Tumgik
#Crise scolaire
malibuzz · 1 day
Text
Rentrée scolaire 2024-2025 sur fond de crise sociale aiguë au Mali.
Le maintien de la date du 1er octobre 2024 pour la rentrée scolaire vient ainsi couper court aux spéculations qui alimentaient les réseaux sociaux depuis un certain temps. En effet tout portait à croire que cette nouvelle rentrée des classes serait reportée en raison des perturbations causées par la saison des pluies.Des occupations anarchiques de beaucoup de classes par des ménages en détresse…
0 notes
e642 · 4 months
Text
Je suis en pleine crise d'angoisse. Il dort à côté de moi. Il s'est endormi sans réellement me parler, pas de bonne nuit, rien. Je me retrouve toute seule, dans le noire et je réfléchis à tellement de choses. Je sais pas si j'utilise le temps qu'il m'est imparti de la bonne manière. Je ne sais pas s'il y a une bonne manière en réalité. Tout le monde dira que c'est propre à chacun. C'est sûrement vrai, comme beaucoup trop de choses. Pourtant, j'ai cette sensation presque douloureuse que je n'ai jamais été aussi loin de moi et perdue. Je me rapproche de tout ce que je fuyais. Un mec qui s'en branle, des parents insatisfait, une orientation scolaire bancale, un confinement systématique avec moi et chez moi, des pensées toujours plus abondantes et troubles, une crise identitaire qui ne finit jamais, des angoisses qui m'empêchent de respirer. Je crois que je suis seulement allée aux autres extrêmes en pensant que c'était ça la stabilité. Finalement, je déteste tout ça je crois mais je reste si passive, je fais très attention à donner l'impression que ça me plaît car c'est trop d'efforts den sortir. Mais je me sens seule, et triste, surtout ce soir et je trouve que c'est l'image parfaite et, à la fois nihiliste, de vaut mieux être seule que mal accompagnée. Pourtant je le suis, mais je comprends que ya que moi qui sera là pour moi, qui essaiera de me comprendre, qui me réconfortera. Cette pensée me fait chialer mais c'est vrai. J'ai tellement chercher à être écoutée, regardée, comprise par les autres que j'en ai oublié l'aspect purement irréalisable. Mention toujours très spéciale à mon papa qui m'a toujours dit que je serai jamais mieux servie que par moi même. Je l'ai refusé tant de fois pour y revenir. J'ai tant pensé trouvé quelque chose de spécial dans les autres alors qu'on est tous pareil: incapable de faire autre chose que nous regarder. Et, il faut le dire, j'ai toujours pensé qu'on me trouverait quelque chose de spécial, mais je suis aussi comme toit le monde.
18 notes · View notes
quemajoiedemeure · 10 months
Text
Au taf je m'occupe d'un gamin autiste, il est mis dans une classe de ce1 normale mais il veut faire aucun travail scolaire donc il refuse d'apprendre notamment à lire et écrire mais il refuse aussi d'écouter le moindre truc dit par la prof et même de regarder le tableau et de s'asseoir devant son bureau, la plupart du temps il joue aux legos au fond de la classe mais au bout d'un moment il s'ennuie donc il va emmerder les autres gamins et les empêche de se concentrer, moi je suis sensé être là pour l'aider à faire du taf scolaire mais comme il en fait pas j'essaie de lui apprendre quelques trucs autrement, il est très intelligent il connaît plein de choses mais il part en vrille très vite, au début de l'année ça allait encore mais là tous les jours il fait des crises, il hurle il tape il mord il veut se faire mal (se couper les doigts avec des ciseaux les coincer dans une porte se taper la tête sur des trucs), au début ça durait une demie heure mais hier ça a duré 3h de suite et j'avais aucune marge de manœuvre j'ai aucune formation je suis pas educ spé et je sais juste honnêtement pas quoi faire donc ça devient vraiment épuisant pour tout le monde honnêtement j'ai même plus envie de le voir parce qu'à chaque fois c'est pire
24 notes · View notes
lounesdarbois · 1 year
Text
Tumblr media
La croissance du nombre d'inscrits au pèlerinage de Chartres s'explique par une ouverture libérale au monde et se paiera par une dégradation liturgique et par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l'ascèse d'un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. "Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année! C'est le grand retour de la Chrétienté!" exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et déplaceurs de pions sur carte d'état-major. Non pas. C'est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-Chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l'extérieur par le monde, très affadie de l'intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pélérinage traditionnel? Les JMJ.
Il suffit d'examiner ce que l'on voit. Le concret, la forme, le corps, ne mentent jamais. Par exemple la crétinisation de l'école se mesure beaucoup plus sûrement à l'effondrement vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires. Quand on décore du nom de professeur une dame extravertie en surpoids habillée n'importe comment c'est que tout est fichu et que plus rien ne signifie rien. En matière de pèlerinage de Chartres, la Forme, avec le temps, depuis le temps (40 ans!) devrait se diriger vers davantage de Tradition chaque année, davantage de savoir-faire, davantage d'affermissement sur ses bases... mais elle va vers moins de Tradition, moins d'énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l'on voit. Qu'est-ce que l'on voit? Eh bien, un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières en combishort Coachella qui vont au pélé "chez mémé" occuper leur place numérotée, répandre des ordures que les vieux messieurs ramasseront. Des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, inconscients de l'heure qu'il  est. Un peuple inmariable.
La Tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa Culture, au niveau d'un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n'ira plus à l'église.
Chers rêveurs vous vivez selon des usages valables en temps de paix alors que nous sommes en temps d'invasion aggravée, de colonisation, de crise, de persécution, d'extermination. Assez d'analyse dépassionnée "avec du recul", et de cette intelligence de resquilleur "plus intelligent que cela", de ce vocabulaire de statisticien de l'OCDE. En matière de tradition, les standards de la vie pratique sont le vrai "sens du sacré", la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable: le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la musique, l'usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d'une Forme aux soubassements plus profonds, invisibles, et sacrés. Abaissez vos standards culturels: vous profanez votre Religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa Culture fuit dans l'abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les dernières frontières qui le protègent de l'égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
"Chacun fait ce qu'il veut" signifie chacun pour soi signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu'il veut est un slogan de gauche produit par l'oligarchie de l'extrême-droite financière anti-Blanc, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles: "Diviser pour régner" et "L'ordre par le chaos".
Qu'est ce qui a perdu les Arabes? Le sucre. Qu'est-ce qui a perdu les Blancs? Le fun.
Tumblr media Tumblr media
Ce pèlerinage qui devait être le cœur battant impénétrable d'une micro-Chrétienté s'étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle "très ouvert et détendu" de tous les dégazages de fonds de cuve du monde, nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
L'Eglise est une Hiératique c'est à dire un Ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l'expérience c'est à dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux, naissance, mariage, mort, et jusqu'aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pourquoi faire? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l'autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler.
"La Paix c'est la tranquillité de l'ordre" et qui méprise cette antique maxime se condamne lui-même au bordel,  au dérisoire, au "fun", à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en "Nicolas, 30 ans".
Tumblr media
L'Eglise est une armée spirituelle qui dit aux soldats des deux sexes ce qu'ils doivent manger, comment ils doivent s'habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. Cette armée n'enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l'Eglise ne nous poursuit pas de ses oukazes, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu'elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d'autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d'échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Parler peu et bien, porter le voile à l'église, la jupe longue en société, ne pas baffrer, ne pas comérer, ne pas exiger... sont le strict minimum auquel peut souscrire celle qui se dit chrétienne en période d'invasion aggravée et d'apologie de toutes les déviations. La modestie chrétienne du vêtement surtout, est la marque distinctive de la Vraie Foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d'une "mise hors-monde" de la Chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir soi-même et pour propager l'influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leur cul.
La maladie dont nous crevons c'est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d'immigration. Le point nodal de tous les remèdes c'est la génération endogame séparée du monde c'est-à-dire la sainteté, étymologiquement la "séparation",  considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l'autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C'est ainsi que vivaient les terroirs français. C'est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères Pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-américains, et tant d'autres Formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l'on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale c'est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti-pris d'existence grégaire, par une Forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un Esprit de cette Forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd'hui un millier de Blancs d'Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l'enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d'invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. "Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père". Il y a assez de place dans l'Eglise pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m'arrête à son seuil tel Moïse devant la Terre Promise), selon des principes très bien décrits par Julien Langella dans "Catholique identitaire", et qui s'appuient sur l'exégèse biblique et l'apologétique. Et pour tout avouer bien nettement, non seulement la Religion est le seul moyen de peuplement bio qu'ont les Blancs hors du fascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l'irréligion. En cas de doute on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l'a fait Patrick Buisson depuis 10 ans, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les vrais Francais était précédée d'apostasies, alors que la prodigalité ne s'est observée que dans les temps et les régions d'enthousiasme et d'assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
Tumblr media
Dans un monde binaire "la pute ou la voilée", la Troisième Voie se mérite par une ascèse c'est à dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà le vrai test minimal, le vrai "respect de la Messe", le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d'hèsychaste, l'imagine t-on en pantalon et tee-shirt ? Ou oisif ? Ou obèse ? La Religion est un hiératisme qui ordonne les aspects matériels de notre être social. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L'entraide. Ce sont là les bases de la Chrétienté, et pas du tout les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n'y a pas de "catholicisme traditionnel" possible en sweat capuche ni combishort, nulle part, jamais. Car s'il en va ainsi des tratras, qu'en sera-t-il des modernos ? Et des protestants? Et des athées ? Et des LGBT? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la "transition", par la décontraction graduelle des hommes à chaque génération. Loi de Volkoff: "Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard". L'abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit jusqu'au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. "Eux sont trop extrêmes, mais moi j'ai su rester mesuré, voyez".
Idem des théories sur la Civilisation. La seule Civilisation immédiatement identifiable c'est une rue heureuse, familiale, proprette. Expliquer autre chose c'est signer du charabia d'intellectuel payé au nombre de signes. La vérité la plus crue sur la cléricature à été écrite par Rebatet dans son livre Les Décombres, chapitre "La religion chrétienne". À savoir qu'en dehors de la stricte administration des sacrements et des rappels de doctrine les intellectuels clercs ou laïcs sont en matière politique, physique, sociologique, des "imbéciles pyramidaux" et cela se vérifie toutes les fois qu'on laisse à cette engeance la plus petite responsabilité concrète ne serait-ce qu'à l'échelle d'un village, même d'une assemblée de quatre individus. Eux sont les premiers à s'indigner et à raison, des divorces, de l'anarchie dans les familles, des enfants-rois, des pères éteints et des mères hurleuses, très bien. Mais toutes les fois où éprouvés par le hasard ils ont dû arbitrer un conflit c'est à dire à rendre Justice, ils ont systématiquement donné 1 partout balle au centre pour départager la dame fût-elle la plus exorbitante hystéro-concierge et le bonhomme fût-il le plus discret arrangeant ponctuel bosseur. Leur vrai Surmoi c'est le qu'en dira-t-on du Monde.
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à se délivrer, se dépouiller, se décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l'intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage c'est la vraie pratique religieuse beaucoup plus que la Retraite, que la Messe, c'est le vrai test religieux à qui l'on ne peut mentir. D'abord les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d'entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Exit les bouches inutiles, les dondons, les "dames très gentilles". Les vieux minces eux marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non-alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes l'idée qu'une vie est encore possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long-terme.
À ces jeunes je parlerais ainsi. Tu peux marcher? Tu ne veux pas marcher? Ne parle plus religion. (Tu parles politique ? Tu n'as pas lu 3 fois BPM? Ne parle plus politique). Mais je leur dirais aussi de se méfier des chefs catholiques, des "lanceurs", des officiers, des dames patronesses et des sermons abstraits. Ils ne trouveront pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé "exagérée" la pudeur islamique féminine alors que c'est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l'Eglise, justement exactement le seul. La doctrine non-sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
Tumblr media
La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l'amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n'ont plus cours en période d'invasion migratoire aiguillée par la double pompe aspirante de la thune blanche "redistribuée" et de la fesse blanche pornographique. En période d'invasion la "charia blanche" est le plus petit acte de légitime défense d'un peuple colonisé, et le premier article de cette loi est la modestie du vêtement, en somme l'uniforme obligatoire. S'entendre dire comment s'habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale surtout en France pays du quant-à-soi. Mais le quant-à-soi avait une condition: la crainte commune de Dieu, ceci tranquillement, comme l'on craint un père, sans transport mystique. Le mépris de Dieu à donné oppression athée qui a donné invasion qui a donné prédation sur les jeunes filles selon la race et le vêtement. Ceux qui ne comprennent pas cela, ceux qui n'en n'ont pas fait l'amère expérience n'ont aucune légitimité à diriger les Blancs: ils ne les aiment pas assez, ils n'ont pas assez peur pour eux, ne se creusent pas assez là tête pour eux. Ces faux chefs ont 40 années de retard à l'allumage. "Sacrebleu on voudrait nous empêcher en France de laisser nos filles sortir vêtues en miel à mouches? De qui se moque-t-on?". Le lendemain matin Françaises violées, Français tués, Peuple métissé, stérilisé, garçons français privés de leurs alter-égales (c'est la liberté!). Ils ne comprennent pas ces désastreux types la notion de réduction de voilure, qu'ils doivent au contraire ordonner une diète de peau visible pour affamer les sangsues qui ne vivent que dessus, qu'en ces temps d'hypertrophie du désir la satiété, le dodu, le facile, le "super-salope", le loisir, le vantardisme, sont des malencontreux focs oubliés qui font prise au vent dans une tempête, des monnaies qui n'ont plus cours cause de dette que nul ne peut rembourser. Ce sont ces jetons de casino qui ont excité l'appât du gain chez les vils prédateurs qui sont là aujourd'hui, qui ne veulent plus partir, le fameux "on est là, on vous baise" de l'homme du ressentiment qui, privé de capacité productive par ses facultés intellectuelles rudimentaires n'a que sa capacité de nuisance à exercer sur le pays sans défense, lui le sicaire qui s'ignore choyé par la pire bourgeoisie anti-Blanc jamais parue en Civilisation (cf Céline) qui lui a toujours enseigné la haine de la France, la prédation sur les Blancs, le faux roman national ("on est venu reconstruire bla bla bla, tirailleurs chair à canon bla bla bla, occident riche du pillage etc"), roman exactement inverse de la vérité historique des faits. Face à ces 2 fronts quel recours avons-nous ? Nos chefs cathos école De Villiers?
Puisque leurs enfants, jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour Ceux, daté de 2003, "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain". Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l'Etre Collectif gît dans les hurlements de ces aborigènes (notion de sagesse des primitifs qui "rase de plus près la lisière de l'idéal" selon Baudelaire) que dans n'importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique. "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain" est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Blanc envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l'Etre Collectif, le sens de la Génération, le sens de l'honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d'avec d'éventuels actes de prédation, il recèle enfin une prévention et un avertissement aux "consentantes" putes qui entendent se vendre aux prédateurs, et une prévention et un avertissement aux violeurs.
Vous êtes un vrai Français? Vous ne pouvez pas vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez pas parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement d'un seul millimètre, sans quoi c'est la descente entièrement au Primitif ontologique pour n'en plus jamais remonter. En temps d'invasion vous ne pouvez pas "faire la fête", on ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les hilotes devant les Spartiates, consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques, encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d'avoir bouffé, toute l'année, toute la vie, et le salaire de toutes ces gaudrioles stupides c'est la honte, le déclassement, la mort, l'oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l'école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de minifoot qui ont défiguré l'équipe de "France" en cette chose honteuse qu'elle est devenue, l'invasion et tous les déshonneurs ordinaires apportés par un désastreux rapport au féminin, sont des plaies qui cautérisent très vite à condition d'une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de Culture c'est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d'engueuler les plus lâches que soi, d'engueuler tous ces chefs de palabre, montreuses de cul, prélats grotesques, ces infectieuses Karen dames pachydermes. Aucune pitié pour se mettre tous contre eux: plus ils seront évincés vite plus la jeunesse chrétienne sera saine et sainte, la jeunesse blanche immaculée et surtout immaculable.
