#tonton julien

[alexlacquemanne]

Janvier MMXXIII

Films

Airport (1970) de George Seaton avec Burt Lancaster, Dean Martin, Jean Seberg, Jacqueline Bisset, George Kennedy, Helen Hayes et Van Heflin

L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux (The Horse Whisperer) (1998) de Robert Redford avec Scarlett Johansson, Robert Redford, Kristin Scott Thomas, Sam Neill et Dianne Wiest

Boulevard du crépuscule (Sunset Boulevard) de Billy Wilder avec William Holden, Gloria Swanson, Erich von Stroheim, Nancy Olson, Fred Clark et Lloyd Gough

Écrit sur du vent (Written on the Wind) (1956) de Douglas Sirk avec Rock Hudson, Lauren Bacall, Robert Stack, Dorothy Malone, Robert Keith et Grant Williams

Take Me Out to the Ball Game (1949) de Busby Berkeley avec Gene Kelly, Frank Sinatra, Esther Williams, Betty Garrett et Edward Arnold

Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner avec Lino Ventura, Bernard Blier, Jean Lefebvre, Francis Blanche, Venantino Venantini, Robert Dalban, Sabine Sinjen et Claude Rich

Un air de famille (1996) de Cédric Klapisch avec Jean-Pierre Bacri, Wladimir Yordanoff, Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin, Claire Maurier et Agnès Jaoui

Le Rapace (1968) de José Giovanni avec Lino Ventura, Rosa Furman, Xavier Marc, Aurora Clavel, Augusto Benedico et Marco Antonio Arzate

Aimez-vous Brahms… (Goodbye Again) (1961) d'Anatole Litvak avec Ingrid Bergman, Anthony Perkins, Yves Montand, Jessie Royce Landis, Pierre Dux, Jackie Lane et Michèle Mercier

Par-dessus les moulins (La bella mugnaia) (1955) de Mario Camerini avec Vittorio De Sica, Sophia Loren, Marcello Mastroianni, Paolo Stoppa et Yvonne Sanson

Y a-t-il enfin un pilote dans l'avion ? (Airplane II: The Sequel) (1983) de Ken Finkleman avec Robert Hays, Julie Hagerty, Lloyd Bridges, Chad Everett, William Shatner, Sonny Bono et Chuck Connors

Pouic-Pouic (1963) de Jean Girault avec Mireille Darc, Louis de Funès, Roger Dumas, Jacqueline Maillan, Christian Marin, Philippe Nicaud, Guy Tréjan et Daniel Ceccaldi

Papy fait de la résistance (1983) de Jean-Marie Poiré avec Christian Clavier, Michel Galabru, Roland Giraud, Gérard Jugnot, Martin Lamotte, Dominique Lavanant, Jacqueline Maillan, Jacques Villeret, Julien Guiomar et Jacques François

Votez McKay (The Candidate) (1972) de Michael Ritchie avec Robert Redford, Peter Boyle, Don Porter, Allen Garfield, Karen Carlson et Michael Lerner

American Graffiti (1973) de George Lucas avec Richard Dreyfuss, Ron Howard, Paul Le Mat, Charles Martin Smith, Candy Clark, Mackenzie Phillips, Cindy Williams, Wolfman Jack, Bo Hopkins et Harrison Ford

Duel (1972) de Steven Spielberg avec Dennis Weaver, Jacqueline Scott, Eddie Firestone, Lou Frizzell, Gene Dynarski, Lucille Benson et Tim Herbert

Le jour se lève (1939) de Marcel Carné avec Jean Gabin, Jules Berry, Jacqueline Laurent, Arletty, Arthur Devère, Jacques Baumer, Mady Berry et Bernard Blier

Le Grand Alibi (Stage Fright) (1950) d'Alfred Hitchcock avec Jane Wyman, Marlène Dietrich, Michael Wilding, Richard Todd, Alastair Sim et Sybil Thorndike

Capitaine sans peur (Captain Horatio Hornblower R.N.) (1951) de Raoul Walsh avec Gregory Peck, Virginia Mayo, Robert Beatty, James Robertson Justice, Denis O'Dea, Moultrie Kelsall et Stanley Baker

Jack Reacher: Never Go Back (2016) d'Edward Zwick avec Tom Cruise, Cobie Smulders, Danika Yarosh, Jessica Stroup, Aldis Hodge et Patrick Heusinger

Confidences sur l'oreiller (Pillow Talk) (1959) de Michael Gordon avec Rock Hudson, Doris Day, Tony Randall, Thelma Ritter, Nick Adams et Julia Meade

Fanfan la Tulipe (1952) de Christian-Jaque avec Gérard Philipe, Gina Lollobrigida, Noël Roquevert, Olivier Hussenot, Marcel Herrand, Geneviève Page et Sylvie Pelayo

Les Sentiments (2003) de Noémie Lvovsky avec Nathalie Baye, Jean-Pierre Bacri, Isabelle Carré, Melvil Poupaud, Agathe Bonitzer : Sonia et Virgile Grünberg

Moby Dick (1956) de John Huston avec Gregory Peck, Richard Basehart, Leo Genn, Orson Welles, Harry Andrews et James Robertson Justice

Tueurs de dames (The Ladykillers) (1955) de Alexander Mackendrick avec Katie Johnson, Alec Guinness, Cecil Parker, Herbert Lom, Peter Sellers et Danny Green

Séries

Kaamelott Livre IV, I

Tous les matins du monde : 1re partie - Tous les matins du monde : 2e partie - Raison et Sentiments - Les Tartes aux fraises - Le Dédale - Les Pisteurs - Le Traître - La Faute : 1re partie - La Faute : 2e partie - L’Ascension du Lion - Enluminures - Les nouveaux frères - La jupe de Calogrenant - La dent de requin

Friends Saison 3, 4, 5

Celui qui était laissé pour compte - Celui qui s'auto-hypnotisait - Celui qui avait un tee-shirt trop petit - Celui qui courait deux lièvres - Celui qui avait un poussin - Celui qui s'énervait - Celui qui avait un truc dans le dos - Celui qui voulait être ultime champion - Celui qui allait à la plage - Celui qui soignait les piqûres de méduses - Celui qui ne voyait qu'un chat - Celui qui avait des menottes - Celui qui apprenait à danser - Celui qui avait une nouvelle copine - Celui qui fréquentait une souillon - Celui qui poussait le bouchon - Celui qui était dans la caisse - Celui qui savait faire la fête - Celui qui draguait au large - Celui qui posait une question embarrassante - Celui qui gagnait les paris - Celui qui se gourait du tout au tout - Celui qui n'avait pas le moral - Celui qui jouait au rugby - Celui qui participait à une fête bidon - Celui qui avait la chaîne porno - Celui qui cherche un prénom - Celui qui faisait de grands projets - Celui qui va se marier - Celui qui envoie l'invitation - Celui qui était le pire témoin du monde - Celui qui se marie : première partie - Celui qui se marie : deuxième partie - Celui qui avait dit Rachel

Inspecteur Barnaby Saison 1, 2, 3

Meurtres à Badger's Drift - Écrit dans le sang - Mort d'un pantin - Fidèle jusqu'à la mort - Le Masque de la mort - L'Ombre de la mort - Le Bois de l'étrangleur - Le Terrain de la mort - Et le sang coulera - Mort d'un vagabond - Angoisse dans la nuit - Le Jour du jugement - Le Mystère de la tombe

Coffre à catch

#96 : Bonne année + Kelly Kelly + LA SURPRISE ! - #97 : L'enclumette à la ECW !! - #98 : Kofi Kingston est-t-il invincible? - #99 : Avec le Big Show, c'est Mieux! - #100 : Avec Sturry, la ECW reste forte !

Columbo Saison 3

En toute amitié

Affaires Sensibles

Le bal tragique de Saint-Laurent-du-Pont - "Soleil Vert" : un mirage écologique à Hollywood - Le calvaire de Scorsese - L'aventure Canal Plus - Les dents de la mer - Redoine Faïd : le braqueur aux multiples visages - 4 août 1962, chute et mort de la femme éternelle - Los Angeles, les émeutes de 1992 : chronique d’un drame annoncé - O.J. Simpson, une histoire américaine - 17 avril 1961 : La baie des cochons - Lockerbie, 1988. La mort tombe du ciel

Doctor Who

Le Pouvoir du Docteur

L'Agence tous risques Saison 1

Les gladiateurs - Enlèvement à Las Vegas - Bagarre à Bad Rock - Racket - Bataille rangée - Et c'est reparti - Pour le meilleur et pour le pire

Le Voyageur Saison 2

Le roi nu - Au bout de la nuit

Spectacles

Concert du Nouvel An en direct du Musikverein, à Vienne (2023)

Le Mari, la Femme et la Mort (1970) d'André Roussin avec Bernard Blier, Jacqueline Gauthier, Denise Grey, Claude Nicot et Harry-Max

Livres

Le seigneur des anneaux Tome 1 : La communauté de l'anneau de J.R.R. Tolkien

Détective Conan : Tome 4 de Gôshô Aoyama

Watchmen : Tome 1 d'Alan Moore et Dave Gibbons

Les aventures de Tintin : Tome 18 : L'Affaire Tournesol d'Hergé

Des dragées sans baptême de Frederic Dard

Kaamelott : Tome 10 : Karadoc et l'Icosaèdre d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Roberto Burgazzoli

