Tumgik
#GARDER SON TRAVAIL
magicarpedore · 2 years
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Quand le nouveau qu'on vire en a eu si mal à l'égo qu'il se comporte encore moins bien et justifie absolument tout par "de toute façon je suis viré".
Et on se réjouit tellement de l'avoir fait.
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code-lab · 3 months
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Conditions d'utilisation du Blank Theme
Le Blank Theme est gratuit et le restera à jamais ✨
Les codes de base du Blank Theme sont 100% personnalisables ! Il n'y aucun problème à ce que l'on ne reconnaisse plus le Blank après vos modifications (et si c'est le cas, gg!)
Il est possible d'utiliser partiellement Blank Theme (juste un template ou un élément CSS).
Offrez-vous un peu de visibilité en partageant votre forum sur le Blank 👏 J'adore voir vos créations ! Plus, ça permet de me garder motivée en voyant mon travail utile à d'autre.
En plus de la documentation, il existe une section tutoriel qui regroupe plein de truc et astuce pour vous aider à customiser vos thèmes.
Vous pouvez partager vos propres tutoriels à la communauté ! Pas besoin d'être professionnel. Tout créateur.rice.s de forum à des petits codes sous le coude qu'iels utilisent de projet en projet, c'est l'endroit où les partager pour qu'ils servent au plus grand nombre.
Vous avez le droit de : - créer des maquettes basées sur le Blank Theme - créer vos propres libre-service basées sur le Blank Theme - vendre vos créations (commission, libre-service, ...) en utilisant le Blank Theme
Peu importe ce que vous créez avec le Blank Theme, vous pouvez me contacter pour me le montrer/m'en parler. Je me ferais une joie de repartager votre travail.
Évidemment que vous avez le droit de proposer une alternative au Blank Theme, l'idée ne m'appartient pas ! J'ai moi-même eu l'idée grâce aux thèmes de base de Tumblr.
Créditez le Blank Theme en le mentionnant où vous voulez avec un lien de renvoi vers son site. Pas besoin de mettre mon pseudo! c'est simplement pour le faire profiter à d'autre qui en aurait besoin comme vous. 🙏
Créditez tout les codes extérieurs utilisés par le Blank Theme. C'est aussi grâce à au travail de ces personnes que j'ai eu l'idée de ce libre-service !
Je me rendre disponible pour échanger, aider ou partager alors n'hésitez pas ! Ca me fait toujours plaisir !
Et enfin, si vous le souhaitez, vous pouvez également me soutenir avec un KoFi. ☕
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coolvieilledentelle · 11 months
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Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance --*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans,  On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne  nous  quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi 
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iranondeaira · 2 months
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« Chanter,
Rêver, rire, passer, être seul, être libre,
Avoir l'œil qui regarde bien, la voix qui vibre,
Mettre, quand il vous plaît, son feutre de travers,
Pour un oui, pour un non, se battre, - ou faire un vers !
Travailler sans souci de gloire ou de fortune,
À tel voyage, auquel on pense, dans la lune !
N'écrire jamais rien qui de soi ne sortît,
Et modeste d'ailleurs, se dire : mon petit,
Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles,
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles !
Puis, s'il advient d'un peu triompher, par hasard,
Ne pas être obligé d'en rien rendre à César,
Vis-à-vis de soi-même en garder le mérite,
Bref, dédaignant d'être le lierre parasite,
Lors même qu'on n'est pas le chêne ou le tilleul,
Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul ! »
Edmond Rostand, Cyrano De Bergerac
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alexar60 · 1 year
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Changement
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C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue.  Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme  qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question  Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna.  L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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olympic-paris · 1 month
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saga: Soumission & Domination 247
François,
Comme nous nous couchons PH et moi, je ne peux m'empêcher de mater les chambres de nos invités. De notre lit, je recherche avec la télécommande la vue de leurs chambres. Celle ce Jona est vide, le lit pas défait. Je zappe sur celle de François et là, nous les trouvons endormis en cuillère, les bras de Jona ceignant le torse de ce dernier. A notre tour nous nous endormons.
Samedi :
Dès on réveil, le lendemain matin, je me connecte sur la chambre de notre invité. Je vois que Jona profite de celui-ci. Je le vois, derrière François à quatre pattes, s'agiter à lui défoncer la rondelle. Je réveille PH. De voir ça, il lui vient des idées et comme je bande, il me couvre la queue avec sa bouche. Sous les yeux, j'ai un couple de jeunes mecs qui se font du bien et dans mon lit, un amour qui me suce à damner un saint.
Je jute alors que Jona sort du cul de François pour lui inonder le dos de son sperme.
Je m'occupe alors à rendre le plaisir que j'ai eu, à mon PH. C'est chose faite 1/4 d'heure plus tard avec, sur ma langue, son sperme chaud que nous finissons par partager dans un baiser passionné. Quand nous regardons de nouveau l'écran, il est désert. Je passe à la salle d'eau pour y retrouver nos deux jeunes en trains de faire leurs ablutions.
Nous les retrouvons habillés 1/2 heure plus tard. Samir que j'ai envoyé les chercher, nous sert un petit déjeuner conséquent. François me demande le programme de son WE. Je lui dis que, dans l'après midi, il va suivre Jona chez un premier Client. Ce dernier est au courant de sa situation puisqu'il s'agit de DGSE. Je leur dis alors qu'ils avaient la matinée pour faire du sport, déjeuner léger et se préparer pour la prestation.
Je me charge de les coacher. François n'est pas un familier des appareils de musculation mais il se débrouille vite. La pratique du karaté lui a donné de beaux muscles longs. Avant la douche, nous passons une bonne demi-heure à l'initier au Krav Maga. Il voit vite l'intérêt de ce sport de combat et de sa grande efficacité à défaut d'une suprême élégance.
Tous les trois sous la douche, je dois leur dire de garder des forces, sinon ils m'auraient bien violé (ou plutôt l'inverse).
Après le déjeuner, je les accompagne à la salle d'eau. Ils y subissent un lavement propre à les rendre utilisables par le gros " calibre " de DGSE. Comme cela m'a excité, je les laisse me sucer jusqu'à explosion. Eux, je le leur interdit.
Vers 15h ils partent dans la RCZ de Jona et je les suis en moto. DGSE nous accueille. Sa masse et sa prestance, inquiètent un peu François, sans compter la bosse qui déforme l'avant de son short. Il me propose de rester puisqu'il ne s'agit pas d'une prestation classique et que nous ne saurions être trop de deux pour bien étudier l'étendue de leurs capacités sexuelles. Il nous fait descendre dans son sous sol. J'entends derrière nous Jona rassurer François à voix basse. Alors que DGSE et moi sommes encore vêtus, il les fait se mettre nus. Il apprécie le travail de tonte que nous avons mené sur François et, de ses doigts passant sur sa peau, en vérifie la douceur. Je le vois soupeser ses couilles glabres puis passer sa main en dessous jusqu'à titiller sa rondelle imberbe. Il ne fait pas de même sur Jona, connaissant déjà le sujet.
