#tout doucement
Explore tagged Tumblr posts
Text
youtube
Bon Matin 💜😉🤗💟
Bibie 🎶 Tout doucement
#clip vidéo#bibie#music video#tout doucement#80s music#clip music video#youtube#bon matin#fidjie fidjie
28 notes
·
View notes
Text



Le soleil s’incline doucement derrière les crêtes du Vercors,
Teignant le ciel de teintes orangées et d’or.
Les arbres, silencieux, se dressent comme des ombres fidèles,
Accueillant la brise fraîche qui effleure leurs cimes, solennelles.
Les dernières lueurs glissent sur les feuillages dorés,
Tandis que la montagne s’endort dans la douceur de la nuit.
Les sapins murmurent leurs secrets aux étoiles qui viennent,
Tandis que le ciel s’assombrit, paré d’une sérénité ancienne.
Le silence s’étend, tout s’efface peu à peu,
La nature, comme un souffle, se fait plus silencieuse, plus bleue.
Sous la caresse du crépuscule, le monde semble suspendu,
Et les arbres du Vercors, dans la pénombre, restent immobiles, contenus.
Cognin les Gorges / France 🇫🇷
PhoTo ©️LM
160 notes
·
View notes
Text

Le café, c'est ici et maintenant....
Au bord de la mer, là où le bruit apaisant des vagues qui se brisent sur les rochers, s'accorde parfaitement avec l'arôme profond du café chaud. La brise marine caresse doucement le cœur, mêlant l'odeur du sel et du café en une symphonie sensorielle. Dans ce moment suspendu, le temps semble s'arrêter : c'est une pause simple, mais infiniment précieuse, où chaque gorgée réchauffe l'âme tandis que l'horizon invite à la rêverie.
Bonjour et bonne dégustation à toutes et tous ! ☕️ 💙
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
86 notes
·
View notes
Text
Un petit matin câlins...des mots d'amour caressent doucement la joue...un baiser dans le cou... envie de calme et de tendresse... tout en délicatesse..... Bonne journée chers amis
115 notes
·
View notes
Note
Hello, frenchublog,
I'm very sorry if it's late where you live 🙏🏻 (cuz I live in France and it's 15min to 5am so)
I was just wondering if you could give me some advice on how to set up a shop like yours ?
I haven't yet started to post my art but since it could represent a potential small soucre of income, I started scanning my old art to either post it as is or/and paint over them digitally to properly set up my account.
I don't know if you'll read this, but thank you nonetheless
Heyo Neril !
Je vais me permettre de répondre en français héhé
D'abord merci pour ton autre message j'apprécie vraiment le soutient. Je vais raconter un peu dans les grandes lignes comment ça s'est déroulé. J'ai toujours voulu vendre mais je n'avais pas assez confiance en moi et à chaque fois je me décourageais vite. En début d'année j'ai tenté une connerie et je suis à ce jour toujours en arrêt. Sur conseil du psychiatre, elle m'a conseillé de faire ça pendant que j'étais à la maison.
Au début, je passais par pixarprinting pour les impressions (et d'ailleurs je ferai toujours du restock pour les grands formats sur ce site) Une de mes meilleure amie passait par Bigcartel pour l'hébergement, après tu édites ton site selon ton esthétique.

Évidemment c'est une organisation car les commandes m'ont permis d'agrandir l'activité. J'ai pu investir dans le matériel mais il y a des indispensable (les wraps pour emballer, les enveloppes etc. car lors de l'envoi on veut protéger le print de la pluie par exemple) Commander sur internet est onéreux donc j'ai décidé d'investir (et l'investissement est assez conséquent) une nouvelle imprimante Canon Pixma Pro a pu être acheté, une massicot pour les ajustements car maintenant je peux faire des impressions à la maison. Regarde l'immense bordel que j'ai haha mais tout est trié, classé, et c'est super important d'avoir une organisation sinon on peut être facilement être submergé.


Le soutient fort que j'ai reçu m'a permis d'acquérir ce bébé, la cricut pour les stickers. C'est ce qui m'a permis d'agrandir le côté merchandize et personnaliser à fond mes créations, l'emballage.

Pour ce qui est du site, toujours sur Bigcartel, tu établis le paypal en mode business et si tu veux mettre plus de choses sur ton catalogue tu payes 15 euros par mois mais gratuitement tu peux mettre au max 6 prints ce qui est respectable pour commencer doucement. Tu choisis ton thème, tes couleurs vraiment tu te fais plaisir sur ce côté là. En fait, assure toi que tes créations soient quali niveau impression, genre ce que je me dis quand je fais mes trucs c'est me poser la question "Est ce c'est valable ? Est ce que je peux les vendre ?" et si les standards sont pas bon, je recommence. De manière général des A4 ou A5 en format et entre 260 et 300 pour le grammage papier.
Après tu dois aussi vendre tes créations donc pour tout ce qui concerne la promotion c'est bien d'avoir plusieurs réseaux sociaux et de build une communauté. J'espère que j'ai pu t’aiguiller un peu, je dois t'avouer pour moi aussi c'est récent et il m'arrive de faire des erreurs mais on apprends au fur et à mesure, il faut être patient.
Merci pour ta question Neril ! Belle après-midi ! (et il faut dormir !)
49 notes
·
View notes
Text
"Je ne suis pas là pour te divertir.
Je ne suis pas là pour te réparer.
Je ne suis pas là pour te sauver, te guérir ou te ranimer.
Je ne suis pas là pour te faire parler.
Je ne suis pas là pour te donner toute mon énergie.
Je ne suis pas là pour faire de ton histoire la mienne.
Je ne suis pas là pour t'écouter sans cesse.
Je ne suis pas là pour te faire plaisir. Je ne suis pas là pour te dissiper.
Je ne suis pas là pour te distraire de l'ennui et de la banalité.
Je ne suis pas là pour masquer ta tristesse et nourrir ton cœur fragile.
Je ne suis pas là pour te tenir la main. Je ne suis pas ici pour régler tes blessures d’âme.
Je ne suis pas là pour te livrer au monde.
Je suis là pour t'aimer fortement !
Je suis là pour t'aimer de la même façon que je m'aime. Je suis là pour être un ajout à la joie que tu as déjà.
Je suis ici pour me reposer, mais pas m’effondrer en toi.
Je suis là pour te soutenir, t'entendre, te voir.
Je suis là pour te faire l'amour. Je suis ici pour t'aimer doucement, doucement et férocement.
Je suis ici pour vivre des choses avec toi. Je suis là pour t'accompagner.
Je suis là pour grandir �� côté de toi...!!! "
Janne Robinson

