Tumgik
#Conflit armé
carbone14 · 1 year
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Des soldats japonais prennent la pose avec des équipements soviétiques capturés pendant la bataille de Khalkhin Gol – 1939
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francepittoresque · 1 year
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22 avril 1915 : première utilisation d’un gaz toxique dans l’armée ➽ http://bit.ly/Gaz-Toxique-Armee Au nord d’Ypres, en Belgique, l’armée allemande utilise massivement du gaz toxique contre l’ennemi. Ce n’est pas encore le gaz moutarde : les Allemands utilisent du chlore
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hcdahlem · 9 days
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La ballerine de Kiev
Après « Le gardien de Téhéran » Stéphanie Perez confirme son talent de conteuse et sa faculté à transformer son expérience d’envoyée spéciale en un roman éclairant, cette fois en mettant en scène un couple de danseurs de l’opéra national de Kiev.
  En deux mots Svitlana et Dmytro, danseurs à l’opéra national de Kiev connaissant leur jour de gloire à la veille de l’entrée des chars russes dans le pays. Une guerre qui va bouleverser leur quotidien et les séparer. Dmytro part sur le front, Svitlana aide comme elle peut comme secouriste. Jusqu’au jour où on lui demande de reprendre la danse. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Les danseurs…
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amereid1960 · 3 months
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تسليم مجرمي الحرب في ظل قواعد القانون الدولي الإنساني
تسليم مجرمي الحرب في ظل قواعد القانون الدولي الإنساني   تسليم مجرمي الحرب في ظل قواعد القانون الدولي الإنساني الكاتب : لعور حسان حمزه الملخص: تعد مسألة تسليم الأشخاص المتهمين بإرتكاب جرائم حرب وجرائم ضد الإنسانية وجرائم الإبادة الجماعية زمن النزاعات المسلحة من أهم المواضيع المطروحة على الساحة الدولية،خاصة وأن هناك العديد من مجرمي الحرب الفارين لم تتم بعد محاكمتهم ومعاقبتهم ،بحكم تواجدهم إما داخل…
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alewaanewspaper1960 · 3 months
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تسليم مجرمي الحرب في ظل قواعد القانون الدولي الإنساني
تسليم مجرمي الحرب في ظل قواعد القانون الدولي الإنساني   تسليم مجرمي الحرب في ظل قواعد القانون الدولي الإنساني الكاتب : لعور حسان حمزه الملخص: تعد مسألة تسليم الأشخاص المتهمين بإرتكاب جرائم حرب وجرائم ضد الإنسانية وجرائم الإبادة الجماعية زمن النزاعات المسلحة من أهم المواضيع المطروحة على الساحة الدولية،خاصة وأن هناك العديد من مجرمي الحرب الفارين لم تتم بعد محاكمتهم ومعاقبتهم ،بحكم تواجدهم إما داخل…
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fucknewsfrance · 9 months
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#EtatsUnis : L'aide américaine à l'#Ukraine est sur le point d'expirer.
L'article sur bit.ly/3BpAdZO
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On recense 1,2 milliard d’adolescents dans le monde, soit la cohorte la plus nombreuse de l’histoire. C’est aussi la plus instruite et la plus urbanisée. Au total, 90 % des adolescents vivent dans des pays à revenu faible et intermédiaire, 125 millions se trouvent dans des régions en proie à un conflit armé. Les adolescents d’Afrique subsaharienne, dont le nombre ne cesse de croître et devrait atteindre la barre des 500 millions d’ici à 2050, ont le potentiel d’insuffler de profonds changements si les gouvernements investissent en leur faveur et parviennent à les mobiliser. Parmi les adolescents les plus pauvres, 1 sur 4 n’est jamais allé à l’école, et plus de 200 millions d’adolescents en âge de suivre un enseignement secondaire ne sont pas scolarisés
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firefly-project · 6 months
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Aperçu des équipages
Survivre en Périphérie n’est pas une mince affaire. Les écosystèmes difficiles de ses planètes rivalisent avec le manque d’opportunités économiques. La plupart des emplois se font à bord d’équipages à la recherche de contrats plus ou moins légaux et plus ou moins onéreux qui viendront entretenir vaisseaux et équipages jusqu’à la prochaine mission.
Find a crew. Get a job. Keep flying.
Le Fortuna
Equipage formé à l’après-guerre, mélanges hétéroclites de vétérans et de jeunes prodiges. Peu de principes, pas spécialement regardant sur les origines de chacun. Seul le profit importe.
Le Mei Mei
Formation vieille de plusieurs centaines d’années, dont la capitainerie est passée de mains en mains dans la famille Wang. Redoutable, organisé. Ils ont autant d’influence dans le vide de l’espace que dans les politiques locales de Deadwood.
Le Solace
Formé au début de la guerre d’Unification par des déserteurs pacifistes. Evite tout types de conflits armés et se spécialise dans l’espionnage et les négociations.
📌 Le nombre d’équipages est pour l’instant réduit à trois, afin de permettre aux membres de ne pas s’éparpiller et de tisser des liens plus facilement. Il n’est pour l’instant pas possible de jouer un habitant de Deadwood n’appartenant pas à un équipage.
Une présentation plus poussée de chaque équipage sera bientôt disponible !