Goldboy N°11 : Aventure en Amazonie

[urbanxreporterz]

🍀🎲🎉♦️♣️ Les amiZzz ! Le tirage au sort aura lieu ce vendredi 30 septembre 2022 à 20h30 sur @urbanXreporterz Instagram.com/urbanXreporterz @comandb & @urbanXreporterz s’associent pour vous faire gagner 2 billets d’entrées gratuites pour assister au spectacle de PATSON - le tonton flingueur @patson_officiel ⚠️ REPORT DE DATE ⚠️ Changement de date et de salle PATSON - le tonton flingueur le vendredi 21 octobre 2022 à l’espacé Julien sur marseille Sharing 🤝 partager 😃 positive 🔋 energy 📅 📺🤜🏻🤛🏾 ✌️🤝😍🤣 👉🌍 https://urbanxreporterz.com 🌎👈 #urbanXreporterzÉLODIE #MRbenoitDtv @urbanXreporterz #urbanXreporterz #UrbanXreporterzCALENDRIER #urbanXreporterzEVENTS #urbanXreporterzCONCOURS #urbanXreporterzCONTEST #urbanXreporterzFUN #patson #onemanshow #humour #concours #contest #match #play #jeu #jeuconcours #jeux #jeuxconcours #agagner #gagner #sondage #urbanXreporterzSONDAGE #event #evenement #évènement #urbanXreporterzGENTLEMEN #gentlemen #urbanXreporterzPATSON (à Marseille, France) https://www.instagram.com/p/CjI6Ep2Mffa/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[letontoncinephile]

Le point ciné JUIN 2022

Le point ciné du Tonton Juin 2022 #topfilms #coupsdecoeur #aucinema

En juin : 14 longs-métrages + 2 courts-métrages + 8 saisons de séries = 73 heures…Petit résumé ! Un beau film de Claire Denis… Beau Travail (Claire Denis, 1999) 4/5 Un court-métrage trop mignon… L’Odyssée de Choum (Julien Bisaro, 2020) 4/5 Un film adapté d’un livre (réussi)… Ouistreham (Emmanuel Carrère, 2021) 4/5 Un film adapté d’un livre (moins bien réussi)… A perfect enemy (Kike…

[thedoctorisadhd]

what's once on this island about?

i hope ur happy anon, bc this took me literally like six hours im not exaggerating even a little

short answer: so u take the original plot of the littlest mermaid and u plunk it down rIGHT in the middle of 1920s haiti, right

long answer (like, REALLY long answer. like REALLY long. im sorry i dont know how to summarize when there are so many good things):

“there is an island where rivers run deep…”

“where the sea, sparkling in the sun, earns it the name, ‘jewel of the antilles.’”

“an island where the poorest of peasants labor —”

“— and the wealthiest of the grand hommes lay.”

“two different worlds on one island!”

“the grand hommes, owners of the land and masters of their own fates.”

“and the peasants, eternally at the mercy of the wind and sea, would pray constantly to the gods.”

those are the four storytellers, beginning the play. lydia started the first line, then abby, then dori, then natalie, and repeat.

(oh yeah, also this is the jr version. also, i dont know everything bc i was backstage the majority of the time)

so the gods that the beach people / peasants are dancing to, theres 4 of them. asaka (played by lavanya in our production) is the goddess of the earth, erzulie (played by luke who’s closeted, so i change it to a god, erzulio) beautiful goddess of love. agwe (played by ian) is the god of the sea, and papa ge (eli, of course, and it’s literally pronounced papa gay), my personal favorite, is the sly demon of death

and this is all described in the first number “we dance”

stay tuned yo it gets better.

(its so good. dont ever listen to any version besides the chatham one i can guarantee you that any non-eli papa ge, any non-luke erzulie / erzulio, any non-lavanya asaka, any non-ian agwe, any non-lydia / dori / abby / natalie storyteller will not be as good)

so basically theres this storm, and in this storm is a little girl and the gods are like “no papa ge we’re not killing her you fuck” and they irresponsibly plunk her down in a tree

and so tonton julien (ben) and mama euralie (izzy) come along & are like “holy shit a kid” (and this girl is crying her eyes out of course bc as mr adam creatively put it to the girl who played young ti moune, “you were just dropped in a tree by some randos you’ve never seen before in your entire life”) but like theyre poor and dont have a lotta food and shit so they try to leave but the gods, showing some small modicum of responsibility, like, use the force to pull them back. so these peasants adopt ti moune and name her ti moune and theres a whole big number about her growing up called “one small girl” which i quite like actually

then ti moune is grown up (sammie) and she sings about like “whats my destiny yo” all naive in “waiting for life” and sees a car which is a big ol lead-in to the next number. which brings us to

so in the beginning of “rain” theres this HILARIOUS section of dialogue with the gods picking mangos and here it is bc i cant not include it man

asaka: 🎵 pick a mango! 🎵

agwe: 🎵 a juicy mango! 🎵

erizulie: 🎵 a lovely mango! 🎵

papa ge, being Himself: 🎶 a poison mango! 😈 🎶

[all of the other gods look at papa ge]

anyway, after that theyre all proposing things to do to get ti moune less naive, with such wonderful suggestions from these dumbasses as “splash her with a wave” and “scare her half to death”. and then erzulie is like “yeah u do that imma give her what she wants bye” and the other gods are like “????????????” and shes just like “You Heard Me” and just goes like “Love Can Conquer Anything!!!!!!! :)))))))) ❤️💞💕💚💛💙💜💝💘💗💖❣️” and papa ge is like “that’s bullshit this whole thing is bullshit that’s a scam fuck the love here’s like two reasons why” and they argue (and asaka remarks that this is “more amusing than mangos”) and the gods are all “HMMMM🤔🤔” and then they all go “A BET!”

and the gods all start like pitching in to set up this bet, so like erzulie gives her strength and asaka’s gonna guide her but then papa ge interrupts like “IM GONNA MAKE HER CHOOSE” and then johnny boy i mean ian i mean agwe then calls dibs on choosing the circumstances of the bet

and u remember that car right? well ian agwe is like “that. thats the place where the 2 worlds meet” and he creates a big ol storm and in the song he says (one of my favorite lines, actually) “rain makes the road such a dangerous place” (he did amazing in that song but i feel kinda bad bc like. he was overshadowed by the other gods who are all incredible singers, and parts of it were too low for him. like, eli can sing as high as he did, but ian really cant sing that low)

also they used the fish flags from the seussical two years ago when sammie’s sister sidne played the cat in the hat. i always found it hilarious that dori of all people they couldve chosen played a fish

ANYWAY. so the car is goin down the road and crash oh no a car accident. totally not what agwe was (shot)gunning for

and so ti moune pulls this guy outta the car right, and — by the way, now we’re in this super intense number called “pray” — and this song is real fuckin good alright.

my opinion upon this is based almost solely on the fact that within the first like ten lines of this epically long song a peasant, talking about the guy that got pulled outta the car (daniel, that’s his name), says, literally: “papa ge wants him!” i will remind you that papa ge is pronounced “papa gay” and what makes it even more astronomically fuckin funny is that both hank, the guy that played daniel, and eli, who as u may know played papa ge, are mlm.

anyway no one wants to help daniel even tho he’s Actively Dying bc Fuck The Grand Hommes, Am I Right Guys We Cant Do Anything Were Peasants And There Is Sanctity That We Must Never Talk To Look At Or Think About A Single Grand Homme, Ever™ but ti mounes gonna help him bc Fuck You Guys and she keeps him alive while tonton julien goes to find the guys family after she’s Finally persuaded the guy to do this

and ti moune doesnt sleep for Three Fucken Days by the way. thats important in the next number

also daniel is supposed to be good looking so of course ti moune Falls In Love With Him despite never having seen him before in her entire life, and also hes unconcious the Whole time. i dont understand the heterosexuals

anyway, tonton juliens at the gate to daniels family hotel and he’s like “pls let me in i need to speak to monsieur beausome!” and the gatekeepers like “get the fuck away my guy” and hes like “no but its urgent!!” and the gatekeeper SLAPS BEN [LAST NAME REDACTED]*

so ben i mean tonton recovers and like seriously gets down on his knees and begs and the gatekeeper is still like “FUCK! NO!” and then ben fucking [last name redacted]* SCREAMS SAVAGELY “I HAVE FOUND HIS SON!” HOO BOY

and then at the end of pray you hear a long high note and then one specific girl takes it HIGHER ????????? idk who it is for sure but im willing to put my money on lavanya bc jesus christ can that girl sing

*people always say bens full name when referring to him for some reason, so it’s not ben bc which ben? it’s not ben b. it’s ben [last name redacted].

so pray goes ge STRAIGHT into forever yours. not the reprise, thats later.

so. forever yours. in a STUNNING turn of events (sarcasm. absolutely the least stunning thing after the whole “papa gay wants him” in pray), the VERY fucking FIRST LINE IN THIS WHOLE FUCKING STUPID HEARTFELT SONG is literally ti moune saying “i am a tree, holding away the storm”. are you fucking serious. are you kidding me. you waste the first line on that monstrosity,

anyway basically what happens in this is ti moune is singing about tending to daniel here it is

i am a tree holding away the stormhere in my arms i’ll keep u safe and warmeven the gods wont dare to cross this linewhere my life is forever yoursand you are mine

and on that last word, “mine”, papa ge joins in and it is fuckin CHILLING, not LEAST bc eli has the voice of a fuckin angel (and sammie too, but i think eli’s is just slightly better)

so eli stalks in and the first thing papa ge does, in a True demonstration of the gay / ge agenda, is Drag The Het.

