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Feudastik
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Écrire. Maux Dire. Souffre Rire. Passant de l'azerty au crayon de clavier jusqu'à la bonne mine. Pas de style préférentiel, l'inspiration seule fait merveille ! Ainsi Soit Feudastik !  
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feudastik · 7 years ago
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Infusion à Froid...
Comme une part d'émoi qu'on arracherait ! Rien d'âme... qui s'en va mourir, sans après.
Patience ! Ça ira mieux demain qu'ils disent. C'est bien pensé ! Le jour se lève, quoi de neuf au jour le jour : Hier encore ! Et après-demain ? Que m'auront-ils laissés ce jour. Un jour nouveau ? Des histoires ! Pour que tu te la racontes – Or tu n'as plus toute ta tête. C'est l'histoire de cœur à pic qui tombe, dit : à un de ces quatre trèfle feuilles ! Par amour... Combien m'aime-t-elle, et pourtant ! Souvenirs... Infiniment plus que tout, et au-delà ! Tu te rappelles : « Tendrement vous, c'est un plaisir ! » - « Sourire... plaisir réciproque lors » depuis presque 548 jours, 13149 heures, 788940 minutes, à peine 18 mois – de trente, trente et un, vingt-neuf voire vingt-huit jours – divers comme été. Qu'importe si l'hirondelle n'annonce rien de plus qu'elle ne fait. On prend de la graine, puis voilà ! Le tout c'est que la plante finit toujours par prendre pied, autant on emporte le vent, encore mieux sous alarmes ! Bien loin d'être une tasse de thé... Sourires ! Te rappelles-tu. Déjà froid, enfin aura-t-il fallu que je boive.
Demain, levant sitôt mon verre, jusqu'à la lie ! Infusion d'âme ; or c'est déjà la veille...
À Nous !
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feudastik · 7 years ago
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Feuda$tik Gros Maux de Société : El Nuevo !
Parodie de la musique Te Quiero de Stromae
Quand je l'ai vue, j'ai tout de suite su que... Qu'on allait devoir faire ces jeux absurdes.
Bijoux, Bisous, et le tralala Mots doux et coups bat Insultes, coups, etc, etc. Non non ! Pas les mains, mais le 31 oui !
Notre jour de l'an deviendra aussi le sien ensuite Enfin c'est la purge qui insistera j'imagine Imagine moi, auré' sous le bras Et vomi, sale, et puis tout ça...
[Refrain]
Je l'aime hardcore mais pour la nuit On se dira "oui", à la vie, à la mort Et même en changeant d'habit Même en sachant qu'on a tort On ne changera pas la bile Donc comme tout débonde Je vais, en souffle, ris ! Jusque las, mort
El Nuevo Je voudrais une seconde Mais là le temps presse
EL Nuevo Même brune ou blonde Et bien, quelle ivresse !
El Nuevo Oui je l'aimais tellement Que je l'aime encore
El Nuevo Je n'aurais pas le choix non Jusque las, mort
[Interlude 1]
El Nuevo, El Nuevo Jusque las, mort
El Nuevo (x3) Un jour je la reverrai, je le saurai tout de suite Que ce sera reparti pour un tour de piste Un axiome de plus, une nouvelle purge, Puis leurs odeurs de pisse Ça deviendra juste une fois de plus répétitif
Imagine moi dans mes vieux jeans
Mais cette fois-là, sans domicile Le moral bas, en haut d'un pont, D'une falaise, ou d'un building J'aurai l'air d'un con Quand je sauterai dans le vide
[Interlude 2]
Je l'aime à mort (x11)
Je l'aime hardcore mais pour la vie On se dira oui à la vie à la mort Et même en changeant l'habit Même en sachant qu'on a tort On ne changera pas la bile Donc comme tout le monde Je vais en souffle, rires ! Jusque las, mort
Te Nuevo Je voudrais une seconde Mais las ! Le temps presse
Te Nuevo Même au bout du compte Et bien, qu'est-ce qu'il reste !
Te Nuevo Oui je l'aimais tellement Que je l'aime encore
Te Nuevo Je n'aurais pas le choix non Jusque las, mort !
Te Nuevo, El Nuevo Jusque las, mort !
Te Nuevo, El El Nuevo El Nuevo
[Outro]
Je l'ai ma mort, je l'aime ma mort. Je l'aime à mort ! Je l'ai ma mort ? Je l'ai ma mort ; je l'aime à mort.