35 notes
·
View notes
Text
𝓁𝑜𝓁𝓁𝒾𝓅𝑜𝓅 - Jung Wooyoung

𝓟𝓪𝓲𝓻𝓲𝓷𝓰 : woooyoungxfem!reader(OC)
𝓢𝔂𝓷𝓸𝓹𝓼𝓲𝓼: Après des semaines de frustration et l'envoi d'un photoshoot, la tentation devient trop forte..
𝓦𝓸𝓻𝓭𝓼 : 2.374
𝓖𝓮𝓷𝓻𝓮 : Smut 🔞
𝓦𝓪𝓻𝓷𝓲𝓷𝓰𝓼 : Minors do not interact, 18+ only / Smut / Nsfw / Unprotected sex / Dirty talk /Romance /Kissing / Creampie / Oral sex / Penetrative Sex...
𝓝𝓸𝓽𝓮𝓼 : French fiction / Petit craquage après les photos d'Arena de Wooyoung...

Après quelques coups désespérés à la porte, elle s’ouvrit sur Jongho.
Où est-il ?! demanda Mia.
Mia, salut ! On ne t’attendait pas, commença Jongho.
Où est Wooyoung ? demanda-t-elle avec impatience.
Dans sa chambre… répondit le garçon, mais il fut coupé par la jeune femme qui prit immédiatement la direction de la chambre de son petit ami.
Jongho ferma la porte, prit ses affaires et sortit de l’appartement. Hongjoong étant au studio, il préférait ne pas rester là à écouter leur dispute. Mia traversa l’appartement avant d’ouvrir violemment la porte de la chambre de son petit ami, ce qui le surprit.
Il était là, lui, avec ses foutus cheveux argentés… debout dans cette chambre… et ce sourire habituel sur son visage.
Tu te fous de moi ? dit-elle.
Bonjour, princesse, répondit-il en s’approchant d’elle.
Non, ne joue pas à ça, Jung Wooyoung ! S’exclama-t-elle.
Wooyoung s’approcha encore, jusqu’à la coller contre son torse, un sourire fier sur les lèvres. Cela faisait trois semaines que le couple ne s’était pas vu à cause de l’emploi du temps chargé du garçon. Après son tournage pour Arena, il avait décidé de lui envoyer quelques photos de son shooting qu’il avait réussi à récupérer.
Trois semaines sans se voir, et tu oses m’envoyer des photos comme ça ! S’énerva Mia.
Pour toute réponse, Wooyoung captura ses lèvres dans un baiser doux. Ses mains de part et d’autre de son visage, il l’embrassait avec une certaine tendresse mêlée à une impatience frustrée. Trois longues semaines sans voir sa petite amie… Mia s’accrocha à son t-shirt pour approfondir le baiser. Le garçon lui avait manqué. Ses lèvres, son corps collé contre le sien… Elle se pressa un peu plus contre lui, passant ses bras autour de son cou pour prolonger leur étreinte.
Sa langue glissa sur les lèvres du garçon, qui lui donna aussitôt l’accès. Wooyoung descendit ses mains jusqu’au dos de Mia pour la coller encore plus contre lui. Le baiser devenait sensuel, presque bestial. Trois semaines sans se toucher ni s’embrasser, c’était dur pour eux. Wooyoung écarta doucement les jambes de Mia, plaçant la sienne entre celles de la jeune femme.
Mia rompit le baiser, haletante, le regard brumeux, les lèvres entrouvertes. Wooyoung la fixa, arborant ce sourire en coin qu’il avait pris l’habitude de lui montrer.
Je te déteste, Jung Wooyoung, toi et tes foutus cheveux argentés… dit-elle.
Le garçon la regarda en riant.
Devrais-je les reteindre en noir ? répondit-il, taquin.
Non ! Pas tant que je n’aurai pas pleinement profité de toi, dit-elle avec un sourire espiègle.
Wooyoung s’était teint les cheveux pendant la période où ils ne s’étaient pas vus, alors Mia les voyaient pour la première fois. Les pensées qui avaient traversé son esprit, amplifiées par les photos du shooting de Wooyoung, ne l’aidaient pas à garder son calme.
Maintenant, tu vas me montrer ce magnifique corps que tu as volontairement exposé pour que tes chères fans se languissent de toi… dit-elle en caressant son torse.
Wooyoung frissonna sous son contact. Mia n’était généralement pas si entreprenante dans leur relation, mais ce soir, ce côté de sa personnalité l’excitait au plus haut point.
Oh, ma princesse est frustrée… Que veux-tu voir en premier ? Ça ? dit-il en dévoilant ses clavicules. Ou alors ça ? continua-t-il, remontant son t-shirt pour laisser entrevoir légèrement le bas de son ventre musclé, dessiné d’un V bien défini.
Mia se mordit la lèvre. Wooyoung était un sale gosse, et il le savait très bien.
Enlève ton t-shirt, ordonna-t-elle d’un ton autoritaire.
Wooyoung sourit et obéit, retirant son t-shirt pour se retrouver simplement vêtu d’un jogging gris qui lui tombait bas sur les hanches. Mia se rapprocha et fit glisser ses doigts le long de ses clavicules. Délicatement, elle déposa sa bouche sur sa peau, l’embrassant et la mordillant légèrement.
Le garçon se mordit la lèvre, visiblement troublé. Il posa ses mains sur les fesses de Mia, mais sentit quelque chose dans la poche arrière de son jean. Il en sortit le contenu : une sucette atterrit dans sa main.
Un enfant me l’a donnée au travail. Je l’avais complètement oubliée, dit-elle en continuant sa « torture » sur le torse de Wooyoung.
Intéressant… J’ai fait une photo avec une sucette, répondit-il, ouvrant le bonbon pour le mettre dans sa bouche.
Mia le regarda, et Wooyoung fit tourner sa langue autour de la sucette de manière sensuelle, presque provocante, aguichant ouvertement la jeune femme. Les yeux de Mia s’assombrirent sous l’effet du désir.
Wooyoung retira la sucette de sa bouche, la léchant d’une manière délibérément suggestive. Mia n’y tint plus et captura ses lèvres, goûtant la saveur sucrée du bonbon qui se mêlait à celle de ses lèvres. Un mélange de salive et d’arôme de fraise se mêlait à leur baiser passionné.
Les doigts de Mia glissèrent dans les cheveux blonds de Wooyoung, qu’elle tira légèrement, rompant le baiser.
Prends tes responsabilités maintenant… Dit elle prenant la sucette de ses doigts
La sucette dans sa bouche, elle fait exactement les mêmes gestes que Wooyoung précédemment, avant de venir faire glisser la sucette sur les clavicules du garçon. Pour ensuite y venir ajouter sa langue, dégustant la sucette sur son torse… Wooyoung fut surpris sur le moment, mais se laissa faire. Il savait que quand Mia était comme ça, il ne pouvait rien en tirer. Alors il bascula la tête en arrière faisant glisser ses doigts dans les cheveux de la jeune femme.
Mia descendait de plus en plus, traçant des lignes avec la sucette et sa langue. Sur son sternum, pour ensuite dévier vers les tétons du garçon. Qu’elle prit un malin plaisir à titiller. Wooyoung gémissait doucement la torture que Mia lui faisait lui plaisait grandement. Mia continua sa descente jusqu’à son ventre.
Putain princesse, tu veux me tuer… Dit-il haletant
Autant que toi et ces putains de photos… Répondit-elle léchant et mordillant le ventre du garçon.
Les doigts de Wooyoung se resserraient dans les cheveux de Mia, tant, il la sentait se rapprocher de l’élastique de son pantalon. Mia arriva juste au niveau de l’élastique de son jogging, ou les lignes effilées de son bas-ventre se dessinaient en V accentuant sa silhouette athlétique. Cette partie du corps qu’elle adorait chez son petit ami. Elle vint faire glisser la sucette avant d’ajouter sa langue et de mordre doucement cette partie faisant gémir Wooyoung. Elle suça sa peau laissant une légère marque rosée. Wooyoung grogna, n’aimant pas les marques à cause de son travail, mais Mia souriait satisfaite.
Elle était à présent à genoux devant Wooyoung, son intimité fièrement dressée devant elle. Elle leva le regard vers son amant, reprenant la sucette dans sa bouche, la suçant tout en le regardant dans les yeux. Wooyoung se mordait la lèvre, Mia à genoux devant lui, tellement désirable. Il prit la sucette de sa bouche la mettant dans la sienne.