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carbone14 · 6 months
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Opération Chariot : le HMS Campbeltown encastré dans la porte de la forme Joubert du port et de la cale sèche de Saint-Nazaire et sabordé par les marins britanniques - Bataille de l’Atlantique - Saint-Nazaire - France - 28 mars 1942
Photo : Kramer
©Bundesarchiv - 101II-MW-3722-03
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Opération Chariot : le HMS Campbeltown encastré dans la porte de la forme Joubert du port de Saint-Nazaire avant son explosion - Bataille de l’Atlantique - 28 mars 1942
Photo : Schaaf
©Bundesarchiv - 101II-MW-3724-02
Dès 1939, la domination militaire de l'Atlantique est un enjeu stratégique déterminant du conflit mondial. Après la défaite de la France, la Grande-Bretagne est tributaire des convois de ravitaillement pour soutenir son économie et son effort de guerre. Quant à l'Allemagne elle impose un blocus maritime pour vaincre son dernier adversaire en Europe. Une stratégie d’attaque en meutes de sous-marins est alors mise en place par l’Amiral Dönitz complété par le déploiement de navires de surfaces lourdement armés et cuirassés.
Pour sa première sortie opérationnelle, le cuirassé Bismarck, a pour mission de déstabiliser la route des convois transatlantiques et coulera le croiseur de bataille HMS Hood, fleuron de la Royal Navy. La marine britannique a dû déployer d’énormes ressources navales et des efforts considérables pour venir à bout du Bismarck avant qu’il ne rejoigne le port de Brest pour réparations.
Dans ce contexte, le sister-ship du Bismarck, le cuirassé Tirpitz, plus grand cuirassée d’Europe à flot stationné en Norvège devient une menace incontournable pour la marine britannique et la sécurité des convois de ravitaillement.
La doctrine maritime de l'époque exigeant la présence d'un port pour effectuer les réparations à proximité des navires qui s’engagent en opération, le seul port de la façade atlantique capable de recevoir le cuirassé est celui de Saint-Nazaire avec sa forme Joubert (Porte-écluse pour accéder au port et cale sèche).
Cet ouvrage a une telle importance stratégique que Winston Churchill décide, au début de l’année 1942, d’en confier la neutralisation aux commandos britanniques sur la base de renseignements fournis par le réseau de résistance « La Confrérie Notre-Dame », commandé par le Colonel Rémy.
Le plan consiste à utiliser un navire-bélier bourré d’explosifs, le destroyer HMS Campbeltdown maquillé en destroyer allemand, contre les portes de l'écluse-caisson et de neutraliser 24 cibles techniques par des commandos à terre. Pour cela une opération de bombardement aérien a pour objectif de distraire les défenses allemandes tandis que le destroyer, 16 vedettes rapides, 1 vedette lance-torpilles et 1 canonnière foncent sur leurs objectifs profitant de l’effet de surprise.
Le destroyer encastré dans la porte de la forme Joubert à 1 h 34 du matin explose quelques heures plus tard à 10 h 30 avec à son bord de nombreux soldats allemands venus l’inspecter.
L’opération fut un succès et la forme Joubert resta inutilisable jusqu’à la fin de la guerre.
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icariebzh · 8 months
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 "Nous allons tous mourir. Ce n'est qu'une question de patience. Le processus, si l'on peut dire, est déjà engagé. Tout joue contre nous : les statistiques, le temps, et même les places financières. Nous voilà embarqués dans une vraie sale histoire. Alors autant vous la raconter dans ses moindres détails. Elle commence au début des années 1950 avec la germination de l'emblématique génération des baby-boomers. Usée par la friction des conflits, la mort était, à cette époque, tenue pour un sport démodé. Chacun pensait à revivre, replanter, repeupler les nations, passer de la civilisation des cimetières à celle des maternités. C'est ainsi que naquit l'avant-garde de l'après-guerre. Pour ces enfants du regain l'on espérait un mieux. Ils eurent le meilleur. Un futur de fourrure doublé d'un univers en expansion. Le progrès leur offrit un monde de Teppaz et de berlines automatiques pourvues de directions assistées. Cette génération-là, la plus nombreuse de toute l'histoire de l'humanité [...], d'abord joueuse, se révéla très vite avoir une âme de propriétaire et décréta que l'avenir, le monde et ses environs lui appartenaient. Aujourd'hui, la grande armée continue sa marche forcée vers la quête du bonheur éternel. Pourtant, chez les plus informés de la troupe, la cadence a changé. Et c'est du pas de l'explorateur craintif que certains avancent vers l'âge de l'intranquillité. Quinquagénaires recomposés, « viagratisés » et sur la vie assurés, ils sentent que le piège du temps est en train de se refermer sur eux, qu'ils vont bientôt tomber, d'abord par centaines, puis par milliers, par colonnes, par grappes. Bref, en masse. Avec l'extinction prochaine des baby-boomers nous allons entrer dans ce que les économistes spécialisés appellent déjà la « golden era of death ». Cet âge d'or de la mort, Wall Street, les milliardaires, les banquiers, les investisseurs de tous pays l'ont bien sûr anticipé. Aux États-Unis, et dans de nombreux pays occidentaux, les spéculateurs ont racheté les maisons funéraires, les cimetières et toutes les entreprises et services se rattachant à ce secteur d'activité. Une industrie qui, rien qu'aux États-Unis, brasse la somme de 17 milliards de dollars. Les retours sur investissement sont calculés, les statistiques bouclées, les paris ouverts, les dates plus ou moins balisées. La finance a misé contre nous tous. D'énormes paquets. Ce qui n'est jamais bon signe. De cet âge d'or, pour une fois, nous ne verrons pas le bout. Nous n'en serons même pas les figurants ni les acteurs. Seulement les victimes et les vecteurs."   Jean-Paul Dubois extrait de: "L'Amérique m'inquiète et autres récits" 
