait tout le contraire. Il était aussi en colère parce que ça faisait trois jours que Jadis était morte et les blessures émotionnelles qu’elle avait causées ne cicatrisaient toujours pas. Il s’était réconcilié avec son frère et ses sœurs, il avait fait la paix avec lui-même et il avait enfin trouvé l’amour. Il avait tout pour tourner la page, pour enfin guérir mais c’était comme si son esprit refusait de coopérer. Et, la mort de tous ces Narniens ne faisait rien pour apaiser sa conscience. Bien au contraire, le poids de la culpabilité était encore plus lourd qu’avant.
Edmund s’était éclipsé avant la fin. Il ne pouvait pas rester là, il fallait qu’il parte, qu’il s’isole pour pouvoir réfléchir en paix. Il retourna au Palais et se rendit aussitôt dans le bureau de Caspian, il s’assit sur la chaise et il resta assit là, à réfléchir pendant de longues minutes.
-Qu’est-ce que tu fais là tout seul ? demanda Dahlia en entrant dans la pièce.
-J’avais besoin de réfléchir, alors je suis venu me réfugier ici.
-Caspian faisait ça, lui aussi.
Edmund hocha simplement la tête et ils restèrent silencieux pendant seulement quelques secondes avant que Dahlia prenne à nouveau la parole.
-Glenstorm a pris la décision d’envoyer des hommes dans tout le Royaume pour répandre la nouvelle de la mort de Caspian. Il espère qu’un maximum de Narniens sera présent pour le jour de l’enterrement. Et, la crypte est presque finie aussi, l’informa-t-elle. Il pense aussi qu’après la cérémonie, on devrait profiter du fait que tout le peuple soit réuni pour annoncer le successeur de Caspian.
-D’accord, très bien.
Dahlia souffla avant de fermer la porte du bureau de Caspian, elle n’avait peut-être pas passé énormément de temps avec Edmund, mais elle le connaissait suffisamment bien pour savoir que quelque chose n’allait pas avec lui et elle voulait lui montrer qu’elle était là pour lui.
-Qu’est-ce qu’il se passe, Edmund ?
-Rien. Pourquoi ?
-Pas à moi, d’accord ? Ne me fais pas le coup du “tout va bien. Je vais bien” alors que ce n’est pas le cas. Parle-moi. Et ne me dis pas que je ne comprendrais pas, parce que tu n’en sais rien.
Ce fut au tour d’Edmund de souffler. Puis, il lui raconta tout, il n’avait rien à perdre après tout. Peut-être qu’elle comprendrait ou peut-être qu’elle ne comprendrait pas, mais peut-être que d’en parler à quelqu’un ou de simplement dire ce qu’il avait sur le cœur à haute voix pouvait le soulager et commencer le processus de guérison.
Dahlia l’avait écouté parler attentivement et en même temps elle contourna le bureau pour s’asseoir dessus. Malheureusement, la pièce manquait cruellement de chaise alors elle s’assit sur la seule surface de disponible. Dahlia n’avait pas réagi ni interrompu Edmund dans sa tirade.
-Tu as juste besoin de temps, Ed. Je sais que pour toi Narnia est un endroit rempli de magie où l’impossible devient subitement possible. Mais même à Narnia certaines blessures prennent plus de temps que d’autres à guérir. Pour ce genre de blessure, tout ce dont tu as besoin c’est d’un peu de patience et du temps. C’est la clef pour aller mieux. 
Edmund ouvrit la bouche mais Dahlia ne le laissa pas parler, elle savait ce qu’il allait dire et elle n’allait pas le laisser dire du mal de lui-même.
-Ce qui est arrivé n’est pas de ta faute. Il faut que tu me crois. Ce que tu as fait, sans toi on aurait pas eu autant de chance. Caspian n’aurait jamais pu y arriver sans toi. Oui, on a perdu des hommes, des hommes biens, mais sans toi, les pertes auraient été plus conséquentes alors ne laisse pas leur mort peser sur ta conscience, Ed, parce que tu n’as rien à te reprocher. Quand tu nous as demandé de nous battre pour toi, avec toi, on a tous accepté en connaissance de cause, on savait tous qu’on avait autant de chance de mourir que de survivre. Chacun des soldats a pris sa décision en son âme et conscience. Tu nous as pas forcé à te suivre, on l’a choisi. Et on te suivrait jusqu’au bout du monde si tu nous le demandais.
Dahlia prit délicatement le visage d’Edmund entre ses petites mains pour le forcer à la regarder.
-Tu es un grand Roi, Edmund. Ne l'oublie jamais. Et si Caspian t’a désigné pour être son successeur, c’est que lui aussi le savait.
Dahlia approcha son visage de celui d’Edmund qu’elle garda toujours entre ses petites mains.
-Je vais déposer un baiser sur tes lèvres, maintenant, c’est d’accord ? murmura-t-elle.
-S’il te plaît, supplia presque Edmund.
Il était désespéré et il n’avait pas honte de le montrer. Maintenant qu’Edmund connaissait la sensation des lèvres de Dahlia pressées contre les siennes, il ne pouvait plus s’en passer. Il ne pouvait plus survivre sans ses baisers désormais, ils étaient devenus aussi vitaux pour lui que l’air qu’il respirait ou que l’eau qu’il buvait.
Dahlia pressa donc ses lèvres contre celle d’Edmund qui lui rendit son baiser. Edmund posa ses mains sur les poignets de Dahlia et lui caressa l’intérieur des poignets avec ses deux pouces.
Tout le peuple de Narnia était réuni. L’enterrement de Caspian allait commencer dans quelques instants. Tout le monde portait du noir et la procession allait démarrer. Edmund et Dahlia étaient au début du cortège funèbre, Glenstorm était juste derrière eux et le reste des Narniens les suivaient. Hommes, femmes, enfants et créatures en tout genre étaient présents et légèrement plus de la majorité pleurait la perte de leur Roi. Le corps de Caspian était disposé sur une carriole, qui avait été recouverte de la plus belle fourrure qui pouvait exister à Narnia, des fleurs étaient disposées tout autour de lui, la couronne de Peter était toujours posée sur sa tête et il avait son épée posée sur son torse, ses deux mains étaient sur le manche. Le fidèle cheval de Caspian tirait la carriole.
Une fois devant la crypte, le corps de Caspian fut transporté dans le tombeau et l’épais couvercle en pierre fut placé par-dessus. Glenstorm prononça quelques mots qu’Edmund n’écouta pas forcément. Il venait de perdre son ami, un frère, un mentor, il n’avait pas la force d’écouter un discours à sa gloire.
-Le Roi Caspian est mort ! Vive le Roi Edmund !
Le nouveau règne du Roi Edmund le Juste commença à cet instant. Edmund avait une fois fait part à Caspian son désir d’avoir son propre Royaume, mais il n'aurait pas voulu  que ça arrive de cette manière. S’il avait su que cela serait au détriment de la vie de son ami, il n’aurait jamais rien dit.
Comme quoi, la personne qui avait dit qu’il fallait faire attention à ce que l’on souhaitait avait raison…
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marie-swriting · 1 year
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Plus De Temps Avec Toi - Robin Buckley
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Stranger Things Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Résumé : Tu rencontres Robin à une soirée.
Warnings : soirée, fluff, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Enchanted (Taylor's Version) - Taylor Swift
Un nœud au ventre, Robin entre dans la maison de Steve où la musique bat déjà son plein. Elle passe entre plusieurs adolescents, dont certains couples en train de s’embrasser - ou plutôt, en train de se manger le visage. Robin tente de ne pas y prêter attention et cherche son ami du regard. Quand elle le trouve, elle appelle son nom. Steve se retourne et lui fait un sourire.
-Tu es venue, finalement ! Tu vas voir, tu vas t’amuser.
-J’en suis pas si sûre. Je ne connais pas grand monde, contredit-elle nerveusement.
-Justement, il faut que tu fasses des rencontres ! Tu restes dormir là ce soir et je te ramène chez toi le lendemain ?
-Non, mon père vient me chercher à minuit.
-Sérieusement ? demande Steve en levant les yeux au ciel.
-Ecoute, c’était la condition pour que je puisse venir à ta soirée ! Sois content que je sois là, j’aurais pu ne pas insister quand ils m’ont dit “non” la première fois. 
-Essaye d’en profiter un maximum, alors.
-Ouais, je sais pas trop.
-Ça va bien se passer, Robs, la rassure-t-il en posant une main sur son épaule. Et si ça devient trop, tu peux toujours venir me trouver ou aller t’isoler dans ma chambre.
-Et tomber sur un couple à moitié nu, si ce n’est pire ? Non ! s’exclame Robin en secouant la tête.
-J’ai fermé ma chambre et celle de mes parents. La clé est dans le tiroir du meuble du couloir, chuchote Steve dans l’oreille de Robin. 
-Quelle cachette ! rigole-t-elle.
-Tu peux critiquer, mais les gens sont trop bourrés pour y penser. Faut que j’aille m’occuper des boissons, va sur la piste de danse, éclate-toi ! 
“Éclate-toi”.
Robin se répète ces mots dans sa tête alors qu’elle regarde les adolescents du coin de la pièce. Malgré les musiques entraînantes, elle n’ose pas poser un pied sur la piste de danse improvisée dans le salon de Steve. Elle n’a pas envie de passer pour la fille qui n’a pas d’amis en dansant seule. Elle ne se sent déjà pas à sa place. Il vaut mieux qu’elle se fasse oublier plutôt qu’elle attire l’attention sur elle. 
Robin essaye de chercher Steve du regard et elle le trouve très proche d’une fille du lycée, alors elle préfère le laisser tranquille. Ne voulant pas rester statique, Robin va se servir une boisson et grignoter un peu. Quand un peu plus de monde la rejoint pour se rassasier, Robin décide de s’en aller, son verre toujours en main. Cette fois, elle ne s’arrête pas dans le salon et sort. Elle espérait un peu de calme, cependant, les personnes sautant dans la piscine lui font comprendre qu’elle doit aller autre part. Robin soupire et finit par monter dans la chambre de Steve après avoir récupéré la clé.
Robin regarde la chambre de son ami, découvrant les quelques affiches et affaires de cours traînant sur son bureau. La musique étouffée par la porte fermée, Robin s’allonge sur le lit et profite du calme. 
Robin reste sur le lit à boire son verre doucement jusqu’à ce qu'elle entende quelqu’un frapper à la porte. Elle n’a pas le temps de répondre que la personne entreouvre la porte et rapproche sa tête de la fente sans regarder à l’intérieur de la pièce.
-S’il vous plaît, dites-moi que vous n’êtes pas nus, dis-tu, les yeux fermés.
-Euh, je suis habillée, informe Robin en se rassayant, perdue. 
-Et l’autre personne ?
-Il n’y a que moi.
-Vraiment ? t’exclames-tu avant de rentrer. Oh, Dieu merci ! J’avais peur qu’un couple ait trouvé la cachette infiaible de Steve ou qu’il ait dit où était la clé à quelqu’un d’autre.
Robin reste d’abord silencieuse en te voyant. Elle ne pense pas être dramatique quand elle se dit que tu es la plus belle fille qu’elle ait vu de toute sa vie. Rapidement, Robin essaye d’arranger ses cheveux qui sont légèrement décoiffés à cause du coussin.
-Désolée, je ne savais pas que quelqu’un d’autre voulait venir, s’excuse-t-elle en parlant vite. Steve m’a dit que je pouvais venir ici si besoin. Je ne voulais pas…
-Hey, il n'y a pas de problème, la coupes-tu avec un sourire. Si Steve t’a dit que tu pouvais venir, c’est qu’il te fait confiance. Ça te dérange si je te tiens compagnie ? J’aimerais souffler pendant quelque temps, expliques-tu en te grattant la nuque.
-Pas de soucis, tu peux rester. Je ne vais pas t’interdire de rester là.
