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#tournoiement
krisis-krinein · 8 months
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yumewan · 8 months
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Cette semaine, toute les nuits, rendez-vous avec les chaises de camping dans un champ, tout au bout de la route de campagne proche du quartier. Il faut se perdre dans ce chemin sombre, ne plus voir les lumières de la ville et celle de la route bordant les prés. Ce sont les nuits aux étoiles filantes. On prends nos manteaux et nos plaid, pas question d’être dérangés par le froid durant que nos yeux chassent en haut à travers le noir, ces mystérieux ronds blancs qui balaient le ciel. Le plus souvent, comme nous sommes proches d’une ville, enfin c’est l’excuse que nous nous donnons, nous n’en voyons pas beaucoup alors nous profitons également pour admirer les étoiles et la voie lactée. Pour nous donner encore plus de sensation, nous allumons quelques seconde nos écrans de téléphone et regardons une vidéo de tournoiement blanc et noir. Une fois comme hypnotisé par cette forme tournante, nous regardons la nuit qui semble s’être changée en l’une des belles peintures pleines de tourbillons de Vincent Van Gogh. Et idéalement, nous faisons attention à ne pas tomber de nos chaises. 
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mapera · 1 year
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Tournoiement des silences
http://dlvr.it/Sp0wQ6
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thomariviere · 1 year
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L’ADAM·SE part2)
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Non pardon, on tue pas, on n’a plus le droit. On détruit. Coûte que coûte. Pour que le centre soit sauf. Que rien ne puisse le désynchroniser. le centre. Qu’il reste clair et visible. Au centre de la vallée. Notre totem impersonnel, dressé pile au centre de la vallée. Au centre de nous. Au centre de tout. Pour nous soutenir et nous rassurer. Nous organiser. Au milieu de la vallée. Pour nous coordonner. Nous permettre de tout comprendre et de tout expliquer. Tout savoir et tout hiérarchiser. Le milieu. Le centre. La modération. Nous. Chaque chose rangée. Sage. Docile. À sa place.
Si quelqu’un doit danser. Si quelqu’un doit VRAIMENT danser, qu’il danse chez lui-elle. En cachette. Portes fermées et rideaux tirés. À la lumière de la bougie. Ou MIEUX dans le noir. Ou sa tête. Ou pas du tout. Pas chez nous en tout cas. Au loin Là-bas. Le Plus Possible. Ailleurs. Dans des lieux que nous ne connaissons pas. Et que nous n’avons aucune envie de connaitre. Loin. Très loin. Le plus loin possible. Loin des yeux. Loin des regards. Loin de nousLoin des autresLoin de tout. LoinLoinLoin Très loin, surtout, de nos cœurs calcifiés.
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Je danse. Oui. C’est ainsi. C’est comme ça. Ça a toujours été le cas. C’est comme ça que je suis venu au monde. Une petite pirouette pour extirper rouge et brun du ventre de maman. Et ce n’est que devant le grand calculateur que je dénouerai les lacets de mes chansons de danse. Les lacets argentés avec lesquels je tresse mes cheveux.
Oui. Je danse.
Mais franchement ce n’est pas un choix. C’est un instinct. Une impulsion. Une force. Une faiblesse. Une étrangeté. Une malformation. Ainsi ont commencé les mouvements de mes bras et les mouvements de mes pieds. Ainsi sont venus les balancements de ma tête. Ainsi les tournoiements de mes pupilles.
Ainsi je suis devenu danse.
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En aucun cas je n'allais vers … .
Je fuyais. Je m'éloignais de… . Je déposais frénétique le maximum de distance entre la vallée et moi. Je semais des cailloux et des trainées de larmes pour être sure de ne pas pouvoir rebrousser chemin. De ne pas savoir revenir sur mes pas. Plus jamais. Pas de retour en arrière. Mon one-way-ticket.
Quand la vallée m’a exclu j’étais déjà parti. Depuis longtemps. J’avais pris la route. La poudre d’escampette. Ma maison était vide, délabrée, mon lit défait, ma gamelle renversée. Quelques cafards sillonnaient les lames de mon plancher.