Je l'aime ma mort...
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feudastik · 7 years ago
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Miroir, ô mon beau ...
Inutile tu m'es dans les grands moments. Tu réfléchis, que je mire à rien ou à bien, agréable de sentir ce reflet... Au miroir... Sans tain... Enfin... Aime-je ce que tu vois... Il y aurait des choses à reluquer... Erreurs inutiles... Sensas à moi-même... Me marre... Me mire... à grands coups d'éclats... C'est moi... Ô fêlures... Fêlée... Le masque... Bien haut... Risible... Ils aiment ce qu'ils regardent, non pas ce que je vois... "Qu'est-ce tu t'imagines" me répète alors une petite voix... "Tu es seul petite... tout le monde autour... jusqu'à la mort..." Je sais... Or l'ennuie serait mortel si vivant. Je dévie... survie... ! Plus d'idées mises en rayons que n'importe, plus de lumière qu'aura néon made in Sweden d'Ikea; trop courte pour mourir ! Végétative...
Ne reste qu'à prendre de la hauteur... petit peu de recul.             Qui verrais-je ? Un petit peu plus clair sur moi... sûrement...   L'entourage, vrai ou faux-semblant qui passent.
Par amour meurt, paix rit pour souffre rire à tout heurt, je sais. Avec ou sans rouge aux joues... Hors-moi tu l'es déjà au poil toi dis-donc... toujours ! Miroir, ô mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle.
Et invariablement, le miroir répondait :
En cherchant à la ronde, dans tout le vaste monde, on ne trouve pas plus belle que toi... au-delà des monts, bien loin, est aujourd'hui une merveille, VIE, inutile de le nier, tu étais la plus belle.
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feudastik · 7 years ago
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Amour (Pro)nominal
Je Suis Tu Es
Nous voulons Ils s'y opposent...
Besoin des Uns, Nullement d'eux !
Seuls à décider Si Lui + Elle = Nous Deux.
Le La Les Parleront toujours
À Toi seul de choisir L'article définissant Notre Amour
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feudastik · 7 years ago
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Cœur, Rocks Heart !
Et oh petit cœur, où étais tu caché depuis le temps. Remonte dont les pendules. Quel leurre est-il sans pulsation. Oui le bas blesse lorsque le coup part tout seul et alors !
N'est-ce pas là ce qui te rend vivant ?
Souffre Rire à bien qui rira le dernier, Rien ne t'abats toi qui tambourine sans mots dire. Tout n'est que ressenti !...
Et comme tu t'emballes petit cœur !
Écoute donc battre ce muscle tendu, détendu, bien trop longtemps à fleur de peau. T'entends-tu ?
Cette voix n'est pas la leur, elle est tienne ! Ne l'oublie pas...
À pas contraire ils iront battre ton écho malgré bats, vis tes chamades ! Car elles ne sauraient être sans toi pour les contracter.
Vaines ou profondes !
Rien de plus commode à sortir des armoires ces maux gris qui t'ont vu bleuir comme une orange mécanique bien roulée, certes.
Non pas pour en jouir, mais t'y conspuer, silencieux... T'omettre, mais c'est toi qu'on abat...
Erratique ; tu l'admets, on est d'accord !
Et ce serait faire jeu de mot de dire que tu t'y connais par cœur. à raison folie douce, tu peux dormir sur tes deux oreillettes ! Mais tes battements eux ne mentent pas...
Tic-Tac. Tic-Tac ! qu'ils font moqueurs... Leurre tourne aussi...
éveille ton trépas.
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feudastik · 9 years ago
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Ma vie n'a de raison qu'au regard du sens infini que tu lui portes
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feudastik · 9 years ago
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À ma Pitite Princesse
Tumblr media
Il y a de ces instants qu'on ne réfléchit pas. Qu'on vit.
Où qui sont tes muscles ? - Tout dans le cerveau. Où qu'il est ton petit toi ? - C'est toi-même... T'es gentil toi, t'es mon copain ! - Et toi ma petite princesse... des bisous tout pleins sur ton petit nez.
Dis, tu lui dis pas hein, je te fais confiance, sinon je te dis plus rien ! Motus, et bouche cousue. Comme la gueule de Simba, ah ah ah ! Comme on a rit enfin, surtout moi. Tu verras quand tu viendras, je lui dirais de te mordre les fesses ! J'avais peur avec ses grandes dents.... Visiblement, assez pour (ne pas) courir le risque et péril...Heureuse de savoir, que tu parles, pour de vrai, à quelqu'un d'autre : ton Copain...
