Tumgik
#travailler c'est trop dur
fidjiefidjie · 1 year
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Bonne soirée 💙😉💙
Julien Clerc 🎶 Travailler c'est trop dur
(Cover Zachary Richard)
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neiyuu · 2 months
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Je vais réussir ma vie pour mon bb chien. Je vais réussir ma vie pour mon bb chien. Je vais réussir ma vie pour mon bb chien. Je vais réussir ma vie pour mon bb chien. Je vais réussir ma vie pour mon bb chien.
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sh0esuke · 4 months
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" Camp Fire "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Javier Escuella
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Après des festivités enflammées, le camp se repose et laisse place à une atmosphère plus calme. Aux yeux d'une certaine demoiselle, c'est le moment idéal pour se rapprocher du garçon dont elle est éprise. Ainsi, elle espère pouvoir passer un peu plus de temps avec lui et peut-être enfin se déclarer.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟗𝟏𝟑.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Les filles commencent à s'endormir. Elles tombent comme des mouches depuis que Tilly s'est retirée auprès de sa couchette. La célébration du retour de Sean les a grandement épuisées, après avoir autant bu, chanté, dansé, c'est compréhensible et elles ne sont d'ailleurs pas les seules. Abigail et le petit Jack se sont retirés de l'autre côté du camp ⸺du côté de la charrette de monsieur Pearson⸺.  Il me semble que même le révérend, Molly et Dutch s'en sont allés. Plus grand monde ne rôde dans les parages à la recherche d'un partenaire de chant. Ils sont tous au lit.
Je crois que c'est mon jour de chance.
J'entends les voix de Pearson, Tonton et Arthur raisonner de là où je me trouve. Ils se trouvent autour du feu de camp, ils sont bien les seuls à tenir encore debout, même Sean s'est tut. De la musique flotte dans l'air, elle provient de la guitare de Javier.
J'esquisse un sourire rêveur à cette pensée, rapprochant mes mains de ma poitrine j'accoure auprès de la charrette de Pearson ⸺j'ai fait le tour de ma couchette partagée avec les filles jusqu'à l'entrée du camp, le feu qui sert à réchauffer nos repas et le lieu de travail de notre cuisinier⸺ je suis à la recherche d'une bière. Je sais qu'il y a des caisses un peu partout toutefois avec l'obscurité qui gagne l'endroit j'ai des difficultés à me repérer. Il m'est aussi contraignant d'éviter certains obstacles, notamment les tables et barils. Il me semble qu'il reste des bouteilles auprès de la tente de Dutch, si ni Karen ni Tonton n'ont pas tout vidé, il devrait en rester quelques-unes. Je fais donc le tour du camp à leur recherche.
L'humidité qui parfume les brindilles d'herbe me taquine les chevilles, elle laisse perler des gouttes d'eau le long de mon épiderme jusqu'à tâcher mes souliers. C'est assez inconfortable. Je suis chatouillée de toutes parts. J'accélère donc le pas. Passant devant les derniers hommes réveillés, je ne tarde pas à attirer leur attention.
Tonton se stoppe dans son monologue, il est le premier à me remarquer. Il crie mon prénom et me fait signe d'approcher.
« Approche, ne reste pas dans ton coin, ma petite, viens nous rejoindre ! »
Je me pince les lèvres et acquiesce. Mes mains se saisissent d'une bière tiède tandis que mon corps pivote.
« J'arrive, je viens. »
Arthur est assis sur le tronc d'arbre qui sert de banc, il est dos à moi. Quant à monsieur Pearson il se tient sur une caisse boisée à droite de Arthur et moi-même. Ils sont auprès du feu, profitant de sa luminosité et chaleur. Quant à Tonton et Javier ils nous font face, sous la tente. Tonton a pris place sur une chaise un peu plus vers monsieur Pearson, quant à Javier il fait face à Arthur, à même le sol. Sa guitare tient sur ses cuisses, de celle-ci s'échappe une agréable mélodie. Quant à ce que ces messieurs chantaient plus tôt, je ne préfère pas y repenser.
J'apporte ma bière à mes lèvres, histoire de me donner du courage j'en prends une gorgée et m'avance.
« Comment ça va ce soir ? » parle Arthur. « Pas trop dur ? »
Ma réponse se fait négative. Je parle tout en me rapprochant du feu.
« Outre le retour de Sean c'était plutôt calme aujourd'hui. La routine.. »
« C'est bien. Madame Grimshaw ne vous ménage pas, j'imagine ? »
« Ah, comme si c'était possible. » plaisanté-je. « Le jour où elle arrête de crier les poules auront des dents, tien. »
Ma remarque arrache un rire aux quatre hommes, j'en profite pour m'asseoir par terre. À côté de Javier.
« C'est bien que Sean soit de retour. Sa bonne humeur commençait à me manquer. »
« C'est vrai que sans lui c'était assez tendu. Il faut croire que ses conneries nous changent les idées. » renchérit Arthur.
« Il va nous en faire voir de toutes les couleurs, ça c'est moi qui vous le dit ! » s'exclame Tonton.
Javier ne joue plus très fort. À présent, une mélodie d'ambiance se balade dans l'air, de part sa légèreté elle a transformé l'atmosphère autrefois festive par quelque chose de plus calme. Elle rythme notre discussion sans pour autant nous désorienter. Je pense être la seule à avoir fait cette découverte, ou alors les hommes s'en fichent. Après tout la musique n'est qu'un moyen pour eux de chanter leurs musiques salaces à tout bout de champ.
Curieuse, je lui jette un coup d'œil.
Je suis assise sur sa gauche, les jambes recroquevillées sur le côté.
De mes deux mains, je tiens fermement ma bouteille, si elle n'avait pas été là j'aurais fini par me triturer mes doigts ou toucher mes cheveux toutes les cinq secondes. Plutôt, ici je joue avec l'extrémité ⸺là où se place la bouche⸺ et tente vigoureusement de m'occuper l'esprit.
J'ai des papillons dans le ventre.
Je crois que Arthur l'a remarqué.
Il me zieute accompagné d'un fin sourire aux lèvres, à l'instar d'une figure fraternelle il m'observe. Sans oublier de consommer sa propre bière. Ça fait longtemps qu'il m'a percée à jour, je ne parle pas de ce soir mais plutôt de ces derniers mois. Je suis consciente que je ne suis pas douée pour la discrétion, mon premier but n'est pas de passer inaperçue. À vrai dire c'est le dernier de mes soucis. Arthur me lance un clin d'œil auquel je réponds par un gloussement.
Sans attendre, Tonton nous interrompt.
« Qu'est-ce que vous avez tous les deux ? Vous faites des cachotteries, maintenant ? »
« Et de quoi je me mêle ? » s'emporte Arthur. « Va donc te rendre utile pour une fois et⸺ »
« Je suis utile ! C'est juste ma lombalgie qui m'handicape, si j'étais encore jeune tu peux être sûre qu'on serait sorti de ce pétrin depuis longtemps. »
« Mais bien sûr.. Tant que ça t'aide à dormir.. »
Je pouffe à nouveau.
Ma tête se tourne, je zieute Javier. Ses doigts s'attellent à poursuivre le fil de sa mélodie, quant à ses yeux.. Ils sont plongés dans les miens.
Je souris.
Il sourit.
Je rapproche mes jambes de ma poitrine, ma bière est rapidement laissée à l'abandon devant le feu; elle ne m'intéresse plus vraiment. Déposant ma joue contre mes genoux, je dévoue mon entière attention à Javier. Je.. Je ne⸺
Mon cœur est coincé dans ma gorge.
Mon estomac se fait lourd.
Qu'il est joli.. Je ne peux que m'agripper à mes mollets, les sourcils froncés.
« Comment⸺ Comment tu te portes ce soir ? »
Il touche quelques cordes. D'une lenteur enivrante, Javier les titille sans que, ne serait-ce qu'une fois, son regard ne se détourne du mien. Il ne m'observe pas avec malice. Il me regarde juste. Ça suffit amplement à me mettre dans tous mes états, j'attends qu'il réponde à ma question, en même temps, je combats l'envie de crier et gigoter.
Javier penche la tête.
« On a connu pire. »
« Tu n'es pas trop fatigué ? »
« Tu t'en fais pour moi ? Attention, je pourrais croire que tu as le béguin. » me taquine-t-il.
Mes yeux roulent au ciel.
« Ne te surestime pas, non plus.. C'est juste que Bill m'a parlé de cette histoire de bagarre au bar et puis tu n'es pas revenu au camp alors⸺ Je, je me demandais juste si ça allait... J'ai posé la même question à Arthur. Ne.. ne t'emballe pas. »
« Je m'emballe pas. »
Son rictus me crie le contraire.
Javier continue de jouer de ses doigts avec nonchalance, il fait mine que cette conversation ne lui fait aucun effet, il fait mine de ne rien remarquer pendant que ses doigts s'affairent à nous offrir un moment des plus agréable. Il a une telle aisance avec la musique, c'en est déroutant. Je déglutis à cela. Mes orteils se recroquevillent à l'intérieur de mes souliers. Mes pupilles le contemplent, je bois goulument la vue qu'il m'offre d'ici; son si joli visage, et sa tenue élégante. Il est parfaitement incrusté dans son environnement malgré l'aura luxueuse qui se dégage de lui.
Je suis dans l'incapacité de détourner le regard. Dès le moment où nos yeux se sont croisés j'ai été prise au piège.
Je ne peux pas le nier : c'est ce que je cherchais en m'asseyant auprès de lui. Être prise au piège sous lui, dévorée par ses pupilles aussi dévastatrices que le néant et charmée par le sourire taquin qui prend souvent place sur ses jolies lèvres froncées : c'est exactement ce que je désire. Il faudrait être aveugle pour ne pas le remarquer. C'est la raison pour laquelle je ne le fuis pas, je pars sans cesse à sa recherche dans l'espoir qu'il m'accueille pour ensuite me perde.
Il m'en faut peu pour être comblée.
Lui, seulement lui.
Javier.
« Tu repars demain ? »
Il arque un sourcil.
« Curieuse ? »
« Non— oui. Je me posais la question... »
« Je pensais faire un tour à Valentine, la dernière fois je n'ai pas pu m'y attarder trop longtemps. Qui sait, peut-être que je trouverais un bon coup. »
« Tu as déjà fait beaucoup. Tu pourrais te reposer ? »
« Ça aussi tu l'as dit à Arthur ? »
Je suis gênée. Son commentaire me force à détourner le regard.