Depuis longtemps je suis au dehors. Hors de la vallée. L’évitant. La contournant. La frôlant parfois. Avec les yeux exorbités et des palpitations qui m’écrasent le corps comme la poutre massive qu’on met sur les épaules de ceux qui disent le vrai.
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En fait je suis comme eux. Je n’aime pas la différence. Moi aussi elle m’effraie. Moi aussi je redoute l’inconfort qu’elle entraîne. Moi aussi je déteste sentir ce sentiment de fêlure. Comme un bateau. Qui repart déjà sans avoir même eu le temps de s’arrimer dans le port. On se dit oh ça va être chouette d’explorer ce rafiot et là vous réalisez que c’est un bateau pygmée et que vous ne pourrez meme pas franchir la première porte d’embarquement. C’est souvent ça le moment de la découverte de la différence de l’autre. C’est un rendez-vous raté. Une opportunité perdue. Ça laisse triste et désolé. La différence entre moi et ceux de la vallée, c’est pire encore. C’est une incompatibilité. Radicale. Cette différence-là, je sais qu’elle veut me détruire. Qu’elle me détruira. Elle sera la plus forte. Bien évidemment Elle m’a déjà détruit.
J’en ai une peur bleue. Une peur blanche. Une peur d’enfant. Rouge verte jaune rance violète ronce et jaune. Une peur métallique aux pinces épouvantables. Une peur en hurlement. Le hurlement de ceux qui se font dévorer. Déchiquetés par des crocs titaniques et broyés par des molaires amidonnées.
Un temps, il y a longtemps, j’ai été toléré. La vallée aime à se croire magnanime. Et c’est toujours plus facile de poignarder qqn qui a baissé sa garde. Puis j’ai été exclu. Exilé sur les pentes. On m’a toléré sur les pentes. Puis les vents des pentes semblaient porter mon nom ou mon visage et j’ai été condamné pour le désordre que je causais. Maintenant je suis recherché. Mes pieds sont mis à prix. Je sais qu’il vont m’attraper. Ce n’est que question de clignements d’œil. Mon tour va venir. Il vient. Le voilà. Je le sais.
Pour eux je suis ce frisson. Ce frisson désagréable le long de leur échine. Je suis l’auréole incompréhensible dans un coin de leur champ de vision. Je suis une mauvaise odeur, un dérèglement. Comme une anomalie. Qu’ils n’ont pu corriger. Qu’il n’ont pu effacer. Qu’ils n’arrivent pas à mettre de côté. Qu’ils veulent sortir au plus vite de leur regard et leur mémoire. De leurs pensées. De leur système. Le plus vite possible. M’oublier. Oublier le moindre signe de ma présence. M’inexister. Alors la vallée peut retrouver son calme. Le calme symétrique et accéléré qui régit ses journées.
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Moi non plus. Je n’ai pas pu corriger. Jouer le jeu. Marcher. UN. PIED. DEVANT. L’AUTRE. Puis l’inverse. Éternellement. (Enfin éternellement… le temps de mon existence…) (après…)
J’aurais voulu. J’ai souhaité, j’ai essayé. Un pied devant l’autre. Je me suis répété. Entrainé. Des nuits durant. Des mois durant. Des saisons des années des cycles plein comme des œufs. J’ai essayé et n’y parviens. Pas de rondeur, pas de fioriture, ni accent tonique ni dégouliné. Rien. Simple et anonyme. Impersonnel. Faire un avec le tout. Ensemble. We. On. Nous. Les gens. Je n’y arrive pas. Trois pas à peine adroits et je skip et me mets à trottiner.
J’aurais préféré rire avec la cohorte et beugler avec le troupeau. Je me serais senti moins seul. Moins perdu. Je me serais posé moins de questions. Quand on est pas dedans, quand on est au-dehors, on est perdu. Dedans, tout est là. En ordre clair et ordonné. Dehors… C’est le chaos. L’incontrôlable. Le dangereux et le sauvage. Les ours et les loups, les tigres et les béhémots. Les éléphants sont cannibales et les vautours gros comme des maisons.