Je te déteste princesse, regarde comment tu me fais me sentir... Dit, il désignant son entre-jambe douloureuse.
Devrais-je te soulager alors ? Dit elle, frottant son visage conte son entre-jambe gonflé à travers le jogging.
Elle fit glisser son visage, son nez et ensuite déposa des baisers sur la bosse devant elle. Elle ajouta sa main, faisant lâcher un grognement à Wooyoung. Elle attrapa enfin l’élastique du jogging, avant de venir le faire glisser, laissant apparaître le souhait qu’elle désirait. Le froid subtil fit frissonner Wooyoung, mais un gémissement rauque sortit de sa bouche quand il sentit les lèvres de Mia autour de lui.
Putain…
Mia commença sa torture, faisant glisser sa langue sur l’entièreté de son membre. La veine apparente, se sentait sous sa langue… Elle glissa sa bouche avec facilité, le léchant, l’aspirant tout en faisant gonfler ses joues… Seuls, les gémissements et les bruits obscènes venant de sa bouche se faisaient entendre. La main de Wooyoung s’accrochait aux cheveux aubergine de la jeune femme. Il bougea les hanches, allant plus loin, déclenchant un réflexe à Mia qui ne broncha pas.
Putain, Princesse, regarde comment tu me prends si bien…
Mia continuait sa torture, elle retira sa bouche reprenant son souffle, son regard se perdit dans celui de Wooyoung, lui le regard vitreux la bouche ouverte par l’excitation. Mia, elle, le même regard, la bouche ouverte les lèvres rougies et gonflées. Elle se concentra de nouveau sur ce qu’elle faisait, faisant glisser sa main et son doigt jusqu’à l’extrémité, étalant l’humidité qui sortait du garçon. Elle le sentait trembler le sentant proche du gouffre.
Viens pour moi Wooyoung…
Mia reposa sa bouche autour de lui, et accéléra ses mouvements, elle se cala aux mouvements de hanches du garçon. Elle le sentait palpiter, et dans des derniers basculements elle le senti en elle, son goût salin se mêlant au goût fruité du bonbon partagé. Un gémissement puissant sorti de la bouche de Wooyoung pendant qu’elle avalait sans sourcilier. Wooyoung s’empressa de jeter le bonbon plus loin avant de tirer Mia par le bras la relevant face à lui.
Ok assez jouer maintenant ! Dit il poussant Mia sur le lit derrière eux
Mia fit assise sur le bord du lit, avant que Wooyoung vienne la déshabiller entièrement, après qu'il ait enlevé son jogging à présent nu lui aussi.
Tu m’as assez torturé comme ça pour ce soir... Dit il se mettant à genoux devant elle.
Mia abasourdit gémissait quand elle sentit la bouche de Wooyoung se poser sur son intimité découverte. Il la dévorait avec tant de ferveur, qu’elle serra les draps du lit derrière elle. La tête en arrière, la bouche ouverte, elle gémissait sentant le nez puissant de Wooyoung se frotter à son point sensible avec assurance. Sa langue glissait entre ses plis recueillant son humidité et s’en délectant.
Trois semaines sans moi et tu es aussi réactif… Dit il insérant deux doigts en elle.
Les doigts de Wooyoung glissaient avec aisance, lâchant des gémissements encore plus fort à Mia.
Doucement Woo…
Le garçon n’écoutait plus rien, absorber par le plaisir qui lui procurait... Sa main gauche tenant sa cuisse, sa main droite torturant son intimité. Sa langue glissait avec facilité.
Vient princesse… Je veux te sentir vibré sous ma langue… Dit il assoiffée
Les jambes de Mia tremblaient tant, le plaisir la submergea, le cœur battant à tout rompre, ses hanches suivant les mouvements de langue du garçon. Dans un cri aigu, le plaisir la parcourra la faisant recourber ses orteils. Elle se laissa aller dans un dernier gémissement se serrant autour de la langue de Wooyoung.
Le garçon satisfait de voir Mia aussi anéantie, se releva, léchant ses lèvres recouvertes de son humidité ainsi que son menton…
Je n’ai pas fini… Dit-il
Mia se mit sur ses coudes relevant la tête le regardant, elle le vit la surplomber, avant qu’il ne vienne capturer ses lèvres. Le baiser était bestial. Leurs dents s’entrechoquaient, leurs langues laissaient un filet de bave couler. Il prit Mia dans ses bras, la remontant dans le lit avant de le faire basculer, la tête dans l’oreiller le ventre contre le matelas.
Tu voulais jouer, tu voulais profiter de ce corps ? Profites-en, il est tout à toi…
Il lui chuchota ses mots tout en faisant relever son bassin et de coller son intimité à ses fesses.
Princesse, n’oublie pas les codes de couleur…
Hm….
Mia était encore perturbée par l’orgasme intense qu’elle venait de vivre, elle acquiesça légèrement avant de sentir Wooyoung glisser en elle jusqu’à la garde. Son dos se cambra et elle prit appui sur ses coudes se mordant l’avant-bras. Elle était habituée à sa taille, mais aussi longtemps sans l’avoir en elle la surprit un moment. Wooyoung, complètement absorbé par son désir, bougea les hanches férocement faisant claquer son bassin contre les fesses rebondis de Mia, les coups étaient puissants et vif.
C’est ça que tu voulais, Princesse ? Que je te prenne comme je suis en train de le faire. Dit-il bougeant son bassin en un coup puissant.
Mia cria, sentant l’agressivité des mouvements de hanches de Wooyoung. Il était rare que le garçon soit aussi passionné. Sa tête tournait, des larmes perlaient au coin de ses yeux tant le plaisir était intense... Mia essayait de parler, mais le coup puissant du garçon lui coupait le souffle.
De quelle couleur es-tu princesse ?? Demanda-t-il ayant ralenti la cadence
Vert… Dit-elle difficilement
Bien, c’est ce que je voulais entendre…
Et les coups puissants de Wooyoung reprirent, le gémissement animal du garçon et les cris de plaisir de Mia se faisaient entendre dans la pièce. Wooyoung tenait Mia par les cheveux, avant de la faire se relever changeant l’angle. À présent coller à son torse, le garçon toujours en elle, le plaisir était décuplé. La main veineuse du garçon à la peau mélanine contrastait avec la blancheur du cou de Mia. Il fit tourner le visage de Mia sa propre main toujours autour de sa gorge. Il captura ses lèvres dans un baiser sauvage tout en bougeant ses hanches.
Putain princesse…
Mia gémissait entre deux baisers, la langue de Wooyoung dans sa bouche, un filet de bave coulant le long de son menton. Les deux amants étaient proches…
Wooyoung, je... Je vais... Essayait-elle de dire.
Vient princesse... Je suis la…
Mia se cambra en avant les coups de bassin de Wooyoung l’ayant fait basculer, les mouvements étaient désordonnés, brutaux… La fin était proche, la sursimulation de Mia la fit se resserrer autour du garçon, qui dans un grognement se déversa en elle. Mia le rejoint aussitôt s’écroulant sur le matelas.
Wooyoung se retira avant de se glisser a coté d’elle sur le ventre, lui caressant le dos…
Tu m’as manqué… Dit-il doucement
Toi aussi… Toi aussi... Répondit Mia lui caressant la joue.
Ils étaient tous les deux allongés sur le ventre appréciant la proximité l’un de l’autre. Elle ne pensait pas venir ce soir, sachant qu’ils devaient se voir le week-end suivant. Mais se sale gosse et ses cheveux récemment teint. Lui avait envoyé des photos un peu trop suggestives, pour pouvoir passer une nuit sereine…