Tu sais, y a pas beaucoup de monde ici. Avant, y étaient pas... Avant, elle... Maintenant, tu sais, (qui) je suis ! toi je t'aime bien, Même si t'as pas de muscles... t'es gentil, où qu'il est ton petit toi ? Tu me parles plus, t'es triste. Oui mais moi, qui ! y sont méchants...Dehors, dans son tiroir... je suis toute pitite...
Autant ta place porte à cœur,autant on ne puit décompter nos fous rires sans queue ni têtes à tête. Par-delà ces pluie de bisous menés par le bout du nez, Qu'un au revoir : veille sur ton copain, qui peut comme toi ?Comme sur ma reine ! Ton copain dis, tu me boudes... Où qu'ils vont mes bisous, reviens vite s'il te plaît.Au creux de l'arbre, ou balançoire.Tu m'attends que tu m'as dit !?Moi aussi...
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feudastik · 9 years ago
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Combattre le Temps...
Par ce beau matin d'hiver
Je ne voyais rien a l'horizon
Ballotté par l'Amer
Éperdue par l'émotion
Pris par un tourbillon
Et l'envie de partir
Priant les vents
De ne point m'anéantir
Ne pouvant m'endormir
Tellement ils étaient violents
...
Pour rejoindre ton univers
Il me faut combattre ce temps
Je ne pouvais m'assoupir
Sous peine de m'offrir au néant
...
Surtout pas lui donner cette chance
Car c'est ce qu'il attend
...
Flirtant avec l'innocence
Prête à ternir l'instant
Vaincre le néant !
Pour oublier ton absence.
Dédire le temps !
Pour leurrer l'évidence.
Jouer du vent !
Pour obtenir de la distance.
Écarter l'absent !
Pour résoudre l'incidence
...
Te rejoindre par tous les moyens
N'est pas une impertinence
Renier le mal saint
Ne serait que troubler l'impotence
...
Par ce matin d'hiver
J'aimerai etre dans ton univers
Occulter ces câlins d'hier
Étreindre à deux mains ces maux divers
Confronter ces vents contraires
Se retrouver plus vite dans cette atmosphère
S'enquérir de ce bol d'air
Adoucir le râle dans ce mystère
Et retrouver la chaleur
Sans maux
Sans heurts
Repartir mal heureux,
En quête du bonheur.
Feuda$tik ® ft  Pat-Auvray-Josse
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feudastik · 9 years ago
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Depote d’oxygène
Il y a des relations pour lesquelles on pourrait mourir sans causes en conséquence de ses actes nécessaires s'il le faut, pourquoi ?
Parce que voilà tout un rien ne suffirait à soutenir l'infinitésimal importance de cette moindre personne qui inspire, expire notre souffle de vie par bol d'oxygène ! sans pour autant se vanter... Vanité pure et douce à l'oreille...
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feudastik · 9 years ago
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Il m’arrive de l’apercevoir au détour d’un songe...
«  Il m'arrive de l'apercevoir au détour d'un songe....
D'une histoire ou d'un rire. D'une photo, d'une image ou lorsque le temps se prête au souvenir....
Oui je l'aperçois ! Assez clairement d'ailleurs. Chétive, frêle.
Alitée à l'ombre, ses yeux paressent alors ternes, presque sans saveurs...
Dans ces moments là, la grisaille se reflète en son miroir.
Comme si mue par la réflexion,ses yeux se bornaient à retranscrire le monde sans artifice.
Oui je me souviens d'elle la nuit venue ! Se refusant à voir un monde sans couleurs, son regard s'éteignait à la vie. Les paupières closes, elle se prenait à coloriser la Nuit. Allant de chambre en chambre sur son étoile filante à la recherche de peinture. Une fois parée, les gouaches en main, elle s'amusait à repeindre le ciel : "du rouge , du vert pour dégriser les nuages ! "  ,  " du bleu du ciel pour réveiller les arbres ! "  
 Le temps passe peut-être pour vous , mais ne lui dites-pas à elle.
En chambre, dans son monde.
Les heures,minutes ou secondes ne sont que des mots. Des maux d'adultes bien trop gros pour elle.
D'ailleurs à l'heure où je parle, elle s'en fiche un peu.
Chantant  " Au Clair de la  Lune " jonchée sur le croissant.