(then he goes on to say “this boy is mine”)

so eli’s also got a knife (a fake one) and this is another Important Thing so yeah

anyway sammie ti moune should “TAKE MINE FOR HIS.” (her life she meant) and papa ge is SHOOK. he just … stops. “wot”

so yeah. ti moune, in one of The most IMPRESSIVE displays of heterosexual tomfoolery and ridiculousness i have Yet Seen (scene), trades her life for this Complete Fuckin Stranger she pulled out of the car wreck whomst has not as of yet spoken a Single word to her bc HE’S BEEN UNCONSCIOUS THE WHOLE TIME!?

and heres another good line, the first gay daddy nico diangelo himself eli papa gay papa ge has had since “wot”: i am the road / leading to no return

(and this is also where eli goes REALLY high. like not for basically everyone else, but for him)

then daniels two dads apparently, grant and hugh, pick him up and take him back to the hotel and ti moune is like “NOOOOOOO” and makes mama and tonton let her leave to go find daniel, and frankly i am not very interested in this specific part of the song so fuck that i skipped it lmao lets get to lavanyas fuckin SOLO

alright. “mama will provide”. exactly what it says on the tin, taking it into account that asaka would be mother earth i guess

really all this one is is lavanya’s fuckin angelic voice and What Exists In Nature, and i cant very well put lavanya’s voice down on the page for yinz to hear can i? the only notable thing i can really think of besides this next piece a dialogue  will share w u is in the beginning theres a bunch of ensemble doing weird repeating acapella and some hopping in like frogs. “COO COO coo coo cOO COO COOO” “SHAH shaSHA-ah” “buuuuu BUM! BUM! bum” its sounds slightly weirder than it is

anyway here’s the best dialogue:

everyone: MOSQUITOS??

asaka: HA!

ACT TWO HERE WE FUCKIN GO ALRIGHT

ok, so ti moune finds daniel who doesnt know who she is bc, you know, he was unconscious the entire time. she gets him to know she was the one who nursed him tho. and they go to the front of the stage and ti moune sits and daniel puts his head on her lap. again, poor hank

now, “human heart”. jesus. i have literally cried over this song.

so erzulie goes out on stage to where hank is slowly suffering, probably, and sings this GODS DAMN BEAUTIFUL SONG about like, love n shit i guess. the storytellers and the other three gods act as a sort of choir. that’s pretty much all there is to say about human heart tho. moving on

ok so for “pray (reprise)” the gossipers (which are apparently supposed to be the storytellers, but fuck that thats lame, give my Cool Hoes lianna and taylor parts tbh) go out on stage and sing about how daniel is spending all his time w a peasant and shes a witch and yadda yadda yadda. and then theres some lame romance shit that i dont have fuckin time for

anyway, the song culminates with daniel’s father comin out on stage (lmao). which father, u ask? he had two of em? well that was grant and hugh, this one’s iain. conclusion: daniel has three polyamorous gay dads. this is the gayest production of a play ive ever seen. i mean papa ge? “papa ge wants him”? the fact that tonton means uncle so mama euralie and tonton julien arent married? “this boy is mine” coming from daddy gay himself? the fact that daniels last name means beautiful man? the “beautiful god of love” (as luke said, refusing to misgender himself in his introduction U GO LUKE)? the fact that out of the main cast (the 4 gods, the 4 storytellers, daniel, ti moune, andrea, mama euralie, and tonton julien) there are literally eight (8) actors who Arent straight (id bet that two others arent str8 and or / cis as well but im not sure)? just change daniel to danielle and itll be perfect

ayway daniel’s 3rd dad comes out on stage and tells him to stop this nonsense, young man ANYWAY NEXT SONG

in “some girls” the rich guys at the hotel all are doing a really lame colorless boring dance. then this girl andrea (ava) comes out and sings about the rumors about ti moune, that she’s stupid or wild, and daniel tells her to stop, then ti moune arrives and andrea really condescendingly asks her to dance for everyone and daniel encourages ti moune

so ti moune does a slow lame dance and then it gets loud and wild and fun! then when she’s done andrea goes to daniel and is like “she’s in love with you you oblivious fuck if you care at all you’ll tell her —” (unclear about what he’s caring about) and andrea is interrupted by ti moune who’s like “HI I HEARD MY NAME WHATCHA WANT ANDREA” and daniel goes and breaks her fuckin heart right

how he does this is he’s like “oops sorry i thought u would realize that we could never marry bc andrea and i are already engaged (since we were babies)”. daniel demonstrates an amazing amount of calmness about being forced to marry this girl he’s known all his life, and an incredible amount of insensitiveness bc TI MOUNE WAS NEVER FUCKIN TOLD THAT HE WAS ENGAGED. honestly i loathe literally every single character in this play except for the gods and the storytellers lmao

OK NOW FOR MY FAVORITE FUCKIN ONE WOW :~)

the reprise of forever mine.

so. ti moune is alone on stage and she goes like “gods please are u listening help me” and then. u hear. eli’s fucking amazing evil laugh and the gay himself appears

and he’s like u gotta keep ur promise ti moune im here to collect on that Soul

did i mention elis voice is beautiful? no i dont care, im sayin it again, eli [last name redacted] has the voice of an angel

anyway he’s like “u gave him ur soul, now u have to PAY” (the line he used here is “i am the price you’ll pay” and that sounds cool as shit)

and so “father homosexual,” as he was dubbed by luke, takes out his knife and sings “your life is forever mine” and holds the knife to ti mounes neck and ti moune yells “PLEASE DONT” and and and

he stops.

“trade your life for his.”

so papa ge gives her the knife and tells her to go stab daniel and he sings “i am the road that leads to no return” as he walks to the left side of the stage, and erzulie appears at the right side and sings human heart as papa ge continues with his verse from the first forever mine as ti moune struggles towards and away from daniel, straining, being pulled by opposite forces, love and death, and the two unite in singing “forever mine!” and ti moune casts the knife to the floor and screams “NO!”

and the music stops

and daniel sees the knife and picks it up

and says “why?!”

(fuckin bitch shoulda stabbed him when she had the chance)

and ti moune gets cast out and like, withers away at the gate neither eating nor sleeping, and then daniel comes to the gate with andrea at his wedding and sees ti moune and gives her a coin when she runs after him, and she collapses and the gods, sOMEHOW GAINING SOME MINISCULE VIEW OF THE CONSEQUENCES OF THEIR FUCKIN ACTIONS, all start CRYING. (erzulie won the bet) and erzulie hugs ti moune and papa ges probably off somewhere feeling sorry for himself bc you cant fuckin see him in the footage (nah, he’s off at the side of the stage with the other two gods neither of whomst you can see either), and mama euralie comes to sing this sad and pretty number “part of us” and then tonton and baby ti moune arrive as well for some fuckin reason,

and mama euralie says,

“and then the gods blessed her and turned her into —”

and then the gods hit their staffs on the floor (ian a bit gentlier bc his was falling apart bc he wouldnt stop fucking licking the fucking ribbons, ian) “a tree!”

and the tree comes up, forwards this time thankfully (phew) and and the tree fuckin cracks the walls of the hotel, get rekt scrubs, and the tree fuckin stalks daniel i guess, and daniels son sits by the tree and looks up and theres a peasant girl in its branches, and ti moune touches everyones hearts and also their livers, and everyone starts singing “why we tell the story”

also, fun story real quick, ive never actually seen eli dab i dont think (that’s something i need to accomplish real soon), and the dance he went off to the side and did with like, lydia, and agwe and ben [last name redacted] and daniels son and hugh — i guess all the boys in musical theater and also lydia, and the dance they have to do looks pretty damn like dabbing, and like, eli’s holding his staff so he cant do a true dab, really, but he can do a one armed one — but no. his dancing looks more like fuckin waving. ben [last name redacted] is dabbing, daniels son is dabbing, im like 80 percent sure ian’s dabbing directly behind eli, gloria’s dabbing in the back, but no, nOT ELI. im pretty sure he’s deliberately avoiding it smh

anyway

whOOP exciting parts over. now it’s time for Sad Half Circle Around Tree Girl i guess

“the stories that we weave,” and the storytellers and daniel’s son and the peasant girl in tree moune’s branches all come to the front and —

“there is an island where rivers run deep…”

[foxravenblog]

Aujourd'hui, Tonton Fox vous parle d'un livre difficile.

Cosmogonie, de Julien d'Huy.

L'auteur est un historien qui a travaillé sur les mythologies comparées.

Son travail comporte deux originalités. D'abord, il ne se limite pas à une culture particulière, les indo-européens par exemple, mais explore les mythes du monde entier à toute les époques.

Ensuite, il utilise des logiciels informatiques pour comparer les récits. Des listes d'éléments sont établies. Si un élément est présent, il est codé un, sinon, il est codé zéro. Ainsi, le logiciel trace des arbre philogénétiques qui mettent en rapport des récits par leur ressemblances.

De cette manière, tout un travail d'analyse permet de rassembler des histoires, en apparence différentes, sous une même catégorie.