Il leur demande de nous déshabiller. C'est chose facile sur lui qui ne porte qu'un T-shirt et un short. Pour moi, ils m'aident à me désincarcérer de ma combi mono pièce en cuir. J'ai beau bander un max avec mon cockring, DGSE me bat de loin ! François ouvre des yeux immenses à voir se développer les 26cm de chair épaisse en haut des cuisses de notre client. Le but ��tant éducatif, Jona montre à François ce qu'on peut faire avec un tel engin. Pour le persuader qu'il est possible de tout prendre dans la gorge, il s'y atèle et en quelques minutes prouve par l'exemple que c'est possible. Je passe en premier dans sa bouche et pousse pour y faire entrer mes 20cm entiers. Je pilonne sèchement sa gorge pour qu'il s'habitue à la présence d'un gland au delà de sa luette. Quand je l'estime prêt, je le passe à DGSE et récupère Jona. Dans un premier temps, tous les deux, nous lui donnons des conseils pour faciliter le travail. Mais c'est sur le dos, la tête en arrière, qu'il finit par se prendre les 26cm sans vomir. DGSE profite d'y être arrivé pour bien lui formater l'oesophage par de long et puissant coups de rein. François calque sa respiration sur les retraits de DGSE et tout se passe bien. Jona, du coup, peut s'occuper de moi. Je m'enfile sans difficultés dans sa gorge, profitant du passage élargi précédemment par le gland de DGSE. Je le laisse faire puis lui demande de déglutir pour retrouver une impression de compression sur mon gland. Quand il le fait c'est trop bon.
DGSE se dégage et nous vérifions ensemble comment François s'en est sorti. Quand il ouvre grand la bouche, sa luette est un peu rouge. Et quand il parle sa voix s'est un peu enrouée et surtout elle est devenue plus grave.
Nous passons à l'autre extrémité de son tube digestif. Couché en travers du bureau, je lui écarte les pieds et les fesses. DGSE admire le travail d'épilation et, après s'être sucer un doigt, l'enfonce dans son anus. François, bien préparé, ne bronche pas. Du coup, DGSE passe à la vitesse supérieure et pioche dans la boite de gel pour attraper du lubrifiant. Sous mes yeux et ceux de Jona, nous voyons l'anus de François se prendre deux puis trois doigts. Je l'arête avant qu'il en mette plus et lui dit que je vais l'enculer avant qu'il ne le distende plus. Je me kpote et sodomise François. La préparation à 3 doigts a été parfaite. Je rentre facile mais tout en sentant bien la pression de son anneau. A nos coté Jona maintient DGSE en forme à grand coup de langue et de passage dans sa gorge. Je me fais plaisir quelques minutes puis me retire. Comme DGSE se remet à travailler la rondelle de François, Jona se couche aussi sur le bureau à l'inverse de François et, de ses mains, s'écarte les fesses pour que je le sodomise. Alors que je m'enfonce dans son cul, nous sommes bien placés pour voir le 4ème doigt de DGSE rejoindre les 3 autres déjà dans le cul de François. Quand ils (les 4 doigts) tournent facilement dans le trou, DGSE les remplace par sa bite enkpoté. François nous regarde un peu apeuré par ce qui l'attend. Je lui dis de se détendre et attrape un flacon de poppers pour le shooter. DGSE me remercie alors qu'il lui défonce le cul. François s'accroche à ma main et sniff de nouveau les vapeurs qui sortent de ma petite bouteille. Cela permet à DGSE d'enfoncer ses 26cm dans son fondement sans qu'il souffre outre mesure.
Alors que je laboure la rondelle de Jona, DGSE fait attention et se retire lentement avant de renfoncer son pieu dans François. Ce dernier souffle sous l'effet de piston dans son trou. Il lui faut bien 10mn (et pas mal de ml de gel en plus) pour qu'il trouve du plaisir à se faire enculer par la grosse bite. Les mains de ce dernier, flattent ses flancs, caressant son dos jusqu'à sa nuque. Cela le détend et nous avons la surprise de l'entendre réclamer de se faire saillir quand DGSE se recule.
Nous (DGSE et moi) retirons nos bites de leurs fourreaux humains. Je regarde en combien de temps le sphincter de François se referme. Un peu long. Je lui dis que je vais lui confier un plug pour qu'il se muscle la rondelle dessus.
Pour faire tomber la pression, DGSE demande à nos deux " stagiaires " de se faire un 69. Ils se couchent sur le tapis central et commencent par se bouffer la queue.  C'est évidement sans problèmes que leurs queues de 18/19cm entrent totalement dans leurs bouches. Je les préviens quand même de ne pas se faire juter car nous n'en n'avions pas fini avec eux. Ils glissent alors leurs langues vers leurs rondelles respectives. Is salivent bien et les langues pénètrent profondément dans leurs petits trous. Devant un tel spectacle nos queues ne débandent pas. DGSE me dit d'y retrouver. On échange et j'encule François. Je rentre facile mes 20cm x 5 au fond de son cul. Je donne même un dernier coup de rein pour m'assurer que c'est bien le cas. Du coup François s'étrangle avec le gland de Jona qu'il avait repris en bouche. De l'autre coté de la " bête à deux dos ", DGSE défonce Jona pour son plus grand plaisir si j'en crois les petits cris qui s'échappent de sa bouche pourtant occupé apr la bite de François. Puis, à trois, nous nous attaquons à François. Je me couche sur le dos et, Jona et DGSE le pousse à s'assoir sur ma bite. Je le tire vers moi pour laisser la place à Jona de me rejoindre dans son cul. Cela se fait avec pas mal de gel et de poppers. François souffle comme un phoque mais prends vaillamment nos deux bites dans le cul. DGSE, pour ne pas être en reste, s'agenouille à ma tête et lui donne sa bite à téter. Il commence à bien comprendre comment ça marche. Je le vois se jeter dessus et avaler le gland violet d'excitation. Du coup je me paye les couilles de monsieur sur le nez ! Bon j'y vais de ma participation et les prends en bouche. Cela limite l'amplitude des va et vient de DGSE mais ses rugissements prouve l'efficacité de la prise. Du coté de ma queue, je ne bouge plus, profitant du massage effectué dessus par le gland de Jona qui, lui, ne cesse de limer. Bien que la position ne facilite pas la profondeur de la pipe, DGSE arrive à forcer la gorge de François et à entrer quand même ses 26cm dans sa gorge.
Les mouvements s'accélèrent et je crois bien être le premier à jouir et à remplir ma kpote. Jona me suit de près et alors qu'il s'immobilise au fond de François, je sens le sperme de ce dernier couler entre nos deux ventres. Je relâche les boules de DGSE. Il a juste le temps de se retourner de la bouche de François avant de lui envoyer ses litres de purée sur la tête. Placé juste en dessous, j'en reçois une partie et ferme vite les yeux.