Je suis en dehors. Depuis longtemps. Toujours (peut-être). J’ai peur et je suis perdu. J’essaie de rentrer. De me conformer. De me conditionner. D’amadouer. D’attendrir. De me faire pardonner. Ces pieds qui se trémoussent. Ce poids qui se dérègle, du lourd au léger, du vaporeux à l’abyssal, mon corps est son étrange pesanteur. Je me faufile, aussi discret que je peux. Maintes et maintes fois je suis revenu me glissant sous les herses et les barbelés. Chaque fois j’ai dû fuir. Fuir et m’enfuir. Démasqué. Dénoncé. Tout abandonner. Retourner sur mes pentes —les pentes sont âpres. Stériles. La vie y est âpre. burinée. Alors je réessaie. Recommencer. Me faufiler être reconnu et détaler.
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Un jour, j’ai fini par admettre. Non, la vallée n’est pas pour moi; elle me rend malade et asthénique, rougeoyant et baveux. Je n’arrive pas je n’arrive plus à contenir mes grands écarts et mes demi-pointes. Je ne veux pas. Je ne veux plus. J’aime mes demi-pointes. Je suis content de danser. Cela me soulage. La danse m’aime. Me caresse. Je danse bien. Je danse mal. Peu importe. Je ne danse que pour moi. Et pour elle. Avec pour seul critique et spectateur le cosmos. Et je me prends à dialoguer avec les buissons les fleurs hirsutes (quand je me mets à danser). Avec les corbeaux, les noisettes, et les fraises indélicates. Je comprends leurs réponses et els gloussent de mes interrogations. J’ai appris des mouvements qui émeuvent les pierres et maîtrise l’entrechat qui fait rigoler le ruisseau. Je suis seul oui; mais seul à l’intérieur de tout.
Dans la vallée, on n’est pas friand du tout. C’est trop. C’est irrationnel. C’est informe. Alors on formalise. On organise. On coiffe et on aplanit. On bataille pour estomper pour effacer pour annihiler Le Tout.
Oui. Rien à faire. Mes pieds dansent. Mon souffle danse. Mes rires sont suspendus à des volutes et les larmes quand elles quittent mes yeux dessinent des vaguelettes. Mes cils font du trapèze et mon sexe bat la mesure. Mon sourire est une volée d’hirondelle et mon regard un diable à ressort. Quand j’écrivais mes mots hésitaient entre farandoles et danse-contact et quand je calculais, mes chiffres hispaniques se croyaient dans une milonga pendant que valsaient triangulairement mes équations.
Et pourtant. Pourtant.
Même si j’aime la danse. J’aurai voulu faire sans.
Même si elle m’est aussi nécessaire que le souffle aux narines, et que l’aiguille à mon réseaux carmin, j’aurais préféré faire sans. Désapprendre. Etre pareil. Plutôt que faire peur. Faire pitié. Dégouter. Oui je dégoûte. Ne plus dégoûter. Je préférerais ne pas dégouter. J’aurais largement préféré amputer ma différence pour appartenir à la vallée à devoir vivre sur les pentes. Les pentes instables. Instables et meubles livrées aux chutes de pierre et au coulée de boue. J’aurais préféré être confortable et conciliant. J’aurais oui versé de temps en temps quelques regrets aseptisés sur mes pieds appesantis. Aaah… faire partie. J’aime bien faire parti. J’aimerais faire partie. Ça n’est jamais arrivé. Je ne sais pas trop ce que c’est. Je crois que j’aimerais ça. Je l’envie aux gens de la vallée. Quand je les vois ensemble, ça a l’air bien. De faire partie. Ils n’ont pas l’air perdus.
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epopoiia-leblog · 1 year
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Ralentir
Elle est devenue vertigineuse cette mode qui nous faisait tant rêver.
La fast fashion, désormais reine de notre belle industrie, admire du haut de son trône les fruits de son succès. Des collections qui s’enchaînent dans un manège infernal au tournoiement incessant et nous qui les dévorons les unes après les autres sans jamais nous sentir rassasié.e.s. Loin derrière elle les conditions déplorables dans lesquelles elle exploite sa main d'œuvre, fermer les yeux ménage habilement les mauvaises consciences.