Attention, le livre comporte des passages ardus. En particulier les explications sur les méthodes  et le fonctionnement des logiciels.

Quand je l'ai lu, il m'a apporté de nouvelles perspectives. En particulier l'antiquité prodigieuse des récits. Une échelle de plusieurs dizaines de milliers d'années est un minimum. En mettant en relation la proximité des légendes et les mouvements de populations, (franchissement du détroit de Bering il y a 40 00 ans), les implications sont vertigineuses.

J'ai également apris l'existence de catégories de mythes que j'ignorais jusque là. La ménagère mystérieuse, le plongeon cosmique, le soleil caché, m'étaient tout à fait inconnus.

C'est une lecture ardue. Il est conseillé de le relire pour bien assimiller. Mais ça en vaut la peine.

Pour ceux qui pense qu'il y a eu une tradition primordiale, ce livre nous aide à imaginer ce qu'elle a pu être.

[claudehenrion]

“ 不见 不闻 不言”(bù jiàn, bù wén, bù yán), ou l’histoire des trois petits singes : l'aveugle, le sourd et le muet..

.  Depuis un an, si on met à part ce 5 décembre (dies irae, dies illa !), nos samedis sont oblitérés par les ''gilets jaunes'' et les ''Black boks'', et nos préoccupations tournent plutôt autour des débats sur la PMA officialisée et la GPA  -qui va suivre. Mais le plus gros problème, pour les français, reste l'évolution mortifère de l’islam, niée par la classe politique et par la Presse... ''Retour sur images'', pour ‘’piger’’ un peu (sauf ‘’politiquement’’, car là, les carottes sont sans doute cuites. Nous aussi !) :

  Il y a deux mois, (le 28 septembre), Eric Zemmour avait prononcé à la ''Convention de la droite'' un discours digne d'être écouté et entendu : il avait ''tapé'' dans le mille (d'où les hurlements de ceux qui font profession de toujours se tromper dans leurs analyses et dans leurs conclusions) en dénonçant la double menace d'une immigration massive couplée à l’agressivité permanente de l'islam en France. Les ennemis de toute solution harmonieuse réclament sa tête pour ''incitation à la haine'' ce qui est un comble : c'est lui qui est la cible permanente de leur haine. Mais dans ce sens-là, le mensonge est excusé, voire recommandé par les autorités politiques et judiciaires : plus c'est faux, plus c'est juste, plus c'est détestable, plus ils aiment et plus c'est une impasse, plus ils se précipitent !

  Dans la minute qui a suivi le récent attentat de la Préfecture, l'ineffable Sinistre de l'intérieur, ''Tonton Cristobal'', et l'inécoutable Sibeth Ndiaye, porte(?)-parole(?) du Gouvernement, se sont répandus en ''fake news'' : ''Ces faits (sic !) ne relèvent pas du terrorisme, à ce stade des investigations''. Et d'ailleurs, ''Il n’y a pas d'indication d'une éventuelle radicalisation''. A ce niveau de déni, ce n'est plus de l'aveuglement volontaire, c'est de la connerie. Après chaque attentat, c'est le même blabla : c'est un ''déséquilibré'', une ''personne sans histoire'', un ''fonctionnaire modèle'', que ses voisins ''trouvent gentil : il disait bonjour''. Et sa maman ‘’ne peut pas le croire’’...  

  Mais on tait les évidences d'une appartenance à la mouvance islamiste : le mode opératoire (attaque au couteau), le profil de l’assassin (converti à l’Islam depuis 11 ans et non 18 mois comme répété en boucle), la fréquentation assidue d'une mosquée salafiste dont le prédicateur est connu de la DGSI... un voisin, policier, qui l'a entendu hurler ''Allahou akbar'' la nuit précédent l’attentat, un ''c'est bien fait'' après Charlie-hebdo, des vidéos de prêches radicaux sur son compte Facebook... Il faut être Castaner pour raconter que ''le tueur n’a jamais présenté de difficulté comportementale, ni le moindre signe d’alerte'', ou Sibeth Ndiaye pour affirmer que ''se convertir à l'Islam n'est pas un signe de radicalisation'' (mais au catholicisme ? Oui bien sûr. Tout le monde sait ça !). Combien de morts à cause de leur satané ''pas d’amalgame'' faudra-t-il pour qu'ils ouvrent enfin les yeux ? L'image des trois singes chinois s'impose, ici : surtout, ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire...

  Les chiens de garde de la pensée unique ont beau se donner un mal fou pour faire avaler le  ''dérangement psychiatrique'' (sic !), l’affaire est devenue ce qu'elle est, un scandale d’Etat : un converti radicalisé travaillait depuis des années au cœur d'un des services les plus confidentiels du pays, où il avait accès aux fichiers des radicalisés, des infiltrés, des espions et des ''taupes''... Dans toute démocratie digne de ce nom, cela aurait entraîné la démission du ministre responsable, voire celle du gouvernement. Mais tout ce qui est important ne compte pas, en Macronie, ce pays où la seule urgence, c'est de ne pas amalgamer ni de  stigmatiser ce qui ne serait, à en croire ces irresponsables, qu’un regrettable accident... ou ''la faute à pas de pot'' ! D'ailleurs, plus personne n'en parle !

  Pour tenter de noyer ce gros poisson, il fallait vite fabriquer un autre scandale, le premier truc qui passait ! C'est tombé sur un inconnu (coup de bol, c'est un élu RN !), qui avait enfreint le ''credo franc-macronique'' (''ni de droite... mais tout de même pas mal à gauche''), en osant une critique contre une islamiste (ou -ique, on ne sait plus !), alors qu'en Macronie, il faut jeter un voile sur tout voile (partout ailleurs, on dit ''tchador'’ et c’est un étendard de haine) et ne pas stigmatiser ! Toute parole non-codifiée est un péché d'amalgame qui mérite une polémique d'ampleur nationale ! Haro, donc, sur le transparent et inexistant Julien Odoul ! A quel niveau de nullité sommes-nous tombés pour que la France attache la moindre importance à un incident aussi dérisoire, et monopolise tous les médias, le gouvernement et le Président de la République, qui est sommé de trancher !

  Partout, la même obsession : ménager l’islam, caresser les croyants dans le sens du poil, rappeler que l’islam n’est pas un problème puisque que c'est nous qui sommes le problème.  Pour la classe politique et les journalistes, et la ''justice'' (?) trop souvent, la soumission à l'idéologie dite ''correcte'' a tourné à la tyrannie. Même Gérard Larcher vire de bord et ne voit plus aucun problème au voile dans la rue, tandis qu’Emmanuel Macron (qui vient de dégoter un mot très laid, ''coagulation'', pour parler de... ce dont il ne faut pas parler !) ''refuse tout raccourci fatal entre terrorisme et islam'' (NDLR : fatal pour qui ?). Il faut, ose-t-il dire, ''lutter contre le communautarisme sans rien stigmatiser'', sauf ceux qui ne pensent pas comme lui. Traduction : il est important de ne rien faire, sauf culpabiliser les ''souchiens'' dans leurs antres. Le fils de la dame-au-tchador serait ''traumatisé'', disent-ils. C'est peut-être vrai, mais infiniment moins que les orphelins qui pleurent leurs parents égorgés à coups de couteau. Mais pour eux... silence radio / télé : défense de stigmatiser. 

  Dieu merci, les français ne sont pas aussi idiots que le croient leurs représentants, et les commentaires postés sur le ''net'' sont clairs : on ne veut plus de cette soupe infâme qui prétend nous convaincre qu’il n’y a pas de problème avec l’islam, que l’ennemi c’est le radicalisme, qui n'aurait rien à voir, etc.. (le catholicisme et les Croisades ne font qu'un, mais l'islam n'a aucun lien avec l'islamisme, ''cons se le disent'' !), que la France n'est qu'une terre d’accueil et autres bobards ressassés ad nauseam. Au quotidien, les Français voient bien que l'islamisation rampante est une réalité, ils voient le communautarisme devenir tribalisme, et ils n'acceptent plus la lâcheté de représentants qui n’osent ni regarder le mal en face ni dire son nom.

  Un néo-intégrisme journalistique et politique prétend ne voir dans l’islam qu'une religion de paix, de tolérance et d’amour. C'est à croire que les musulmans seraient tous devenus des chrétiens comme les autres ! Et ce nouvel ''acte de foi'', bien qu'inventé, ne saurait être contré, sous peine de condamnation morale : les atteintes à la liberté de penser et de s’exprimer quand on touche à l’islam se multiplient. Devant cette menace, la France se déchire et le Pouvoir demande de ''faire bloc dans l'union sacrée'', ce qui est un comble : c'est lui qui ''sème la zizanie''. C'est l'arroseur arrosé qui, au nom d'une néo-religion qui se dit laïque et d'une tolérance intolérante, accepte des tenues provocatrices... et criminalise tout ce qui s’oppose à elles ! La ‘’justice’’ (sic !),, instrumentalisée, mutile la liberté d’expression et favorise la sécession, le communautarisme et une discrimination sexuelle évidente (Marlène Schiappa n'a, bien sûr, rien remarqué !).

  Toutefois, à la surprise des aveugles au pouvoir, un sondage Elabe vient de révéler que, à 71%, nous donnons raison au Ministre de l’Éducation Nationale contre Sibeth Ndiaye, la porte-bobards du gouvernement : ''le voile n’est pas souhaitable dans notre société''. Les français sont bien moins tordus et moins lâches que ceux qui les dirigent ! ‘’Allons, enfants de la Patrie...’’.

