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#Calme Brouillard
2t2r · 6 years
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The Lake : le lac de Constance par Robert Götzfried
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/the-lake-le-lac-de-constance-par-robert-gotzfried/
The Lake : le lac de Constance par Robert Götzfried
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rucherdupillier · 2 years
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Bon matin ! J'ai eu la chance de me promener dans la nature ce matin et j'ai été émerveillé par la beauté du brouillard. Les arbres et les plantes semblaient surgir de nulle part, comme s'ils étaient suspendus dans les airs. Le bruit des oiseaux et des feuilles sous mes pieds était apaisant et j'ai pris le temps de respirer l'air frais et pur. La nature est tellement magique et ce matin, elle m'a offert un moment de paix et de contemplation. Je vous encourage à prendre le temps de vous promener dans la nature et de vous laisser emporter par ses merveilles. #nature #brouillard #matin #promenade #beauté #calme Le rucher du #PILLIER se situe dans la commune de #CHATEAUNEUF #Loire 42800 dans le parc naturel du #Pilat. https://www.mon-abeille.fr/ #rucherdupillier #chateauneufloire42800 #granger #tetradiumdaniellii #apiculteur #ruche #abeilles #abeille #bees #bee #essaim #plante #pilatmonparc #nature #coopapiloire #naturephotography #parcdumollard #ReinesFécondées #bioetlocal #producteur (à Rucher du Pillier) https://www.instagram.com/p/CmTS1-gourg/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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ctgraph · 2 years
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#brume #brouillard #brouillardmatinal #landscapephoto #naturephotography #matin #morning #three #water #sky #reflets #automne #autumn #calme #cool #light #france_focus_on #boatlife #colors #zen (à Decize) https://www.instagram.com/p/CipAxf8DS1K/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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alain-keler · 2 years
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Lundi 13 mars 2023.
Vents d’Est : avril 1993-Avril 1999.
   Les minorités dans l’ex-monde communiste d’Europe de l’est  après la chute de l’empire soviétique. Je vais dans ce journal vous présenter dans le désordre des photos de ce travail initié en 1993 et terminé en 1999,  prix Eugene Smith à New York en 1997.
Le livre Vents d’Est, publié en 2000 avait été conçu en quatre parties, les quatre saisons, métaphores de la vie qui passe.
L’hiver regroupe les minorités en lutte ou en proie à des discriminations.
Samedi 2 avril 1994.
  Charles, le taxi de médecins sans frontières m’emmène de Erevan à Stepanakert, la capitale du Haut-Karabakh. C’est un trajet de plusieurs heures. Charles parle couramment français, et pour cause, il est né en France, en Ardèche. Il me parle de la petite rivière où ses parents l’emmenaient se baigner, enfant, le Chassezac. Ironie de l’histoire c’est la rivière où nous emmenions Léo, mon fils, alors âgé de deux ans, les parents de Christine, sa mère, étant originaires d’un petit village situé entre les Vans, où habitait Charles, et Villefort. Il y avait après la guerre une importante colonie d’arméniens. Charles me raconte qu’ils ont cédé aux sirènes de Staline qui leur promettait un avenir radieux au pays du socialisme. « Mes parents ont regretté longtemps cette décision », me dit-il. »Nous étions considérés comme des parias au retour en Union Soviétique ».
  A mi-parcours une couche de  brouillard recouvre la route. Il est très dense et nous accompagnera jusqu’à notre arrivée dans la petite capitale de l’enclave peuplée majoritairement d’arméniens.
  Je logerai pendant tout mon séjour dans la petite maison de MSF, un peu à l’écart du centre. L’ambiance y était chaleureuse, le seul hôtel de la ville étant rempli par des réfugiés qui avaient fuit les combats avec les azéris.
La  situation était calme à Stepanakert, mais on sentait que tout pouvait basculer d’un moment à l’autre.
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Jour 23 - entre West Jefferson et Boone le long de la Blue Ridge Parkway
Très motivés, nous avons mis notre réveil suffisamment tôt pour aller faire une longue rando dans la Blue Ridge Parkway, sur un chemin que nous avait vivement recommandé la Ranger d'hier.
En partant du motel, première désillusion : il pleut.
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Comme ça se calme par intermittence, on tente quand même d'aller voir à Doughton Park... deuxième désillusion 🌧️
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Il pleut vraiment beaucoup, le brouillard est très épais et l'objectif n'est pas de se retrouver trempés pour la journée ! Nous faisons donc demi-tour. En nous arrêtant prendre de l'essence, qui soit dit en passant n'est pas très chère ici, nous repérons sur Google un petit café qui a l'air très sympa ☕️
Petit arrêt aussi au supermarché, dans mon rayon préféré 🥤
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Nous allons passer 2h dans le Bohemia Coffee, en attendant que la pluie cesse. Café pour Antoine, thé pour moi. Les canapés sont confortables, on ne va pas se priver !
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Ce café est situé à West Jefferson qui s'avère être une petite ville rurale typiquement américaine, la pluie lui donnant encore plus de charme !
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alexisgeorge24 · 11 months
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16 octobre :
J3 et ce matin le ciel est gris. Tant pis, je monte jusqu'à un col qui me donne la vue marketing du trek, à savoir 3 lacs de glacier qui se suivent au pied d'une chaîne de montagne couvert d'un glacier. Puis je redescend tranquillement jusqu'au prochain camping. Journée brève et mitigée à cause de la météo. Plus tard dans l'après-midi le ciel ce dégage et je me ballade autour du camping. J'essaie de tuer le temps comme je peux mais le paysage environnant est sublime donc ça va. J'établis par ailleurs un premier contact avec des humains du groupe avec guide qui fait le même trek que moi.
