Tumgik
#Emma bien sûr
lours-file-a-telie · 4 months
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lours-postal · 4 months
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2024 - 494 & 495
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olympic-paris · 4 days
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saga: Soumission & Domination 274
Espagne - 2 soirées chaudes(2013)
Juan nous emmène (PH, Ernesto et moi) sur la plage à l'heure où les Gogos des boites la parcourent à la recherche de clients à appâter.
Par 3 ou 4, dans leurs maillots blancs portés bas sur les hanches, tirés vers le sable par des sexes lourds, musclés comme sur des publicités pour protéines et bien sûr, tout bronzés, ils sont rapidement le point de mire de toute l'étendue de sable.
Nous jouons les indifférents mais le carré que nous faisons, avec nos petits culs musclés serrés dans nos maillots à la taille calculée au plus juste, attire leurs regards. Ils dévient vers nous et je vois se pencher au dessus de nous le plus beau gosse du groupe, tout sourire, dévoilant deux rangées de dents blanches. Il nous apostrophe en anglais nous proposant des entrées pour la soirée qui vient. Mes trois collègues se retournent et matent leur petit groupe. Comme on tarde à répondre, un des autres s'accroupi à nos cotés et ajoute que, pour nous, ils pourraient aller jusqu'à nous offrir  les boissons toute la nuit.
Comme il nous voit encore hésiter, il m'attrape le poignet et clipse son bracelet " tout compris ". Quand Ernesto leur demande le dress-code, ils nous répondent que nos maillots seront bien suffisants, les kpotes et le gel sont fournis en libre service. On leur garde un flyer et comme nous leur promettons d'y venir, ils bouclent le reste de mon groupe.
Nous rentrons à la villa, tout contents. Nous racontons l'invitation à nos mecs et que nous avons même décrochés le sésame conso. Ils rigolent, comme si nous n'avions pas les moyens de payer. Je leur dis que c'était une question de principe. Hervé dit reconnaitre là ma façon de me vendre au plus offrant. C'est dit gentiment et je ne le prends pas comme une insulte. Sauf avec mes quatre amours (Marc, PH, Ernesto et Emma), je n'ai aucun scrupule à faire payer très cher mes services.
Le reste de l'après midi, nous préparons nos corps à la débauche du soir. Epilations et rasages, muscu et, pour mettre en valeur nos corps déjà bien bronzés, petits massages au lait après soleil. La pose des cockrings met en avant nos " atouts " et l'emballage du tout dans nos maillots ES de la collection 2013 complète notre attractivité. J'en prête un en caoutchouc à Juan. Son petit paquet prend tout de suite meilleur allure dans son Aussiebum. Quand nous nous présentons à Marc et Hervé, nous avons droit à des sifflements approbateurs. Dans notre dos, nous parviennent ceux de Paco. C'est rien mais ça nous mets tous les 4 en joie. Ils nous disent qu'ils viendront aussi à la soirée pour pouvoir nous surveiller un peu. Marc appelle Paco et lui dit qu'il devra nous accompagner pour surveiller son Juan et  ajoute que c'est lui qui offre.
Quand nous arrivons à la boite, nos " laisser- passer " font leur effet auprès du physionomiste et les euros agités par Marc assurent leurs entrées.
La musique est trop forte et il est quasi impossible de s'entendre parler. Par contre la population n'est constituée que des plus beaux gosses de la station balnéaire. Physiquement ils paraissent tous entre 16 et 30/35 ans. Si nous tirons notre épingle du jeu, nous ne sommes pas les seuls beaux-gosses de la soirée. Ça évite d'attraper le melon !
Je me fais draguer par un mec dans les 25-30 ans parmi les plus musclés avec un maillot bien rempli, même s'il bande un peu déjà. Il n'y a pas été par 4 chemins. Ses mains sur mes fesses, il me plaque tout contre lui pour que je sente bien son " intérêt " pour moi grandir. Je pose mes mains sur ses pecs. Il les contracte pour m'en mettre plein la vue. Ok, ils sont bien épais, tout comme la barre que je sens se développer contre ma hanche. Il va vite mais nous avons toute la nuit devant nous. Je l'entraine vers le bar et me commande une bière. Le mec annule ma demande et me dit m'offrir du champagne. Le serveur qui a vu mon poignet, me fait signe d'accepter. Il sort une bouteille de champagne français que l'autre règle avec un billet de 500€ tout neuf sorti de son slip. Je prends une coupe alors qu'il s'enfile le reste de la bouteille. Je me dis alors que ce plan ne va pas tarder à me filer entre les doigts ! L'alcool et le sexe c'est rarement compatible. Pour le moment il reste bien raide. Alors que je sirote la coupe, je jette un coup d'oeil pour voir où sont mes amis. Marc entreprend un p'tit mec tout mignon alors qu'Hervé s'approche d'une copie conforme d'Ernesto. On se refait pas !
Quand je reviens à mon " cas ", la bouteille est vidée mais pas d'effets visible sur le comportement du mec. Il bande toujours, son élocution est nette et le regard bien clair. Nous nous déplaçons sur la piste et sautons avec tous les autres au rythme de la musique. Il me colle un peu trop. Je lui dis qu'il est pas mal mais que j'ai pas encore fait mon choix. Ça le dégrise, je pense qu'il avait cru que c'était du tout cuit et qu'il m'en avait mis plein la vue avec sa grosse coupure. Du coup il me lâche et s'attaque à une autre proie. Je retourne au bar et le mec qui nous avait servi me dit que si je continu sur le même rythme, je serais invité toute la durée de mon séjour. Il est étonné quand je dis que cela ne m'intéresse pas. Je sens alors contre mes fesses se plaquer une grosse bite et des mains sur mes hanches qui la compresse. Je me retourne c'est le mec de tout à l'heure. Il commande une 2ème bouteille et comme je proteste, il me dit de laisser faire, que cela ne l'empêchera pas de bander.  Avant qu'il la finisse, je l'entraine dans les WC. Ils sont déjà bien occupé mais il déniche le dernier m² de libre et me colle au mur avant de me rouler un patin. Contrairement à ce que craignait, sa bouche est fraiche et sa langue agile. Entre deux pelles, il me dit qu'il m'avait remarqué dès mon entrée dans la boite, que mon corps musclé et huilé l'avait attiré et que quand il avait eu mon cul sous ses mains, il s'était dit que j'étais pour lui. Je le remercie de tant de compliment et pousse un peu pour voir jusqu'où il serait capable d'aller. Comme nous parlons espagnol depuis le début, je lui fais croire que je suis sans travail. Il me propose aussitôt de m'aider un peu. Je fais semblant d'hésiter, lui dit que je ne suis pas vénal et que j'ai jamais fait ça. Il me dit me croire mais reste très pressant contre mon bassin. Finalement il me propose de sortir de la boite et de finir la soirée chez lui. Comme il me plait bien, je lui dis que c'est d'accord mais que je dois prévenir un copain d'où je serais. Nous nous approchons d'Ernesto (autant prendre le plus massif pour l'impressionner un peu) et alors que je lui dis que j'accompagne ce monsieur à son hôtel, ce dernier lui donne son nom et l'adresse. C'est à deux pas de la boite et nous passons l'accueil sans autre remarque qu'un clin d'oeil appuyé du standardiste.
Il occupe une suite assez grande. Le lit King-size n'attend que nos ébats. Je me jette dessus et le mec me rejoint. Il me caresse, prenant un temps infini pour parcourir le moindre cm² de ma peau découverte. Sa langue remplace ses mains. C'est assez bon. Arrivé au bord de mon maillot, il finit de dénouer le lacet et pousse le rebord sous mes couilles. Quand il voit mon cockring en or, il me questionne sur qui me l'a offert. Là, j'invente un " service " rendu à un prince arabe. Je le vois avaler l'imposture et ça lui rappelle qu'il m'avait attiré financièrement. Il se relève et va chercher dans le coffre au fond du placard, un paquet d'Euro. Il en détache quelques billets et les pose sur la table basse sous le cendrier en verre. Il en compte 5 de 200, me regarde et en ajoute 2 autres avant de me demander si c'est suffisant. Je fais l'impressionné. J'ouvre de grands yeux en lui demandant ce qu'il fait. Quand il me dit être Trader, je lui dis en riant qu'il aurait pu arrondir. Il me regarde à nouveau ajoute 3 billets et me dit que je vais devoir quand même les mériter. Alors que j'avais remonté mon maillot, je fais quelques déhanchements avant de le retirer en lui tournant le dos et en me penchant pour bien mettre mon cul devant ses yeux. Je sens aussitôt ses deux mains se poser sur mes fesses et il me dit de ne plus bouger. Je me laisse guider. Il pousse sur mes chevilles pour me faire comprendre d'écarter les pieds. Je sens alors sa bouche se poser sur ma peau et sa langue sinuer sur ma fesse droite jusqu'à se poser sur ma rondelle. C'est un pro du léchage de cul. Il me travaille la rondelle un bon momentµ. Il me fait me poser sur le lit le cul en l'air et les épaules sur le matelas. Il fait ça trop bien. Limite qu'il me ferait jouir avec sa langue ! De temps en temps il aspire mes boules dans sa bouche pour les faire rouler sur sa langue. Je bande à en avoir mal. Quand il me lâche, j'ai la rondelle ouverte à trois doigts ! A mon tour de jouer. Il est debout et je caresse son corps. Mes mains s'attardent sur ses muscles qu'il bande les uns après les autres. A genoux devant lui, je lui retire son boxer de bain déformé par son excitation. J'avais bien estimé. Se dresse devant mes yeux un sexe d'environ 22cm bien épais, dans les 6,5. Blanc par rapport au reste de son corps bien bronzé, circoncise, sa bite est bien droite légèrement courbée vers le bas. Son gland rose vif est aussi gros que ses boules. Ces dernières, rasées, pendent bas en dessous, au moins à 5/6cm. Je ne me dégonfle pas et lui prouve que là aussi il a bien investi son argent.
Je me penche en avant et doucement m'enfile sa bite dans la gorge ne m'arrêtant que quand mes dents se sont posées sur son pubis. J'ai senti que ça lui faisait de l'effet alors qu'il avait du mal à rester debout ! Je recule, respire un bon coup et remets ça. Là, ses mains sur ma tête accompagnent ma plongée. Il est impressionné. Je l'entends se dire en anglais qu'il s'est trouvé une sacrée bonne pute. Je fais semblant de ne pas comprendre, ça pourra me servir plus tard.