#ateez smut#wooyoung x reader#wooyoung#wooyoung smut#wooyoung x female reader#atz#atz x reader#atz smut#wooyoung scenarios#wooyoung hard hours#wooyoung fic#smut#kpop smut
18 notes
·
View notes
Text
Sur la ligne incertaine de tes lèvres penchées, je dépose, à l’envers, en bleuté flou, mes mots d’amour....💞✨

Je me parle de toi qui frôlerait du rêve, la beauté étant tienne, comme un temps révélé....💞✨✨

Je ne sais rien de plus que ces brisures douces d’où se glissent parfois de ces murmures étranges qui, pareils aux oiseaux, volettent doucement jusqu’à toucher mon âme,il en va ainsi, lentement, de cette envie de toi toute en baisers volés....💞✨✨🥀

J.D
22 notes
·
View notes
Text
youtube
Bon Soir ❤️🎙😉
Bibie 🎶 Tout simplement (tout doucement)
#live music#bibie#music video#tout doucement#tout simplement#80s music#live music video#youtube#bon soir#fidjie fidjie
16 notes
·
View notes
Text

Divine acte 2
Derrière la porte, la pénombre du boudoir et la chaleur du feu de cheminée qui vous enveloppe et éclaire de sa lueur diabolique un profond fauteuil rouge carmin...
Deux hommes nus, agenouillés, se tiennent près de ce fauteuil,yeux servilement rivés au sol....
La Divine, silencieusement, s'avance au centre de la pièce et en royale majesté prend place sur son trône de reine...
D'une main distraite,elle caresse négligemment les cheveux de l'un des hommes , tandis qu'elle donne a l'autre sa cheville à baiser religieusement ...
Et dans ce mouvement, ses cuisses s'écartent et offre à la vue des quelques spectateurs privilégiés,le spectacle de sa fente humide et rougeoyante....
D'une voix tranchante comme une lame de rasoir,elle ordonne à un de ses pantins soumis de se prosterner entre ses cuisses ,
s'approchant de son oreille,elle lui murmure de sa voix féline :"Fais moi jouir avec ta langue"
Trop heureux de s'exécuter l'homme- jouet, bandant déjà dur,dévore a pleine bouche,la belle chatte sauvage qui lui barbouille le visage...
Divine soupire d'aise et se cambre en arrière sur son fauteuil,offrant encore ainsi davantage son sexe avide de plaisir illicite à la bouche assoiffée...
Sentant son plaisir monter et voulant le retenir,elle saisit puissamment avec ses griffes l'homme par les cheveux,pour retirer de sa vulve, sa bouche, écumante de son jus de femelle alpha...
" Doucement jeune impatient,laisse la Divine savourer ta soumission...montre moi à quel point tu adores ta maîtresse... jusqu'à quelle limite va ta dévotion ? "
Il répond d'une voix tremblante,les yeux baissés...
"Divine,de vous je veux tout...être l'objet de vos plaisirs et de vos plus noirs desseins ,je suis là pour vous servir, je vous offre mon âme,prenez là si cela peut vous satisfaire "
Divine,dans un rire cruel et cynique,saisit alors son esclave par le cou,et approchant son visage près du sien,elle se met à serrer de ses longs doigts fins gantés de soie noire ,la gorge de l'infortuné, elle se repait du regard effrayé et extatique de sa victime consentante,prêt a mourir par sa main,ce dernier bande encore plus dur...
"Suffit de jouer"!,dit elle méprisante,ton âme m'importe peu"
Desserant son étreinte ,elle saisit la tête de l'homme a nouveau et la presse d'un geste autoritaire et sans appel contre son sexe volcan dont la lave coule maintenant entre ses cuisses, mêlée à la salive de son captif ...
31 notes
·
View notes
Text
Tu crois qu’il y a des moments aussi extraordinaires que d’assister à un coucher de soleil abrasif comme celui-ci ?
Le genre de ciel qui brûle, qui ne se contente pas de s’éteindre doucement,
mais qui explose en rouge vif, en orange tranchant,
comme s’il voulait laisser une trace dans la mémoire, une brûlure dans le regard.
C’est pas juste beau, c’est brutal.
C’est le genre de lumière qui te secoue l’âme,
qui t’arrache à ta routine,
et qui t’impose le silence.
Comme si le ciel lui-même criait quelque chose qu’on n’arrive pas à traduire.
Il y a peut-être d’autres moments intenses —
une rencontre qui renverse, une vérité qu’on ne voulait pas entendre, un frisson au bord du vide.
Mais ce soleil-là, ce soir, il t’arrête net.
Et dans cette morsure de lumière, tu sens que tout est là, vivant, fragile, magnifique.
Vercors / France 🇫🇷
Photo ©️LM
#nature#photographers on tumblr#france#naturecore#original photography on tumblr#original photographe#sunset lover#amour#coucher de soleil#nature photographer
24 notes
·
View notes
Text