Sous nos yeux défilent les nouveautés qui ne cessent de nous appâter, de nous amadouer, de nous allécher pour nous faire consommer encore et toujours plus. Ce n’est jamais assez mais pourtant déjà trop.
Difficile pourtant d’incriminer un coupable quand nous sommes toustes engagé.e.s dans ce rythme effréné. Difficile tout autant de ralentir le pas lorsque l’on est porté par l’euphorie du rythme de la course. Mais quand les dégâts sont déjà là, avons-nous encore le choix ? Au regard de notre Terre qui va mal et de ceux qui payent le prix de nos fardeaux, n’est-il pas urgent d’imposer un changement ?
Changeons de perspective. Ralentir ne sera pas une nouvelle injection mais notre salvation. Faire preuve de sobriété ne nous privera pas de rêve, ni de modernité, mais nous ouvrira la porte vers un monde où il est bon d’avoir le temps de créer, de contempler, d’apprécier et de porter nos vêtements. Celui d’une mode durable pour un monde durable. Ne se trouve-t-il pas là finalement le rêve ?
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vincentdelaplage · 2 years
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Le thème du romantisme #culturejaiflash #peinturefigurative MADAME RIMSKI KORSAKOV Franz Xaver Winterhalter (1805-1873), est un peintre romantique allemand, "Clara Schumann : Romance en la mineur (Marie Vermeulin)" https://youtu.be/uuo4erQWWUU Le Second Empire marqua les esprits en France. Période faste pour la cour royale qui vivait dans une certaine exubérance, où les bals se mêlaient aux réceptions officielles, dans des tournoiements de crinoline et de regards chargés de sous-entendus. Franz Xaver Winterhalter est un peintre qui a vécu cette période mouvementée mais qui y a aussi pris part en étant un des portraitistes les plus en vogue. Des portraits officiels aux plus intimes, tous les aristocrates d’Europe souhaitaient avoir le leur. On lui doit de nombreux chefs-d’oeuvre qui sont aujourd’hui des symboles de cette période. Parmi eux, le portait intime de Madame Rimsky-Korsakov, aristocrate russe vivant en France à la cour de l’impératrice Eugenie, réalisé en 1864. https://www.facebook.com/groups/2633342570072743/?ref=share_group_link https://www.instagram.com/p/Cg6NMbHsa2y/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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emestrella · 2 years
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Vivre avec un vide au creux du ventre
La lanterne éteinte l'appétit mauvais
Un arrière goût de pourriture ou de catastrophe à venir
Ce n'est pas ce que je croyais, être grande
Mes os parleraient sûrement mieux que moi
Une mélodie funèbre mais solide, faite de tintements de tournoiements ou encore de crissements,
un joyeux cri de martyr
Qui pourtant ne lâche rien
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LA VALSE (SULLY PRUDHOMME) Dans un flot de gaze et de soie, Couples pâles, silencieux, Ils tournent, et le parquet ploie, Et vers le lustre qui flamboie S’égarent demi-clos leurs yeux. Je pense aux vieux rochers que j’ai vus en Bretagne, Où la houle s’engouffre et tourne, jour et nuit, Du même tournoiement que toujours accompagne Le même bruit. — Sully Prudhomme, Les solitudes Photo : Rogelio de Egusquiza (1845-1915) , The End of the Ball
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christophe76460 · 2 years
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RHAPSODIE DES RÉALITÉS
PASTEUR CHRIS OYAKHILOME
LUN. 23 MAI 2022
UNE PLUS EXCELLENTE FAÇON DE DONNER DES LOUANGES
Et David dansa devant l'Éternel de toute sa force; et David était ceint d'un éphod de lin (2 Samuel 6:14). Et David dansa devant l'Éternel de toute sa force; et David était ceint d'un éphod de lin (2 Samuel 6:14).