« Non.. c'était... C'était juste histoire de faire la conversation puis— je— »
« Je te taquine. » me coupe-t-il. « J'y ai pensé, mais je tiens pas en place ces derniers temps. J'ai envie de me rendre utile. Je vais voir où ça me mène. »
« Tu vas encore t'absenter alors.. »
« Peut-être. »
J'inspire profondément, ma joue reste collée à mes genoux. J'ai les poumons lourds, tout mon corps se retrouve endoloris alors que je me situe aussi proche de lui. Nos épaules sont à deux doigts de se toucher. J'en rêve.
Mon regard ne se détache pas du sien.
Je suis hypnotisée.
« Tu es sortie du camp depuis qu'on est arrivés ? »
« Arthur nous a accompagnées à Valentine il y a quelques jours. C'était amusant. J'ai beaucoup à faire ici sinon. »
« Tu aimerais y retourner ? »
« Où ça, Valentine ? Oh, oui ! » j'affirme, soudain enthousiaste. « Mais il me faudrait une bonne raison pour convaincre quelqu'un de m'y emmener. J'avais pensé à Arthur mais il fait beaucoup en ce moment. Il y a Bill aussi, mais il est trop bête, il va encore causer des problèmes. »
Javier dépose sa guitare entre Tonton et lui.
« Je suis même pas une option ? Ça me blesse. »
« Tu viens rarement au camp ces derniers jours. Je ne vais pas t'embêter avec ça... »
« M'embêter ? Oh, ma belle, c'est mal me connaître. »
Mon cœur s'emballe.
Je respire fort.
« Ce serait un honneur de pouvoir t'y emmener faire un tour. »
Sa bouche se fend en un sourire.
« Si ça t'intéresse, bien sûr. »
Quelle question, il est évident que je le suis. Ça doit se lire sur mon visage. J'implose.
« Tu as— tu as quelque chose à faire là-bas ? » je m'interroge.
« Pas grand chose. Mais je peux toujours trouver de quoi nous faire un peu d'argent, on fera d'une pierre deux coups. »
Javier extirpe une cigarette de sa poche, il l'enflamme avec son briquet et l'apporte ensuite à ses lèvres. Tout en expirant, il me zieute.
« Tu veux ? »
Une question me brûle la langue.
Lorsque Arthur m'a emmenée à Valentine, ça a été en compagnie de Tonton, Tilly, Mary-Beth et Karen. Au départ, il avait des courses à faire. Son escale là-bas n'avait rien en rapport avec nous.
Je sais que si je dois y aller avec Javier, et que nous revenons les mains vides Dutch s'emportera ⸺il est assez tendu depuis Blackwater⸺, il est impératif que tous les membres du gang se montrent utiles. Mais... Si je dois aller à Valentine avec lui, j'espère secrètement que ça ne sera pas pour travailler.. Si nous nous retrouvons tous les deux dans un tel endroit, j'ose espérer que nous ferons bien plus que défier la loi et nous montrer sournois. J'espère que personne ne se rajoutera. Pas de Sean, ni de Bill, aucune fille pour m'embarrasser, juste moi et lui. Nous deux..
Est-ce que c'est trop demander ?
« Tu as des plans alors ? »
Javier me dévisage.
« T'es bien curieuse ce soir, dis-moi. Tu tiens si peu en place ? »
« Je me disais— on... On pourrait— »
« On ? »
J'arque un sourcil.
« Quelqu'un d'autre vient ? »
Javier secoue la tête. Il esquisse un fin rictus taquin et prend une taffe de sa cigarette; il l'expire tout en me répondant.
« Je pense pas. Les filles en ont eu assez après votre dernière escale et le reste de la bande est occupée de son côté. Ce sera que toi et moi. »
Sans surprise, l'idée me ravit. Je suis plus qu'emballée à la pensée que nous allons nous retrouver seuls.
Plus de madame Grimshaw pour nous couper, plus de Micah pour faire des remarques stupides ⸺même si ça fait déjà quelques semaines qu'il a disparu⸺, plus de Tonton pour gâcher l'ambiance. Tant de fois, nous aurions pu avoir l'occasion de nous rapprocher, de devenir plus, mais à chaque fois le manque d'intimité au sein du camp nous a gênés. Je ne peux m'empêcher de penser que c'est une chance unique. Elle est faite d'or : je refuse de la laisser passer. Le moment est idéal surtout après tout ce que nous venons de vivre, depuis Blackwater, les montagnes enneigées, je ne vois pas de meilleure occasion pour me confesser. Cette fois-ci, pas de Dutch pour nous interrompre, pas de Arthur pour rendre notre interaction gênante.
Je bats des cils un bref instant. Quant à Javier il attrape le cul de sa cigarette et le rapproche de ses lèvres. Il prend une profonde inspiration, l'expire : tout cela sans jamais me quitter du regard. Il m'observe d'un sérieux déconcertant.
Soudain, nous sommes interrompu.
« Eh, les deux fourbes, qu'est-ce que vous complotez ? »
C'est à nous que Tonton s'adresse.
« Ah, laisse les vieux fou, c'est pas tes oignons ! » peste Arthur.
« Tout ce qui se passe autour du feu est mes oignons, c'est mon sanctuaire. Alors, qu'est-ce que vous planifiez ? »
Tonton nous regarde, il balance ses yeux entre Javier et moi.
Il est tellement enthousiaste qu'il sourit grandement, ça ne fait que m'embarrasser davantage. Je détourne le regard malgré moi. Je regarde par dessus l'épaule d'Arthur, là où la tente de Dutch et Molly se trouve, ainsi je n'ai pas à faire face à leur expression curieuse.
Mes joues se creusent, je me mords l'intérieur de la bouche.
« En quoi ça te concerne, le vieux ? » réplique Javier. « Tu contribues à rien et tu voudrais qu'on te raconte nos vies ? La bonne blague. »
« Qu'est-ce que c'est sensé dire ? » s'indigne Tonton.
« Ça veut dire ce que ça veut dire, tien. »
« Non mais je rêve, décidément plus personne n'a de respect pour les malades.. »
« Malade ? La seule maladie que t'as c'est la fainéantise. » rétorque Arthur avec mesquinerie, il n'hésite d'ailleurs pas à ricaner.
« Et ma lombalgie alors, hein ? »
« C'est des conneries ! Tu trompes personne, vieux tas. »
Tonton marmonne dans sa barbe, ça m'arrache un sourire. Je les regarde à nouveau ⸺monsieur Pearson a disparu, il ne reste que nous quatre⸺, Arthur s'en va m'offrir un clin d'œil. Malgré ses quelques maladresses, il fait de son mieux pour m'aider. Je le remercierai plus tard, c'est certain. Les attaques qu'il lance à Tonton me mettent à l'aise, je ne me sens plus mise au pied du mur, toutefois, j'avoue ne plus avoir la force de me tourner vers Javier. Maintenant que notre bulle a été ⸺encore⸺ percée, j'ai comme l'impression que nous ne pourrons plus discuter, alors je me contente d'observer Arthur des étoiles dans les yeux.
Mes doigts triturent nerveusement le tissu de ma robe, je me sens nerveuse.
« Peu importe. » grommelle Tonton. « J'en ai assez entendu, je vais me coucher. »
« Tant mieux, une bonne nuit de sommeil te rendra plus aimable. » plaisante Arthur. « Va donc. »
J'en profite pour me lever.
Javier réagit immédiatement.
« Toi aussi ? » me questionne-t-il.
Tonton ne dort pas loin, il s'installe sur la seconde tente qui se trouve juste à côté du feu de camp. Elle n'est qu'à un petit mètre de nous, c'est là que le révérend s'est assoupi. Je le vois s'installer sur sa couchette et nous tourner le dos, pendant ce temps je dépose mes mains sur mon ventre, j'offre un sourire à Javier.
« Il faut bien que je sois en forme pour demain. Bonne nuit. »
« Oh— euh, ouais. »
Il se gratte la nuque.
« Bonne nuit. »
« Arthur, tu m'accompagnes ? » je demande.
Le concerné secoue la tête.
« Tu m'excuseras, je reste encore un peu avec Javier, on a des trucs à se dire. »
« D'accord, bonne nuit alors. »
« Bonne nuit, repose toi bien. » répond-t-il affectueusement.
Je ne peux pas m'empêcher de zieuter Javier. Il ne m'a toujours pas quittée du regard. Cependant, dès le moment il où je le remarque, je tourne aussitôt la tête, mes joues s'embrasent et mon estomac se recroqueville sur lui-même. Ah, j'ai chaud. J'ai mal à la poitrine. Mes mains se pressent sur mon bas-ventre tandis que j'entends Arthur pouffer. Nous sommes loin d'être discrets, je le savais déjà, mais le fait que nous soyons aussi évidents, même devant Arthur est plus humiliant que prévu.
Mes paumes se font moites.
« Je— Je vais y aller. »
Alors que je m'en vais, je reste sur un petit nuage. Je passe sur le côté de la tente de Dutch, dépasse la roulotte de Arthur, pour rejoindre ma couchette. Elle est aux côtés de celles des filles ⸺comme prévu, elles sont toutes endormies⸺. J'entends les voix de Javier et Arthur résonner, ils ne cessent de parler, accompagnés par le crépitement du feu.
Il fait frais, hormis les quelques lampes à huile éparpillées dans le camp, nous sommes plongés dans un noir complet. Je parle d'un noir si obscur que je n'en vois pas la fin. L'herbe à mes pieds n'est pas visible, je marche en faisant confiance à mon instinct, je ne sais pas ce qui traine par terre, j'avance juste. Tilly, Mary-Beth, Sadie, Karen, elles sont toutes les trois endormies. Il me tarde de les rejoindre. Nous sommes levées depuis très tôt ce matin; il nous a fallu recoudre des vêtements pour ensuite les nettoyer, aider à préparer les repas; se coucher tard n'aide pas. Demain, nous répéterons les mêmes actions, nous passerons la journée à coudre, laver, faire la vaisselle, pour nous coucher tout aussi tardivement. Rien que d'y penser me fait soupirer.