EN CE JOUR DE NOËL
Aujourd'hui, je veux adresser un mot à tous.
A ceux dont la pièce est remplie de rire, à ceux qui cheminent seuls, accompagnés d'une douleur qui ne se dit pas. A vous, dont le silence de l'absence pèse lourd comme un manteau d'hiver.
Pour les cœurs en deuils, que la douceur d'un souvenir vienne doucement vous effleurer, comme une étoile discrète au ciel de vos pensées. Que l'absence laisse place l'espace d'un instant à une tendresse pour nos regrettés absents.
Pour les âmes esseulées, que ce jour de Noël vous murmure combien vous êtes importants, qu'il y a quelque part une lumière qui brille pour vous et se rapproche à chaque instant.
A vous qui luttez contre la maladie, je vous souhaite de trouver la force de croire en des jours meilleurs, et le réconfort dans les petits instants de paix.
A ces parents, qui en ces fêtes n'ont pas leurs enfants à leurs côtés. Que votre amour voyage, invisible mais puissant comme un fil d'étoiles tendu entre vos âmes. Que chaque pensée que vous leur envoyez les atteigne peu importe où ils se trouvent.
Pour ceux qui cherchent encore un sens à cette fête, sachez que Noël n'est pas seulement une célébration bruyante. C'est aussi une promesse, celle d'une lumière qui revient même dans les nuits les plus noires.
A vous tous, je vous souhaite un joyeux Noël dans toutes ses nuances. Je lève mon verre à ceux qui nous manquent, que notre amour voyage à travers l'espace.
Jennifer.K
82 notes
·
View notes
Text