Bilan: 9km, 600m d+
17 octobre :
La J4 sera probablement la plus difficile du trek. Passage du col Trapecio situé à 5000m sous une pluie, puis grêle puis neige incessante. Il fait froid, aucune visibilité, j'ai un poumon qui a enfilé un gilet jaune, j'ai envie d'un chocolat chaud assis devant une cheminée avec le bois qui crépite, la manette de la switch à la main en train de jouer à Zelda et en sachant que le soir je vais manger une raclette (150g nature, 100g fumé, 100g ail des ours) du fromager du centre ville de Sucy, puis comme digestif un vieux rhum que je partagerai avec Jessica (elle ne prendrai certainement pas du rhum mais peut être un Kir). En attendant faut que je commence par redescendre de ce col. Arrivé au camping il pleut encore et je trouve refuge sous un gros rocher avec d'autres personnes du groupe dont je ferai la connaissance. Lorsque leur (2e) déjeuner est servi par leur cuisto sous leur chapitau ils me laissent seul à attendre que la pluie se calme pour que je puisse à mon tour monter ma tente. Je pense que je leur fait pitié, surtout après leur avoir dit en quoi consistent mes repas.
La pluie se calme, je monte la tente, je fais une sieste puis je me rappel que l'humain est un animal social. Je vais donc rejoindre le groupe pendant son "tea time" (bande d'enfoirés...). Et je sais pas comme ça s'est passé mais je me retrouve avec 4 personnes du groupe qui veulent monter au col San Antonio. A 500m d+... 1h avant la nuit... dans le brouillard total... Ils me font comprendre que c'est tout à fait normal si je ne veux pas les suivre étant donné l'énergie que je dois dépenser avec mon sac lourd... (bande d'enfoirés, mon sac est plus léger que mon ego). Arrivé au col évidement RAS et je cours redescendre (à la frontale) dans ma tente pour que je me fasse à dîner. Au moins ça m'aurait permis de m'endormir direct après manger.
Bilan: 15km, 1200m d+
18 octobre:
Au réveil c'est le guide du groupe qui vient me parler pour me recommander de faire le col San Antonio (oui, le même de la veille). Et me revoilà en train de le regrimper. Sauf que cette fois le ciel est dégagé et j'ai devant moi un vue incroyable, digne des plus beaux paysages d'Iceland tellement les couleurs sont variées! La descente se fait tranquillement sur 15km où je rejoins le village de Huyallapa. Je retrouve le groupe avec qui je suis désormais à l'aise et je loge au même hostel que eux. Mini confort avec WiFi, électricité pour les batteries quasi à plat, douche, bière, et DEUX vrais dîner (un que je commande et un 2e que le cuisinier du groupe m'offre gracieusement). Le logement est assez folklorique, ma chambre est située dans une arrière cours avec les mules qui ont chié partout, la douche est partagée des arraignés, le matelas du lit est aussi plat que même un platiste n'aurait pas nié sa courbure, tout est très sale et je dors dans mon sac de couchage.
Bilan: 17km, 600m d+
19 octobre :
J6 est aujourd'hui c'est quasiment que de la monté jusqu'au prochain camping. Il fait beau, je prends mon temps, belles vue sur les glaciers que je contourne, un chien errant me tient compagnie depuis Huayllapa. Je fais en petit bonus un sommet que le guide me conseil de faire. Faut dire que je suis assez surpris de ce guide qui me traite comme si je faisais partit de ses clients qui ont payé. On passe même 30min à marcher ensemble et à papoter. L'expérience que j'avais des guides au Pérou était mauvaise, aucun ne voulant me montrer la direction à prendre si je n'étais pas dans son groupe.
Après-midi midi, comme d'habitude, j'essaie de faire passer le temps sous ma tente.
Bilan: 12km, 1400m d+
20 octobre :
La nuit il a fait bien froid, ma tente a complètement gelé et on dirait du carton au réveil. Sinon il fait beau et ça tombe bien, au programme il y a un col à passer qui donne des panoramas sublimes sur sommets, glaciers, lagunas.
Arrivé au camping, dernier raquette avec 30 soles pris par la "communauté" pour "entretenir les lieux". 220 soles en tout (sur 280 normalement, j'ai du passé pour faire parti du groupe que je suis et on m'aurait oublié). 70euro tout de même pour absolument aucun entretien du site (à part des toilettes sauvages improvisés), pas de nettoyage des campings (les déchets, même plastiques, sont brûlés sur place, quand ils sont ramassés...), les chemins sont des chemins de mules déjà existants, bref, une arnaque sans nom, du jamais vu.
Je me ballade autour du lac du camping et j'en rejoins un autre plus en altitude pour m'approcher d'un glacier.
Bilan: 17km, 700m d+
21 octobre:
Dernier jour de trek et pour fêtez ça je ne prends pas le chemin le plus rapide mais je monte jusqu'à un col à 500m d+. Les vus sont pas des plus belles mais je profite des derniers instants seul dans ces montagnes. De retour à Llamac je retrouve le groupe et je peux même prendre leur bus privé direct pour Huaraz (pour 60 soles, honnêtes). A Huaraz c'est lessive, douches, chiffa, bière, pisco, hamburger.
Bilan totale Huayhuaysh :
107km, 6300m d+
22 octobre :
J'ai un poussé sur le pisco la veille et j'ambitionnais de faire une journée culturelle en visitant le site de Chavín de Huantar. Le réveil à 8h00 me fait mal, tout comme les 3 heures de route jusqu'au site archéologique. 2 heures de visite guidée pour en apprendre sur le quotidien de cette civilisation pré-inca, c'est intéressant et le trajet depuis Huaraz ce fait dans le parc de Huascaran. Le soir je prends un bus de nuit pour Lima.
23 octobre :
Arrivé bien reposé à Lima à 8h00, j'enchaîne avec le musé Larco qui présente une collection de céramiques, tissages, bijoux, armes, etc, précolombien, le tout dans une scénographie très captivante. On peut même visiter le dépôt du musé où sont regroupés 45000 pièces. Sans surprise, le musé est privé, à ce demander si la fonction de ministre de la culture existe dans ce pays.
Puis je prends un bus pour Cusco; temps de trajet estimé: 22h !
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alexar60 · 2 years
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Transylvanie express (52)
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Tous les épisodes sont disponibles ici.