En attendant il apprécie au plus haut point l'hébergement de son gros gland dans ma gorge. Je le laisse mener ses coups de reins. J'ai l'impression qu'il cherche à voir combien de temps je peux tenir en apnée car il reste de plus en plus longtemps tout au fond de ma gorge, ses mains maintenant ma tête contre lui. Comme j'ai une bonne expérience de cette pratique et une bonne cage thoracique, il prend sont pied à me malmener un peu. Ses propos virent coté " salope " et " chienne ", " bouche à bite " et " pute " reviennent souvent dans sa bouche.
Il se retire avant de juter. Il me repousse et me regarde fixement. Sans m'inquiéter, je m'interroge sur ses motivations. Il me demande alors de tourner doucement devant lui, pour se repaitre de mon physique. Il me demande quels sports je fais et ne s'étonne pas quand je lui dis faire beaucoup de muscu. Lui me dit qu'il passe 1h2/2 par jours à la salle. Je m'émerveille et ajoute que cela lui fait un corps superbe. Il boit mes paroles comme du miel ! J'ai l'impression qu'il jouit d'un égo surdimensionné ! Il me le prouve aussitôt en prenant des poses faisant ressortir ses différents groupes musculaires. Ok je dois admettre qu'il à toutes les raisons d'être fier de lui. Son corps est harmonieusement très musclé et sa bite de 22cm ne parait pas ridicule pour autant.
En Espagnol il me demande comment je le trouve. Je continu sur le mode " mon dieu qu'il est beau ". Je m'approche et caresse son corps. Il ne demandait que cela, trouver un jeune mec à impressionner. Il me quitte soudain et fouille dans son coffre et ajoute une liasse de billets à ceux déjà sur la table basse. Il me dit qu'avec la prime qu'il s'était fait cette année, il pouvait me couvrir de billet qu'il lui en resterait encore suffisamment. J'aime ce genre de propos.
Il revient vers moi, me caresse et pousse ses doigts entre mes fesses. Comme il me trouve resserré, il me pousse sur le lit et me demande de prendre mes jambes sous les genoux pour relever mon cul et écarter mes fesses. Il se couche alors et ventouse ma rondelle. Sa langue refait merveille. Il salive un max et je laisse mon sphincter se déplisser. Il fait entrer sa langue et lèche les 2/3 premiers cm de mon ampoule anale. C'est bon surtout qu'il salive beaucoup et pousse cette dernières dans mon trou.
Je ne me branle pas car ça me ferait juter direct. J'ai perdu la notion du temps quand je le sens se redresser, passer son torse entre mes cuisses et m'écrasant, me donne sa langue à téter. Bien que lubrifié et préparé, je sens son gland chercher ma porte arrière. Pas de Kpote, je serre mon anneau et il bloque. Ça le surprend. Je lui glisse dans l'oreille que je suis une pute mais de celles qui se font prendre avec Kpote. Il fouille sous son oreiller et s'équipe rapidement. Je me détends et le laisse entrer. Pour lui donner plus de plaisir et en prendre aussi ma part, je maîtrise sa vitesse de pénétration en variant ma pression anale. Quand il arrive à coller son bassin à mes fesses, il a l'air d'avoir gravi l'Everest ! Je continu mon jeu de jeune impressionné. Je lui dis " c'est trop bon ", " je ne me suis jamais pris une bite aussi belle " et il me croit !
Il s'agenouille et ses mains me prennent les hanches pour initier s'enculage.
Je fais le fier mais il est réellement bon à ce petit jeu.
Il me baise comme une reine. J'ai l'impression quand même de visiter tout le Kamasoutra. Régulièrement il change nos positions. J'ai beau pulser de ma rondelle, il tient le choc grave. Je suis plus d'une fois à la limite de juter mais il s'en aperçoit et cesse alors tout mouvement le temps que la pression redescende.
Pendant ces moments là, il m'embrasse et nos langues se battent entre elles.
Il me baise comme ça pendant presque 2h avant d'exploser dans sa kpote. Nous sommes alors assis tous les deux, moi planté sur sa queue bien sûr. Il me fait sauter dessus, ses mains sous mes aisselles me soulevant aussi facilement que si j'étais une poupée gonflable. Au moment où il jouit, il pousse sur mes épaules pour se planter encore plus loin en moi. je me laisse aller à juter à mon tour et lui en fout des litres, jusque dans les cheveux.
Je bascule sur le coté et m'éloigne avant qu'il ne débande. Je tâte ma rondelle, il l'a bien élargie le salaud ! À lui tout seul il me l'a défoncée comme lors des touzes maison où je me fais sauter par une bonne demi-douzaine de mecs dont Eric !
Sur le dos, il me demande si je serais encore libre durant la semaine. J'hésite puis lui réponds que non. Il me demande alors si je n'aurais pas quelques amis qui pourraient le dépanner comme je venais de le faire.
Je glisse jusqu'à la table basse et m'empare des billets et les compte. Il y en avait pour 2 000 avant qu'il ne fasse le rajout. Là maintenant j'en compte 10 de 500 en plus. Même si le jour se lève, se faire 7 000 € en une nuit et avec un seul mec, je ne crois pas avoir jamais gagné cela moi-même.
Je lui demande s'il sera aussi généreux. Il me répond que si mes amis sont aussi bons que moi, ce sera oui.  Je cogite vite et pense que mes deux Escorts lutteurs Espagnols feraient bien son affaire. Je lui prends son numéro de portable et lui promet de le rappeler avant midi.
Quand je rentre à la villa, j'apporte des churros frais trouvés sur le chemin. Ils dorment tous. Je pose mon salaire sur la table de chevet et m'endors aux cotés de mon PH et de Marc.
Jardinier
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lisaalmeida · 1 year
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Je ne pensais pas que tu m'avais manqué... Tu sais je n'y pensais pas souvent à nous, j'avais à faire... Oui parce que même sans toi... que tu te crois : je mangeais, je dormais, je sortais, je faisais aussi l'amour !
On faisait aussi l'amour-sans amour -
Peut-être que je ne rêvais pas c'est vrai... Mais même sans toi je répète je vivais... Bien sûr avec toi... Je vis 🌹
Emma fleur
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De Julian à Alec
Cher Alec,
Petit bonjour de Chiswick ! Je suis sûr que Magnus t’a tenu au courant de nos aventures ici à Blackthorn Hall. Nous faisons des progrès, lentement mais sûrement. Cependant, le manoir est encore loin d’être une maison dans laquelle moi ou ma famille voudrions vivre. Sauf Dru, qui prétend qu’elle préférerait garder la malédiction pour l’atmosphère (bien qu’elle ne soit encore jamais venue).
Tout ça pour dire qu’à mon avis tu peux remercier l’Ange tous les jours que Tatiana Lightwood ait épousé un Blackthorn, et que cette maison soit notre problème et pas le tien. Bref, c’est toi qui reçois les nouvelles cette fois et non pas M. Tu comprendras vite pourquoi.
Nous continuons les recherches des objets qui maintiennent la Malédiction de Tatiana ! Rupert est à court d’objets vers lesquels nous guider, ce qui signifie que nous devons recourir aux cartes de ley lines. J’entends déjà Magnus maugréer alors que tu lui lis ceci. Oui, des cartes de ley lines du XVIIIe siècle, qui arrivent juste derrière les anciennes cartes célestes de Babylone en termes de facilité de lecture et de compréhension. Tu peux d’ores et déjà dire à Magnus qu’il n’a pas besoin d’enfiler son manteau, puisque nous avons contacté Ragnor Fell à la Scholomance pour qu’il vienne nous aider. Je soupçonne Ty de l’avoir harcelé jusqu’à ce qu’il accepte (bien que je n’en aie aucune preuve) mais il était assez aimable pendant son séjour. Aussi aimable que Ragnor peut l’être, s’entend.
Les ley lines nous ont suggéré deux endroits où l’on peut cacher quelque chose d’important : un club de gentlemen du Monde Obscur et une église, tous deux dans le centre de Londres. Nous avons décidé d’aller d’abord à l’église, qui s’appelle St. Mary Abchurch. (C’est juste une impression ou les noms britanniques sont parfois étrangement ridicules ? Emma l’a tout de suite surnommée « St. Church von Church » et maintenant je n’ai que ce nom en tête.)
Quoi qu’il en soit, St-Church-La-Grande-Church est une petite église en brique rouge sur Abchurch Lane (c’est une logique amusante). Nous avons pris le train puis le métro pour y aller. Le plus compliqué dans cette expédition, c’était peut-être bien de comprendre comment se déplacer dans ce système terrestre bizarre. L’église était plutôt calme et vide : c’était le milieu de l’après-midi et il y avait quelques touristes, mais je ne pense pas que ce soit assez connu pour que nous ayons eu des raisons de nous inquiéter. Nous n’avions pas dissimulé nos runes, et personne ne nous a remarqué de toute façon. Beaucoup de gens sont tatoués à Londres.
Nous avons parcouru toute l’église, faisant semblant d’admirer pensivement les statues commémoratives et les peintures sur les parois du dôme. Nous passions le Détecteur devant un maximum d’objets et attendions une réaction.
Sauf qu’il ne réagissait pas. Explorer toute l’église n’a pas été long. Comme je l’ai précisé, c’est petit.
Emma a fait remarquer que ce n’était pas parce que l’église se situait sur une ley line londonienne parmi tant d’autres que Tatiana y avait forcément placé quelque chose, puisqu’il y a beaucoup plus de ley lines que d’objets à trouver. Et elle a raison : nous sommes partis du principe que Tatiana n’était pas entrée par effraction dans une maison terrestre sur la même ley line pour y déposer un objet, mais ce n’est pas impossible venant d’elle. Ça aurait été très étrange, mais avec tout ce que nous avons appris sur elle, nous pouvons affirmer sans doute que c’était un étrange personnage.