On aime la vie Mais parfois, on doute On se renferme On se bat On a envie de tout laisser tomber D'autres jours, on se sent en confiance On sent la vie en soi Qui nous caresse le cœur Qui nous emporte en douceur. On ne sait jamais Comment sera le lendemain On se lève chaque jour On part travailler On laisse glisser le temps Qui doucement Nous emporte loin devant Il faut vivre, profiter Même les jours noirs De déboires La vie n'est pas toujours simple Elle nous embarque On ne sait jamais Ce que sera demain Même si c'est incertain On fait pour que tout se passe bien
54 notes
·
View notes
Text
Les petites nouvelles
Monsieur gecko est mort il y a qqs mois d'une infection à la queue qui s'est propagée en qqs heures. Madame gecko est morte cette semaine. J'ai appris hier que c'était probablement de tristesse.
Bébé gecko va bien. Il est orphelin mais comme ses parents ont voulu le manger dès sa naissance j'imagine qu'il n'est pas trop affecté et que ça lui va bien d'avoir cette jungle pour lui tout seul. Il mange bien, il se promène.
Il est 6h30, je crève de mal aux mains, je ne sais plus dormir. Vivement qu'on ait fini ce bois. On est plus efficaces et organisés que l'année dernière mais cette essence est si filandreuse et remplie de noeuds omg on se voit à peine avancer.
Il pleuvine et j'entends les oiseaux du jardin en même temps. Meilleure playlist pour un matin sans sommeil.
Par contre je n'entends pas le grillon du terrarium, ça fait DES MOIS qu'il se planque et qu'il ne se fait pas bouffer et qu'il gueule TOUUUUTE LA NUIT. Ou alors il s'est sauvé. J'ai changé le néon hier et j'en ai profité pour libérer un accès de la taille d'un grillon dans la zone où on passe les câbles. Ou alors c'est déjà trop le matin et il dort après sa nuit de cris. Cris inutiles puisqu'il est seul de son espèce.
L'herbe qu'on a semée pousse enfin touuuut doucement. Il reste une zone en désordre, qui sera bientôt rangée parce qu'on doit y mettre le bois. Ensuite il faudra mettre un portail d'un côté de la maison et une barrière de l'autre. Ça fait 17 ans qu'on est là et je n'aime toujours pas l'idée de fermer les accès au jardin. Mais bon j'ai envie d'avoir des poules en liberté donc il faut restreindre cette liberté à l'espace du jardin. Pas la route, pas les voisins et surtout pas le champ juste en face, bourré de sales produits.
Il y a eu un article cette semaine qui déconseille de manger les oeufs de ses propres poules, à cause des pfas contenus dans les sols. Ce sera bientôt pareil avec les légumes j'imagine. Pour mieux nous vendre des oeufs de batterie et des légumes pas bio. Mangez notre merde, au moins elle nous enrichit.
Mon frère vit dans l'ancien appartement de mes beaux-parents le temps de construire sa maison. Ça se termine, on va bientôt vendre. On hésitait à louer ou vendre mais putain les impôts. Quand on est propriétaire d'un bien qu'on loue, on est imposé sur son revenu cadastral X3. Normalement c'est rentabilisé par le loyer qu'on reçoit mais comme on ne demande quasi rien à mon frère parce que c'est mon frère, on est en perte totale. En plus le syndic coûte un rein et n'est pas transparent quant aux travaux qu'il organise pour la copropriété, ça fait 20 ans que j'ai l'impression que ce type a juste trouvé un bon filon pour entuber des petits vieux. On a calculé que si on louait même au prix du marché, ça ne ferait que 3000 euros de bénéfices sur l'année si le syndic ne fait pas de travaux. Mais des travaux sont prévus. On ajoute à ça la charge mentale d'être proprio et d'essayer de faire ça bien (genre pas faire attendre les locataires si le chauffage est en panne). Bref on va bientôt vendre, être débarrassés de cet appart et on ne sait pas ce qu'on va faire de l'argent parce que ça ne sert à rien de le placer sur un compte épargne, les taux sont trop bas par rapport à l'inflation. J'ai envie d'acheter une parcelle de forêt et y mettre une grande yourte et faire des ateliers de lecture dedans. A priori, l'idée est rejetée. On veut surtout que l'ado ne soit pas sans rien quand il aura besoin.
25 notes
·
View notes
Text
Au-delà des mots
## **Résumé :** Après une soirée au bar où Spencer entend des remarques déplacées sur Ludivine, il réalise à quel point elle a été entourée d’hommes qui ne voyaient en elle qu’un simple fantasme. Bouleversé, il lui fait l'amour avec une légère possivité , poue lui montrer qu’elle est bien plus que cela et qu’elle mérite d’être aimée pour ce qu’elle est vraiment.
Avertissements :Harcèlement sexuel, propos misogynes.Contenu explicite (scènes intimes marquées par la possessivité).Évocation d’un passé familial toxique.
### **Point de vue de Spencer Reid**
Les conversations et les éclats de rire emplissent le bar alors que je porte mon verre à mes lèvres.
La mission a été longue, éprouvante, et cette invitation de l’équipe du SWAT est une bonne occasion pour relâcher la pression. Hotch, Morgan et Rossi sont là aussi, échangeant des plaisanteries avec Deacon et le reste de son équipe.
Mais moi, je suis ailleurs. Je ne peux pas m’empêcher de penser à Ludivine. Elle n’a pas voulu venir ce soir, préférant rentrer après cette semaine éprouvante.
*Je vais me poser avec une douche et New York Unité Spéciale*, avait-elle dit en riant avant de me voler un baiser rapide en quittant le bureau.
Son absence rend ce moment un peu fade. J’aurais préféré être avec elle, même si je respecte son besoin de solitude.
Au bar, l'ambiance était étendue. Jusqu'à ce que Ramirez ouvre la bouche.
— « Dommage que Ludivine ne soit pas là. Elle aurait mis de l'ambiance, pas vrai ? »
Un autre agent du SWAT est arrivé.
— « Oh, elle aurait surtout mis les mecs à genoux. T'as vu son corps ? Cette fille, c'est un fantasme ambulant. »
Je me suis crispé.
— « Avec cette poitrine, elle pourrait faire ce qu'elle veut des hommes. »
— « Imaginez-la allongée sur un lit, les cuisses écartées… »
Morgan et moi nous sommes raidis.
— « Tu crois qu'elle est du genre à crier ou à gémir doucement ? »
Mon sang s'est glacé.
— « T'as pas peur qu'elle te dise non ? » a ajouté un autre en riant.
Ramirez a ricané.
— « Je ne suis pas obligé de lui demander. Coincée contre un mur, on peut tout faire. »
J'ai vu rouge.Morgan a été plus rapide que moi. Il s'est levé brusquement, sa mâchoire croustillante.
— « Répète ça, connard ? »
Ramirez a levé les mains en ricanant.
— « Détends-toi, c'est juste une blague. »
Je me suis levé à mon tour, tremblant de rage.— « Ce n'est pas une blague. Tu parles d'elle comme si elle n'était qu'un objet. »
— « Quoi, t'as un faible pour elle, le génie ? »Avant que je puisse répondre, une voix froide a coupé court à la conversation.—
« Ça suffit. »Hotch s'était levé. Son regard noir était fixé sur Ramirez.
— « J'en ai assez entendu. Vous deux, dehors. Maintenant. »
Ramirez a levé un sourcil, mais Deacon s'est avancé à son tour.