La vie de fugitif peut être frustrante.
Une fois suffisamment approchée de ma couche, je m'assieds dessus. Je remets ma chevelure en état puis passe mes mains sur mes bras, je les frotte vigoureusement.
Un sourire se pose sur mes lèvres.
J'apporte mes mains à ma poitrine, rêveuse, oui je ne peux pas m'empêcher de sourire. Je suis encore toute chamboulée.
Mon interaction avec Javier me revient à l'esprit et j'ai comme l'impression de tomber dans un ravin : c'est violent, je ne peux m'accrocher nul part, ma logique m'abandonne. Je perd pied. Et alors que son image me revient à l'esprit, je ne peux me retenir de glousser.
L'intensité avec laquelle il m'a contemplée, sa voix; ses paroles mielleuses, j'en ai des frissons.
Mes doigts s'agrippent à ma chemise. Je me pince les lèvres et pose mes yeux sur la roulotte d'Arthur ⸺elle a été installé juste devant la notre, nous bloquant ainsi la vue sur le feu de camp⸺ j'ai beau l'examiner dans ses moindres détails, je ne parviens pas à me sortir Javier de la tête. Je repasse notre interaction dans mon esprit, le moindre geste, coup d'œil, ce qui me force à de nouveau glousser. Je secoue la tête et tape des pieds.
Je me retiens de crier, pas seulement de beugler, mais aussi d'exprimer à tout le camp que je l'aime. Je désire l'avoir pour moi toute seule, je n'ai même pas envie d'attendre qu'il m'emmène à Valentine. Je veux être avec lui, là maintenant tout de suite. J'en ai la poitrine serrée.
Dans un tel état, je ne me sens pas de dormir. Je ne fais que revivre notre conversation, j'interprète les moindres gestes qu'il a pu faire en ma présence. Je n'ai pas envie de l'oublier, ne serait-ce qu'une minute. J'ai envie de conserver le sentiment qu'il fait naître au sein de mon cœur. J'ai envie... J'ai envie de penser si fort à lui que son image en finisse gravée dans mon esprit. J'en viens à m'imaginer ce qui pourrait bien se passer si nous nous retrouvons seul à Valentine. Allons-nous nous comporter tels de jeunes mariés ? Nous tenir la main afin de ne pas nous séparer ? Va-t-il enfin me charmer proprement, alors ira-t-il me faire l'amour dans un hôtel, au coin de la rue ? Me dévoilera-t-il ses sentiments avant ou après m'avoir volé mon premier baiser ?
Je ne peux pas y échapper, ces questions me hantent. Toutes ces possibilités...
J'en ai la chair de poule.
Brusquement, j'apporte mes mains à mon visage. Je frotte vigoureusement mes joues.
Je ne devrais pas me laisser aller à de telles pensées, elles sont salaces, déplacées, Javier est un homme bon, je suis folle pour penser ainsi de lui. Nous imaginer dans de telles positions...
Des bruits de pas m'interrompent, je lève la tête.
Arthur pose son avant-bras contre sa roulette, il m'observe d'un œil taquin. Je sursaute. Son chapeau a disparu, il ne le porte plus.
«  Eh, tu pourras penser à lui demain il va pas disparaître, pour l'instant repose-toi. Tu vas te rendre malade. »
J'étouffe un rire.
« Très bien Arthur. »
Il hoche la tête.
« Merci et bonne nuit. » murmuré-je.
« De même. »
Il se décale de sa roulotte et s'en va se coucher. Je l'entends faire, je vois aussi son ombre sur le sol, elle s'agrandit, se mouve avec aise jusqu'à ce qu'elle disparaisse lorsque Arthur s'allonge. Simultanément, je vide mes poumons.
Ses paroles me restent en tête. Je secoue enfin la tête. Doucement, mes mains descendent se poser sur mes cuisses, je contemple un bref instant le ciel étoilé qui nous surplombe puis les bois qui nous servent de cachette.
Il n'y a plus un bruit dans le camp, désormais. Je crois que tout le monde est parti se coucher. Plus de musique, de rires, de discussions enflammées. Il n'y a que ce sentiment de solitude qui m'emporte, pour autant, il n'est pas dérangeant. Il me fait du bien. Je me laisse donc tomber sur ma couchette et me tourne du côté de Karen. Je bats des cils, l'observe endormie de mon côté. Puis, sans attendre, je ferme mes yeux. J'obéis au conseil de Arthur et m'endort sans perdre de temps. Je me recroqueville sur moi-même.
J'ai encore le cœur qui bat à toute allure, l'esprit embrumé. L'image de Javier ainsi que le son de sa voix me restent en mémoire, je suis incapable de les fuir. Pour autant, ça ne me déplaît pas. Si je m'endors, c'est en pensant à lui que je le fais. Il me tarde de passer une nouvelle journée à ses côtés et qui sait, peut-être plus dans les jours à venir.
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e642 · 7 months
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Je suis tellement bourrée, j'ai plus trop l'habitude, j'ai évidemment peur d'aller dormir. Jsuis vraiment bleu omg. En fait j'ai refumé un joint mais ça compte pas, c'est du récréatif, mais fiou être défoncée c'est un travail en lui meme. Mon mec boude mdr, c'est génial. Il essaie de me faire culpabiliser de sortir mais j'ai aucun remords. J'ai juste envie de le quitter parce que c'est tellement dénué de sens. J'ai l'impression d'avoir un plan cul, pas un mec. La dinguerie. Jsuis fatiguée en plus purée vraiment du mal à respirer et être en forme. Jdis n'importe quoi mais vraiment c'est dur la.vie d'adulte. J'aime pas toutes ces obligations. C'est trop compliqué pour moi toutes ces responsabilités. Jessaie d'avoir une vie correcte mais c'est chaud. Ya tout qui me rend triste et fatiguée.jen ai marre de m'inquiéter pour un rien, ça m'épuise trop
Je regretet trop de trucs mais jaim pas ça parce que les regrets c'est pas sensé autant impacter
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lilias42 · 5 months
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Bon bah, une année de plus et maintenant, on est au quart de siècle ! Aux noms des dieux, si la vingt-troisième était très longue et difficile, la vingt-quatrième est passé à toute vitesse !
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C'était vraiment l'année des premières fois j'ai l'impression... première fois que j'ai passé un concours, même si je ne l'ai pas eu (j'ai réussi les écrits, pas les oraux) mais, ce n'est pas vraiment grave, c'était pour un emploi qui vraiment n'était pas fait pour moi et ne plus être dans cette voie m'a fait vraiment du bien.
Première fois que je ne fais pas une rentrée scolaire aussi vu que j'ai eu mon premier travail sur le long terme qui n'est pas un job d'été ou un service civique ! (et j'ai appris qu'il faut que j'aille au cinéma plus souvent l'après-midi, c'est toujours à ce moment-là que j'avais des appels pour un emploi et pour le coup, c'est celui qui m'a recruté ! XD) C'est pas dans ma branche de base mais, j'y suis plutôt bien depuis juillet, et ça me permet d'accumuler des sous pour reprendre mes études quand je pourrais / voudrais, ou alors me permettre d'avoir qu'un emploi à mi-temps pour avoir du temps pour préparer des concours dans mon coin. Ce sera peut-être pour cette année-là, même si je ne me suis pas réinscrite à la fac. On verra bien comment ça va tourner mais pour l'instant, j'aimerais continuer à me faire de l'expérience et voir ce que ça pourrait donner (surtout que je n'ai pas trop le courage de lire de gros livres en ce moment).
Sinon, je suis assez contente de ce que j'ai pu faire cette année du côté créatif ! J'ai pu expérimenté la BD avec celle sur Pan dont je suis toujours très fière, et j'ai fini mon UA avec berserkr!Rodrigue, une réconciliation générale chez les Fraldarius avec Glenn qui survit, et Lambert qui survit aussi pour se prendre toutes les claques qu'il mérite ! J'ai aussi mis ma version d'AM où Rodrigue survit sur AO3 ! Bon, ça fait un moment que je ne l'ai pas mis à jour vu que je me prend la tête avec le passage où Rodrigue et Alix avouent tout ce qu'ils ont sur le coeur à Dimitri vis à vis de Lambert et expliquent toute son histoire mais, je finirais bien par me débloquer. C'est surtout que je ne sais pas si je leur fais avouer à mi-mot à quel point ils en veulent à Lambert à cause d'une ligne que j'ai ajouté lors de la relecture, avec Rodrigue qui marmonne à Félix qu'il serait étonné s'il savait qui il haït le plus au monde, c'est à dire Lambert à cause de tout ce qu'il a fait et son inconscience qui a tué Glenn et Nicola. D'un côté, ça permettrait de répondre à la potentielle question "qui Rodrigue haït tant ?" mais d'un autre côté, ils viennent déjà de refaire le portrait de Lambert devant Dimitri - qui leur a demandé de lui raconté l'histoire de son père sans le ménager - alors, je ne sais pas si ça suffit et j'ai peur que ce soit trop dur s'ils disaient qu'ils ne pardonneront jamais à Lambert ce qu'il a fait et que même avant sa mort, leur relation s'était beaucoup dégradé à cause de son comportement. Je change d'avis tous les jours à ce sujet mais, je finirais bien par me décider... sinon, je laisserais le chapitre comme il est, il répond déjà à pas mal de question.
Pour l'instant, je suis plus dans un moment où je dessine bien plus que je n'écris mais, je m'amuse bien en le faisant, c'est tout ce qui compte ! J'essaye aussi de m'y remettre petit à petit en écrivant une petite histoire tournant autour d'une pierre de résurrection dans l'univers de FE3H, et j'essaye aussi de mettre mes idées en place pour une histoire originale très inspirée de ma manière de voir les Fraldarius mais, dans un autre contexte et sans le boulet du canon au pied ! J'ai aussi ma BD avec Pyrkaïa qui explose Lonato qui suit son cours et même si je n'ai pas trop continué ces derniers jours pour des raisons persos, j'espère réussir à la finir ! Après tout ce temps déjà mis sur les schémas, se serait bête d'arrêter ! Au moins, j'ai fait trois planches cette semaine qui se déroule après la bataille, avec Ashe qui s'isole après avoir vu Lonato qui lui a hurlé dessus après la bataille, avec Pyrkaïa qui vient le voir pour parler. ça lui fera vraiment beaucoup de bien de parler avec elle, surtout que Pyrkaïa est certifiée adulte responsable et devrait trouver les bons mots pour lui, surtout comparée à Lonato qui ne s'est pas fait explosé pour rien. J'essayerais de vous poster des planches, même si je vais avoir un long week-end assez chargé...