Il y a ceux qui pensaient que dans le verset ci-dessus, David dansait simplement dans la chair. Alors, souvent, ils disaient qu'ils voulaient danser comme David avait dansé, et ils se mettaient à tournoyer de toutes leurs forces. Non! David était un homme de l'Esprit. Lorsque l'Arche de Dieu a été amenée dans la ville de David, notre verset thématique dit : « …David a dansé devant l'Éternel de toutes ses forces ; et David était ceint d'un éphod de lin. ”
Remarquez la partie soulignée. À cette époque, s'habiller d'un éphod de lin représentait l'office du prêtre. Chaque fois que le prêtre était dans ces insignes, il fonctionnait dans son bureau spirituel. David était ceint d'un éphod de lin; étant aussi un prophète, évidemment instruit par l'Esprit, sa danse telle que décrite dans le texte hébreu était très différente de la danse charnelle des célébrations normales.
Quand la Bible dit qu'il a dansé devant le Seigneur, le mot hébreu pour danse est "karar", et il ne se réfère pas au genre de tournoiement et de giration que la plupart des gens pensent. « Karar » signifie sautiller et sauter et tourner, tournant autour de son propre axe, comme un enfant.
La danse de David est similaire à ce que Jésus a fait dans Luc 10 :21 ; la Bible dit : « A cette heure-là, Jésus se réjouit (grec : agalliao) en esprit… ». Il sautillait et sautait comme un enfant. Ainsi, le fait que David ait dansé de toutes ses « forces » ne se réfère pas à s'exercer physiquement sur la piste de danse, comme la plupart des gens le font aujourd'hui. Le terme est « oze, oze » en hébreu, ce qui signifie qu'il a dansé avec toute sa gloire, toute sa majesté ; il a dansé avec tous les insignes de Dieu sur lui. Gloire à Dieu!
La meilleure description pour cela dans le Nouveau Testament est le mot grec « agalliao » ; c'est une danse de l'intérieur. Danser dans la chair détourne votre esprit de la véritable révérence et de l'adoration ; cela dissipe le pouvoir spirituel, et beaucoup ne s'en rendent pas compte.
En ces derniers jours, l'Esprit de Dieu nous montre une manière plus excellente de rendre à Dieu la véritable louange et l'adoration. Les jours de la danse charnelle dans les congrégations chrétiennes sont révolus. Lorsque nous adorons le Seigneur, cela doit et devrait toujours être dans l'esprit : "Car nous sommes les circoncis, qui adorons Dieu en esprit, et nous réjouissons en Jésus-Christ, et n'avons aucune confiance dans la chair" (Philippiens 3:3) . Aussi, Jean 4 :23-24 dit : « Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car le Père cherche de telles personnes pour l'adorer. Dieu est Esprit : et ceux qui l'adorent doivent l'adorer en esprit et en vérité.
PRIÈRE / CONFESSION
Cher Seigneur, merci pour le privilège de l'adoration et pour m'avoir guidé sur le chemin de la vraie louange et de l'adoration qui vous convient. Merci de m'avoir accordé la capacité de conditionner mon esprit et mes sens pour vous offrir une véritable adoration de mon cœur qui transmet votre gloire pour transmettre mon monde, au Nom de Jésus. Amen.
UNE ÉTUDE PLUS APPROFONDIE
Jean 4:23-24 NIV ; Philippiens 3:3 NIV
PLAN DE LECTURE BIBLIQUE D'UN AN
Jean 11 :1-16 ; 2 Rois 10-12
PLAN DE LECTURE BIBLIQUE SUR 2 ANS
1 Corinthiens 11:30-34 ; Proverbes 19
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kino51 · 2 years
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Le Horla 1966
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oviri7 · 2 years
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« Vivre une vie cultivée et sans passion, au souffle capricieux des idées, en lisant, en rêvant, en songeant à écrire, une vie suffisamment lente pour être toujours au bord de l’ennui, suffisamment réfléchie pour n’y tomber jamais. Vivre cette vie loin des émotions et des pensées, avec seulement l’idée des émotions, et l’émotion des idées. Stagner au soleil en se teignant d’or, comme un lac obscur bordé de fleurs. Avoir, dans l’ombre, cette noblesse de l’individualisme qui consiste à ne rien réclamer, jamais, de la vie. Être, dans le tournoiement des mondes, comme une poussière de fleurs, qu’un vent inconnu soulève dans le jour finissant, et que la torpeur du crépuscule laisse retomber au hasard, indistincte au milieu de formes plus vastes. Être cela de connaissance sûre, sans gaieté ni tristesse, mais reconnaissant au soleil de son éclat, et aux étoiles de leur éloignement. En dehors de cela, ne rien être, ne rien avoir, ne rien vouloir. »
Fernando Pessoa - Le livre de l’Intranquillité
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imbrogliosavant · 2 years
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La chambre, la demoiselle et les questions (p.2).