— « Tu veux que je te rappelle ce qui est arrivé au dernier gars qui a eu ce genre de propose dans mon équipe ? Il a fini viré.
Ramirez a hésité une seconde, puis a levé les mains.
— « D'accord, d'accord. Pas la peine de s'énerver. »
Ramirez grogne mais se rassoit, un sourire narquois toujours sur le visage.
Je retourne lentement à ma place, mais mon esprit est ailleurs.
Ludivine n’a aucune idée de ce qui vient de se passer, et je me sens coupable. Elle mérite mieux que ça.
### **Chez Ludivine**
Quand j’arrive devant son appartement, je remarque immédiatement que la porte est entrouverte. Un détail qui m’indique qu’elle ne s’attend pas à recevoir de la visite.
Je pousse doucement et entre. Elle est là, assise sur le comptoir de la cuisine, une jambe repliée sous elle, un verre de jus d’orange à la main. À côté d’elle, un paquet de biscuits entamé.
Elle porte un T-shirt ample qui glisse négligemment sur son épaule, dévoilant une partie de sa clavicule et une fraction de sa poitrine.
Son mini-short met en valeur ses cuisses, effleurées par la lumière tamisée de l’appartement.
Ses cheveux encore humides retombent en mèches désordonnées, et je devine l’odeur subtile de son shampoing qui flotte dans l’air.
Elle lève les yeux vers moi, surprise.
— **T’es déjà de retour ?**
Sa voix est calme, presque détachée, mais je perçois une pointe de fatigue derrière son ton.
Je reste figé un instant, absorbé par la scène. Elle a l’air si naturelle, si détendue… et pourtant, je vois autre chose dans son regard.
Une vulnérabilité qu’elle tente de masquer sous son air désinvolte. Je m’avance lentement.
— **La soirée a été écourtée.**
Elle pose son verre et fronce les sourcils.
— **Pourquoi ? Qu’est-ce qui s’est passé ?**
Je prends une grande inspiration et lui raconte tout. Les paroles écœurantes de Ramirez, les regards complices de ses collègues, la rage de Morgan, la mienne, et l’intervention tranchante de Hotch et Deacon.
Elle m’écoute sans m’interrompre, son visage impassible. Puis, contre toute attente, elle hausse simplement les épaules.
— **Ça ne me surprend pas,** murmure-t-elle en mordillant distraitement un biscuit. Je fronce les sourcils.
— **Ludivine…** Elle force un sourire, mais il sonne faux.
— **Spencer, ce genre de remarques, j’y ai droit depuis toujours. Tu crois que c’est la première fois qu’un mec parle de moi comme ça ?**
Son ton est léger, mais son regard, lui, est chargé de quelque chose de plus profond. Une douleur silencieuse. Un souvenir me frappe de plein fouet.
--- ### **Flashback**
Nous étions allongés dans son lit, plongés dans l’obscurité. Sa main traçait distraitement des cercles sur ma poitrine, son souffle régulier effleurant ma peau.
— **J’ai grandi entourée d’hommes qui pensaient comme des gougats ,** avait-elle murmuré.
J’avais tourné la tête vers elle, intrigué par son ton amer.
— **Mon père, ses amis, mon frère et ses potes… Ils parlaient des femmes exactement comme ça. Comme des objets, des trophées à exhiber. Et moi, j’étais là, j’entendais tout. J’ai grandi en sachant que, pour eux, une femme n’était jamais plus qu’un corps à posséder.**
J’avais vu son regard se perdre dans le vide, comme si elle revivait ces souvenirs.
— **Je me souviens des soirées où mon père et ses amis buvaient, riaient, racontaient leurs conquêtes avec des détails sordides. Mon frère faisait pareil avec ses potes. Et moi, j’écoutais, impuissante.**
Elle avait ri, un rire sans joie.
— **J’ai appris à sourire, à ne pas réagir, parce que si tu réponds, si tu montres que ça t’affecte, ils prennent ça comme un défi. J’ai grandi en sachant que je devrais toujours me méfier, que je devais éviter les mains baladeuses, les regards trop insitants...**
Un poids immense s’était abattu sur ma poitrine cette nuit-là. Je m’étais juré de ne jamais la laisser être réduite à ça.
--- ### **Retour au présent**
Je la vois devant moi, toujours assise sur son comptoir, jouant distraitement avec le bord de son short.
Je m’approche, posant une main sur sa cuisse nue.
— **Tu ne devrais pas avoir à t’habituer à ça.** Elle détourne le regard, mal à l’aise.
— **Je n’ai pas vraiment eu le choix.**
Je resserre doucement ma prise sur sa peau, traçant lentement du bout des doigts des lignes invisibles sur sa cuisse.
— **Tu mérites mieux, Ludivine.** Elle soupire, passe une main dans ses cheveux et me regarde enfin.
— **Pourquoi ça t’énerve autant ?** Je laisse glisser mes doigts sur sa joue, la caressant avec tendresse.
— **Parce que je t’aime.** Elle écarquille les yeux, figée sous l’aveu brutal. Ses lèvres s’entrouvrent, mais aucun son n’en sort.
Alors, doucement, je l’embrasse. Son corps se tend d’abord, surpris, puis elle cède.
Ses bras s’enroulent autour de mon cou et je la soulève du comptoir, l’emmenant avec moi jusqu’au canapé.
Nos baisers deviennent plus profonds, plus fiévreux. Elle est allongée sous moi, son regard brûlant ancré dans le mien.
Elle glisse ses mains sur ma poitrine, traçant des lignes invisibles avec ses ongles.
— **Ramirez peut m’imaginer dans tous ses fantasmes…** murmure-t-elle contre mes lèvres. **Mais il ne m’aura jamais comme toi tu m’as.**
Ces mots enflamment quelque chose en moi. La rage que j’ai ressentie au bar refait surface, se mélangeant au désir brûlant qui me consume depuis que je l’ai vue ainsi, si naturelle, si belle, si vulnérable et pourtant si forte.
Je veux lui prouver qu’elle est à moi. Je veux lui faire oublier toutes ces voix qui l’ont réduite à un objet de désir.
Alors, cette nuit-là, je suis possessif. Mes mains parcourent sa peau avec une intensité fiévreuse, marquant chaque centimètre de son corps comme s’il m’appartenait.
Je murmure son nom encore et encore, comme une prière, comme une promesse.
Mes doigts glissent sur sa poitrine, effleurant la peau sensible avec une délicatesse contrastant avec l’urgence dans mes gestes.
Elle gémit doucement contre mes lèvres, ses cuisses se pressant contre mes hanches comme si elle cherchait à me sentir plus profondément.
Quand je la touche, ce n’est pas juste du désir. C’est une affirmation.
Une manière de lui montrer qu’elle est bien plus que ce qu’ils voient en elle.
Elle est à moi. Et je suis à elle.
Je la garde contre moi, son souffle chaud effleurant ma peau, mes doigts traçant des chemins invisibles sur son dos nu.
Quand elle s’endort contre mon torse, je resserre mes bras autour d’elle.
Ramirez et tous les autres peuvent dire ce qu’ils veulent. Ils peuvent fantasmer, parler, rêver. Mais ils ne l’auront jamais. Elle est à moi.
Et je ne laisserai jamais personne lui faire croire le contraire. Parce que ce n’est pas juste du désir. C’est de l’amour.
#bibliothèquedesriders#criminal minds#dom spencer reid#dr spencer reid#fandom des esprits criminels#fanfic de spencer reid#fanfiction de spencer reid#fanfiction esprits criminels#mg#5 posts
25 notes
·
View notes
Text
Depuis quand on sort ensemble ?