-          Ce n’est qu’une éraflure, rassurai-je en me levant.
Je me précipitai vers la fenêtre mais ne remarquai personne dans la rue envahie par les nuages et la nuit. Il n’y avait pas même un chat. En outre, le silence pesait énormément. On n’entendait personne alors que la taverne demeurait occupée et bruyante ; elle éclairait même l’entrée sous ma chambre. Je descendis, bousculant légèrement Klaus Möller dont les membres tremblaient encore. Il n’avait jamais frappé quelqu’un de sa vie…Enfin si on pouvait nommer un monstre comme une personne.
Il me suivit. Nous dévalâmes les escaliers rapidement. Les clients qui discutaient ou jouaient au cartes tout en buvant, nous saluèrent en levant leurs verres. Ils trinquèrent en notre honneur. Cependant, je ne m’arrêtai pas et me dirigeai vers la porte. La rue demeurait toujours calme. Quelques maisons en face, séparées uniquement par un terrain utilisé de temps en temps comme potager, faisaient face à l’auberge. La respiration de l’historien brisa le silence. Il soufflait comme un bœuf et cherchait à reprendre ses esprits en se courbant. Je me concentrai ; après une dizaine de secondes, je pus enfin la voir.
-          Yannick, ou allez-vous ? Attendez-moi !
Le vieil homme, peu habitué aux sports, ne parvint pas à me suivre. Je fonçai droit vers une forme noire qui courait dans la brume. A cause de l’obscurité, je ne remarquai pas les taches brunes qu’elle laissait sur le sol. Par contre, elle, je la voyais grâce à la lune devenue pleine et, qui éclairait plus que les étoiles. Lentement, le ciel se débarrassait de ce Fogg permanent.
-          Yannick…Yannick ! Entendis-je au loin.
L’écho provenait de partout. Sur le moment, je crus à Klaus perdu derrière moi. Mais en écoutant mieux, la voix était féminine et venait de devant…là où la silhouette se trouvait ! Je courus vers elle. L’ombre se faufilait entre les arbres. Elle cherchait à me fuir. Pourtant, elle m’appelait. Je courus, écrasant au passage les taches de sang qu’elle dispersait tel un petit Poucet dans un bois enchanté. Et plus, je courais, plus la blessure au ventre s’aggravait. Je saignais. Un cercle rouge se dessinait sur ma chemise blanche. Dès lors, je ralentis en appuyant ma main sur le ventre.
Le succube ralentit aussi sa course. Il titubait et avait du mal à se tenir debout. Après une dizaine de pas, il s’écroula comme un château de carte poussé par un courant d’air. Comment un simple coup de couteau avait pu avoir réussi à le désarçonner ? J’avançai sans arme. Toutefois, je pris une branche solide qui ne m’aurait certainement servi à rien, en cas de combat avec lui. Je le voyais de plus en plus proche. La lumière de la lune éclairait la bête meurtrie. Le couteau toujours planté dans son abdomen, il grimaçait. Puis, lentement, pendant que le brouillard se dispersait autour de nous, son visage s’humanisa. Il reprenait une forme féminine.
Ludmilla avait les larmes aux yeux. Elle restait clouée, étendue sur le ventre, au pied d’un arbre mort. Elle n’arrivait plus à se relever. Elle essaya de s’appuyer sur les avant-bras, seulement, elle n’avait plus de force. Alors, elle attendit en me regardant approcher. Elle sourit, soupira et cracha un peu de sang.
-          Tu viens pour m’achever ?
Sa voix était tremblante. Le couteau était planté dans le cœur car même les monstres avaient un cœur. Elle avança la main. J’effleurai le bout de ses doigts écartés, tout en gardant une certaine distance. J’avais mal pour elle mais aussi pour moi. La douleur devenait insupportable. La brume disparut totalement. Au loin, les lumières des habitations du village s’affichaient dans un noir semi-éclairé par la voute céleste.
-          Je suis désolée, dit-elle.
Elle grelotait. Un filet d’hémoglobine coula sur son menton. Elle posa la joue contre le sol et après un dernier regard, elle me supplia de retirer la lame. Alors, croyant l’aider, je m’exécutai. Un ouvrit la bouche pour un dernier soupir. Un souffle jaillit, s’éloignant du corps inerte de Ludmilla. J’avais mal au ventre. J’avais envie de vomir, et le goût du sang imprégnait ma bouche.
J’observai le cadavre de celle que j’aimais. Elle était encore plus belle, plus angélique. Elle semblait dormir. Soudain, le corps se plissa avant de s’effriter et de tomber en poussière. C’était comme regarder un château de sable trop sec s’effondrer. J’avais mal au ventre. Et le train siffla. Il appelait.
Plus loin, Ludmilla était là, Elle me regardait. Elle rayonnait comme un soleil à son zénith. Elle portait une robe brune ainsi qu’un manteau d’hiver. Un signe de la main pour me saluer puis elle s’éloigna en direction du train. Je la suivis. Elle marchait doucement d’un pas léger. Par moments, elle tournait la tête contemplant des oiseaux que je ne voyais ni n’entendais. Elle ne se souciait pas de ma présence. Elle marchait, souriante, ravie, heureuse d’être enfin libérée. Libérée de ce corps de monstre, libérée d’une malédiction dont j’aurais dû deviner.
Nous marchâmes longtemps, enfin je crois... Nous marchâmes. Le train ne sifflait plus, il criait, il appelait de toutes ses forces. La machine en marche semblait s’énerver à trop attendre. Je pensai ne jamais le voir lorsque je vis un long bâtiment vers lequel Ludmilla se dirigeait.
Elle était là ! Impressionnante locomotive de fer ! Sa cheminée dégageait une fumée blanche aussi épaisse que la brume qui nous encerclait depuis si longtemps. Il était ! Le train et ses wagons de passagers. Il attendait. Quelques ombres se révélèrent aux carreaux. Ludmilla longea la gare après avoir grimpé quelques marches en bois. Des hommes, des femmes, des enfants attendaient sur le quai. Ils semblaient autant heureux que la jeune femme. Pourtant, aucun n’exprimait sa joie ni ne parlait. Ils attendaient patiemment de monter dans le train.