H-Cl.

[merzbow-derek]

POST-SCRIPTUM 926

SON NOM D’AGITATION FRIIITE DANS CALCUTTA DÉSERT

Ceci n’est pas tout à fait la couverture (sous-titre à modifier, photo à centrer, etc.), mais c’est l’idée.

Par contre ceci est un descriptif plus ou moins précis établi par l’éditeur Lenka lente : 

Dans ce dernier des trois volumes qui constituent Agitation Frite, saisissant panorama de l’underground musical français, Philippe Robert documente les pratiques de l'underground national. Entre autres composé pour moitié d'entretiens (26 interviewés parmi lesquels François Tusques, Joëlle Léandre, Delphine Dora, Jean-Baptiste Favory, André Jaume, Gérard Siracusa, Daniel Deshays, Philippe Carles, Théo Jarrier…), ce livre renferme également plus de 500 chroniques de disques conseillés.

Du rock psychédélique au free jazz, de la poésie sonore à l'électroacoustique, de l'acid folk au Rock In Opposition, de la library music à la "chanson expérimentale", des anti-yéyés aux outsiders, du punk-rock à l'indus, des field recordings à l'improvisation libre, du hardcore au post-rock, du noise au black metal...

Ou Pôle, Pataphonie, Subversion, Emergency Exit, Vincent Gémignani, Jean-Yves Labat de Rossi, Stabat Stable, Jean-Baptiste Barrière, Jean-François Pauvros, Nyl, Joseph Dejean, Didider Levallet, Cathy Heyden, Les Asociaux Associés, Nuts & Co, Angel Face, Om, Alain Meunier, Philippe Maté, Nommo, Confluence, Ariel Kalma, Jean-Philippe Blin, Soggy, Mug, Warlus, Didier Bocquet, Alain Saverot, Julien Grycan, Celebration, Demon & Wizard, Peste Noire, Rosa Yemen,  Jean-Claude Deblais, Subtle Turnships, Flaming Demonics, Théorème, Rose Mercie, Alpha du Centaure, Éclosion, Michel Roques, Jean-Charles Capon, Synchro Rhythmic Eclectic Language, Temple Sun, Cortex, 010, Jacques Lejeune, André Almuro, Prune Bécheau, Chausse Trappe, Pacific 231, Manon Anne Gillis, La Sonorité Jaune, Trou aux Rats, Entre Vifs, Toy Bizarre, Plat du Jour, Calcium, Oxyde, Amphyrite, Tötenköpf, Les Homard Violets, Jean Tinguely, Robert Filliou, Tonton Macoute, Claude Engel, Popol Gluant, ZB Aids, Cobra Matal, Doc'Daïl, Perception, Archaïa, Mahtab, Dharma Quintet, Cohelmec Ensemble, Dernier Cri, Musique en Chantier, Delired Cameleon Family, Art & Technique, Alain Pinsolle, Lô, Horrific Child, La Baracande, Jéricho, Ghédalia Tazartès, Opéra Mort, Placenta Popeye, Babel, Mozaïc, Théâtre du Chêne Noir, Acanthus, Heriatus Corporation, Pierre Raph, S. Ramses, Sonorhc, Newtone Experience, Tankj, Virgule IV, L'Empire des Sons, Luc Kerléo, Michel Potage, Marc Baron, Gutura, Annick Nozati, Sun Stabbed, La Morte Young, Mesa Of The Lost Women, Regrelh, Claude Yvans & Danou, Jeff, Natural Snow Buildings, Martial Bécheau, Jean-Marie Massou, Jacques Brodier, Olivier Brisson, Astreinte, Gil J Wolman, Nouveaux Riches, Minamata, Daniel Laloux, Jean-Louis Brau…, …, …

Animateur du blog Merzbo-Derek, collaborateur de Revue & Corrigée et ancien collaborateur de Jazz Magazine, Les Inrockuptibles, Octopus ou Mouvement, Philippe Robert a consacré plusieurs ouvrages à la musique créative, parmi lesquels : Musiques expérimentales, Post-Punk, No Wave, Indus & Noise, Agitation Frite 1 et 2, et, en collaboration avec Guillaume Belhomme, Free Fight This Is (Our) New Thing.

[notasfarasyouthink]

Qu’ est-ce que le deuil, si ce n’est l’ amour qui refuse de s’ eteindre ?

Papa, 

Aujourd’hui, ça fait 5 ans. On arrive au premier « chiffre rond » du nombre d’années où tu nous as quitté. C’est bizarre, 5 ans, ce n’est pas vraiment un chiffre rond, pas plus que 3 ou 4, mais ça en a l’air, pourtant. Cette année, l’anniversaire du jour où j’ai appris ta mort coïncide avec le jour de la fête des pères, ce qui est un peu triste. Mais ça mutualise un peu la peine, alors ce n’est peut-être pas plus mal. 

L’autre jour, je lisais que le plus dur dans le fait d’avoir perdu quelqu’un depuis longtemps, et bien avant l’époque où les vidéos étaient de mise de partout, c’était le fait de ne plus pouvoir entendre la voix de nos disparus. Heureusement, j’avais prévu le coup. A l’annonce de ton décès, j’ai sauvegardé le dernier message vocal de toi où tu avais l’air d’aller bien et où tu me disais que tu m’aimais. Je me le suis envoyé par mail, pour réactiver ma mémoire quand le son de ta voix deviendrait trop lointain pour pouvoir l’entendre dans ma tête. 

Alors l’autre jour, quand j’ai lu ce message sur internet, j’ai cherché cet e-mail... en vain. J’ai fouillé de partout, avec tous les filtres possibles, je ne l’ai pas trouvé. J’ai la fâcheuse manie de cacher un peu trop bien certaines choses alors peut-être que je retomberai dessus par mégarde, un jour. Peut-être pas. Peut-être que j’ai seulement imaginé m’envoyer cet email mais je ne l’ai jamais fait, peut-être qu’il y a une raison pour laquelle je ne le retrouve pas. Peut-être que ça serait trop dur. Peut-être que c’est trop tôt. Si j’ai un jour vraiment oublié le son de ta voix, je sais que je pourrais compter sur cet enregistrement cassette, transformé en dvd, de toi qui chantes « Pour Soraya » à la fête de ma naissance. Encore faudra-t-il que je trouve un lecteur dvd où je puisse le lire.

C’est fou, la façon dont la mémoire fonctionne. La mienne est en général très bonne, je pense que je tiens ça de toi. Pourtant, l’été dernier, j’ai pu, pour la première fois en 4 ans, aller me recueillir à l’endroit où Alex, Julien et moi, avons éparpillé tes cendres, en Camargue, et ma mémoire m’a joué des tours. C’était il n’y a pas si longtemps, et c’était une journée extrêmement marquante de ma vie. Je me rappelle de beaucoup détails de cette journée. Je me rappelle le réveil très tôt, et le départ de Vourles. Je me rappelle les discussions dans la voiture avec mes frères et sœurs, et les blague sur le fait qu’on devrait peut-être mettre la ceinture à ton urne. Je me rappelle retrouver ton frère et sa femme à côté du camping, et le presque fou-rire lorsqu’on s’est rendu compte que l’urne était scellée à la colle, et que nous n’avions rien pour l’ouvrir. C’est le couteau suisse dans ta voiture qui nous a sauvé, ce jour-là, une dernière fois. 

Je me souviens éparpiller tes cendres avec Julien et Alex, et Tonton et Tati, émues, en arrière-plan. Je me rappelle avoir lu un texte qui m’avait toujours fait penser à toi. Je me rappelle être allé boire un coup, au bistrot du camping à côté ensuite, et je me souviens des discussions avec Tati et Tonton et leur parler de mon copain de l’époque. Ce dont des images très marquantes que j’ai dans ma tête de cette journée-là. 

Pourtant, tu sais ce qui est drôle, Papa ? C’est que lorsque je suis retournée vers cette étendue d’herbe, ce mausolée au créateur de la croix de Camargue devenu tien, il a été impossible pour moi de retrouver l’arbre sur lequel nous avons pleuré, Alex, Julien et moi. 

Pourtant, il n’y en a pas tant, des arbres. Quatre ou cinq, à tout casser. J’avais dans ma tête cette image exacte de là où il se trouvait, et de Julien ouvrant l’urne puis te laissant t’envoler à son pied. Mais une fois arrivée là-bas, l’image en face de mes yeux ne correspondait pas à celle dans ma tête. L’arbre n’était pas là, ne ressemblait pas à ce que j’attendais. J’ai regardé si des arbres n’avaient pas été abattu, mais ça n’avait pas l’air. Est-ce que c’était celui-ci ? Ou celui-ci ? Je ne sais plus. 

Alors j’en ai choisi un, qui se divisait en trois, a sa base. C’était pour moi l’arbre qui représentait la façon dont Alex, Julien et moi, avons grandi après cette étape de notre deuil. Je me suis assise à son pied, et j’ai pleuré, beaucoup. J’ai écouté cette chanson, qui me fait tant penser à toi, et j’ai pleuré l’équivalent de 4 années de larmes. Parce que j’ai finalement assez peu pleuré ton absence, les 4 années précédentes.