Tu refermes la porte derrière toi et viens t'asseoir à côté de Robin. Tu la dévisages rapidement du regard, essayant de savoir si tu la connais. Robin est mal à l’aise, ayant l’impression d’être passée au microscope. Un million de scénarios fusent dans sa tête où elle pense que malgré ton apparence gentille, tu vas sûrement la virer. Quand tu as fini de l’analyser, tu lui souris : 
-Je ne crois pas qu’on s’est rencontrées auparavant.
-Je m’appelle Robin. 
-Robin Buckley ? Tu es celle qui travaille avec Steve à Ahoy Scoops ? Enfin, travaillais avec lui, demandes-tu avec enthousiasme.
-Oui, c’est moi, mais je travaille encore avec lui. On va commencer un job à Family Video dans deux jours, informe-t-elle avec les joues rouges. 
-C’est ce qu’il m’a dit. Je suis contente d’enfin de te rencontrer. Steve n’a pas arrêté de me parler de toi. Tu lui as donné plusieurs leçons d’humilité, il en avait besoin, rigoles-tu avant de lui tendre ta main qu’elle serre. Je suis Y/N.
-Je ne crois pas t’avoir déjà vu au lycée et j’ai l’impression que tu connais Steve depuis longtemps donc, c’est bizarre. Tu dois forcément faire partie des populaires.
-Loin de là, t’exclames-tu en ouvrant grand les yeux. Je ne suis pas d’ici, en fait. Pour faire court, ma grand-mère est sa voisine et je viens la voir pendant un mois durant l’été. Steve et moi, on est amis d’enfance. C’est aussi la raison pour laquelle je me cache souvent ici durant ses soirées, je ne connais pas grand monde.
-Moi non plus.  
-Tu fais partie de la fanfare du lycée, c’est ça ? questionnes-tu, intéressée. 
-Ouais, je joue de la trompette. C’est pas exactement le truc populaire, mais j’aime bien.
-C’est trop cool ! Tu pourrais me jouer quelque chose un jour ? 
-Si tu veux. Tu as une chanson en tête ?
-Celle que tu préfères.
Robin ne sait pas vraiment si ta requête est sérieuse ou si tu veux juste être polie, mais elle pense déjà à ce qu’elle pourrait te jouer. Elle espère qu’elle pourra te proposer une date dans les prochains jours, voulant t’impressionner. 
-Et toi, si tu ne fais pas partie des populaires de ton lycée, qu’est-ce que tu fais ?
-Du théâtre. Comme toi, j’aime bien, même si c’est un peu mis de côté. 
-J’aimerais bien venir te voir jouer un jour, admet Robin en évitant ton regard. 
-Eh bien, il faudra qu’on s’organise ça, dis-tu en posant ta main sur la sienne. 
Vous vous regardez dans les yeux pendant quelques secondes. Robin s’apprête à parler quand les premières notes de Saving All My Love For You de Whitney Houston commencent. Tu la devances avant qu’elle ait pu sortir un son : 
-Oh ! C’est ma chanson préférée ! Tu veux bien danser avec moi ? demandes-tu après t’être levée, ta main est toujours dans la sienne.
-Je ne sais pas vraiment danser, refuse Robin, embarrassée.
-Je vais te montrer, c’est simple !
Tu tends ton autre main à Robin. Un sourire au visage, elle la saisit et se lève. Tu la rapproches de toi et poses ses mains sur tes épaules. Tu places les tiennes sur sa taille. Tu lui souris, espérant calmer sa nervosité. Tu lui montres les premiers pas puis, vous dansez tranquillement. 
Robin t’écrase les pieds quelques fois, mais tu la rassures en disant qu’elle se débrouille bien pour une première. Pendant que la chanson continue, tu admires les traits de son visage, ses yeux bleus, ses taches de rousseurs et enfin ses magnifiques cheveux légèrement bouclés. Robin tente de faire de même, mais ton regard posé sur elle la rend un peu plus stressée donc elle détourne les yeux. À un moment, tu la fais tourner. Surprise, Robin est sur le point de tomber, mais tu la retiens juste à temps. Vous rigolez avant de reprendre votre danse, vos visages séparés par quelques centimètres.
Quand la chanson touche à sa fin, vous restez une seconde dans les bras de l’autre avant de vous séparer. 
-Tu es une bonne partenaire de danse, déclares-tu en replaçant une mèche derrière son oreille.
-Je pense que tes pieds ont une autre opinion, rigole Robin.
-Peut-être, mais c’est une bonne chose, on doit continuer de danser jusqu’à ce qu’ils changent d’avis. 
Tu t’éloignes de Robin et tu vas ouvrir la fenêtre, laissant entrer la fraîcheur de la nuit. Robin te rejoint, s’adossant contre le rebord avec toi. En dessous, vous pouvez voir quelques amis de Steve bourrés rigoler, danser ou encore nager dans la piscine. 
Sous le ciel étoilé, vous profitez de la présence de l’autre et apprenez un peu plus à vous connaître. Les conversations se font facilement sans de silences gênants. Vous avez l’impression d’être proches depuis toujours. C’est officiellement la première fête de Steve où tu t’amuses le plus et tout ça, grâce à la présence de Robin.
Après avoir passé un bon moment à parler, tu as besoin d’aller aux toilettes alors tu t’excuses auprès de Robin avant de quitter la pièce. Robin sent son sourire grandir en réalisant que cette soirée se passe mieux que ce qu’elle aurait pensé. Certes, elle n’a pas sociabilisé avec les personnes de son lycée, elle s’est isolée, mais elle t’a rencontré et elle a tout de suite adoré ta personne. Elle ne souhaite qu’une chose : continuer à te parler. Elle réfléchit à d’autres questions qu’elle pourrait te poser quand Steve fait son apparition.
-Hey, Robin ! Ton père est arrivé. 
-Oh, tu peux lui dire que j’arrive dans cinq minutes, demande Robin, espérant te revoir une dernière fois avant de partir.
-Il avait l’air un peu pressé. Et j’ai mis au moins dix minutes à te trouver, donc tu devrais te dépêcher.
Robin pèse le pour et le contre pendant quelques secondes avant d’accepter, sachant que son père peut être impatient. 
-Bon, d’accord. J’y vais. Salut, Steve.
En quittant la chambre, Robin a espoir de te trouver sur le chemin, mais quand elle dépasse la porte d’entrée, elle doit se faire à l’idée qu’elle doit partir sans te dire au revoir. Robin se dit qu’elle doit absolument te parler à nouveau pour au moins s’excuser d’être partie aussi vite. Elle ne veut pas que tu penses que cette soirée ne compte pas pour elle. 
Dans la voiture de son père, Robin regarde à travers la fenêtre le paysage défiler pendant qu’elle repense à la soirée. Malgré elle, elle rougit quand votre slow se rejoue dans sa tête. Elle a aimé votre proximité, même si le stress la rongeait de l’intérieur. Tout le long du chemin, elle n’a que toi en tête, se demandant si tu as ressenti la même chose qu’elle. Elle se demande également si tu sais à quel point elle a été heureuse de te rencontrer. Elle ne peut empêcher son imagination de divaguer et espérer d’avoir plus de temps avec toi. Après tout, elle doit te montrer ses talents de musicienne et toi de comédienne.
Cette nuit-là, Robin a mis du temps à s’endormir, ses pensées étant occupées par ta présence. Elle a même déjà cherché quelle chanson te jouer. Elle ignore encore combien de temps tu vas rester à Hawkins, mais elle espère qu’elle a encore quelques jours. Elle doit te revoir, peu importe quand. Peut-être qu’elle a trop d’espoir te concernant. Elle aimerait que cette soirée soit le début de quelque chose et non pas quelque chose qui a déjà une fin. Cependant, qui dit que tu as ressenti la même chose qu’elle ? Peut-être que tu es déjà amoureuse de quelqu’un d’autre ? Elle souhaite de tout cœur que tu n’as pas quelqu’un qui t’attend dans ta ville. Ses espoirs sont sûrement vains, mais elle ne peut s’en empêcher ; cette soirée était unique. Elle compte pour Robin alors elle doit bien compter pour toi aussi. 
Quand Robin retrouve Steve pour son premier jour à Family Video deux jours plus tard, Robin sait qu’elle doit lui poser des questions à propos de toi. Tu n’as toujours pas quitté son esprit et Steve est la seule personne qui peut lui fournir les informations dont elle a besoin. Cependant, elle ne veut pas faire comprendre à son ami que tu lui as tapé dans l'œil, donc elle veut la jouer discrète. C’est pourquoi elle attend que Steve lui donne l’occasion parfaite, ce qu’il finit par faire après plusieurs heures : 
-Alors, tu t’es bien amusée à ma fête ?
-Etonnement, oui ! J’ai passé la soirée avec ton amie Y/N. Elle est super sympa, affirme Robin en tentant de cacher son sourire idiot.
-Ouais, c’est vrai qu’elle est géniale.
-Elle est encore ici ? Elle voulait qu’on fasse des trucs ensemble, je ne sais pas si elle t’a dit, déclare-t-elle nonchalamment.
-Elle est partie aujourd’hui, en fait.
-Oh, j’avais un espoir de la revoir, murmure-t-elle, cachant sa déception. 
-T’inquiète pas, elle revient souvent pour voir sa grand-mère, la rassure Steve avant de mettre la main dans la poche de son jean. D’ailleurs, tant que j’y pense, elle m’a demandé de te donner ça, informe-t-il en montrant un papier plié en deux avec son nom dessus. 
Avec hâte, Robin le prend des mains de Steve et le met dans sa poche. Elle prend une boîte remplie de cassettes à côté d’elle et dit à Steve qu’elle va aller les ranger. 
Quand Robin est cachée dans l’allée des films d’horreur, elle repose la boîte et ouvre le mot que tu lui as écrit où elle découvre ton adresse ainsi que ton numéro. Son sourire monte jusqu’à ses oreilles quand elle voit le petit mot que tu as ajouté à la fin :  
“J’espère que tu n’as pas oublié que tu me devais une chanson et moi une pièce alors, gardons contact.
La soirée qu’on a passée était parfaite, j’ai été enchantée de te rencontrer. 
Y/N.”