Jona se retire et fait glisser en même temps ma bite hors de la rondelle de François. Etalés sur le sol nous reprenons lentement nos esprits. Jona demande à François si ça va. Il met un peu de temps à répondre mais assure que c'était réellement trop bon. DGSE leur rappelle qu'il ne faut pas qu'ils oublient qu'ils auront à faire ça tout en restant suffisamment lucide pour recueillir tous renseignements utiles. En riant il leur dit qu'ils pourront quand même prendre du plaisir, que l'inverse serait d'ailleurs suspect.
Passage par le coin douche du sous sol et nous sommes prêts à repartir. Avant de le quitter, il me prend à part pour savoir ce que j'ai prévu pour François le reste de ce WE. Je lui confie que je comptais l'envoyer avec Jona sur un couple homme-femme. Il est d'accord avec moi et trouve bien que le " petit " s'aguerrisse aussi sur le sexe féminin. Ils doivent être parfaitement BI.
Nous rentrons au Blockhaus. Nous prenons un apéritif bien mérité et François nous fait part de son ressenti. Certaines de ses réflexions nous font sourire et même parfois rire. Il ne s'en vexe pas quand nous lui expliquons pourquoi. PH y va de ses conseils et François fini par se sentir à l'aise avec nous. Je lui demande si ses parents sont au courant de son orientation. Il nous dit qu'ils savent juste qu'il suit volontairement une formation militaire. Je précise : orientation sexuelle. Il nous dit que de ce coté là c'était une non communication générationnelle et culturelle. Il ajoute qu'il a 18 ans et prend ses propres décisions sur sa vie. Quand Jona lui demande comment il a été " branché " sur cette formation, il nous parle d'un sien tonton, militaire de son état.
Avant de les envoyer dormir, je donne le programme du dimanche. Matin sport et après midi baise bi. Je leur rappelle par la même occasion que d'après leur " supérieur ", ils doivent être multi-sexuels.
Quand nous allons à notre tour nous coucher, je regarde, comme la veille, leurs chambres. Et pareillement, nous les trouvons dans la chambre de François, tous les deux endormis en cuillères. A mon tour je m'endors, les bras autour de mon PH, après que nous ayons fait l'amour avec passion.
Dimanche matin :
Je passe réveiller nos deux jeunes qui, sinon, seraient bien restés quelques heures de plus dans les bras de Morphée. Ils paniquent quelques secondes à ce que je les ai surpris ensemble. Je les rassure. Ils peuvent faire ce qu'ils veulent en dehors du taf. Soulagés ils filent à la douche. Je les accompagne et détaille le plan de l'après midi.
J'explique à François qui ne les connait pas, qu'ils auront à faire à un couple plus que libéré sexuellement dont la meuf se fait remplir par tous les trous et le mec suce avec adresse et se fait enculer en double sodo. J'ajoute que s'ils tombent sur les fils de la maison, fallait pas qu'ils se laissent détourner car ces deux là (Ed et Théo) suivaient les traces de leur père avec panache. Jona qui est déjà allé les baiser plusieurs fois me dit de lui faire confiance qu'il saura gérer au cas où. J'ajoute que là, il réalisait une prestation tarifée et que dans le boulot faut être sérieux.
Je les laisse y aller seuls.
Le récit que me fait Jona de la prestation à leur retour, me rassure tout à fait. François s'est montré à la hauteur baisant aussi bien la meuf que le mec, ne débandant pas devant le physique quelconque de monsieur. Et cela, même si certaines pratiques de madame envers son mari l'avait un peu surpris.
Ph me prend à part pour me faire remarquer que ces deux là s'appréciaient bien et que je devrais peut être leur laisser un peu de temps seuls.
Je leur dis alors que s'ils voulaient profiter de leurs chambres avant de partir, il ne fallait pas qu'ils s'en privent. Aussi sec, après deux mercis simultanés, ils se sont échappés vite fait.
Du PC du salon, j'ai lancé l'enregistrement dans la chambre de François pour un visionnage plus tard.
Ils sont remontés juste à l'heure pour que Jona ramène François à la gare.
Dans la soirée j'envoyais un rapport exhaustif à leur chef. Donnant mon avis sur les capacités et compétences sexuelles de ses recrues. Précisant, entre autre, la bonne complicité des deux jeunes lors de prestation commune.
Jardinier
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selidren · 8 days
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Automne 1924 - Champs-les-Sims
2/3
Comme je vous disais, Maman a engagé Mademoiselle Laroche. Mais il faut savoir que chez nous, le personnel est traditionnellement recruté par Oncle Adelphe si il s'agit de la viticulture et par ma grand-mère en ce qui concerne la maison. Elle règne sans partage sur cette maison comme une reine sur son domaine depuis qu'elle s'y est installée, à une époque où mon propre grand-père n'était pas encore né. Ce n'est pas le genre de tradition qui est facile à affranchir. Ma mère a tenté de s'y atteler, car malgré sa centaine bien dépassée, Grand-Mère a toujours voulu garder les mêmes fonctions. Elle répète même qu'elle a hâte que j'ai des enfants pour qu'elle puisse s'en occuper !
Bref, ma mère a clairement tenté de jouer sur le terrain de jeu exclusif d'Eugénie Le Bris. C'est un euphémisme de dire qu'elle n'a pas apprécié, et du coup, Mademoiselle Laroche s'est retrouvée avec des attentes démesurées à combler. C'est un trait détestable de ma grand-mère : si ce n'est pas de son fait, c'est que c'est mauvais, médiocre dans le meilleur des cas. Je me suis montrée gentille avec Mademoiselle Laroche, et je trouve qu'elle s'en est très bien sortie. Je lui ait dit que cette situation était ridicule, que les choses allaient se tasser, et pour ce que ça valait, j'étais quand à moi très satisfaite de son travail. A l'heure où on me répète que je suis maitresse en ces lieux, c'est entre ma mère et ma grand-mère qu'a lieu la lutte de pouvoir. C'est beau quelque part.
De façon inattendue, c'est Papa qui a réglé le conflit. Lui qui se tient toujours soigneusement éloigné du moindre conflit et qui se bouche les oreilles quand le ton monte, oui, lui ! Je ne sais pas ce qu'il a bien pu dire à Grand-Mère, mais elle s'est immédiatement adoucie. Je pensais bien connaître mon père, et le voilà qui me surprend encore !