Heureusement, après avoir pu me réunir avec cet arbre qui ne t’abrite plus, et quand il a été trop lourd de te pleurer toute seule, j’ai pu faire signe à mes deux éternelles, Mymy et ma PEF, pour venir me rejoindre. Elles m’ont prises dans leur bras, et comme 4 ans et demi plus tôt, je n’étais plus seule, autour de celui-ci. 

J’ai toujours été quelqu’un de très empathique, tu le sais. Mais j’ai aujourd’hui développé une empathie particulière envers certaines personnes : celles qui rejoignent le club si peu convoité du Dead Dads Club. Cristina Yang le disant mieux que moi, c’est un club dont tu ne peux pas faire partie tant que tu n’en fais pas parti. J’ai été l’une des premières de mon entourage à le rejoindre, et c’est sans doute mieux comme ça. Lorsque quelqu’un que je connais vient m’y rejoindre, c’est comme si ça créait un lien particulier, au moins dans ma tête. Comme si je me devais redevable de les y accueillir le mieux possible. J’en connais les rouages, j’en connais les étapes, je sais où se trouve le bon café. 

En 5 ans, plus de personnes que je ne l’aurai voulu m’ont rejoint à la porte du club. Parmi eux, il y a Valentin, l’amoureux de Mymy. Tu dois savoir qui c’est, je passe beaucoup de temps avec lui. Tu n’es pas sans savoir que c’est toujours un peu difficile pour moi d’aimer les amoureux de mes copines, mais lui a été adopté tout de suite, probablement parce qu’il l’aime un peu de la même façon que je l’aime moi : sans conditions. Et lorsque, quelques mois après notre rencontre, il a lui aussi rejoint le club, encore plus jeune que je ne l’avais joint, mais avec un papa qui porte le même nom que toi, j’ai l’impression que ça a renforcé notre lien.

Je te parle de lui papa, parce qu’il était aussi là lorsque je suis venue me recueillir sur ta dernière demeure pour la première fois. On ne lui avait pas dit où on allait, j’avais peur de mettre la mauvaise ambiance, surtout pour lui pour qui la perte était encore plus récente que la mienne. Alors quand on est sorti de la voiture, et qu’il a demandé si c’était ici la boulangerie, Mymy lui a discrètement chuchoté à l’oreille où on était. Il est immédiatement venu près de moi, s’est excusé de na pas avoir su, puis m’a demandé ce que c’était, cet endroit, et pourquoi on l’avait choisi. Je n’ai pas pu lui expliquer, et je me suis effondrée en pleurs, avant d’avoir atteint le portillon d’entrée. Il m’a serré dans ses bras, et je ne saurai pas t’expliquer Papa, mais cette étreinte était différente. Il savait, lui, d’une façon que personne ne peut pas savoir sans l’avoir vécu. J’aurais aimé qu’il ne sache pas, mais j’ai été profondément reconnaissante qu’il sache, à ce moment-là. 

Malheureusement, il n’est pas le seul à avoir rejoint le club récemment. Il y aussi eu Mélanie et Laurine, quand ton copain Gégé est parti te rejoindre, trop brutalement. J’ai déjà beaucoup parlé de comment cette perte a pu m’affecter, et je pense que tu as vu mes larmes, de là-haut. Je les ai aussi accueillies, comme je l’ai pu, dans ce maudit club, et été très reconnaissante qu’elles me laissent si bien lui dire au revoir. J’ai essayé de leur offrir les paroles que l’on m’a offerte, ou que j’aurai aimé que l’on m’offre, il y a 5 ans. J’espère que j’ai aidé, un peu. 

Papa, je vais bien, malgré cette dernière année éprouvante pour tout le monde. Je vais bien. Quand on s’est parlé la dernière fois, nous sortions de nos 2 mois de confinements, et nous pensions, ou au moins espérions, qu’ils seraient les derniers. L’été a été une bouffée d’oxygène dont nous avions tous besoin, même s’il s’est suivi de multiples reconfinement auxquels personnes ne voulaient croire. Un an plus tard, on est un peu dans la même position. Les choses ont réouvert, beaucoup d’entre nous ont pu se faire vacciner, mais on n’est pas vraiment sûr d’être complètement sorti d’affaire. 

Alors je t’avoue que lorsque j’ai emménagé à Paris à l’été 2019, l’idée n’était pas vraiment de pouvoir ne profiter de la vie parisienne que 6 mois, avant qu’elle ne me soit arrachée. Au final, j’ai vécu plus longtemps confinée dans cette ville que je n’ai pu en profiter, et ça me rend un peu triste. Je me demande si j’aurais fait les mêmes choix, si j’avais su. Mais je repense aussi au début de l’année 2020 où je me sentais perdue dans un tourbillon qui allait trop vite. Il s’est arrêté, net, en mars, et ça a été difficile à gérer, mais je me demande si cette situation n’a pas quelque part été une réponse à ce manque de stabilité que je ressentais. J’ai hâte que cette épée de Damoclès soit enfin entièrement levée d’au-dessus de nos têtes, mais pour en avoir déjà parlé avec mes compères parisiens, la vie d’après sera surement différente. Plus calme et moins tourbillonnante, mais aussi exaltante, on l’espère. Elle sera pleine de nouveautés, ça je n’en doute pas. 

Papa, j’espère que tu vas bien. Je suis contente que tu n’aies pas eu à choisir un vaccin, et à attendre fébrilement que ta tranche d’âge soit validée par le gouvernement pour pouvoir te le faire. Pour ma part, j’ai reçu ma deuxième dose hier, j’ai donc pu fêter un peu la vie, à l’anniversaire du jour où la tienne s’est éteinte. J’espère te raconter l’année prochaine qu’on ne porte plus de masques que lorsqu’on a la crève, et que j’ai pu acheter mon premier billet d’avion depuis trop longtemps. 

Embrasse le papa de Val et bien sur mon Gégé, ainsi que tous les autres Papa qui ont rejoint ton paradis. Bonne fête, tu me manques, je t’aime.

[elcinelateleymickyandonie]

Paul Meurisse.

Filmografía

1941 : Ne bougez plus - dir. Pierre Caron

1941 : Montmartre-sur-Seine - dir. Georges Lacombe

1942 : Défense d'aimer - dir. Richard Pottier

1942 : Mariage d'amour - dir. Henri Decoin

1943 : La Ferme aux loups - dir. Richard Pottier

1945 : Vingt-quatre heures de perm - dir. Maurice Cloche

1945 : Marie la Misère - dir. Jacques de Baroncelli

1946 : L'Insaisissable Frédéric - dir. Richard Pottier

1946 : Macadam - dir. Marcel Blistène

1947 : La Fleur de l'âge - dir. Marcel Carné (incompleta)

1947 : Inspecteur Sergil - dir. Jacques Daroy

1947 : Monsieur Chasse . dir. Willy Rozier

1947 : Bethsabée - dir. Léonide Moguy

1948 : La Dame d'onze heures - dir. Jean-Devaivre

1948 : Manù il contrabbandiere - dir. Lucio De Caro

1948 : Le Colonel Durand - dir. René Chanas

1948 : Le Dessous des cartes - dir. André Cayatte

1948 : Sergil et le dictateur - dir. Jacques Daroy

1948 : Impasse des Deux-Anges - dir. Maurice Tourneur

1948 : Scandale - dir. René Le Hénaff

1949 : L'Ange rouge - dir. Jacques Daniel-Norman

1949 : Dernière heure, édition spéciale - dir. Maurice de Canonge

1950 : Agnès de rien - dir. Pierre Billon

1951 : Maria du bout du monde - dir. Jean Stelli

1951 : Ma femme est formidable - dir. André Hunebelle

1951 : Vedettes sans maquillage - dir. Jacques Guillon (documental)

1952 : Sérénade au bourreau - dir. Jean Stelli

1952 : Sergil chez les filles - dir. Jacques Daroy

1953 : Je suis un mouchard - dir. René Chanas

1955 : Les Diaboliques (Las diabólicas) - dir. Henri-Georges Clouzot

1955 : Fortune carrée - dir. Bernard Borderie

1955 : La Castiglione - dir. Georges Combret

1955 : L'Affaire des poisons - dir. Henri Decoin

1957 : Jusqu'au dernier - dir. Pierre Billon

1957 : L'Inspecteur aime la bagarre - dir. Jean-Devaivre

1958 : Les Violents - dir. Henri Calef

1958 : Échec au porteur - dir. Gilles Grangier

1958 : Le Septième Ciel - dir. Raymond Bernard

1959 : Simenon - dir. Jean-François Hauduroy (documental - narrador)

1959 : Guinguette - dir. Jean Delannoy

1959 : La Tête contre les murs (La cabeza contra el muro) - dir. Georges Franju

1959 : Marie-Octobre (Cena de acusados) - dir. Julien Duvivier

1959 : Le Déjeuner sur l'herbe - dir. Jean Renoir.