Un homme aux cheveux blonds et au visage d’ange enjamba les quelques marches puis, il tendit la main afin d’aider Ludmilla. Une fois dans le train, elle me sourit une dernière fois. Un autre homme l’accueillit, je reconnus Johann Textor. Son visage afficha le bonheur de la revoir. Petit-à-petit, le quai se vidait sans que je n’aperçoive personne monter dans les voitures. Il ne restait plus moi qui avançais, la douleur au ventre. Je crachai du sang. Ma main rouge ne pouvait empêcher le sang de couler. Ma chemise collait à ma blessure transformée en une plaie béante.
Il ne restait plus que moi sur le quai lorsque l’express de Transylvanie  siffla annonçant le départ. Il s’éloigna sans faire de bruit, flottant sur les rails. Je descendis sur la voie pour le regarder partir. Une lumière blanche se présenta au loin et dans un silence absolu, le train s’engouffra dedans comme dans un tunnel pour disparaitre à jamais.
Je m’agenouillai sur les rails. Le ballast ne faisait pas mal, tout paraissait irréel. Fatigué, je m’écroulai. Mon sang s’étalait sur la voie. J’avais mal, j’avais son goût dans la bouche et le parfum de la vanille et de la fleur d’oranger dans les narines. Elle réapparut brusquement, venue de nulle part. Je n’osai demander pourquoi elle avait quitté le train. Je la regardais venir à moi. Et tout-à-coup, elle se transforma en une lumière blanche. Je sentis mon âme se détacher de mon corps. Je ressentis cette sensation de voler  et de voir au-dessous. Je me vis, allongé, corps vide sur la voie. La lumière m’attirait. Serait-ce cela que l’on appelait une expérience de mort imminente ? Serait-ce-cela la mort ? Je me sentais bien, je n’avais plus mal. Je n’avais plus ce sale goût dans la bouche, mais j’avais encore son parfum de vanille et de fleur d’oranger.
La lumière grossit soudainement. Je ne pus l’éviter et elle m’a aspiré en un instant.
Alex@r60 – janvier 2023
David Dubnitskiy photography Girl walking on the railroad in the fog
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atticuswritersoul · 2 years
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05/12/18 : Fume l'espoir
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L'aéroport est bondé. Des enfants, des adultes, des agents de sécurité, il est entouré par la foule. Il voit de loin les escrocs, habitués à arnaquer des touristes. Il voit des mendiants, qui font appel à la charité de l'humanité. Un rictus menace de remplacer son sourire parfait, mais il tient son masque en place. La charité de l'humanité, quelle belle blague ! Comme si un être aussi fou que l'Homme pouvait comprendre le sens de ce mot. Connaissait-il seulement son existence ?             Il se reprend mentalement. Inutile de tergiverser, ou ses pensées dériveraient trop profondément dans ses souvenirs, et alors, Hyperion était certain de perdre définitivement le contrôle. Une de ses mains passe dans ses cheveux blonds vénitiens, déjà parfaitement coiffés. Il se trouve devant l'escale de l'aéroport, où d'une minute à l'autre, la touriste dont il a été chargé de s'occuper arrivera. Il se souvient de son étonnement, lorsque le STTM, le Service de Transports et Tourisme Magiques, lui avait dit de se rendre dans ce grotesque aménagement moldu afin d'accueillir cette sorcière Australienne, cette sorcière qui n'avait pas voulu prendre un moyen de transport magique. Seul un détail chez cette étrangère l'avait fait accepter le travail, autrement il aurait refusé de s'y rendre.              Ses yeux verts froids scrutent avec attention les gens qui déferlent dans l'escale, et il brandit bien devant lui ce carton qui comporte ces deux mots qui l'ont fait changé d'avis. Hope Smoke. L'espoir, ça le connaît. Ce sentiment d'ivresse traître, qui vous transporte dans une autre dimension, et attend que vous ayez fermé les yeux pour pouvoir vous poignarder, et vous brûler à petits feux... l'espoir qui vous fume, ou vous fumant l'espoir, qu'importe le rôle que vous jouez, le résultat final revient toujours au même : vous, seul, au milieu de ce brouillard qui, jadis, était un amas de rêves et de promesses que vous chérissiez.               Il s'est préparé à la confrontation. Exactement comme son géniteur lui a appris, il a appliqué toutes les leçons qu'il a reçues. Vêtu d'un costume moldu sobre mais chic, des chaussures noires cirées et une malle qu'il tient de sa main droite, il patiente. Un sourire resplendissant accroché aux lèvres, qui n'attend qu'un signal de sa part pour déballer son discours charmeur, son regard qui garde l'entrée de ses pensées calculatrices, son visage qui n'exprime que la paix et la sérénité. Il est le calme avant la tempête. L'allumette qui va mettra le feu à la cigarette. Et la question qui semble brûler les lèvres de tout le monde : à qui sera la clope ? À lui, ou à l'espoir ?          Hope smoked by Hyperion. Hope smokes Hyperion. H smokes H or H smoked by H ?         Il la voit, et ses yeux froids s'embrasent. Une soudaine montée d'adrénaline, de stresse, de trac le submerge. Son sourire se creuse encore, formant une petite fossette sur sa joue. Sa peau est mate, ses iris vertes. Pas du même vert que les siens, elle les a plus clairs, moins sombres, plus vifs. Il se fait la réflexion qu'ils sont deux contraires parfaitement opposés, mais que dans leur différence, ils se ressemblent. Ça l'effraie, ça le bouleverse. Il voit ses lèvres couleur rouge carmin, il ressent les épreuves que lui a fait subir le destin. Elle ne doit pas dépasser le mètre soixante, et pourtant, quand son regard se pose sur elle, il voit sa peine et sa douleur, son deuil et sa souffrance, ses craintes et son désespoir. Hope Smoke, ou plutôt Smoked Hope ?
