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#AtmosFeel
experienceatmosfeel · 7 years
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AtmosFeel vous offre une citation audio de Marguerite Duras sur une photographie de Martin Bertrand. http://atmosfeel.tictail.com/
Laissez-vous bercer, inspirer, bousculer... par des citations d'auteurs célèbres, lues par les Voix AtmosFeel.
Notre studio http://lesvoix.atmosfeel.fr/ et ses comédiens professionnels sont là pour vous proposer des prestations d'enregistrement audio sur-mesure et donner de la Voix à tous vos projets !
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sylvieat · 6 years
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Querelle de voisinage Si vous avez envie de lire (ou d'entendre) ma nouvelle fantastique "Querelle de voisinage", il vous suffit de cliquer ici et de vous inscrire sur le nouveau site Atmosfeel... À tout de suite ?
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yamahamusicians · 5 years
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Yamaha Red Label Acoustic Guitars Are Back!
Yamaha Red Label Acoustic Guitars Are Back!
Yamaha’s Red Label guitars were probably the most popular acoustic guitar in the world at one point. Introduced back in the 60’s when Japanese built guitars were starting to make a real name for themselves they were an all laminate construction but Yamaha had perfected the process and these guitars sounded just fantastic. They have stood the test of time and are still sought after today.
Here we…
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eloisaintbris · 7 years
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C’était déjà hier, fugace et éphémère, mais sincèrement vécu. Je crois que j'y retournerai
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(c) Arkos
Lecture-Performance à La Défense : infos. Organisée par ATMOSFEEL (créateur d’expériences artistiques) et NEXTDOOR (incubateur de Bouygues à La Défense)
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experienceatmosfeel · 7 years
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La lecture lui ouvrit des horizons romanesques qu'elle ignorait encore ; elle n'avait aimé qu'avec son sang et ses nerfs, elle se mit à aimer avec sa tête.
Emile Zola
De/From Thérèse Raquin (1867)
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Sculpture sur livre / Book art by © Annemarieke Kloosterhof
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experienceatmosfeel · 7 years
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Feeling #28 « Derrière les panneaux il y a des hommes »
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« Derrière les panneaux il y a des hommes » de Joseph Incardona / aux éditions Pocket
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Noir. Très noir. Autant dans l’outre-noir du peintre Pierre Soulages, la lumière s’invite, autant ici la noirceur de ce roman est opaque et épaisse.
Presque un seul champ d’action, de bataille : l’autoroute et ses quelques aires qui n’offrent pas souvent la possibilité de respirer. « Le tout dans un périmètre de 200 kilomètres. Série, sériel, séquentiel. »
Le week-end du 15 août : soleil de plomb et chassé croisé vacancier propices à exacerber les tensions. « La canicule est devenue une seconde peau ».
Un fait divers sordide : enlèvement de Marie, une adolescente de 12 ans ; et le rappel du même drame, six mois plus tôt, dans les mêmes environs sans plus aucune trace de la jeune fille, Lucie. « Le plan « Alerte enlèvement » fonctionne parfaitement. »
Pierre – le père de Lucie – erre dans cet environnement depuis, et avec ce nouvel acte, il se dit que cette fois c’est la bonne, qu’il ne peut que coincer le prédateur.
Une course contre la montre car « il reste seulement 26% de chances de retrouver Marie vivante dans les deux heures qui suivront. »
Les courts chapitres s’enchainent. Chacun met en avant, éclaire, un, deux ou trois personnages et surtout leur point de vue, leur rôle dans ce récit. Ils vont être amenés à se croiser, se rencontrer, se confronter souvent, s’écouter parfois.
Il y a Ingrid, la femme de Pierre, devenue fantôme, se confondant au canapé qu’elle ne quitte plus. Les parents de Marie, distants, puis sous le choc et aux réactions diamétralement opposées. « Marc et Sylvie se situent dans une zone floue, juste au bord du précipice. »
Il y a le capitaine de gendarmerie et son bras droit chargés de l’enquête « Julie Martinez claque des talons, salue et sort. Imitée par Thierry Gaspard. » ; Tía Sonora, ex prostituée aujourd’hui diseuse de bonne (?) aventure ; Lucino, le patron des restaurants d’autoroute… Tous trimballant angoisses, regrets, colères ; certains résignés, d’autres essayant encore de se débattre, quitte à oublier ou blesser l’autre.