Transcription :
Eugénie « Mais pourquoi m’en parler si ce n’est pas certain ? »
Constantin « Parce que la dernière fois que j’ai fait quelque chose dans votre dos vous avez quitté le pays séance tenante pour me poursuivre. A votre âge, ce ne serait vraiment pas raisonnable de recommencer, alors je préfère vous prévenir. »
Eugénie « Et vous n’avez pas prévu de changer d’avis ? Par égard pour moi peut-être. »
Constantin « Nous n’avons même pas encore décidé, je ne fais que vous informer de nos réflexions. »
Eugénie « Mais alors si vous pensez partir, pourquoi Albertine se sent brusquement l’envie de régenter mon intérieur ? Elle a engagé une fille qui vient d’on ne sais où et qui me paraît bien trop belle pour être honnête ! C’est à cause de ce genre de décision peu réfléchie que ton oncle… »
Constantin « Oui je connais l’histoire Grand-Mère. Mais je pense que vous devriez faire confiance à Albertine. Après tout, elle ne cherchait qu’à vous décharger un peu. D’ailleurs, c’est moi qui le lui ait demandé. »
Eugénie « Vraiment ? »
Constantin « Je m’inquiète pour vous. Vous êtes très âgée et vous êtes de plus en plus fatiguée et alitée. Plutôt que de chercher à créer du conflit là où il n’y en a pas besoin, j’aimerai que vous vous reposiez. S’il vous plaît, pour moi. »
Eugénie « Oh, mon petit... »
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QUELQUES TRUCS BIEN. JANVIER 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Espérer pour mon amie P. qu’elle puisse acheter cet appartement où elle serait bien avec vue dégagée sur le parc et les commodités pour assurer son activité professionnelle 
Reprendre le boulot avec entrain puisque la convalescence a assez duré 
Profiter d’être alitée pour rattraper le temps de lecture
Sortir de convalescence en prenant plaisir aux tâches domestiques : vider la poubelle (de mouchoirs) 
Apprécier le silence du monde dont je me trouve en retrait par nécessité et maladie. Prendre mon mal en patience 
Entrer au cinéma et sortir en empathie pour le règne animal 
Être invitée pour manger la galette. Savourer et se nourrir d’amitié 
Discuter avec maman de sa grand-mère et des traces que laissent les disparus 
Aller au cinéma pour voir la dernière palme d’or 
Éviter les conflits malgré le clivage. Garder en tête l’intérêt des enfants. Garder le silence et le sourire 
Accueillir une nouvelle collègue de travail en passant outre les mesquineries actuelles de l’équipe. Espérer le meilleur à venir 
Me confier à mon collègue psychologue sur le sentiment de déception quant à l’échec des projets thérapeutiques de groupe.  Accepter l’impossibilité du travail dynamique et collaboratif en situation d’activité collective. Comprendre qu’il faut m’en tenir à faire des séances individuelles et des écrits 
Manger du chocolat noir offert avec le cœur et le sourire. En reprendre encore un peu 
Savourer la caresse de la petite main de mon petit M. pendant qu’il boit son biberon dans mes bras 
Appeler une amie dans la détresse et l’inquiétude par rapport à la santé de son frère. Ressentir de la compassion 
Projeter de voir les meilleurs films de l’année dernière au cinéma 
Vider mon sac en réunion de soignants et passer outre les mesquineries 
Recevoir une amie à l’improviste pour un apéro 
M’attendrir pour la première dent de mon petit M. qui grandit déjà 
Entrer dans la nouvelle année en bonne compagnie. Être au spectacle des feux d’artifices et des faux airs de fête 
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alltoowell-rp · 7 days
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✧.* prélien recherchés ✧.*
(lien du prélien)
Pour mon premier post je vais parler du prélien que je recherche sur @smalltalksrp c'est le crush d'à côté pour un trope from neighbour to lovers et single parent x nanny avec ma petite August.
August, c'est la petite française qui a débarqué en début d'année pour travailler chez ses voisins et Jude, il apprécie quand sa fille va jouer dans la maison d'à côté. Iel sait qu'August s'occupe bien des deux petits de la famille voisine, et il a entièrement confiance quand sa fille est en compagnie d'August. Puis, un jour, il a eu besoin d'elle. Il a eu besoin du petit soleil qui anime le quartier par son sourire, parce qu'il avait une garde exceptionnelle à la caserne et personne n'était disponible pour garder la petite alors iel s'est excusé.e et lui a demandé si elle était disponible pour faire du baby sitting. August a accepté et puis l'air a changé, un peu. August s'est prit à daydream d'une possible relation avec Jude. Même si ce serait bizarre, même si ce n'est pas bien. Mais peut-être que l'amour peut se trouver next door?
J'ai volontairement non-genré le prélien pour que vous en fassiez ce que vous voulez, une femme ou un homme. August a assumé sa bisexualité depuis le lycée donc que ton personnage peut être soit un homme, soit une femme. Mais tu trouveras plus de détails sur Jude dans le prélien sur le forum.
Le forum est méga chouette et on est bien dessus alors n'hésite pas à venir y faire un tour!
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Marina Amiral est une artiste de photographie numérique qui, depuis quelques années, s'attache à donner de la couleur à de célèbres photos en noir et blanc, une technique qui semble faire revivre le passé, lui donner une nouvelle vitalité et transmettre un sentiment de proximité renouvelée entre le sujet et l'observateur. L'une des photographies qui l'a le plus frappée, parmi celles qu'elle a retouchées, est certainement celle de Czeslawa Kwoka, une jeune Polonaise de quatorze ans, qui a fini ses jours à Auschwitz en 1943.
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Czeslawa Kwoka a été déportée avec sa mère Katarzyna en décembre 1942 : la femme est morte le 18 février 1943, la jeune Czeslawa le 12 mars.
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"Donner de la couleur aux photos de Czeslawa a été très difficile... Regarder son visage pendant si longtemps en sachant ce qui lui est arrivé a été douloureux."
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Marina Amaral "Avec mon travail, je voulais donner à Czeslawa l'occasion de revenir en arrière et de "raconter" son histoire".
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"Parce que donner de la couleur à une photo en noir et blanc, c'est faciliter notre sens de l'identification. Cela signifie rendre plus réels les signes de la maltraitance que ces personnes portaient sur leur visage. L'homme qui a pris les photographies originales, Wilhelm Brasse, était lui-même prisonnier d'Auschwitz. C'est lui qui a raconté les circonstances dans lesquelles les photos de Czeslawa ont été prises : la jeune fille ne comprenait naturellement pas l'allemand et elle a donc été battue par une femme chargée de garder les prisonniers. Czeslawa était l'un des quelque 230 000 mineurs déportés vers le camp de concentration d'Auschwitz.
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On voit ici le portrait d'un orphelin de guerre à Londres 1945
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Enfants devant un char allemand
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Migrant Mother, la plus célèbre prise de vue de la photographe Dorothea Lange, avec Florence Owens Thompson et ses filles Ruby et Norma
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Les médecins du 5ème et 6ème commando amphibie des USA.
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ivo-oz · 7 months
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🩸🩸🩸
ℌ𝖊𝖊𝖇𝖊𝖘 : 𝕲𝖊𝖓𝖊𝖘𝖊
〖chapitre 3 〗
Attention, ce texte sera peut-être modifié à l'avenir afin de le perfectionner
Dans un sursaut, mes yeux s'ouvrent dans une salle sombre au mur de pierre. Toujours à genoux, je constate que ma situation n'a nullement changé. Les mains clouées à la froideur de la pierre, le sang s'échappant lentement des plaies béantes, peignant ainsi la pierre en rouge.
C'est drôle, il m'a fallu deux jours pour ne plus y penser.
Les premiers jours se sont remplis de cris et de pleur.
Ridicule !
La futilité de cette douleur me rend tellement honteuse.