Nous avons tout de même trouvé une piste : alors que nous étions sur le point de partir, Emma est allée voir un panneau qui expliquait l’histoire de l’église aux visiteurs. Il y avait tout un passage sur la Seconde Guerre Mondiale et la bombe qui a touché le dôme de St. Abchurch pendant le Blitz (Tessa était infirmière pendant le Blitz ; tu le savais ?). Ça parlait surtout du dôme et de ce qui a été détruit, combien de temps il a fallu pour le réparer, qui a réparé quoi… mais à la fin, il était écrit qu’un certain nombre des possessions les plus précieuses de l’église avaient été déplacées et mises en lieu sûr. C’était accompagné d’une illustration de ces possessions – je suppose que la plupart n’ont jamais été ramenées dans l’église – et maintenant, enfin, tu comprends pourquoi c’est à toi que j’écris et pas à Magnus !
Dans un coin de l’image, on voyait deux bougeoirs. Et ces bougeoirs présentaient un symbole que nous connaissons bien. Des flames. Pas n’importe quelles flames. Les mêmes que celles sur ta bague de famille. Avec un immense « L » stylisé.
Alors, est-il possible que toi ou Isabelle sachiez de quoi je parle ? Est-ce que c’est un Lightwood qui a sorti les bougeoirs de l’église ? Est-ce qu’on les a rendus à ta famille ? Je sais que les chances sont minces, mais il me semble que ce serait une drôle de coïncidence que des bougeoirs de Chasseurs d’Ombres se trouvent par hasard à St. Mary Abchurch. Fais-moi savoir s'ils vous disent quelque chose à toi ou à Isa, et embrasse les enfants pour nous !
Julian
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/684422588778332160/julian-to-alec
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swedesinstockholm · 5 months
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24 mars
j'ai pleuré devant la la land ce soir, quand emma stone passe son audition et qu'elle raconte l'histoire de sa tante qui est tombée dans la seine, je me suis mise à sa place quand ils lui disent just tell us a story, qu'est-ce que je raconterais comme histoire moi en impro comme ça mon dieu j'y arriverais jamais, et puis je me suis rappelé du stage de théâtre à prague et de mon histoire sur paris/l'islande et des réactions que ça avait suscité et je me suis dit SI bien sûr que j'y arriverais, i'd fucking NAIL IT. ce qui me fait pleurer dans cette scène à chaque fois c'est quand elle dit here's to the ones who dream, foolish as they may seem, here's to the hearts that ache, here's to the mess we make. j'ai un peu honte d'aime la la land mais c'est comme ça.
25 mars
cet après-midi pendant que le kiné me manipulait la nuque et les épaules il a fait une manip qui aurait pu se terminer en étranglement s'il avait continué et je me disais vas-y, étrangle-moi, qu'on en finisse, j'étais tellement bien entre ses mains avec le soleil qui me caressait le visage et le bruit des oiseaux qui entrait par la porte du jardin entrouverte que ça m'aurait rien fait de mourir entre ses mains là sur le champ. il faudrait qu'un kiné me manipule la nuque à chaque fois que je commence à spiraler comme ce weekend. j'avais l'impression qu'en manipulant tous mes gros noeuds il arrivait à voir tous mes gros soucis. j'avais envie qu'il me demande comment ça va et que je puisse dire pas bien du tout et qu'il me dise de tout lui raconter et puis qu'il arrive à tout remettre en ordre, ma nuque et ma vie. il s'est laissé pousser les cheveux depuis la dernière fois, ils sont longs et bouclés maintenant. il portait un serre-tête. j'aimerais bien être son amie, il a l'air cool.
ce matin en regardant mamma mia 2 avec m. quand j'ai vu amanda seyfried entrer dans l'église avec son bébé dans les bras je pensais à cette deuxième moi, cette moi alternative dénouée, ou raisonnablement nouée, normalement nouée. cette moi qui pourrait avoir un bébé elle aussi, même si j'en veux pas. une moi vivante, une moi qui vit. j'ai l'impression qu'elle existe, en parallèle de la moi que j'habite dans ce monde. parfois je pense à elle. comme quand j'ai vu amanda seyfried avec son bébé ce matin. amanda seyfried a le don de me faire entrevoir une vie meilleure. en 2016 quand je la voyais claquer du pied sur le toit d'un immeuble parisien pour allumer la tour eiffel dans la pub lancôme je me disais que si je ressemblais à amanda seyfried il me suffirait de claquer du pied avec mes escarpins pour faire apparaitre mon appart de rêve à berlin un job dans une petite librairie indépendante et une fille qui m'aime.
26 mars
j'ai enfin acheté des nouvelles lunettes de soleil, des jolies, avec des verres assez foncés pour cacher mes yeux. mon oeil est hors de contrôle, la paupière est énorme et j'ai le visage tout gonflé, je ressemble à rien et ça me donne encore moins envie de sortir de la maison, donc je me suis dit tant pis pour l'argent je vais m'acheter des lunettes de soleil qui me plaisent et je les porterai même les jours où il fera gris. elles étaient pas très chères en plus j'ai payé 170 euros en tout. quand je suis entrée dans le magasin j'avais envie de pleurer parce que je venais d'avoir une discussion sur mon visage gonflé avec m. qui me disait qu'elle aussi elle avait le visage gonflé et j'ai dit oui mais toi t'es pas défigurée et elle a dit je sais. comme je me sentais un peu seule j'ai demandé à un des opticiens de me donner son avis, malgré mes gonflements, mes plaques rouges, ma peau qui pelait entre le menton et la lèvre inférieure, mes cheveux gras et le col de ma doudoune couvert de pellicules, mais l'opticien s'est révélé être un excellent commerçant parce qu'après avoir passé une heure ensemble il m'avait presque convaincue que j'étais jolie. je crois que ça m'a fait presque autant de bien que le massage du kiné hier. il me massait avec de la gentillesse et de l'attention. il m'écoutait avec ses yeux bleu ciel un peu écartés, se pliant à mes moindres demandes, et à chaque fois qu'il devait toucher aux lunettes posées sur mon nez pour vérifier les réglages il demandait j'ose? et je disais mais oui allez-y touchez-moi autant qu'il vous plaira ne vous gênez pas.
1er avril
au soleil soleil soleil dans le jardin d'hélène, il me fonce droit dessus. j'étais censée être chez m. là en train de faire des brioches lapin de pâques et commencer ma semaine bruxelloise que j'avais remplie à ras bord de trucs à faire tous les soirs. j'avais très peur de me retrouver dans le lit de sébastien avec maman hier soir à étouffer mes pleurs silencieux pour pas la réveiller comme une fois chez martine y a longtemps, mais tout s'est bien passé. j'ai dormi seule dans le lit de juliette avec le livre de l'intranquilité de pessoa et je crois que j'ai eu une espèce de sugar rush littéraire, j'avais le corps qui frémissait d'excitation en lisant la première page. j'avais lu l'introduction samedi soir au lit et déjà ça m'avait mise dans un état de fébrilité à l'idée d'enfin rencontrer fernando pessoa. hier dans la voiture à chaque fois que j'avais un coup de putain de merde qu'est-ce que je fous encore dans cette voiture avec maman, je pensais au livre de l'intranquilité dans mon sac à dos et je me sentais réconfortée. c'est pas grave si je suis morte-vivante, pessoa dit que quand on vit on est mort, mais écrire donne un sens à la vie-mort ou à la mort-vie. c'est pas grave si j'ai pas d'amis avec qui passer mes vacances et que je me trimballe derrière maman comme un boulet éternel et que personne, mais alors personne ne like ce que je poste sur ig, j'ai pessoa qui vit-meurt ou meurt-vie dans mon sac à dos.
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sofya-fanfics · 1 year
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Je te sauverai
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Fandom : Tokyo Revengers
Relationship : Mikey x Takemichi
Voici ma participation pour le Tropetember 2023 pour le prompt : Major Character Death.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Mikey se demandait si Takemichi était revenu du passé. Est-ce qu’il essayerait de savoir ce qu’il était devenu ? Il savait qu’il chercherait à le retrouver. C’est pour cela qu’il lui avait laissé cette vidéo dans la capsule temporelle où il lui demandait de ne pas le retrouver. Il savait que Takemichi respecterait sa volonté. Après tout, qu’avait-il a offrir à part un monde de violence et de mort.
Disclaimer : Tokyo Revengers appartient à Ken Wakui.
@tropetember
AO3 / FF.NET
Mikey regarda au loin et mordit dans un taiyaki. On était le 19 juin. Douze ans jour pour jour que les membres du Toman avaient enterré la capsule temporelle et qu’ils avaient prévu de se retrouver. Mikey redoutait cette date depuis plusieurs jours. Il savait que ses amis seraient présents, se demandant sûrement où il était et s’il viendrait. Mais il ne devait pas se rendre au rendez-vous. S’il avait dissout le Toman et s’il avait brisé tous les liens avec eux, c’était pour les protéger et protéger leur avenir. Il devait les protéger de celui qu’il était devenu.
Il s’était quand même renseigné sur ce qu’ils étaient devenus. C’était plus fort que lui, il devait savoir. Ils avaient été les personnes les plus importante de sa vie et même s’il refusait de se l’avouer, il tenait toujours à eux.
Il avait appris que Draken avait ouvert un atelier motos. Chifuyu avait ouvert une animalerie et Kazutora l’aidait depuis sa sortie de prison. Pachin, qui venait de se marier, avait repris l’entreprise de son père et était secondé par Peyan. Mitsuya était devenu styliste et commençait à se faire un nom dans le milieu de la mode. Hakkai était un mannequin international et sa sœur était son agent. Quant-à Takemichi, il était gérant d’une boutique de DVD et allait bientôt épouser Hinata. Ils étaient tous heureux sans lui et s’était mieux ainsi.
Il se demandait si Takemichi était revenu du passé. Est-ce qu’il essayerait de savoir ce qu’il était devenu ? Mikey savait qu’il chercherait à le retrouver. C’est pour cela qu’il lui avait laissé cette vidéo dans la capsule temporelle où il lui demandait de ne pas le retrouver. Il savait que Takemichi respecterait sa volonté. Après tout, qu’avait-il a offrir à part un monde de violence et de mort.
Il y a douze ans, il savait comment les choses risquaient de finir. Sa pulsion finirait par le rattraper et Takemichi serait une de ses victimes. Il le tuerait, comme il tuait tous ceux qui le gênaient ou qui ne lui étaient plus d’aucune utilité.