Et surtout, je suis contente d'avoir pu discuter avec plein de gens ! Que ce soit IRL ou sur internet ! Que ce soit mes collègues qui sont sympas pour la plupart, mes amis de longue date IRL, ou les gens de Tumblr ! Surtout @ladyniniane ! Je suis vraiment contente qu'on continue à discuter depuis aussi longtemps ! J'aime vraiment nos conversations, et tes idées sont aussi incroyables que toi alors, je suis contente que ça continue et j'espère que ça continuera encore cette année ! J'ai aussi un peu plus parlé avec les personnes qui suivent mon blog ou que je suis (notamment @mwezina qui fait un travail incroyable sur l'étude des cartes de tarot et leur rapport avec FE3H, j'adore ce qu'elle fait !) et je croise les doigts pour que ça continue !
En tout cas, encore merci à tous pour cette bonne année de vie d'écouler et place à la première de mon nouveau quart de siècle !
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makeitinkorea · 1 month
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Voici les groupes sur HOW TO MAKE IT IN KOREA !
SPOON CLASS THEORY (la théorie des cuillères) 
Idée selon laquelle les individus d'un pays peuvent être rangés dans différentes classes sociales selon leur patrimoine et leurs revenus. D'après cette théorie, le succès d'une personne dépend entièrement de la famille dans laquelle il est né. WIKIPEDIA
Les différents groupes renvoient à la classe sociale à laquelle appartient votre personnage, selon sa situation financière et son influence. Il s'agit du groupe officiel de votre personnage, c'est-à-dire, le groupe dans lequel les autres joueurs pensent que votre personnage appartient, sans tenir compte de son ou de ses secret(s).
01. DIAMOND SPOON.
Véritables stars de la capitale, souverains non officiels d'un pays qu'ils dominent. Les Diamond Spoon observent avec dédain la roture qui s'entasse au pied de leurs tours de verre. L'argent coule à flot et contribue grandement à leur magnificence, leur suprématie, et leur influence sur les affaires qui rythment la vie de cette ville qui ne dort jamais. Let them eat cake. Successeurs d'une prestigieuse famille à l'éclat indéniable, ils profitent de leur trésor sans se soucier le moins du monde de ceux qui n'ont pas reçu la même bénédiction.
Les Diamond Spoons, cuillère en diamants, sont majoritairement des héritiers de grandes familles (chaebols ou non). Ils représentent 0.1% de la population..Ils sont extrêmement riches (millionnaires à milliardaires), ce qui leur confère énormément de pouvoir et d'influence, à la fois sur l'économie et les affaires du pays.. I
02. GOLDEN SPOON.
L'aisance et l'élégance. Tranquillité et sérénité profonde, loin du tumulte et de l'agitation du monde extérieur. Les billets verts apportent une chaleur réconfortante, rendant le quotidien plus doux et plus agréable. Pour autant, cette opulence n'est pas assez importante pour attirer les vautours des presses. Golden slumbers fill your eyes. Ils sont probablement les âmes les plus tranquilles du pays. Ce sont ceux qui bénéficient d'un confort financier, sans qu'il ne soit question pour eux d'émettre trop d'influence sur les affaires urbaines.
Les Golden Spoons, cuillère en or, font partie des plus aisés du pays. Grâce à leur héritage et parfois (rarement) à leur dur labeur, ils sont riches et représentent moins de 5% de la population. Ils ne sont pas aussi riches que les Diamond Spoon, et ont bien moins de pouvoir et d'influence que les grandes familles de chaebols.
03. STEEL SPOON
Stabilité modérée, travailleurs aux revenus moyens. Ils sont les premiers pions de ce système économique qu'ils subissent, se démenant corps et âme pour atteindre l'aisance et l'harmonie. Ils existent, ils travaillent, ils sont là, et c'est tout. The Quiet Life. Aux yeux des plus riches, leur valeur semble se compter à leur degré de stabilité. Ils ont un toit au-dessus de la tête, de quoi manger, et un peu d'argent de côté pour leur permettre de profiter des plaisirs que la vie peut leur offrir. Jamais ils n'oseraient imaginer dépasser ce modeste train de vie qu'ils pensent si ordinaire ; après tout, ils sont en majorité.
Les Steel Spoons, cuillère en acier, regroupent la classe moyenne de Hanseo. La plupart d'entre eux sont des travailleurs, des familles, et parfois des étudiants. Ils représentent 40 à 60% de la population.
04. WOODEN SPOON
Les oubliés et les déshérités de Hanseo. Ils subissent la misère de leur situation, mais aussi les obstacles que la société leur impose. Ils n'ont jamais consenti à leur condition, et se battent jour et nuit pour résister à cette insuffisance. A working class hero is something to be. Le système les abandonne peut-être, mais eux n'ont jamais oublié leurs rêves ; ils se battront, s'échapperont de cette précarité et feront taire les médisants, ou se complairont dans ce train de vie qui les satisfait peut-être plus que quiconque.
 Les Wooden Spoons, cuillère en bois, représentent la classe la plus défavorisée de Hanseo. Ils regroupent environ 20% de la population.
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swedesinstockholm · 7 months
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23 février
j'ai entendu une humoriste sur france inter qui disait qu'elle se sentait tellement seule qu'elle allait se faire faire des manucures pour que quelqu'un la touche et les gens dans le studio ont poussé des exclamations de dégoût choqué, les gens ne sont clairement pas prêts pour mon livre. et puis ce matin, toujours sur france inter, j'ai entendu un écrivain que je connaissais pas qui parlait de son travail d'homme à tout faire et de sa situation d'ultra précarité et que parfois c'est dur mais bon c'est lui qui l'a choisi (avant il était photographe et il portait des costumes dior). il est publié chez gallimard mais il est quand même homme de ménage et archi pauvre, il peut pas chauffer plus d'une pièce de son appartement que j'imaginais tout pourri à la bordure d'un paris imaginaire avec de la tôle rouillée et des murs qui suintent. il faut que j'arrête de voir la publication comme une finalité. je veux de l'argent, tant pis pour la liberté, ça veut rien dire la liberté. il me faut un plan de carrière.
25 février
encore en train d'écouter le nouvel album d'mgmt, je crois que je commence à l'adorer. j'étais un peu partagée au début. j'ai regardé des interviews et ça m'a replongée en 2008 dans mes jours de groupie en chef d'andrew vanwyngarden. ils sont inextricablement liés à mon adolescence de bloggueuse insupportable mais touchante (quelqu'un m'avait dit ça un jour dans les commentaires et je trouve que c'est une bonne description). dans une interview on leur demande pourquoi ils sont pas sur les réseaux sociaux et andrew dit qu'à leur époque c'était pas cool de s'auto-promouvoir et que faire un selfie c'était le truc le plus embarrassant du monde et ça m'a fait réaliser que beaucoup de temps avait passé depuis... je sais pas, que je suis née? aussi j'ai toujours honte de faire un selfie en public.
andrew a 41 ans. il est verseau, comme r. et comme a. j'ai réécouté leurs deux premiers albums hier, après m'être promenée sur le campus du lycée pour me rouler dans la nostalgie. la nostalgie de quoi, je sais pas trop parce que j'étais aussi déprimée à 17 ans qu'aujourd'hui, le seul truc bien c'était la musique les concerts et ma double vie de bloggueuse populaire où les gens me disaient que je leur manquais quand je partais en vacances. la première fois que j'ai écouté mgmt c'était un dimanche matin sur youtube, c'était le printemps et j'avais 17 ans et j'étais assise au pc dans la pièce de l'ordi et il faisait probablement soleil. le soleil et le printemps sont des composantes importantes de ma relation à mgmt. leur musique me rend nostalgique de plein de choses que j'ai connues et pas connues. comme wildflower des avalanches. 
les choses pas connues: les époques avant les années 90; les états-unis. les choses connues: un truc doux et joyeux de l'enfance, une piscine chaude où il fait bon vivre; les sapins, la forêt de manière générale; le soleil (PLEDGE ALLEGIANCE TO THE SUN); le jardin de la maison quand j'étais petite, les fleurs de ma grand-mère, les habits que j'aimais quand j'étais petite (le tshirt avec les papillons, du rose barbie et du vert fluo, du jaune bordé de rouge, des pois, des fleurs); du bois (meubles).
6 mars
je me force à écrire. je suis en crise. j'ai envie d'exploser et d'imploser en même temps. j'ai envie de manger du sucre mais j'en ai pas envie, j'ai juste besoin de combler un vide, HA, à chaque fois je crois avoir trouvé un truc profond mais après je me rappelle que ça existe déjà et que c'est archi commun. j'essaie d'écrire un texte sur les mythes pour un appel à textes mais je me sens submergée par l'ampleur du thème et par les choses que j'ai à dire mais en même temps j'ai rien à dire. j'ai trop pris goût à avoir mes textes publiés dans des revues, c'est en train de devenir addictif, comme mon addiction aux annonces de location immobilières bruxelloises sur fb. je suis accro aux photos d'apparts dans lesquels me projeter et je suis accro à voir mon nom imprimé sur du papier.
mon texte sur a. tiré de bluettes que j'ai été assez naïve d'envoyer à deux revues différentes a été sélectionné par les deux revues et j'ai du choisir entre les deux et ça m'a stressée toute la journée lundi. j'en avais mal au ventre, comme à chaque fois que je dois faire un choix, ça a pris des proportions de vie ou de mort, j'avais peur de faire le mauvais choix et de le regretter toute ma vie. j'arrive pas à accepter l'idée selon laquelle y a pas de mauvais choix. dans ma vision des choses, y en a toujours un qui est forcément mieux que l'autre. j'arrive pas à voir les choses à égalité, tout est en compétition. alors j'ai demandé conseil à j. de paris, vu qu'elle a fait des meilleurs choix de vie que moi, je me suis dit que son intuition fonctionnait mieux que la mienne, et je l'ai suivie.
j'ai écrit aux deux revues en rentrant de la chorale et j'avais l'impression d'être dans the voice quand les candidats doivent choisir un coach et qu'ils s'excusent auprès des autres de pas les avoir choisis, sauf que ça aurait été mille fois plus facile de choisir un coach de the voice (mika). j'arrivais pas à croire que j'étais en train d'écrire un mail à une revue pour leur dire qu'elles pouvaient pas publier mon texte, j'avais l'impression de me tirer une balle dans le pied. en plus elles m'ont dit que ça leur faisait rien à elles que mon texte soit publié ailleurs. j'arrive pas à m'en remettre. l'autre revue m'a dit que c'était un beau luxe de pouvoir choisir mais entre la peur de faire le mauvais choix et la déception de pas être publiée dans mouche j'arrivais à peine à savourer le goût du succès.