Lorsqu’elle se réveilla, il était 9h, elle s’était couchée vers 2h du matin mais elle se sentait en pleine forme, ayant bénéficié d’un bon sommeil réparateur auquel elle n’avait plus eu le droit depuis des lustres. Elle traîna 30 minutes ou peut-être plus sur son portable avant de se lever et d’aller prendre une douche. Chose faite, elle se créma et s’habilla rapidement avant de passer à ses cheveux indomptables et gonflés de partout. Elle avait pris la fâcheuse habitude de ne plus se coiffer, enfin de ne plus les brosser. Elle était épuisée. Elle aimait ses cheveux, elle n’avait jamais eu de complexes par rapport à eux, mais ils subissaient le même traitement que sa chambre. En effet, lorsqu’elle se sentait instable, sur les plans émotionnels et mentales, victime de ses pensées harassantes, elle avait pour habitude de négliger la tenue de sa chambre. Au contraire, lorsqu’elle se décidait à se reprendre en main, toujours assez rapidement entre 3 jours et une semaine, elle rangeait sa chambre, pliait les vêtements qu’elle entassait sur une chaise qui n’était pas prévue à cet effet et enfin elle se peignait et prenait soin de ses cheveux. En fait, c’était simple, c’était comme si pour que sa tête soit ordonnée il fallait que son espace personnel extérieur le soit également. Cette chambre était l’indicateur de sa situation mentale et émotionnelle. Attention, parfois cette technique fonctionnait et d’autres fois non, sa chambre était dans un piteux état uniquement parce que c’est une flemmarde.
Par ailleurs, elle l’avait compris récemment. Pour qu’elle soit rangée dans sa tête, il fallait également que son espace personnel le soit. Ce processus commençait toujours par la tête avant de se refléter extérieurement au travers de sa chambre. Parfois, même à une heure tardive, elle ressentait le besoin de ranger sa chambre, puisqu’elle avait réussi à répondre à ses questions existentielles.
Elle avait aussi remarqué que lorsqu’elle se sentait défaillir sous le poids écrasant de toutes ces questions qui jaillissaient d’elles-mêmes dans son cerveau, elle n’était pas d’humeur. Elle était généralement froide et même méchante. Ce comportement ne passait pas inaperçu. On disait même d’elle qu’elle était bizarre. Le « on » désigne ceux qui sont présents dans sa sphère familiale. Je ne pense pas que ses amis percevaient ces différences. Elle ne vivait plus avec ses parents depuis 10 ans, mais cet aspect de sa personnalité était resté le même depuis son enfance. Elle avait essayé de vivre en colocation, mais ça c’était mal fini à cause de cet « aspect de sa personnalité ».
C’était aussi sensiblement pour cette raison qu’elle se sentait incomprise et ce depuis toujours. Elle avait désormais 30 ans et pourtant elle avait l’impression d’être restée bloquée à ses 13 ans, époque à laquelle ce tournoiement infernal de questions avait débuté. Malgré son âge, elle n’était « toujours » pas mariée. Étant issue d’une culture dans laquelle si aux environs de 25 ans on est toujours célibataire, on est affublé du surnom quelque peu reluisant et même insultant de vieille fille. Cependant, son célibat ne l’a choquait pas, il ne l’effrayait pas non plus d’ailleurs. Elle avait toujours eu l’intime conviction qu’elle ne ferait rien comme les autres. Elle n’était pas contre le mariage mais elle ne s’imaginait pas non plus mère de famille. Elle voulait occuper le statut de concubine ad vitam æternam. En effet, ce statut plus que celui de mariée l’attirait puisqu’elle s’imaginait à travers lui une certaine liberté. Celle de ne pas être catégorisée de bizarre, solitaire ou même marginale par sa famille mais c’était aussi un moyen de fuir sa solitude et toutes ses questions récalcitrantes.