Je ne penserai pas que l'humilier devant les représentants du royaume le pousserait à me souhaiter autant de mal. J'aurais préféré garder la mobilité de mes mains. Mais bon, si c'est le prix à payer.
Les blessures que je porte en moi sont plus grandes que ses clous.
Il est vrai que c'est la première fois que je suis confronté à de tels châtiments physiques, mais j'aurais dû me réjouir.
Non, ne crie pas, ce n'est pas de la douleur.
Quelle image de moi j'aurais si je me réabandonne à cette facilité ? J'ai subi plus grave, plus longtemps.
Ce ne sont que des plaies, elles s'effaceront.
Mes vraies blessures, elles n'ont pas cicatrisé et pourtant, je les supporte. Succomber à de telles frivolités serait juste dévalorisant.
La vraie douleur n'aurait plus de sens.
Vous êtes en retard. J'en pouvais plus de lutter contre le sommeil pour m'éviter de m'ouvrir la peau davantage.
Un grincement métallique interrompit ma somnolence.
La porte est ouverte.
J'ai beau être dos à elle, je peux quand même sentir le son des talons frapper la pierre dans ma direction.
Un son grave, puis aigu, grave et encore aigu.
Une paire de bottes désassorties.
Ho, c'est Fides qui a été chargé de me libérer.
Tout en entrant dans mon champ de vision, Fides arrache les clous qui bloquaient mes mains.
J'ai . . .
Je n'ai pas crié,
j'ai pu me contenir haha,
mon sourire partit immédiatement quand je découvris les énormes trous béants que contenaient mes mains dorénavant.
On peut y voir à travers.
C'est répugnant mon dieu.
Mes mains
qu'es que . . . comment . . .
mon dieu.
—Mes excuses, Père Inhonoris a tardé à me donner les clés.
— Vous pouvez me soigner ?
— Je n'ai pas ces compétences, un médecin vous sera assigné dans deux jours.
— Vous vous moquez de moi, mes plaies vont rester ouvertes pendant cinq jours en tout. Je ne pourrai plus jamais écrire.
Un ange passe.
— Vous m'envoyez navrer, mademoiselle.
— Navrée ‽ Vraiment ‽ Ôte-moi ce mot de ta bouche quand tu me parles ! Mais quel genre de soutien hypocrite, tu penses me faire avaler ! Ça ne sert à rien de me mentir si mon état ne t'inspire que de l'indifférence !
Le souvenir de mes mains perforées aurait presque pu être oublié si mon sang ne s'était pas mis à accélérer dans mes veines.
Mon cœur hurle dans ma tête, m'obligeant à me taire.
— Pardonnez-moi Je m'exécute.
—Avez-vous du temps à m'accorder ?
J'aurais besoin de coudre mes plaies.
Bien sûr, je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse.
Vous pouvez déléguer le travail à un de vos collègues si c'est trop demandé. J'espère que je n'ai pas manqué de politesse, vous savez, trois jours sans pouvoir pleinement dormir me font perdre pas mal de notions.
Comme la clémence par exemple.
Je sens l'air frais de la pièce effleurer les cavités de mes mains. Le sang a arrêté de couler et fait maintenant place au vertige et à la fatigue.
Toute pressée, elle s'engouffre dans l'ouverture de la porte.
Elle ne m'aide même pas à monter...
Haha, elle doit avoir peur de demander . . .
Haaaa, j'en avais besoin tout de même.
3 minutes plus tard, Fides accourut pour m'éviter un malaise sur les marches et se mit à m'aider à atteindre ma chambre.
Ho, le temps, et puis qu'est-ce que c'est au final ?
Que le soleil finisse couché une fois la fin des escaliers atteint. Alors ainsi soit-il
— N'ayez crainte, nous serons bientôt à vos appartements.
Hum
Mes yeux balaient le sol et les murs comme un pendule oscillant entre le conscient et l'inconscient. Un pendule se stoppant net lorsqu'une certaine odeur lui parvient.
Odeur de café . . . de miel.
Cela me sortit de mon vertige.
11h
— Que faites-vous ? Votre chambre se situe dans le couloir gauche.
Il est 11 heures, grand-père doit être dans son bureau.
— Ne me crois pas si bête. Je vais simplement dire bonjour à Papi.
— Vous entendez vous, c'est lui qui vous a châtié. Ne l'humiliez pas davantage, il risquerait de vous bannir.
— Tu n'es pas convaincante, cesse de mentir, bon sang.
Boitant en direction de la porte, je finis ma route en m'affalant sur la poignée de la porte.
Haha, tant pis pour la surprise.
L'iris de ses yeux dilaté, la rigidité qu'adopte son corps. Toute cette attention pour moi. Il s'efforce d'être calme et ça m'est tellement jouissif.
Je pousse la porte en m'aidant difficilement de mon épaule, mes mains étant inutilisables.
Grand-père est juste derrière.
L'encadré de la porte dévoile progressivement son visage et les émotions qui le parcourent quand il découvre le mien.
Finalement, je ne sais que dire, mon esprit m'échappe, des idées, des bribes me viennent, mais les paroles demeurent insaisissables.
Pourquoi est-il aussi surpris ? Pensait-il me soumettre ?
Tu ne me connais pas assez.
Que pense-t-il de moi ? Que penserait Inhonoris Cornecuus ?
Toute sa vie et son existence ont servi à bâtir cet empire, à se hisser au rang de roi. Être à son niveau est la seule motivation qui me pousse à me faire violence dans mes études.
Enfin, avec les blessures, ça va être plus compliqué.
En marchant ou plutôt vacillant vers lui, le sang pulsant dans mes mains m'empêche de continuer.
Aucun de mes muscles actifs ne m'épargne de douleur.
Je lève faiblement ma main et avec un grand sourire, le plus beau que je puisse faire, je le salue avant qu'un voile noir ne mette fin à mon geste.
SUITE (un jour . . . ) PRECEDENT
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uneessencesensible · 5 months
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N°2161 – Mercredi 13 mars 2024
Cela va de mieux en mieux. Je garde l’optique de rester focus sur le présent et rien de plus. Il n’y a que comme ça que mes pensées n’arrivent pas à me mettre ko et à déclencher des crises de panique. En cas d’insistance, je m’accroche au réel, à ce que je vis réellement et je me rends compte que tout va bien. Tout va pour le mieux et qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter. Aucune raison de voir le pire arriver. Loin de là.
Aujourd’hui, tout va bien. Je suis contente de moi. Chaque jour est une étape de franchie face à cette obsession qui me fait de l’œil depuis quelques mois. Ce qui est bien, c’est que je n’ai pas attendu pour en parler à la thérapeute. Ce qui fait que, peu à peu, nous arrivons à trouver d’où cela provient. Loin dans l’enfance, comme d’habitude. Mais je suis là pour aller mieux et si je dois passer par des moments difficiles, où je dois parler de mon enfance douloureuse, encor une fois, je le ferai.