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selidren · 7 months
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
10/15
Rose m'a aussi parlé des longues séances de rééducation. Combattre la douleur, redonner confiance malgré le membre perdu. Il est clair qu'au vu de ces blessures affreuses, je n'aurai guère envie d'être un homme à cette époque. Et malgré cela, elle les rafistole du mieux qu'elle peut. Aux défigurés, elle essaie de rendre un semblant de visage, aux estropiés, un semblant d'équilibre avec un membre artificiel. C'est un travail admirable. Admirable, mais bien trop dur pour quelqu'un de faible constitution mentale comme moi. Je grimace quand je vois Madame Eugénie se piquer avec son aiguille, alors recoudre des chairs. J'en tremble rien que de l'écrire.
Transcription :
John « Mademoiselle Beauvais ? Vous êtes occupée ? »
Juliette « En réalité, c’est Madame. En effet, je viens pour chercher pour la séance de rééducation en plein air avec le Docteur de Chastel. »
John « ... »
Juliette « Pourquoi me regardez vous comme cela ? »
John « Quoi ? Oh pardon je… la rééducation oui. »
Juliette « Vous vous sentez mal ? C’est à force de rester en plein soleil, vous avez peut-être une insolation. Allez à l’ombre en attendant que je vous amène un broc d’eau. »
John « C’est sans doute cela. Sauf que c’est vous, le soleil qui m’aveugle et me fait perdre tous mes moyens. Votre beauté irradie comme un astre de midi. »
Juliette « Veuillez m’excuser mais… la consommation d’alcool est interdite aux patients durant tout leur séjour à l’hôpital. »
John « Je ne suis pas ivre. Ou alors ivre de votre voix qui captive mes sens. »
Juliette « Bon, Monsieur le poète va devoir se lever et aller s’asseoir avec ses camarades dans le parc. J’ai autre chose à faire que de vous écouter divaguer. »
John « Oh non, ne vous fâchez pas, je vous en supplie ! Je cherche une façon de vous parler depuis des semaines ! C’est que… vous êtes si jolie. Et les belles femmes m’intimident, surtout avec ma jolie gueule toute balafrée. »
Juliette « *soupir* Ne dites pas cela, même avec une grosse cicatrice au milieu du visage, vous n’êtes pas si mal. Vous n’avez même pas perdu votre nez. En revanche, si vous êtes aussi bon soldat que poète et séducteur, ce n’est pas étonnant que vous vous retrouviez ici. »
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ernestinee · 1 year
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Je suis un peu démunie par rapport à l'un de mes patients et surtout par rapport à ses parents, ou comment devenir maltraitant en essayant de "bien faire".
Ado, syndrome autistique et une notion bien particulière de ce qu'est "l'abstrait" bien sûr. Donc le calcul littéral en maths est presque impossible parce qu'il a du mal avec le fait qu'on fasse des opérations sur des lettres, qu'on puisse y mettre des exposants. En chimie il galère aussi parce qu'on utilise des symboles. La physique et l'utilisation de formules, pareil, il galère. Les autres matières sont assez bien intégrées mais comme il a ce truc un peu bizarre dans son attitude aux autres, il subit du harcèlement à l'école. Les profs sont au courant du diagnostic et c'est important pour la tolérance et la protection à son égard, les harceleurs sont sanctionnés, l'école gère comme elle peut mais H. a aussi dû frapper pour qu'on le laisse tranquille.
Il a 15 ans, l'âge où il pourrait choisir une voie sans les maths, aller vers ce qu'il souhaite "du travail dans un bureau tout seul". Il a des projets, il veut écrire, raconter et il est capable de faire pas mal de tâches répétitives, encoder des informations,etc. C'est un jeune homme capable et motivé.
Mais ses parents sont dans le déni. Ils multiplient les prises en charge pour que ce gamin rentre dans les cases. Ils délèguent en se disant "on a fait tout ce qu'il fallait et il n'y arrive pas" et ils lui font passer le message qu'il est nul en tout, bon à rien malgré "tout ce qu'on fait pour toi"
Alors là pendant les vacances, il me voit 2h par semaine pour de la méthodologie et des maths. Et il voit une absl de soutien scolaire 3h par semaine pour de la chimie et de la physique et il y a également une dame qui va chez eux 2h par semaine pour un mix de tout. Ça fait déjà 7h.
Ensuite, il a psy, 1h par semaine. Et il change de psy régulièrement parce que les psys comprennent vite que le problème ne vient pas de lui mais des parents, et les changements ne vont pas dans leur sens. Il se retrouve à raconter sa vie encore et encore à des psys différents.
Comme si ce n'était pas assez, il voit une personne 1h par semaine également pour avoir une belle écriture.
Ça fait 9h de suivi pour faire entrer un ado dans une case. Il est déjà en difficulté identitaire par le simple fait d'être ado et ses parents lui expriment de toutes les façons possibles qu'il n'est pas celui qu'ils veulent qu'il soit.
Lui il veut écrire, il ne veut pas des maths. Alors en secret on bosse l'implicite du récit, les étapes d'une fiction, la polysémie, les récits "à la manière de".
Sa mère entend ce que je dis, parce que bien sûr j'ai dit ce que j'en pensais, j'ai dit que c'était trop, que ça l'épuisait, que c'était nocif pour lui et que s'ils veulent le voir épanoui, il suffit de supprimer les maths de son emploi du temps et le laisser écrire , j'ai utilisé des mots durs pour des parents pour qu'ils sortent de leur déni. Mais rien n'y fait, ça sort aussi vite que c'est rentré et rien n'est fait des informations.
Aujourd'hui il m'annonce que le nouveau truc de son père c'est "il est mauvais à l'école, il doit faire l'armée". Le père est bizarre, malsain et toxique. Souvent absent et en conflit permanent avec son entourage. On ne sait pas ce qu'il se passe derrière les portes mais je me doute que la pression que mon patient subit vient en grande partie de son père. Je sais aussi que si je mets trop les pieds dans le plat, les parents cesseront de me consulter et la confiance est installée entre lui et moi, je n'ai pas envie de le forcer à s'habituer à une nouvelle personne, ça a déjà été très long pour construire cette confiance.
Je vois de l'acharnement, qui à ce niveau est une forme de maltraitance, je vois un ado qui ne parvient pas à être épanoui parce que les personnes qui devraient le soutenir ne le font pas. Et je suis démunie par rapport à tout ça parce que mon champ d'action n'est pas si large que je le voudrais.
C'est encore une fois une remise en question de mon rôle de praticienne et de la compréhension à avoir à l'égard des parents. Je sais que mon rôle est de protéger mon patient mais à partir de quel moment peut-on dire fuck au putain de déni des parents et leur enfoncer dans le crâne que ça ne sert à rien de s'acharner, leur gamin ne rentrera pas dans les cases. Où sont les limites de mon métier...
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jisbunv · 1 month
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YOUTH RADIO CHAPITRE 1
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(couloir)
Makoto : waaah...... j'ai beau vérifier dans toutes les directions, il n'y a vraiment personne.
hmm, peut-être que je suis arrivé trop tôt ? quoique s'il y avait du monde je ne réussirais peut-être pas à me concentrer sur mon travail.
il n'y a pas un bruit, je vais pouvoir réussir à me concentrer, aller travaillons un peu avant que tout le monde arrive.
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(classe 2-A)
BONOJOUURR!!!!!!♪
effectivement il n'y a personne, je suis bien le premier.
...............
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(j'ai sorti mes feuilles et mon stylo en me disant "au travail !!" c'est super mais...... je suis perdu. je ne sais pas quoi écrire..)
(jusqu'à présent... ou plutôt, jusqu'à ce que anzu chan arrive à yumenosaki il n'y avait pas beaucoup de postes en tant que membre du comité de diffusion....)
(bien sûr, c'est déjà arrivé que j'ai eu a choisir des pistes audio pour l'émission de midi, j'ai aussi déjà eu à rédiger des articles sur l'actualité de l'établissement.)
(pas mal de choses étaient réglementées par le conseil des élèves, donc je ne pouvais pas diffuser ce que je voulais. pour moi ce modèle de hiérarchie a toujours été présent ici.)
(il y avait des moments où je n'aimais vraiment pas ça, alors j'allais dans le quartier commerçant près de l'école et je recherchais de la bonne musique bon marché.)
(mais durant DDD, fine, dirigé par Tenshouin senpai, le président du conseil des élèves, s'est effondré et la monarchie absolue s'est effondrée.)
(les dream festivals ont également beaucoup changé avec le retour des shuffle unit et l'ajout du système "S3".)
(maintenant que l'on peut créer librement nos émissions sans se soucier du conseil des élèves, Nito senpai est tout excité.)
(l'autre jour, je travaillais sur un article pour l'émission du club, j'ai travaillé tellement dur jusqu'à en négliger mon sommeil.)
(je ne fais vraiment pas le poids face à nito senpai..... je suis tellement dépendant de lui que je peux même pas rédiger un script par moi-même.)
ah! ce n'est pas le moment de déprimer! demain je serais de service, alors je dois être en pleine forme!!
(je dois prouver a nito senpai que shinobu kun et moi pouvons assurer seuls, afin qu'il ait l'esprit tranquille.)
bon !! je suis remotivé! quel thème choisir...... quelque chose de pas trop sérieux, comme ça ce sera plus amusant à écouter que si c'était un sujet compliqué.
quelque chose d'amusant... quelque chose d'amusant... qu'est-ce qui me rendrait content ? autant que de manger mon plat préféré par exemple ?
ah! pourquoi pas un classement de mes plats préférées !
héhé je suis tellement intelligent ! c'est important de mettre beaucoup de réflexion dans nos émissions, même cette saison !