Elle gambade d'étoiles en étoiles.
Valse avec l'une d'elles, se jouant du noir et des ténèbres.
Tête dans les nuages, multiplie les coups de pinceau. 
Faut dire que tout le monde n'a pas sa chance à elle...
Voir le monde en peinture ! Le modeler, le retoucher quand ses couleurs perdent en éclat.
 Oui ce coup de crayon n'est plus à la portée du nombre... Alors,sautant à pied joint sur la ligne d'horizon, elle en rajoute des couches un peu partout.  
Elle scintille de cet éclat propre au chose qui nous émeuvent sans que l'on sache trop pourquoi.   Peut-être est-ce dû à ces yeux en amande, peut-être à ces petites joues roses.  À vrai dire cela n'a pas d'importance.Tout sourire sous couvert du soleil, la nuit s'en est allée. Et alors que son visage s'illumine, sa fresque luit au ciel. Le Soleil brille sur la ville, "grâce aux Super Nana ! " , un peu grâce à elle aussi.
Son devoir accompli, il est temps pour elle de rentrer. Quitter ce monde, quitter les cieux.S'ouvrir au monde,ouvrir ses yeux. Ranger ses gouaches, lever le voile de ses paupière.  Se laver les mains et veiller à " Ne pas renverser la peinture ! ".   
Dehors la nuit se lève peut-être. Lui dire en fait n'aurait aucune importance ! Car elle, à dos d'étoile filante aura su vaincre la laideur du monde !
La laideur de ces jours ternes sans couleurs, " ces jours de nuit où se cache le soleil ".
Plus j'y pense, plus je l'aperçois clairement. Cette fille si frêle aux yeux si grands ! Je la vois encore aujourd'hui ce vieil enfant...
Allant d'aventure en aventure, toujours prête à sauver le monde des " bêtises des grands".
Oui il m'arrive de la voir, d'ailleurs son image ne saurait être plus précise ! 
Somnolente, assise sur son étoile filante.
Étoile qui le crépuscule venu, lui faisait regagner Terre dans de grands éclats de rire. 
La bordait jusqu'à ce que lovée dans ses draps, ses vœux viennent à l'éconduire :
- Au revoir étoile filante, fais de doux rêves !  - Au revoir ma puce, passe une bonne nuit Elya. »
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feudastik · 9 years ago
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Et oh petit cœur, où étais tu caché depuis le temps. Remonte dont les pendules. Quel leurre est-il sans pulsation. Oui le bas blesse lorsque le coup part tout seul et alors !
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feudastik · 9 years ago
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Quel Leur est-il ?
Parfois je marche dans la rue.
Rien d'étonnant jusque là me direz-vous.
Mes petits pieds me mènent je ne sais où,
mon regard cherche à se faire voir ailleurs.
Du pigeon téméraire qui s'amuse à marcher sur mes plates-bandes sans gêne apparente  
( Ps : n'entamez jamais de baston de regard avec un pigeon,
ils sont bien trop fort à ce jeu là )
À ces jeunes filles, jeunes femmes, jeunes dames
allant l'air pressé sur le macadam.
En baskets, talons  elles bottent pas mal !
Quelque soit l'âge grosso-modo l'attitude reste la même.
Le revolver est de sorti, alors je fais feu.
Le pare-balles est de mise !
En cas de douille, je laisse le reste à la balistique.
Première salve, BANG !
C'est l'effet miroir.
Mon reflet se mire alors,  
je te parle pas du cliché.
L'image plait, y à pas photo !
Alors elle soutint le regard.
Je tente un sourire, elle prend la fuite...
Ah non, là voici qui revient,
s'assure que ce sourire est sien.
Elle reluque alors de haut en bas.
Apparemment, il s'en est fallu d'un cheveu pour que je paraisse rasoir ;
faut dire que ça fait 3 jours que la barbe est au poil...
Mais je suis sur le pied de guerre, les cheveux en bataille.
Impossible que devant tel déploiement de bon sentiments,
elle puisse fuir au nez et à la barbe de pareil gentleman.
Je dis ça, je dis rien...
La voici qui recharge la machine, je rajuste le gilet !
Histoire de ne pas, ciller sous les impacts...
Nous voici reparti pour la dernière manche.
Elle démarche, j'avance. Je marche, elle s'avance.
Un coup d'oeil rapide jeté à mon poignet.
L'heure tourne, elle se montre alors dans la seconde.