Il y a un monde fou, un monde noir, un monde insoupçonné aussi ; des automobilistes, des employés, des riverains alentour, des animaux… Et lui, celui que l’on ne voudrait pas côtoyer : le kidnappeur, Pascal. « Il a dormi – il dort encore – un vrai sommeil récupérateur. »
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L’écriture est solide, crue, elle va droit au but ; pragmatique avec peu de métaphore. Les phrases sont courtes. Parfois un mot laissé seul, reflet de cette solitude ressenti par la plupart des personnages qui gravitent autour de cette scène.
« Busards et milans noirs à l’affût d’un mulot.
Tournent dans le ciel et la poussière.
Charognards.
Désolation. »
L ‘humour qui perce parfois est noir lui aussi ; décalé, ironique.
Le lecteur, étrange témoin de ces tranches de vies, est basculé, bousculé d’un chapitre à l’autre, d’un regard à l’autre, d’une pensée à l’autre. Lecteur qui peut très régulièrement se demander l’heure qu’il est, car l’espoir s’amenuise avec le temps…
Un très grand roman bâti au plomb : dense, lourd et noir.
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Photos © AtmosFeel
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experienceatmosfeel · 7 years
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Mais qu'est-ce qu'un conte, sinon une vision différente de la réalité ?
Jean Van Hamme
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Art © Yusuke Oono
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experienceatmosfeel · 7 years
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Feeling #26 « Treize marches »
« Treize marches » de Kazuaki Takano / traduit du japonais par Jean-Baptiste Flamin /  aux éditions 10-18
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Il y a Ryô Kihara qui attend depuis 7 ans dans les couloirs de la mort. Une condamnation à la peine capitale pour un double meurtre dont il n’a aucun souvenir.
Il y a Jun’ichi Mikami, presque 30 ans également, qui a purgé sa peine pour le meurtre d’un jeune homme lors d’une bagarre, événement dont les détails nous serons distillés tout au long du récit. « - Je bénéficie aujourd’hui d’une remise en liberté conditionnelle et fais l’objet d’un suivi judiciaire… ». Une nouvelle vie… pas facile à assumer.
Enfin, il y a Shôji Nangô, la cinquantaine, gardien de prison sur le point de démissionner. « Dès lors, Nangô accomplit sa fonction en appliquant scrupuleusement le système de gestion de l’administration des peines. »
Ces trois individus, ou ces trois solitudes, sont liés par l’imposante prison de Matsuyama à environ quatre heures de Tokyo.
Le gardien fait appel à Jun’ichi pour l’aider à innocenter Ryô Kihara. Les deux hommes doivent alors apprendre à se connaître en dehors des murs de la prison et à se faire confiance. L’enquête commence… les obstacles sont immédiats, le temps presse et met sous pression ; « La « proposition d’exécution » parvint au Bureau de réhabilitation du ministère de la Justice un vendredi […] »
C’est un roman dense au suspens haletant, ou plutôt, aux suspens haletants. Ryô Kihara est-il coupable ? Va-t-il être exécuté ? Que s’est-il réellement passé, il y a 10 ans, lors de la fugue de Jun’ichi Mikami ? Quel repentir a-t-il ? Quel avenir envisage-t-il ? Qui est le commanditaire de Shôji Nangô ? Pourquoi veut-il démissionner ? Pourquoi fait-il appel à son ancien prisonnier pour cette enquête ?
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Les zones d’ombre de chacun des protagonistes sont levées, partiellement, petit à petit. Aucune caricature ici, on sent les hésitations, on voit les doutes, on participe aux questionnements. « Qu’avait bien pu ressentir cet homme dont il avait tué le fils, lors de sa visite ? ». On s'attache petit à petit à ces personnages.
Une très grande connaissance, doublée d’une critique acerbe, de la justice japonaise nous est transmise par des petites touches qui jouent avec les intrigues et le compte à rebours d’une exécution ; c’est une belle gageure de l’écriture qu’à aucun moment ces informations nous paraissent inutiles ou plombent le récit. « Qu’une circulaire ministérielle puisse à ce point contrarier la suprématie de la loi était impardonnable dans un état de droit. Ce paradoxe agit sur le […] gardien comme une puissante motivation ».