1960 : La Française et l'Amour - dir. Henri Verneuil

1960 : La Vérité - dir. Henri-Georges Clouzot

1961 : Le Jeu de la vérité - dir. Robert Hossein

1961 : Les Nouveaux aristocrates - dir. Francis Rigaud

1961 : Le Monocle noir - dir. Georges Lautner

1962 : Du mouron pour les petits oiseaux - dir. Marcel Carné

1962 : Carillons sans joie - dir. Charles Brabant

1962 : L'Œil du Monocle - dir. Georges Lautner

1963 : Méfiez-vous, mesdames - dir. André Hunebelle

1963 : L'assassin connaît la musique... - dir. Pierre Chenal

1963 : Les Tontons flingueurs - dir. Georges Lautner

1964 : Le Monocle rit jaune - dir. Georges Lautner

1965 : Quand passent les faisans - dir. Édouard Molinaro

1965 : La Grosse Caisse - dir. Alex Joffé

1965 : Le Majordome - dir. Jean Delannoy

1966 : Le congrès s'amuse - dir. Géza von Radványi

1966 : Moi et les hommes de quarante ans - dir. Jacques Pinoteau

1966 : Hasta el último aliento - dir. Jean-Pierre Melville

1969 : El ejército de las sombras - dir. Jean-Pierre Melville

1970 : Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques - dir. Michel Audiard

1971 : Doucement les basses (La dulce hembra) - dir. Jacques Deray

1973 : Les Voraces - dir. Sergio Gobbi

1973 : Un flic hors la loi - dir. Stefano Vanzina

1974 : Les Suspects - dir. Michel Wyn

1975 : L'Éducation amoureuse de Valentin - dir.Jean L'Hôte

1975 : Le Gitan (Alias el gitano) - dir. José Giovanni.

Créditos: Tomado de Wikipedia

https://es.wikipedia.org/wiki/Paul_Meurisse

#HONDURASQUEDATEENCASA

#ELCINELATELEYMICKYANDONIE

[lespenseesdemaeva]

Seeing is deceiving, dreaming is believing

Mood : attristée

Et voilà. Tu as gagné Maéva. Tu es attaché à Julien. Tu savais que t’allais souffrir et pourtant tu as foncé. Et encore une fois tu es triste pour quelqu’un qui n’en vaut pas la peine, qui se sert de toi. Arrête... Tu mérites d’être heureuse, vraiment. C’est pas en fonçant tête baissée dans des relations toxiques et destructives que tu vas réussir à toucher le bonheur.

Hier, il était super froid et distant, aujourd’hui il était super sympa et agréable et puis il t’as lâché comme une merde.

Parfois je me demande si quelque chose cloche chez moi. Peut-être que mes émotions sont trop intenses ou peut-être qu’on les a trop maltraités et qu’elles sont à fleurs de peau. Je sais pas.

J’ai cette tristesse constante ces derniers temps. Les rares moments où elle n’est pas là c’est quand il me parle ou que je dors. 

C’est dur de servir de mouchoir. On me prend, on m’utilise, on me jette et c’est fini. Adieu Maéva. Pourquoi ? Peut-être que je fais quelque chose de mal en fin de compte. 

Et puis y’a Charmant. Je l’attend depuis tellement d’années, ça commence à réellement être long. J’ai besoin de lui, de ses mains, de ses baisers, de son rire. Le jour où il sera enfin là, je pense que tout ira mieux. Parce qu’en vrai j’ai besoin d’amour, énormément. Tellement que je m’en fiche de souffrir pendant des semaines si c’est pour avoir ne serait-ce que quelques jours de bonheur et d’amour. Je ne devrais pas.

Damn i’m messed up...

Et puis ces derniers temps, Laëticia, Piztia et Gwenegan sont de retours. J’ai beaucoup envie de Catarina en ce moment, et j’ai eu un gros mental break down la semaine dernière, j’étais vraiment à deux doigts de me foutre en l’air, réellement. 

J’ai l’impression de ne pas m’en sortir. Dès que j’ai un peu de bonheur, un semblant de vie normale, je replonge pour le pire. Ca me fatigue. Réellement, ça me prend une tonne de force de me battre contre moi même. 

J’ai besoin de vacance, de repos. J’ai pas les thunes pour et puis avec le corona c’est fichu aussi. J’espère vraiment que la richesse ne saurai tarder, j’ai besoin de m’échapper, de partir loin.

Je sais déjà qu’après mes études, j’irais au Québec, commençons par le facile. Ensuite, tous les cinq ans je pense que je changerais de pays. Quelque chose m’attire en Amérique du nord depuis mon plus jeune âge et récemment Los Angeles s’est mit à m’attirer d’une autre manière, j’ai l’impression que Charmant s’y trouve actuellement. C’est pour ça. J’ai déjà eu ce sentiment pour l’Italie, pour la Chine et maintenant pour Los Angeles. Peut-être qu’il voyage beaucoup depuis petit, je ne sais pas. Mais je le sens, il est là quelque part à m’attendre. Il faut que j’aille à sa rencontre, il faut que je force le destin. Je ne veux pas finir comme maman ou tonton Jean-Claude. Je ne veux pas gâcher ma vie. Je veux découvrir le monde, je veux partir faire ma vie loin et oublier mon passer. Oublier ce qui me détruit. Je veux partir loin et tout recommencer.

Maéva du futur, est-ce qu’à 26 ans on à Liha et Charmant ? Je l’espère tellement fort ! 

Mais je dois prendre mon mal en patience pour l’instant... Je verrais bien comment ça va évoluer après tout, j’ai pas le choix.

0704201931

[confidenceseden]

La menace

Juillet 2005. Eden a 8 ans. Elle est placée dans cette famille d’accueil depuis qu’elle a 3 ans. La cause ? Malnutrition, maltraitance et abus sexuel par ses parents. 

Dans cette famille, il y a le couple, Nounou et Tonton, et les deux enfants. Jérôme, qui a une année de plus qu’elle et Julien, qui a 15 ans.

Depuis quelques temps, pendant ses siestes, Julien rentre dans sa chambre pour lui demander de jouer à des jeux. Elle trouve cela vraiment bizarre mais, elle a demandé si elle était obligée et il a dit oui, qu’il fallait que ça reste un secret, mais qu’elle devait jouer sinon elle se ferait punir par Nounou.

Elle avait tellement peur de Nounou... Elle la disputait tout le temps et la frappait.

Ce jour là, ils étaient tous chez le papa de Nounou. Il était tard et les enfants devait aller au lit. Ils dormaient tous les trois dans la grande chambre. Jérôme et Julien dans le grand lit et elle, sur le matelas, par terre.

Jérôme ne voulait pas dormir “je descends voir maman”, dit-il. Il sort de la chambre.

“Tu dors ?” demande Julien à Eden.  “Non” répond-elle en déglutissant.

Alors, il descend du lit, s’approche d’elle et commence à lui écarter les jambes. Son coeur cogne dans sa poitrine “non, pense-t-elle, pas ça, je n’ai pas envie”. La lumière s’allume dans les escaliers. Il sursaute et retourne rapidement dans son lit, se cogne. 

La porte s’ouvre, c’est Nounou, elle a entendu le bruit lorsqu’il s’est cogné : “Qu’est-ce qu’il se passe ?! - Rien, dit-il, j’ai voulu me lever pour aller aux toilettes mais j’ai entendu quelqu’un monter, j’ai eu peur et je me suis cogné en retournant dans le lit. - Vas-y. Il sort, elle tourne son regard vers Eden : “Tu ne dors pas toi ?!! Viens ici !!” Eden est terrifiée. Elle se trouve face à elle. D’un coup, Nounou la prend par le colbac et lui dit “je te préviens, si tu touches à mon fils, j’te tue t’as compris ?” Les larmes lui montent aux yeux, elle acquiesce, Nounou lui crache au visage. Eden retourne se coucher. Elle ne pourra jamais dire à quelqu’un ce que Julien lui fait...

[babymedof-blog]

Merci Anthony, Romain, tonton Julien et tata Catherine pour ce jouet trop chouette! Romy l’adore.

[pendekarmovie]

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1H 34Min|Action, Drama|23 Agustus 2018 (France)|RATE IMDB : 6.1 / 10 (1.082)

Sinopsis The Bouncer (2018) : Jean-Claude Van Damme berperan sebagai Lukas, penjaga klub malam yang tangguh yang berjuang untuk membesarkan putrinya yang berusia 8 tahun. Suatu hari, Lukas kehilangan kendali selama pertengkaran dengan klien dan berakhir di penjara, sementara putrinya diambil darinya. Segalanya berubah secara tak terduga ketika Interpol merekrut Lukas untuk menjatuhkan pemimpin biro Belanda yang beroperasi dari Belgia dengan imbalan hak asuh putrinya.

Director : Julien Leclercq Writers : Jérémie Guez Stars : Jean-Claude Van Damme, Sami Bouajila, Sveva Alviti Jangan lupa tonton langsung di Pendekarmovie.com ……. Situs Nonton Bioskop Online Gratis. Nonton Bioskop

[jibax-fr]

Videodrome exibition, tribute to Sci-Fi @ Le Phare, Limoges FRANCE !

11 artists with their arts : VINCENT ROCHÉ, JEREMY PAILLER, TONTON REVOLVER, OLIVIER DZO, JB ROUX, PAUL CHADEISSON

and : REGIS LAGOEYTE, JULIEN CABANE, PIERRE CHARLES JACQUEMIN, JOHNNY GOLD SIGNS, LAURE PHELIPON

Event page : https://www.facebook.com/events/1768700360120666/

[francetaste]

A classic dish of the south of France is ratatouille niçoise. It’s summer on a plate. It’s also a great dish for entertaining because it’s even better the second day, so it’s ideal to make ahead. Nice gets credit for its creation but it’s a dish common to all of Occitanie, the broad swath of southern France.