Les brebis perdues ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n'ont d'horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l'alcool, le porno, le paiement de rançon au colonisateur, le chômage, la philosophie de l'absurde, la Magalax, le "French Dream". Evidemment qu'ils se demandent pourquoi ils sont venus au monde! Messieurs les clercs expédiez votre messe en 1 heure tôt le matin puis consacrez votre temps aux brebis perdues. Vous devez regonfler, convertir tous ces Blancs, c'est cela votre mission, ce sont eux les brebis perdues qui ont priorité sur les autres et certainement pas vos chronophages bigotes et autres quémandeurs plaintifs. Ce sont les mariages futurs et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d'explication ramènent toujours au point de départ: dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en "dîme de la menthe" dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l'Etre Collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s'exercer votre zèle c'est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c'est tout. Le reste est absolument accessoire. Par surjons de micro-Chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s'étende en familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d'entraide, par cliquets sur le monde stérilisé de l'athéisme stupide. Et combien d'entre vous se font encore plus stupides que les athées ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières, ils se repassent des histoires d'anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias "par truchement de", leurs organigrammes sont vérolés d'impotentes en surpoids "fée du logis" qui commandent à des adolescents, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés? Mais s'ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la Tradition qu'ils prêchent et l'énormité très libérale de leurs gaffes alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d'anarchie "libérale"?
Un désastreux sens Esthétique donne d'avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d'ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu: des putains d'épouvantails repoussants. Pour tous ces rabâcheurs d'abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l'esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux! Enfin un idéal féminin désastreux ne l'oublions pas. D'où ces gâchis, ces potentiels sous cloche, ces jeunes filles tournées vieilles filles, ces sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D'où cette méconnaissance entretenue d'une féminité réconciliée, une féminité Troisième Voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine. Mais je ne puis regarder sans honte les filles de chez moi. Le style "aprêté"? Le frêle, l'engoncé de l'assistance des mariages, où la toilette des jeunes femmes acquiert la distinction d'une londonienne de Croydon du samedi soir. Mais telles mères, telles filles...
Le sens Esthétique, le sens de l'ingénierie sociale, le sens de l'honneur, le sens de la virilité, le tact, la Conscience de Soi, tout cela c'est tout un comme l'unicité de Dieu, or vous n'avez aucun d'entre ces prémices. Désastreux déshonorant gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d'une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre que faites vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous effondrez en deux secondes la prise qui repart liquide dans le monde. Le pélérinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade. Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversion massive à partir d'un seul converti, de repeuplement à partir d'un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits: "Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j'ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j'ai tout mon temps pour cela".
Chers camarades vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards... grand bien vous fasse. Ces expansions de l'être donnent prise aux toxiques, elles excitent les prédateurs qui se voient alors vos égaux, allument l'envie pendant que vos instincts détrempés se relâchent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l'avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se resserre: sobriété, gravité, discrétion, redoublement de Charité interne envers ses frères, redoublement de l'euphémistique vertu de Prudence envers les étrangers. D'où le soin à apporter dans le rangement, la netteté,  la première impression, le vêtement, dans ces choses nous entourent à tout moment au point que nous les oublions.
Tant de lâches à engueuler, tant de dictature à secouer... Dictature des bourgeois-bordel sur une Eglise armée mexicaine quand il faudrait des ouvriers et techniciens, un prolétariat français blanc chrétien qui maîtrise les métiers d'indépendant productif, sur le modèle école de la Martinerie. Le prolétaire, étymologiquement, c'est l'homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu'est-ce qui a perdu le Liban? La Syrie chrétienne ? C'est la vie bourgeoise, le mesquin principe du "pas trop d'enfants", la radinerie du "pas de premier enfant avant 30 ans". En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l'ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d'un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. "Quoi? Tu n'as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu te marieras jamais". Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par embourgeoisement. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, se sont enrichis, sont allés de mieux en mieux. Chez eux c'est rangé, ils prient, ils chantent, ils lisent, ils s'entraînent, ils s'entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable: la bagatelle, le restaurant, le voyage: en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s'amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d'en prendre un pour deux et de se serrer ensemble dessous.
Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
Voulez-vous éduquer les adolescents ?  "L'éducation des jeunes européens en milieu multiculturel violent" de Laurent Ozon, tout est dedans, en quatre pages. À l'opposé, les désolantes dondons éducatives avec leur furie de vengeance inassouvie, avec leur stupéfiante muflerie de poissonnière hurleuse n'ont pas leur pareil pour démolir à vie les jeunes filles et les jeunes garçons de bonne race qui leur sont confiés. Quelques années scolaires de leur régime et vous obtenez ces petits adolescents procéduriers trouillards qui ne savent ni qui ils sont ni ce qu'ils doivent faire dans leur propre pays où ils sont ultra-minoritaires, ces maussades jeunes filles gâtées qui apostasieront à la première contrariété. Ils et elles n'auront connu de l'éducation religieuse qu'une mise en conformité toute scolaire avec une série d'exigences sous la pression de "maîtresses" catastrophiques. L'éducation religieuse, la vraie, dure toute la vie, elle stipule entre autres choses que les dames ne sont pas qualifiées pour l'enseigner et que nul ne doit se faire appeler "maître", l'Evangile le rappelle en toutes lettres, c'est dire combien sont légitimes les configurations actuelles.
Tumblr media
Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?"
Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament  personnel de l'enfant avec la Tradition: la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille?
L'école privée tratra c'est comme le pèlerinage de Chartres : ça s'aligne sur les exigences des nouveaux entrants qui veulent profiter d'une Tradition toute prête pour eux. Ainsi en est-il des paysans envahis par les néo-ruraux, de la France par les squatteurs, des Civilisés par les barbares. Le pèlerinage de Chartres est une mini-société sauvée des années 60 noyées sous le Déluge et qui est en train de recommencer les catastrophes des années 60.
Tumblr media
Nous sommes tellement pétris par Mammon que nous en avons oublié comme la Providence prend soin de nous. N'est-ce pas une chose très angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravité, sans religion, chercher la voie la plus propice à leur faire vite "engranger du fric" ?  Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Époque Formidable disait déjà tout. L'immense triche de "faire carrière",  de "viser les hauts salaires" lorsqu'elle est répétée par toute une classe d'âge va forcément démultiplier l'immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prétendre au titre de "cadre" pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-même le travail porte en germe la colonisation par importation massive de profiteurs qui vont bâcler le travail, écœurer les travailleurs du sol par bas salaire et bas travail. Un peuple? Un troupeau de cadres. Universités remplies "d'étudiants étrangers" aspirants cadres. Tous d'accord pour cette attitude quasi métaphysique : faire faire le travail par d'autres et s'enorgueillir de cela.
Le travailleur à son compte, autonome, ostréiculteur, plombier, carreleur, sont les vrais créateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutée. Et quelle misère leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc...
Le juste châtiment pour avoir prétendu par des études encadrer les autres c'est de devenir soi-même un précaire du tertiaire surdiplomé incapable, n'encadrant personne, et doublé dans la méchante compétition sociale par des ouvriers qualifiés bien payés dès leurs 25 ans.
Après le pèlerinage la marche s'arrête, on rentre chez soi et le culte devient statique. Bien. À peine aurez-vous fait un mouvement dans le sens de l'idéal chrétien que vous prendrez dans la gueule non pas les prédateurs extérieurs connus et déclarés de la Religion (eux se contentent de regarder et de ricaner) mais le phénomène interne très incongru des grosses dames tartuffes de paroisse, les aide-curé qui ont le doigt en l'air, les mères furieuses en surpoids et leurs maris chapons empressés, les cantinières à deux quintaux très fière du rata de midi, les empotées de la rue d'Ulm qui disent "maman" pour parler de leur mère alors que leur mère n'est pas dans la pièce. C'est l'énorme aberrant problème ecclésial de féminisation et la pire de toutes, une féminisation graisseuse, palabreuse, bordéleuse, impotente mais cramponnée à tous les aspects-clés : mise en relation, mondanités religieuses, éducation religieuse, carnets d'adresses, recommandation, validation, placement de table. Dans chacun de ces domaines c'est toujours quelque échappée de cure thermale qui commande, cela dans une jouissance des commérages, des rapports et des "mises au point" d'une bassesse, d'une mesquinerie inimaginables.
Le relâchement des standards produit la mère intrusive, la mère intrusive produit des efféminés passifs et des virils retirés du jeu. Défaillance fatale dans un monde tout tourné vers "celui qui sait s'affirmer", arrêt de mort de la génération. Ce que l'on a pu nous tourmenter par le concept d'homme du ressentiment ! Comme quoi nous serions "dans la haine", que le sous-homme s'agiterait peut-être en nous. Fabuleux cadenas de fermeture de gueule pour esclave à basse estime de soi inhibé par philosophie du soupçon.
Tumblr media
Si ces esclaves veulent respirer à nouveau je leur dirais d'être impitoyables envers la dame du ressentiment. Ces corps débilisés assurés de leur place dans un bureau pour leur débilité même et tyrans absolus, ces impotentes en surpoids mais qui rebouffent encore, ces enfoncées dans le mur qui refusent de se réformer, ces difformités exemptées de sport par "dispense très exceptionnelle"... n'ont pas à souiller même une seule seconde la vie de la jeunesse chrétienne.
Nulle religion, nulle tradition n'est possible, n'est imaginable qui ne commence par châtier sans pitié tous ces quinquagénaires gynecées crasseux graisseux grotesques, qui ne commence par chasser loin très loin ces dangereux Majin-Bou à ventouse chercheuse, à bien rosser, à bien fouetter les prétentions de ces limaces métaphysiques rampant sur nos mansuétudes en période de chômage aggravé, à bien rabattre le sale caquet preneur de confiance de ces très coûteuses hurleuses bouches inutiles dévoreuses de fric, rumineuses de seume recraché en discordes inextinguibles sur braves gens qui ne remontent jamais la chronologie des événements. Pour retrouver la vie religieuse joviale et simple quel strigile sera assez précis pour racler les suints huileux exsudés des pores de ces oisives batraciennes sudoripares épuisées d'agiter leur éventail? Quel grattoir, quel papier de verre, quelle paille de fer sera assez rêche pour poncer jusqu'à l'arasement les dépôts moussus de ces personnifications de marécage putréfié en crue? Quelle juste proportion de vinaigre et de soude produira la réaction chimique assez effervescente pour détartrer cet ignoble enduit, pour lisser ce crépi de studio marseillais hérissé sur des fresques de Giotto ? Pour quelle granulométrie de quelle pierre ponce râpeuse, pour quel degré de rugosité abrasive faudra-t-il opter lors du grand décapage qui nettoiera une fois pour toutes l'épandage solidifié des lisiers de porcherie projetés par ces truies hurleuses bonnes qu'à saccager, qu'à baffrer, qu'à digérer des passe-droits exceptionnels, vautrées dans leurs purin de certitudes? Quel rinçage final, quelle purgation, quelle cure de lavement par eau de Vichy multipliée par Sainte-Yorre chasseresse d'impuretés saura déboucher l'occlusion, détacher ces mollusques fossilisés sur parois hospitalières, histoire que l'on chie ces corps étrangers pêle-mêle aux ordures pour de bon, que l'on tire enfin la chasse, que l'on se relève finalement soulagés d'une tonne, leur tonne, et que l'on passe à autre chose?
Quand il cherchent les coupables, les dignitaires de la très compétente hiérarchie catholique remonte toujours à Adam jamais à Eve, ils voient Borgia jamais Syna. Puis quand ils comprennent tout de même que c'est de ce côté là que le mal est entré dans le monde ils se rétractent apeurés: "Tout compte fait ne cherchons point de coupable! Le mal est fait? Tant pis! Désormais il nous faut aller de l'avant!", entendez en avant vers l'Afrique, le gynécée et le wesh Versaillais.
"C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents." (Bernanos)
Le monde claque des dents? S'il y a beaucoup plus de trans***** dans le monde c'est à cause du mélange des garçons et des filles dans les églises chrétiennes. Et des reprotoxiques ! Mais la mixité est un reprotoxique social, un perturbateur, un inhibiteur, un empoisonneur autant redoutable que le plastique alimentaire. Le monde claque des dents? Le monde est irrespirable à proportion des baissages de froc de tous ces sels de la terre affadis.
Quelques remarques supplémentaires...
Il y a un péché de connerie et d'accumulation de menues conneries, un péché d'acceptation non sue d'états de fait vendus pour indépassables et achetés comme tels. Comme on meurt d'asphyxie indolore au monoxide de carbone on peut périr de brol, de graisse, de bavardage, de bibelots, de saccade, de heurts, de concession.
Et toujours se rappeler de se méfier énormément des "importantes". Plus elles vous voient mince et rapide plus vous détestent. Vous êtes sans vous en douter outrecuidant pour ces sacs à ressentiment. Elles ne peuvent avaler le reproche que vous leur faîtes à votre insu, ni le digérer, ni rien digérer d'ailleurs d'où leurs rumination de coups bas, leurs commérages gastro-oeusophagiens par renvois acides, et leurs excédents inévacués qui les contraignent à se porter elle-même deux fois en soufflant comme des vaches méthanières.
Aller à la messe nous est souvent pénible, nous n'aimons pas cela, nous y allons par devoir, pour "rendre nos respects" au Maître de nos vies chaque semaine. Ces statues sont désespérantes, ce carrelage noirâtre est désespérant, ce marron mobilier 19e siècle est désespérant, ce sont là des choses acquises, très bien. Complaisance dans la médiocrité, dictature des gougnafiers sur les esthètes, chants démusclés dans les aiguës, accompagnements bâclés, neurasthénie flottante, tout cela est connu, très bien. Pourtant il faut accepter cet agenda, cet ordo, et il portera des fruits.
Tumblr media
Mais en des temps de dénatalité publique la seule grande épreuve en matière religieuse, et tous les débats "République contre islam" l'ont assez montré depuis les années Dantec chez Ardisson, c'est la place de la femme, la tenue de la femme, les droits de la femme. Tous nos divorcés, ruinés, cocufiés, porteurs de matrones, réceptacles à hurlements, encaisseurs d'affronts, épongeurs de dettes... ne savent se cabrer vraiment que sur un point (eux si doués pour transiger), ne savent récriminer contre Ismaël que sur un point, et c'est? C'est la place de la femme, ah ah! Le Tradi est accroché à l'ominipotence de sa cantinière "chrétienne" de 500 kilos en legging pérorant ses exigences, il y tient comme à la Messe, beaucoup plus qu'à la Messe, pour lui la société chrétienne ne peut être qu'un gynecée de bavasseuses dans un décor d'anges en bibelots et de fleurs en plastique, grignotant des biscuits sucrés avec le chauffage à fond et la buée sur les vitres parce que Madame Lebrouneux a froid vous comprenez, il ne conçoit pas de manifestation plus aboutie de la Chrétienté triomphante.
Mais que veulent au juste tous ces pachydermes à prier Marie? Qu'y a-t-il entre elles et elle? Puisqu'elle était mince, et pudique, et taiseuse, pourquoi invoquent-elles Dieu par son intercession ? Si elle est leur modèle que ne modèlent-elles pas leur silhouette, vêtement, langage, sur l'exemple sont elles se réclament?
Pour rappel voici comment le Christ notre modèle à imiter s'adresse aux dames lorsque celles-ci prétendent s'impatroner dans sa vie: "Qu'y a-t-il entre toi et moi?", "Va-t-en et ne pêche plus", "Ne me touche pas". 
Vous transigez sur la primauté des hommes en Religion, vous transigerez sur tout par répercussion, par dominos psychologiques. Toutes les réalités visibles sont appuyées les unes sur les autres dans un monde invisible. Tout le monde comprend très bien les avertissements des légendes: Hélène de Sparte, les Sabines. Mais très peu assument d'agir en conséquence d'où certains ennuis hélas connus.