Stranger Things Masterlist
Speak Now TV Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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bonheurportatif · 1 year
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En juillet, j'ai quitté tumblr (2)
7 juillet J'ai eu en tête toute la matinée The Partisan, de Léonard Cohen. J'ai peut-être rédigé mon dernier article avant les vacances. J'ai révisé un peu d'espagnol. J'ai monté des meubles bon marché et ça m'a pris un temps fou. J'ai ruminé contre ma mère acrimonieuse. J'ai transpiré à grosses gouttes. Je suis parti précipitamment, sans avoir monté tous les meubles. Je suis arrivé en retard pour accueillir les hôtes de ma sœur. J'ai fait la visite sans dessus-dessous. J'ai égaré quelque part mes lunettes de soleil. Je suis allé me baigner. On a retrouvé mes lunettes, évidemment oubliées pendant la visite. On a mangé des pizzas en famille dans la cour. 8 juillet J'ai décliné l'invitation à aller voir des films au festival du film. J'ai mis mes doigts dans un brownie en miettes très addictif. J'ai lu à voix haute le journal en ligne d'Erica Von Horn. J'ai écrit un texte pour une revue. Les travaux dans le voisinage ont continué, un samedi. Le va-et-vient hebdomadaire des estivants locataires a commencé. J'ai fait une sieste. J'ai lu en diagonale Éloge des vertus minuscules, de Marina van Zuylen. J'ai accompagné Cadette à festival. J'ai récupéré Emmanuel. Nous avons cuisiné ensemble. Nous avons bu ensemble. 9 juillet Je n'ai pas entendu l'orage. Je me suis baigné dans la mer, à deux reprises, et allongé sur le sable. J'ai ouvert deux douzaines de petites huîtres. Nous avons mangé dehors, coiffés de chapeaux de paille. J'ai mangé de la jonchée. J'ai fait une sieste, comme pratiquement toute la maisonnée. Emmanuel m'a donné quelques billes pour une prise en main express de Substack. Je suis allé faire une promenade à vélo avec Emmanuel. Je suis passé voir Junior à son boulot d'été. Je me suis enfoncé dans des sables faiblement mouvants, jusqu'à mi-mollets. 10 juillet J'ai expédié les affaires courantes (mails, factures et rendez-vous) et entrevu une possible période de vacances. J'ai accompagné Emmanuel à la gare. J'ai récupéré un rouleau de papier peint à motif géométrique sur un stand de vide-maison. (Je n'ai pas pris le puzzle de 1 500 pièces représentant "L'Académie de musique d'Anatolie".) (Les travaux chez le voisin n'ont pas cessé de la journée.) (Après les travaux, le gars qui dort sur le chantier a passé deux fois un album des Gypsy Kings.) J'ai craint une rechute de workaholisme de ma chérie. 11 juillet J'ai écrit un texte pour une revue. Benjamine a été acceptée dans sa classe à horaires aménagés, elle aura mené sa candidature en toute autonomie. Plusieurs mails sont finalement tombés coup sur coup, ma période de vacances aura été de courte durée. J'ai goûté d'un fondant à la châtaigne. J'ai cuisiné des pennes aux asperges et petits pois. 12 juillet J'ai cuisiné une pizza aux courgettes. La synchronisation de mon ordi à mon nuage a foutu en l'air toute l'arborescence que j'avais mise en place. La cuisson de la polenta a fait sauter de l'huile partout. J'ai lu Rimbaud, Rambo, Ramuz de Nathalie Perrin. 13 juillet J'ai lancé et étendu une lessive avant le lever de la maisonnée. Je suis passé chercher le dernier meuble à monter chez ma mère. Dans le magasin de bricolage, j'ai cherché des chevilles, j'ai trouvé des tourillons. (J'ai ouvert le sachet de tourillons précisément au moment où je me suis rendu compte que je n'en aurai finalement pas besoin.) J'ai fini le montage des meubles, dont le remontage correct du tiroir du bureau. 14 juillet J'ai remonté un marché trop densément peuplé pour moi. Les retrouvailles bruyantes des copines de ma chérie sur la terrasse du restaurant m'ont laissé craindre le pire pour la suite du repas. La galette végétarienne était absolument quelconque. J'ai écourté sans grand regret ma participation au repas pour accompagner Cadette à son travail. J'ai pris le temps de musarder chez le libraire, étage et rez-de-chaussée. J'ai racheté Fictions, de Borges, pour relire La Bibliothèque de Babel. Les voisins ont entamé un "Joyeux anniversaire" un poil dissonant. J'ai écouté un vrai beau brouhaha. Je me suis endormi avec le bruit des vagues.
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sassenashsworld · 2 years
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Veux-tu être mon Valentin?
[N’intègre pas vraiment la série The Path of the Private, mais un spécial St-Valentin pour mon détective préféré. J’avais pensé faire un one-shot complètement hors-série mais je pense qu’il serait intéressant de voir la réaction de Silver à une prospect pour Nick Valentine. Il n’y a pas qu’elle qui peut torturer les autres mouahahaha]
Nous sommes revenus à Diamond City en route pour le château. Nora veut aller vérifier comment en est l’entrainement des nouvelles recrues sous le commandement de Ronnie, mais elle voulait pouvoir se reposer un peu au Home Plate avant de retourner sur la route. Pour ma part, je profite de notre temps en ville pour me mettre à jour avec l’agence, mais Ellie n’a aucun nouveau dossier pour moi. Je lui confie ma part de capsule gagnée en compagnie de Nora et elle met la bourse dans son tiroir.
« Piper vient me chercher dans moins de quinze minutes pour passer la soirée au Dougout. Travis et Vadim veulent planifier la soirée de la St-Valentin pour les célibataires de la ville et je fais partie du comité. »
« En tant que célibataire ou tout ce temps passé en compagnie de nos amis a payer quelque part? »
Ellie se contente d’un petit gloussement mais je décide de continuer de respecter sa vie privée. Le jour où elle voudra m’en parler, elle le fera. Sa seule et unique relation à cette date s’étant terminée de façon catastrophique (j’ai dû mettre le jouvenceau derrière les barreaux), elle se montre très prudente avant de s’avancer. Je lui fais confiance.
Piper finit par débarquer comme d’habitude telle une tornade dans mon bureau, me salut avec enthousiasme et repart bras-dessus, bras-dessous avec ma secrétaire.
Le calme des plus totale retombe autour de moi dès qu’elles referment la porte. Je m’allume une cigarette en m’assoyant à mon bureau, fermant les yeux un instant pour savourer le silence.
C’est certain que ma partenaire est silencieuse plus souvent qu’à son tour, mais ce n’est pas nécessairement le calme et la tranquillité à chaque pas, au contraire. Nos aventures sont souvent dangereuses, sinon on se retrouve au milieu de dizaines de personnes, au mieux à diriger ou nous consultant, au pire complètement survoltés comme au bar de Sanctuary.
Le silence et le calme ne font plus vraiment partis de ma vie donc et je savoure aussi pleinement ce moment que la cigarette que je grille tranquillement.
Parlant de grillé, ça sent le grillé dans l’air et ça ne vient pas de ma mauvaise habitude. Dans le silence total de l’agence, j’entends autant que je sens le grésillement d’une énergie qui s’accumule autour de moi et j’ouvre les yeux soudainement. Mais que…
Je n’ai pas le temps de me poser de question lorsque je vois un premier arc d’énergie fendre l’air à moins d’un mètre de moi. Je me lève précipitamment et je me lance dans le couloir menant à ma chambre alors qu’une véritable tempête électrique envoie des arcs partout autour d’un point centrale à hauteur d’homme, envoyant voler des dossiers et accessoirement tout ce qui se trouvait sur nos deux bureaux, à Ellie et moi.
Le temps que l’étrange phénomène se développe, il disparait déjà, et le silence revient, aussi plombant.
Puis j’entends un soupire. Le soupire d’une femme.
Curieux, je m’avance prudemment dans mon office pour constater l’état lamentable dans lequel se retrouve la pièce. Tout les dossiers qui ne se trouvaient pas dans un classeur sont maintenant réparties aux quatre coins du plancher, les fans de bureau aussi sur le sol, il y a même un crayon planté dans le mur et mon cendrier a laissé une belle trainée de cendre derrière lui.
Mais ce qui attire le plus mon attention, c’est ce qui se tient à l’endroit exacte où le phénomène a commencé ; une femme me tourne le dos. Je me doute bien que c’est une femme à voir la cascade de cheveux d’or qui lui retombent sous les épaules et le galbe unique de ses jambes qui se dévoilent sous une jupe courte. De hauts talons encouragent ses mollets à garder une forme irréprochable. Lorsqu’elle se tourne dans ma direction, mon cœur s’arrête.
« Jenny? »
« Pardon? »
« Jenny, c’est toi? »
« Ma désignation est X3-42, nommée communément Aiden par mon créateur. »
Je regarde mieux la fille. Non, ma mémoire de Jenny me confirme mon erreur. Ses yeux étaient d’un bleu plus foncé, le blond de ses cheveux plus pâle. Son nez était aussi plus retroussé et ses pommettes plus rondes. La femme qui se tient devant moi semble plus délicate, une ossature qui ressemble beaucoup à celle de Nora avec des traits ciselés, les yeux plus clairs, mais les cheveux plus or brûlés. Ses sourcils presque aussi pâles que ses cheveux sont délicats comme ceux de Nora, se soulevant de surprise en réalisant à qui elle parle.
« Vous… vous êtes l’un de ces synthétiques prototype de la deuxième génération, non? Qui ont une matrice de personnalité permettant le libre arbitre et le développement de la pensée propre? »
« L’un? Je suis le seul et unique qui parcourt cette terre, pour ce que j’en sais. Enfin, je n’en ai jamais rencontré un seul autre. »
« Je n’ai pas assez d’information à ce sujet pour vous confirmer ou vous infirmer s’il y en aurait d’autre. »
Sa voix à quelque chose de très rafraichissant, toute en douceur. Je pensais qu’Irma avait un ton caressant, quoiqu’une voix profonde. Cette Aiden a une voix très caressante mais plus haute perchée. Si elle n’avait pas un accent si tendre, ça pourrait me faire penser à la voix de Nora. Mais Nora a un ton plus cassé et plus souvent qu’autrement sarcastique (au mieux ironique).
La femme brosse son tailleur impeccable qui détonne particulièrement par les jours qui courent. Elle me tend ensuite une main délicate parfaitement bien manucurée. Je tends la mienne maladroitement.
« Valentine, Nick Valentine. Détective privé. »
« Enchantée Monsieur Valentine. Il semble que je sois parfaitement bien tombée, pour une fois. »
Je me rappelle enfin mes manières. Je tire la chaise d’Ellie pour l’inciter à y prendre place. Je n’ai pas encore digéré toute l’information de son arrivée fracassante ni de sa… désignation, mais une chose est certaine, c’est une dame, et elle a droit à des égards.
« Vous… vous êtes… de l’Institut? »
« Une Courser, en effet. Enfin, je l’étais. Merci. »
Elle prend gracieusement place en posant les mains sur ses genoux dans un geste irréprochable. Une véritable lady. Je me laisse retomber dans ma chaise, me sentant infiniment lourdaud autour d’elle. Pourtant, je n’ai jamais vraiment eu cette particularité malgré le poids de ma structure.
« Une ancienne Courser? C’est possible? »
« Seulement avec beaucoup de chance. J’ai réussi à brouiller mon signal et l’Institut est à présent aveugle à mon repérage. »
« Pourquoi avez-vous fait ça? »
Elle soupire comme soupirerait un oiseau, le même soupire de soulagement que j’avais entendu immédiatement après son arrivée.
« J’ai été conçue pour être charmante et amicale envers les sujets qui, rassurées par mes manières peu menaçantes, se laissent plus facilement attraper. Mais la compassion faisant parti de ma programmation, je ne pouvais tolérer de participer aux atrocités qu’on exigeait de moi. »
« Une rare erreur de calcul de la part de nos amis les boogeymans. »
« Loin d’être leur première. Ce sont des humains. Les humains commettent des erreurs. S’ils étaient entièrement efficaces, nous n’aurions pas cette discussion. »
Je réserve mon jugement. Comme elle a si bien soulevé, elle a été conçue pour mettre en confiance et je serais nigaud de tomber dans un tel panneau. Mais pourquoi s’en serait-elle vantée d’emblée? Qu’est-ce qu’elle gagne à me soulever directement qu’elle est l’Ennemi avec un grand E? En attendant de le découvrir, je préfère rester neutre. À défaut, j’offre une cigarette à la dame qu’elle décline poliment.
« Je ne fume pas, Monsieur Valentine. Mais c’est très généreux à vous de me l’offrir. »
« Est-ce que ça vous dérange si j’en fume une? »
« Pas le moins du monde. Je m’introduis chez vous à l’improviste, la moindre des choses est de vous laisser à votre aise. »
Charmante, en effet. Mais j’en connais une autre très charmante. Aussi charmante qu’un serpent. Elle m’a plutôt appris à me méfier des demoiselles qui se pointent à l’improviste dans ma vie, surtout si c’est de manière inopinée. Je m’apprête à continuer tout en douceur mon interrogatoire quand la porte s’ouvre justement sur mon autre moineau. Elle semble toujours castée par la simple pensée, celle-là.
Elle ouvre donc grand la porte, la tête penchée comme si elle était prise dans ses pensées.
« Nick, je pensais à ça et…
Son regard vient de se poser sur mon invitée improvisée et elle a littéralement figé sur place, les lèvres légèrement entrouvertes par sa dernière syllabe. À les avoir à présent toutes les deux dans le visuel, il n’y a plus vraiment de comparaison possible. Oui, elles ont toutes les deux les pommettes hautes, le regard intelligent et des cheveux quand même assez longs et pâles, mais les ressemblances s’arrêtent là.