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caporalblutch · 1 year
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“Calm down, my lil Blutch! Calm down...” “Not one step closer, or I bite!”
From Issue #52 - Des bleus dans le brouillard
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37.
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- 11 février 2023 -
Feutre à alcool
Concept de décor, j’aimerai faire évoluer mes personnages dans un monde médiéval fantastique
Je me suis rapproché d’un style d’illustration de BD, je ne suis pas totalement satisfaite de la tournure des couleurs, je pense que j’aurai pu faire mieux au niveau des mélanges et des lumières/ombres.
Petit synopsis (version non définitive)
Les humains le peuplant sont divisés en 4 tribus : la tribu de la lune pâle, la tribu du soleil couchant, la tribu du brouillard écarlate et la tribu du courant calme.
Ces tribus évoluent dans un milieu naturel qui leur est propre: la tribu de la lune pâle évolue dans les forêts denses et sont en communion avec la nature et les esprits, celle du soleil couchant sur une cité volante d’où des grands forts sont érigés, la tribu du brouillard écarlate se situe dans la cité d’Azur, près de l’arbre de cristaux et la tribu du courant calme ont élu domicile sur des plateformes au dessus des eaux et des cascades.
Ces tribus sont aussi divisés en plusieurs branches, avec chacune leur compétences, spécialités, chefs et vivent dans des environnements peuplés d’une faune et d’une flore fantastique.
Nous suivons un groupe de compagnons à la recherche de la pomme du millénaire, une pomme d’un vert émeraude poussant tout les 1000 ans sur l’arbre des cristaux, un arbre assurant le bon fonctionnement de la biodiversité et les écosystèmes du monde mais aussi la source de toute magie et énergies. Cette pomme ayant le pouvoir de libérer les tribus d’une terrible malédiction les frappant ainsi que de vaincre une menace extérieure venant troubler l’ordre du monde.
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come-dupont · 2 years
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Ingolstadt
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Petit tour de la ville le jour de Halloween pour clôturer la petite escapade toujours avec mes 2 acolytes. Nous avons déambuler à travers le centre historique simple mais charmant, tout cela dans une ambiance très particulière avec cet épais brouillard ambiant. En plus la ville était quasiment déserte, un moment hors du temps et calme.
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Nous sommes aussi ressortis dans la soirée, vraiment intrigués par ce brouillard impressionnant. Là encore petite balade en toute détente à travers des univers et ambiances étranges délivrées par les lumières et ce voile opaque. Par ailleurs, un peu plus tôt comme on peut le voir, on a fait une petite partie de bowling, moment très cool, je me demande encore comment tout se passe toujours aussi bien, mais bon on ne va pas se plaindre. De très bons souvenirs.
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secicrexe · 2 days
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- Maxisombripax
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J'entends ce frottement, ce froissement incessant qui remplit l'air, et chaque battement de ces plumes semble avaler un peu plus de ma... ! J'ai oublié un mot, – je m'excuse…
Hier, j'ai pris Maxisombripax, c'était une obligation, alors il ne faut surtout pas réfléchir… S'ils disent que ça calme, que ça apaise et que ça enveloppe l'esprit dans un doux brouillard… c'est pour mon bien, et je ne dois surtout pas travailler contre eux... J'ai oublié mon agenda dans un frigo... Je suis épuisé d'écrire sur mes mains... Quand je me réveille, je ne retrouve plus mes pensées… Et cela me rend tellement nerveux que je refais des bonhommes de neige, parfois sans bouches, juste des corps debout, dépouillés de toute raison, vides et froids comme... j'ai encore oublié le mot avec lequel je fais d'habitude la comparaison, – je m'excuse, en rouge, encore !...
Les plumes, elles étaient là avant, non ?... Ce médicament est censé éteindre les lumières allumées en désordre et adoucir les bords tranchants de la… J'ai oublié le mot qui relie les chaises aux tables... – "Il faut que tu t'excuses"… Ils disent que Maxisombripax peut transformer les envahisseurs en propriétaires, sauf si je me comporte comme si chaque pensée était enveloppée dans une couche de plumes…
Faut-il respirer ?... Peut-être que les flèches étaient des plumes au début, mais quand je me suis perdu dans la forêt… il y avait un accord… Ils ont réussi à prendre une décision, et aucun d'entre eux n'avait le temps, ni pour moi, ni pour mes regards qui tentaient de percer leur carapace… Ils étaient indifférents à ma pathétique existence, à ma voix douce qui cherchait à infiltrer leur confiance… Les expériences qu’ils ont menées étaient toutes des échecs, tout comme leurs vis, ou comme mes tentatives de faire la pluie… Alors Maxisombripax, pour certains, c'est un remède, et pour d'autres, c'est une invitation à disparaître lentement dans un monde où les plumes vont m'emporter à… J'ai oublié l'endroit, – il faut que j'arrête de m'excuser…
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Khalid EL Morabethi
( en cours d'écriture )
...
_ Maxisombripax : Pour apaiser l'âme… ou la plonger dans les ténèbres.
Maxisombripax est prescrit pour les moments où tout semble trop lumineux- trop joyeux - trop mou… il calme les esprits agités en les enveloppant dans un nuage d'obscurité douce... Les pensées deviennent plus lentes - plus denses - comme si elles nageaient dans des plumes - Dans certains cas - il se peut même que des plumes apparaissent…
Effets secondaires :
Ombres persistantes qui semblent protester contre la direction…
Contrôle des rêves et des cauchemars (le courage de contester le rôle qui t'est attribué).
Discussions avec des entités qui existent… mais qui sont aveugles.
Perception aléatoire de l’espace et du temps (un an peut sembler durer une seconde).
Argumentations sur des sujets hors de ta connaissance…
Augmentation de la sensibilité aux murmures nocturnes et aux bruits, avec apparition de plumes (dans certains cas).