Il est très normal que la question cruciale soit "la femme" en des temps d'apostasie et de stérilité massive puisque la religion est une ingénierie sociale de perpétuation d'un peuple et la femme la garante de la prodigalité du peuple, de l'honneur du peuple, de la stabilité du peuple. Est-ce vraiment trop espérer pour nos jeunes: la jeune fille européenne à marier, chrétienne, bien élevée, bien habillée, et c'est tout.
Dès lors qu'une religion admet que la femme religieuse puisse jacasser tête découverte en public, c'est que tout est fini. Quels que soient les prétendus "chiffres encourageants", ce sera une croissance par la honte. Une telle faute à un tel endroit en une telle époque, après tous les vivants avertissements reçus depuis mille ans, après tous les traités de sagesse connus qui ont tant insisté sur ce point... est une transgression qui engage l'intégrité même des souches raciales du peuple emmené dans le ravin par mauvais bergers.
La femme religieuse de 25 ans qui s'interroge sur sa foi avec des mots de vidéo tiktok pour exprimer sa "connection", comment "se rebooster sa foi"... n'a rien compris, n'a rien à faire dans un pèlerinage religieux traditionnel et ceux qui l'y tolèrent vendent à crédit ce pèlerinage au Monde avant de se faire racheter à bas prix et fiche dehors à leur tour.
Qu'est-ce donc que vos Tradies, si l'on enlève l'écriteau sous le tableau d'art abstrait, que reste-t-il comme résidu à sec après évaporation des mots d'explication? Probablement le pèlerinage 2023. Comment alors "répondre de l'espérance qui est en nous" face aux Mormons, aux Amish, aux témoins de Jéhovah, et même aux religions non-chrétiennes qui en matière de vêtement se tiennent cent fois mieux que nous? Tout ce chemin tradi pour se conformer finalement au degré d'élégance d'une présentatrice quinquagénaire de KTOtv, avec pour doctrine deux paragraphes de féminisme La Croix. Les dondons de paroisse, ces excellents épouvantails placés devant les baptistères pour en interdire l'accès aux convertis sérieux, si elles sont laissées en paix, égareront par leur seule présence les derniers désirs de conversion.
Tumblr media
Le combat spirituel consiste à se réformer soi-même chaque jour toute la vie.
Jamais ni l'orthodoxie, ni la synagogue ni la mosquée n'auraient toléré une minute d'un tel relâchement. La honte... la honte. J'ai honte. Quel spectacle à vous faire rentrer sous terre de honte que la sans-gêne dame graisseuse et sa version jeune la "tradi en short" donnée en pâture au monde. Si telle est la tradie que sera la moyenne? C'est déshonnorer la Vraie Foi, c'est se déshonnorer soi-même, c'est déshonnorer les hommes religieux à qui elles imposent leur présence. Zéro conscience de soi, zéro sens du groupe et ça prétend au titre de chrétienne. Cette honte absolue : lorsque les moines tonsurés du Barroux, ces saints hommes, sont forcés de côtoyer 3 jours durant cette pouillerie de gynecée en sueur beuglant des chansons de colo, et personne pour oser formuler une objection.
Personne ne vous oblige à venir dans un pèlerinage religieux traditionnel. Ceux qui vous y admettent sont les vrais salopards de l'affaire il est vrai. S'ils avaient un tout petit peu de courage face au monde ils se restreindraient sur un pèlerinage de 5000 personnes propres plutôt que de faire le trottoir pour un bordéleux cortège de 15000, et d'y trouver un motif de vantardise. C'est toujours le nombre et "l'ouverture" aux bas standards qui perd les causes nobles. Voulez-vous retrouver le fameux sens du sacré ? C'est simple. Parlez comme à l'entrée d'une église orthodoxe. "Pas de voile? Pas de jupe? Tu n'entres pas ici, c'est tout". Elles peuvent aller repeupler les Communauté Saint-Martin, Emmanuel, les diocèses qui en ont grand besoin autant qu'elles le veulent. Leur seule tenue démontre qu'elles n'ont rien à faire dans la Tradition.
Ces "chefs" tout remplis de textes sont les vrais salopards de l'affaire car ils laissent se propager la merde qu'ils promettent combattre alors qu'ils savent très bien comment la merde s'est propagée dans les années 60. Et eux les rescapés du déluge recommencent les années 60 par le menu! Tous admettent la notion théorique de "modestie du vêtement". Très peu sont capables de spécifier les critères concrets du vêtement modeste. Résultat, aucun n'est capable de faire respecter le port de cet habit même pour 60 minutes dans l'enceinte sacrée d'une église lors de l'office le plus saint de la semaine. Et ces gens-là seraient les dirigeants légitimes de milliers de jeunes chrétiens ?
Notre idéal esthétique ? Des corps minces, des visages graves, très au courant du tragique de la vie et de la condition de l'homme français en France, des personnes frugales sur lesquelles une hyène ne trouvera rien à manger, des vies sobres toutes de rusticité avec l'extérieur, toute de douceur avec l'intérieur.
Tout ce  trop connu foutoir de bourgeois-bordel "pas fixé sur le matériel" stérile et désastreux doit être démantelé intégralement avec ses pourvoyeurs.
Le voile, au moins à l'église, vous l'avez abandonné à "libre appréciation individuelle". Même séparer les hommes des femmes à l'église, ce tout petit signe vérifiable de respect du sacré qui permet à un adolescent de voir l'autel devant lui quand il prie et non le cul d'une dinde, cela aussi vous l’avez laissé gâcher dans le pêle-mêle foutoir "évolué" de vos goûts invertis.
Invertis et divertis où sont vos convertis ? "Allez d'abord aux brebis perdues de la maison" vous a-t-on dit, mais y êtes-vous allés? Celles-ci sont les Français de souche, athées, retournés, dégoûtés. Ce sont vers eux d'abord que doivent aller nos prières, nos mains tendues, nos efforts, et parmi eux-mêmes priorité aux gens de bonne volonté, aux hommes sains, aux femmes saines : beauté physique, vitalité, horreur de la vulgarité, compétence, ce sont ces fruits du bon sens qui nous peuvent rendre le Bien Commun par mariages, familles, enfants.
Le laisser-aller de la Forme traditionnelle prépare le laisser-entrer de l'informe. Voyez la mousse expansive comme elle opère : c'est cela l'image du laisser-aller, c'est une dilatation, un relâchement de la Forme dans l'espace et le temps. Maintenant imaginez qu'un champignon vienne véroler cette matière levée propice aux infections, qu'il l'investisse dedans, dehors, la rende spongieuse, liquéfiée, la fermente et s'en nourrisse jusqu'à la consommer entièrement. Vous avez le processus complet relâchement-invasion. La nature nous avertit assez en la personne des jeunes filles: ravissantes à dix-huit ans, combien sont méconnaissables dès leurs vingt-cinq ans passés ?
Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité? D'abord l'état d'esprit: zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations...
Si vous transigez sur la Forme peut-être garderez vous dans certains cas la Foi en vous-mêmes mais au-dehors de vous, l'exemple vivant que vous rendez portera témoignage contre votre Foi, abaissée à proportion de l'abaissement de vos standards. "Fi du regard des gens!" direz vous... Pardon ce n'est pas vous qui serez souillé mais l'honneur de la Foi que vous croyez représenter correctement. L'exemple catastrophique des matrones de paroisse et autres déjetés a six décennies d'éloquence derrière lui: ce ne sont pas eux-même qu'ils minent mais l'Etre Collectif et le rayonnement extérieur de l'Etre Collectif. Ils n'ont qu'à paraître pour repousser les indécis, fatiguer les candidats, inhiber les convertis, écœurer les braves gens, confirmer les infidèles, rassurer les athées, et comble de la catastrophe retourner les jeunes qui pourraient faire de belles familles chrétiennes pour les pousser dans la stérilité eux aussi, dans l'inversion, dans l'apologétique adverse etc.
La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme.
Dès lors l'Eglise se dépeuple, la démographie française baisse, l'invasion se répand. L'ascèse et la rusticité, le voile et le clanisme bref l'esprit de clôture sont les seuls rapports  au monde fructueux en temps d'invasion. Ceux qui ne comprennent pas cela se condamnent à dispersion, à dilatation de mousse expansive : après l'illusion de l'ivresse vient la dépression du réveil et de la casse à rembourser, des embrouilles à régler.
Sous le joug d'un pouvoir qui a confisqué exprès vos frontières c'est à vous de protéger votre clôture sociale: charité absolue en interne, prudence absolue en externe. Plus de frontières ? Clôture. En période de frontière sûre point besoin de clôture. Or les 20 millions de vrais Français qui restent dans le pays vivent dans leur majorité encore comme s'ils étaient protégés par une frontière, d'où leurs ennuis hélas : filles menacées ou "consentantes" (pire), pères déshonorés, garçons isolés, personnes âgées recluses, enfants maternés etc.
En matière de gestion de ses filles du sol avant mariage un pays envahi dispose de deux options: le couvent ou le bar à putes. La majorité des envahis trouve la seconde option plus conforme à leur sens de l'honneur, nous pas.
Il est tout à fait normal entre Blancs civilisés en France que les garçons et les filles du pays, enfants de la même race, physiquement frères et sœurs, se côtoient en temps de paix habillés selon la décence commune, et en toute sécurité se courtisent, se marient. Il en va tout autrement dès l'intrusion ne serait-ce que de dix éléments étrangers mus par la convoitise qui constatent avec étonnement leur impunité chez 20 millions de Français inoffensifs. C'est ici très précisément que la fameuse "pompe aspirante" entame ses premiers hoquets de succion. Elle va bientôt tourner à plein régime jusqu'à donner la tristement célèbre "invasion massive". Qui dit intrusion une fois dit intrusion mille fois par rameutage des frères, par répercussion en d'autres intrusions jusqu'à l'invasion massive avec prédation sur l'habitant. C'est pourquoi dès l'invasion commencée la technique de l'uniforme obligatoire est le minimal sursaut vitaliste.
Voilà le moment où les formes traditionnelles du mode de vie européen ont l'occasion de se muer en Intelligence Politique. La Forme de la vie quotidienne est un diaphragme qui peut s'ouvrir ou se rétracter. Quand la frontière tombe c'est la peau qui devient la frontière. D'où les meurtres, le métissage et les viols qui sont des formes d'invasion outrepassant la frontière de la peau. Or en cas d'invasion un patriote, un gardien de ses frères, l'esprit grégaire d'entraide, la Charité elle-même, commandent une rétractation, une prudence de la peau comme un factionnaire monte la garde d'une denrée chassée. Le voile n'est pas la tradition européenne (encore que!) mais refiler ses filles en pâture à des fils de pute n'est pas la tradition européenne non plus. Les européens libres devraient réévaluer où se place le sens de l'honneur en période d'invasion, pensée dialectique dont la plupart de nos identitaires n'ont pas la moindre idée or la France est de tous les pays civilisés celui qui subit chaque jour la plus vorace, la plus ravageuse, massive invasion. On ne vit pas envahi comme on vit souverain, cela tient de la plus élémentaire prudence. On ne s'habille pas pareil, on ne se déplace pas pareil.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1660 l'Europe catholique sombre dans le bibelot, l'angelot, le mobilier contre-réforme pendant que l'Amérique, sobre et vêtue de noir commence son essor. Que nous reste-t-il dans l'Eglise? La tonsure des moines du Barroux. Les Beaux chants dans les graves (Credo III, Gloria IX, Lauda Sion, Veni Sancte), la liturgie, l'étiquette, un restant d'ordre. Et pour l'avenir ? Le vêtement hiératique dont le scoutisme de notre jeunesse à fourni les standards intemporels nous aide à concevoir un vêtement laïc régi par les critères d'un uniforme.
Que notre vie soit un foutoir est un fait qui peut se réformer si nous nous appuyons sur une tradition stable, un ordonnancement harmonieux, la Crainte, la pureté génétique d'un peuple saint. Toutes choses dures et divines.
L'ismaëlisme est l'impression en creux des vices blancs: fanatisme contre neurasthénie, honneur par les femmes contre soumission par les femmes, cocufieur contre cocufié, prolifération contre stérilité, tranquillité contre anxiété, famille contre individu etc. L'ismaëlisme est un signe que personne ne veut lire. La réaction d'orgueil athée à l'ismaëlisme accentue les vices des Blancs : Eux pas d'alcool? Eh bah nous, alcoolisme, ah ah! Eux pas de porc? Eh bah nous, charcuterie industrielle nitritée, ah ah! Eux pas d'érotisme? Eh bah nous, filles ouvertes et pornographie, ah ah! Eux familles nombreuses? Eh bah nous stérilité, etc...
Revenons à nos chefs tratras. Ont-ils obtenu sur le plan de la diplomatie cléricale interne une seule victoire en 40 ans sur les modernos? Où sont les miracles promis? Où en est la "lame de fond", la reprise en main promise par les nouveaux contingents de "prêtres pour l'Eglise" des paroisses dépeuplées? Les pires saccageurs archéo-maçons ont tout détruit devant vous jour après jour et vous n'avez rien fait. Pas une seule fois vous n'avez organisé de rendez-vous surprise avec un "évêque" attendu en bas de son local ou seulement sa confrontation physique avec les fidèles écœurés, pour qu'il assume en pleine lumière. Toujours c'étaient ces "textes", ces "documents produits en réponse à", le détroussage par le prestige du baratin et des "procédures prévues" quand la conduite des brebis est une chose physique très concrète dans laquelle les points de droit canon ne servent qu'à occuper l'adversaire courbé sur des paperasses pendant qu'il se fait rafler tout le terrain, là devant lui, autour de lui. Le tratra docteur en droit canon était je m'en souviens tout enorgueilli d'être invité par l'histoire à se prononcer sur la validité de tel sous-synode, sur la teneur, sur la valeur hors-cathèdre de tel clin d'œil... Il était gras, et lent, il allait de plus en plus vers le gras et le lent, champion des bonnes manières à table, aux solennels dîners de très sérieux manieurs de dînette, il étonnait les convives grosses dames par sa vertu de patience, d'obéissance, il devait l'emporter c'était certain, au nom de l'avenir de l'intelligence, lui le très savant, très lent, très tratra prélat.
Ce tratra directeur d'école par exemple "ne voyait pas le problème" d'affubler son établissement d'une équipe pastorale entièrement africaine. En apparence Monsieur le Directeur restaurait hardiment l'enseignement chrétien exigeant, viril. En réalité la jeunesse européenne sous sa responsabilité apprenait donc en toute confiance à s'agenouiller devant des Noirs et à ouvrir la bouche, et monsieur le directeur n'y voyait nulle faute, ceci malgré 50 ans d'invasion, agression, colonisation, après 40 de métissage industriel sous propagande de guerre, après 30 ans de pornographie ciblée, après 30 ans de hagra sur les babtous, ceci en pleine affaire BLM, mais non aucun outrage ne pouvait éveiller de sursaut vitaliste chez ce membre sec de la confrérie des bûches.
Les jeunes filles se précipitent sur le voile à cause du néant catastrophique du "vêtement chretien". N'avez-vous pas compris, ne frequentez-vous donc jamais de filles pour déceler comme leur être est en demande inverse de ce que prescrit la propagande, en demande d'appartenance exclusive, de signes d'appartenance, d'un très simple code du vêtement, code de conduite du "savoir où aller" et que le libéral "fais comme tu veux" les précipite dans d'autres signes, d'autres appartenances? Négligences catastrophiques en période d'invasion, d'une massive invasion elle absolument conservatrice, fanatique, hiératique.
Ces bataillons qui ont gobé par consommation d'écran toutes les couleuvres vont venir affadir ce qui restait de pureté dans ce petit pèlerinage et brailler "chantent les sardines" sur des zones d'étalement urbain, entre les turbines à vent et les antennes. Il y a seulement 15 ans ces lieux étaient encore les "océans de blé qu'a décrit Charles Péguy, une Beauce pour laquelle ces ouvriers de la 25e heure n'ont aucune sensibilité. Ils ne savent pas, ils peuvent pas.