A chaque séance, je comprends un peu mieux mon fonctionnement. J’ai hâte de la prochaine séance pour pouvoir parler avec elle. Peut-être que la prochaine, nous saurons le pourquoi du comment, comme on dit. Je pense que cela part de la peur qu’il m’abandonne et qu’il me laisse seule, sans lui. Je pense que si je fais une fixette sur cette personne, c’est que j’ai besoin d’être sans cesse avec lui. J’envie les personnes qui travaillent ensemble et qui sont en couple. Pourtant, je sais que c’est une chose qui peut tout faire capoter dans une relation. Être collé l’un à l’autre ne correspond pas à tout le monde et personnellement, j’ai aussi besoin de mes moments intimes, qui me sont propres.
Il y a une chose aussi dont je suis fière de moi, c’est de pouvoir en parler à mes proches. Je n’en parle pas à tout le monde, mais aux personnes de confiance et cela me fait un bien fou, car rien qu’en parlant, ça m’aide à voir plus loin dans ma réflexion. Puis, tout garder pour soi est une très mauvaise idée. Autant vider son sac auprès de quelqu’un qui saura nous rassurer, même si elle n’est pas calée en psychologie.
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lilias42 · 2 months
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De nouveau merci à @ladyniniane pour le tag !
Pourquoi avoir choisi ton url ? J'ai toujours utilisé ce pseudo "Lilias42" où que je sois depuis toute petite alors, j'ai continué. ça vient du pokémon Lilia car je trouvais son nom joli mais, ça devait être déjà pris alors, j'ai rajouté un "S"
Des blogs annexes ? Aucun. J'avais pensé à un moment de m'en créer un pour poster les fiches que j'avais faites pour mon master, ça aurait centralisé toutes les informations en français mais, étant donné que j'ai des photos sous licence, ce serait limite-limite niveau légalité et droit d'auteur et je n'ai plus vraiment l'énergie pour le faire. Un jour peut-être alors.
Depuis combien de temps es-tu sur Tumblr ? D'après mes archives, juillet 2021... nom d'une aile que le temps passe vite !
Avez-vous une balise de file d'attente / queue tag ? J'ai pas mal de brouillons mais, pas de fil d'attente en cours ou de tag spécifique pour ça. Sinon, je note toujours mon travail avec un tag "écriture de curieuse" / "dessin de curieuse" / "[insérer type de sujet de billet possible] de curieuse" ... histoire de retrouver ce que j'ai fait auparavant
Pourquoi as-tu commencé ton blog ? Je crois que je voulais accéder à certains blogs bloquant les anonymes et pour rebloguer des billets que j'aimais bien
Pourquoi as-tu choisi ton icône / pfp ? Il s'agit d'Aura, mon plus vieil OC que j'utilise aussi souvent pour me représenter. Avant, c'était Castti Florenz, mon personnage préféré d'Octopath Traveler II. C'était une image officielle que je trouvais joli, et ça m'évitait d'avoir de potentiels ennuis en reprenant un fanart, hors de question de voler quelqu'un.
Pourquoi avoir choisi ton en-tête ? C'est une image officielle de Sothis dans Fire Emblem Three House. Son personnage a un TAS de problème mais, je trouvais cette image cool, elle est officielle en accès libre et comme mon blog parle surtout de ce jeu et de mes fanfics autour, ceci explique cela !
Quel est ton article avec le plus de notes ? Alors là... aucune maudite idée... peut-être mon billet sur l'origine de Pan vu qu'il a été reblogué par le compte officiel de la semaine spécial OC. Mes dessins semblent plus intéressé que mes écrits en tout cas mais, c'est surement parce que c'est plus facile à comprendre que des billets de plus de 50 pages de Word écrit en français, les dessins sont plus universels...
Combien de mutuelles avez-vous ? Les mutuels, c'est les gens qui sont abonnés à nous et où on est nous-mêmes abonnés à eux , c'est ça ? Alors... tatata... on est 6 !
Combien d'abonné as-tu ? On est 18 à bord ! Aucune idée de comment on a pu être aussi nombreux sur un blog avec surtout du texte, des dessins de personnes tordues et écrit en français mais, je trouve ça déjà énorme ! Merci beaucoup tout le monde !
Combien de personnes suivez-vous ? 88 abonnement en tout ! J'essaye de ne pas suivre trop de monde afin de ne pas encombré mon fil d'actualité et pouvoir en lire un maximum, d'où le fait que je ne m'abonne pas souvent à ceux qui me suivent.
Avez-vous déjà écrit un shitpost ? Des billets critiques assez énervées au sujet d'une scène ou d'un élément de 3nopes d'une histoire que je trouvais mal fait, oui, c'est déjà arrivé, même si j'argumente toujours et je ne crache pas sans raison sur un truc. Mais écrire quelque chose d'énerver, pour troller gratuitement des gens qui n'ont rien demandé ou juste cracher sur quelque chose sans argument ? Non, et je n'ai pas envie d'en faire, je trouverais ça profondément crétin de juste cracher sur quelque chose sans justifier pourquoi je pense que c'est mauvais, encore plus si c'est juste pour énerver les gens, pour ensuite retomber dessus et me dire que j'ai craché ma haine stupidement juste pour cracher. Je préfère garder mes billets et mon énergie pour des trucs que j'aime ou que je trouve drôle. Quitte à m'énerver, je m'énerve dans mon coin et ça en reste-là, ça reste pas gravé dans les méandres d'internet.
A quelle fréquence utilisez-vous Tumblr chaque jour ? Plusieurs fois par jour, surtout que c'est le seul "réseau social" que j'utilise et où je poste.
Vous êtes-vous déjà disputé avec un autre blogueur ? Non, et je n'espère pas que ça arrivera. De toute façon, dès que je voie certains utilisateurs qui ont l'air d'être nerveux ou juste là pour se battre avec tout le monde, je les bloque à vue histoire de rester tranquille. En plus, la plupart des temps, c'est des anglophones que je bloque alors, se disputer dans deux langues différentes en devant traduire un drama, ce qui apporte toooouuus les risques de mal interprété les choses car, certains mots n'ont pas la même portée en français qu'en anglais... c'est bon, ce serait une pure perte de temps et j'ai des choses plus intéressantes à faire de mon temps que me battre sur internet avec des gens à l'autre bout de la planète que je ne connais même pas, tout en sachant que de toute façon, ça finira avec personne qui ne bouge sur ses positions.
Que pensez-vous des messages du type "tu dois rebloguer ceci" ? Quand c'est des gens que je ne connais pas, c'est de l'eau sur les plumes d'un canard, ça ne me fait ni chaud ni froid et de toute façon, soit j'aurais la flemme d'encombrer mon blog avec, soit j'oublierai. Déjà que je reblogue rarement...
Aimez-vous les jeux de tags ? Oui !
Aimez-vous les jeux de questions ? Evidemment ! Aucune idée où les trouver directement sur Tumblr à part au petit bonheur la chance et quand j'en trouve un, j'oublie souvent de le rebloguer en le mettant dans mes favoris ou en brouillon mais, j'aime bien ça !