My friend Christine put it on the menu for our cooking class, along with grilled thyme lamb chops, which I’ll also include here.

Remember, for a same-day dinner, we made the desserts first, starting with the crème catalan, then the baba au rhum. Once the baba was cooling, we tackled the ratatouille, or rata, as the French like to say. It’s very French to cut off words to two syllables: Coca-Cola becomes Coca (not Coke); McDonald’s is known as “MacDo”; spaghetti bolognaise is called “bolo”; Carcassonne is called “Carca”….

Even first names get shortened to two syllables (often one syllable repeated twice) to form a nickname: Laurence is Lolo; Louis is Loulou; Alphonse is Fonfon; Georges or Joseph becomes Jojo; Julien is Juju. Now that I think about it, all those are male names. Though I know a Brigitte who goes by Bibi. Female names often get -ou at the end: Michelle becomes Michou (sounds like mishoo); Giselle is Gisou. And there are another range of nicknames that also use the repeated two-syllable style: uncle (officially it’s oncle, but familiarly it’s tonton); I know a Tintin… But there are exceptions: a son (fils) may be affectionally referred to as fiston. Aunt (tante) becomes tatie. Grandmother (grand-mère) is more likely called mamie.

Back to the rata.

Here’s what you need (easy to remember, it’s 3 of everything):

olive oil

3 onions, minced

3 small eggplants, (large) dice. Purple ones should be peeled; white ones have a thinner, milder skin that can be left on.

3 zucchini, peeled and diced

3 tomatoes, peeled (blanche first) and cut into large chunks

1 green pepper, diced

1 red pepper, diced

1 yellow pepper, diced

salt, pepper, thyme, and a bay leaf or two

Cover the bottom of a large, heavy pan with a coat of olive oil. Cook the onions over medium heat, stirring often, until they soften.

Add the eggplant, and continue to stir until it softens.

Add the zucchini. Then the peppers. Then the tomato and spices.

Let it cook until everything has softened up. Don’t put on the lid or you will end up with a lot of juice.

Serve hot, cold or lukewarm.

What I like about rata is that there are no mistakes (unless you really burn it or you overcook the vegetables into mush–one of the Carnivore’s sharpest insults for a mix of overcooked food is “ratatouille”) and lots of room for variation.

To reduce the juice, I like to cook everything quickly and separately over high heat, so the outsides of the zucchini and eggplants, especially, brown, but the vegetables aren’t too cooked. They get added in turn to a mixing bowl and then heated together before serving. Or not heated. I learned, while writing this, that cooking the vegetables separately is the method that the French bible of cuisine, Larousse Gastronomique, suggests, though it says to cook the mix about 20 minutes in the oven. Putting the dish in the oven is a good way to avoid scorching the bottom, but I’d rather just keep it stovetop and not heat up the kitchen.

I rarely peel vegetables–out of laziness and also for the added nutrition. I also add plenty of garlic–three or four cloves. Sometimes I use herbes de provence, a mix of thyme, marjoram, rosemary, basil and savory, which we tend to put into almost everything. Other times, I use fresh herbs from the garden–thyme, rosemary, basil.  

Rata is a good way to eat the rainbow. Consuming a variety of fruits and vegetables gives you different nutrients, since the colors are linked to different disease-fighting chemicals, called phytochemicals.

Another plus for ratatouille: leftovers are great, and you can even put it on pasta or rice for a vegetarian meal.

We served it with provençale tomatoes (recipe coming soon) and thyme lamb chops.

For the lamb chops:

Cut off the egregious hunks of fat. They will just cause your grill to flame up.

Brush both sides with a little olive oil so the thyme sticks to the chops and so the chops don’t stick to the grill. Sprinkle with thyme, salt and pepper on both sides.

Cook to taste on your grill. The Carnivore swears by wood charcoal, but we won’t get judgy if you use gas.

Bon appétit!

  Ratatouille Niçoise A classic dish of the south of France is ratatouille niçoise. It's summer on a plate. It's also a great dish for entertaining because it's even better the second day, so it's ideal to make ahead.

[alexlacquemanne]

Janvier MMXX

Films

Gatsby le Magnifique (The Great Gatsby) (1974) de Jack Clayton avec Robert Redford et Mia Farrow

Le Quatrième Protocole (The Fourth Protocol) (1989) de John Mackenzie avec Michael Caine, Pierce Brosnan et Ned Beatty

Le Tailleur de Panama (The Tailor of Panama) (2001) de John Boorman avec Pierce Brosnan, Geoffrey Rush et Jamie Lee Curtis

Chicago (2002) de Rob Marshall avec Renée Zellweger, Catherine Zeta-Jones et Richard Gere

Le Dernier Vermouth (2019) de Germain Aguesse avec Serge Papagalli, Gilles Graveleau et Gilles Arbona

Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner avec Lino Ventura, Bernard Blier et Jean Lefebvre

Soleil levant (Rising Sun) (1993) de Philip Kaufman avec Sean Connery et Wesley Snipes

Monuments Men (The Monuments Men) (2014) de George Clooney avec George Clooney, Matt Damon et Cate Blanchett

Bons Baisers de Russie (From Russia with Love) (1963) de Terence Young avec Sean Connery, Daniela Bianchi et Pedro Armendáriz

Nouveau Départ (We Bought a Zoo) (2011) de Cameron Crowe avec Scarlett Johansson et Matt Damon

Furia à Bahia pour OSS 117 (1965) de André Hunebelle avec Pierre Foucaud, André Hunebelle et Jean Halain

Gorilles dans la brume (Gorillas in the Mist: The Story of Dian Fossey) (1988) de Michael Apted avec Sigourney Weaver, Bryan Brown et Julie Harris

Le Magnifique (1973) de Philippe de Broca avec Jean-Paul Belmondo et Jacqueline Bisset

Banco à Bangkok pour OSS 117 (1964) de André Hunebelle avec Kerwin Mathews, Pier Angeli et Robert Hossein

Les Blues Brothers (The Blues Brothers) (1980) de John Landis avec John Belushi et Dan Aykroyd

L'or se barre (The Italian Job) (1969) de Peter Collinson avec Michael Caine, Noel Coward et Benny Hill

Spectacle

Deux mensonges et une vérité (2019) de Sébastien Blanc et Nicolas Poiret avec Lionnel Astier, Frédéric Bouraly, Raphaëline Goupilleau, Julien Kirsche, Philippe Maymat et Esther Moreau

Séries

Doctor Who Séries 12

Spyfall, Part 1 - Spyfall, Part 2 - Orphan 55 - Nikola Tesla's Night of Terror - Fugitive of the Judoon

Starsky et Hutch Saison 1, 2, 3

Terreur sur les docks - Poker - Avis de mort - Le paria - L'appât - Folie furieuse - La randonnée de la mort - Tant va la cruche à l'eau - L'étrangleur de Las Vegas 1ère partie - L'étrangleur de Las Vegas 2ème partie - Une croisière mouvementée 1ère partie - Une croisière mouvementée 2ème partie - La call-girl - Chaud devant - Vampirisme - Le professionnel - Laisse-la suivre le chemin de ton cœur - La petite fille perdue - La vendetta - Bras de fer - Où est Starsky ? - Esprit, es-tu là ? - Jungle, vous avez dit jungle ? - Que la route est longue - Starsky Et Hutch - Le clown - Coupables ? - Créatures de rêve 1re partie - Créatures de rêve 2e partie - Quel charme ! - Le Grand Amour - Enquêtes en tous genres - Les Jours se ressemblent - Un Gros Chagrin - Les Héros - Collection - Les rues sont à tout le monde - La Folie du jeu - Le Poids lourd - Garde d'un corps - Ah, les beaux dimanches ! - Le Piège - Sorcellerie - Le Professeur - Un visage d'ange

Castle Saison 3, 4

Dans la peau de Nikki - Abracadabra ! - Une nouvelle piste - Grosses Infortunes - Avis contraire - Piégés - Menace sur New York - Cruel comme un soap - Un homme en colère - Tranches de mort - Eau trouble - En quête de justice - Mort d'une miss - La traque - Renaissance - Lame solitaire - Casse-tête - L'Empreinte d'une arme - L'Art de voler - Démons - Otages

Papa a un plan Saison 1

Le Papa le plus marrant au monde - Les Lasagnes de la déception - Trop dur d'être délégué - La Robe de mariée - Thanksgiving - La Guerre des nerfs - La Génétique de Noël - Grande première - Pas du tout jaloux ! - Le Dîner de la discorde

Magnum Saison 3, 1

Sain d'esprit - Une vie de chien

Brooklyn Nine Nine Saison 3, 1

Cheddar - Le Nouveau Capitaine - Halloween III - Le Nouveau Capitaine - Le Tagueur

Benny Hill

Caïn Saison 1, 3

Jalousie - Justices - Juge et partie - Bijoux de famille

Kaamelott Livre I

Livres

Requiem pour un flic de Victor B. Miller

OSS 117 s'en occupe de Jean Bruce

Remouille-moi la compresse de Frédéric Dard

Fantômette et le mystère de la tour de Georges Chaulet

Nota Bene T2 : A la rescousse de l'Histoire de Benjamin Brillaud

Marsupilami T4 : Le Pollen du Monte Urticando de André Franquin