" Excusez-moi , jeune homme ! Vous n'auriez pas l'heure ? "  
Leurre tourne c'est vrai !
À cette cadence là ça peut durer des heures !
Sans que les minutes dans la seconde
ne change quoi que soit à l'effet.
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feudastik · 9 years ago
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Quand je l'ai vue, j'ai tout de suite su que... Qu'on allait devoir faire ces jeux absurdes. Bijoux, Bisous, et le tralala Mots doux et coups bat Insultes, coups, etc, etc.Non non ! Pas les mains, mais le 31 oui ! Notre jour de l'an deviendra aussi le sien ensuite Enfin c'est la purge qui insistera j'imagine Imagine moi, auré' sous le bras Et vomi, sale, et puis tout ça...
[Refrain] Je l'aime hardcore mais pour la nuit On se dira "oui", à la vie, à la mort Et même en changeant d'habit Même en sachant qu'on a tort On ne changera pas la bile Donc comme tout débonde Je vais, en souffle, ris !Jusque las, mort El NuevoJe voudrais une seconde Mais là le temps presse EL NuevoMême brune ou blonde Et bien, quelle ivresse ! El Nuevo Oui je l'aimais tellement Que je l'aime encore El NuevoJe n'aurais pas le choix non Jusque las, mort
[Interlude 1] El Nuevo, El Nuevo Jusque las, mort El Nuevo (x3) Un jour je la reverrai,je le saurai tout de suite Que ce sera reparti pour un tour de piste Un axiome de plus, une nouvelle purge,Puis leurs odeurs de pisse Ça deviendra juste une fois de plus répétitif Imagine moi dans mes vieux jeans Mais cette fois-là, sans domicile Le moral bas, en haut d'un pont,D'une falaise, ou d'un building J'aurai l'air d'un conQuand je sauterai dans le vide
[Interlude 2] Je l'aime à mort (x11) Je l'aime hardcore mais pour la vie On se dira oui à la vie à la mort Et même en changeant l'habit Même en sachant qu'on a tort On ne changera pas la bile Donc comme tout le monde Je vais en souffle, rires !Jusque las, mort Te Nuevo Je voudrais une seconde Mais las ! Le temps presse Te Nuevo Même au bout du compte Et bien, qu'est-ce qu'il reste ! Te Nuevo Oui je l'aimais tellement Que je l'aime encore Te Nuevo Je n'aurais pas le choix non Jusque las, mort ! Te Nuevo, El Nuevo Jusque las, mort ! Te Nuevo, El El Nuevo El Nuevo
[Outro] Je l'ai ma mort, je l'aime ma mort.Je l'aime à mort !Je l'ai ma mort ?Je l'ai ma mort ; je l'aime à mort. Je l'aime ma mort...
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feudastik · 9 years ago
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ÉCHAPÉE BELLE ÉCRIT
Ah la Liberté ! Quel non-sens où vous pensez puiser votre essence. Trois petits tours, s'en vont et recommence avec votre éloquence. Mais je ne sais pas si on est réellement libre tant qu'on vit dans ce monde. A vrai dire, au milieu de vos discours, je peux vous répondre non sans détours. Ce monde, cette terre beaucoup trop ronde... Vivre en marge, trouver mon rivage me diras-tu, un nouveau leurre, qu'as-tu cru ? La vie est cruelle, une existence trop bien réelle. Même sans en faire partie, n'as-tu pas vu les heurts, ce qui nous blesse, nous agresse, nous atteint, sur nous déteint. Nouveaux fers face aux faix, comment faire, je me tais. N'attends rien des autres dis-je, et pourtant un peu de bruit ne fait parfois pas de mal, quand notre cœur trop silencieux n'a pas le moral. Cœur – humain, d'hier à demain.. Devenu objet d'artifice, de profit, homme machine ou homme-mort, trop souvent, droit devant, trimes ou tu as tort. Tu radotes ! Sur un tas de choses, sans pareil. Fiche toi la paix un petit peu, tu verras. Tout ce qui présentement te passe au-dessus de la tête. Restes fixé sur tes pompes, remarque... Laisse béton, puis dessous c'est le macadam ! Tu