Il y a bien longtemps, les seules personnes capable de l’aider à combattre cette pulsion avaient été Shinichiro, Emma et Baji. Mais tous les trois n’étaient plus de ce monde. Puis Takemichi était entré dans sa vie. Il avait cette force et ce courage qui avait donné envie à Mikey de combattre cette pulsion. Avec Takemichi à ses côtés, la noirceur qu’il avait en lui disparaissait. Il était devenu son héro et il l’aimait. Et c’est parce qu’il l’aimait qu’il devait le laisser retourner à son époque. Il savait qu’à l’instant où Takemichi disparaîtrait, sa pulsion noire reprendrait le dessus. Il était plongé bien trop profondément dans les ténèbres et plus personne ne pouvait le sauver. Pas même Takemichi.
Il mordit à nouveau dans son taiyaki lorsqu’il entendit quelqu’un arriver derrière lui. Il savait qu’il s’agissait de Sanzu, son fidèle second.
« Tu es sûr de ne pas vouloir t’y rendre ? Demanda Sanzu.
-Oui, répondit Mikey avec indifférence. »
Cette date faisait partie de son passé et cela devait rester ainsi.
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Cela faisait plusieurs jours que Mikey entendait des rumeurs sur un homme qui cherchait des informations sur lui et sur le Bonten. Qui pouvait être cet idiot qui le cherchait alors même que les autorités le craignaient ? Pendant une seconde, le visage de Takemichi lui vint à l’esprit. Mais c’était impossible. Il devait se marier avec Hinata dans quelques jours et il ne risquerait pas de tout perdre pour le retrouver.
Mikey regarda Rindo se débarrasser du cadavre d’un des membres du Bonten qu’il venait d’exécuter. Il l’avait trahi, alors Mikey devait l’éliminer. Il ne ressentait rien. Ni regret, ni peine, ni plaisir comme les membres de son gang. Il était vide. Il vit du coin de l’œil Sanzu arriver. Il l’avait envoyé se renseigner sur cet homme.
« Tu as appris quelque chose ? Demanda Mikey.
-Il s’agit de Takemichi Hanagaki. »
Alors c’était bien lui, pensa Mikey. Il ne l’avait pas écouté et il l’avait recherché. Pourquoi fallait-il qu’il continue à jouer au héro ?
« Tu sais où il se trouve ? »
Sanzu acquiesça. La main de Mikey se crispa sur le pistolet.
« Amène-moi à lui. »
Mikey savait déjà ce qui allait se passer. C’était pour ça qu’il ne voulait pas revoir Takemichi. Pourquoi les choses devaient-elle se terminer ainsi ?
******
« Je te sauverai ! »
Pourquoi ? Pourquoi alors que Mikey venait de lui tirer dessus et qu’il était sur le point de mourir, Takemichi voulait toujours le sauver ? Il n’avait pas compris qu’il était trop tard pour lui. Cela faisait des années qu’il ne pouvait plus être sauvé. Pourquoi continuait-il d’insister ? Il lui avait dit lui-même qu’il ne pouvait plus retourner dans le passé.
Mikey n’en pouvait plus de cette vie. Il s’avança vers le bord et se laissa tomber dans le vide. C’était enfin terminé. Il sentit sa chute s’arrêter. Takemichi l’avait rattrapé par le bras. Comment était-ce possible ? Avec les balles qu’il lui avait tiré dessus, il devrait être entrain de se vider de son sang, incapable de bouger. Et pourtant, Takemichi refusait de le lâcher. Il continuait d’insister en disant qu’il pouvait encore être sauvé et pour la première fois, il l’appela par son prénom.
Quelque chose dans le cœur de Mikey changea. Il avait envie de croire en Takemichi et croire qu’il méritait d’être sauvé. Il lui attrapa la main et le regard de Takemichi changea. Mikey connaissait ce regard. Il l’avait déjà vu douze ans auparavant quand le Takemichi du futur voyageait dans le passé. Est-ce que c’était ce qui venait de se passer ? Est-ce que Takemichi venait de voyager dans le temps ?
Tout à coup, le corps de Takemichi bascula et tous deux tombèrent dans le vide. Malgré leur chute, Mikey ne voulait pas lui lâcher la main. La chute ne dura que trois secondes, qui semblait lui durer des heures.
Ils s’écrasèrent sur le sol. Le corps de Mikey avait amorti celui de Takemichi. Pourtant, il ne bougeait plus, il ne respirait plus. Mikey comprit qu’il était mort. Lui-même était au plus mal. Tous les os de son corps étaient brisés. Ses poumons devaient être perforés, il avait de plus en plus de mal à respirer. Jamais il n’avait eu aussi mal. Il voulait hurler de douleur, mais il n’y arrivait pas.
Il pouvait entendre un attroupement se former autour d’eux, mais il ne voyait rien. Le choc l’avait rendu aveugle. Sa main qui tenait celle de Takemichi se desserra peu à peu. Il se sentit partir et il comprit qu’il lui restait peu de temps. Il rassembla le peu de force qui lui restait pour lever son bras et le passer autour de Takemichi. Il n’avait jamais eu peur de mourir, mais cette fois, c’était différent.
« Takemitchy, réussit-il à murmurer. »
Takemichi lui offrait une seconde chance et Mikey espérait la passer auprès de celui qu’il aimait. Auprès de son héro, auprès de Takemichi.
Fin
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coolvieilledentelle · 2 years
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Qu'importe si j'ai vingt ou cinquante ans, si je rougis encore d'un compliment, si je ris, plaisante et aime tout démesurément ? Si dans les méandres de l'âme je me cache et joue à cache-cache avec mes émotions ? Qu'importe si je suis un enfant devant un gâteau ou une femme quand je me sens aimé ? J'ai les yeux qui se protègent de la terreur et les mains pleines de plis du travail que j'ai fait. Parfois j'ai été brisé en plusieurs parties,mais j'ai réussi à me ressaisir et collé mes morceaux dignement sans rien perdre. Cicatrices ? Bien sûr, il y en a, mais aussi de nombreux souhaits et rêves à réaliser. J'ai enterré des souvenirs et des douleurs inutiles, J'ai arraché des larmes du ciel, quand, recroquevillé sur moi-même, J'ai crié ma douleur, J'ai déchiré mon âme plusieurs fois devant la froideur des autres coeurs et déchiqueté le mien dans l'indifférence totale de ceux que j'aimais. Je suis conscient de qui je suis, de ce que je veux, des années qui me traversent, qui glissent sur moi et de ceux que je vis pleinement. Je suis conscient que rien ne m'est dû, qu'il est parfois légitime d'espérer, mais se leurrer est nocif…et que je veux éviter la souffrance gratuite. je recommencerais parce que j'y ai cru et il y a l'empreinte de mon amour, parce que contrairement à certains, Je sais ce que signifie aimer. Peut-être que je ferais des choix différents pour être moins fatigué, moins fragile, moins méfiant. Cependant, je me demande ce que je serais si j'avais moins de cœur, moins de sensibilité, moins de douceur d'esprit quand je croise deux yeux qui me lisent, me cherchent et ne veulent pas. Si ce que je suis, si ce que j'ai vécu n'avait pas aidé, si je n'avais même pas laissé de souvenir, alors je m'en soucierais. Mais si j'ai vingt, cinquante ou soixante-dix ans, il importe seulement à qui la vie a été généreuse en gardant tout pour lui. Tout ce qui m'importe, c'est que quand on pense à moi, l'odeur de la mer arrive dans un rayon de soleil.
Emma Lambert
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e642 · 2 years
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Il y a un gars qui s'est mal comporté avec moi et qui est venu s'excuser il n'y a pas longtemps. J'avais écrit dessus. Je sais très bien que ses excuses sont essentiellement motivées par le fait qu'il a envie de me baiser. Mais pas parce que je suis Emma, uniquement parce qu'il n'a aucune autre partenaire qui le considère je pense. Donc l'idée est dégradante. Puis moi, je me suis dit "tu sais quoi meuf, si on se revoit, fais encore moins d'efforts que d'habitude, genre t'épile même pas". Et j'ai réalisé. J'ai réalisé que les injonctions de la société concernant les femmes et en terme d'esthétisme sont plus ancrées que je ne le pensais. Je ne suis pas une adepte de m'adapter à l'autre esthétiquement. C'est à dire que si je n'ai pas envie de me maquiller, m'apprêter, m'épiler, t'auras beau dire ce que tu veux, je ne le ferai pas pour toi. Le fait est que je me sens moi même plus à l'aise épilée par exemple (c'est bien-sûr une préférence construite sur cette injonction mais passons c'est pas là que je veux en venir). Je veux en venir au fait que pour ""punir"" un homme, j'ai pensé à ne pas m'épiler car je sais très bien qu'on a beau dire que les esprits s'ouvrent, la majorité aime une épilation féminine "carré" même quand la leur ne l'est pas. Et donc ça m'a rendue triste d'avoir pensé à ça, d'inconsciemment savoir que ça marchera si je fais ça, que mon potentiel sexuel est particulièrement régi par des tabous ou des obligations dites sociétales. Et savoir que ce sera effectif, donc que le mec en question va mal le prendre est pire à imaginer. J'essaie souvent de déconstruire au maximum, par là j'entends réussir à dissocier et prendre en compte 3 choses très différentes: ce que je veux, je que la société veut et ce que la personne en face veut. Et j'essaie toujours de faire un choix qui calque à mes convictions. Mais mes convictions sont basées justement sur la société et les hommes. En fait j'essaie de déconstruire 3 trucs intimement liés. C'est comme si dans ma maison je voulais refaire uniquement les murs sans toucher à rien d'autre, mais c'est pas possible car les murs dépendent de toutes les autres choses (sol, plafond, surface). Donc en fait, la déconstruction à des limites malheureusement et je sais que c'est normal parce que mon avis il est fait de tout ce que j'ai pu piocher à droite et à gauche qui me paraissait être le plus en adéquation avec moi. Mais "moi" c'est déjà la société et mon entourage qui la construit. Je sais pas si je suis claire mais ça me frustre cette situation où tout à un lien de causalité donc à moins de démolir la maison et en refaire une autre c'est pas possible. Et l'autre sera toujours faite de plein de choses dépendantes. La conclusion c'est que j'essaie de faire au mieux et comprendre comment tout ça, ça marche mais j'ai souvent l'impression d'être seule à le faire. Et dans un système où on est 8 milliards d'avis, de pensées, de tabous, être minoritaire, ça ne fait pas avancer grand chose. Mais je regrette souvent d'être une femme avertie et quand même avoir involontairement laissé des tabous faire leur nid dans mes pensées.