Aiden fait penser à une institutrice toute en grâce, Nora n’a pas volé son titre de Général. Justement, son regard devient dur comme l’acier en croisant celui doux comme un mouton de la nouvelle.
« Je te dérange… »
« En fait, tu peux peut-être m’aider. Nora, je te présente Aiden. Aiden, voici ma partenaire, Nora. »
« Enchantée madame. »
La synth se lève et tend une main aérienne à mon amie qui la saisit avec une grimace de dédain évident. Je pense que la demoiselle n’apprécie pas de tomber sur une fille visiblement de la haute venue trop tard dans mon logis. En fait, je ne le pense pas, j’en suis certain. La poignée de main dur juste le temps de le dire et Nora rétracte la sienne comme si elle venait de se brûler. L’autre frotte le bout de ses doigts comme si elle venait de toucher quelque chose de sale et je crois que ça n’aide pas du tout à la faire mieux accepter.
« Aiden ici présente semble être venue me retrouver pour un problème, mais elle n’a pas encore eu le temps de l’aborder. »
J’invite les deux dames à prendre chacun un siège. Je suis stupéfait de constater qu’elles ont la même manière de s’assoir. Différentes ou semblables. Est-ce que Nora était comme Aiden dans son ancienne vie? Toute en douceur et en grâce? Je secoue la tête en souriant pour moi-même. Non, je ne crois pas que Nora ait jamais été douceur, même si sa grâce est indubitable. Quelque chose d’un peu brute mais hautain, alors qu’Aiden semble raffinée à l’excès, mais comme si elles étaient du même matériel de base.
Ou peut-être que je les compare parce que ce type de femme ne se croise plus par les temps qui courent. Elles semblent se ressembler tout simplement parce qu’elles ne ressemblent à rien qui a pu être vomit par les terres désolées ces deux cents dernières années? Sûrement.
Une fois les deux femmes installées, je m’allume enfin ma cigarette.
« Donc, commençons par le commencement. Pourquoi êtes-vous venu à moi? »
« Parce que je dois retracer une organisation capable de m’aider à me faire une nouvelle vie. J’ai pensé que le détective le plus célèbre du Commonwealth serait le plus à même de me porter assistance. »
« Le seul » que déclare Nora dans un toussotement.
Je lui lance un regard en coin puis souris à mon haute après avoir recraché ma boucane vers le côté pour ne pas l’envoyer en direction de mon invitée.
« Quel genre d’organisation? »
« Ils se font appeler le RailRoad. »
Et pas besoin d’être détective pour comprendre la tension qui s’empare immédiatement de Nora. D’ailleurs, la nouvelle venue semble le percevoir aussi.
« C’est un heureux hasard que Whisper en personne se présente au moment où j’en requiers l’assistance. »
Quand on parle d’une mauvaise tactique. En tout cas, côté tomber les masques, cette femme est une vraie pro. Comme la pro de la gâchette qui dégaine immédiatement Deliverer et qui le braque en direction d’Aiden, bondissant sur ses pieds.
« Nick! Elle est de l’Institut! »
« Une Courser. Je sais. Elle me l’a dit. Remet ton arme au fourreau. »
Nora me perce de son regard, semblant penser que j’ai complètement perdu la tête. Plutôt que de m’obéir, elle avance dans ma direction dans un geste protecteur sans lâcher sa cible du regard. Ça serait presque attendrissant.
« Silver, couchée! »
Elle grogne mais rengaine finalement. Plutôt que de retourner à sa place, cependant, elle s’assoit sur le coin de mon bureau en gardant les yeux bien fixés sur l’autre femme.
« Je sais que dans la procédure standard, un caretaker aurait pu m’aider, mais j’avoue que ma situation est un peu différente de celle d’un synthétique ordinaire. Tenter de tâter le terrain me ferait voir et connaître et assurément attirerait sur quelques alliés potentiel le courroux de l’Institut. »
« Elle siffle bien, le rossignol » grogne Nora.
« Justement, ne serait-ce que les oiseaux dans le ciel du Commonwealth servent à dessin l’endroit d’où je viens pour me repérer si j’ose me montrer. »
« Pour ça que je les tue à vue » que continue mon amie.
« Alors, qu’attendez-vous de moi? » que je lui demande.
Elle se penche dans ma direction et il m’est donné de constater que son habit a prévu un décolleté très plongeant dans cette position. Je me force à garder mes yeux bien ancrés dans les siens.
« Je savais que votre meilleure amie était un membre important de l’organisation du railroad. J’espérais que vous pourriez m’aider à m’infiltrer dans leurs bonnes grâce. J’ignore si je peux vraiment être sauvée, mais qui n’essayerait pas d’avoir une vie meilleure? »
Nora persiffle en croisant les bras, visiblement irritée.
« Vous en savez, des choses. »
« Depuis que vous avez éliminé Z2-47, vos faits et gestes sont épiés par l’Institut. Il ne leur a pas échappé que vous étiez en contact avec des synthétiques dissidents malgré toutes vos précautions. J’y ai vu une opportunité. »
« Une opportunité? »
« Une opportunité d’échanger en bonne intelligence. Je vous mets en garde, vous m’aidez à m’échapper. »
Nora pose sa main sur mon épaule et je sens dans ce geste la vérité. Elle a peur. Les seuls moments où elle cherche un contact avec moi, c’est pour me rassurer ou pour se rassurer. Si elle pose aussi ostentatoirement la main sur mon épaule devant quelqu’un d’autre, c’est qu’elle se sent au supplice. Ses doigts s’enfonçant dans le replie de mon manteau sont une question.
« Qu’est-ce que tu en penses? »
Je me penche pour retrouver mon cendrier et je me tourne pour y écraser ma cigarette en me tournant vers mon amie. Je lève les yeux sur elle et je fais un léger geste du menton.
« Tu ne sembles pas la sentir. »
Elle se tord d’une légère grimace. Je retourne mon attention sur la nouvelle.
« Vous nous dites que l’Institut garde un œil sur Nora depuis qu’elle a abattu un Courser et en échange, vous voulez qu’on vous révèle des informations sur une organisation ultra secrète. Je ne trouve pas que les plateaux de la balance sont très à niveau sur ce coup-là. C’est évident que l’Institut doit avoir un œil sur Nora depuis qu’elle a abattu un Courser! »
La jeune femme devant moi hoche la tête de compréhension.
« J’ai une liste de synthétiques infiltrés. Pour chaque étape que vous me ferez parcourir vers ma liberté, je vous révélerai un nom. »
Nora toussote.
« Désolé. Je ne crois pas que ça me soit utile. »
« Pas utile de savoir lequel de vos settlers vous vend dès qu’il aperçoit Deacon à Sanctuary? Pas utile d’empêcher les attaques groupées contre vos settlements chaque fois que vous essayez d’approcher l’Institut? »
« Alors là, je pense qu’on a une monnaie » que je soulève.
Et ma Silver qui grince des dents. Elle se lève et se dirige vers la porte.
« Je vais contacter le RailRoad. Nous discuterons de votre cas et ce que nous pouvons pour vous. Préparez votre liste et elle est mieux d’être avérée. »
« Ne doutez pas de ma bonne volonté. »
Nora se tourne vers elle une dernière fois, la main sur la poignée.
« Je n’ai pas besoin de douter ou croire. Si vous osez faire quoi que ce soit qui compromettrait la sécurité d’une personne à qui je tiens, je vous traquerai, je vous trouverai et je vous ferai supplier la mort de venir vous prendre. »
Elle sort sur cette dernière note oh combien joyeuse. Elle a de la prestance, la belle. Je souris quand la porte se referme, puis je me tourne vers l’autre demoiselle.
« En attendant, vous avez fait remarquer que vous promener au grand air ne vous ferait pas le plus grand bien. J’imagine que votre petit tour de magie pour apparaître où vous voulez est plutôt limité, sinon vous seriez apparu directement dans l’organisation, non? »
« En effet. Je ne pouvais me téléporter qu’à partir de l’Institut vers une destination enregistrée. Ne vous en faites pas, j’ai effacé mes coordonnés et personne ne peut savoir que je suis ici. »
« Mon agence est enregistrée? »
« Vous êtes un synthétique très connu. »
Je me renfrogne, me frottant le menton en réfléchissant.
« Je ne suis pas certain que ce soit une bonne nouvelle. Mais en attendant, j’ai cru comprendre que les Gen III sont plutôt similaires aux humains niveau besoin. Avez-vous faim? »
La belle s’étire quelque peu, étouffant un bâillement.
« Je vous avouerais que je viens de passer ces derniers jours à organiser mon évasion sans vraiment dormir. Je serais plutôt fatiguée. »
« Hmm. Je ne suis pas certain que Nora accepterait de vous loger au Home Plate, elle ne semble pas vous blairer. »
Je me lève et lui tends la main, l’invitant à me suivre. Mais plutôt, elle reste la main dans la mienne, me regardant dans les yeux.
« Je vous avoue que je la comprends. »
Je baisse mon regard sur sa main tandis qu’elle fait un autre pas vers moi, souriant légèrement.
« Hm. Je ne sais pas si le Dougout est un endroit idéal pour se terrer » que j’essaie de réfléchir.
« Les rues de Diamond City sont sous le contrôle d’un agent double de l’Institution. »
« Donc pas moyen non plus de vous faire évacuer vers Goodneighbor. Il ne reste qu’une possibilité. »
Je lève à nouveau les yeux pour rencontrer de très près les siens couleur du ciel. On pourrait s’y envoler.
« Même si je vous vois venir, je ne voudrais surtout pas vous incomber un tel fardeau. »
« C’est pourtant vous qui avez demandez. »
Son autre main se pose sur mon épaule, se rapprochant encore d’un pas. Je sens maintenant son souffle sur mon visage tandis qu’elle lève le sien, étant d’une taille légèrement plus petite à la mienne.
« Je vous suis donc obligée? »
« Je ne vous obligerais jamais à rien, ce serait une façon indigne de traiter une dame telle que vous. »
Elle entrecroise ses doigts avec les miens, rapprochant légèrement sa main de mon cou. Même si j’adore flirter pour le jeu, je trouve que celui-ci ressemble un peu trop à un jeu dangereux.
« Alors comment traitez-vous les dames telles que moi? » qu’elle me murmure à l’oreille en se levant sur la pointe de ses pieds.
De ma main de métal, je lui saisie le menton pour la ramener devant moi.
« Mademoiselle, je ne sais pas ce que vous pensez faire, mais je pense que vous perdez votre temps. Ce vieux synth n’est pas d’un bois qu’on peut enflammer. »
« C’est votre amie qui vous en a convaincu? »
« Plutôt mon vécu. »
« Quel dommage qu’on vous ai fait croire un tel mensonge. »
Cette fois, je peux sentir son corps brosser mon manteau tandis qu’elle se rapproche encore à ce qu’on pourrait dire plus de distance du tout, sa voix restant un souffle de tendresse qui pourrait presque m’y faire croire.
« Je vous l’ai dit, c’est la vie qui me l’a enseigné. Ce n’est pas un mensonge. »
« Laissez-moi vous prouver que oui. »
Elle ferme les yeux en refermant l’espace qui séparait ses lèvres des miennes, mais j’avoue que je suis un peu trop saisie pour répondre immédiatement. Lorsque sa main sur mon épaule vient se poser comme un voile sur ma nuque, je ne peux plus résister et je goûte ce fruit que je me suis interdit si longtemps. Le fruit se croque avec délice et devient immédiatement une folie des sens, son sucre coulant sur mes lèvres et sa chaleur se déversant dans mon corps comme si il était encore de chair et de sang. Ma main de métal vient immédiatement cueillir le creux de ses reins et je comble le peu d’espace qui pouvait encore exister en l’attirant à moi, complètement submergé.