Le respect du culte mais le mépris du sacré. Habillés "venez comme vous êtes".
Le sens du combat c'est la continuité du peuple Français de souche. Il suppose l'honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencé lorsque les FDS ont rejeté ces protections de leur identité par esprit de répulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d'arriération orientale.
La putification tranquille n'est pas européenne mais anti-européenne et mise en place comme telle, c'est du miel attracteur de mouches, excitateur d'agressions, pour le pillage d'un peuple qui ne comprend rien parce qu'il persiste à vivre envahi aussi libéralement que lorsqu'il vivait libre.
Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisés, de la même race que les filles regardées, et sur un territoire libre.
Il y a davantage que l'honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire c'est l'honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l'honneur du Peuple c'est-à-dire la continuité incorrompue des générations du Peuple dans le temps.
"La paix c'est la tranquillité de l'ordre". La première condition de la minceur c'est la diète. La première condition de la paix c'est la juste hiérarchie. Dans la vraie tradition seuls quelques hommes ont la personnalité juridique, en général par mandat impératif sanctionné d'exil en cas de défaillance.
"La guerre spirituelle"! Propice trouvaille de nos comtesses de l'impossible qui ne tiennent pas la faim deux journées de suite. Et ce serait devant d'aussi grossiers mensonges vivants qu'il faudrait s'écraser ? Mais n'importe quelle Didia Clara, fille de patricien, vestale "païenne" vivait avec cent fois plus de vertu, de pudeur, de sens de l'honneur communautaire, de conscience de sa race que toutes les solennelles dondons de paroisse de France et d'Europe réunies.
Les jeunes Français chrétiens idéalistes, privés de leur alter-égale, se jettent dans le séminaire alors qu'il est beaucoup plus noble et sacrificiel par les temps qui courent de devenir père de famille de 12 enfants.
Et nous n'aimons pas la manière cléricale actuelle. Ce n'est pas la religiosité pépère du mythique abbé de Torcy, le réconfortant "ça va aller" du curé de campagne aguerri et taiseux très au courant de la condition humaine et notamment de la masculine. C'est l''estomac inquiet d'Ambricourt qui ne conçoit de pureté que par souffrance "rédemptrice" pendant que l'invasion décontractée se goberge sur ses scrupules, c'est le pathos efféminé, émotionnel des talas cocufiés, contractés, heurtés, remplis de bibelots. Insensibles aux notions de circulation fluide des ondes ils sont des aliénés de la Beauté, des étrangers aux choses de l'intuition. Ils font des sermons quand il faut faire des enfants.
Leurs prises de parole inopportunes tombent mal à propos, gaffes non sues de l'incongru faiblard "chef" qui ne sait pas gérer, qui veut gérer, qui veut être "respecté", l'homme efféminé. Amenuisé il a joué de sa faiblesse comme d'une dispense "à titre très exceptionnel" pour monter dans les grades puis une fois parvenu se conduit en tyran. Cela très analogue avec le modus operandi de certains envahisseurs, qui ne sont aujourd'hui forts que de notre pitié d'hier et se croient arrivés par eux-même. Ainsi du Trocadéro. Ainsi des terrains de foot.
Dernières choses. "Les Américains ceci, les Américains cela" disent-ils... l'Amérique ils n'y sont jamais allé. D'abord une seule paroisse américaine recèle dix fois plus de saints inconnus que tous nos crasseux palabreurs ceinture noire de casuistique. Et puis d'une manière éclatante, irréfutable, les catholiques américains sont les plus conséquents, les mieux éduqués, les mieux habillés, ils engendrent les familles les plus jolies, les plus proprettes, les plus capables de l'Eglise universelle. Cherchez-vous un modèle de société, une théologie du vêtement, une ingénierie sociale catholique qui ait connu quelques succès, une éducation du caractère qui sache former des Chrétiens forts et des Chrétiennes gracieuses ? Cherchez en Amérique, lieu des erreurs à éviter certes, mais aussi des exemples régénérants.
La religion est le véhicule d'un peuple à travers le temps. Un peuple a donc un intérêt à garder sa religion. Les vertus sont invisibles, les formes sont visibles, ensemble elles garantissent la solidité du véhicule à travers le temps. La religion relie la créature à son créateur et propose d'atteindre un idéal céleste par un idéal terrestre.
Les hommes peuvent bien se faire autant qu'ils le veulent des prédicateurs érudits, des exégètes, des docteurs, des "hommes de science", des savants, des frères prêcheurs... Les hommes peuvent s'agiter autant qu'ils le veulent, s'ils sont célibataires le véhicule n'avance pas. Seule l'union avec une femme permet au véhicule de traverser le temps, par la naissance des enfants. C'est cela qui a aiguillé certains théologiens vers une comparaison de la rencontre de l'homme et de Dieu avec la rencontre de la femme et de  l'homme: en somme l'Alliance c'est le mariage monogame et monothéiste, la femme lorsqu'elle est la bonne c'est Dieu puisqu'elle vous choisit, vous sauve, qu'elle connaît vos secrets, que vous travaillez pour elle, qu'elle vous juge, et que par la maternité elle vous ressuscite. 
Mais trêve d'hypothèses romantiques. En société multiculturelle, la "guerre des berceaux" est le vrai nom de la société, guerre dont l'issue repose sur l'ingénierie sociale que développe telle ou telle religion et l'on sait depuis les années 60 libanaises que la religion chrétienne entretient dans ce domaine une légèreté catastrophique : chasteté des hommes et liberté des femmes, indifférence dévorée par l'athéisme et le sunnisme, manipulée par le talmudisme, massacrée par la loge, la fécondité chrétienne parvenait bientôt à peine au renouvellement des générations. L'accès à la bourgeoisie qui suppose une prééminence de la carrière sur la famille achevait de tout détruire. 
Les enfants appartiennent aux seuls pères. Ils sont portés par les mères, confiés aux mères, parfois élevés en partie par elles mais n'appartiennent ni à l'Etat ni à la mère, ni aux tribunaux, ni aux franc-maçons, ils appartiennent aux pères seuls jusqu'à leur majorité.
Nous aimons au suprême la beauté physique, l'excellence de la créature comme indice de l'excellence du créateur, nous savons la reconnaître certes, certes. Mais cette beauté physique est pour nous c'est à dire que monsieur Durand épouse mademoiselle Dupuis, qu'il n'y a pas de "marché ouvert" au tout-venant, pas de rencontre laissée au hasard de prédations externes et de libéral haussement d'épaules alors que c'est le point le plus capital d'une vie dans la chaîne des vies dans le temps. Et pour que monsieur Durand épouse à 18 ans mademoiselle Dupuis et lui fasse 20 enfants nous ne reculons devant aucun moyen mais les prenons tous, surtout ceux qui font sursauter nos "cathos" tranquilles : zéro écran, vêture de mormon pour les filles et régime de spartiate pour les garçons, habitat modèle Orania et enseignement modèle Martinerie multiplié par internat de Sarlat 1920. Garde absolue du langage, cours de dialectique, de langues étrangères, de lutte et de boxe, d'athlétisme, de bricolage et d'esthétique fonctionnelle. Les enfants aiment énormément l'éducation exigeante mais pour cela il faut les débarrasser de leurs catastrophiques mères. Nos plus beaux souvenirs de vacances enfant? Le scoutisme loin de tout sur les routes et par les champs, en France.
Tumblr media
PS: Autre immense lacune de la cléricature en temps d'invasion: qu'est-ce que la race? Qu'est-ce que la race blanche surtout, et d'où vient-elle ? Le caractère récessif des gènes clairs est-il une théophanie des dogmes du péché originel et de l'immaculée conception? Quels sont les droits particuliers des Blancs notamment français au sein d'une Église qu'ils ont plus que largement contribué à bâtir ?
37 notes · View notes
marie-swriting · 1 year
Text
Vous Iriez Bien - TASM!Peter Parker
Tumblr media
Marvel Masterlist
Résumé : Tu passes un mauvais jour, heureusement ton petit ami sait quoi faire pour t'aider.
Warnings : neurodivergent!reader, crise de panique, pression scolaire, hurt/comfort, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
NDA : Ce one shot a été commandé par ma talentueuse meilleure amie @kaeinherworld ça a été un honneur pour moi de voir qu'elle voulait que je lui écrive un one shot donc, Kae, j'espère que tu l'aimeras autant que j'ai aimé ton one shot Stefan Salvatore que tu m'as écrit il y a des années (et contrairement à toi, je ne le supprimerai pas !) ❤️
Nombre de mots : 2.2k
Version anglaise
Prompt utilisé : "Person A is having a panic attack and they desperately try to hide it, but Person B sees right through them and knows the right thing to do to calm A down." (Personne A a une crise de panique et iel essaye désespérément de la cacher mais Personne B voit clair dans son jeu et sait la chose à faire pour calmer A) de cette prompt list faite par @creativepromptsforwriting
Chanson qui m'a inspiré : Love The Hell Out Of You par Lewis Capaldi
C’était trop. Si on t’avait demandé de définir cette journée, tu aurais répondu que c’était trop. Trop de stress. Trop de bruit. Trop de personnes. Trop de tout. 
Dès ton réveil, tu avais ressenti que cette journée ne serait pas la meilleure et les heures suivantes l’avaient confirmé. Ce jour-là était particulièrement éprouvant à la fac. La fin du semestre se rapprochait à grand pas et la pile de devoirs à rendre et de révisions à faire s'agrandissait au même rythme. Ta concentration et ta motivation avaient de plus en plus de mal à rester à tes côtés Tu n’avais qu’une hâte pouvoir profiter de tes vacances pour - enfin - souffler et t’isoler. 
En plus de la pression de la fac, tu n’avais pas pu voir Peter de toute la journée. Même si vous n’aviez pas les mêmes cours, vous trouviez toujours une solution pour vous retrouver pour manger le midi ou au moins une dizaine de minutes durant l’après-midi. Malheureusement, le vendredi était ta journée de cours la plus chargée, il vous était impossible de vous voir sur le campus, par conséquent, tu étais encore plus à cran. Certes, tu allais passer la nuit chez lui pour votre visionnage hebdomadaire de Star Trek, mais tu voulais être dans ses bras le plus vite possible.
Quand ton professeur finit son cours - non sans rajouter un énième devoir, tu rangeas tes affaires. Malgré la boule toujours présente dans ton ventre, tu pouvais enfin respirer un peu plus facilement. Cependant, tu attendais de poser les yeux sur ton petit ami pour prendre une vraie inspiration.
En arrivant chez toi, tes parents ne prirent pas le temps de te saluer ou de te demander comment s’était passé ta journée, ils se dépêchèrent de faire un commentaire désobligeant à propos de tes notes sans même savoir de quoi ils parlaient. Ton anxiété commençait à se transformer de plus en plus en frustration et tu fis tous les efforts du monde pour ne rien répliquer, tu tenais au peu de calme qu’il te restait encore. Sans leur lancer un regard, tu montas dans ta chambre et refermas la porte sans perdre une seconde avant de t’allonger sur ton lit. 
Tu avais encore une petite heure avant que Peter finisse son dernier cours. Tu en profitas pour te déconnecter de cette atmosphère anxiogène. Tes écouteurs à réduction de bruit dans tes oreilles, tu pris le livre sur ta table de chevet, Le Seigneur Des Anneaux - tu n’aurais su dire combien de fois tu l’avais lu. Ce qui était censé t’apporter du réconfort te frustra un peu plus. Ton esprit était trop surmené pour réussir à se concentrer sur ta lecture et le fait d’avoir été au contact d’autant de stimulis au fil de la journée n’arrangeait rien. Agacée, tu refermas ton livre dix minutes plus tard et attendis Peter avec impatience. 
Le soulagement pouvait se lire sur ton visage quand tu entendis Peter frapper à ta porte. Inconsciemment, tu jetas un coup d'œil par la fenêtre. Il n’était pas rare pour Peter de venir te voir avant ou après sa patrouille et comme il devait se faire discret, il te rejoignait en passant par ta fenêtre. 
Après avoir rangé tes écouteurs et ton livre dans ton sac, tu le pris en main et retrouvas Peter à l’entrée. Il t’embrassa pour la première fois depuis la nuit dernière. Le baiser était rapide tout en étant rempli d’amour. Il prit ton sac et le plaça sur son épaule pendant que tu te saisissais de sa main. Suite à ce contact, tes épaules se relâchèrent légèrement. 
Sur le chemin, Peter fit la discussion, te racontant sa journée. En temps normal, tu lui aurais répondu avec passion et n’aurais pas arrêté de lui raconter toutes les pensées qui traversaient ton esprit, mais la fatigue de la journée était plus forte alors tu restas silencieuse. Peter étant un petit ami bienveillant et te connaissant depuis l’enfance, il remarqua ton mutisme instantanément, mais ne commenta pas. En seulement un regard, il avait compris que ta journée avait été longue. Tout en continuant de parler, il prêta attention à tes gestes, se préparant à réagir si tu avais besoin de quelque chose.
Le chemin jusqu’à chez Peter ne t’avait jamais semblé aussi long. Tu t’étais retenue de soupirer de nombreuses fois dans le métro. 
Une fois chez lui, vous vous rendîtes dans la cuisine où vous saluâtes rapidement Tante May qui devait partir au travail. Quand vous fûtent seuls, Peter récupéra deux verres ainsi qu’une bouteille de soda alors que tu sortis du pop corn pour votre soirée. 
Dans sa chambre, Peter te donna un de ses tee shirts que tu mis rapidement, voulant sentir son parfum sur toi. Son tee-shirt ressemblait plus à une robe mais cela ne te dérangeait pas. Peter enfila également une tenue plus confortable. 
Une fois allongés sur le lit de Peter, tu te mis sur ton côté gauche, la tête posée sur le torse de ton petit ami pendant que l’ordinateur était sur ses jambes et le bol de pop corn entre vous deux. Lors des premières minutes de Star Trek Into Darkness, tu arrivas à te concentrer puis tu repensas à la fac malgré toi. 
La pensée avait à peine effleuré ton esprit mais ça avait été suffisant pour te distraire. Mentalement, tu faisais la liste de tout ce qu’il te restait à faire. Plus tu réfléchissais et plus tu prenais conscience que tu avais encore beaucoup de travail. En sentant tes mains commencer à trembler, tu compris que la crise de panique n’était pas loin. Tu essayas de prendre de profondes inspirations discrètement, espérant ne pas attirer l’attention de Peter - ses sens décuplés pouvaient te trahir à n’importe quel moment. Quand ton cœur se mit à battre à toute vitesse, tu sus que c’était peine perdue. Dissimulant ta respiration saccadée du mieux que tu pouvais, tu tentas de sortir du lit normalement, les larmes aux yeux. Tu n’eus pas le temps de bouger une jambe que Peter était déjà tourné vers toi, les sens en alerte. Il posa l’ordinateur et le bol de pop corn sans ménagement sur le sol et t’invita à t’asseoir comme il faut. Tu portas la main sur ta poitrine, la douleur devenant plus forte et au même moment, tes larmes commencèrent à couler sur tes joues. 
Peter te regardait sans te toucher, craignant d’aggraver la situation - il savait que tu n’étais pas fan du contact physique alors il faisait toujours attention à respecter ton espace personnel, surtout dans ce genre de situation. Rapidement, il cacha son affolement, tu avais besoin de le voir calme. 
-Hey, ça va aller, t’assura Peter. Est-ce que je peux prendre ta main pour la poser sur mon cœur ?
Tu hochas la tête avec difficulté pour répondre. Délicatement, il prit la main qui était sur ta cuisse dans la sienne. Son emprise sur ta main était légère, te laissant ainsi la liberté de la retirer si tu changeais d’avis. Il posa ta main sur son cœur et il te fit un regard rassurant avant de rajouter : 
-Très bien. On va respirer ensemble lentement. Tout va bien. Ça va aller, Y/N, répéta-t-il. Tu es en sécurité. Prends une profonde inspiration par le nez et expire par la bouche, invita Peter en le faisant avec toi. Regarde nos mains sur ma poitrine. 