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aurevoirmonty · 5 months
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« Les migrations de masse, subies avec une suprême inconscience et une effarante bêtise par ceux-là mêmes qui en sont les victimes, sont le cœur d'une stratégie de mort, et non les convulsions incompréhensibles d'un monde devenu fou. Elles ne sont pas un problème, fût-ce parmi les plus importants, de notre époque, elles sont, tout simplement, LE problème. Elles sont la Quatrième Etape [après les deux premières guerres mondiales et la troisième guerre psychologique de rééducation des peuples européens et d'incessant lavage des cerveaux - NDT] - qui a connu une accélération vertigineuse après l'écroulement du bloc soviétique - de l'Agression, elles sont l'arme brandie par les Frères de l'Hallucination, "frères aînés" ou non, ce sont des actes de guerre accomplis par le Système contre tous les peuples. En premier lieu contre les Européens, les seuls à conserver dans leur patrimoine génétique, en dépit de toutes les formes de rééducation, la capa­cité scientifique, la volonté d'organisation et l'équilibre éthique pour offrir à l'humanité des solutions anciennes et nouvelles aux immenses défis imposés par l'application de modèles de pensée aberrants''. […]
Reste donc, irréductible comme il y a deux millénaires, le conflit entre les porteurs de deux mentalités opposées et inconciliables, entre deux conceptions ou visions du monde. Restent, incompatibles, l'un contre l'autre armés, "racisme" et "antiracisme", Cosmos païen et Royaume judaïque. Restent, irréductibles comme il y a deux millénaires, les nœuds de la dis­pute entre deux épistémologies incommensurables, entre deux univers idéologico-discursifs pourvus chacun de son propre Système de valeurs. »
Gianantonio Valli (1949-2015)
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claudehenrion · 8 months
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La mondialisation heureuse ou la fin d'un mythe...
Pour bien comprendre le sens de l'évolution du monde actuel, que certains qualifient de ''moderne'' (en perdant de vue que la modernité, dit Larousse, est un concept désignant l’idée d'agir en conformité avec son temps et non plus en fonction de valeurs, considérées de facto comme ''dépassées''), il faut remonter à Napoléon Ier. Même si cela peut paraître étrange à certains, cet immense génie, aujourd'hui décrié, vilipendé et ostracisé par une Gauche qui a entre temps perdu son âme, toute justification, et sa raison d'être (ceci expliquant sans doute cela !), fut en son temps assimilé au libérateur de toute humanité...
Un vent de liberté avait alors soufflé de France, et le monde entier allait en profiter –naissance de dangereux thème du ''paradis sur terre'', laïcisé par les Lumières : à la seule annonce de la bonne nouvelle, les armées s'effondreraient, les rois s'enfuiraient, les sociétés se déliteraient, les vieux interdits sauteraient à la grande satisfaction des opprimés, les religions disparaîtraient.. Hegel, reflet de son temps, dira que ''devant l'entreprise napoléonienne, il savait qu'il assistait à la fin de l'Histoire'', raconte Alexandre Kojève, spécialiste de ce philosophe : il voyait là l'unification des peuples et 'entrée du monde dans une paix perpétuelle... Et lorsqu'il a entendu les sabots du cheval de l'Empereur en route pour Iéna (où la Prusse allait être écrasée) frapper le sol devant sa maison, il a écrit ''la Phénoménologie de l'esprit'' (1807) : le monde, l'humanité, l'esprit et l'Histoire prenaient enfin un sens, leur sens. Cette idée du ''sens de l'histoire'' va ruiner les 250 ans suivants.
Dans cet ouvrage qui l'a rendu célèbre, il développe une théorie de l'histoire universelle qui trouve sa réalisation objective dans l'État, qu'il voit comme une organisation juridique capable de réaliser la liberté qui est son essence, c'est-à-dire : dans ce qu'elle était déjà, en germe. ''Ce qui est rationnel est réel, et ce qui est réel est rationnel'', explique Hegel dans ''Principes de la philosophie du droit'', 1820), formule qui condense l'audace philosophique de cet homme dont l'ambition aura été de surmonter la déchirure entre l'esprit et le monde et de réconcilier définitivement la raison et le réel. En ce sens, on peut voir en lui un père historique de toute ''mondialisation''.Le vecteur indirect qu'était le triomphe napoléonien de la Révolution française, outre rendre leur sens à l'Histoire et à la Liberté, allait tout rendre clair et possible : c'était la fin des conflits, la fin de la dialectique, Napoléon était ''l'âme du monde'' qui allait enfin se réaliser, sous les drapeaux de sa victoire... (NDLR - On retrouve là des intonations du début de l'Ouverture ''1812'' de Tchaïkowski, avant l'effondrement final). Après la fin catastrophique de l'aventure napoléonienne, Hegel admit s'être trompé mais n'abandonna pas pour autant sa foi dans une Raison qui gouvernerait l'Histoire (les majuscules sont de lui).