« Fichtre… »
Je crois que ce sont mes dernières paroles, ce soir-là. En effet, j’ai pu étendre la belle dans mon lit, mais j’avouerais qu’elle y a très peu dormi. Plutôt, la professionnelle de la technologie de l’Institut m’a appris tout ce qu’elle savait sur la manière dont j’avais été conçu, et nous avons conçu ce que j’appellerais le triomphe de ma conception. Il serait sans dire que pour l’espace d’une seule nuit, je me suis sentit plus vivant que depuis toutes ces décennies depuis lesquels je parcours les terres désolées.
Alors pour répondre à la question d’Hancock, définitivement, j’ai de très nombreuses zones érogènes. Pour répondre à la question de Nora, je sais me servir de ma bouche pour autre chose que la dépiter. Pour répondre à ma question existentielle, je possède maintenant entièrement quelque chose qui m’appartient à moi, et à moi seul.
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finnbtrj91 · 2 months
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Le charme rustique des coffrets en bois personnalisés faits main
Introduction
Bienvenue dans cet article dédié au charme rustique des coffrets en bois personnalisés faits main. Ces objets uniques et authentiques apportent une touche de chaleur et d'originalité à tous les intérieurs. Que vous recherchiez un coffret en bois personnalisé ou sur mesure, vous trouverez dans cet article toutes les informations nécessaires pour faire le bon choix.
Le charme intemporel du bois
Le bois est un matériau noble et naturel qui ne cesse de séduire par son charme intemporel. Les coffrets en bois personnalisés sont fabriqués à partir de différentes essences de bois, telles que le chêne, le noyer ou encore le pin. Chaque type de bois apporte ses propres caractéristiques esthétiques et durables.
La beauté du chêne dans votre intérieur
Le chêne est l'une des essences de bois les plus prisées pour la fabrication de coffrets en bois personnalisés. Sa couleur chaude et sa texture unique apportent une touche d'élégance rustique à votre intérieur. Un coffret en chêne personnalisé sera à la fois robuste et raffiné, parfait pour ranger vos objets précieux.
L'authenticité du noyer pour un coffret sur mesure
Si vous recherchez un coffret en bois sur mesure, le noyer est une excellente option. Ce bois noble se distingue par sa teinte foncée et ses veines marquées qui lui confèrent une grande authenticité. Un coffret en noyer personnalisé sera non seulement fonctionnel, mais également un véritable objet de décoration à part entière.
L'élégance du pin pour un coffret bois personnalisé
Le pin est un bois très polyvalent qui offre de nombreuses possibilités en termes de personnalisation. Un coffret en pin personnalisé peut être peint, teinté ou laissé au naturel selon vos préférences. Sa couleur claire et sa texture subtile apporteront une touche d'élégance discrète à votre intérieur.
Des coffrets sur mesure pour tous les besoins
Que vous souhaitiez ranger vos bijoux, vos souvenirs de voyage ou encore vos documents importants, il existe un coffret en bois sur mesure adapté à tous les besoins. Voici quelques exemples de coffrets personnalisables :
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Coffrets à bijoux : un écrin pour vos précieux trésors
Les coffrets à bijoux sur mesure sont conçus pour protéger et mettre en valeur vos bijoux les plus précieux. Dotés de compartiments et de tiroirs adaptés aux différentes pièces, ils vous permettent d'organiser facilement votre collection. Avec leur charme rustique, ces coffrets en bois personnalisés ajoutent une touche d'élégance à votre coiffeuse ou à votre commode.
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Coffrets à vin : sublimer vos bouteilles avec élégance
Les amateurs de vin seront ravis de découvrir les coffrets à vin sur mesure. Ces objets allient fonctionnalité et esthétisme en offrant un rangement sûr et élégant pour caisse en bois sur mesure vos bouteilles. Que vous choisissiez un modèle simple ou double, votre cave à vin sera mise en valeur grâce à ces coffrets en bois personnalisés.
Coffrets de rangement : l'organisation à portée de main
Les coffrets de rangement sur mesure sont parfaits pour organiser vos objets du quotidien. Que ce soit pour ranger vos clés, vos accessoires de couture ou vos fournitures de bureau, ces coffrets en bois personnalisés vous permettent d'avoir tout à portée de main tout en ajoutant une touche décorative à votre intérieur.
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FAQ Q: Qu'est-ce qui rend les coffrets en bois personnalisés uniques ?
R: Les
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kiirex · 3 months
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Nicolas jouait tranquillement. Soudain, la porte de sa chambre s’ouvrit et sa mère entra. Elle reste un instant la bouche grande ouverte comme paralysé. Et puis elle hurla. Qu’est-ce que c’est ce foutoir tu vas me ranger ça. Immédiatement, je reviens dans une demi-heure, et je veux voir chaque chose à sa place. Tu m’entends chaque chose à sa place ! Nicolas soupira, se lever, lentement, regarda d’un air ennuyé. Tout autour de lui, pis se décida. Il sort des boîtes, des cartons, des valises, des caisses en plastique, des caisses et se met à ranger, il a rangé ses billes ses auto miniatures, ses livres, ses Lego, ses images de foot, sa collection de timbres, ses chaussettes, ses cahiers et ses dessins, chaque chose à sa place exactement proprement. Et puis comme il restait des cartons, il range aussi ses rêves, ses envies, ses joies, c’est chagrin, ces bêtises, ses souvenirs, ses frayeurs, ses mensonges, chaque chose à sa place, exactement proprement. Quand sa mère revient une demi-heure plus tard plus rien ne traîner l’ordre était impeccable. Elle a Nicolas où es-tu ? Je suis là répond une voix à ma place à ma place. elle regarda autour d’elle mais ne vis rien regarde sous le lit derrière le bureau le fauteuil toujours rien alors elle l’ ouvre l’armoire vide, les tiroirs sortie les boîtes, les cartons, les valises où il y a les placards mis en désordre et épouvantable et trouva enfin son Nicolas.
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omagazineparis · 4 months
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Les 5 erreurs à éviter lors de l'achat d'un canapé
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Vous êtes sur le point d'acheter un nouveau canapé, mais avant de prendre une décision, il est important de connaître les erreurs les plus courantes à éviter. Dans cet article, nous allons vous présenter les 5 erreurs à ne pas commettre lorsque vous achetez un canapé. Que vous soyez à la recherche d'un canapé pour votre salon, votre bureau ou votre salle de séjour, ces conseils vous éviteront de regretter l'achat d'un canapé. Premièrement, ne laissez pas le prix être le seul critère de choix. Opter pour le canapé le moins cher peut sembler économique à court terme, mais il est important de considérer la qualité et la durabilité de l'article. Deuxièmement, ne négligez pas la taille et l'espace disponible dans votre pièce. Mesurez correctement l'espace où vous souhaitez placer le canapé afin d'éviter toute déception. Troisièmement, n'oubliez pas de tester le confort du canapé avant de l'acheter. Asseyez-vous dessus, allongez-vous, et assurez-vous qu'il correspond à vos exigences de confort. En évitant ces erreurs courantes, vous serez en mesure de faire un choix éclairé et d'investir dans un canapé qui répondra à vos besoins et à vos préférences. Si vous envisagez de rafraîchir votre salon, envisagez d'acheter un canapé sur ce site internet, où vous découvrirez une gamme élégante et moderne, alliant confort et style. Leurs collections, en parfaite adéquation avec les tendances actuelles, offrent une expérience d'achat aisée et un service client exemplaire Erreurs courantes lors de l'achat d'un canapé L'une des erreurs les plus courantes lors de l'achat d'un canapé est de choisir la mauvaise taille. Il est essentiel de mesurer correctement l'espace disponible dans votre pièce avant de faire votre choix. Opter pour un canapé trop grand ou trop petit pourra entraîner des problèmes d'agencement et de confort. Mesurez attentivement l'espace où vous souhaitez placer le canapé et prenez en compte les dimensions du canapé lui-même. Il est également important de vérifier si le canapé pourra être livré sans problème jusqu'à votre pièce. Ne laissez pas la taille être un obstacle à votre satisfaction. Erreur 1 : choisir la mauvaise taille Un autre piège à éviter lorsque vous achetez un canapé est de négliger le confort. Il peut être tentant de se laisser séduire par un canapé au design magnifique, mais il est essentiel de prendre en compte votre confort personnel. Prenez le temps de vous asseoir, de vous allonger et de vous détendre sur le canapé avant de l'acheter. Assurez-vous qu'il répond à vos besoins de confort et qu'il offre un soutien adéquat pour votre dos. N'oubliez pas que vous passerez probablement de nombreuses heures assis ou allongé sur ce canapé, il est donc essentiel qu'il soit confortable pour vous. Erreur 2 : négliger le confort Lors de l'achat d'un canapé, il est facile de se laisser séduire par son apparence extérieure sans tenir compte de la qualité des matériaux utilisés. La durabilité et la qualité des matériaux sont des facteurs essentiels à prendre en compte pour vous assurer que votre canapé durera longtemps. Optez pour des matériaux solides et résistants, tels que le cuir ou un tissu de haute qualité, qui ne s'useront pas rapidement et qui résisteront aux taches et à l'usure quotidienne. N'oubliez pas que l'achat d'un canapé est un investissement à long terme, il est donc important de choisir des matériaux de qualité qui résisteront à l'épreuve du temps. Erreur 3 : ignorer la qualité des matériaux Un autre piège courant lors de l'achat d'un canapé est de négliger sa fonctionnalité. Réfléchissez à l'utilisation que vous ferez de votre canapé et aux fonctionnalités dont vous avez besoin. Par exemple, si vous aimez vous allonger pour regarder la télévision, un canapé avec des repose-pieds intégrés pourrait être une bonne option. Si vous avez besoin de rangement supplémentaire, envisagez un canapé avec des tiroirs ou des compartiments cachés. Assurez-vous de prendre en compte vos besoins personnels et de choisir un canapé qui les satisfait. Erreur 4 : négliger la fonctionnalité Enfin, ne négligez pas le style et le design global du canapé. Il est important que le canapé s'intègre harmonieusement dans votre espace et corresponde à votre style de décoration. Prenez en compte les couleurs, les motifs et les lignes du canapé pour vous assurer qu'il correspond à vos goûts personnels et à l'esthétique de votre pièce. Ne vous précipitez pas dans votre choix, prenez le temps de trouver un canapé qui vous plaît à la fois esthétiquement et fonctionnellement. Erreur 5 : ne pas tenir compte du style et de la conception d'ensemble Maintenant que vous connaissez les erreurs courantes à éviter lors de l'achat d'un canapé, voici quelques conseils pour vous aider à faire le bon choix. Tout d'abord, faites des recherches approfondies avant d'acheter. Consultez les avis des clients, visitez plusieurs magasins et comparez les différentes options disponibles. Deuxièmement, fixez un budget réaliste et tenez-vous-y. Il est facile de se laisser emporter et de dépenser plus que prévu, mais restez fidèle à votre budget initial. Troisièmement, n'hésitez pas à demander conseil à des experts en ameublement. Ils pourront vous guider dans votre choix et répondre à toutes vos questions. En suivant ces conseils, vous augmenterez vos chances de faire un choix éclairé et d'investir dans un canapé qui répond à vos besoins et à vos préférences. Conseils pour éviter ces erreurs lors de l'achat d'un canapé Maintenant que vous êtes conscient des erreurs à éviter et que vous avez quelques conseils en poche, vous vous demandez peut-être où acheter des canapés et comment les choisir. Il existe de nombreuses options disponibles, des magasins de meubles traditionnels aux sites de vente en ligne. Les magasins de meubles vous offrent l'avantage de pouvoir voir et essayer les canapés en personne, tandis que les sites de vente en ligne offrent souvent une plus grande variété de choix et des prix compétitifs. Lorsque vous magasinez, assurez-vous de prendre en compte la réputation du vendeur, les politiques de retour et de garantie, ainsi que les avis des clients. N'hésitez pas à comparer les prix et à demander des échantillons de tissu si vous achetez en ligne. En faisant preuve de diligence raisonnable, vous pourrez trouver un canapé de qualité qui correspond à vos besoins et à votre budget. Où acheter des canapés et comment les choisir ? En évitant ces erreurs courantes lors de l'achat d'un canapé, vous pourrez faire un choix éclairé et investir dans un meuble de qualité qui vous apportera satisfaction pendant de nombreuses années. N'oubliez pas de mesurer l'espace disponible, de privilégier le confort, de choisir des matériaux de qualité, de prendre en compte la fonctionnalité et de ne pas négliger le style et le design global. Suivez nos conseils et vous serez certain de trouver le canapé parfait pour votre espace. Read the full article
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if-you-fan-a-fire · 4 months
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"Prompte capture de trois évadés," La Patrie (Montreal). May 16, 1934. Page 3 & 4. ---- Arrestation à St-André ---- Ils ne furent libres que pendant neuf heures. Gardien ligoté et baillonné. ---- Après avoir joui de leur liberté pendant près de neuf heures, les trois prisonniers évadés de la prison de Saint-Jérome, hier soir, ont été capturés à six heures ce matin par les détectives provinciaux René Gauthier et René Marsolais, dans le village de Saint-André d'Argenteuil et non de Saint-André Avelin, suivant la version que donna précédemment la police.