À sa phrase, tu fis ce qu’il dit. En continuant de regarder le point fixe, tu pouvais sentir le cœur de Peter battre calmement à travers ta main, t’aidant ainsi à te sentir plus protégée. Tu respirais encore avec difficulté mais au bout de la cinquième inspiration, ton cœur ainsi que tes larmes commencèrent à se calmer.
-Tout va bien. Tu vas bien, murmura Peter.
Quelques minutes plus tard et grâce à l’aide de Peter, tu arrivas enfin à retrouver une respiration normale. Il arrêta de parler, t’autorisant à reprendre tes esprits à ton rythme. Tu gardas les yeux sur vos mains pendant quelques secondes de plus, appréciant le calme. Les yeux de Peter ne te quittèrent pas, faisant attention à ce que la crise ne reprenne pas. 
Quand tu te ressaisis, tu arrêtas de fixer vos mains pendant qu’un sentiment d’embarras t’envahit. Tu évitas le regard de Peter tout en essuyant tes joues mouillées avec ta main libre. Ce n’était pas la première fois que Peter était témoin d’une de tes crises de panique, mais tu n’aimais pas être autant vulnérable devant lui. Tu retiras ta main de son torse et commenças à jouer avec tes doigts. Tu n’osais pas briser le silence en premier et Peter l’avait bien compris. 
-Tu veux qu’on en parle ? 
-Il y a pas grand chose à dire, déclaras-tu avec une voix légèrement plus grave à cause de la fatigue. 
-Ça ne t’était pas arrivé depuis un moment, remarqua Peter. 
-La fin du semestre aide pas vraiment à ne pas être anxieuse. 
-Il y a autre chose.
En entendant son affirmation, tu ne pouvais t’empêcher d’être légèrement agacée. Il te connaissait par cœur. Malgré tous tes efforts, tu ne pouvais rien lui cacher alors tu lâchas un soupir avant d’admettre à contrecœur : 
-Ce n’était juste pas vraiment mon jour. Ce n’est rien. Je vais bien, mentis-tu en te forçant à le regarder pendant une seconde. 
-Tu sais que tu peux tout me dire. Tu sais aussi que ça ne me dérange pas de t’écouter et de t’aider, te rappela-t-il tendrement. 
-Je sais.
-Je le pense, Y/N. Tu m’as toujours aidé, surtout après que je sois devenu Spiderman donc c’est normal que je te rende la pareille. 
-Je veux juste pas être un fardeau pour toi, avouas-tu avec difficulté.
-Tu ne l’es pas et tu ne le seras jamais. Je ferai tout pour toi. Tu m’as tellement aidé et aimé alors sache que je t’aimerai toujours autant. 
Ignorant quoi lui répondre, tu te penchas vers lui et posas tes lèvres sur les siennes. Vous vous embrassâtes avec lenteur, appréciant la présence de l’autre. Avec ce baiser, tu voulais partager tout ton amour et ta gratitude à Peter. Il savait quoi dire pour te faire te sentir mieux et tu savais qu’il était sincère dans chacun de ses mots. Tu savais qu’il le pensait quand il disait qu’il ferait tout pour toi. Peter t'aurait amené le paradis si c’était ce dont tu avais eu besoin. Il aurait pris toute ta douleur s’il avait pu et il t’aurait souri en le faisant. Il aurait fait tout ce qui était possible et impossible pour toi et tu en serais à jamais reconnaissante. 
Peter te laissa prendre le contrôle du baiser, te permettant de retirer tes lèvres quand tu le souhaitais. Quand tu le fis, tu regardas Peter avec tendresse alors qu’il te faisait un sourire avec la même douceur.  
-On peut en parler plus tard, si tu préfères, te dit-il, sachant que tu avais besoin du temps. Tu as besoin de quelque chose ? 
-Je veux bien que tu me passes mes écouteurs et qu’on reste allongés pendant un petit moment, répondis-tu lentement.
Peter récupéra ce que tu voulais dans ton sac et te tendit les écouteurs. Tu les plaças dans tes oreilles, le silence te réconfortant un peu plus alors que Peter se réinstallait dans le lit. Tu ne te collas pas complètement à ton petit ami, ayant besoin d’un peu d’espace, mais tu te saisis de sa main droite et jouas avec ses doigts. Tu lâchas un grand soupir alors que Peter te regardait faire, toujours sur le qui-vive au cas où. 
Vous restâtes dans cette position jusqu’à ce que le soleil se soit couché. À un moment, tu fermas même les yeux sans dormir. Quand tu te sentis enfin un peu mieux, tu retiras tes écouteurs et ouvrir les yeux. Peter te fit un léger sourire auquel tu répondis avant de prendre la parole : 
-Tu veux un thé ? J’ai tout pour ton thé préféré.
-Qu’est-ce que j’ai fait pour te mériter ? demandas-tu rhétoriquement, ton sourire grandissant et en le regardant les yeux remplis d’amour. 
-Tu as frappé Josh Stewart quand on avait six ans car il avait jeté mes affaires au sol, répondit-il, te faisant lâcher un rire, le souvenir de votre première rencontre en tête. Alors, un thé ?
-Je veux bien. 
-Je reviens tout de suite. 
Après t’avoir embrassé sur le front, Peter quitta sa chambre. Quelques minutes plus tard, Peter revint avec une tasse dans les mains. Il te la donna pendant que tu t’asseyas sur son lit, le dos contre le mur. Tu pris une grande gorgée, appréciant le goût du thé noir avec du citron vert, de l’orange et de l’épice. Tu gardas la tasse entre tes mains alors que Peter récupéra le livre dans ton sac. Il n’avait pas besoin de te demander pour savoir que tu en avais amené un avec toi, tu avais toujours un livre sur toi, peu importe la situation. Peter rigola légèrement en voyant que tu relisais Le Seigneur Des Anneaux. Il te rejoignit sur le lit, s’installant à tes côtés. Pendant qu’il ouvrit le roman, tu te blottis contre lui. Peter passa son bras droit autour de tes épaules, te rapprochant de lui. Tu bus une nouvelle gorgée et Peter reprit la lecture là où tu l’avais laissée. 
En écoutant Peter lire, tu ne pus t’empêcher de te sentir reconnaissante d’avoir Peter dans ta vie. Il savait parfaitement quoi faire et dire pour t’aider à aller mieux. Tu n’aurais pu imaginer un meilleur petit ami. Tu savais qu’il y aurait d’autres moments où tu n’irais pas bien comme ce jour-là, tout comme Peter aurait ses mauvais jours, mais tant que vous étiez ensemble, vous iriez bien.
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
22 notes · View notes
rayondelun3 · 10 months
Text
Chose étrange aujourd'hui : je regardais mes mails sur la messagerie universitaire (que je ne vérifie pas assez) car je devais également rédiger un mail. Je tombe sur un mail datant du 27 novembre et qui commence par «Salut». Je me demande «Quel genre de prof enverrai «Salut» ?» et j'ouvre le mail. C'est la fille que j'ai bloqué de partout qui m'écrit parce qu'elle croit que je la déteste, qu'elle voudrait qu'on parle calmement et des trucs insensés comme ça.
Sachant que cette fille, plusieurs fois, j'ai tenté de lui expliquer pourquoi elle me faisait me sentir mal et à part me dire que j'étais jalouse (de quoi ? Je l'ignore) et égoïste n'a jamais vraiment pris en compte ce que je ressentais et ça s'est mal terminé.
Je ne suis pas le genre de personne à laisser des chances, plus maintenant, et cette personne a trigger ma phobie sociale ainsi que ma phobie scolaire. Alors évidemment que je l'ai bloqué. Mais de là à carrément m'envoyer un mail sur la messagerie de l'université ? C'est osé et insensé.
On a rien à se dire donc je ne comprends pas sa démarche. Ça n'a vraiment pas de sens.
Je lui ai répondu poliment qu'elle pouvait venir me parler au détour d'un couloir ou en amphi mais que je n'avais rien à lui dire, que pour moi l'histoire était terminée et c'est tout.
Je ne comprends vraiment pas l'intérêt ? C'est juste pour se donner bonne conscience peut-être ?
Ça m'intrigue un peu, mais vraiment un peu. Parce qu'à partir du moment où une personne n'est pas capable de me respecter elle dégage. Je ne perds plus mon temps, mon énergie. J'ai mieux à faire que de me tracasser, de faire des crises d'angoisse, pour une personne qui se fout complètement de moi.
Alors on verra si elle ose me parler en «face à face» comme elle l'a écrit dans son mail. Mais je veux dire merde quoi : si je l'ai bloqué de partout c'est que justement, il n'y a plus rien à dire et que c'est mort.
Je ne vois pas pourquoi elle me fait ça à part pour son ego, ça, ça ne m'étonnerait pas. C'est le genre de personne qui veut être aimée de tout le monde. Pas moi.
Qu'on m'aime ou pas je m'en fiche tant qu'on m'aime ou qu'on ne m'aime pas pour qui je suis. Point à la ligne.
Affaire à suivre, peut-être.
5 notes · View notes
rallumons-les-etoiles · 11 months
Text
Mon parcours de vie : Partie 4
L'année est finie, mon redoublement acté et me voila passant le pire été de ma vie. Mes parents sont divorcés, j'habitais au maroc et mon père habitait en france, j'ai donc passé un mois chez mon père, cet été fut un enfer et au retour, j'ai commencé à avoir énormément envie de vomir, les traitements pour la nausée ne marchait pas, j'ai perdu en un été 15 kilos. Puis petit à petit je me suis rendu compte que les seuls moments ou je n'avais pas envie de vomir c'est quand j'étais à l'intérieur de chez moi. Dès que je sortais , qu'il y avait du monde , j'avais l'impression que j'allais vomir et j'ai ainsi développer une peur de vomir. La rentrée est arrivée, je suis de nouveau en classe de seconde et quelque chose se passe : je pleure pendant des heures sans savoir pourquoi ? et ca tous les jours ! Je n'arrive pas à rester en classe car dès qu'il y a du monde il y a cette envie de vomir et je courais imédiatement au toilette. J'ai été voir un gastro-entérologue et pour lui c'étais du à l'angoisse. Mon état se détériore. Un jour en cours, mon professeur principal ( je lui en serais à jamais reconnaissante ) m'a dit : tu ne sors pas de la classe, si tu as envie de vomir tu vomis dans ce sachet ( il savait ..), d'un coup, envie de vomir, je paniques et la : hyperventilation, tremblement, pleure, spasme . C'étais bien une crise d'angoisse ! je vais chez mon pédiatre et je fais un malaise. Le jour même j'ai été recu par une psychiatre ( ce fut la première d'une longue liste ), elle m'expliqua que j'étais en dépression, que je faisais de la phobie scolaire , de l'agoraphobie et que c'étais effectivement des crises d'angoisses. J'ai donc eu un traitement. Ce traitement m'a fait prendre du poids et les rumeurs ont commencés : elle est enceinte , regarde elle arrêtait pas d'avoir des nausées et maintenant elle grossit... J'ai commencé à énormement me scarifier au lycée. J'ai aussi commencé à fumer. Je croyais que je pouvais remplacer l'addiction à la mutilation par l'addiction à la cigarette. Raté..J'ai touché le gros lot ! En milieu d'année j'ai appris que j'allais quitter le maroc et déménager avec ma mère à Paris. J'étais heureuse car je pensais qu'en quittant un lieu , j'allais y laisser mes problèmes. Je dis aurevoir à ma psychiatre .Cette été la , j'arrête tous mes traitements, je perds 20 kilos et je suis admise à la rentrée dans un lycée privé dans le 16ème arrondissement de Paris en 1ère littéraire et la ... Aie.. : crise d'angoisse sur crise d'angoisse, pleure. Ma mère m'emmena voir un psychiatre dans un hopital connu à Paris, dès la première consultation, il décida de m'hospitaliser....
La suite au prochain post...
Tumblr media Tumblr media
3 notes · View notes
althazar · 2 years
Text
Olivier Gp ✨, [3/02/2023 à 15:19]
��Je suis enseignante dans l’enseignement secondaire, dans une école et dans un lieu dont je tairai le nom.
Je suis belge.
Notre Ecole compte à peu près 1000 élèves, et une petite centaine de professeurs.
Je témoigne aujourd’hui en étant complètement factuelle car il est urgent de briser le silence sur ce qui suit. 
Pendant la période du Covid « sans vaccination » , (donc jusque juin 2021), notre ecole n’a déploré aucun décès, ni aucune hospitalisation en son sein. 
Nous avons un panneau d’affichage pour nous informer quand un Élève subit un événement dramatique au sein de sa famille. Là, en effet, nous avons pu constater une légère augmentation de décès chez les grand-parents d’élève, et surtout des arrière-grands parents.
En septembre 2021, notre équipe de direction était fière d’annoncer que près de 98 % des profs et de la population scolaire étaient vaccinées.
Nous étions exactement 3 enseignants à ne pas l’être. Peut être plus, car en Belgique, nous pouvions refuser de divulguer notre carnet de vaccination. Ce que j’ai fait car la pression était alors à son comble, pesante et surtout extr culpabilisante, autant de la part des élèves que de celle des profs .
Après septembre 2021, le chaos a commencé. (Je ne donne que les données que j’ai pu observer)
Entre septembre 2021 et aujourd’hui, 3 février 2023. 
Chez les profs :
-le prof de math - la quarantaine— crise cardiaque. Décès - Le jour de 3ème dose
-l’éducateur, 24 ans-cycliste de haut niveau- myocardite pendant l’entrainement- fin de sa carrière
-le directeur -cinquantaine- myocardite -  
-2 AVC avec remissions- 2 femmes de plus ou moins 45ans-2 fin de carrière
-1 rupture d’anévrisme - deces- 50 ans
-1 cancer fulgurant- 37 ans- deces
-un cancer du sein qui était en rémission, ne l’est plus, 50 ans- chimio en cours
-le prof d’histoire est devenu « cardiaque »
-un cancer du cerveau « fulgurant »-mort en 7 jours d’un père de 3Enfants- 39 ans
-2 personnes hospitalisées pour Covid juste après leur vaccination.
-de nombreuses profs menstruées prennent des congés menstruels
-à ce jour, le taux d’absentéisme de longue durée des professeurs n’a jamais été aussi élevé
Chez les élèves
L’épidémie la plus brutale est celle de la phobie scolaire. En 20 ans de carrière, j’ai connu des élèves hospitalisés pour phobie scolaire, mais c’était rare.
Ils sont 8 cette année a être dans un hôpital spécial , et 4 en attente de place, ou scolarisé en famille pour phobie scolaire.
Les données que j’ai collecté et auxquelles j’ai accès sont celle des élèves suivant mon cours (donc à peu près 200 élèves)
-3 élèves ont des problèmes cardiaques récents (donc apparus après 2021) dont 1 grave
-un Élève en rémission de son mmcancer a fait une rechute
-les filles menstruées qui ont des problèmes de cycles et qui s’absentent sous certificat médical 1 fois par mois ont presque doublé.
(Et je n’ai pas le droit d’aborder l’éventuel problème de vaccination avec elles, ni de leur parle du collectif Où est mon cycle qui pourrait les informer et les soutenir)
Parlons maintenant du tableau des familles… et c’est là que c’est le pire. Il n’y plus de place sur ce tableau!
Crise cardiaque, avc, cancer, rupture d’anévrisme… quasiment que des décès brutaux de parents ou de grands parents. ( surtout des hommes)
Cette année , 3 des mes élèves ont perdus leur papa. 3 sur 200.
Jamais je n’avais vécu ça.
Voilà c’est du factuel, et je me risque pas à interpréter ces chiffres.