Dans les années 1970, il aurait fini par déchanter devant l'échec incompréhensible (et retentissant) de l'Occident cultivé à faire advenir le règne de la raison, la fin de la barbarie et le temps de la paix... alors que De Gaulle, Schuman, Adenauer, Spaak et de Gasperi tentaient de démontrer le contraire, grâce à une paix et une harmonie qui durent depuis bientôt 80 ans, mais uniquement à cause de la menace nucléaire qui établit une ligne rouge à ce jour infranchissable, même dans l'imbroglio russo-ukrainien.
D'ailleurs, souvenez-vous : lorsque le mur de Berlin est tombé, entraînant l'enfer communiste dans sa géhenne, le monde s'est remis à croire aux chimères, et Francis Fukuyama a écrit en 1992, à l'antipode des analyses marxistes, un des livres marquants du XXème siècle, ''La fin de l'Histoire'' : le communisme mort, plus rien ne ralentirait la marche du monde vers la paix, et tous les peuples ''sous développés'', Chine en tête, allaient enfin devenir ''des américains comme les autres'', des démocrates, des capitalistes... et que sais-je, encore ! Tiens : des mondialistes heureux, peut-être ? 
C'était trop beau ! Dès 1996, un autre livre marquant du XX ème siècle, ''Le Choc des Civilisations'', de Samuel Huntington, remettait à nouveau en question le mythe mortifère de la ''Mondialisation heureuse'', et le 11 septembre 2001 ouvrait grands les yeux des derniers rêveurs : ''Le choc des civilisations'' était la seule réalité palpable ! Le monde se réveille trop lentement de ce long cauchemar : la soi-disant ''mondialisation heureuse'' --qui sert encore de drogue à toute la génération qui s'est installée aux commandes pour notre malheur, dont notre Président, ce ''progressiste-rétrograde'' bon teint--, était une vue de l'esprit et, pire encore, vraiment pas souhaitable : les faux ''artisans de la Paix'' n'étaient que des esprits pervers, des faiseurs de mythes, des prêcheurs de vent, des prophètes de malheur... et de piètres ''leaders''.
Aujourd'hui, l'Occident déchante : il s'est trompé sur à peu près tout –ou... on l'a trompé : les ''valeurs'' qu'on lui a imposées n'en étaient pas, et il n'était ''un modèle'' pour personne ! Comme chaque année, avant la réunion des puissants de la planète à Davos pour fabriquer d'autres non-solutions épouvantables, le World Economic Forum vient de publier son Global Risk Report 2024, et la conclusion des 1 500 experts (?) internationaux interrogés est inquiétante : "Les perspectives mondiales se dégradent", et 30% du panel s’attend à "une catastrophe mondiale" dans les 2 ans --53% dans les 10 ans. Ambiance ! Et nos paysans qui, histoire d'enfoncer encore plus le clou, confirment que nos ''intelligences'' stupides avaient tout faux !
Parallèlement, le baromètre annuel d’Ipsos : "Prédictions dans 33 pays de l’OCDE'' nous apprend que ''les français (restent) plus pessimistes que les autres''. Il faut dire que nos dirigeants, confits dans leur absurde dévotion pour une Europe qui n'existera jamais telle qu'ils la fantasment (et c'est tant mieux) se propulsent systématiquement aux avant-postes de... tout ce qu'il ne faut surtout pas faire... Depuis le temps qu'on l'annonçait, le monde des fous est parmi nous !
Nous avons laissé être construit ou plutôt dé-construit autour de nous un enfer qui ressemble plus à une dystopie inventée par des ''cavaliers de l'apocalypse'' mandatés par les puissances infernales, qu'à un pas de plus vers le Paradis, quel qu'il soit. On doit le regretter... mais on ne peut pas rester ''les deux pieds dans le même sabot'', car il est temps, encore, de sortir de ce piège diabolique dans lequel nos gouvernants et une ''l'intelligentzia'' bête à en pleurer et indignes de leurs missions, voulaient nous enfermer, dans un grand plongeon dans le néant qu'ils nous ont préparé... sans voir que c'est devant eux, qu'ils l'ouvraient, ces cons !
Le résultat est là : la coupe est pleine, partout, pour tous, dans tous les pays, et il va falloir ''replier la voilure'' dans l'improvisation... car dans leur certitude d'avoir raison à quelques uns contre le monde entier... ils n'ont pas de ''Plan B''. Tant pis : mieux vaut une improvisation que le cul-de-sac mortel auquel la poursuite des errements actuels nous condamnait... L'immense majorité des européens se réveille ? Juste avant les élections, c'est bon signe : ''la mondialisation heureuse'' était un mensonge. Comme tout le reste. Nous le répétons presque chaque jour depuis 10 ans !
H-Cl.
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a-room-of-my-own · 11 months
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Je répond dans un billet séparé parce que Tomblère me laisse pas poster en reblog
Pour commencer, le télescopage de grilles de lecture qu’elle présente est au moins incomplet, sinon historiquement faux. 