Les deux néo enquêteurs avancent, dans leur projet commun mais aussi dans le constat de leur vie ; analyse de leur passé et vision de leur avenir. Le processus pour l’exécution du condamné progresse. Notre lecture s’emballe. On apprend, on est surpris, on a peur, on doute.
Jusqu’à la dernière page, il y aura des zones d’ombre.
On referme le livre essoufflé. Et plus que ravit de cette expérience intense.
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Photos © AtmosFeel
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experienceatmosfeel · 7 years
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Le choix d’un bon livre n’est pas moins difficile que la lecture en est agréable.
Chevalier de Méré
Écrivain français (1607-1684)
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Photo © Thibaud Poirier
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experienceatmosfeel · 7 years
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Il y a des gens qui se réclament d'un seul livre, moi je me réclame de la liberté des autres livres qu'ils n'ont pas lus.
Kamel Daoud
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Photo et art © Poh Siang Seah “Musee de Singapour”
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experienceatmosfeel · 7 years
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Aimer, c'est finalement, faire don de nos préférences à ceux que nous préférons. Et ces partages peuplent l'invisible citadelle de notre liberté. Nous sommes habités de livres et d'amis.
Daniel Pennac
Tiré du livre “Comme un roman”
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Dessin © Serge Bloch
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experienceatmosfeel · 7 years
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Un livre, pour mériter d'être écrit, doit susciter des désastres, engendrer des perditions, des anéantissements, des trahisons de l'ordre social, il doit prodiguer le feu d'un incendie esthétique.
Maurice Dantec
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Art par © Alicia Martín
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experienceatmosfeel · 7 years
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Feeling #27 « L’empreinte du renard »
// (FR) //
« L’empreinte du renard » de Moussa Konaté / aux éditions Points
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On est tout de suite plongé au cœur de Pigui, un village dogon dans « ce pays rocailleux et tourmenté, entre plaines, falaises et plateaux », le Mali. Une histoire de trahison qui va rapidement mener à plusieurs morts.
Puis, on fait un saut à Bamako où l’on rencontre le commissaire Habib, la cinquantaine, et l’inspecteur Sosso, l’un de ses anciens élèves à l’école de police. Et l’on découvre leur quotidien et surtout le peu de moyens dont ils disposent pour travailler ; « comme ça, tu as inventé les voitures qui roulent à l’eau ! »
Les meurtres et même des menaces de mort sont arrivés aux oreilles du ministre… Les politiques interviennent et nous voici (ré)expédié avec Habib et Sosso au pays Dogon. « - C’est où, Pigui ? s’informa Habib. »
L’enquête commence et le choc des cultures se fait déjà lors du trajet, grâce à Samaké, le chauffeur mis à leur disposition. « Tu as vu leur façon de vivre dans les villages ? On se croirait au temps de nos ancêtres. »
Comme dans beaucoup de pays, les différences de mode de vie entre la capitale et les milieux ruraux sont flagrantes. D’un côté, une certaine modernité a apporté stress et technologie mais effacé bon nombre de traditions, de l’autre, les croyances et rites perdurent tandis que le tourbillon des temps actuels a du mal à s’imposer. « Mais il n’a pas besoin d’être présent pour tuer ! s’indigna presque le maire. »
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Quiproquos et incompréhension sont rehaussés par des dialogues vifs. Au gré de leurs rencontres, les deux policiers vont devoir revoir leurs points de référence. « Seulement , je n’ai qu’une épouse, moi, ne put s’empêcher de rectifier le commissaire, provoquant ainsi le rire de ses compagnons. ». Les scènes peuvent être cocasses mais elles font également monter la tension d’un cran.
Toutes ces différences retardent le déroulement de l’enquête. Et surtout, elles permettent au récit, par des phrases courtes et habilement enchainées, d’alterner description d’un mode vie, progression de l’enquête et affrontement de deux logiques de pensée.
Puis un soir, l’inspecteur est attaqué. Les menaces, si ce n’est le danger, sont donc bien réelles. Que faut-il croire de « la volonté des renards » ? Jusqu’où écouter les rumeurs puisque les habitants se refusent à s’exprimer clairement ? « Décidément, cet homme possédait à la perfection l’art de parler tout en restant impénétrable. »
Entre environnement inconnu, sinon hostile, et jeu politicien, il va falloir qu’Habib, secondé de Sosso, tienne le cap. Mais le cap des valeurs est-il le plus sûr au pays Dogon ?