Mais puis je dire si ce n’est cela me terrifie… 
L’omerta sur les problèmes du à la vaccination est plus forte encore que celle sur notre statut vaccinal. 
Ne pas Avoir le courage de dire qu’on s’est fait berner par les labos et les gouvernements c’est de la non assistance à personne en danger, du déni de soin et la perte de notre humanité. Nous voyons chaque jours, impuissants et muselés les élèves, collègues, qui s’enfoncent dans la solitude et la maladie. 
 Il faut parler, il faut s’entraider et il faut témoigner. 
Reçu ce matin, et à diffuser largement
8 notes · View notes
la-tour-de-babel · 2 years
Text
Brodyr - Fiction : Human!AU
DISCLAIMER : Ceci est la première partie d'une série de OS, autour des frères Gibson. A savoir, Cambrien, dit Cormag, Gallois, dit Carwyn, et Cornique, dit Merryn. On est dans une version idéale où les trois frères sont en vie, et sont humains. Basiquement, donc, ce sera juste une série de petites scénettes, pour bien planter le décor, et étudier un peu les personnages de Cormag et Merryn- que je n'ai jamais écrit, ahah. Vous trouverez donc la suite dans les reblogs de ce post, au fur et à mesure. Le dessin que vous avez en début de post est évidemment une œuvre de @mimmixerenard !
PAIRINGS : Pour l'instant, SecretSignes seulement. Ca viendra avec le temps, quand les protagonistes ne seront plus des enfants. On ne shippe pas les enfants.
TRIGGERWARNING : Dans la première scène, description d'une crise d'angoisse, meltdown, shutdown. Harcèlement scolaire sous entendu. Je ne pense pas qu'il y ait de TW pour la deuxième partie, néanmoins.
----------------------------
Tumblr media
C’est le son des rires qui l’attire, d’abord, dans le vestiaire du collège.
Cormag est lui-même d’une nature rieuse. Ses parents, toujours, lorsqu’ils parlent de lui à leurs différents amis, le présentent ainsi : ah ! Cormag ! Mais oui, c’est notre petit soleil. Toujours si souriant… il vous illumine toute une pièce vous savez. Tenez, le voilà. Et puis, immanquablement, on répondait quelque chose du genre, mais c’est vrai qu’il a l’air très sympathique. Quelle bonne tête !
Oui, Cormag est rieur, Cormag est sympathique. Il est de ceux qu’on qualifie aisément de Bon Pote. De ceux à qui on s’attache très vite. Qui est ami avec tout le monde, même les professeurs, qui connaît tout le monde, et qui aide tout le monde. Mais Cormag, aussi, prend de la place. Il est bruyant, souvent. Il parle beaucoup. Il sait écouter, mais il a souvent l’impression que les gens, tant fasciné par son apparence de Bon Pote, n’en ont pas vraiment pris conscience : on ne lui dit jamais rien d’important.
Ce qu’on dit à Cormag, c’est comment s’est passé le dernier week-end. C’est combien notre nouveau chiot est adorable. C’est les notes qu’on a eues, ou pas. C’est quel prof est une tête de con, et quel prof est ultra chill. Ce qu’on ne lui dit pas, c’est les vrais problèmes qu’on a. C’est les secrets Très Importants, pour tout ces enfants de onze à quinze ans. Cormag est un Bon Pote, voir un Très Bon Pote, mais ce n’est pas Le Meilleur Ami. Vous voyez, il parle beaucoup, Cormag, et il connaît tout le monde. Ce n’est pas le genre de personne à qui on veut confier ses Grands Secrets.
Cormag est le Bon Pote de tout le monde, et le Meilleur Ami de personne. Sauf, bien sûr, de ses deux petits frères : mais Carwyn et Merryn sont tout, tout petits, et si Cormag est évidemment flatté de se voir pilier des Très Grands Secrets des p’tits bouts de chou, ce n’est tout de même pas la même chose. Cormag n’est le Meilleur Ami de personne.
Et puis, vient aujourd’hui. Le son des rires, dans les vestiaires du gymnase. En temps normal, Cormag est déjà naturellement attiré par le son d’un rire. Comme un papillon attiré par la chaleur et la positivité. Seulement, voilà : ce ne sont pas des rires gentils. Ce sont des rires moqueurs. De grands éclats, ahahah, qui s’entendent depuis la salle de sport où Cormag, jusqu’ici, discutait tranquillement avec le professeur.
(M. Gimenez venait d’avoir une petite fille. Elle s’appelle Clàudia, et c’est ce qu’il est en train de raconter à Cormag.)
Alors, parce que ce sont des rires, mais surtout parce que ce sont des rires moqueurs, Cormag s’excuse de la conversation, et trottine vers les vestiaires. Il est le Bon Pote de tout le monde, mais il est aussi le premier a reconnaître que certaines personnes sont tout de même de vraies têtes de con. Ce n’est pas pour autant qu’il cesserait de leur parler ; chacun ses défauts, et Mam dit toujours que les enfants de leur âge peuvent toujours changer, avec les bonnes fréquentations.
Cormag croit tout ce que lui dit sa Mam, bien évidemment. Mais tout de même, pense-t-il, en posant les yeux sur le spectacle.
C’est une petite foule de garçon, en cercle, autour d’un autre qui est tombé par terre. La petite foule rit trop fort, ahahah, et la respiration du garçon au milieu du cercle est affreuse. Il prend de grandes, grandes inspirations, comme s’il se noyait, et s’étouffe dessus à chaque fois. Cormag ne le distingue pas très bien, derrière les bras, les torses, les tee-shirts gorgés de sueur, mais il en voit assez pour comprendre qu’il est recroquevillé, et qu’il est couvert de quelque chose de gluant. Ca ressemble à la peinture que cette tête de con d’Alexis a piqué à la prof d’art plastique.
Cormag est trop jeune pour savoir ce qu’est une Crise d’Angoisse. Mais il est assez Grand pour savoir que c’est pas normal de respirer comme ça, et que ça doit faire mal à la poitrine. Et que ça doit pas être très drôle, de pas respirer bien et d’être entouré par une foule de garçon hululant des rires méchants. Alors, Cormag se fraye un chemin dans la petite foule.
C’est pas difficile. Il est grand, plus grand que les autres garçons, et il est large d’épaules. Tu seras rugbyman, mab, disait Dad. Un grand gaillard comme toi. Cormag ne sera bien sûr par rugbyman : il n’a jamais aimé le principe d’une mêlée. Mais la carrure reste là, et ses camarades le constatent bien ; ils le laissent passer, et certains, même, se taisent.
Au milieu du cercle, c’est Simon.
Cormag connaît tout le monde, mais Simon, pas très bien. Il est dans sa classe, ça c’est sûr, et il est très doué en maths. Cormag le sait, parce que le professeur ne cesse de le répéter, à chaque devoir. Et il sait aussi qu’il est très mauvais en français, parce que ça aussi, la professeure le répète. Simon est très discret. Là où Cormag parle beaucoup, et n’a pas souvent l’occasion d’écouter, Simon ne parle jamais, et ne fait qu’écouter. Il reste dans son coin, avec son petit costume trop formel pour un môme d’onze piges, avec ses lunettes carrées de secrétaire austère, et ses petits stickers de Mon Petit Poney partout sur ses stylos, sa règle, sa trousse. Avec son petit chiffon, qu’il utilise pour nettoyer chaque surface avec laquelle il doit rentrer en contact.
Les autres garçons trouvent que Simon est bizarre, et les garçons de cet âge, eh bien ! Ça n’aime pas beaucoup ce qui est bizarre.
C’est sans doute pour ça qu’il est dans cette situation. Respiration de sèche-cheveux en fin de vie, des grands hhhhhh, hhhhhh, hhhhhh. Se balançant d’avant, en arrière, avant, en arrière, les mains plaquées sur ses oreilles pour bloquer le bruit des rires, doigts crispés si fort que les ongles se plantent dans la peau, les yeux fermés très forts pour éviter la lumière aveuglante des vestiaires, grosses larmes coulant malgré tout, la chemise couverte de peinture verte- jusque dans les cheveux, jusqu’au verre des lunettes.
Simon tient beaucoup à la propreté, et a du mal avec certaines textures gluantes- précisément comme la gouache qui le couvre. Cormag ne sait pas ce qu’est un Meltdown, mais il voit bien que ce n’est pas quelque chose dont il faut rire.  Il n’y a rien de drôle, là-dedans.
« Vous êtes des cons, » braille-t-il, une fois passée la première seconde de choc. « Laissez le tranquille ! Barrez-vous ! »
Les rires méchants s’éteignent enfin. Ça bougonne, ça proteste un peu : Alexis, tête de con par excellence, lui décoche un regard dépité. Mais Cormag étant le Bon Pote, celui que Tout Le Monde Kiffe, on l’écoute. La petite foule se disperse ; les garçons récupèrent leurs affaires, se rhabillent, et laissent un peu de place à Simon.
Alors, Cormag se trouve un peu comme un con. Il ne sait pas comment réagir, maintenant : c’est la première fois qu’il voit ça. Simon ne se calme pas. Il se balance, se griffe tout seul, respire pas bien du tout.
« Eh, » dit Cormag, « ça va ? »
C’est bête comme question. Simon ne répond pas, et c’est même à peu près sûr qu’il a juste pas entendu du tout. Cormag s’agenouille à son niveau. Il y a de la gouache jusqu’aux paumes de ses mains : il pense qu’il a dû essayer d’essuyer ses vêtements, sans succès. Hhhh, hhhh, hhhh, fait la respiration du garçon. Les autres, autour d’eux, commencent à quitter la pièce.
Cormag tente de le toucher. Une main sur l’épaule, pour rassurer, comme il le fait toujours avec ce p’tit bout de chou de Carwyn, quand il tombe et s’égratigne le genou. C’est souvent bien suffisant pour sécher les grosses, grosses larmes, comme celles de Simon maintenant ; les grosses larmes qui plissent tout le visage et le rende tout, tout rouge. Ça marche presque toujours avec Carwyn.
Ça marche pas du tout avec Simon. Simon devient tout raide, comme un bout de bois, et avant même qu’il ne puisse vraiment voir ce qu’il lui arrive, Cormag se fait poussé. Fort. C’est à son tour de tomber, cul par terre, sur le sol mouillé du vestiaire. Ça s’infiltre dans son pantalon, et il grimace.
Il ouvre la bouche pour protester, sourcils tout froncés de vexation. Mais il s’arrête tout net, parce que les mains de Simon sont revenues à ses oreilles, et qu’il continue à se balancer, et que cette fois, c’est sa tête qui se secoue. Droite, gauche, droite, gauche, droite gauche. Non. Le message est passé : pas toucher.
« Tu veux que j’aille chercher le prof ? » tente Cormag, toujours sans succès.
Droite, gauche, droite, gauche. Cormag n’est pas sûr que Simon l’ait entendu, mais il n’a pas envie de prendre le risque. Ça reste un non. Il y a toujours des rires, de la part des derniers garçons à quitter le vestiaire. Cormag les ignore, et, finalement, les voilà tout les deux seuls.
Il sera complètement en retard en cours de SVT. Mais c’est pas grave. Il n’aime même pas ça.
Et puis, il lui semble que Simon commence à se calmer. Maintenant que tout le monde est parti, que c’est silencieux, et que quelques-unes des lumières détectrices de mouvements se sont éteintes. Il se balance toujours, mais sa respiration est moins moche. Hhh, elle fait. Hhh. Hhh. Alors, Cormag reste.
Enfin, Simon se calme. Il ne pleure plus beaucoup, et il respire de nouveau comme il faut. Ses ongles arrêtent de griffer la peau, derrière les oreilles. Il se balance, avant, arrière, plus doucement, plus lentement.
Il ne regarde pas Cormag, et il ne dit rien du tout. Mais puisqu’il ne l’a pas poussé de nouveau, et qu’il n’a d’ailleurs rien fait pour lui faire signe de partir, Cormag reste.
« Ça va ? » demande-t-il, encore, toujours aussi bêtement.
Droite, gauche, mais juste une fois. Question bête, réponse simple. Simon évite son regard, et, de la main droite, essaye une nouvelle fois de chasser la peinture de sa chemise. C’est trop tard ; c’est imbibé, et ça a même commencer à sécher.
Il laisse échapper un drôle de bruit. Un gémissement, ou un couinement.
« Tu… » commence Cormag, avant de se taire, et de bien réfléchir. « Ça part à la machine, tu sais. »
Droite, gauche. Non. La main passe, et repasse. Elle tremble beaucoup, et elle est tâchée, elle aussi. Il faut que ça parte, et que ça parte maintenant.
« Je peux te prêter mes vêtements, » continue-t-il. « Je peux rester en jogging, et toi, tu en auras des propres. »
Simon hésite. Ses yeux sautent, de la chemise sale, à ses pieds, à ceux de Cormag qui reste assis devant lui. Il ne le regarde pas dans les yeux, mais Cormag a l’impression que c’est le contact visuel le plus direct que Simon puisse supporter, pour l’instant.
Haut, bas. Oui.
Cormag sourit, tout en dent et en fossette. Enfin, ils arrivent quelque part !
L’opération leur prend quelques temps, bien sûr. Parce que Simon ne veut pas, ou ne peut pas se lever, et qu’il ne veut pas ou ne peut pas être touché, et qu’il est trop crispé et fermé et complètement fatigué pour retirer ses vêtements tout seul. Mais ça finit par se faire. Cormag comprend, au fur et à mesure, que Simon, pour l’instant, ne peut pas parler. Il apprendra plus tard que c’est normal. Que ça arrive. Que parfois, les mots ne veulent plus venir, et qu’ils se perdent et s’oublient. Il comprend aussi que la texture même des vêtements de Cormag, le jean, en particulier, semble être d’un contact insupportable ; il apprendra plus tard que, paradoxalement, c’est dans ses costumes guindé que Simon se sent le plus à l’aise.
Les vêtements sont trop grands, pour Simon, qui a l’air de se noyer dedans. Mais quand, enfin, sa tête passe le trou du hoodie, l’air proprement épuisé comme s’il avait passé le mois à courir sans s’arrêter, le regard darde brièvement vers celui de Cormag. Bref contact visuel, et Cormag comprend que c’est beaucoup d’efforts fournis : ça lui arrache un nouveau sourire, très large.
Il a l’impression que Simon voudrait bien le lui rendre, mais qu’il ne peut pas. Pour l’instant, du moins.
Pour la première fois de sa vie, Cormag sèche les cours. Il reste avec Simon, toute la journée, caché dans les recoins les plus calmes du collège. Il porte le sac du garçon, et le laisse serrer très fort, dans ses bras, une espèce d’énorme peluche d’un des personnages de ce qu’il apprendra plus tard être sa série préférée. Il accompagne Simon, le soir, vers la voiture de son père, tout content de l’entendre articuler quelques monosyllabes, maintenant.
M. Saulter le salut, l’air singulièrement curieux, et Cormag le salut en retour, avec l’aisance des gens qui savent être sociables. Simon, dans la voiture, lève les yeux vers lui- et le voilà, le début de sourire qu’il n’avait pas pu esquisser, ce matin.
La voiture part. Cormag, guilleret, rentre chez lui. Le lendemain, Simon s’assoit à côté de lui en cours.
« Merci, » qu’il dit, très neutre et très solennel, comme un président devant l’Assemblée.
« De rien, » répond Cormag. « Tu captes quelque chose au cours, toi ? »
Alors, la vie reprend, comme auparavant. Cormag n’est plus tellement le Bon Ami de tout le monde ; Alexis, en particulier, ne daigne plus lui adresser un regard. Ce n’est pas grave, parce qu’il a quelque chose de bien mieux : il est le Meilleur Ami de Simon.
-----------
Faut pas croire, mais y’a un code d’honneur chez les pranksters. Un genre de code des pirates, vous savez ; mais plus cool, parce qu’après tout, Paul est un prankster, et non un pirate. La clé, c’est que tout le monde peut être pranké, pas d’problème ; mais si tu teams avec un camarade de la noble maison de la Prank, tu peux pas lui coller un couteau dans le dos. Tu peux pas l’inclure dans la merde, alors qu’il a participé à la rendre bien puante. Ça se fait juste trop pas.