Pour faire simple, si les US soutiennent effectivement Israël de manière inconditionnelle – et encore, c’est beaucoup moins vrai depuis 15 ans, il suffit d’ouvrir les infos pour le constater - c’est beaucoup moins le cas de l’Europe, et encore moins de l’ONU. La France a la même position depuis des années, qui est de ménager la chèvre et le chou, en ménageant ses relations diplomatiques avec Israël en sous-main, tout en étant dans le discours public plutôt pro-arabe. Nos politiques locaux ont bien compris depuis des années que ce conflit posait un problème de sécurité sur notre propre sol, et les positions prises concernent bien moins le conflit en soi que de la politique intérieure.  
Il suffit d’allumer la radio de service public pour voir d’ailleurs que nos journalistes-fonctionnaires sont à 90% de gauche ou d’extrême-gauche, et que l’information financée par l’Etat et nos impôts est bien loin de diffuser massivement l’idée qu’Israël est un pays héroïque. Au contraire, on a des médias qui reprennent en cœur les chiffres du Hamas sans les vérifier.  
De l’autre côté, la vision qu’elle dit arabe - la réalité des opinions publiques est bien plus nuancée en réalité, surtout dans des pays où la liberté de manifester n’est pas du tout établie - présentée comme “prosaïque” est tout sauf prosaïque. Elle est historiquement fausse.  
“Israël est un état fondé sur le colonialisme et l’expulsion, et qui mène une politique d’apartheid” 
Tous les états du Moyen-Orient sont “fondés sur le colonialisme” si on va par-là, puisque tous ont été créés par les puissances occidentales réunies par l’ancêtre de l’ONU, la SDN, après le démantèlement de l’Empire Ottoman, suite à la Première Guerre Mondiale.  
D’autre part, Israël s’est construit en opposition au titulaire du mandat de Palestine, à savoir l’Angleterre, qui avait certes soutenu l’idée de la création d’un foyer national juif dès 1917, mais qui soutenait par ce biais l’immigration de populations juives sur le territoire qu’elle administrait, et pas la création d’un état juif indépendant. Les précurseurs de l’état d’Israël se sont littéralement battus contre les Anglais, qui s’opposaient radicalement à l’installation de juifs réfugiés après la seconde guerre mondiale, et à la création d’un état juif. C’est donc le comble pour un “état colonial” d’être fondé après une lutte armée contre...l’administrateur de la colonie. 
Israël n’est pas plus un état “fondé sur l’expulsion". Après sa création, l’état a vécu 3 guerres en 25 ans, qu’il a toutes gagnées, et ces guerres ont redessiné les frontières à plusieurs reprises. Le rapport de force, pendant les trois, était en totale défaveur d’Israël, puisque le jeune état était attaqué sur plusieurs fronts par plusieurs pays mieux équipés et avec une armée bien plus nombreuse. Il y a bien eu des expulsions et des violences, comme dans n’importe quel conflit, mais les plus gros mouvements de population ont été une conséquence directe de ces guerres, notamment la première, où c’est littéralement les pays voisins qui ont conseillé aux populations locales de fuir les combats parce qu’ils étaient sûrs de gagner.  
Le fait qu’ils aient perdu – et perdu des territoires par la même occasion – puis que des cellules armées d’obédience palestinienne en Jordanie, en Egypte, au Koweit et au Liban aient tenté de renverser les gouvernements en place a très largement contribué au fait que les relations avec Israël se soient normalisées par la suite, et aussi au fait que ces pays ne veulent plus accueillir de réfugiés palestiniens. C'est surtout à ce moment-là que le rapport de force s’est inversé en faveur d’Israël, car même si les pays voisins instrumentalisent le conflit dans le cadre de leur politique intérieure, aucun n’attaquera Israël militairement / ouvertement. Ils n’ont concrètement rien à y gagner.  
Quant à dire qu’Israël mène une politique d’apartheid, c’est faux aussi. Israël compte 20% d’arabes israéliens. Je mets quiconque au défi d’aller essayer de trouver ce que représentent les communautés juives dans les pays arabes. Concrètement plus grand-chose, parce qu’elles ont été expulsées de chez elles – par la force, la loi, ou par pression - après l’indépendance d’Israël. La Tunisie ne compte plus que 2000 juifs et compte faire passer une loi pour envoyer quiconque a des liens avec “l’entité sioniste” en prison pour plusieurs années.  
A moins de considérer que les populations arabes de Gaza et de Cisjordanie font de facto partie d’Israël, je ne vois pas comment on peut parler d’apartheid. 
Au-delà des arguments historiques qui pêchent par leurs omissions (*tousse* on va rester polie), l’autrice enfile des perles argumentatives qu’elle n’étaye jamais par des faits ou des sources. En vrac on a 
* Des arguments pseudo-psychanalytiques > l’Occident souffrirait d’un “refoulé colonial” qui ressort dans son soutien à Israël.  
* Des arguments pseudo-sociologiques > Le racisme anti-arabes serait “phénoménal” (preuves? Chiffres? Comment on quantifie quelque chose de phénoménal? On le fait pas mais ça claque) 
* Des arguments pseudo-politiques / historiques > l’occident justifierait “l’écrasement” des palestiniens (qui? Quand? Comment? Dans quelles proportions? Suite à quel événement?) 