Lequel de vos mutuels est célèbre sur Tumblr ? Vu qu'on ne peut pas voir le nombre d'abonné des gens, aucune idée. J'aurais bien ma petite idée sur qui pourrait l'être mais bon, c'est un peu le cadet de mes soucis. En plus, est-ce que c'est si important que ça ? On est là pour s'amuser et parler de fandom, ce n'est pas une course à la popularité.
Vous avez le béguin pour un mutuel ? Non.
Des tags ? Alors... voyons... allez @mwezina , @fuckingferalhawks , @sinniel ! C'est déjà pas mal ! Et évidemment, tout ceux qui ont envie de faire le test, n'hésitez pas !
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bleucommemonstre · 2 months
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5 juillet 2024
J’ai passé trois jours dans la maison de famille d’un copain pas loin de Montpellier. Il m’avait proposé de venir pour voir la mer, sachant que je bassine tout le monde avec ça. Le premier jour, il est venu me chercher à mon appartement en voiture. J’avais le cafard, mais en même temps tellement hâte de voir le bleu à perte de vue que c’est passé inaperçu je pense. Sur la route, j’ai bu une bière et on a écouté de la musique. Je me suis sentie vraiment en vacances quand je regardais par la fenêtre le paysage défiler pendant qu’il me rappelait le programme. En arrivant, on a pris des pizzas qu’on a mangées au bord de la piscine puis après, on s’est baignés avant qu’il fasse totalement nuit. J’ai joué avec ma machine à bulles puis j’ai laissé les fourmis me grimper dessus. On s’est baladés et il m’a fait visiter son village - en même temps, on jouait à Pokémon Go, c’était sympa - en me racontant des trucs. Les étoiles se voyaient beaucoup car là-bas, ce n’est pas très pollué et avec le bruit des cigales c’était très beau.
Le lendemain, on est allés à la mer ! On a retrouvé un copain à lui et son amie puis on a mangé au restaurant en bord de plage. Ça me fait bizarre car le type travaille et gagne pas mal d’argent alors qu’il a notre âge, sa pote aussi. Elle nous a même proposé de passer quelques jours dans une « villa » mais perso, je ne pouvais pas, je devais aller garder ma grand-mère à Paris. Bref, ils sont partis et on s’est baignés. Allongée sur le sable, j’ai réalisé qu’avec lui à ce moment-là, face à la mer, il y avait une douceur qui m’enveloppait et c’était beau. Aussi, il a le don de me faire sentir jolie alors que je ne m’aime pas, c’est apaisant.
J’avais pris mon journal alors je l’ai dessiné puis j’ai cherché avec lui des coquillages et des plumes après avoir mangé une glace. C’était marrant, c’était un peu comme une chasse au trésor. Il m’a même ramené une plume de mouette ! Ça m’a fait très plaisir car les mouettes, c’est mes oiseaux préférés : elles me rendent nostalgique de mes vacances en Normandie tous les étés quand j’étais petite, le seul moment de l’année où je voyais la mer. À un moment, il m’a fait la remarque qu’on dirait une enfant quand je suis à la plage et c’est vrai. Je me sens toute petite et émerveillée pour un rien là-bas, j’ai l’impression de rattraper une jeunesse qui m’a été arrachée. Mais je crois que me voir contente comme ça, ça l’a rendu heureux de m’avoir invitée.
Le soir, on a fait une petite soirée en jouant à des jeux d’alcool, c’était sympa mais j’étais crevée. Le lendemain, avant de prendre la route, j’ai cueilli une fleur dans son jardin pour mettre dans mon journal.
C’était un petit voyage qui m’a guérie un peu du mal-être qui, jusque-là, grandissait en moi.
Dans pas longtemps, il m’a invité avec un groupe de copains à aller dans une maison dans les Cévennes quelques jours : j’ai dit oui évidemment.
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Ps: Le dernier jour on s’est baladés. Je me suis allongé sur un banc au point de vue où il m’a emmené. J’ai mis de la musique et on a regardé le ciel. Il m’a dit qu’il voyait un truc — je ne sais plus trop quoi — dans les nuages et, sur le coup, je ne voyais rien. Plus tard, en rentrant, j’ai regardé la photo que j’avais prise de la vue et j’ai dessiné un monstre mi-autruche, mi-je-ne-sais-quoi qui m’apparaissait dans le ciel.
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marie-swriting · 10 months
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Tout Ira Bien - Emily Prentiss [1/2]
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Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Quand Emily apprend que Ian Doyle s'est échappé, elle sait qu'elle doit tout faire pour te protéger, même si ça veut dire briser ton coeur.
Warnings : commence pendant le 6x13 et se finit pendant le 6x18, mort de personnage (pas la reader), angst, rupture, fin triste, funérailles, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.9k
Chanson qui m'a inspiré : Last Kiss (Taylor's Version) par Taylor Swift
-Ian Doyle s’est évadé de prison. Interpol n’arrive pas à le retrouver.
La phrase de Sean retentit dans les oreilles d’Emily. Elle n’arrive pas y croire. Ian Doyle devait faire partie de son passé. Son nom ne devait plus qu’être un souvenir. 
-Quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ?
-On ne sait pas où il est, Emily.
-Est-ce que tu crois qu’il va venir ici ? demande Emily avant de marquer une pause. Je suis en danger ?
-On l’est tous.
L’inquiétude prend place sur le visage d’Emily, comprenant la gravité de la situation. Ce n’est qu’une question de temps avant que tout tourne mal, elle en a conscience. Elle doit réfléchir à la façon dont elle doit agir pour se protéger. 
Ses pensées sont interrompues par la sonnerie de son téléphone. Elle détache les yeux de Sean et sort son portable. En voyant ton prénom et ta photo sur son écran, elle est d’abord attendrie avant d’avoir une prise de conscience. Elle doit aussi te protéger. Ian Doyle pourrait s’en prendre à toi pour se venger. Elle s'éclaircit la gorge puis répond en prenant un ton naturel.
-Allô, Y/N, tout va bien ?
-Hey, Em’, je t’appelle pour savoir si je t’attends ou si tu vas rentrer tard, expliques-tu et Emily peut entendre que tu es en train de rentrer dans ta voiture.
-J’ai encore de la paperasse à faire. Je ne pense même pas que je dormirai à la maison. Je dois régler quelques détails avec l’équipe.
-Oh, d’accord, dis-tu en essayant de cacher ta déception. Tiens moi au courant. Tu me manques.
-Toi aussi. 
Sur ces mots, tu raccroches. Emily regarde pendant quelques secondes son écran avant de discuter avec Sean des informations qu’Interpol possède sur l’évasion de Doyle. En l’écoutant, son cerveau fuse à mille à l’heure, cherchant tous les plans pour arrêter Doyle et protéger ceux qu’elle aime. 
En quittant son ancien collègue, Emily passe la nuit dans un hôtel. Elle a besoin d’être seule pour réfléchir. Elle doit réfléchir à une solution pour que tu sois saine et sauve. Le problème, c’est qu’elle ne peut pas te parler de Doyle. Elle doit t’éloigner sans que tu saches la réelle raison. Emily en vient à la triste conclusion qu’elle doit te briser le cœur - et le sien par la même occasion. Elle préfère vivre une peine de cœur et te voir respirer plutôt que te garder près d’elle et te voir mourir sous la main de Doyle. Elle ne peut pas prendre ce risque. Elle doit rompre avec toi.