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lours-file-a-telie · 4 months
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Philatélie 467
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lours-postal · 4 months
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2024 - 497
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olympic-paris · 20 days
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saga: Soumission & Domination 258
Kamal et Eric, le diner chez Emma et courses.
Kamal se stabilise. Son programme chargé ne lui laisse plus le temps de se poser des questions.
Alexandre a retrouvé son p'tit " rat " des débuts, Maxou me rapporte qu'il bosse bien et que de lui-même, il a réquisitionné Victor pour le soutient en langues. Souvent avec Louis qui l'aide aussi, Ils se font Kamal. Il me dit que ce doit être aussi de faire toujours le passif qui doit le souler avec Alexandre. Avec eux, Kamal est recto verso, même si sa bite ne fait que 16, ses 6 cm de large sont efficaces.
Kamal lui-même est venu me parler d'Eric. Je ne lui avais rien dit le concernant.
Dès le premier contact, il a du sucer la grosse queue black d'Eric. Il me dit qu'il avait hésité mais qu'Eric lui avait dit que cela faisait parti du contrat. Comme c'était un ami à moi, il avait accepté ses avances. Il me dit qu'il n'avait jamais vu de bite aussi grosse, ni d'aussi noire. Cela me fait rire (j'avais eu la même réaction à ma première rencontre d'Eric).
Je lui ai demandé ce qu'il avait fait. Il m'a dit n'avoir réussi qu'à sucer son gros gland et à peu près la moitié de sa bite. Moi : ça t'a plut ? Lui : oui mais j'ai mal à la mâchoire Moi : va falloir t'y faire, t'es pas rendu au permis Lui : tu crois qu'il va me l'enfiler dans le cul Moi : c'est sûr ! Mais t'inquiète il sait y faire avec des p'tits culs comme le tien.
Il se colle à moi et me roule un patin tout en vérifiant de la main s'il me fait de l'effet. C'est évidement le cas ! Prenez un beau petit beur, ça fait monter la sève de n'importe quel homme normal ! Lorsque ses mains ont dégagées ma queue et mes boules de mon jeans, il glisse vers le bas et engouffre ma bite jusqu'aux couilles. Deux, trois fois je le laisse pomper puis l'écarte de moi. Il me dit qu'il faut bien qu'il s'entraine pour faire la place à Eric.
PH est entré alors qu'il replongeait sur mon gland. Je lui ai fait signe de me rejoindre et alors qu'on se roulait un patin, je dégageais son sexe pour qu'il profite aussi de la douceur de la bouche de Kamal. A nos pieds, il a vite compris et s'est mis à alterner sans qu'on lui demande.
Bien chauds, avec PH nous l'avons mis nu avant de, nous même, nous mettre dans le plus simple appareil. Sur le canapé du salon, nous l'avons embroché par les deux bouts façon agneau de méchoui. Je crois bien qu'il a kiffé de se faire baiser par nous deux. Mes coups de rein dans son cul enfonçait le gland de PH tout au fond de sa gorge. Après avoir échangé plusieurs fois nos places, je me réinstallais dans sa rondelle pour le final. Mes mains bien accrochées à ses hanches, je l'ai bourriné jusqu'à remplir ma kpote. Alors que je le plantais profond, PH s'est retiré de sa bouche pour lui recouvrir le visage de sperme. Dans ma main s'écoulait son propre sperme.
Comme il avait pris du retard, je téléphonais à Alexandre que nous lui renvoyions son petit minet. J'ajoutais que nous l'avions bien chauffé et qu'il était tout prêt à servir.  Il me demande comment je l'ai trouvé. Je lui dis que de voir plus de bite c'avait l'air de lui faire du bien ! De plus le coaching de Maxou faisait son effet. Là, il admet que j'ai eu raison. Les résultats de Kamal se sont améliorés et pas seulement dans les matières scientifiques. Je lui explique ce qu'avait mis en place Maxou avec l'aide d'un autre de mes petits gars. Il éclate de rire et me dit que c'est plus seulement une agence d'Escort-boys mais Acadomia ! Je lui renvoi qu'en attendant, je l'ai stabilisé son petit Kamal, même s'il le partage un peu maintenant ! Il l'admet et me dit qu'il le préfère maintenant.
J'ai eu Eric deux semaines plus tard. Il venait d'enculer notre Kamal et tenait à me faire savoir que c'était un réel bon coup. Il me remerciait de le lui avoir envoyé avant mes autres clients. Du coup sa rondelle était encore étroite pour son gros diamètre. Je lui demandais s'il avait quand même fait attention. Il m'a alors rappelé que j'y étais passé moi aussi et qu'il ne m'avait pas ruiné mon petit trou pour autant.  Il m'a dit que non seulement le petit avait aimé ça mais il s'était donné à fond et n'avait pas hésité à le chevaucher comme un malade. Je lui ai quand même demandé comment il se débrouillait sur une moto. De ce coté là aussi il progressait bien. S'il a son bac je me laisserais peut être aller à lui offrir sa première moto !
OK, OK ! Je sais que je suis protecteur. Un psy de bas étage dirait que ma condition de fils unique a provoqué des manques que je m'évertue maintenant à combler.
En attendant la vie continue en parallèle. Emma nous a tous invités pour ce premier diner réalisé par Pablo. Quand je dis tous, j'entends par la ses trois amants (PH, Ernesto et moi) plus leurs deux mecs, Marc et Hervé. Quand nous passons à table je remarque 7 couverts. Comme Pablo apporte l'entrée, elle lui demande de rester avec nous. Il refuse mais elle le convainc en lui disant que ce serait la seule et unique fois.
Pablo surveille donc de la salle à manger l'exécution de la suite de son diner par la vieille cuisinière, fière de montrer qu'elle peut suivre ses instructions sans faillir. Il nous régale et tous nous le félicitons pour l'association des saveurs et la finesse des plats. Au dessert, Emma nous dit qu'avec Pablo elle dispose maintenant du meilleur cuisinier privé qu'elle connaisse.
Pablo en rougit de plaisir sous sa carapace de macho ! Avant de repartir nous lui offrons les 3 tableaux, empreintes de nos corps nus. Emma trouve ça original. Elle reconnait qui est qui mais laisse Pablo essayer de nous trouver. Il devine surtout son frère et nous remercie. Nous les déposons dans son appart en partant.  Emma que nous n'avions " vus " depuis pas mal de temps demande si nous (les trois jeunes) pouvons rester jusqu'au lendemain. Marc et Hervé se regardent et acceptent. Après tout ils nous ont plus souvent qu'elle. Dès que nous nous retrouvons tous les 4, les vêtements volent et c'est à poil que nous traversons la maison pour un petit bain avant l'amour. En arrivant près du bassin, nous attrapons Emma et la faisons voler dans les airs avant qu'elle n'atterrisse dans l'eau. Nous plongeons vite pour la retrouver. Les jeux ne restent pas innocents très longtemps ! Emma se retrouve rapidement envahie par tous les orifices possibles. Je lui roule une pelle alors que les doigts de PH et Ernesto s'agitent à l'autre extrémité de son corps.
Nous la sortons de l'eau et la portons jusqu'à sa chambre. Puis commence la partie de plaisirs. Dans un premier temps nous nous concentrons sur Emma. D'abord nos langues entrent en action. Nous tournons sur ses trois orifices, bataille de langue, excitation de son clito et préparation de sa rondelle à la défonce, nous y passons tous les trois. Quand nous l'avons senti bien chaude, un orgasme clitoridien plus tard, nous avons commencé à user de nos bites. Comme pour nos langues, nous alternons les pénétrations. Bouche, chatte et cul en prennent pour leurs comptes. Ma position préférée et je pense celle d'Emma aussi c'est : PH dans sa bouche, Ernesto dans sa chatte et moi dans son cul.  Nous avons réussi à la mettre sur les genoux avant que nous même nous jouissions à notre tour. Les trois orgasmes que nous lui avons procurés pendant nos rotations y ont été sûrement pour quelque chose.  Alors qu'elle revenait du dernier, elle a pu nous admirer nous aimer entre nous. Elle est même venue nous rouler des pelles alors que je défonçais PH tout en me faisant mettre par Ernesto. C'est aussi une position que j'affectionne particulièrement. Se faire labourer le cul alors que sa propre bite est compressée par une rondelle bien serrée, c'est très bon. Et d'autant plus quand la queue qui te défonce fait 24 x 6 (même sous emballage)!
Alors que nous nous écroulons en tas après avoir enfin éjaculés, Emma nous cajole tout en nous laissant reprendre souffle.
Nous finissons la nuit tous les 4 serrés dans son grand lit.
Le matin, Pablo nous avait préparé un petit déjeuner à l'anglaise, ayant supposé à juste titre que nous aurions besoin de reconstituer nos forces. Comme il apportait le thé, je demandais à Emma si elle lui avait octroyé un créneau pour nager dans la piscine. Elle n'y avait pas pensé. Retenant Pablo, elle lui a demandé si l'accès à la piscine l'intéressait. A sa réponse positive, elle lui a permis d'y aller quand elle même ne l'utiliserait pas et dans ses plages de temps libre. Pablo lui a dit qu'il irait, dans la mesure du possible, tous les jours en début d'après midi.
Retour au Blockhaus. Marc et Hervé nous attendaient. Comme leurs voyages à l'étranger ne favorisent pas l'exercice, hors les quelques hôtels équipés de salle de sport et la baise, nous les attirons  au second pour deux bonnes heures de suée. Puis barbotage dans l'eau chaude de la piscine pour détendre nos muscles.