C'est à la suite d'une ruse de la police que les trois fugitifs ont pu être espturés si promptoment. Dès que la nouvelle de leur éva sion fut connue à Montréal le chef Jargallle dépêcha le sergent René Lasnier et quinte détecti ves et constables à Saint-Jérôme. De cet endroit les détectives,
RUSE Pendant trois heures les policiers firent des perquisitions dans tous les hôtels et penalons de Saint-André, de même que dans un grand nombre de fermes et de résidences. Ils ne trouvèrent aucune trace des fugitifs. Le sergent Lasnier, ne doutant, cependant pas, qu'ils se cachaient à cet endroit, décida de se servir de ruse et déclara à tout le monde que les trois évadés étaient repartis de cet endroit. Deux détectives se cachérent pendant que tous les autres remontaient dans les automobiles et partaient à toute vitesse vers une nouvelle direction.
Pendant près d'une heure lea deux détectives se tinrent cachés près d'une ferme qu'ils avaient visitée au cours de la nuit, quand, peu avant six heures, l'un des évadés, se croyant finalement en sureté, sortit de la maison.
Il fut promptement appréhendé et après avoir été interrogé conduisit les deux détectives à cing milles plus loin, dans les bois, ou les policiers trouvèrent les deux autres fugitifs qui furent également arrêtés.
REINCARCERES Tous trois furent alors reconduite à la prison de Saint-Jérôme, oû ils furent cette fois placés sous bonne garde. Sur eux on retrouva la plus grande partie de l'argent volé à la prison ainsi que le revolver qu'ils avalent lore de leur fuite. Ils comparaitront en Cour afin de répondre à l'accusation d'évasion, ainsi qu'à celle de vol.
Le chef Jargaille s'est déclaré enchanté ce midi du prompt succès de ses agents et a dit que, contrairement à ce que l'on avait tout d'abord cru, les prisonniers n'étaient pas armés quand ils attaquerent le geolier Nadon. Volei que ce dit le chef Jargaille à ce sujet:
Vers 9 heures 30. Larocque et Gobell, qui étaient dans la même cellule, appelérent le geôller disant que l'un d'eux était malade. Quand le gardien arriva à la porte de la cellule il vit l'un des détenus plié en doux sur son lit, la tête entre ses mains. L'autre se tenait près de la porte. Le gardien ouvrit la porte et entra, mais à peine était-il dans la cellule que les deux détenus se jetèrent sur lui et eurent vite fait de le maîtriser. Ils l'attachèrent alors solidement et le baillonné rent. On le coucha ensuite sur le lit où il fut attaché et on le recouvrit d'une couverture.
Larocque s'emparant ensuite des clefs qui étaient tombées à terre, monta au second étage et délivra Gauchen, puis tous trois descendirent dans le bureau du gardien dont ils enfoncèrent la porte. Ils brisèrent ensuite le tiroir du pipitre ou ils prirent $64 et le revolver du gardien. Enfonçant ensuite une autre porte ils s'emparérent de vêtements de rue. Ils sortirent finalement par la porte de côté de la prison.
Les trois compagnons, une foir libres, passèrent près d'une heure dans les rues de Saint-Jérôme, al lant manger dans un restaurant. Ils achetèrent ensuite dix livres de viande et une douzaine de bouteilles de bière, puis partirent en tax pour Saint-André d'Argenteuil. A LA POINTE DU REVOLVER SAINT-JEROME, 16. - Une évasion sensationnelle, exécutée à la pointe du revolver, s'est produite hier soir à la prison de Saint Jérome quand trots détenus, après avoir ligoté le géoller ont pris la faite, emportant avec eux les clefs de la prison.
Avant de s'enfuir les trois prisonniers se rendirent dans le bureau du gardien de la prison on its changèrent leur ivrée de prisonniers pour des vêtements qui s'y trouvaient et s'empare de $61 dans le tiroir d'un bureau. Ils se firent ensuite conduire à Saint-André-Avelin, à 22 mailles d'ici, par un chauffeur de taxi.
L'évasion produit à 9 h. 30. hier soir, mais les autorités ne furent prévenues que deux heures plus tard quand le gardien parvint à se débarrasser de liens. Le sherif Cyr avertit immédiatement la Sûreté provinciale de l'évasion et plusieurs detectives se rendirent ici sans délai afin de rechercher les fugitifs.
Les évadés sont Joseph Gauchen, 19 ans; Lucien Larocque, 19 ans, de Laviolette; et Albert Gobell, alias Paul Chrétien, 21 ans. Ces deux derniers se sont déjà évadée de la prison de Cornwall, Ontario.
Deus d'entre eux, Larocque et Gobeil, occupaient une cellule du rezde-chaussée, sur le côté nord-ouest de la prison. Le geolier, qui avait à 8 heures enfermé dans leur cellule les 15 prisonniers de l'établissement, était couché tout près de la cellule des deux détenus. Gauchen était dans une des cellules du second étage.
J'AI SOIF A 9h30 Larocque frappa sur la porte de sa cellule et le géolier A. Nadon, se leva pour aller voir ce qu'il désirait. Larocque lui demanda un verre d'eau. Nadon n'était pas vêtu et que hui dit: "Laisser-moi sortir de ma cellule. Je vais aller boire et je reviendrai immédiatement." Le géoller consentit et laissa Larocque se rendre seul à la chambre de toilette. Quelques secondes plus tard Larocque revenait.
UN REVOLVER Arrivant près de Nadon le prisonnier montra soudain un revolver qu'il tenait à la main et, en meaçant son gardien, lui ordonna de ne pas bouger. Nadon fut forcé d'obéir et Larocque lui enleva alors ses clefs, les lancant dans la cellule ou Gobeil les ramassa pour ouvrir la porte.
LIGOTE ET BAILLONNE Les deux prisonniers s'emparerent alors de Nadon qu'is ligoterent solidement et baillonnèrent. Ils le laissèrent ensuite dans la cellule où ils avaient été détenus et le laissèrent là. Fermant à la clef la porte de la cellule les deux hommes montèrent au second étage de la prison ou ils délivrérent Gauchen.
Les trois prisonniers se rendes rendirent ensuite an bureau du gardien de la prison on ils enfoncerent la porte. C'est dans ce bureau que son gardés les vêtements des prisonniers. Une fois à l'intérieur les trois compagnons brisirent un tiroir du pupitre du gardien où ils s'emparèrent de $61 qui s'y trouvaient. Ils changérent ensuite leur livrée pour leurs propres vêtements de rue et quittèrent l'édifice par une parte de côté. Ils fermérent à clef toutes ses portes et emportèrent les clefs avec eux.
L'ALERTE EST DONNEE M. Nados ne parvint à se libérer de ses liens et de son båillon qu'aprés plus d'une demi-heure d'efforts. Il lui fut cependant impossible de sortir de sa cellule et il fut forcé de briser une vitre de la fenêtre. Une fois la vitre brisée, il cria de toutes ses forces et attira l'attention d'un voisin, M. A. Foisy, qui se rendit à la porte de la prison ou il fit fonctionner la sonnerie d'alarme communiquant avec le logement du gardien qui est situé an quatrième étage de l'édifice. DELIVRE Le gardien de la prison, M. W. Michaud, s'empressa d'aller dén vrer le garde emprisonné. Après avoir constaté ce qui s'était passé dans la prison M. Michaud prévint immédiatement le sherif J. W. Cyr.
LA CHASSE Le sherif communiqua immédiatement avec la la sûreté provinciale et le chef Jarxaille dépécha le sergent Lasnier ainsi que plusierus détectives sur les lieux.
Dans l'intervalle, le shérif, ayant organisé une forte équipe de citoyens pour commencer la chasse à l'homme, apprit que les trois prisonniers évadés s'étaient, à leur sortie de prison, rendus chez un chauffeur de taxi, nommé Viger, et avaient loué leur automobile pour se faire conduire à Saint-André Avelin. Ils avaient d'abord demandé de se faire con duire à Lachute, mais its change rent ensuite d'idée.
A SAINT-ANDRE Le sherif tenta d'avertir les policiers provinciaux de ce fait, mais ceux-ci étaient déjà en route et, comme il ne ne pouvait communiquer par téléphone avec Saint-André Avelin afin de prévenir les autorités de cet endroit, il fut forcé d'attendre l'arrivée des policiers de Montréal, avant de partir à la poursuite des fugitifs.
Le sherif apprit l'endroit exact où les trois fugitifs devalent se retirer à Saint-André afin d'y passer la nuit.
LIBERALITE Le chauffeur de taxi Viger, qui revint à Saint-Jérôme dans le courant de la nuit, no se dontalt nullement qu'il conduisait trois évadón. Ce n'est qu'à son retour à Saint-Jérôme qu'il apprit l'évasion et concut des soupçons. Il fit alors part au sherif sans tarder de aun ascature disant que les trois hommes l'avaient payé libéralement et avaient acheté une douzaine de bouteilles de bière pour agrémenter le voyage. Il dit au shorif où il les avaient laissés à Saint-André.
POUR CAMBRIOLAGE Le shérit Cyr a déclaré ce matin que Larocque et Gobeil étaient à la prison depuis avril ayant été condamnés à deux mois de détention pour un cambriolage. lls furent trouvés coupables d'une effraction commisse au magasin Lemay, à Lachute, ils il y a quelque temps. Il croit aussi que les deux prévenus sont recherchés à Cornwall, Ontario, pour s'y être évadés de la prison. Le sherif a déclaré qu'il était en communication de puis quelques semaines avee la police de l'Ontario et que des agents de cette province devalent venir chercher les prisonniers en les ramener à Cornwall.
Le troisième évadé est un ancien détenu de la ferme industrielle de Shawbridge. Il a pas six ans à cet endroit et en fut l'un des détenus les plus turbulents. Il a falt plusieurs séjoure à la prison locale.
INEXPLICABLE Le shérif, le gardien et le géolier de la prison ne peuvent expliquer comment il se fait que Larocque était en possession d'un revolver. Les détenus n'ont reçu ancun visiteur depuis puis assez long-temps et Gauchen était arrivé de la ferme industrielle depuis plusieurs jours. Chaque prisonnier est fouillé avec soin à son arrivée à la prison et il est impossible que Larocque ait pu avoir cette arme dans sa cellule.
UN COMPLICE Selon le sherif, Larocque, qui semblait être le chef des évadés, avait un complice à l'extérieur. Ce dernier, sons un prétexte quelconque parvint sans doutes à s'introduire dans la prison et à y cacher l'arme dans la chambre de toilette.
La prison comprend seize cellules, huit à chaque étage.
Des lera arrivée à Saint-Jérome, cettle nuit, les détectives sont partis à toute vitesse dans la direction de Saint-André ou ils espèrent pouvoir rejoindre les fugitifs avant que ceux-ci se cachent dans les bois.