Paul, du haut de ses neuf ans, est excessivement attaché au Code D’Honneur des Pranksters, même s’il vient tout juste de décider qu’il existe. C’est qu’il a jamais subi de trahison, auparavant. Déjà, parce que c’est pas souvent qu’il accepte un complice, et deuxio, parce que quand il le fait, ses complices sont toujours géniaux.
D’abord, y’a Merwyn, son best bro parmis les best bros. Ils se connaissent depuis la couche culotte, pour s’être pouillé dans le bac à sable du parc public quand ils avaient deux ans- et puisque que le daron de Paul peut faire ami-ami avec n’importe quelle personne qui n’est pas Francis Leroy, et bah, ils ont basiquement grandi ensemble. Merwyn, c’est son Gars Sûr, c’est le sang, c’est la sauce, quoi. C’est Merwyn qui l’a accompagné dans son (humblement) hilarante idée d’arracher tout les C, L, et E des petites lettres qui affichent les noms des salles de C.L.A.S.S.E, parce que ça fait A.S.S, et que c’est trop poilant. Est-ce que Merwyn l’a trahi ? L’a dénoncé ? Lui a volé quelques petits C ? Trop pas. Merwyn est son Best Bro. Ils ont partagé le butin, et quand on les a interrogés, ils se sont serrés les coudes.
Ensuite, y’a Simon. Simon est moins un best bro que Merwyn, même s’il est son Vrai Bro, parce qu’il a pas officiellement prêté allégeance à la Grande Maison des Pranksters, et qu’il est donc juste un membre honoraire. Et puis, vu que Simon est le Grand Frère, il a parfois l’impression que ça veut dire qu’il doit être un Mini-Daron : ce qui veut dire qu’il peut contempler le pitch parfaitement hilarant d’une superbe prank de Paul et hausser le Sourcil Du Jugement. Mais c’est quand même Simon qui l’a aidé à poser toute une pièce montée, prévue pour le mariage de Papa et Maman, sur la porte de la salle de fête pile avant que Francis ne la franchisse. Est-ce que Simon l’a poussé dessous, dites ? Est-ce qu’il l’a dénoncé ? Bien sûr que non. Simon l’a entraîné loin, très loin, là où la crème les tâcherait pas, et là où ils verraient quand même la scène. Simon avait assuré à une nuée de gens en costard que c’était complètement un mystère pour lui, cette histoire de pièce montée sur la tête de Francis. Simon est un Vrai Bro.
Après, y’a Papa. C’est un membre convaincu de la Maison des Pranksters, Papa, mais c’est un membre délicat, parce qu’il est supposé Montrer Le Bon Exemple. Ca veut dire qu’il doit faire sembler de froncer très fort les sourcils quand Paul remplace le sucre par le sel et les chocapics par les crottes du lapin de la voisine, et qu’il doit se mordre les lèvres pour ne pas rire. Ca veut aussi dire que Papa est un membre Vraiment Très Expérimenté, et qu’on a tout intérêt à l’avoir en Camarade de Prank, si on veut que ça marche. C’est un peu le mentor de Paul en matière de Gaudriole, même si, apparemment, Paul est vachement plus impliqué que son daron. Du coup, lorsque Paul avait remplacé le mot de la maîtresse, dans son cahier, par une copie très bien calligraphié du poème Con Large Comme un Estuaire, et que la maîtresse, l’ayant vu, s’était offusquée, c’était Papa qui avait assuré, avec un très large sourire, que Oui, Madame, c’est moi qui est écrit ceci, et que Non, Madame, ce n’est pas vulgaire, c’est de la poésie, ou même, encore, Bien sûr que je fais lire cela à mon fils, c’est de l’Apollinaire, quel grand poète, n’est-ce pas ? Papa ne l’avait pas balancé. Papa, lorsqu’ils étaient rentrés, avait lu le poème pour la première fois, parce qu’il ne le connaissait pas, et en avait pleuré de rire derrière le volant de la voiture. Tant que les pranks de Paul font de mal à personne, Papa est complètement on board.
Enfin, y’a Stefan. Ça compte pas de fou non plus, parce que Stefan, son bébé frère, il a deux ans, bavouille plus qu’il ne parle, et participe rarement plus à une conversation qu’en babillant un « kouillon ! » que Paul est très fier de lui avoir appris. Stefan est un Apprenti Prankster, et Paul a bon espoir de lui montrer Le Droit Chemin. Et il apprend vite, le môme. La preuve : quand Paul avait pété la fenêtre du deuxième étage de chez l’Oncle Edward avec un caillou (c’était trop pas de sa faute, il avait vu ça dans un film, et apparemment c’était grave romantique, donc il voulait voir si ça éblouirait Alphonse), c’était Stefan, qui jouait avec le résident de la chambre visée, qui avait planqué les preuves en tentant de bouffer le caillou. Est-ce qu’il l’avait craché ? Oui, mais sans faire exprès, et c’est l’intention qui compte. Stefan, Paul le sait, ne trahira jamais le Code Des Pranksters.
Paul n’a jamais été trahi par l’un de ses camarades de blagues. Alors, il accordait une confiance aveugle à toute personne qui lui donnait le feu vert pour être, globalement, un p’tit merdeux.
Et puis, vient Merryn. Là-dessus, Paul s’est comporté comme un bleu : mais quand même, ça se fait trop pas.
Déjà, il s’était fait avoir, parce que Merryn ça ressemble à Merwyn, et que, du coup, Merryn pouvait qu’être un type vachement bien, puisqu’il était à une lettre du best bro de la life, pas vrai ? En plus, Merwyn a sept ans. C’est deux de moins que Paul. Paul est donc le Grand, le Mentor, et c’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces ! Sans compter que le grand frère de Merryn, c’est Cormag, et que Cormag est le best bro de Simon, et que donc, logiquement, c’est un peu comme si Paul est destiné à être le bon bro de Merryn. Et puis, Merryn a v’la les bonnes idées poilantes, contrairement à son jumeau Carwyn, qui, lui, est juste chiant de gentillesse. Merryn est un parfait Membre de La Confrérie des Pranksters, et Paul, naïvement, a cru qu’il respecterait le Code implicite.
Du coup, logique ! Lorsque Merryn, invité pour la première fois à la maison avec son jumeau tout chiant et son grand frère trop cool, lui propose de monter un Prank, Paul est grave hypé. Ils avaient déjà comparé leurs exploits prankesques lorsque Simon l’avait emmené avec lui chez les Gibson, parce que Papa et Maman étaient chez le médecin des bébés avec Stefan, et qu’aucune babysitter voulait jamais gérer Paul. Paul, à ce stade, a déjà décidé que Merryn est Hyper Cool. Paul, donc, a suivi son Nouveau Bro comme un chiot content, et est allé avec lui gonfler toutes les bombes à eau possible.
Le but, c’est ensuite de se percher en haut des escaliers, de là où on surplombe un peu les adultes qui papotent en prenant le thé, et de bombarder, comme les allemands en l’an 40, qu’il dit, Merryn, même si Paul sait pas trop à quoi il fait référence. C’est un super bon plan, parce que Papa est suffisamment loin pour ne pas être touché (Code d’Honneur, Toujours : pas de Pranks envers le Grand Prankster Expérimenté), et que le Papa Gibson est pile à portée de bombe.
C’est un super bon plan. Et ça marche très bien, au début. Le Papa Gibson pousse un piaillement de fillette quand l’eau lui éclate sur le eau du crâne, et la théière se renverse sous la deuxième bombe. Le thé éclabousse la maman de Paul, muette autant par nature que par stupéfaction, et la Maman Gibson, en plein sur sa belle chemise à fleur. Son daron, bien sûr, Membre Expérimenté autant que Vétéran Des Blagues Paulesques, s’est levé dès le premier bombardement, et contemple le carnage d’une œillade qui s’efforce de ne pas être trop amusé. En tout, c’est dix bombes à eau qui sont lâchées, partout sur le tapis et la petite table du goûter : c’est le temps qu’il faut pour que les adultes repèrent les deux criminels, et ne commencent à préparer quelques Sermons Courroucés.
Normalement, là, c’est la parti du plan où on se barre en courant et en gloussant, avec son Camarade, et qu’on se planque jusqu’à ce que les adultes soient calmés. C’est limpide.
Sauf que Merryn est un absolu petit bâtard. Pour la première fois de sa life, Paul se fait honteusement trahir par son Camarade : parce que, quand Papa Gibson gronde « Vous deux ! », Merryn se contente pas de tourner les talons, et de détaler. Non, non. Paul se retourne vers lui, tout prêt à monter les escaliers à sa suite : mais au lieu de voir le dos de son comparse fuyant, il ne voit que le latex bleu du ballon qui se précipite vers sa propre tronche. Et qui s’y éclate, PAF, une explosion d’eau pile dans les yeux, le nez, et la bouche, et qui le détrempe aussi sec. Sous le choc incommensurable, Paul vacille, ébahi, incapable de comprendre cette terrible trahison ; et, à sa grande horreur, se sent tomber en arrière.
Dégringoler les escaliers n’est clairement pas l’expérience la plus sympa de sa vie, clairement. C’est pas la première fois qu’il les dévale, d’ailleurs, et c’est bien pour ça qu’il ne se pète rien en y tombant dos et tête la première : les bords des marches sont tout couvert d’une épaisse moquette, et les coins sont soigneusement rembourrés, parce que Papa et Maman ont eu bien assez d’une crise cardiaque en contemplant Paul, cinq ans, se prendre les pieds dans son jouet camion en essayant de fuir la salle de bain, se bouffer les marches de l’escalier. C’est pas la première fois qu’il les dévale, donc, et ça fait même pas tant mal que ça avec l’énorme moquette, mais c’est la première fois qu’il les dévale mouillé par le fruit de la trahison, et sous le rire d’un Camarade Prankster qu’il aurait dû pouvoir partager. Et c’est pas un truc qui devait arriver. Pas à lui ! Pas à un pro, comme lui ! Ça se faisait trop pas.
Il se retrouve bien vite le cul par terre, tout endolori, pendant qu’en haut résonne les pas fuyant de Merryn. Qui va se planquer, tout seul. Et Paul est un Grand Garçon : il a honte d’avouer que là, en bas des escaliers, mouillé, misérable, et l’épaule en feu pour être mal tombé dessus, il est à deux doigts de chialer comme il a jamais chialé. Jusqu’à sa mort, il niera d’ailleurs l’avoir fait. Aussi bien qu’il niera avoir braillé dans les bras d’un Papa et d’une Maman affolés, sanglotant comme un nourrisson. Il a une dignité, après tout.
Plus de peur que de mal, pour être v’la honnête. Même : la chute spectaculaire a le mérite de distraire très vite les adultes de la blague précédente, et il se fait même pas engueulé pour les bombes à eau. Il passe l’après-midi devant la télé, bien installé sur le canapé, entouré des coussins les plus douillets qui soit, avec un bol de crème glacé dans les paluches. Y’a que Merryn qui se fait engueuler, et c’est pour avoir causé sa chute ; en soit, c’est un moyen efficace pour échapper aux conséquences d’une prank.
Mais Paul est Très En Colère. Il est Furibond. Parce que Merryn, ce p’tit bâtard, a brisé le Code : et Paul est d’une nature très rancunière.
Merryn ne sera pas du tout son Bon Bro. Au contraire. Désormais, il considérera Merryn comme son Pire Ennemi.
A SUIVRE....
2 notes · View notes
fauvelienne · 2 years
Text
A ce garçon.
J’ai repensé à lui en allant à l’aéroport hier soir on a pris le chemin que je prenais quand j’allais au collège.
J’ai regardé son tiktok (vide) 2h après il est venu voir mon profil
Il m’a sauvée du harcèlement scolaire et de nombreuses crises d’angoisse qu’il a apaisé. C’était quelqu’un de bien. Il s’est fait exclure du collège pour des motifs idiots. Mais il m’a sauvé la vie et là dernière année que j’y ai passé sans lui s’est mieux passée parce qu’il avait fait du ménage envers les gens qui me faisaient du mal.
Si tu passes par là je sais que j’ai changé mais c’est bien moi et je sais que c’est mon prénom dans mon pseudo qui t’a fait venir sur mon profil.
Je suis toujours très timide, j’ai moins d’anxiété sociale mais je suis incapable de t’envoyer un message. Mais c’est moi. Mes dm sont ouvert pour toi.
1 note · View note
aurianneor · 10 days
Text
Tumblr media
La Rust belt
La Rust Belt a rendu riche et prospère le grand est des Etats-Unis. De 1850 à 1980, les plus grandes entreprises américaines étaient près des grands lacs: US Steel, Ford, General Motors, etc. Des millions d’américains travaillaient dans ces usines d’abord dans des conditions difficiles puis ces conditions ce sont améliorées grâce à l’organisation des ouvriers en syndicats. Ces luttes ont permis de créer une classe moyenne relativement prospère. Les multimilliardaires comme J.P. Morgan, William Durant et Henry Ford, étaient leurs bienfaiteurs.
Cette activité très concentrée autour de la deuxième réserve d’eau potable du monde a amené beaucoup de pollution. En 1969, la rivière Cuyahoga à Cleaveland a pris feu.
“The River Caught Fire”: The Cuyahoga River Fire of 1969 – CHE: https://www.healthandenvironment.org/environmental-health/social-context/history/the-cuyahoga-river-fire-of-1969
Burn On (Remastered): https://youtu.be/XVNuT4fkjAs?si=gku492UQ7CR0mvrE
Dans les années 1980, les milliardaires ont voulu augmenter leurs marges. Ils ont utilisé leur influence auprès de Ronald Reagan pour délocaliser leurs usines au Mexique et continuer à vendre aux Etats-Unis sans taxes. Les habitants de la Rust Belt ont été abandonnés d’abord par leurs employeurs, par les syndicats qui ne se sont pas assez battus contre cela, puis par les gouvernements qui n’ont pas organisé de sécurité sociale et qui ont construit des prisons face à l’augmentation de la criminalité. Quand les démocrates sont revenus au pouvoir avec l’admistration de Bill Clinton, ils n’ont rien fait pour la Rust Belt. Au début des années 2000, la crise des opioïdes a touché cette région, en particulier dans les quartiers les plus pauvres. Beaucoup d’habitants ont été chassés de leurs logements car sans travail ils ne pouvaient pas payer le loyer ou leur emprunt. Comme personne ne veut plus acheter dans cette zones, certains propriétaires ont été contraints de rester dans leur propriété. Les communes sont devenues aussi pauvres que leurs habitants et ne pouvaient plus organiser les services publics comme le ramassage scolaire ou la santé. La pollution est toujours présente et rend la population malade. L’administration Barack Obama a tout autant négligé la Rust Belt.
Quand les Etats-Unis ont fait face à un afflux de réfugiés Syriens en 2015, la majorité de ces réfugiés a été déplacée dans la Rust Belt.
A Lonely Life for Immigrants in America’s Rust Belt – The Atlantic: https://www.theatlantic.com/business/archive/2015/05/a-lonely-life-for-immigrants-in-americas-rust-belt/394082/
La Rust Belt héberge maintenant la plus grande communauté musulmane des Etats-Unis.
Donald Trump a été le premier a s’intéresser à la population de la Rust Belt. Il a fait campagne là-bas, il a participé aux émissions de télévision et de radios locales. Il a promis un retour à un passé où il y avait les usines, présenté comme une âge d’or. Il s’en est pris à la communauté musulmane perçue comme une compétition et a promis de fermer la frontière avec le Mexique. Cette population a en retour voté pour lui en 2016. Il n’a tenu aucune de ses promesses une fois au pouvoir.