L'après midi, Hervé et Marc nous ont trainé dans les boutiques pour refaire nos vestiaires. Après avoir acheté de quoi remplir les tiroirs à chemises et pour eux deux un costume, ils se sont aperçu que nos gabarits particuliers : épaules larges, bustes bien développés et bassin étroit avec cuisses plutôt musclées, ne rentraient pas dans le standard du prêt à porter classique. Du coup nous avons fini dans la boutique Levi's où nous avons foutu un bazard pas possible. Je pense qu'à nous 5, nous avons accaparé plus de la moitié des vendeurs et essayé toutes les formes en stock. Avec PH et Ernesto, j'ai rendu fous nos jeunes vendeurs attitrés avec nos demandes de Jeans slims dans lesquels nos cuisses avaient du mal à rentrer. J'ai poussé le vice à demander à deux vendeurs de m'aider à enfiler le plus étroit. Chacun d'un coté de moi, tirant vers le haut le jeans par la ceinture alors que je détendais mes muscles pour facilité leur compression. Comme nous faisions beaucoup de bruit, PH et Ernesto sont venu à la rescousse et passant leurs bras autour des vendeurs sont venus les aider à " m'enfiler ". Cela n'a pas rendu l'essayage plus discret. Ils en pont profiter pour les coincer contre moi et pour frotter leurs braguettes gonflées contre leurs petits culs. Je ne sais pas s'ils étaient homos mais j'ai bien senti leurs bites gonfler contre mes cuisses. J'ai commencé à bander et là, c'est devenu carrément impossible de refermer les boutons !
Leur patron est arrivé pour gueuler que nous faisions trop de bruit, le plus jeune des vendeurs, joues rouge et braguette déformée, lui a montré la pile de jeans déjà mis de coté. Grands sourires et excuses pour nous avoir déranger, nous souhaitant bonne continuation.
Du coup, c'a cassé l'ambiance et nous avons fini nos sélections rapidement. Avant d'arriver en caisse, je donnais à mes deux petits vendeurs ma carte tout en les invitant à venir nous retrouver dès la fermeture de leur boutique. Comme le plus jeune allait s'excuser de ne pouvoir venir, son collègue l'a pris par le bras et nous a dit que sans problèmes ils nous rejoindraient tous les deux vers les 20h, la boutique ne fermant qu'à 19h30. Passage en caisse, remerciement du patron devant la 20aine de pantalons que nous lui prenions. Nous finissons les courses dans un magasin de vêtements de sport. Ils ne disposent que de Jocks Adidas et tous avec coquilles pour les sports de combat. Nous passons dans les rayons " sport indoor ". Rien de neuf en appareil de muscu. Je prends quand même une douzaine de paires de gants de différentes tailles pour notre salle privée. Coté vêtements, rien de plus intéressant que ce qu'on peut trouver par internet.
Retour à la maison. Je préviens Marc et Hervé que j'avais invité pour le soir même nos deux vendeurs. Hervé est surpris, pas encore complètement à l'aise avec mes façons de faire. Marc lui me souri, amusé comme d'habitude. Il sait que mes choix seront à même de satisfaire ses envies.
Quand ils arrivent, Marc me félicite. Mes deux jeunes vendeurs sont mignons comme tout. Ils sont un peu intimidés mais ça ne dure pas. Le plus âgé, 20ans maxi, porte son jeans comme une deuxième peau. Mais il se laisse rapidement dépouiller de son polo. Pas un poil sur le torse aux pecs bien dessinés avec des tétons plus gros que la normale. Quand j'en pince un, il réagit au 1/4 de tour. C'est du téton travaillé ça ! L'apprenti vendeur, plus jeune se laisse approcher par Ernesto et PH. Il se laisse embrasser et bientôt se retrouve nu comme un ver. Imberbe lui aussi, il se débride complètement et s'attaque aux boutons de leurs braguettes. Le plus âgé me dit alors qu'il ne faut pas que je m'inquiète, sous des dehors de garçon bien élevé son collègue est une véritable petite salope. Toujours une kpote en poche pour se faire baiser par un beau client. Quand il tombe sur les 24cm d'Ernesto son exclamation est sans équivoque, tout comme sa plongée pour se l'enfiler dans la gorge ! De mon coté, avec l'aide de Marc, j'ai fini d'éplucher mon vendeur.  Plein de bonne volonté, il se penche de lui-même sur nos bites et nous suce en alternance. J'aime bien sa bouche et sa mâchoire large qui nous laisse entrer dans sa gorge sans que nous ne sentions ses dents. Il joue de sa langue sur nos glands avec dextérité et la pointe même pour titiller nos méats. Marc aime bien et il bande encore plus dur. A nos coté, le jeune vendeur s'est attaqué à la queue d'Hervé. Ernesto, la main sur sa tête, dirige la pipe. PH nous rejoint. Il s'installe sous le vendeur pou r emboucher sa bite (correcte dans les 18 x 4/5). De mon coté j'écarte ses fesses et à la vue d'une belle rondelle serrée, je me penche pour la bouffer. Bien que bâillonné par les 22cm de Marc, il émet des borborygmes que nous traduisons comme des signes de bien être. Sous ma langue son anneau se desserre rapidement. Mes doigts plein de gel remplacent ma langue et j'en entre facilement deux. Ça l'air de lui plaire vu comme il tortille du cul. Au troisième doigt, je préviens Marc qu'il est prêt à être sailli. Dégagement de sa gorge, enkpotage et pénétration dans la foulée. Le vendeur apprécie la défonce. Il attend que Marc soit au fond de son cul pour agripper mes hanches et enfourner ma bite dans sa bouche. Il m'aspire et m'avale. Sa gorge serre bien mon gland et je dois faire un effort pour me retirer et le laisser respirer ! Bien chaud, je demande à PH de se tourner en 69 avec notre centre d'intérêt et quand il est en position, je m'assois sur sa queue. Ce n'est pas mauvais de se faire pomper le dard tout en se faisant ramoner le cul, tout ça sous les yeux de son mec en train d'enculer le suceur !
A nos cotés, Ernesto et PH font la fête au petit cul de l'apprenti vendeur. Après l'avoir baisé chacun à son tour, ils en sont à l'enculer ensemble. Vu les grimaces qui déforment son visage, l'apprenti prend grave ! Je décris à son collègue ce qu'il subit. Il est surpris au point de délaisser ma bite et de tourner la tête pour mater. Il nous dit qu'il le savait très salope mais pas à ce point là. Je reprends sa tête et plante ma bite dans sa bouche ! Faudrait pas qu'il m'oublie. Il s'étrangle plusieurs fois. Quand Marc pousse son sexe au plus profond de son cul ça le propulse sur mon sexe et mon gland pénètre au plus profond de sa gorge.
Quand je vois l'apprenti se juter dessus avec une force telle qu'il s'en fout dans les cheveux, j'explose à mon tour et mon sperme sert de gel au vendeur. Je sens au fond de moi, PH juter comme Marc se fixe au plus profond de notre invité pour remplir sa kpote.
Avachis dans les canapés, nous récupérons quand Samir et Ammed arrivent avec des serviettes tièdes et de quoi restaurer nos forces. Les deux nouveaux ouvrent de grands yeux devant leurs tenues minimales (rappel : shorty en cuir moulant).
C'est quand ils veulent partir que nous nous apercevons qu'ils ont bu un peu trop ! alors qu'ils veulent absolument rentrer chez eux, PH leur fait comprendre qu'ils sont trop " chargés " pour prendre le volant. Ils acceptent de se faire raccompagner. Ammed suivra Samir et les deux vendeurs pour le ramener au blockhaus.
Jardinier
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maaarine · 2 years
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attention roman ci-dessous
1) Julien: l’idée que des hordes de gamines trouvent ce maxi branleur à leur goût me désespère, où va le monde franchement
2) Anisha: je ne sais pas l’encadrer non plus mais elle est un cas d’étude intéressant
avec sa petite voix fragile et son ahurissement permanent, elle se comporte comme une enfant de 8 ans, ce qui me met viscéralement mal à l’aise
d’ailleurs elle a des mimiques et remarques de personnage de dessin animé, comme les enfants qui copient tout ce qu’ils voient à la télé
alors on pourrait croire qu’elle passe juste ses journées à regarder Naruto et qu’elle a oublié d’évoluer
mais le truc c’est que se comporter comme une fillette est un mécanisme de défense, qui incite les autres à ne pas la traiter comme une adulte, sachant que c’est dur-dur d’être adulte
à quel point ce mécanisme (manipulateur) est-il conscientisé et intentionnel dans son fonctionnement?
elle me donne l’impression d’être normale quand elle est sur scène, puis de remettre un masque d’enfant timbrée dès qu’elle en sort, donc où est son authenticité?
3) Michael Goldman: ah intéressant que tu vois la similarité avec Jean-Jacques parce que je pense que sa vibe NJ est effectivement palpable
je demandais ton avis parce que moi je le vois INTJ depuis le début, et je me disais que ça ne doit pas être une opinion partagée, vu que son capital sympathie auprès du public et l’archétype du méchant INTJ sont incompatibles
quand je l’ai vu au dernier débrief du prime, alors qu’il faisait des remarques directes/“dures” mais pertinentes, contrairement à Laure qui ne sert à rien, je me suis dit que quelqu’un d’autre allait peut-être envisager TJ pour lui
ce qu’il a dit de la prestation de Léa sur Hot Stuff, comme quoi c’était parfait qu’elle rigole au lieu de jouer la femme fatale, vu que ça correspond à sa personnalité et sa “singularité”, c’était une remarque 1000% correcte, j’ai pensé exactement pareil
4) autres saisons recommandées: la saison 1 c’était du grand n’importe quoi, tout le monde était médiocre à part Olivia Ruiz
la Star Ac a été lancée dans la foulée de Loft Story, c’était le début de la télé réalité, et le casting était clairement axé sur cette dimension, d’où la présence de l’inoubliable Jean-Pascal qui se ferait cancelled en une seconde aujourd’hui
je pense que la saison 2 reste la plus culte pour beaucoup de monde, même si le niveau des élèves restait catastrophique
la production tentait désespérément de monter Nolwenn contre Emma alors qu’elles s’entendaient bien et que ça les saoulait qu’on les manipule ainsi
Nolwenn était aussi en drama avec Houcine et le fameux George Alain pour des raisons jamais élucidées (j’ai toujours pensé qu’elle les avait ~friendzonés~ et que la pilule était mal passée chez ces messieurs)
et je ne sais pas si quelqu’un d’autre s’en rappelle, mais la presse people prétendait à l’époque que Nolwenn avait carrément une liaison avec le répétiteur Matthieu Gonet dans le chateau (il a toujours nié mais ma chère mère y croyait)
que de potins, que de souvenirs! 
j’ai trouvé la saison 3 sympa aussi, même si je n’ai jamais compris la victoire d’Elodie, qui chantait faux et chialait h24
TF1 la vendait comme une écervelée dévergondée (de façon misogyne bien sûr), donc je pense qu’ils étaient aussi surpris qu’elle gagne au final
le grand moment cette année-là c’est quand Pierre a choisi de ~quitter l’aventure~ en plein prime, après avoir chanté Bohemian Rhapsody, “je m’en vais comme un prince”, entré dans la légende
la saison 4 était courue d’avance, tout le monde savait que Grégory gagnerait dès le premier prime, ce qui me gavait parce que n’aimais pas sa personnalité, mais rip quand même
saisons 5-6-7: je regardais moins, très peu de souvenirs (années où j’ai dû me mettre à bosser un minimum après l’école donc il fallait choisir entre regarder la quotidienne ou réussir le test de math)
saisons 8 etc: rien vu du tout
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
Je m’excuse de ne pas avoir écrit sur tes pages ces derniers jours. Nous avons été bien occupés ici.