Image caption:
LA PRISON D'OU S'EVADERENT TROIS DETENUS Photographie du Palais de Justice de Saint-Jérôme. C'est dans la partie arrière de l'aile droite que se trouve in prison d'où s'échappèrent hier soir trois prisonniers qui ont été recapturis à bonne heure ce voyageant dans trois automobiles, ce matin à Saint-André d'Argenteuil. Après avoir baillonné et ligoté leur gardien les trois prisonniers volèrent $64 et un revolver, puis sortirent par la petite porte de côté de la prison, que l'on voit ici partiellement cachée par des automobiles.
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lanuitlennuie · 4 months
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Je file je suis en retard je sors sur le perron les clés l'argent mon regard sur mes pieds. Ils seront nus sur le divan, je m'arrête net. Je suis en retard redit mon cerveau pour réactiver le mouvement. Demi-tour, fourrage dans le tiroir de la commode, ok tant pis, défais les sandales, enfile la grosse laine rêche, remets les sandales. Vélo vélo Mont-Royal encombrée, s’arrêter le moins possible. Il fait chaud comme en été, j’ai la marque des draps sur la joue, les pieds trop serrés dans la chaleur des bas. Mont-Royal Mont-Royal que je n’ai jamais aimée, et encore moins vers l’est. Je tourne à droite enfin, le poteau en face de chez lui, le poteau à côté du bac à compost, que je pousse et qui pue. Barre le vélo, casque, sac, le perron japonais, la sonnette, regarder ailleurs en attendant. Q ouvre, débonnaire, pas de lunettes ce matin. Il me précède pour m’entraîner vers son bureau, plus tard je dirai cabinet, malinant sur l’équivoque douteuse et facile. Mais avant je suis dans l’entrée, je ferraille avec les sandales, il se retourne, considère mes pieds, vous pouvez garder vos souliers, c’est l’été. J’enlève mes sandales. Le divan le barbu dans la vitrine mes pieds de bas dans sa ligne de mire. Je dis j’associe je dis je dis j’associe ça va vite puis plus du tout un grand lac étal toujours la même huile trompeuse qui pourrait durer la vie je dérive j’associe petit, pas par là encore par là? Pas folle du tout pas folle de tout, le lac s’ouvre je dis que je ne sais pas. Tu peux savoir. Je dis les mères se font avoir même jusque dans leur colère qu’elles n’adressent pas à qui de droit à qui de droit BANG une balle dans le mâle Non à la place elles montrent les dents aux enfants et le sol solide fendu et la solitude. Je voulais être du bord des enfants entièrement du bord des enfants sans négos, sans le tank du couple. Je repars chaussettes sandales chaleur PJ Harvey au casque. Un melon à l’épicerie que j'échappe quand W appelle, il roule jusque chez nous. Nous mangeons le *cantaloupE*, B rit, W repart, je ne vais pas aux funérailles à la place je sors avec elle. Une marche au hasard Balthazar, elle puis moi puis elle puis moi puis elle, à tour de rôle et à chaque embranchement nous choisissons la direction, gauche, droite ou tout droit, tiens nous y voilà.
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manue-ringo · 6 months
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Chapitre 99 : Rechute
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Oui, en effet. C'est très juste. Au fait, quand comptez-vous interroger Krycek ? Demanda Parker soudainement, sa voix trahissant une légère impatience.
C'est prévu pour demain en début d'après-midi. Je vous tiendrai au courant. Désolé, mais je dois vous laisser maintenant. J'ai des choses à régler sur cette affaire. Vous devriez tout de suite vous mettre au travail pour cet entretien. Je n'ai pas encore de date officielle, mais je ne manquerai pas de vous contacter d'ici là. Répondit Skinner d'un ton pressé, déjà en train de rassembler ses dossiers.
Entendu. Alors, à plus tard. Répondit Parker, son ton plus neutre, en se dirigeant vers la sortie du bureau.
Parker ? Sachez que je reste à votre entière disposition. Si vous avez des questions, n'hésitez pas, Ajouta Skinner, plus calmement, cherchant à apaiser l'atmosphère.
Merci. Dit-elle simplement, avant de refermer doucement la porte derrière elle.
Dès qu’elle franchit le seuil du bureau, Parker ressentit un violent mal de tête. Elle se massait le côté du crâne avec une intensité croissante, sans obtenir le moindre soulagement. En proie à une douleur lancinante, elle se dirigea précipitamment vers son bureau pour plus de discrétion. Elle verrouilla la porte à double tour avant de sortir un cachet de son tiroir. S’installant sur son siège, elle ferma les yeux, espérant que le médicament et le calme l’aideraient à apaiser sa douleur.
Elle était épuisée. Les derniers événements l’avaient poussée au bord du gouffre. Les doutes l’envahissaient ; elle avait peur d’échouer à nouveau. Le poids des épreuves accumulées la rendait plus vulnérable que jamais. À cette pensée, une vague de solitude s’abattit sur elle. Les larmes lui montèrent aux yeux. Bien qu’elle ne veuille pas l’admettre, elle avait besoin de réconfort et de soutien pour remonter la pente Comme pour répondre à ses pensées, un coup retentit à la porte. Parker sursauta, ses larmes sèches instantanément par la peur d'être vue ainsi. Elle essuya hâtivement ses joues et déverrouilla la porte. L'agent Scully apparut dans l'embrasure. Le soulagement envahit Parker à la vue de son amie.
Dieu merci, ce n'est que toi. Je croyais que… Bref, c'est sans importance. Dit-elle, essayant de dissimuler sa gêne.
Non, ce n'est pas celui que tu penses, Andréa. Est-ce que ça va ? Tu as l'air bouleversée. Demanda Scully, une lueur d'inquiétude traversant ses yeux bleus.
Ce n'est rien, ne t'en fais pas. Juste un léger mal de tête. Répondit Parker, un peu trop rapidement.
Tu as encore ces migraines ? Tu devrais vraiment faire des examens, on ne sait jamais. Si tu veux, je peux te prendre rendez-vous tout de suite pour… Commença Scully, son ton plein de sollicitude.
Non, c'est inutile ! Je te dis que je vais bien ! D'accord ? Rétorqua Parker, sa voix tranchante, presque désespérée.
Les mots avaient fusé avec plus de force qu'elle ne l'avait voulu. Elle vit le regard de Scully se durcir légèrement, blessé. Se mordant les lèvres, Parker baissa les yeux, regrettant déjà son emportement.
Pardon, je ne voulais pas te froisser, c'est juste que… Je voudrais simplement que l'on arrête de s’inquiéter sans arrêt pour moi. Ce n'est pas votre combat, c'est le mien. Vous n'auriez jamais dû partir à ma recherche. J'aurais pu perdre l'un d'entre vous ! S'il vous arrivait malheur, je ne sais pas ce que je ferais ! J'ai déjà perdu ma famille, je ne veux pas perdre des amis ! S'exclama Parker, sa voix se brisant sous le poids des émotions.
Les paroles de Parker touchèrent profondément Scully. Elle regarda son amie avec une affection sincère, comprenant le fardeau qu'elle portait.
Andréa, s'il te plaît, écoute-moi. Ce que je vois en t'écoutant, c'est un appel à l'aide. Tu as traversé beaucoup d'épreuves, et elles ont fini par t'atteindre. Ne le vois pas comme une faiblesse, encore moins comme un échec. Nous avons tous nos limites, et tu le sais. Ce que tu dois comprendre, c'est que nous sommes tous victimes de cette scandaleuse conspiration, bien avant que tu n'arrives au service. Tu cours après le Centre, mais le véritable ennemi est bien plus destructeur et imprévisible. Tu en as fait les frais récemment, et tu as encore du mal à l'accepter, ce qui est normal. Raines n'est qu'un pion, comme ton père l'a été avant lui. Le véritable responsable, c'est cet homme et tout ce qu'il représente. Tu l'as compris, et ça te fait peur. Tu n'es pas la seule, rassure-toi, dit Scully, sa voix douce mais ferme.
Parker repoussa nerveusement une mèche de cheveux derrière son oreille avant de répondre, tentant de reprendre contenance :
Tu es perspicace, tu le sais ? Bref, Skinner t'a briefée sur ces soi-disant preuves ?
Toi aussi, tu n'y crois pas. Je pense que tu as raison de te méfier. Et même si c'était vrai, nous n'aurions aucun moyen de le prouver, car ils auront pris soin de tout faire disparaître. Ça ne serait pas la première fois. Répondit Scully, avec une conviction tranquille.
Tu ne crois pas si bien dire. Ce que j'ai vu dans ce laboratoire du Maryland est malheureusement bien réel, mais le problème, c'est que personne ne peut le prouver. Cet informateur me l'a bien fait comprendre. C'est pour cela qu'il m'a contactée. La seule chose qu'il me reste, ce sont ces dossiers confidentiels du Centre et le plan de leur base secrète. On peut encore les arrêter, mais ça ne suffira pas à stopper ce monstre. Dit Parker, la résignation dans sa voix.
Elle se laissa retomber dans son siège, ses épaules affaissées sous le poids du désespoir. Scully s'approcha, la regardant avec tendresse.
Andréa, tu devrais rentrer chez toi et dormir un peu. Une longue journée nous attend demain. Essaie de ne plus y penser pour l'instant. On en reparlera en temps voulu, d'accord ? Je vais passer voir Mulder pour lui parler de tout ça. Tu veux que je te raccompagne ? Proposa Scully, son inquiétude pour son amie toujours présente.
Non, ça ira. Je ne suis pas encore sénile, ma jolie. Répondit Parker, un faible sourire étirant ses lèvres avant de prendre ses affaires et de quitter le bureau.
Plus tard dans la soirée, Parker tenta de trouver le sommeil, mais sans succès. Cependant, ce n'était pas le pire. Soudain, une douleur aiguë la saisit au ventre, la forçant à se plier en deux, la plongeant dans la panique. Elle pria pour que ce ne soit pas une récidive de ses problèmes d’ulcères. Elle se leva péniblement et se traîna jusqu'à la salle de bain, où elle trouva quelques cachets de son ancien traitement. Elle les avala rapidement, espérant que la douleur s'estomperait bientôt.
À ce moment-là, son téléphone se mit à sonner. La jeune femme grogna, irritée par cette interruption. Qui pouvait bien la déranger à une heure pareille ? Elle décrocha brusquement.
Quoi ! Qui est-ce ? Aboya-t-elle, sa patience à bout.
Elle reconnut immédiatement la voix de son partenaire au bout du fil, et son cœur fit un bond.
Bon sang, mais qu'est-ce que tu veux ? Tu as vu l'heure ? Tu as des ennuis ? Demanda-t-elle, sa voix devenant rauque, trahissant son inquiétude.
Excuse-moi, je sais qu'il est tard, mais je voulais simplement m'assurer que tout allait bien, Répondit-il, sa voix douce et inquiète.
Parker resta silencieuse un moment, son cœur battant la chamade. Un rire nerveux s'échappa de ses lèvres.
Tu es flippant parfois. En effet, ça ne va pas super bien, mais ça va aller, j'ai pris ce qu'il faut, Avoua-t-elle, regrettant aussitôt sa franchise.
Elle se mordit la lèvre, se sentant terriblement stupide d'avoir révélé son état. Tentant de se rattraper, elle ajouta :
Écoute, ce n'est rien, d'accord ? Je te vois venir… On se voit demain. Salut. Conclut-elle avant de lui raccrocher au nez, se laissant envahir par un sentiment de solitude plus intense encore.