Le tous en citant bien sûr les chiffres de victimes donnés par le Hamas. 
On est ici - après tout moi aussi je peux faire de la psycho de chez Gifi – dans le chantage émotionnel le plus basique qui soit. On déroule une liste très approximative de faits qui omet 90% du contexte historique, avant de faire tenir une argumentation bancale à coup de gros mots, racisme phénoménal, humiliation, écrasement. Bref à ce stade de l’article si vous n’acquiescez pas avec Mona vous êtes MECHANT. 
"Prouver qu’un enfant est un enfant” 
Je ne vais pas m’attarder dessus, mais on est encore dans le chantage affectif, saupoudré d’une belle dose de malhonnêteté quand on a vu le négationnisme à l’oeuvre immédiatement après les massacres du 7 octobre, qui a obligé les autorités israéliennes à montrer à une sélection de journalistes les images des civils assassinés par les commandos du Hamas. 
Encore une fois, Mona Chollet avance sans preuve et sans citation. Elle décide que quelqu’un - j’imagine encore la personnification de cet “Occident” soudain tellement uni et homogène - considère que la publication de photos d’enfants victimes des bombardements est “le signe d’une fixation antisémite et une volonté malsaine de diaboliser Israël”. Qui a dit ça? Quand? On ne le saura pas mais on est tenus de la croire, et surtout de croire que c’est une opinion majoritaire. De l’esstrème��droite certainement. 
On continue dans le registre émotionnel, avec encore des mots forts attribués à...personne encore. Les palestiniens sont “diabolisés”, vus comme “une horde indistincte et barbare congénitalement violente et terroriste”. Par qui Mona? Par qui? A part essayer de susciter chez le lecteur une réaction de rejet immédiat pour le rallier à l’argumentation de l’article, je ne vois pas à quoi ça sert? 
On est littéralement dans le “les gens qui ne pensent pas comme moi sont démoniaques croyez-moi sur parole j’ai pas l’intention de prouver ce que je dis”.  
"Starhawk et l’effacement complet des palestiniens” 
Là j’atteins le moment où je me roule par terre de rire. On parle de quelqu’un qui se définit comme sorcière néo-païenne. Soyons sérieux cinq minutes. J’attends l’avis des reptiliens illuminatis du FBI. Dans le même paragraphe elle tente de maladroitement prouver qu’Israël entreprend un génocide sur la population palestinienne... tout en admettant que c’est l’état hébreu qui fournit eau et électricité. En revanche elle ne précise pas qu’avant la guerre, bien des habitants de Gaza travaillaient sur le territoire d’Israël et que beaucoup d’entre eux s’y font soigner. Pas plus que Tsahal a passé plusieurs jours à essayer de convaincre les civils d’évacuer.  
La source c’est “trust me bro” et “y’a des gens qui sont d’accord avec moi”. OKAY. 
« Les mêmes éléments de langage repris ad nauseam »
Merde alors, et sans sources en plus ? Mais qui ferait un truc pareil. Hem. 
Là notre amie Mona découvre... La communication. De guerre. Le fait que les pays en guerre communique positivement sur les actions qu’ils entreprennent et essaient de convaincre de leur bien-fondé l’opinion internationale. Ah mais c’est du jamais vu. Personne n’a jamais fait un truc pareil. Ouh là là. (pardon je fatigue) 
(aussi, parenthèse professionnelle, déterminer des éléments de langage et les répéter c’est euh, la base de toute campagne de com, pas une preuve de démoniaquisme effréné) 
“La vision des Gazaouis en Occident, un “effet Homeland” 
Bon déjà c’est triste pour Mona parce que l’effet Homeland existe, mais ce n’est pas ça. C’est tout simplement l’engouement pour les séries d’espionnage après Homeland, avec plus ou moins de succès. Après, que les américains soient fans de filtre sépia et autres décors de studio dignes de Tintin au Pays de l’Or Noir, c’est pas exactement nouveau. 
Mona nous explique par la suite que les Occidentaux – cette masse informe -  se sentent plus proches des Israéliens parce qu’ils ont un mode de vie moderne. Basé sur quoi? Rien comme d’habitude, à part un exemple issu de cette fameuse série dont j’ai oublié l’existence depuis 2013, comme je suppose 90% de gens.  
“Si les Etats-Unis avaient forcé Israël à mettre fin à l’occupation il y a 30 ans” 
Mince alors moi je pensais que l’influence américaine était un problème, faudrait savoir. 
On repart sur la psycho de chez Lidl avec le fameux refoulé colonial qui ne sera jamais défini ou étayé et on enchaîne avec les US qui auraient dû “forcer” Israël à cesser l’occupation il y a 30 ans, soit en 1993. 
Du coup on ouvre un autre chapitre d’imprécisions historiques (encore une fois je suis polie) puisque Madame se réfère aux accords d’Oslo qui ont foiré, certes, mais par rejet des *deux* côtés de la barrière. Du côté palestinien parce qu’Arafat et consorts à l’époque ont clairement admis que si l’OLP avait le contrôle de la Cisjordanie, ce n’était qu’une étape avant la reconquête totale du territoire, enterrant de fait l’idée d’une future solution à deux Etats, et du côté israélien parce que la droite considérait que la “Judée-Samarie” conquise après la guerre des 6 jours, faisait de toute façon partie de l’Israël biblique et devait rester sous son contrôle. Le tout dans un contexte fait d’attentats et attaques diverses.  