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Grimpée de l’Oeillon
A Pélussin, le 29 juin 2024
11eme édition pour cette grimpée proposée et organisée par l’Ecole des Grimpeurs et son président Nicolas Buisson. Souvent sous forme de contre la montre individuel, parfois départ groupé, cette année c’était bien un CLM au programme sur les 10 km à 6,6% du col de l’Oeillon. Après de nouvelles pluies la veille (une constante cette année), on trouve tout de même de bonnes conditions ce samedi matin ; routes sèches sans brouillard sur le col et température entre 20-23° avec un ressenti bien plus chaud que ça et un ciel couvert. Seule ombre au tableau ; le vent de sud qui s’est levé !
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Pour ma 6eme participation je ne change pas mes habitudes et sitôt le dossard récupéré, je monte poser la voiture au sommet et part pour une petite heure de vélo en direction de Véranne, Maclas et Pélussin. Au passage je rencontre Julien Sauvigné et pas mal de cyclos n’étant pas au courant de la course ; dommage car on va avoir une toute petite participation. Dans l’attente de mon départ, je vois s’élancer Nicolas puis Maxime Limone ou Anthony Cheytion.
La confiance n’est pas au maximum à l’image de mon début de saison où il me semble manquer un petit quelque chose, alors j’ambitionne de partir sur les bases de mon record de puissance sur 27/28’ sans vraiment espérer pouvoir l’améliorer. Pour le chrono en lui-même se sera compliqué avec le vent trop fort sur la fin de parcours.
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Avec un PR de 372W sur 27’ (et même 371W sur 32’ ce qui me fait dire que je pourrais gratter quelques watts supplémentaires sur 27’…) je m’élance à 10h35 avec ce chiffre en tête. Départ « prudent » donc même si je fais les 2 premiers kms à 385W : les jambes semblent bonnes et les sensations correctes alors j’en profite en rattrapant le concurrent parti 1’ avant moi et en doublant aussi quelques cyclos n’hésitant pas à nous encourager. Sur cette première partie le vent ne semble pas gênant et l’entrée dans la forêt après 3 kms me fait ressentir les 1eres douleurs. J’ai bien du mal à tenir le rythme en danseuse alors je fais quasiment tout assis, ce qui n’est pas plus mal pour le coefficient aérodynamique mais amplifie aussi le mal aux jambes ! Je tiens bon jusqu’à la Croix du Collet, km5,5 en 15’07 à presque 380W moyens (mais à déjà 40’’ de Maxime sans le savoir).
Ça se complique pour les 4,5 kms suivants : à présent c’est cap au sud et on va souvent sentir le vent de face. Un peu rassuré sur mon rythme jusqu’à là, je suis motivé à bien finir mais la puissance moyenne diminue constamment ; 377, 375, 373… Je maintiens contre le vent mais « récupère » un peu quand ce dernier se calme et c’est du coup plus compliqué de garder un rythme régulier ; j’atteint le replat à tout juste 370W moyens et passe la plaque pour les 500 derniers mètres très roulants mais plein vent : 28’17 pour le chrono (27’59 pour le segment strava) à 369W moyens qui m’offriront la 2eme place scratch et la victoire en catégorie C.
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Maxime s’impose fort logiquement en 27’14 me repoussant à 1’ ! Aucun regret, il est très fort avec notamment un super résultat il y a une semaine aux championnats de France de CLM (19eme amateur et 41ème avec les athlètes professionnels !). Il était même en avance sur le record de la montée à la Croix du Collet mais a subit lui aussi le vent défavorable de la partie finale. De mon côté j’étais plutôt content avec un record de puissance quasiment égalé sur 28’ même si je pense pouvoir faire un peu mieux ; en effet bien qu’à 380W à la Croix du Collet, j’était tout de même en retard sur mes temps de référence : +16’’ par rapport à 2019 et +23’’ sur 2021.  Sur ces 2 années j’avais signé un temps total de 27’22 contre 28’17 aujourd’hui : +55’’ ! Alors oui le vent n’a pas aidé sur la fin mais je pense que j’étais au-dessus des 372W sur 27’ pour faire ce temps-là (je n’avais pas de capteur de puissance sur le vélo en 2019 et 2021) ; ce qui n’est pas impossible car en plus ça avait été 2 années où j’avais marché très fort. En revanche pour se rapprocher de Maxime ou du record de la montée qui doit être de 26’50, il me faudrait certainement avoisiner les 400W… ce qui m’est impossible !
Classement
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Strava
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renaudb · 4 months
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SOLEIL ET TEMPS CALME À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON - 27/05/2024 - 17 H 36 UTC
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Image du satellite AQUA, le 27/05/2024 à 17 h 36 UTC : au Nord-Est du continent américain, les îles françaises de Saint-Pierre-et-Miquelon sont bien minuscules comparées à l'île canadienne de Terre-Neuve. Si le temps est calme et anticyclonique en cette journée, la bordure nuageuse à gauche de l'image, constituée essentiellement de cirrus, augure d'une future dégradation. Cette époque de l'année s'accompagne habituellement de fréquents brouillards, en raison du contraste entre air doux et eaux froides. Mais ce n'est pas le cas de cette belle journée ensoleillée.