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byothe-fr · 7 months
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Une règle en ligne pour mesurer n'importe quoi depuis l'écran de votre ordinateur On a tous été dans la situation de vouloir mesurer quelque chose, mais sans retrouver sa règle planquée au fond d'un tiroir ou perdue entre les feuilles de papier empilées sur le bureau. Alors dans ce genre de cas, j'ai l'habitude d'utiliser la technique du 21/29.7. Cette technique de mon invention consiste à estimer une mesure grâce aux dimensions d'une feuille A4 qui mesure 21cm sur 29.7cm... autant vous dire que vous pouvez oublier la précision ! Mais ça dépanne ! Mais comme toujours, le web regorge de solutions bien plus efficaces pour pallier ces problèmes ! Et c'est notamment le cas du site OnlineRulers (RèglesEnLigne en français) qui propose notamment une règle en ligne vous permettant de mesurer tout ce que vous voulez ! C'est quoi le principe d'OnlineRulers ? Imaginez que vous vous trouvez dans cette situation, sans règle à portée de main, mais avec votre smartphone, tablette ou ordinateur à proximité. C'est là qu'intervient la règle en ligne, une ressource bien pratique qui transforme votre écran en une règle virtuelle capable de mesurer des objets en centimètres (et en pouces). Que vous soyez à votre bureau sur votre PC, sur le canapé avec une tablette ou en déplacement avec votre smartphone, cet outil s'adapte à tous vos besoins de mesure. On peut cependant se demander légitimement si une règle sur un écran peut être précise... La réponse est : suffisamment ! Les développeurs du site OnlineRulers ont fait en sorte de s'assurer que les mesures soient aussi exactes que possible. Alors bien sûr, il y a des variables comme la taille de l'écran de votre appareil, la densité de pixels (PPI, Pixels Per Inch) et même vos paramètres de confidentialité qui peuvent influencer. Mais ne vous inquiétez pas, ils ont inclus des options de calibration qui permettent d'ajuster la règle aux spécifications exactes de votre écran. Comment utiliser cette règle en ligne ? Je ne vais pas vous expliquer comment utiliser une règle, car j'imagine que cela fait partie de vos compétences. Et la bonne nouvelle, c'est qu'OnlineRulers est très simple à utiliser : Rendez vous sur onlinerulers.com. En cliquant sur la petite roue crénelée à droite vous entrez dans les réglages ce qui vous permet de sélectionner l'unité de mesure centimètres ou pouces (inches) Choisissez l'orientation, horizontale ou verticale, en fonction de la manière dont vous devez mesurer l'objet. Placez l'objet à mesurer à côté de l'écran, et voilà, vous avez la mesure. Alors comme je suis méfiant j'ai voulu vérifier la fiabilité de la règle. Mais comme je n'ai pas de règle, mais toujours des feuilles de papier sous la main, j'ai utilisé ma fameuse technique de la feuille A4. J'ai positionné le côté court de ma feuille à proximité de la règle en ligne et j'ai mesuré 19.8cm... au lieu de 21cm. Le site a probablement mal détecté ma configuration. Pas grave, il est possible de modifier la calibration afin d'avoir une mesure plus juste Ajuster la calibration pour un résultat satisfaisant ! Comme il arrive parfois que l'outil ne détecte pas correctement votre taille ou résolution d'écran, OnlineRulers propose deux réglages ajustables pour la calibration : la densité de pixels (PPI) et la taille en pouces de votre écran. Alors bien sûr, il existe de nombreux sites permettant de détecter les dimensions de votre écran, mais il y a fort à parier que si la calibration réalisée par OnlineRulers n'est pas juste, ces sites là auront également des problèmes... Alors le mieux, c'est encore une fois d'utiliser la technique de la feuille A4. Dans les réglages d'OnlineRulers, il y a un curseur permettant de régler finement le Pixel Density Range (PPI). Munissez vous de votre feuille A4 ou de n'importe quel objet dont vous connaissez précisément l'une des dimensions et faites coulisser le curseur jusqu'à ce que la règle donne la bonne mesure ! Facile et super fiable ! Oui, il est parfois nécessaire de contourner un peu la technologie ! Utiliser votre téléphone comme une règle Autre intérêt de ce site de règle en ligne, c'est qu'il permet de transformer votre téléphone en règle portable. Si l'iPhone et d'autres téléphones permettent d'effectuer assez efficacement des mesures avec une application dédiée, ce n'est pas le cas de tous les smartphones. Ouvrez simplement OnlineRulers depuis le navigateur de votre mobile, ajustez les unités et l'orientation, et si nécessaire, calibrez. Après cela, votre téléphone se transforme en un outil de mesure que vous pouvez emporter partout. Je reconnais que ce n'est pas le site le plus innovant du monde, mais il peut vraiment vous dépanner, et c'est déjà pas mal. OnlineRulers.com
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frzngrapes · 7 months
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Ma psychiatre m'a demandé quelle proportion de mon espace les déchets prenaient. Quelles surfaces. Je lui ai répondu. Tout le sol, mon bureau, mon plan de travail, ma commode, ma table de chevet. Elle m'a demandé de décrire ma table de chevet ce qu'il y avait dessus.
Des cannettes de boissons énergétiques, vides à remplies jusqu'aux deux tiers, environ sept. Bouteilles de bière vides, trois. Une rose, deux transparentes. Et quatre transparentes par terre. Quand quelque chose tombe, ça ne me viens pas à l'esprit de le ramasser. Sa place n'est plus posé sur une surface, mais sur le sol. Le but est de rien déplacer, et ne surtout rien jeter, pour ne pas me demander quand je l'ai déplacé et si je l'ai jeté. Deux bougeoirs. Un stylo. Une tasse Hello Kitty remplie à ras bord de mégots. Quand je n'ai plus de place dans la tasse, je mets les mégots dans un sac poubelle, un de ceux qui sont blancs. Les sacs poubelles dans lesquels il y a des mégots sont tous les deux au pied de la table de chevet, je ne les ai jamais déplacés. Des sticks de filtres vides, au moins trois. Un dans lequel il reste un filtre. Un paquet de feuilles à rouler vide. Des feuilles à rouler déchirées ou trop froissées, deux ou trois. Le carton des filtres en stick. Presque toujours une cigarette à moitié consumée. La carte de visite de ma psychiatre, sur laquelle mon prochain rendez-vous d'il y a longtemps est noté. Au moins une boucle d'oreilles, sûrement deux, de paires différentes. Peut-être une épingle à nourrice ? Une aiguille, ou deux aiguilles. Un rouleau de sacs poubelles, ceux qui sont blancs. Il y a un autre rouleau dans le placard de ma cuisine, des noirs, et un sur la commode, des bleus. Des petits pots de yaourt pour enfants goût fruits artificiels, deux. Des pots de yaourts protéinés, environ huit. Des emballages de kinder maxi en aluminium. Un verre à vin, avec des emballages de Babybel dedans mais pas la cire. Il y avait une bouteille de vin rouge, mais je l'ai mise sur mon bureau. C'est inhabituel, c'est parce que je cherchais à savoir où une de mes bouteilles avait disparu. L'avais-je jetée, puis oublié ? Ai-je oublié autre chose, quelque chose de grave ? J'ai mis les deux bouteilles de vin rouge sur mon bureau, les autres étaient déjà par terre, au pied de mon bureau. J'ai regardé les bouteilles en essayant de me souvenir. Les deux bouteilles de vin rouge étaient identiques. Je ne me souvenais pas avoir acheté deux fois du vin rouge dans le même magasin, deux fois du vin rouge au même prix, deux fois du vin rouge avec la même étiquette. Je fais très attention quand je fais mes courses. Avais-je oublié autre chose ? Quelque chose d'important. Dans le premier tiroir de la table mes paquets de cigarettes vides, quatre, et une boîte de laxatifs, que je n'ai utilisé qu'une fois. Dans le deuxième tiroir, rien. Dans l'espace entre le premier tiroir et la surface de la table, un pot de petit yaourt vide, des photos d'identité, un étuis à lunettes en feutrine, un eye-liner que je n'utilise plus depuis que j'ai arrêté les maquillages gyaru.
Elle ne m'a pas demandé pourquoi je ne jetais rien. S m'a demandé, ça m'a surpris. Elle m'a juste dit que ce n'était pas sain, pas hygiénique, un problème. Je pense qu'elle l'a dit au cas où je ne le sache pas, ça doit être un espèce de protocole.
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christophe76460 · 7 months
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A TOUT PRIX...
Dans une ville des États-Unis, un jeune pasteur était à genoux dans son bureau ; il suppliait Dieu avec larmes d’envoyer le réveil tant désiré. Malgré tous ses efforts pour retenir la jeunesse avec force des fêtes et rallyes, la jolie chapelle aux orgues magnifiques, aux fauteuils capitonnés, se vidait de plus en plus : les paroissiens avaient d’autres intérêts qui les détournaient toujours plus de la maison de Dieu.
Ce soir-là, le pasteur se trouvait en face de deux alternatives : ou bien ce serait le réveil – réveil à tout prix – ou bien il quitterait le ministère pour de bon. Dieu vit la sincérité de sa supplication, et confirma la condition de sa prière : « à tout prix ». Il ne tarda pas à l’exaucer. En cette même nuit, un incendie éclata dans les soubassements de l’édifice, et, avant que les pompiers aient pu intervenir, la magnifique chapelle devint la proie des flammes avec tout son contenu, y compris les mille sermons déjà préparés qui se trouvaient dans les tiroirs du bureau...
Grande fut la consternation générale, comme on peut le penser. Mais le serviteur de Dieu ne se laissa pas paralyser par le malheur. Dès le lendemain, il se mit en route pour obtenir la location d’une grande salle de théâtre. Les invitations furent immédiatement publiées pour le dimanche suivant.
Soit par curiosité, soit par sympathie pour les paroissiens sinistrés, un nombre considérable d’étrangers vinrent se joindre à la congrégation ; entre autres un acteur venu là par hasard chercher un vêtement, fut attiré par les chants inusités en pareil lieu. Le pasteur monta sur l’estrade, pleinement conscient de sa faiblesse, sans aucune note, sans cantique, le tout ayant été consumé dans l’incendie. Mais un autre feu descendit alors sur le vaste auditoire, le feu du Saint-Esprit qui, seul, peut convaincre les hommes de péché, de justice et de jugement. La terrible catastrophe servit de message ; un solennel avertissement retentit alors dans ce lieu profane, annonçant le jugement à venir et pressant les âmes de venir chercher leur refuge au calvaire. Ce fut le commencement du réveil tellement attendu. A ce culte du dimanche matin, où plusieurs trouvèrent le salut, succéda une série de réunions chaque soir de la semaine. L’auditoire allait toujours en augmentant, et bientôt l’immense salle fut pleine à craquer. La bénédiction se répandit comme un feu dans les églises voisines, et, dès lors, il ne fut plus question de « retenir la jeunesse » par des moyens factices. L’attrait de la Croix avait annulé pour toujours toutes les autres attractions, et c’est par centaines que les jeunes de l’endroit s’engagèrent au service du Seigneur.
Permettez-moi de citer, en guise de conclusion, les paroles du missionnaire C.T. Studd, qui consacra son immense fortune à l’œuvre du Seigneur et qui vécut jusqu’à la fin de sa vie dans la simplicité extrême de sa petite hutte africaine : « Nous sommes appelés à aller de l’avant pour Christ, dans ce siècle où les portes des nations nous ont été ouvertes par Dieu. Nous voulons bien prêcher et prier, administrer la Sainte Communion à sa passion, et ensuite ?... Ensuite ?... Nous murmurons tout bas lorsqu’il s’agit d’en venir à l’action : « Je te prie, tiens-moi pour excusé ! » Nous pouvons bien chanter à gorge déployée : « Debout, sainte cohorte, soldats du Roi des rois... » Nous ne sommes après tout qu’une bande de glorieux hypocrites ! »
L’apôtre Paul nous exhorte en disant : « Affectionnez-vous aux choses d’en haut et non à celles qui sont sur la terre, car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Dieu. » (Colossiens 3.3)
C’est là le chemin du réveil. Voulons-nous y parvenir ? Y parvenir « à tout prix » ? Alors, il nous faut « considérer toutes choses comme une perte, afin de gagner Christ. »
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