On termine sur une nouvelle comparaison merdique, cette fois-ci avec les natifs américains, histoire d’ajouter encore une louche de chantage émotionnel sans rien étayer. 
Je conseille à l’autrice de faire ce qu’elle a l’habitude de faire : plagier un ouvrage ou un article écrit par quelqu’un de compétent, et y ajouter une anecdote perso sur sa copine Myrtille, sorcière technopagan, et de laisser la politique aux gens qui s’y connaissent un minimum, ou qui au moins essaient de lire des trucs avant d’écrire.  
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thebusylilbee · 10 months
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« Parce que bat aujourd’hui son plein en France une propagande qui manipule le signifiant féminisme, comme elle manipule le signifiant d’antisémitisme, il nous appartient, en tant que féministes, non seulement de la dénoncer pour ce qu’elle est, mais d’affirmer un positionnement radicalement solidaire de la lutte contre le colonialisme et l’impérialisme. » Une tribune signée, entre autres, par les intellectuelles et militantes féministes Sam Bourcier, Elsa Dorlin, Sara Farris, Silvia Federici, Émilie Hache et Isabelle Stengers.
« Cet appel n’est pas politique. Cet appel est purement féministe et humaniste ». Ainsi se conclut la récente tribune publiée par Libération appelant à la « reconnaissance d’un féminicide de masse le 7 octobre ». 
Pas politique mais purement féministe. Pas politique, mais purement signé par, non pas un, mais deux ex-ambassadeurs d’Israël (dont l’un fut également conseiller de presse...) . Les souliers sont gros, les ficelles, exhibées, l’ironie, évidente : cette tribune n’est pas féministe, mais politique. Parce qu’elle ne relève que d’une pure opération de propagande, faisant sienne la stratégie longuement éprouvée du pinkwashing israélien, son contenu ne saurait même être l’objet d’une discussion aussi polémique soit-elle. La colonisation, le génocide en cours et la propagande qui les accompagne ne se discutent pas, mais se combattent radicalement. 
La possibilité que le terme de « féminisme » soit utilisé dans une si abjecte opération résulte également de notre faiblesse à la contrer, voire à la prévenir : il s’agit donc, urgemment, de refermer la porte ouverte à ce que de telles idées deviennent formulables et audibles. L’obscène propagande de guerre qui soutient cette tribune fait sciemment l’impasse de toute contextualisation de la situation pour la réifier et in fine réitérer la vision d’un monde musulman barbare contre une population israélienne féminisée et ainsi lavée et blanchie de tout soupçon. La condamnation sans appel des combattants du Hamas s’arrime en effet à la construction d’un Orient monstrueux, nécessairement coupable des pires atrocités contre les femmes, permettant ainsi une fois de plus d’annuler toute perspective historique quant à la violence intrinsèque à la colonisation.
C’est précisément parce que cette propagande bat aujourd’hui son plein en France, y compris en manipulant le signifiant féminisme (comme elle manipule le signifiant d’antisémitisme), qu’il nous appartient, en tant que féministes, non seulement de la dénoncer pour ce qu’elle est, mais d’affirmer un positionnement radicalement solidaire de la lutte contre le colonialisme et l’impérialisme.
Comme dans tout conflit armé, la mort de civil.e.s et d'enfants en particulier nous indigne. Mais nous n'oublions pas, pour notre part, les citoyen.ne.s israélien.ne.s qui servent volontairement dans Tsahal et qui, hommes ET femmes, entravent par la force la population Palestinienne aux checkpoints, larguent leurs bombes au phosphore sur la population gazaouie, brutalisent et humilient les palestinien.ne.s, y compris des grands-mères et des grands-pères, dans les territoires occupés, tirent à bout portant sur des manifestant.e.s, arrêtent et emprisonnent illégalement des adolescent.e.s. 
Nous n’oublions pas non plus le traitement spécifique réservé aux prisonnières politiques palestiniennes sur lesquelles le viol a été pratiqué par les services de renseignement israélien, parmi d’autres techniques, pour obtenir des informations. Nous n’oublierons ni Ahed Tamimi, jeune fille arrêtée par l’État Israélien et emprisonnée en dehors de tout cadre légal, ni Mariam Abu Daqqa, militante palestinienne de 72 ans, violemment arrêtée en pleine nuit par 4 policiers français avant d’être brutalement expulsée.