Fandom : Tokyo Revengers
Relationship : Mikey x Takemichi
Voici ma participation pour le Year of the OTP 2025 pour le prompt : « On sort ensemble ? Depuis quand ? »
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : « Je peux savoir ce qu’il t’arrive depuis quelques jours ? Demanda Mikey.
-Est-ce qu’on sort ensemble ? »
Takemichi écarquilla les yeux, sidéré par sa propre audace. Il n’avait pas réfléchi. Les mots lui avaient échappé, impulsifs, brutaux. Mikey le regarda, surpris, avant qu’un sourire ne s’étire doucement sur ses lèvres.
« On sort ensemble ? Depuis quand ? »
Disclaimer : Tokyo Revengers appartient à Ken Wakui.
@yearoftheotpevent
AO3 / FF.NET
Chifuyu buvait distraitement sa canette de soda, son regard accroché à Takemichi et Mikey. La réunion du Toman s’était achevée et il avait profité de l’attente pour s’acheter une boisson au distributeur, laissant Takemichi gérer les derniers détails avec leur chef.
Chifuyu fronça les sourcils. Takemichi et Mikey se tenaient proches l’un de l’autre. Très proches. Comme s’ils étaient dans leur propre monde. Cette intimité, Chifuyu l’avait remarquée depuis longtemps. Depuis qu’il les avait rencontrés et qu’il avait intégré le Toman. Non… Depuis la deuxième fois qu’il les avait rencontrés.
Cela faisait des années qu’il portait en lui le souvenir de deux vies. Deux réalités entremêlées. Dans cette autre vie, Takemichi pouvait voyager dans le temps, tentant désespérément de sauver ceux qu’il aimait. Il se souvenait d’un garçon frêle et pleurnichard, qui avait échoué mille fois, mais dont la détermination et le courage parvenaient à rassembler tout le monde autour de lui et accomplir l’impossible.
Chifuyu n’était qu’un enfant lorsque ses souvenirs étaient apparus. Il avait été effrayé, pensant même qu’il devenait fou. Jusqu’au jour où il rencontra Takemichi et Mikey et que tout prit sens. Il n’était pas fou et tout ce qu’il avait vécu avec Takemichi était bien réel. Il se souvenait de la relation à la fois compliquée et forte entre Mikey et Takemichi. Chifuyu s’était souvent demandé ce qu’ils ressentaient l’un pour l’autre, mais Mikey avait été si longtemps consumé par les ténèbres qu’il n’y avait aucune place pour l’amour.
Mais cette fois-ci, tout semblait différent. Mikey avait changé. Il n’avait plus cette part d’ombre qui le dévorait de l’intérieur. Takemichi était auprès de lui et ce qu’ils partageaient dans cette autre vie paraissait encore plus fort ici. En les observant ainsi, Chifuyu ne pouvait s’empêcher de se demander s’ils étaient en couple. Cela ne le surprendrait pas.
Takemichi et Mikey se séparèrent, chacun prenant une direction opposée. Takemichi s’approcha de Chifuyu, qui se leva.
« On peut y aller ? Demanda Chifuyu. »
Takemichi hocha la tête et ils quittèrent le lieu de rendez-vous du Toman. Ils marchèrent en silence, jusqu’à ce que Chifuyu le rompe. Il était bien trop curieux pour ne pas aborder le sujet avec Takemichi.
« Est-ce que toi et Mikey, vous sortez ensemble ? Lâcha-t-il de but en blanc. »
Takemichi manqua de trébucher et rougit jusqu’aux oreilles.
« Qu… Quoi ? Balbutia-t-il. Pou… Pourquoi tu dis ça ? »
Chifuyu haussa les épaules, détaché.
« Je sais pas. Ça se voit, c’est tout. Vous êtes toujours ensemble, vous êtes complices et tout à l’heure, vous étiez si proches que j’ai cru que vous alliez vous embrasser. Je suis juste vexé que tu ne m’aies rien dit. T’es un de mes meilleurs potes. »
Takemichi resta figé. Hébété. Sa bouche entrouverte ne laissait échapper aucun son.
« Ça va, Takemitchy ? »
Celui-ci sortit de sa torpeur.
« Oui, ça va. »
Chifuyu le vit froncer les sourcils, son regard se perdant quelque part dans ses pensées, comme s’il venait de réaliser quelque chose.
******
Takemichi arriva à la rivière où il devait retrouver Mikey. Celui-ci était déjà là, assis par terre près de sa moto, le regard perdu au loin. Une atmosphère de sérénité semblait l’envelopper. C’étaient ces moments-là qui rendaient Takemichi heureux, qui lui rappelaient que tout ce qu’il avait fait, toutes les souffrances qu’ils avaient endurées tous les deux, n’avaient pas été vaines.
La discussion qu’il avait eue avec Chifuyu quelques jours plus tôt lui revint en mémoire. Aussitôt, il sentit la chaleur envahir ses joues, comme chaque fois qu’il posait les yeux sur Mikey dernièrement. Il grogna et passa rageusement une main dans ses cheveux.
« Merci beaucoup Chifuyu, pesta-t-il. À cause de toi, je n’arrive plus à penser à autre chose.
-Takemitchy ? »
Takemichi se figea et leva les yeux vers Mikey, qui l’observait, amusé.
« Qu’est-ce que tu fais ?
-Euh… Rien. »
Il inspira profondément pour calmer le tumulte qui agitait son esprit, puis s’avança vers Mikey et s’assit à côté de lui, hésitant. Trop loin, Mikey se poserait des questions. Trop près, il pourrait voir son trouble.
« Je peux savoir ce qu’il t’arrive depuis quelques jours ?
-Est-ce qu’on sort ensemble ? »
Takemichi écarquilla les yeux, sidéré par sa propre audace. Il n’avait pas réfléchi. Les mots lui avaient échappé, impulsifs, brutaux. Mikey le regarda, surpris, avant qu’un sourire ne s’étire doucement sur ses lèvres.
« On sort ensemble ? Depuis quand ? »
Gêné, Takemichi passa une main derrière sa tête, esquissant un sourire maladroit.
« C’est rien, laisse tomber. C’est Chifuyu qui m’a mis cette idée dans la tête. »
Mikey le fixa un instant avant de répéter, d’un ton léger :
« Est-ce qu’on sort ensemble ? »
Il fit mine de réfléchir.
« On se soutient. J’ai une confiance aveugle en toi et je sais que c’est réciproque. On passe pratiquement tout notre temps ensemble… C’est vrai qu’il y a de quoi prêter à confusion. »
À chaque mot qu’il prononçait, il se rapprochait un peu plus de Takemichi. Celui-ci le regardait sans oser bouger, sentant la fièvre rougir ses joues, le battement affolé de son cœur résonner dans sa poitrine. Il ne restait plus que quelques centimètres entre eux.
Leurs lèvres se frôlèrent et Mikey s’immobilisa, lui laissant le choix. Takemichi pouvait sentir son souffle se mêler au sien, la chaleur de son corps tout proche. Lentement, presque fébrilement, il posa ses lèvres sur les siennes.
Tout disparut. Le monde n’avait plus d’importance. Seule comptait la sensation des lèvres de Mikey contre les siennes, sa chaleur, sa présence.
Lorsqu’ils se séparèrent, Mikey posa son front contre le sien, un sourire immense illuminant son visage.
« On dirait bien qu’on sort ensemble, dit-il en riant doucement.
-On dirait bien, murmura Takemichi. »
Ils s’embrassèrent à nouveau, et Takemichi ne put s’empêcher de remercier Chifuyu intérieurement, car sans lui, il n’aurait jamais eu cette conversation avec Mikey.
Fin
#year of the otp#year of the otp 2025#tokyo revengers#takemikey#takemichi x mikey#maitake#mikey x takemichi#takemichi hanagaki#sano manjiro#fanfiction#my writing
13 notes
·
View notes