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MARDI 26 OCTOBRE 2021(Billet 1 / 3)
« ILLUSIONS PERDUES » (2h30)
Une adaptation flamboyante du roman de Balzac, portée par une étincelante distribution.
Avec : Benjamin Voisin, Vincent Lacoste, Xavier Dolan, Salomé Dewaels, Jeanne Balibar, Gérard Depardieu, André Marcon, Louis-Do de Lencquesaing, Jean-François Stevenin (son dernier rôle)…
THÈME
Au début du XIX° siècle, Lucien de Rubempré (Benjamin Voisin) taquine la Muse à Angoulême. Mais le jeune poète a vingt ans et il rêve d’un destin national. Sitôt son premier recueil de poèmes paru, il quitte l’imprimerie familiale où il gagne sa vie, et « monte » à la Capitale avec, à son bras, Louise de Bargeton, sa protectrice de dix-huit ans son aînée (Cécile de France). Bientôt abandonné par celle-ci et livré à lui-même au sein d’une ville et d’une société - bourgeoise et aristocratique - dont il ne connait pas les codes, le jeune homme va découvrir les coulisses d’un monde voué à la loi du profit et des faux-semblants. Il va y rencontrer, en vrac, Etienne Lousteau, un journaliste vendu au plus offrant (Vincent Lacoste), un écrivain surdoué, Raoul Nathan (Xavier Dolan), un imprimeur analphabète et corrompu (Gérard Depardieu), une jeune actrice entretenue, mais au cœur tendre (Salomé Dewaels), une marquise cruelle (Jeanne Balibar), un patron de presse d’un cynisme absolu (Louis-Do de Lencquesaing), et d’autres personnages du même acabit.
La jeune actrice mise à part, tous vont se révéler être les acteurs d’une comédie où tout s’achète et tout se vend, la politique comme les sentiments, la presse, comme la littérature, les corps, comme la notoriété. Rubempré va, aimer, souffrir mille morts, voir ses rêves se briser mais finalement, comme beaucoup d’autres, il survivra à ses (dés)illusions.
POINTS FORTS
Quand Xavier Giannoli découvre « Illusions perdues » de Balzac, il a vingt ans, l’âge de Rubempré son héros, et alors qu’il n’est même pas encore cinéaste, il est tellement ébloui par cette œuvre si dramatique et en même temps si drôle et si féroce, qu’il éprouve, d’emblée le désir de la porter sur le grand écran… Quand on mûrit un projet pendant près de trente ans, ce n’est évidemment pas pour au final « colorier les images du roman qui l’inspire ou en plagier maladroitement le récit dans une adaptation académique ». Après avoir exploré le livre de Balzac pendant toutes ces années, Xavier Giannoli en a tiré cette adaptation. Elle est à la fois magnifique, virtuose et polyphonique, tragique et comique, cruelle et tendre, insouciante et mélancolique.
Pour mieux faire entendre le verbe de Balzac, le cinéaste utilise la voix off, un « outil » redoutable, qui peut faire basculer un film dans l’ennui. Avec Giannoli, utilisée en surplomb de l’action, elle dope au contraire le film, lui donne de la tension en même temps qu’elle nous ramène sans cesse au romancier, sans que jamais le style de ce dernier ne pèse. C’est Xavier Dolan qui est en charge de cette voix. Phrasé, ton, façon de faire les liaisons sans « ampouler » la diction, le comédien canadien (ici, sans le moindre accent de la Belle Province) est plus que parfait.
La mise en scène est somptueuse, élégante et musicale. Elle nous entraîne sans fausse note et sans contretemps dans le tourbillon de la vie des personnages. Comme sur un rythme de valse. Avec des accélérations et des tournoiements qui donnent le vertige, où les phrases décochées alors ressemblent à des flèches qui empoisonnent leurs destinataires plus efficacement qu’une dose de curare. Avec des moments « suspendus » aussi, pendant lesquels, tout d’un coup, l’humanité, la sincérité et la naïveté retrouvent le droit de cité.