Mardi matin, Julian et moi prenions notre petit-déjeuner. Il faisait du soleil cette semaine et c’était agréable de passer du temps dans la cuisine. J’ai développé une passion pour les crumpets[1], et Julian les prépare extrêmement bien. Nous les mangions avec du miel et du beurre quand quelqu’un a frappé à la porte.
Julian a sursauté. La veille, nous avions reçu une lettre de Ty dans laquelle il nous annonçait qu’il allait venir avec Ragnor à Blackthorn Hall. Il craignait beaucoup que ça énerve Julian, mais Julian n’était pas du tout énervé. Il était anxieux. Toute la journée, il avait l’air distrait et se cognait partout. Alors quand nous sommes allés nous coucher, je lui ai pris la main pour écrire dans sa paume, comme nous en avions l’habitude, une lettre à la fois. Q-U-E-S-T-C-E Q-U-I T-I-N-Q-U-I-E-T-E ?
Nous nous sommes enlacés sous les couvertures. Il m’a avoué qu’il s’inquiétait parce que c’était lui qui s’occupait de Ty avant, et maintenant plus d’un an avait passé, et Ty se débrouillait seul. Il a ajouté qu’il savait tout de Ty, l’heure à laquelle il se levait et allait se coucher, ce qu’il aimait faire, ce qu’il aimait manger. Et maintenant il a l’impression de l’avoir perdu de vue d’une certaine manière, comme s’ils étaient devenus des inconnus l’un pour l’autre.
Je l’ai rassuré : il ne perdrait jamais Ty de vue et leur relation sera toujours spéciale, elle allait simplement changer parce que Jules n’avait plus besoin de s’occuper de tout le monde en faisant semblant du contraire. Il n’avait plus à porter le poids de cet énorme secret, et s’occuper de quelqu’un est toujours un poids, peu importe l’amour que l’on a pour les personnes dont on s’occupe.
Et puis il m’a embrassée, et la suite, Bruce, ne te regarde pas. Punaise, comme tu es curieux !
Enfin bref, revenons au petit-déjeuner et à la personne à la porte. C’était Ragnor, qui avait un teint vert et fringuant, comme une prairie anglaise. Il a rapidement dépassé Julian pour aller examiner les tentures. En réalité, il examinait certainement quelque chose de magique, comme la malédiction, mais à mes yeux il semblait examiner les rideaux et le papier peint. Peut-être songe-t-il à refaire la décoration chez lui. Ou peut-être laissait-il un moment à Julian pour être seul avec Ty, qui était encore sur l’escalier, si adorable avec son air gêné et son sac sur l’épaule.
J’ai eu envie de courir vers lui pour le prendre dans mes bras, mais je ne suis retenue parce que je sentais au plus profond de moi que ce moment n’appartenait qu’à Ty et Jules. Jules se tenait dans l’encadrement de la porte et regardait Ty, les traits tirés, puis a fini par dire « Viens là » d’une voix rauque. Ty a laissé tomber son sac et a grimpé les escaliers en courant. Julian l’a serré dans ses bras si fort que j’étais certaine qu’il allait protester. Mais pas du tout. Il a simplement accepté le câlin. Julian a passé la main dans son dos en chuchotant « Ty-Ty », et je n’ai pas vu ce qu’il s’est passé ensuite parce que je faisais de mon mieux pour garder les yeux grands ouverts sans cligner. C’est le moyen le plus sûr que je connaisse pour éviter de pleurer.
Après ça, nous avons fait visiter le rez-de-chaussée à Ty et Ragnor, ce qui était un peu bizarre puisque Ty était déjà venu ici avec Livvy il y a deux ans. Je pense que nous avions tous conscience de ce chagrin lourd comme une chape de plomb. Julian n’arrêtait pas de lancer des regards inquiets à Ty, mais lui n’avait pas l’air triste, plutôt pensif. Au bout d’un moment, Julian lui a fait remarquer qu’il devrait aller à l’étage pour choisir sa chambre :
- N’importe quelle chambre ! Il y a du choix. Prends celle que tu veux, tu pourras la décorer comme tu le souhaites. Tout ce que tu veux.
- Et moi, je vais dormir comment ? a questionné Ragnor d’un ton bougon. Enfoncé dans la cheminée ?
Ty était déjà dans l’escalier avec Julian. J’ai dit à Ragnor qu’il pouvait dormir où il le souhaitait, mais je lui ai recommandé le canapé en bas, s’il voulait être au plus près du fantôme. Rupert a toujours tendance à apparaitre dans la salle à manger. Ne poursuivant pas sur ce sujet, Ragnor s’est simplement dirigé vers la cuisine pour préparer le thé. Je lui ai proposé un crumpet pour être hospitalière. Quand Julian est redescendu, Ragnor répandait du miel sur le plan de travail.
- Est-ce que je peux voir la carte des ley lines ? a demandé Jules. Ou bien tu es trop occupé à attirer les fourmis ?
- Il n’y a pas de fourmis, a objecté Ragnor, la bouche pleine de son crumpet. Ce n’est pas la saison.
Il s’est léché les doigts, a passé la main dans sa veste et en a sorti un immense parchemin roulé qui, soit dit en passant, ne pouvait pas rentrer dans cette veste sans un peu de magie. Qu’on ne dise jamais que Ragnor n’aime pas la théâtralité, même s’il prétend être au-dessus de tout cela. Il a déroulé la carte sur la grande table et a mis un bougeoir et des livres sur les côtés pour qu’elle ne bouge pas.
C’était une carte du centre de Londres – difficile de ne pas reconnaitre la forme particulière de la Tamise qui serpente au milieu. Elle était entièrement recouverte de lignes de différentes couleurs : rouge, bleu, vert, doré. Et le long de ces lignes se trouvaient des symboles astrologiques, des flèches, des nombres et quelques mots en grec. On distinguait à peine le nom des rues.
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- Ta carte de Londres est en grec ? s’est étonné Julian. Et tu ne vas pas répandre du miel dessus ?
- Le miel est bon pour le parchemin. C’est un conservateur. Et c’est du copte.
- Ta carte de Londres est en copte ? me suis-je exclamée.
Ragnor a posé un regard tendre dessus.
- Oui. Crois-le ou non, c’est l’une des cartes des ley lines de Londres les plus lisibles que j’ai trouvé. Certaines d’entre elles sont simplement invraisemblables. Celle-ci date du XVIIIe siècle, c’est écrit en copte juste pour compliquer les choses. Les sorciers sont comme ça.
« Je sais », ai-je eu envie de répliquer, mais je me suis tue, parce que Ragnor nous rendait service.
- Votre fantôme est-il présent ? s’est enquis Ragnor.
Il avait pris un large cristal grossissant à travers lequel il observait des sections de la carte.
- Je ne sais pas, ai-je déclaré. Rupert ? Nous avons un invité qui souhaite vous rencontrer.
Il ne s’est rien passé.
- Ses allées et venues sont donc aléatoires, a marmonné Ragnor, comme s’il parlait tout seul. Intéressant.
Il a sorti de sa poche un petit carnet en cuir qu’il a feuilleté.
- C’est intéressant ? a répété Julian. Peut-être qu’il est simplement timide face aux inconnus. Avant notre arrivée, il est resté seul ici pendant une cinquantaine d’années.
- Mon garçon, a lancé Ragnor en levant les yeux vers Julian, il y a des gens que je n’ai pas eu le temps de rappeler pendant cette période.
- Eh bien, tu devrais être un meilleur correspondant, a rétorqué Julian en croisant les bras. Vois-tu quelque chose sur la carte ?
Ragnor a émis un son hésitant avant de reporter son attention sur la carte. Au bout d’un moment il s’est redressé :
- Bien. Voulez-vous toutes les explications détaillées, ou dois-je passer directement à la conclusion ?
- La conclusion, s’il-te-plait, ai-je requis.
- C’est bien ce que je me disais.
Il avait l’air grincheux, pour une raison que j’ignorais. C’est bien Ragnor, ça !
- En prenant en considération les différents types de ley lines et les diverses intersections, nœuds et empreintes, a-t-il expliqué, et en supposant que les autres objets sont probablement dans le centre de Londres, puisque c’était le cas des premiers, et en supposant aussi que les objets sont certainement dans des lieux importants pour le Monde Obscur…
Il s’est interrompu et nous a regardé en haussant les sourcils.
- Nous te suivons pour l’instant, a affirmé Julian.
- Je pense que les prochains lieux à fouiller sont certainement là et là.
Il a sorti un crayon de je ne sais où et a entouré deux points sur la carte.
- Là, c’est l’église St. Mary Abchurch. Et là…
Il s’est tu.
Julian s’est penché sur la carte pour voir ce que Ragnor désignait.
- D’accord ? ça a juste l’air d’être une rue résidentielle à Soho.
- En fait, a repris Ragnor, à une époque, pendant longtemps, l’une de ces maisons était un notoire club de Créatures Obscures. Ça s’appelait The Hell Ruelle[2]. C’était très malin, ce nom, voyez-vous, parce qu’une « ruelle » désigne une sorte de réception que les dames de l’aristocratie française organisaient dans leur chambre, un peu comme un salon, et c’est aussi dans une petite rue, donc une ruelle, que se trouvait ce club.
- Et en plus, ai-je ajouté très sérieusement, ça rime.