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mitchbeck · 7 months
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BERARD 1ST HATTIE LEADS WOLF PACK OVER BRUINS
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By: Alex Thomas, Hartford Wolf Pack HARTFORD, CT – Brett Berard scored the first hat trick of his professional career on Friday night, helping the Wolf Pack to a season-high seven goals as they blitzed the Providence Bruins 7-4 at the XL Center. Berard's hat-trick tally was the game-winner, coming 2:35 into the second period. Berard's 22nd goal of the season capped off a pretty passing play with Alex Belzile and Mac Hollowell as he blistered a shot up high from the slot over the shoulder of Michael DiPietro to make it 5-0 Wolf Pack. Blade Jenkins opened the scoring for the Wolf Pack 3:48 into the game, deflecting a Matej Pekar shot for his second goal of the season. The assist was Pekar's fifth of the season and came minutes into his first game since January 20th. The goal marked the third consecutive game in which the Wolf Pack opened the scoring. Bruins forward Anthony Richard nearly tied the game shorthanded on a breakaway, but Dylan Garand stood tall, leading to a three-on-one counterattack quarterbacked by Belzile. He fed an open Berard, who sniped a short side shot past DiPietro to make it 2-0 Wolf Pack on the powerplay at 7:26. Berard found twine again on Hartford's second powerplay of the game, circling the zone before picking up speed and firing a shot through a screen. Berard connected for his 21st goal of the season at 14:20. The Wolf Pack picked up where they left off to begin the second period, scoring three goals in under three minutes for six unanswered goals. It started with Belzile one-timing a Hollowell feed just 1:59 into the period, making it 4-0 Hartford. Brennan Othmann recorded his second assist of the night on the goal. Only 36 seconds later, Berard would pick up his first professional hat trick. Belzile's assist was his third point of the game. Belzile was one of eight Wolf Pack players to record a multi-point night. Berard's hat-trick goal at 2:35 chased DiPietro from the contest as Brandon Bussi took over for the Bruins. 32 seconds after Berard's hat trick, Ryder Korczak barreled towards the net, leading to Pekar feeding him for a tap-in at 3:07. Korczak's goal was his seventh of the season, beating Bussi to make it a whopping 6-0 lead for the Wolf Pack. Patrick Brown responded at 6:30 to put the Bruins on the board, scoring for the third time in four games against Hartford. Brown muscled his way to the front of the net before jamming the puck by Garand for his sixth of the season to make it a 6-1 game. The Pack went on the penalty kill midway through the middle stanza as Nikolas Brouillard went off for high-sticking. After a brief five-on-three and two quick kills for the Wolf Pack, Brouillard extended the lead to 7-1 with his first goal since January 20th. Brouillard took a pass from Blake Hillman and entered the offensive zone on a breakaway. He snapped a shot by Bussi on the short side just seconds after exiting the penalty box. Bruins forward Oskar Steen beat Garand up high for a powerplay goal in the closing minutes of the second period to make it 7-2, starting a pushback from the visitors. Brown scored his second goal of the night at 5:04 in a similar fashion to his first, driving to the net and stuffing the puck by Garand to make it 7-3. The goal was the Bruins' second straight on the powerplay. A third straight powerplay goal at 9:11, courtesy of Georgii Merkulov, made it a 7-4 game. Merkulov blasted home a one-timer from the right-wing circle for his team-leading 22nd goal of the season. Despite a frantic push from the Bruins, the Wolf Pack were able to calm things down and push a 7-4 victory over the finish line. The win marks the Wolf Pack's third straight victory and their second straight at home. The Wolf Pack open a three-game road trip tomorrow night when they visit the Bridgeport Islanders. The puck drop is set for 7:00 p.m., with 'Wolf Pack Pregame' starting at 6:45 p.m. on AHLTV & Mixlr. The Pack is back at the XL Center on Saturday, March 16th, when the Utica Comets come to town. The puck drop is set for 6:00 p.m.; tickets are available at www.hartfordwolfpack.com. # # # About OVG360: OVG360, a division of Oak View Group, is a full-service venue management and hospitality company that helps client partners reimagine the sports, live entertainment, and convention industries for the betterment of the venue, employees, artists, athletes, and surrounding communities. With a portfolio of more than 200 client partners spanning arenas, stadiums, convention centers, performing arts centers, cultural institutions, and state fairs around the globe, OVG360 provides a set of services, resources, and expertise designed to elevate every aspect of business that matters to venue operators. Service-oriented and driven by social responsibility, OVG360 helps facilities drive value through excellence and innovation in food services, booking and content development, sustainable operations, public health and safety, and more. ABOUT THE HARTFORD WOLF PACK: The Hartford Wolf Pack has been a premier franchise in the American Hockey League since the team's inception in 1997. The Wolf Pack is the top player-development affiliate of the NHL's New York Rangers and plays at the XL Center. The Wolf Pack has been home to some of the Ranger's newest faces, including Igor Shesterkin, Filip Chytil, and Ryan Lindgren. Follow the Wolf Pack on Facebook, Twitter, Instagram, and TikTok. HARTFORD WOLF PACK HOWLINGS Read the full article
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vg11k · 7 months
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À tire-d'aile
rrecit
Le brouillard a passé les murs ! s’écria leur père en jetant littéralement le cadet à la suite de sa sœur. Fichez le camp ! Prévenez le magistrat !
Mais p…
Pas de “mais” Xia ! coupa-t-il avec autorité en bouclant la nacelle d’un revers rageur. Réponds-moi oui et fais ce que je t’ordonne !
Coite, l’adolescente ne trouva pas à répondre. Tout allait trop vite. Son monde sombrait et elle ne pouvait rien faire, impuissante. L’homme qui l’avait élevé s’échinait sur la corde retenant leur navire, luttant contre le chanvre, mais également contre l’affliction lui dévorant la peau à vue d'œil. Tout son bras gauche et sa gorge avaient noirci, recouverts de bubons et de lambeaux de peau suintants. Cela ne faisait pourtant pas une heure qu’il avait été poignardé sur le rempart…
Avec un cri de libération autant que d’agonie, il parvint enfin à trancher la corde épaisse retenant encore ses enfants. En quelques instants, le véhicule s’éloigna de plusieurs mètres.
Papa ! s’écrièrent-ils tous deux en se précipitant contre le bastingage pour regarder en contrebas.
Celui-ci n’eut pas l’opportunité de leur répondre. En une bourrasque, il fut avalé par la brume et disparut du champ de vision des deux passagers. Une épaisse mélasse dont la couleur même trahissait la nature pernicieuse. Une vapeur cotonneuse d’un vert maladif où semblaient nager des reflets violacés, ondulante et agitée de remous. Comme dotée d’une vie propre. Cette brume galopait plus vite qu’aucune monture ne pourrait jamais fuir la forteresse. Les défenseurs du mur n’avaient pas eu la moindre chance.