♪~♪~
WAH !! anzu chan!? depuis combien de temps tu es là ?
oh, est-ce que tu as entendu tout ce que je disais depuis tout a l'heure ?
euh.. certes j'y ai mis du cœur mais tout ça c'était juste une blague...
ah, tu n'es pas obligée de me dire ton avis ! après avoir vu ta réaction, je sais déjà ce que tu en penses...
au, au fait, c'est vraiment bien que tu viennes aussi tôt a l'école.
moi ? je suis de service pour l'émission d'après-demain après midi. donc je suis venu tôt pour rédiger le brouillon du programme~♪
je n'arrive pas bien à me concentrer chez moi, c'est pourquoi j'écris généralement mes brouillons à l'école ou à la bibliothèque, mais cette dernière n'est pas encore ouverte alors je me suis installé là.
um ? anzu chan où vas-tu avec ce sac ? oh, est-ce que tu as oublié quelque chose chez toi ?
"si je reste ici je vais gêner"...... non tu ne me déranges pas du tout, d'ailleurs ça serait même mieux si tu restais là, anzu chan !
anzu chan, est-ce que toi aussi tu es inquiète à propos de la production et des chansons du prochain live ? si tu es en train de chercher des musiques, alors aide-moi aussi !
eh bien, j'ai décidé le contenu pour l'émission mais je n'ai pas encore décidé quel genre de musique je vais mettre.
oui, je suis membre du comité de diffusion~♪ je dois réfléchir aux idées pour les programmes. et c'est également mon travail de décider quelles chansons nous diffuserons♪
les réglementations se sont assouplies, donc si on veut utiliser des chansons de groupes de l'école on n'est plus obligés d'utiliser que celles faites par les membres du conseil des élèves !
on peut toujours utiliser celles faites par les groupes du conseil, mais on a aussi la possibilité d'en utiliser d'autres !
après tout il est important que les idols de notre école découvrent de nouvelles chansons pour développer leur sensibilité musicale.
après tout lorsque l'on est chef cuisto et qu'on mange des plats délicieux, on a envie de les refaire pour les servir à nos clients pas vrai ?
mais également,
si nous nous limitons à ce qu'il y a dans l'école, notre champ de vision sera forcément réduit. il faut qu'on puisse développer notre capacité de voir les choses dans une plus large perspective pour que nos capacités en tant qu'idols s'élargissent aussi.
enfin c'est pas à moi de dire des choses aussi ambitieuses.. quoi qu'il en soit, maintenant je suis libre de faire un peu tout ce que je veux.
je me demande de quelle manière je pourrais le mieux en profiter..
euh, hum, tu, tu vois, tout à l'heure quand je disais que je cherchais de la bonne musique pas chère ?...
ah tant mieux tu t'en souviens ! eh bien, je pensais aller jeter un coup d'œil dans les boutiques aujourd'hui.
si, si par hasard tu as du temps libre anzu chan, je me demandais si tu aurais envie de venir avec moi pour trouver de la musique..
comme toi aussi tu cherches des chansons je pense qu'on pourrait faire d'une pierre deux coups ?
wah.... faire les recherches demain après l'école ce serait ce qui te conviendrait le mieux ? wah, tu acceptes vraiment qu'on y aille ensemble ??
merci anzu chan !♪ je choisis toujours les musiques de mon émission en fonction de mes goûts personnels donc ça arrive que ça ne soit pas très varié...
mais si anzu chan est là alors je pourrais avoir un avis extérieur pour trouver les meilleures chansons~♪
Mao : oh, j'entendais du bruit depuis le couloir, c'était toi makoto
makoto : oh ? isara kun ? tu es censé être dans la classe d'à côté, qu'est-ce que tu fais là ?
mao : hm. je revenais de mon travail au conseil des élèves, et en passant par là j'ai entendu des voix depuis cette classe.
j'étais tellement impressionné que quelqu'un soit là si tôt, alors j'ai voulu voir qui c'était et c'était vous. vous sembliez bien vous amuser alors je suis rentré♪
makoto : ah d'accord. isara kun, tu avais l'air vraiment occupé avec le travail du conseil des élèves hier, ne te force pas trop d'accord ?
mao : haha, merci !
moi je travaille dur, mais le vice président a encore plus de travail!
il y a des gens qui occupent des postes plus importants que le mien, alors je ne peux pas me permettre de partir en premier.
makoto : ah ouais, quand nito senpai reste tard au club je lui demande toujours si je peux faire quoique ce soit pour l'aider.
alors je comprends vraiment ce que tu ressens isara kun.
mao : tous les deux on a quelqu'un de très sérieux au-dessus de nous. il faut qu'on se montre à la hauteur en leur rendant la pareille.
makoto : ahaha, c'est vrai
mao : cette conversation est passionnante, mais je suis curieux de savoir de quoi vous parliez tout les deux avant que j'arrive.. est-ce que vous pourriez m'inclure dans votre discussion ?
~~~~~~~~~~~~
END☆
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rp-khall · 1 month
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tag game du rpg
règles du jeu:créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
Vu via le post de @barbe-noire-2
depuis combien de temps fais-tu du rp? — J'ai commencé il y a 17 ans, mais j'ai fait des loooongues pauses. Parfois pendant quelques mois, pendant quelques années. C'est dur d'estimer mon temps "actif".
quel était le premier personnage que tu as créé? — Oulà, j'avoue que mes souvenirs sont flous. J'avais genre 13 ans, c'était ridicule. Il me semble que c'était une fille populaire sur un forum rpg qui avait pour thème "High School Musical". Ce n'était pas très profond, je dois bien l'avouer.
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — J'avoue que j'ai toujours été hyper influencé par les séries ou films que je pouvais voir. Comme j'ai débuté durant la hype High School Musical, j'avoue que j'aimais beaucoup prendre Zac Efron, Ashley Tisdale, Miley Cyrus. J'aimais énormément Amanda Bynes, c'était elle que je prenais aussi beaucoup.
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — Pas vraiment un genre, mais plutôt les contextes compliqués et difficiles à comprendre. Je les admire, mais j'ai toujours énormément de mal à comprendre toutes les spécificités, les détails qui font la complexité du forum. Et finalement, je ne m'y sens pas bien, par peur de pas forcément respecter le travail de réflexion des créateurs du forum en question.
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — J'aime les drames, comme beaucoup je pense. Mais j'avoue que j'aime beaucoup les liens romantiques où les personnages cachent des secrets qui mettent justement en péril la relation.
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — J'aime assez les contextes qui mettent un avant une ville, une école. S'il peut y avoir une touche de surnaturel (sans que ce soit trop compliqué) alors je suis comblé.
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — En vérité, mes derniers personnages étaient les plus construits et j'ai une place dans mon coeur pour chacun d'eux. Mais j'aimerais énormément faire revenir Pearl, une jeune fille riche qui était détestable au possible et problématique sur tous les points. Mais il y avait aussi la possibilité de la rendre tellement profonde, d'ajouter du relief à ce personnage et j'ai la sensation de ne pas avoir pu explorer tout ça (du moins pas autant que je l'aurais voulu). Mais c'est un personnage si clivant, que je ne trouve pas vraiment d'endroit où la jouer.
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — Oh oui : le personnage triste, qui remet sa vie voir l'existence même en question. J'aime beaucoup explorer les sentiments et les décrire.
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — Alors pas vraiment ; à l'époque je lisais beaucoup des bandes-dessinés. En fait, j'aime énormément écrire, mais pas tant lire. Je trouve ça drôle. Mais dernièrement certains livres m'ont donné envie de m'y remettre : "Et ils meurent tous les deux à la fin" ; "My dear f*** prince" ; "Celle qui a tous les dons"...
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — En ce moment je suis sur deux forums que je recommande : All Delighted People - Blurryfaces. Il y a aussi un forum en projet que je suis et que j'ai hâte de voir s'ouvrir : @what-if-imagine. Je profite de ce petit post pour indiquer que je cherche des partenaires de rp', alors si jamais... hésitez pas à envoyer un message !!
☞ je tag: Ceux qui veulent reprendre le concept et participer. Je connais que peu de comptes sur Tumblr alors j'ai personne à taguer, en fait :)
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perduedansmatete · 11 months
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vendredi j'ai pris des anxios pour dormir sinon j'allais juste passer une mauvaise soirée et j'ai bien fait c'était une de mes premières vraies nuits depuis bien des semaines.
samedi j'ai tout fait sauf travailler, puis je devais sortir le soir mais finalement j'ai suivi mes grands-parents chez ma sœur parce que son mec m'avait invité et c'était super. j'ai beaucoup de chance de pouvoir passer ce genre de moments avec eux, on a encore parlé d'alsace et on a vendu la mèche à ma grand-mère en lui disant qu'on voulait lui faire une surprise et l'emmener visiter notre strasbourg avant d'aller dans son bled, elle a râlé en en disant que ça avait trop changé et que c'était n'importe quoi et blablabla tout en voulant y retourner va chercher à comprendre. au détour de nos discussions généalogie on a parlé de sa mère et de ses mémoires (puis surtout de la partie manquante, celle où elle parlait de son mari et qui commençait à peu près comme ça "je pensais pouvoir vivre le vrai amour, découvrir celui que je n'ai jamais pu recevoir de ma mère") elle a été très émue comme souvent avant de nous dire qu'elle était trop dure en pleurant alors qu'elle est tout l'inverse, pour la rassurer on a eu toute une discussion sur mon absence de cœur présumée et ça les a beaucoup faire rire elle et mon grand-père.