Si tant est qu’une perspective « féministe » soit activable face à la situation en Palestine occupée, celle-ci ne peut s’enraciner que dans un positionnement embarqué, situé : c’est parce que, en tant que mères, sœurs, filles de, compagnes, amies, militantes, nous savons ce qu’il en coûte de violences sur nos corps et nos esprits de vivre dans un monde mutilé par le capitalisme et l’impérialisme, que nous devons nous exprimer sur la situation en Palestine. C’est parce que, toutes autant que nous sommes, nous luttons avec acharnement au quotidien pour en finir avec un monde de violences, que nous ne devons pas céder à la lâcheté des mots d’ordres moraux, lesquels ont la paix à la bouche, mais jamais la justice. Et c’est parce que, enfin, nous tenons intensément à la vie, que notre solidarité va à tout le peuple palestinien : ses femmes et ses enfants, évidemment, mais aussi ses hommes, ceux qui portent les enfants extraits des décombres, ceux qui revendiquent la terre pour nourrir leurs familles, ceux qui avec dignité continuent sans répit de lutter pour la survie et la liberté des leurs. C’est dans leurs luttes, leurs désespoirs et leurs déterminations, mais surtout leur refus de toute résignation, que nous, militantes féministes, souhaitons nous reconnaître.
À cette fin, nous faisons nôtres les revendications du peuple palestinien pour un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza, l’arrêt des ventes d’armes à l’État colonial d’Israël, la libération de tou·te·s les prisonnier·e·s palestinien·ne·s. Nous invitons également tou·te·s les organisations féministes à relayer la campagne Boycott Désinvestissement Sanctions, pour un boycott des produits israéliens, et rejoindre massivement les mobilisations en cours pour faire cesser le massacre en Palestine. ●●
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fucknewsfrance · 10 months
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Une forte tempête fait rage dans le sud de la Russie et en Crimée, en passe de renvoyer l'armée russe chez elle.
L'article sur bit.ly/3BpAdZO
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200 ans après la création du Shadow Fold…
Un pays scindé en deux par un épais brouillard surnaturel, déchiré par des conflits sanglants. Une ville au bord du chaos, nécrosée par la camarde et l’avarice. Une nation à l’aube d’une nouvelle ère, plus violente, plus fervente. Belligérants comme spectateurs de guerres qui n’en finissent pas, de fureur contre la différence, dans un monde où cabale, science et superstition se mêlent et sont autant de mots pour le divin que pour ces quelques uns doués d’une magie toute particulière.
À Ravka, les traversées successives du Shadow Fold grâce aux Grisha, les victoires plus fréquentes contre Fjerda et le traité, bien que fragile, avec Shu Han, réconcilient doucement le peuple ravkan avec ses magiciens. Les Grisha sont de plus en plus tolérés dans la société ravkan, bien que les préjudices et le blâme soient encore profondément ancrés dans la vie quotidienne et toujours fortement ressentis à mesure que l’on s’éloigne de la capitale ou du front. Un équilibre précaire pour la dynastie Lantsov qui tente d’apaiser les tensions alors que les mots dissension et rébellion bourdonnent à travers le pays. Certains Otkazat’sya reprochent à la couronne les avantages accordés aux praticiens de la Petite Science, rappellent à qui veut l’entendre que l’un des leurs est à l’origine de la sombre fracture de leur nation. Les Grisha qui jouissaient jusqu’à alors du choix de s’engager dans la Seconde Armée sont désormais confrontés au service obligatoire. Mais la rumeur court d’un sanctuaire dans les entrailles du Sikurzoi, un refuge gouverné par et pour les Grisha.
À Kerch, les canaux de la capitale sont gorgés d’un infâme sang mêlé, marchands et gangsters gisent dans les manoirs et sur les pavés glissants, fauchés par la caneuse autant que par la cupidité. L'assassin ne discerne ni la fortune ni l’autorité, l'amoral unique point commun de ses victimes. Malgré la menace, les bourgeois se disputent les postes vacants au sommet de l’oligarchie guillotinée, assoiffés de toujours plus, d’argent, d’influence, de contrôle. Dans le Barrel, dans l'cœur faisandé et criminel de la capitale, on se fout de la mort, elle est éternelle compagne, presque amante, on ne croit pas que ce soit l'œuvre d’un seul homme. On se méfie des autres gangs, on se méfie même des siens, le bras de fer est sanglant, à coup de lame ou de revolver.
À Fjerda, au-delà de l’étendue glacée du permafrost, les tambours des célébrations résonnent à travers la cité fortifiée de Djerholm, le Roi est mort, vive le Roi ! Tove Grimjer succède au paternel fauché par l’âge et la démence. Oriflamme de son puissant royaume, le fils prodige de la dynastie implacable et puritaine reprend les rênes avec la ferveur de ceux qui sont venus avant. Le roi-guerrier pieux, qui a fait ses classes et ses preuves au sein des redoutables Drüskelle, renforce les règles des anciens : disparité des sexes, dévotion au pouvoir militaire et aux avancements technologiques, combat toujours plus féroce sur le front dans l’éternel conflit contre Ravka et assauts furtifs au sud de leur frontière, dans ce pays qui ose considérer en égaux des êtres contre-nature. Les Grisha fjerdan n’ont d’autre choix que de fuir ou de se cacher, ne peuvent faire confiance ni à leur voisin ni à leur propre sang, leur sorcellerie est une abomination, la découverte mène à des exterminations systématiques ou des procès absurdes. On raconte qu’on entend l’écho de hurlements incessants sous le bastion du Palais de Glace, où les gardes empilent les corps mutilés des exécutés dans le brasier qui jamais ne cesse au cœur de la cour, alors qu’on tourne l’oeil, qu’on ignore l’évidence des expérimentations.
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