Papa ! s’écria à nouveau Huan en s’efforçant d'escalader la rambarde, aveuglé par le chagrin.
C’est sa sœur qui l’empêcha de se jeter dans la purée de pois. Presqu’aveuglée par les larmes, elle se laissa affaler au fond de la nacelle, ceinturant le garçon contre son abdomen. Le cadet se débattit et lui laboura les côtés de ses coudes, mais elle tint bon. Jusqu’à ce qu’il accepte finalement de ne plus lutter.
Ce n’est qu’après un temps qui parut des années, qu’ils trouvèrent la force de ravaler leurs sanglots, déchirés par le malheur. Puis qu’ils purent prendre pleinement conscience de leur situation précaire.
Le grand mur, encore dressé à l’horizon, n’avait pas cédé. Cela n’avait pas été nécessaire. Même un mur ne pouvait stopper un nuage. Celui-là même continuait de ramper au sol, loin sous leurs pieds. Leur père les avait fait s’envoler à bord de la lanterne céleste d’alarme. Celle-là même à faire décoller du Bastion s’il venait à céder. De taille dérisoire en comparaison avec les jonques de combat, cette montgolfière serait portée jusqu’aux cités à l’intérieur des terres par le puissant vent du Nord. Aussi rapide qu’une monture et ne connaissant pas la fatigue, elle était apte à porter un unique messager - ou deux enfants - porteur de la funeste nouvelle : le mur était tombé aux griffes de l’ennemi.
Papa, geignit vainement Huan le regard tourné vers la mer verdâtre s’étirant à perte de vue dans leur sillage. Qu’est-ce qu’on va… sans Papa…
Notre devoir, articula difficilement l’aînée en refoulant sa propre peine avant de poursuivre sa réponse. Nous devons alerter le magistrat. Le mur a subi une percée. La brume ne doit pas prendre Shugengan par surprise. Ensuite, seulement, nous pourrons… nous pourrons pleurer père.
Le regard que lui décocha le garçon fut un supplice à soutenir. Xia se détourna, incapable elle-même de rester de marbre. Comment aurait-elle pu ?
Le temps s’était comme arrêté, là dans le ciel. Il était suspendu, aussi sûrement qu’ils l’étaient au-dessus de la mélasse putride. Un calme lugubre régnait, interrompu seulement par les craquements ponctuels de la nacelle ou les tensions de la lanterne sur les cordages. Quelques mètres plus bas, finalement très près au vu de l’immensité céleste, la brume dissimulait le paysage et étouffait tous les sons. Qu’il s’agisse d’une brise dans les arbres, du meuglement du bétail ou de la voix d’un homme. Rien ne perçait cette fumée verte. Y avait-il seulement encore quoi que ce soit de vivant là-dessous ?
C’est pourquoi, lorsqu’un éclat d’ailes tout proche leur parvint soudain, ils sursautèrent et firent brusquement tanguer l'embarcation.
C’était un corbeau. Un oiseau banal, venu de nulle part pour se poser sur le rebord de leur esquif volant. Un oiseau qui hochait nerveusement de la tête, se tournant de l’un vers l’autre.
X… Xia… ses… ses…
Je les vois… répondit-elle aux bégaiements de son frère sans pouvoir dissimuler sa propre peur.
Le plumage de l’animal était clairsemé, exposant la peau pustulée en-dessous. Ses yeux étaient d’un blanc laiteux et maladif. Son cri lui-même était étranglé, comme s’il toussait plus qu’il ne coassait.
Ouste !
S’extirpant de sa torpeur, Xia fit mine de le chasser. Elle réalisa un pas en avant et agita les bras. Mais l’animal malade n’eut pas la réaction escomptée. Pas du tout même. Au lieu de fuir, il battit furieusement des ailes et lui sauta littéralement au visage, projetant des plumes dans toutes les directions. Avec un cri de panique, la jeune femme replia les bras et recula en s’efforçant de garder son équilibre. L’agitation soudaine fit de nouveau dangereusement tanguer la nacelle et projeta Xia contre la cloison. Elle s'agrippa au rebord pour ne pas basculer dans le vide, mais l’animal ne s’acharna pas contre l’adolescente. Il se laissa tomber sur son frère, hurlant de terreur. Tombé sur les fesses, Huan se débattit dans un mélange confus de plumes et de membres pour repousser la créature.
Voir son frère assailli après avoir tant perdu ce jour-là attisa la colère de Xia. Suffisamment pour que l’adolescente surpasse sa propre épouvante. Tendant les bras, la jeune femme parvint à attraper le volatile, les plumes glissant sous ses doigts. Elle n’aurait su dire s’il s’agissait d’une aile ou du cou. Cela n’avait aucune importance. Avec un cri de fureur, elle le fracassa contre le garde-fou. Une fois. Deux fois. Puis jeta la carcasse brisée dans le vide.
Elle haleta quelques instants, surprise par sa propre initiative. Au creux de sa poitrine, son cœur tambourinait si fort que s’en était douloureux.
Avec un soupir, s’efforçant de dompter ses émotions, elle se tourna vers son petit frère. Celui-ci, blanc comme un linge, contemplait ses mains. Elles étaient écorchées de multiples griffures. Déjà, les plaies s’auréolaient d’une couleur jaunâtre n’augurant rien de bon.
Tétanisée, Xia resta immobile, ne sachant que faire. Elle se savait incapable cette fois de venir en aide à son petit frère. Ses yeux s’emplirent de larmes comme Huan levait vers son aînée un regard implorant. Lui aussi comprenait ce qu’il lui arrivait. Levant les deux poings à son front, il hurla d’impuissance.
Lorsqu’un cavalier longma de Shugengan vola jusqu’à la lanterne céleste égarée dans le ciel immense, deux jours plus tard, ce n’est pas un messager envoyé par le front qu’il découvrit. C’est le corps méconnaissable d’un enfant, nauséabond et en état avancé de décomposition, ainsi qu’une adolescente recroquevillée dans le coin opposée de la nacelle. L’unique survivante d’un cauchemar approchant la cité.
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