puis ils sont partis et ne restait plus que nous trois, après avoir vidé plusieurs bouteilles de vin pendant le repas, ils m'ont sorti du grand marnier, pour moi c'était simplement quelque chose qu'on mettait sur les crêpes mais ils m'ont fait un cocktail puis deux puis... et on s'est posés devant tom sawyer en alsace et je crois que je n'avais pas ri comme ça devant quelque chose depuis longtemps. dans nos pérégrinations on s'est retrouvés devant black sheep de scott pilgrim en découvrant avec affront que ma sœur ne l'avait jamais vu. puis par je ne sais quel chemin on s'est mis à écouter le groupe d'un assassin (noir désir) et c'est dur parce que j'ai grandi en écoutant même si le mal était déjà fait et c'est rattaché à tellement de choses. j'en parlais il n'y a pas longtemps avec ma mère car il passait à la radio et que ça m'énervait et elle me disait que c'était quand même vachement dur pour elle de ne pas écouter avec nostalgie parce que ça faisait partie des premiers groupes qu'elle avait vu avec mon père. bref on en a écouté plein ma sœur et son mec chantaient à pleins poumons et moi j'étais là non je refuse mais... ahhhh... c'est vrai que c'était bien purée. on a discuté religion aussi et malgré le fait que l'environnement familial dans lequel j'ai grandi n'est pas le plus pieux pour ne pas dire qu'il exècre la religion (coucou papa) et bien quand même ça me fascine assez cette rigueur qu'on peut s'imposer, ces principes à respecter, quelque chose dont je serais incapable et je sais plus trop comment ça c'était conclu mais c'était assez intéressant de parler de tout ça en sirotant mon délicieux bloody mary.
puis après on est revenu au sujet des hommes violents des agressions sexuelles et de l'horreur des hommes gentils qui se croient tout permis ou qui croient que tout leur est du. on s'est encore plus éloignés du quart d'heure de folie devant tom sawyer en alsace parce qu'on a discuté du fait de détester être un homme ou une femme puis du simple fait d'être et avant de partir le mec de ma sœur m'a dit mais tu sais les antidépresseurs ça change vraiment la vie je peux t'en donner si tu veux (je lui avais répondu quelques heures plus tôt un truc du style "tu sais je crois que je n'ai pas été heureuse depuis mes onze/douze ans, c'est un truc de fille je crois" (mdr) quand il m'avait demandé si j'étais dépressive et qu'il m'avait parlé de sa dépression avant que ma sœur ne sorte des toilettes). sinon on a découvert qu'on avait les mêmes limites en terme de cul à savoir qu'on en avait pas (enfin si mais très peu et la même ce qui nous a bien fait rire) on s'est d'ailleurs fait une giga déclaration d'amitié en buvant nos je sais pas combientièmes verres de quetsche ça m'a fait trop de bien on était vraiment trop mignons puis en parlant d'amis j'ai parlé de vous en disant que j'avais des copains sur tumblr en plus de ceux dans ma tête ce qui m'a permis d'avouer à ma sœur que je l'avais bloqué dessus il y a des siècles et évidemment elle était absolument scandalisée.
mais du coup avec tout ça je suis rentrée au petit matin et je me suis réveillée en sursaut à quatorze heures avec une gueule de bois atroce et l'angoisse de devoir être très rapidement là où on s'était donné rendez-vous avec mes amies que je n'avais pas vu depuis trop longtemps à mon goût, au final j'étais presque à l'heure mais le café qu'on voulait tester était imaginaire (fermé) donc on a bu des chocolats chauds dans un autre en se racontant nos vies et en rigolant beaucoup avant de se balader dans tout paris et la conclusion de tout ça c'est qu'elles aussi j'ai de la chance de les avoir dans ma vie (et qu'on devrait toutes consulter aussi).
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Opération speciale
Chap: 1
Ce soir, il m'a prévenu que l'on allait sortir. Comme souvent.
Je suis assise à côté de lui, côté passager. Mes chevilles liées par des menottes dont il garde la clef dans sa poche de pantalon. Une vieille habitude depuis que je vis chez lui. Ou plutôt, depuis qu'il m'a interdit de partir de chez lui!
Il a toujours peur que je me sauve. Il m'attache ou m'enferme en permanence. Pour moi ce n'est pas vraiment une nécessité, je n'ai pas d'endroit où aller, pas d'argent. Je ne sais même pas si je partirais dans l'éventualité où il me laisserait libre.
Il est dur mais plutôt juste. Je subis au quotidien. Je m'attache à lui comme un otage qui se lie à son gardien. Je m'habitue à cette vie finalement. Mon cerveau se vide.
Plus d'envies. Plus de rêves.
Je deviens un automate. Je subis sans me plaindre. Les quelques punitions que j'ai reçues les premiers temps m'en ont dissuadées. Les cachets qu'il me donne plusieurs fois par jour aussi j'imagine. Je me sens las. Sans énergie. Je n'étais pas comme cela avant.
Il est pharmacien. C'est facile pour lui de me rendre à sa merci. De me droguer. De faire de moi un zombie.
Nous avancons dans Strasbourg et nous nous rapprochons du centre. Le regarde par la fenêtre de la voiture. Le regard vide. Le paysage urbain défile. Des lumières. Des boutiques en train de fermer. Des passants.
J'imagine la soirée que je vais passer.
Je n'ai pas peur. Je n'ai plus peur. Je m'habitue a être malmenée. J'aurai mal sans doute. Je passerai un mauvais moment. Ça m'est égal. Je pense à après. Quand il irait travailler demain matin. Je serai enfin seule. Enfermée dans ma chambre. Mais seule. Je dormirai. J'ai toujours envie de dormir depuis que je suis chez lui. Les cachets sans doute...
Il se gare le long d'un trottoir. Il y a un peu de monde dans la rue. Je pourrais crier. Demander de l'aide.
Même pas la force. Même pas l'envie. Juste l'idée qui me traverse l'esprit...
Il défait les menottes et me regarde d'une manière menaçante:
- Je te fais confiance petite pute! Tu restes bien docilement à côté de moi, d'accord?
- oui Maître.
Je me garde bien de lui dire que je n'ai pas la force ni l'énergie de fuir ou de demander de l'aide. Il doit bien le savoir de toute manière.
D'ailleurs je ne peux pas lui parler. Il me l'a interdit. Je peux juste lui répondre. Et encore, avec calme, politesse et en baissant les yeux! Réponses courtes obligatoires. J'ai été punie plusieurs fois au début pour manque de respect. Je fais attention désormais. Ses punitions font trop mal.
Il fait le tour de la voiture et m'ouvre la portière.
- merci Maître.
Il me prend sous le bras, gentiment.
Nous commençons à marcher. Comme des amoureux. Nous donnons le change j'imagine, pour les autres passants.
Je fais l'objet de quelques regards de mecs que nous croisons. Je suis habillée un peu court pour ce début de soirée. C'est lui qui choisi mes tenues.
Il est fier que les hommes me regardent.
Il me chuchote à l'oreille:
- tu vois petite pute, tu plais aux hommes! Je suis fier de toi!
- merci Maître... je réponds en chuchotant également.
Dans ma tête, un sourire passe. La satisfaction. J'avoue ressentir une certaine fierté à plaire. Presque de l'excitation.
Nous arrivons en bas d'un immeuble. Il sonne.
Nous entrons lorsque la porte se déverrouille....
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e642 · 2 months
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Impossible de dormir je pense à plein de choses et comme toujours, j'ai la main sur très peu. Je repensais à la conversation que j'ai eu avec mon pote tout à l'heure sur le travail de psy et la responsabilité que c'est, et la neutralité qu'il faut et la bienveillance aussi. Je pense aussi au découvert de ma mère, on a acheté un lit pour mon appart, sa carte expire bientôt donc pour payer en plusieurs fois on a pris la mienne et elle voulait me faire des virements et aujourd'hui elle était déjà à -550€, j'ai du mal à vivre avec cette information. Le stress que ça doit être pour elle. Je m'en veux de lui coûter de l'argent même si je demande rien, il me fallait un lit mais ça me rend triste. Je pensais aussi au stage que je dois trouver, j'ose pas rappeler l'hôpital de peur de forcer et en même temps j'ai peur qu'ils me disent plus tard dans l'été que pas possible ou que quelqu'un a été plus réactif. Puis je repense à lex de mon mec qui le spam et me spam aussi et à l'envie malsaine de mettre une photo de moi trop fraîche. Mais en fait, quand je dis trop fraîche je pense à prendre une photo avec un filtre pour atténuer mes cicatrices d'acné parce qu'en fait je me trouve immonde. Et c'est un peu toxique de vouloir juste mettre ma tronche pour qu'elle voit qui l'a succèdée je sais. Aussi j'ai hâte de revoir mon mec, ça se passe mieux et le fait qu'il soit parti en vacances nous a donné de l'air et de la liberté mais je m'en veux un peu de pas lui avoir dit que je voyais un pote ce soir. Jlai pas dit pour éviter l'embrouille et c'est pas forcément bien mais c'est plus facile. J'avais pas envie de me prendre la tête pour ça alors que vraiment zéro ambiguïté avec lui et voilà c'est dur à faire croire que je peux boire un verre en tête à tête jusqu'à 23h avec un pote en parlant des années collège. J'aimerais pas qu'il me fasse ça mais il a un passif aussi, pas moi, d'où le fait que je banalise le fait que je mente. Puis je vais devoir lâcher bcp d'argent pour la fac, le permis, les vacances avec mon mec fin', je peux je vais être payée là en juillet mais j'ai toujours une peur profonde de manquer car globalement je vis avec 200€ par mois pendant 11 mois sur 12. Plus je grandis, plus j'ai peur de ne pas toujours réussir à subvenir à mes besoins. De ne pas avoir les moyens. Ma meilleure pote m'a invitée ce WE avec mon mec pour fêter son concours mais la vérité c'est que j'ai pas envie de la voir. Je suis très contente pour elle mais on est trop loin maintenant. Je fume énormément en ce moment et je sais pas comment faire, avant ça me posait pas de problème maintenant je sens que c'est pas très aligné avec mon côté "bien manger, faire du yoga, arrêter de fumer de la weed et de boire". Ma dermatillomanie ne cesse pas de grandir et ruiner tout mon corps sans que j'y puisse quelque chose. J'ai gâché mon visage, mes jambes, mon décolleté et je me déteste pour ça mais c'est le seul dérivatif que j'ai trouvé à la mutilation. Des fois, j'ai juste envie de me remettre un sale coup de lame pour m'éviter des heures de triturage de peau et c'est horrible à dire. Je me sens un peu nulle dernièrement en fait en plus de me sentir complément dégueulasse et affreuse mais ça va passer, tout passe. Voilà j'ai fait un effort, j'ai tout dit je crois, est-ce que je peux dormir ?