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Photos © AtmosFeel
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experienceatmosfeel · 7 years
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Toutes les grandes lectures sont une date dans l'existence.
Alphonse de Lamartine
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“Trinity College Library, Dublin, 1732”
Photo © Thibaud Poirier
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experienceatmosfeel · 7 years
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C’était la dernière édition des Siestes musicales de l’été !
// (FR) //
Samedi 9 septembre de 14h à 18h @ Petit Bain, Paris 13 / avec Archetype et Ludovic Roubaudi / en partenariat avec Ambient Waves
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Samedi 9 septembre, sonnait la 5ème et dernière édition des siestes musicales estivales d’AtmosFeel !
Cette dernière édition estivale réunissait toujours nos partenaires :
·      Petit Bain qui nous a accueillis au chaud / dans le bar du lieu pour que l’on puisse se réfugier loin des caprices du soleil
·      l’association Ambient Waves, des musiciens (créateurs / organisateurs de Sleep Concerts) pour le soutien et la promotion de la musique ambient.
Pas de matelas dans cet espace, mais les transats (ainsi que les chaises et tabourets de bar) sont au rendez-vous pour accueillir, dès 14h, les premiers participants / invités.
Les premières discussions et présentations sont initiées.
Après une rapide présentation du déroulé de l’après-midi, Archetype prend place derrière sa platine et ses instruments et son premier set musical peut commencer.
Trois quarts d’heure où la musique berce plus que le léger tangage du lieu, où les yeux se ferment déjà et où les pensées vagabondent on ne sait où…
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Il est 15h30 quand Ludovic Roubaudi entre en scène. Cela démarre sous la forme d’une confession, qui capte immédiatement l’attention, puis l’épopée est lancée !
Sous la forme d’un témoignage, exalté, drôle et touchant, le monde du cirque est dévoilé. C’est comme si nous vivions une expérience derrière les rideaux d’un cirque avec tous ces personnages que l’on ne voit pas ou que l’on admire habituellement dans un chapiteau. C’est « Les Baltringues », roman paru aux éditions Le Dilettante, qui nous est conté.
Applaudissements largement mérités pour clore ce chapitre de l’après-midi. Il est 16h30.
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Archetype et ses instruments reprennent place pour continuer l’évasion. Musique ethno-ambient pour repartir en détente ou en méditation. Et ça fonctionne ! Nous voyons – entre autre – une professeure de yoga effectuer quelques mouvements ou une jeune femme en position de méditation…
A 18h, des applaudissements montent doucement des transats, à l’instar des occupants des transats qui remontent à la surface de la réalité…
Les rencontres, toujours riches, entre artistes et public commencent ou reprennent. A cette occasion, est présentée en exclusivité (et en vente) le premier CD de l’association Ambient Waves.
Vous pouviez aussi découvrir AtmosFeel sur d’autres sujets : édition de livres multimédias, autoédition, casting et enregistrement de Voix off.
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Un immense MERCI à tous :
·      Petit Bain, ce super lieu solidaire et en partie accessible aux personnes à mobilité réduite (Cantine et salle de concert) et son équipe impliquée et toujours souriante
·      Ambient Waves, sa présence, son talent et ses choix artistiques, en particulier Archetype et Ujjaya
·      Tous les artistes, auteurs, musiciens, photographes, etc. venus nous faire partager leur talent et échanger avec le public lors de ces 5 éditions des siestes musicales
·      Les différents médias qui ont eu la curiosité de venir et/ou de relayer nos rendez-vous
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Sur notre page Facebook et notre compte Twitter, vous pouvez découvrir d’autres photos et vidéos de ces événements, et être tenu(e) au courant de nos prochaines actualités.
Pour toute question ou demande de renseignement, n’hésitez pas à nous contacter : [email protected]
Photos © AtmosFeel
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experienceatmosfeel · 7 years
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La lecture est au seuil de la vie spirituelle ; elle peut nous y introduire : elle ne la constitue pas.
Marcel Proust
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Book art © Ignacio Rabago
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