- En effet, a continué Ragnor. Je ne sais pas ce qu’il est devenu. Les salons et clubs sont passés de mode depuis longtemps, mais les Créatures Obscures aiment faire les choses à l’ancienne. Je suppose que c’est toujours un club d’une manière ou d’une autre, certainement tout aussi scandaleux qu’à l’époque. J’ai cru comprendre que les scandales ne sont jamais passés de mode.
- Nous avons vu une affiche de ce club, est intervenu Julian. Elle était accrochée dans la maison des Herondale à Curzon Street.
Ragnor a haussé les sourcils.
- Vous êtes allés dans la maison de Curzon Street ? Comment est-elle maintenant ?
Julian a donc commencé à raconter notre visite à Ragnor, ce qui tombait bien parce que je voulais aller voir Ty. J’avais pensé qu’il descendrait pour aider ou du moins observer Ragnor, mais il fallait croire qu’il avait trouvé un endroit qui lui plaisait et y était resté. Ou bien une horrible tragédie était survenue. Mais c’était certainement la première hypothèse.
Je n’ai pas eu de mal à le trouver en tout cas : il y a beaucoup de chambres mais pas tant que ça. Et d’ailleurs, ces vieux murs n’atténuent aucunement le bruit, alors je l’entendais parler dans l’une d’elles. La « chambre grise », comme Julian et moi l’appelons. Elle a une belle vue sur la mare aux canards.
Je suppose qu’il était au téléphone, j’entendais les pauses pendant lesquelles il écoutait l’autre personne. J’ai cru saisir les mots « Eh bien je ne sais pas du tout pourquoi, mais ça ne fait pas très longtemps », en réponse à quelque chose. Puis la porte s’est ouverte et il est sorti de la chambre. Il a tout de suite sursauté en me voyant dans le couloir.
- Emma ?
- Je suis juste montée pour voir comment tu allais, lui ai-je signifié. Je pense que nous allons bientôt commander à manger. Est-ce que c’est la chambre qui te plait ?
- Oui, a-t-il répondu en tournant la tête vers les hautes fenêtres. Je trouve que c’est une belle chambre.
- Tu parlais avec ta sœur ?
Il n’a rien dit. Il a soudainement rougi, avant de pâlir. Je me suis demandé s’il avait prononcé quelque chose que je n’étais pas censée avoir entendu, mais je ne savais pas ce que ça aurait pu être.
- Je n’écoutais pas aux portes, l’ai-je rassuré. J’ai simplement supposé que c’était Dru.
- Ah ! s’est-il exclamé. Oui. Oui, je parlais avec Dru. Elle…
- Veut probablement savoir comment sont les chambres, ai-je complété, voulant le mettre à l’aise. Dru voudra sûrement la plus gothique.
- Absolument, a acquiescé Ty alors que nous descendions. Mais je ne suis pas vraiment qualifié pour définir ce qui est gothique.
- Je crois que l’idée, c’est « aussi effrayant que possible ».
Jules et Ragnor nous attendaient quand nous sommes arrivés dans la cuisine. Ty s’est détendu assez vite. En fait, tout ce dont il avait besoin, c’était 1- du thé et 2- poser des milliers de questions à Ragnor au sujet de la carte des ley lines jusqu’à ce que notre commande arrive et mette fin à la discussion. Je te jure, Bruce, qu’à un moment Ragnor a raconté une blague en copte et que Ty a ri. Ils ne font pas les choses à moitié à la Scholomance. C’est peut-être un peu trop intense pour moi. Mais ne te méprend pas, c’était très agréable de passer du temps avec eux. Ça m’a rappelé que cette maison pourra à nouveau être chaleureuse et accueillante une fois que les rénovations seront terminées et que tous les Blackthorn seront ici et s’approprieront les lieux. Même la malédiction n’était pas si pesante alors que nous nous étions installés devant la cheminée pour faire une partie de Cluedo (on appelle ça simplement Clue en Amérique) jusqu’à ce que Ty s’endorme.
Annexe : Dimanche soir. Ragnor et Ty sont partis cet après-midi. C’était chouette de les avoir à la maison, ça nous a fait du bien à Julian et moi de parler à d’autres personnes que les entrepreneurs. Ty et Julian ont passé un certain temps dans le jardin pour déterminer quelles statues anciennes étaient abîmées de manière artistique et élégante, et lesquelles étaient complétement fichues. Nous allons devoir acheter de nouvelles statues quand nous réaménagerons le jardin, ce qui a beaucoup intéressé Ty : il nous a conseillé une statue de Holmes tenant une loupe et une autre de Watson.
La seule chose étrange est que le fantôme de Rupert était absent pendant toute leur visite. Il n’est réapparu qu’une heure après leur départ. Nous lui avons montré la carte et répété que ce Ragnor nous avait expliqué. Il a simplement répondu que Ragnor avait sûrement raison. Et il s’avère qu’il a bel et bien parlé à Ty à un moment. Il nous a assuré que Ty était « gentil avec les fantômes ». Peut-être que Ty lui a fait un sandwich fantôme ou lui a lu une histoire de fantôme le soir, que sais-je. En tout cas, Ty n’en a pas parlé.
Voilà, c’est tout pour l’instant ! Je pense que nous irons à l’église St Mary Abchurch demain après-midi, et selon ce que nous y trouverons, nous irons voir si cette maison de Soho est toujours un club scandaleux. Mais ce que Ragnor considère comme scandaleux ne le sera peut-être pas tant que ça à nos yeux. Nous verrons bien ! Pour autant que nous en sachions, c’est juste la maison d’un type qui sera très étonné de nous voir arriver !
Bonne nuit, Bruce. C’est sympa de penser à ce que ce sera quand tous les Blackthorn seront là pour remplir la maison de bruit et d’animation. C’est la première fois depuis le début que j’arrive vraiment à imaginer ça, même avec la malédiction. En attendant, je place entre les pages un polaroid de nous tous qui jouons au Cluedo, au cas où tu voudrais avoir quelque chose à voir plus tard.
Emma.
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[1] Type de pain britannique
[2] Dans les romans publiés par PKJ, la traduction est « La Ruelle ». Il s’agit bien du même endroit.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustrations de Cassandra Jean ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/683787176902868992/emma-to-bruce
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MARDI 16 JUILLET 2024 (Billet 3/3)
Vous devez sûrement vous en souvenir, nous avons déjà fait paraître sur le Blog des vidéos de cette célèbre et très particulière chorale (créée en 2020 pendant la pandémie de la Covid), la première qui en a inspiré beaucoup d’autres…
Celle-ci, leur dernière création, est en rapport bien sûr avec les JO de Paris qui vont commencer d’ici une dizaine de jours.
Regardez-la jusqu’au bout et si par hasard vous aviez un enfant, un petit-fils ou une petite-fille qui a participé à cette création (on ne sait jamais…), même s’ils sont plus de 200 « body-tapeurs », tous les noms sont mentionnés dans le générique de fin. Nous avons trouvé ça très bien.
Pour finir : tous ceux qui ont eu le privilège de faire une croisière sur le Club Med II ne pourront pas rester indifférents à la musique.
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« CONQUEST OF PARADISE » (Vangelis) pour Percussions corporelles (Body Tap)
Vidéo publiée sur YouTube le 5 juillet 2024
Interprétation : le Chœur des Colibris du Collège Saint Michel Garicoïts de Cambo (Pays Basque)
Direction artistique : Nelly Guilhemsans
Image & Réalisation : Michel Jakobi
Drone : @paysbasquedrone
Image : @tomajablon, @maxime_manenc
Son et mixage : Patrick Fischer
Bravo aux 210 Colibris :
Elaia B, Mathilde FDS, Fleur, Eneka F, Julen G, Adélaïde, Mikela, Joana P, Estebe, Bixente, Louane, Antton A, Kaitlyn, Maika, Paul M, Matyas R, Paul U, Dioni, Joan, Titouan, Timéo, Laida, Oihana I, Anaïs FDS, Noémie, Lucile, Idoya Z, Txomin, Aida, Mailis M, Ambre G, Dénaïs, Léana, Maëlwenn, Océane, Uma, Rémi, Julia HP, Lilou L, Uhaina, Emilia, Nahia L, Elaya, Lisa C, Julen C, Jon, Xalbat, Aponi, Naia E, Intza F, Vassili, Enzo L, Jérémy, Nahia N, Xana, Nolan, Jona, Annabelle, Oihana L, Iliana, Lylou, Sarha, Clémence, Maddi, Antoine, Elisa, Léna, Oihana L, Anaïs M, Julie, Damien, Mahé, Antton O, Lucie C, Xan E, Mathilde L, Hodei, Julia P, Anaïs M, Julia L., Samuel, Marion, Alizia, Elaia B., Enora, Delphine, Lola B, Kilian, Kanèle, Charlotte, Ilian, Nohlan, Dylan, Charlie, OIhan D, Ana, Andrea, Antton H, Emma R, Ibaia P, Gabriel R, Luken C, Maialen C, Ethan, Xan D, Léa H, Marine, Lisa E., Tiago, Nahia LG, Anoa, Itxaro, Gabriel F., Jean-Claude, Lukas, Maitane, Lara, Emma G, Maialen RI, Lana, Maelys, Luna P, Ilona, Romane, Ioneka, Céleste, Leana, Mathilde J, Fani, Ambre A., Eneka B, Joana C, Tiphaine, Robin, Emma P, Ambre C, Esteban, Eztitxu, Sara, Melina, Gabrielle, Lilwenn D, Alaya, Morgan A, Naia C, Morgane E, Xan V, Lou, Alizée, Ainhize, Nahia H, Anaë, M, AnaeS, Louis, Lola L, Louna S, Mila, Jade, Lisa B, Augustin, Julene, Clément, Loan, Emma L, Stella, Margot, Ilouna E, Laura, Luna P, Oihana V, Angelina, Milia, Nina, Ainara, Lilwen P, Elia, Tonia, Enaitz, Julen D, Lola E, Jon E, Evan, Jon O, Nathan O, Maiana, Célia, Louna DG, Nahia P, Lucie E, Lola G, Zoé T, Intza Z, Pauline, Louise, Luma, Oian, Enzo L, Nolhan B, Leila, Kélia, Axel, Julen D, Ruben P, Zoé L, Ilona R, Yuna L, Martin, Shana, Nathan S, et Lalie.
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