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lilias42 · 27 days
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La chassée devenue chasseuse
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J'enchaine vraiment en ce moment IRL alors, j'avais envie de dessiner un peu pour me vider la tête donc, voici une nouvelle version de Metaheta de dos avec plein de détour (juste un peu déçu qu'on ne voie pas les motifs autour de son oeil central dans son dos [mais ils se voient quand on grossit le dessin !]).
C'est une des Braves que j'aime le plus à cause de son histoire vis à vis des agarthans, son design qui est dur mais très satisfaisant une fois passé au noir, son caractère et sa force... même si j'en ai fait peut-être un peu trop pour cette dernière vu que... bah je sais même pas comment Némésis et Thalès ont pu réussir à la vaincre en fait 😅
Vu que la dame a 1 200 ans de sorcellerie à son actif, une force colossale, la capacité à moduler son corps comme elle le veut - que ce soit pour grandir, le tordre dans tous les sens ou changer d'apparence - et le contrôle comme elle le souhaite, voie sous tous les angles possibles grâce à ses yeux, se régénère très vite, lit dans les pensées des gens (vu qu'elle a développé ses sens et son corps, ça me semble dans la continuité qu'elle développe assez sa sorcellerie pour pouvoir voir et entendre les pensées des autres... et ce serait tout à fait son genre de lire de le faire pour repérer encore plus vite les agarthans)... ouais, arriver à la faire tomber est pratiquement impossible à ce stade, encore plus pour des agarthans vu que de base, si elle est aussi surentrainée, c'est justement pour les vaincre alors, elle connait tout leurs trucs et même armé de l'épée du Créateur, Némésis risque de ne pas faire long feu face à elle étant donné qu'il n'a ni son endurance, ni sa capacité de régénération ni d'adaptation. Encore, elle pourrait galérer contre des nabatéens qui pourrait la battre avec pas mal d'effort (même si je ne voie pas pourquoi elle s'en prendrait à eux, elle en a juste rien à cirer de ce qui se passe en-dehors de sa montagne et si on ne la menace pas), mais des agarthans... voilà quoi, elle les repoussait avant leur chute alors, avec les ressources bien diminuées, même pas la peine d'y penser. C'est elle qui va les éliminer, y a pas de débat là-dessus.
De base, je me disais qu'il l'épuisait en la forçant à combattre pendant des jours sans qu'elle puisse manger, boire ou dormir mais, il leur faudrait une véritable armée pour l'assaillir continuellement et à ce stade, je voie mal les agarthans avoir assez de ressources pour créer suffisamment d'automate ou recruter assez de gens pour ça... j'ai le même problème avec les autres sorciers vraiment anciens que son Lamine (avec son poison mortel en quelques secondes flottant dans l'air et sa capacité de régénération vraiment infinie vu qu'elle peut survivre à une décapitation et brûle moins vite qu'elle ne guérit), Kelon (idem, se régénère très vite, avec la difficulté en plus qu'il faut pouvoir l'attraper vu qu'il voie assez haut dans le ciel tout en étant ultra mobile avec ses ailes, avec ses éclairs qui peuvent toucher à assez longue distance) ou Pyrkaïa dans une moindre mesure vu qu'elle est une pointe plus jeune (bonne capacité de régénération et faut pouvoir attraper une véritable torche humaine) mais bref, à voir.
En plus, après tout ce qu'elle s'est pris dans les dents, les agarthans qui ont littéralement chassé son peuple pour s'amuser, voler les peaux des siens afin de s'infiltrer chez eux et faire encore plus de dégâts, tout ce qu'elle a enduré pour protéger sa cité, tout ce qu'elle a sacrifié pour son peuple, tout le travail pendant des siècles pour calmer sa paranoïa et qu'elle s'autorise un peu plus à vivre pour elle aussi et pas que comme une gardienne de sa cité... ouais, j'ai pas très envie de l'imaginer en train de perdre contre son pire ennemi, encore plus quelqu'un d'aussi arrogant et pourri que Thalès qui se prend pour un dieu, encore plus contre quelqu'un qu'il voyait comme une proie auparavant. Faudra bien un jour quand je me déciderais à faire son billet à elle mais bon, au rythme où je vais...
Alors, juste, vas-y reine, tu peux enfin en finir avec cette ordure qui a fait de la vie de ta cité un enfer, fait toi plaisir !
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#les 11 braves (+ peut être les premiers qui reçoivent l'emblème des saints)#goneril of the 10 elites#Metaheta Gonerile#Metaheta mérite de l'exploser cette pourriture !#C'est simple elle arrive à l'académie par voyage dans le temps raté elle défonce El et les agarthans qu'elle croise sans problème !#Pour Hubert El et Jéritza elle sent la magie agarthan autour d'eux idem pour Solon et Kronya#Elle risque même de prendre un grand plaisir à les défoncer vu qu'eux chassent les humains pour le plaisir...#... ou les utilise comme des cobayes d'expériences comme des animaux alors elle va leur faire ravaler leurs dents#alors si elle voie des humains alliés à des agarthans... ça va barder et ils vont prendre bien cher à coup de poings#même si elle épargnerait sans doute ses trois là... pas par pitié ou compassion juste parce qu'elle a lu dans les pensées de tout le monde#dont celle de Dimitri alors elle voie que c'est la personne dont Dimitri veut se venger alors elle ne lui volera pas sa vengeance#elle les gardera juste sous le coude le temps de s'occuper de tous les agarthans jusqu'à chez eux#même si elle pourrait épargner les civils qui ont été obligés de suivre comme elle l'a fait avec Pan dans le passé#même si elle serait du genre à le titiller sur le fait que sa tête est sans dessus dessous et qu'il consulter pour ses hallucinations#Elle n'a rien contre la vengeance mais elle sait aussi que c'est quelque chose qui peut te bouffer tout cru#alors quand c'est au point de voir des morts... ouais consulte gamin t'en a besoin#ce serait sa manière de mettre Dimitri en garde contre son envie de vengeance qui le rend aveugle à tout le reste quand il se perd#alors que des gens tiennent à lui et surtout ont besoin d'un roi compétent qui s'occupe de son peuple correctement#elle elle-même une personne très influente dans sa cité -peut-être née princesse - alors la protection de son peuple elle l'a dans le sang#-oui c'est la seule à être issue de l'aristocratie tous les autres sont plus au système D et des couches les plus basses de la société-#elle a le problème contraire d'Hilda elle ne s'arrête jamais que ce soit de travailler ou de construire pour son peuple
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manamihanako · 4 months
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XG - WOKE UP [VOSTFR]
Traduction en français faite par moi! Merci de ne pas reprendre ou republier mes traductions sans autorisation ou attribution appropriée.
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Artiste : XG
Chanson : WOKE UP
————————————————————————
Ouais, j'attendais ici en les observant
Essayant de rattraper, prenez-le comme vous voulez
Je suis partie en panique, j'ai quitté pour une autre planète
Prête à faire entendre une nouvelle voix
XG bébé, prononcez les noms correctement
Je vais les épeler pour que tu les retiennes
On peut sentir l'odeur des pneus qui crissent
On peut sentir l'odeur du feu qui brûle
On peut constater qu'on a tous fait en sorte de réussir
On a réussi mais il a fallu travailler beaucoup de travail
Un travail parfait fait
qu'il en devient douloureux, n'est-ce pas ? Maintenant, je profite des résultats
Tout de suite, on chevauche la vague, on part
Parce qu'on avait la voie libre
Salut, salut, salut, en filant rapidement puis on s'envole
Vers l'espace
En sortant de l'avion
Je monte dans un coupé
Regarde ma tenue maintenant
à peine levée du lit
Je me coiffe et je me maquille en route
Prête pour la prochaine étape
Prête pour le succès
Je les fais s'incliner devant le X (uh)
Je suis bien plus qu'ordinaire, je suis respectée
Souvent sous-estimée mais je les laisse tous ruinés
Je suis le juge et le jury, je n'ai pas besoin d'entendre
Je suis celle qu'ils redoutent, mais je préfère rester discrète
C'est automatisé, je suis l'élément motivateur
J'ai dit à mes haineux : 'Plus vous êtes nombreux, mieux c'est'
Vous êtes tous mon spectacle, je suis fascinée
Je ne peux m'empêcher de rire car c'est hilarant
Une petite fille avec une grande bouche, uh
Un petit groupe mais avec une grande maison, ouais
Une grosse montre au poignet maintenant, uh
Je viens de trouver ce flow à l'instant
J'ai investi davantage pour une montre de luxe
J'ai fait une tournée en bus et tout déchiré
Tout est sur mesure maintenant, les fans se ruent dehors
La sécurité a dû m'escorter
48 lois du pouvoir
Je suis une fille avec une grande détermination et une énergie puissante
Regardez-moi exceller
Regardez-moi percuter comme un téléphone à clapet Motorola
Je ne veux pas être trop intense dès le début
Mais apporte ce rythme énergique comme un 6-4
Retrouvez-moi à Tokyo en train de rapper en jupe
Vous voyez ce que je veux dire ?
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça, comme ça
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça, comme ça
Je me vante un peu et j'y vais doucement
Je laisse une marque comme un graffiti
Envoie-moi une localisation
Et j'y serai
Je fais le show et c'est ce que je maîtrise
J'ai une vision exceptionnelle
Alors que vous vous fiez seulement à des superstitions
Regardez-moi accomplir
Tout, partout
Tout à la fois tout le temps
Dans le monde entier
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
X G A L X
Et ça c'est le nom de notre équipe 'et c'est tout !'
Je suis la protectrice, la louve
Alors ne vous moquez pas de mes enfants
On est une famille unie et forte maintenant
Alors ne rabaisse pas les nôtres, hé
Bienvenue à la fête
On s'amuse comme lors du Mardi Gras, ouais
Vous pouvez m'appeler HARVEY
Mais je ne suis pas une poupée Barbie, ouais
Dur à cuire, haha, je me moque d'eux
Pendant qu'on s'éclate
Vêtues tout en noir, en noir
On est prêtes à tout
C et O C O
C'est moi, Seigneur aie pitié
Jeune reine mais je agis comme une grande soeur
Jeune mais je suis conçue comme une OG
Je m'entraîne dur pour porter tout cet argent
Je suis en super forme pour les magazines
Et je suis une louve dans une meute
Donc je grogne et j'attaque
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça
Comme ça
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça
Comme ça
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