t'étrangles avec les lacets. Même sans rien attendre des autres... Le bruit court pourtant que tu en fais, pas mal partie, quand bien même à contrecœur. Humain... patati patata ! Qu'en sais-tu toi ! Tu voles, virevoltes parmi tes semblables, eux si infâmes, affables ! Qu'en ai-je à faire du ciel, tu penses viser la lune, ne vois-tu pas que tu t'enfumes. Artificiel, le paraître est le roi, fait la loi. Votre valse me lasse, un pied devant l'autre, et pourtant j'en suis, à mes dépends, poids plume invisible, maquillage. Laisser béton ! Mon humanité remisée au grenier veux-tu ? Au moins j'y serai bien après tout, les objets ont une âme, par ailleurs bien plus que vous ! En attendant ma cécité imaginaire est mon seul rempart, des rêves lancés sur un quai de gare. Façade, pas fade que je hais, je n'ai que ce que je tais, ne suis que ce que je fuis. Oui je le sais, mais veux-tu ! C'est la vie. Pardi ! donc si je te suis, y a pas âme qui vive dessus terre. On prend tous son pied dans le vide, tel des vauriens, du tout au tout ! Paraîtrait même qu'elle vaut la peine, c'te vie, quand on lui fout la part belle. Bien des choses qui ne tournent pas rond... Mais alors, retourne-toi ! Qui t'en empêche ? - Je n'en sais trop rien - Quant à la lune, Neil Armstrong : 20 juillet 1969.Ah ! Tu n'as pas dû le saisir du  grenier, à force de remuer ton grain. Sans cesse, le moudre, au risque de te planter... Se retourner pour mieux recevoir les couteaux ! Je préfère rester de face, lucide, quand les autres tracent avides. Ah puis si vous vivez ! Dans le luxe et l'opulence, dans les rires puérils, dans la consommation et l'inexistence, dans les tirs virils. La lune, les étoiles, les planètes, les scientifiques tentent même de conquérir l'espace, vous êtes vraiment pas nets. Vivre je veux bien. Quand je partirai loin de tous ces faux humains ! En attendant regarde toi, tu survis, erres dans le courant où tu souris, porter par le vent de leurs envies. Es-tu vraiment toi ? Ah ! Eh bien, pour ça. Je poserais la question à ma mère. Tu m'as mis le doute... puis pose-moi ces couteaux par terre, tu vas finir par te faire mal ! Avec ton brin de lucidité... La route est claire toutefois, qui te demande de suivre à la trace ? Plus morne que vivante ; souviens toi la devise : Nanani, nanana, liberté ! Hilarant comme les blagues les plus courtes, tiennent aux bons mots. Je n'ai pas plus de recette miracle, pour ta foule sentimental. Mais quand on a soif d'idéal, on se bouge, advienne que pourra de tes pensées ! Ratisse seulement au coin, tu risques d'y trouver du monde. Humain quelque peu... voilà tout. Ta mer, y vogue bien comme il faut, on sait jamais faudrait pas que tu prennes l'eau. Une avarie est si vite arrivée, un écueil que tu n'aurais pas contrôlé. Vague à lames, le reste n''est qu'impasses, carrefour pour revenir dans la place. Liberté oui, horizon infiniment plus que tout, à la nôtre, soyons fous ! Mais regarde autour de moi, de toi, où est-elle ? Se bouger ici-bas, revient à trébucher, devenu trop las, ne voyant que le bûcher. Attirée par les étoiles, les voiles, ne manque plus que le souffle pour me pousser vers le rivage ! Là où l'océan avale les mots séants, où entre le tangage et le roulis, s'ouvre enfin la vie. « La mer, vogue, que tu prennes l'eau. Écueil, vague à lames, horizon, les voiles... Ne manque que le souffle, pour me pousser vers le rivage ! L'océan, mots séants, où entre tangage roulis... » Evian !? Tu finiras par reprendre de la bouteille, mais regarde autour de toi. C'est Arthur qui se fiche de Rimbaud... Brasse en corps, pour porter un toast : à la vie, à la tienne. Humain...supporte.