La critique de la société est d’une modernité saisissante. Les mondes de la presse, de l’édition et du théâtre en prennent particulièrement pour leur grade. On y découvre à quel point ils peuvent être sans scrupule, de mauvaise foi et corrompus. A l’époque, on ne parlait pas de « fake news », mais de « canards ». Mais peu importe. On se rend compte que, comme le dit l’écrivain Nathan, « La compromission est de tous les siècles ».
La distribution est aussi pour beaucoup dans la réussite du film. A commencer par Benjamin Voisin. Tour à tour douloureux, naïf, flambard et sûr de lui, il joue un Rubempré avec l’aisance physique d’un Depardieu à ses débuts. Il dit aussi les mots de Balzac avec un naturel déconcertant. Tout comme ses partenaires, dont Vincent Lacoste (excellent en journaliste pourri), Xavier Dolan (sensationnel en écrivain qui tente de conserver son âme), Louis-Do de Lencquesaing (admirable en patron de presse cynique) ou encore Gérard Depardieu qui campe, avec la truculence tonitruante et géniale dont il est capable, un éditeur qui sait mieux compter que… lire. Les interprètes féminines ne sont pas en reste, à commencer par la jeune comédienne belge Salomé Dewaels qui interprète l’actrice Coralie, la maîtresse de Rubempré, le seul personnage vraiment touchant parce que sincère, de cette « Comédie humaine ».
QUELQUES RÉSERVES
Les Balzaciens purs et durs regretteront peut-être que Xavier Giannoli se soit résolu à ne traiter dans son film que la seconde partie du roman, et qu’il ait fait le choix de sacrifier quelques-uns des personnages. Le réalisateur rétorquera -à juste titre - que c’était le « prix à payer » pour garder à son récit sa fluidité, sa limpidité et sa force.
(Source : « culture-tops.fr »)
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Après avoir longuement cherché une critique « pro » qui se rapprochait le plus de nos avis, nous avons trouvé celle-ci, qui plus est, REMARQUABLEMENT écrite. Elle résume au mot près tout ce que nous avons pensé de ce film, à l’exception de « Quelques réserves », n’ayant jamais lu le roman d’Honoré de Balzac.
Juste conclure en disant que c’est le meilleur film que nous ayons vu à ce jour (JM rajoute « Bac Nord » qui, dans un son genre, était aussi excellement réussi).
Après une soirée et une nuit de « décantation », nous avons décidé tous les deux de lui accorder le score maximal, c’est-à-dire ❤❤❤❤❤ sur 5. Et si vous ne deviez voir cette année qu’un seul film, c’est celui-là que nous vous conseillerions (et nous vous rembourserons la place si en sortant de la salle de cinéma vous ne l’avez pas apprécié, c’est dire !).
N.B. La bande-annonce est excellente, ne la ratez pas.
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feluz9 · 3 years
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Tu ouvres la nuit la plus pleine de la pointe de tes seins. Tu viens vers moi dans le tournoiement d’une ville qui ne s’éclaire plus qu’à la clarté du désir.
Je ne saurai jamais la distance à parcourir entre la lampe sourde de ton ventre et mon corps. Je sais que je te rejoins dans un baiser qui ne laisse point passer le jour.
Sous ma main ensablée dans les caresses, il reste les hauteurs de ta gorge, vers lesquelles j’avance, la bouche pleine de soleil.
A force d’avoir mon visage contre ton visage, j’oublie que le monde commence au-delà de ton regard. A jeter l’un dans l’autre nos plus sûrs filets, nous ramenons tous les poissons de la joie.
Lucien Becker
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tournelavie · 3 years
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LES AMANTS
Vois comme ils croissent l'un vers l'autre :
dans leurs veines tout devient esprit.
Leurs corps frémissent comme les axes
au centre d'un tournoiement, brûlant, violent.
Assoiffés, il leur est donné à boire,
veilleurs, voici ce qui leur est donné à voir;
Laisse-les sombrer l'un en l'autre
pour qu'ils se survivent l'un à l'autre.
Rainer Maria Rilke
Paris, été 1908
Les poésies d'amour
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