Par contre, l’administration Biden-Harris, soutenue par les Démocrates et les Républicains, a fait voter un plan de 1200 Milliards de dollars d’investissement dans les infrastructures et les service publics dans la Rust Belt. Les Etats de la Rust Belt ont bénéficié d’un budget équivalent à celui de l’armée. Par exemple, 9000 bus scolaires neufs ont été achetés pour le Michigan. Des usines ont été réimplantées comme Intel ou TSMC (fabriquants de micro-processeurs). De l’argent fédéral a été investi pour créer des usines d’éoliennes et pour que ces Etats aient une énergie 100% renouvelable dès 2050. Ces chantiers énormes mettront du temps à porter leurs fruits mais ces Etats ne sont plus à l’abandon.
Biden’s legacy will be transforming the Rust Belt into the EV Belt – The Hill: https://thehill.com/opinion/white-house/3612263-bidens-legacy-will-be-transforming-the-rust-belt-into-the-ev-belt/
Rust Belt To Green Belt: https://www.rustbelttogreenbelt.com/
Le taux de chômage au Michigan est au plus bas depuis 1969, il est de 3,5%.
‘Fixing the damn roads’: A look at the Biden administration’s investments in Michigan – The Michigan Daily: https://www.michigandaily.com/news/government/a-look-at-the-biden-harris-administrations-investments-in-michigan/
Joe Biden a refusé d’utiliser la force pour mettre fin aux grèves de 2023 comme le demandaient les constructeurs de véhicules. Il a soutenu en personne les travailleurs grévistes dans les usines qui ont obtenus une augmentation de salaire de 25%.
We are proud to be ‘rednecks’. It’s time to reclaim that term – The Guardian: https://www.theguardian.com/us-news/2018/apr/14/redneck-pride-west-virginia-protests-strikes
Continuer ce qui a été commencé par Joe Biden est ce qui peut arriver de mieux dans la Rust Belt. Leur environnement dégradé a besoin des mesures environnementales pour protéger les habitants des pollueurs.
Kamala Harris, quand elle était procureur général de Californie a fait condamner une des plus grandes compagnies pétrolière des Etats-Unis, Exxon Mobile et l’administration Obama pour avoir failli à ses obligations de protéger les gens face à la pollution. Elle se démarque de ses prédécesseurs par le fait qu’elle a attaqué les plus grands pollueurs et s’attaque même aux politiciens de son bord politique.
Harris is ‘perfect person’ to prosecute big oil, climate advocates say – The Guardian: https://www.theguardian.com/us-news/article/2024/aug/02/kamala-harris-oil-industry-election
Kamala Harris a dit qu’elle défendrait les droits des palestiniens à leur sécurité et leurs droits à l’autodétermination. Elle soutient l’Ukraine.
Trump ‘likelier winner’ unless Harris tackles two failings, says ex-ambassador – The Guardian: https://www.theguardian.com/us-news/2024/sep/15/trump-likelier-winner-unless-harris-tackles-two-failings-says-ex-ambassador
La Rust Belt a fait confiance à des milliardaires pour sa prospérité et cela l’a menée à la ruine et à la misère. Donald Trump est un milliardaire qui n’a rien fait pour elle quand il le pouvait. De plus, l’âge d’or qu’il promet est un âge pollué ou il est difficile de respirer et boire.
Kamala Harris propose des industries nouvelles et non-polluantes et de continuer les investissements de l’administration Biden.
Roger & Me – IMDB: https://www.imdb.com/title/tt0098213/
Randy Newman – Mr. President (Have Pity On The Working Man): https://youtu.be/tem0mfWJv-0?si=3sUZ86hRZx692KqL
Fahrenheit 11/9 – IMDB: https://www.imdb.com/title/tt8632862/?ref_=nm_flmg_t_1_dr
Now, Kamala Harris Must Hear From Us: 80 Days to a Better World – Michael Moore: https://www.michaelmoore.com/p/now-kamala-harris-must-hear-from?utm_medium=email
---------------------------------------------------------------
The Rust Belt: https://www.aurianneor.org/the-rust-belt-2/
El Rust belt: https://www.aurianneor.org/el-rust-belt/
Fahrenheit 11/9, Michael Moore: https://www.aurianneor.org/and-that-if-this-is-the-america-were-trying-to/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
Will you get what you expect from Trump? Chaos is unpredictable: https://www.aurianneor.org/will-you-get-what-you-expect-from-trump-chaos-is-unpredictable/
L’écoterrorisme: https://www.aurianneor.org/lecoterrorisme/
Le compas moral: https://www.aurianneor.org/le-compas-moral/
Le logement: https://www.aurianneor.org/le-logement/
Les drogues: https://www.aurianneor.org/les-drogues/
Tous complices: https://www.aurianneor.org/tous-complices/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Immigration: https://www.aurianneor.org/immigration/
La part du gâteau: https://www.aurianneor.org/la-part-du-gateau/
The American people’s choice: https://www.aurianneor.org/the-american-peoples-choice-fahrenheit-119/
Travail, le tout ou rien: https://www.aurianneor.org/travail-le-tout-ou-rien/
Le revenu de base, c’est possible: https://www.aurianneor.org/le-revenu-de-base-cest-possible-the-instrument/
1 note · View note
infoscoop · 25 days
Text
L'intelligence artificielle pour résoudre la crise scolaire : l'initiative audacieuse d'Emmanuel Macron
L'intelligence artificielle pour résoudre la crise scolaire : l'initiative audacieuse d'Emmanuel Macron https://infoscoop.fr/wp-content/uploads/info-scoop-linformation-nattend-pas-les-meilleurs-scoops-et-toute-lactualite-en-france-et-a-linternational-sont-sur-info-scoop-49.webp Face à une crise scolaire persistante, Emmanuel Macron a décidé de confier la gestion de l'Éducation nationale à l'intelligence artificielle ChatGPT. Les enseignants seront remplacés par des robots et les élèves apprendront grâce à des avatars interactifs. Une mesure radicale qui promet de bouleverser le paysage éducatif français. #AvatarsInteractifs, #ChatGPT, #CrisisScolaire, #ÉducationNationale, #EmmanuelMacron, #OpenAI, #Robots https://infoscoop.fr/informations/economie/lintelligence-artificielle-pour-resoudre-la-crise-scolaire-linitiative-audacieuse-demmanuel-macron/
0 notes
e642 · 1 year
Text
J'ai toujours eu peur de l'échec. Avant même de commencer quoique ce soit, je ne me suis jamais sentie légitime de seulement insuffler l'idée que je pourrais réussir. C'est sûrement parce que j'ai toujours fait les choses pour les autres et donc j'ai toujours vu l'échec comme une atteinte à la satisfaction des autres. C'est également pour cette raison que j'ai souvent fait les choses à moitié, en prévision d'un potentiel échec. L'essai ultime de me préparer psychologiquement en amont au fait de rater. Les début d'année scolaire et même civile ont quasiment toujours été teintées par des pensées parasites sur la déception et la crainte de ne pas tenir. Ce fameux compte à rebours fictif qui laisse planer une inquiétude pour le moins désagréable; est-ce que ce sera l'année où je vais craquer ? Je le sens au plus profond de mes tripes que ce n'est qu'une question de temps avant qu'un jour je me lève d'un pas réellement décidé à abréger ma vie. Je n'ai seulement aucune idée de quand ce sera. Quel jour. Où je serai. Je sais juste que les efforts fournis dans un but flou et pénible auront leur limite tôt ou tard. La peur de moi me rattrape et me frappe toujours plus fort car si je cède, ce sera probablement la dernière fois, pour des raisons évidentes de détermination. Il m'arrive de passer des journées à me retenir, à retenir la fuite de mon angoisse, à ravaler des pulsions, à camoufler des comportements problématiques, à garder les mots bien au chaud. Des fois, je ne peux rien faire d'autre que ça, n'importe quelle autre action est annihilée. Je puise dans le peu de ressource que j'ai pour temporiser. Attendre que la crise silencieuse s'éternise et ternisse un autre être humain. J'attends la passation du chagrin à une autre entité, et pendant ce temps là, il faut garder le cap. Plus j'avance, plus je trouve ce travail dur et onéreux en terme d'énergie. La question de cesser de le faire s'est posée et se pose encore, mais la réponse reste univoque.
7 notes · View notes
quemajoiedemeure · 1 year
Text
Cette année je m'occupe d'un gamin autiste qu'on m'a vendu comme tapant des énormes crises ou fallait être plusieurs pour le maîtriser et tout, bah depuis le début de la semaine il en a pas fait avec moi, j'ai capté ce qu'il aimait et comment le mener à faire les trucs qu'on veut qu'il fasse et qu'est ce qui déclenche ses crises (le forcer à faire des exercices scolaires, du coup je lui en fait pas faire et je le fais réfléchir et je lui fait apprendre des trucs autrements) et bah il est trop adorable en réalité, c'est dingue ils obligent à l'inclusion des handicaps à l'école mais par contre ils veulent pas adapter les enseignements mdr Gabriel attal je gère moi veux une prime stp
39 notes · View notes
bikekokin24 · 28 days
Text
Rentrée des classes : un défi sous la menace du Mpox
La rentrée scolaire en République Démocratique du Congo s’annonce particulièrement difficile cette année. En effet, le gouvernement se retrouve face à un double défi : assurer le respect du calendrier scolaire tout en tenant compte des difficultés financières croissantes des familles, exacerbées par l’épidémie de Mpox qui continue de se propager dans le pays. La crise sanitaire liée à cette…
0 notes
toutmontbeliard-com · 1 month
Text
Des travaux dans des écoles de Montbéliard pour 1 687 000 € en 2024
Tumblr media
La Ville de Montbéliard fait le point sur des travaux dans des écoles de Montbéliard. "L'éducation est au cœur des priorités de la Ville. Chaque année, des centaines de milliers d'euros sont consacrés à l'entretien de notre patrimoine scolaire. Dans un contexte marqué par le réchauffement climatique et la crise énergétique, la rénovation des écoles s'impose comme une nécessité. L'ambition est double : offrir aux élèves des conditions d'apprentissage optimales, tout en diminuant notre empreinte carbone et en réalisant des économies d'énergie significatives". École élémentaire Combe aux Biches Les travaux de restructuration de l’Ecole de la Combe aux Biches, entamés plus tôt dans l’année, se sont poursuivis tout au long de l’été 2024, et devraient s’achever à la fin du premier semestre 2025. En septembre 2025, l’Ecole maternelle de la Combe-aux-Biches accueillera les enfants de l’école maternelle des Batteries du Parc – ne pouvant être adaptée aux normes techniques et environnementales – amenée à être détruite. Pour ce faire, un programme d’extension a été lancé en début d’année. Réalisée en ossature bois et recouverte d’un bardage bois pour l’enveloppe extérieure, cette extension comprendra deux salles de classe, une salle de sieste, un bureau de direction, une salle des maitres et des locaux de maintenance. Elle a nécessité le forage de 20 micropieux de 7 m de profondeur pour garantir sa stabilité. Au total, ce sont 260 m² qui seront ainsi ajoutés au bâtiment existant. En janvier 2025, une fois l’extension achevée, cette dernière accueillera les enfants le temps que le bâtiment existant fasse peau neuve. Isolation intérieure et extérieure, changement des menuiseries, remplacement du système de chauffage et de ventilation assureront à l’école une meilleure performance énergétique, offrant un confort thermique et acoustique aux élèves et enseignants, quelle que soit la saison. L’objectif est de viser une économie d’énergie de 40 %. Les sanitaires seront également agrandis – puisque l’établissement accueillera des élèves en plus – et rénovés. Coût : 1 572 000 € TTC. Subventions : État Fonds Vert 310 170 € avec l’espoir que ce montant soit porté à 30% du montant des travaux ; Département du Doubs, la Ville a sollicité un co-financement de 15% du montant HT des travaux auprès du Département ; CAF (notifié) 40 000 €. Maitre d’œuvre : cabinet architecte Archi Créo (AACT+) École primaire Jules Grosjean L’Ecole primaire Jules Grosjean et le premier bâtiment scolaire montbéliardais sur lequel est entreprise une rénovation énergétique globale. Ce dernier pourra ainsi répondre aux nouvelles exigences environnementales. La première phase de travaux, entamée durant l’été 2023, a notamment permis le remplacement des menuiseries extérieures ainsi que des volets roulants. Afin de permettre la réalisation des travaux d’isolation par l’extérieur pendant l’été, une seconde phase a débuté courant avril 2024, avec la démolition des « casquettes » en béton suivie de près par les travaux de la rénovation de la chaufferie. Les travaux d’isolation extérieure proprement dits ont été réalisés durant la pause estivale. Il s’agissait de recouvrir 670 m² de murs d’un isolant en laine de roche de 180 mm d’épaisseur sur lequel l’entreprise a posé un bardage métallique. La toiture-terrasse (410 m²) a également été isolée (140 mm d’isolant) et protégée par une étanchéité bicouche. À l’automne, pendant les vacances de la Toussaint, des panneaux photovoltaïques d’une surface globale de 15m² seront installés sur la toiture pour favoriser une autoconsommation et rendre le bâtiment le plus autonome possible. Été 2025, le programme des travaux s‘orientera sur la création d’un système de ventilation double flux, permettant d’améliorer la qualité de l’air intérieur et réduire la consommation de chauffage ainsi que sur le remplacement des éclairages actuels par de la LED, moins énergivore. Le tout, dans un souci constant d’optimisation de la performance énergétique du bâtiment. Coût : 839 000 € TTC panneaux solaires inclus. Subventions : État Fonds Vert (notifié) 197 770 € ; Département du Doubs, la Ville a sollicité un co-financement de 15% de l’opération HT auprès du Département ; PMA (notifié) 50 000 €. À noter que la maîtrise d’œuvre a été assurée exclusivement en interne par le bureau d’étude du service Bâtiment, Logistique et Espaces Publics. École maternelle de la Citadelle L’Ecole maternelle de la Citadelle, elle aussi, fait l’objet d’adaptation dans le cadre des mesures prises par la Ville pour améliorer le confort thermique des écoles et réduire leur impacte carbone. L'opération porte sur le remplacement de la totalité des menuiseries extérieures existantes, à savoir les portes et fenêtres en aluminium, ainsi que les volets roulants et stores. Ces menuiseries – datant de 1983 - sans rupture de pont thermique, disposant d’un double vitrage de 4/6/4 mm, étaient très exposées et faisaient l’objet de problèmes de condensation, de surchauffe estivale et présentaient des défauts d’étanchéité à l’air de manière générale. Ces dernières seront remplacées par des menuiseries aluminium performantes à rupture de pont thermique équipée de vitrage à facteur solaire renforcé (inférieur à 0,30 laissant passer trois fois moins de chaleur qu’un vitrage classique). De plus, elles seront équipées de volets roulants électriques extérieurs. Ces travaux ont permis, cet été, de remplacer l’ensemble des menuiseries de l’école, soit 62 fenêtres et 6 portes. Coût : 90 000 € TTC Ecole Victor Hugo L’école Victor Hugo a, elle aussi, fait l’objet de travaux durant cette année. Le bâtiment a ainsi vu sa chaufferie rénovée. La chaudière vétuste alors présente a été remplacée par deux chaudières à gaz à condensation. Ces dernières offrent un rendement énergétique nettement supérieur aux anciennes chaudières, en tirant profit de l’énergie thermique générée grâce à la condensation de la vapeur présente dans les fumées de combustion, habituellement perdue lors de l’évacuation des gaz sur les autres systèmes. Ce processus permet une montée de température supplémentaire sans apport d’énergie supplémentaire. Coût : 65 000 € TTC Au total, La Ville de Montbéliard aura consacré, en 2024, la somme de 1 687 000 € TTC pour les travaux dans les écoles (hors travaux réalisés en régie). A noter qu’entre 2019 et 2021, 240 000 € avait été consacrés aux travaux de rénovation et d’adaptation de l’école maternelle du Mont-Chevis. Le budget municipal de fonctionnement des écoles est de 155 000 €/an (hors investissements mobiliers = 15 000 €). Read the full article
0 notes