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C'est drôle à quel point un moment de solitude peut vite se transformer en un moment apaisant quand on y pense... Ne penser à rien, et apprécier tout simplement le moment présent. S'évader le temps d'un instant, se déconnecter entièrement de tout ce qui nous entoure et prendre le large.
Dans cette idée, certaines personnes pensent parfois qu'il faut tout abandonner et passe à autre chose pour pouvoir avancer. Certains partent faire le tour du monde sans se donner de date de retour, d'autre quitte leur ville pour de nouvelles aventures. Et c'est quelque chose que je trouve merveilleux. Mais parfois il subsiste des moments de doutes. Je pense qu'à ce moment, ça peut faire du bien de revenir là où tout à commencé.
Voir à quelle point, on a évolué. Que l'effort qu'on a donné n'était pas inutile et que la personne qui était à cet endroit, il y a quelques temps, n'est plus la personne qui est revenu.
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Pensée
C'est bizarre, dans la vie, on veut toujours avancer et ne pas regarder en arrière... Mais il arrive un moment, tout va bien dans notre vie, on se remémore certains souvenirs, on regarde de vieilles photos... et on se dit que c'était quand même beau.
Je ne sais pas pourquoi ça m'a pris, mais en écoutant une playlist je suis tombé sur une chanson du groupe The Perishers intitulé "Nothing like you and i" et j'ai eu cette envie soudaine de fouiller dans mes vieilles photos.
Et je les regarde... je me vois sourire, heureux,... et c'est à ce moment que je me rappel de chaque événement qui était rattaché à ces moments. Je me dis que c'était quand même de belles années. Je commence à me demander si j'ai toujours le même sourire, un sourire pur, innocent et rempli de joie. Malheureusement je regarde de nouvel photos et ce n'est plus le cas. Je commence à me demander, quand est-ce que j'ai perdu ce sourire, et comment se fait il que les gens autour de moi et qui me connaissent depuis ce sourire n'est rien remarqué ?
Peut-être qu'à force de faire semblant, je finis par croire moi-même que je l'ai toujours, ce sourire...
Dans un film que je trouve intéressant mais néanmoins nionnion, il y a une théorie sur ce genre de phénomène. Celui du "camp de vacance", il est expliqué de la sorte, un gamin est envoyé par ces parents dans un camp de vacances, mais il n'a pas du tout envie d'y aller. Sauf que une fois la bas il se rend compte que l'ambiance est sympa et il se fait des amis. Les vacances se terminent et il rentre chez, avec plein d'espoir que pour ces prochaines vacances il va y retourner, tout ça en s'imaginant qu'il allait refaire les mêmes choses avec les mêmes personnes mais en mieux. Le problème c'est que quand il y retourne, il se rend compte que le moniteur ont changé, ces amis ne sont pas là et l'ambiance n'est pas la même. Le garçon se rend donc compte que ces meilleurs vacances sont déjà passés et qu'il ne pourra jamais les retrouver.
C'est sûrement pour ça qu'on continue d'avancer, espérer vivre mieux que ce qu'on a déjà vécu...

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Réflexion #1
Je me demande une chose, est-ce dans la nature humaine de ne pas vouloir laisser une personne partir quand on "l'aime", ou est-ce juste une évolution de la société qui a amené à cette finalité ?
Lorsque l'on nous quitte, et ceux malgré la fameuse phrase que l'on dit presque tous par pur fierté "on s'est quitté d'un commun accord", on a toujours cette envie, ce besoin de retenir l'autre.
Ce qui pousse mon questionnement, est-ce vraiment par amour ou par peur de finir seul?
Je pense que c'est un peu des deux, si je prends la définition scientifique de l'amour, quand l'autre part c'est que la relation ne lui permet plus de libérer assez d'endorphines pour rester et au contraire la personne qui reste est toujours aveuglée par cette fameuse sensation de bien-être.
Le problème dans cette réflexion c'est que nous humains restant très complexes et la peur de la solitude est chez nous un grand fléau qui peu poussé jusqu'à un certain point de non-retour.
Dans ce cas, qu'est-ce qui permet à certains d'avancer?
Je dois avouer que cette question reste pour moi une énigme que je n'arrive ni à expliquer ni à comprendre. On pourra dire que c'est comme ça et pas autrement mais je reste malgré ça dans mon questionnement...

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Réflexion #0
Aujourd'hui, je me suis rendu compte d'une chose. Il est vraiment difficile de se définir soit même. Je ne sais pas si c'est parce qu'on a du mal à avoir une vision objective des choses ou si c'est tout simplement parce qu'on a cette tendance à voir les choses que de notre côté et de privilégier, seulement à de très rares occasions, la vision extérieure.
Pourtant, beaucoup de personnes font appel à d'autres pour avoir une vision plus clair des événements. Que ça soit des amis, de la famille ou encore un psychologue...
Comment se fait-il qu'il est si simple pour ces personnes de "définir" ou "d'étudier" ce qui nous arrive quand nous leurs demandons?
Beaucoup "d'auteurs" de bouquin sur le développement personnel mettent en avant la remise en question perpétuelle, afin de pouvoir arriver à ce qu'ils appellent "la réussite". Mais dans le cadre où l'on arrive même pas à se définir à l'instant t, comment est-ce qu'on peut se définir sur des choses que l'on va ou veut faire? Et puis devons nous vraiment avoir la même définition de réussite ?
Pour ma part, comme cela m'arrive souvent quand j'écoute de la musique, je viens encore de me remettre en question sur mes sentiments. Je suis arrivé à un point où je me dis que j'ai peur de retomber un jour amoureux... le plus drôle dans tout ça, c'est qu'il y a même pas une semaine je disais à ma meilleure amie que j'avais peur d'être le genre de personne qui est amoureux du fait d'être amoureux et non d'une personne en soit.
Maintenant, je suis complètement perdu. Pourtant, je suis dans un état d'assurance total. Professionnellement, pour le premier fois de ma vie, je sais ce que je veux. Je mène une vie, que je ne définirais pas de "Hakunamatata", mais qui reste largement à la porté d'une vie heureuse.
Ce qui m'amène à la question suivante, sommes nous programmé à constamment vouloir plus? Et pourquoi ne sommes-nous pas juste satisfait de pouvoir contempler le lever du soleil ?

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"Quand je me rends compte qu'elle est partie, peut-être à jamais, un grand vide s'entrouvre et je me sens tombé"
Tropique du cancer, Henry Miller
Je pense que ce passage du roman de H. Miller reflète bien le manque que l'on peut ressentir lors du départ d'une personne importante pour nous. On a beau essayer de ce relevé, on finit toujours par retomber. Alors, on fait tout ce que l'on peut... tout ce que l'on peut pour se relever et ne pas finir noyer dans la flaque que nos larmes ont créé. Il faut le dire, au bout d'un moment, ça en devient presque pitoyable. Et pourtant... malgré tout les choix qui s'ouvre à nous. Nous choisissons le plus souvent de garder ce vide dans l'espoir incertain que la personne revienne le combler.
Enfin cela jusqu'à ce que le vide qui s'entrouvrait commence petit à petit se remplir à nouveau.
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