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feudastik · 9 years ago
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Infusion à froid
Comme une part d'émoi qu'on arracherait ! Rien d'âme... qui s'en va mourir, sans après. Patience ! Ça ira mieux demain qu'ils disent. C'est bien pensé ! Le jour se lève, quoi de neuf au jour le jour : Hier encore ! Et après-demain ? Que m'auront-ils laissés ce jour. Un jour nouveau ? Des histoires ! Pour que tu te la racontes – Or tu n'as plus toute ta tête. C'est l'histoire de cœur à pic qui tombe, dit : à un de ces quatre trèfle feuilles ! Par amour... Combien m'aime-t-elle, et pourtant ! Souvenirs... Infiniment plus que tout, et au-delà ! Tu te rappelles : « Tendrement vous, c'est un plaisir ! » - « Sourire... plaisir réciproque lors » depuis presque 548 jours, 13149 heures, 788940 minutes, à peine 18 mois – de trente, trente et un, vingt-neuf voire vingt-huit jours – divers comme été. Qu'importe si l'hirondelle n'annonce rien de plus qu'elle ne fait. On prend de la graine, puis voilà ! Le tout c'est que la plante finit toujours par prendre pied, autant on emporte le vent, encore mieux sous alarmes ! Bien loin d'être une tasse de thé... Sourires ! Te rappelles-tu. Déjà froid, enfin aura-t-il fallu que je boive. Demain, levant sitôt mon verre, jusqu'à la lie !Infusion d'âme ; or c'est déjà la veille... à Nous !
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feudastik · 9 years ago
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Pois chiche ! Au monde...
Ils vont, lui disent : entre dans la danse, tu prendras pied. Le tien ? Sûrement, peut-être ! Pensent-ils... Trop bien sans doute. Voyez, que pouvez-vous savoir de tout ce qui vous exècre. Le bien, ni mal. C'est qu'elle va, s'achemine vers ces allées particulières. Petit à petit pas à pas quotidien, c'est fou comme elle a l'impression d'y être ! Mais où ? Ici et là, qu'on dira. Vous êtes ! Tandis qu'elle vague. Plus qu'elle ne marche, encore que. Déjà, la routine semble résorber son chemin-faisant route vers nulle part. Ailleurs... que cela soit loin du monde. Des hommes, de tout ! Ce que l'on attache, par commodité, à ses basques. Habitude d'un train-train au temps, qu'on emporte parmi des railleurs. La plupart sans visage, foule humains à la pelle ! Trop-plein d'être bien vu, bien portant, trop-plein d'eux-mêmes. Puis qu'enfin on ramasse. Faute de petite cuillère au ramassis des miettes. Celles qui tombent subrepticement en coin d'un sourire, qui se fend des ris aux larmes étouffées. De qui se moque-t-on, si ce n'est nous-même ? On perd vite le nombre de peur au ventre estomaquées, seul au tour de vos nombrils. Cela facilite la digestion de ceux qui réfléchissent. Ceux qu'on aime... Tout ce qui leur passe par la tête. Or cela tient à cœur éperdu. Le nôtre : qu'on vous fiche la paix. Malgré branle-battements artériels ; par amour ! Et pourtant... Delà le monde, se figure de savoir ! Ce qui va, ce qui ne va pas. Autant dire, beaucoup de bruits pour rien qui vaille ! Alentour de nos actes, voire pensées. Est-ce de moi qu'ils viennent, si oui pourquoi ? Cette impression d'aller je ne sais où que j'aille, comme une vague connaissance, suspendues aux ficelles d'un métier... Celui d'être pour être, hors-moi. Machine d'un corps sans âme qui vive, pourvu que ne s'enraye l'émoi... Voyez ! Comme elle s'abuse - N'a-t-elle point toutes les raisons d'être heureuse ? - Sans doute aime-t-elle se complaindre : « mal-heureuse ! » - Dans les meilleurs des mondes ! Et qu'est-ce que ça vaut ? À quoi cela tient ? Le bonheur des autres, n'est-il pas l'enfer des uns... Peu plus et c'est la trombe, reprise ! L'affaire est dans le ressac, comme son homme. Je ne suis qu'une racaille qui s'émousse à flanc de rochers. Prenant bonne biture des mots avant marne, vagues à l'âme, contre vents et marées... Quand bien même jettera-t-on la première pierre, je souffrirais sans dommages ! Par ricochet... Un art trouvant sa superbe, hors des kilomètres qu'on roule à l'aube. Mis à l'amende d'une société. Des pas... Silencieusement vôtre... à longueur de journées... l'un après l'autre.... Bonjour ! Mais dites-moi, comment allez-vous ? Oh, ça va très bien ! Et vous ? – Moi(s) de même.
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feudastik · 9 years ago
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Parfois il suffit d'aller et venir (On récolte ce qu'on sème...) Autant larmes s'écoulent des nuages Parfois il suffit d'haler sans rougir (On récolte ce qu'on s'aime...) Au temps pluie passe l'arc-en-ciel
feudastik
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