Le lendemain, Emily se réveille avec difficulté. Son sommeil n’a pas été reposant. Elle n’a pas cessé de réfléchir à ce qu’elle pourrait te dire. 
Elle va dans votre appartement quand elle sait que tu es partie au travail, voulant t’éviter jusqu’à ce que tu rentres le soir. En t’attendant, Emily prépare quelques affaires.
Quand tu passes le pas de la porte de votre appartement, le visage d’Emily prend une expression neutre. Elle ne doit montrer aucune émotion. Elle ne doit surtout pas laisser ces mêmes émotions parler. Elle sait ce qu’elle doit faire. Avec un grand sourire aux lèvres, tu te diriges vers Emily, prête à la prendre dans tes bras. Toutefois, quand tu vois son visage impassible, tu fronces les sourcils.
-Em’, tout va bien ? questionnes-tu en posant ton sac.
-On doit parler, Y/N.
-De quoi ?
-Je pense qu’on devrait s’arrêter là, annonce Emily de but en blanc et il te faut quelques secondes pour répondre.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Ça ne sert à rien de continuer. Ces derniers temps, j’ai été pas mal occupée avec mon travail. Et puis, je ne serai jamais capable de te donner la vie que tu mérites. C’est mieux pour tout le monde.
-Qu-quoi ? Tu n’es pas sérieuse ? Emily, ça sort d’où ça ? 
-Je cite juste un fait. Je suis presque tout le temps en déplacement, ça ne sert à rien de perdre notre temps.
-D’accord, tu es souvent ailleurs, mais on ne perd pas notre temps. Notre relation fonctionne. On a un équilibre. Pourquoi tu veux tout abandonner maintenant ? demandes-tu, perdue et avec les larmes aux yeux. 
-J’y pense depuis un moment. 
-Mais, tout allait bien entre nous. Enfin, c’est ce que je croyais. J’ai fait quelque chose ? 
-Ce n’est la faute de personne, c’est juste ce qu’il y a faire de mieux, affirme-t-elle en te regardant droit dans les yeux.
-Selon qui ? 
-Y/N, on savait toutes les deux que cette relation était vouée à l’échec. Elle n’était pas faite pour être durable. Pas quand on fait mon métier.
-JJ y arrive très bien pourtant. 
-Ce n’est pas pareil. De toute façon, ma décision est prise. 
-Donc, tu veux même pas essayer d’en parler ? De régler le problème ? Tu baisses les bras aussi vite ?
Emily sait que tu n’abandonneras pas. Tu as un air déterminé sur ton visage, malgré tes yeux larmoyants. Emily prend une grande inspiration avant de dire la phrase la plus compliquée qu’elle ait eu à dire : 
-Je ne t’aime plus, Y/N. Tu es quelqu’un de bien, mais je n’ai plus de sentiments pour toi.
-Ce n’était pas l’impression que tu donnais il y a encore quelques semaines, contredis-tu, incrédule. 
-J’ai essayé de retrouver mes sentiments pour toi, mais c’est impossible.
Tes yeux analysent Emily, cherchant une preuve que les mots qui sortent de sa bouche ne sont pas la réalité. Toutefois, Emily a sorti son plus beau jeu d’acteur ; tu dois croire à ces mots tranchants. Comprenant que tu as bien entendu ce que t’a dit Emily, tes larmes commencent à couler sur tes joues. Tu n’y prêtes pas attention, essayant encore de trouver une solution pour rester auprès d’Emily. En voyant ton cœur se briser sous ses yeux, à cause d’elle, Emily se retient de t’avouer la vérité. Cependant, elle se répète que c’est la chose à faire. 
-Je… J’irai dans un hôtel pour les prochains jours. Je vais sûrement devoir repartir dans ce laps de temps, ça te donnera largement le temps de reprendre tes affaires, informe doucement Emily en prenant deux sacs. 
Tu ouvres un peu plus grand les yeux à sa dernière phrase. Bien évidemment, tu ne pouvais pas t’attendre à vivre encore avec elle si vous êtes séparées, mais tu pensais que vous alliez en parler, savoir si vous vendiez l’appartement ou qui le garderait. 
Emily se sent mal en te virant de votre chez vous, mais elle sait qu’elle ne peut pas te le laisser. Doyle le trouverait en une recherche sur Emily et elle ne peut pas risquer qu’il vienne chez vous alors que tu y habites encore. Elle doit te garder loin d’elle et loin de votre appartement. 
-Em’, je t’en prie.
Emily lutte pour te prendre dans ses bras en t’entendant la supplier. Elle ne te répond pas avant de te dépasser pour passer la porte de votre appartement. Elle retient un sanglot jusqu’à ce qu’elle arrive dans sa voiture. 
De ton côté, tu restes debout, toujours sous le choc, les yeux fixés sur la porte d’entrée. Tu n’arrives pas à croire que ta relation avec Emily est réellement finie après cinq ans. Tu n’aurais jamais cru entendre ces mots. Tu n’avais pas prévu qu’Emily change d’avis sur vous. Pour toi, elle est - elle était celle avec qui tu allais finir ta vie. Il faut croire que ça ne sera pas le cas.
Un mois s’est écoulé depuis votre rupture. Dans une tentative désespérée, tu as essayé de la contacter pendant les premières semaines de votre séparation, sans aucune réponse de sa part. Tu n’as pas l’air de lui manquer autant que toi, elle te manque. Tu ne sais pas quoi faire pour que tu lui manques. Alors, à contrecœur, tu as fini par abandonner. Tu n’arrives toujours pas à t’en remettre. Tu n’arrêtes pas de repenser à votre relation, cherchant ce que tu aurais pu faire de différent pour éviter cette fin. 
Tu n’aurais jamais pensé que vous finiriez de cette façon. Tu n’aurais jamais imaginé que tu ne saurais plus sa routine, où elle est, quelle enquête elle fait. Tu n’aurais jamais cru que tu ne la serrerais plus contre toi. Tu n’aurais jamais cru que vous auriez un dernier baiser. 
Tu essayes de faire bonne figure, même si au fond de toi, tu restes dans cet état d’engourdissement. Mais ça doit changer, tu dois apprendre à avancer. Pour cela, rien de mieux que de sortir avec des amis. 
Tu retrouves Penelope dans un café non loin de ton lieu de travail. Penelope est celle dont tu es le plus proche de son équipe avec Rossi. Tu la considères comme une sœur et c’est réciproque de son côté. Penelope était choquée en apprenant votre séparation et elle a essayé de faire changer d’avis Emily, sans succès. 
En arrivant dans le café, tu prends Penelope dans tes bras. Tu arrives à lâcher un soupir de soulagement en la serrant contre toi. Ces câlins ont un pouvoir, tu en es sûre. Vous vous installez après avoir passé commande. Au début, votre discussion évoque des sujets banals - vous ne vous étiez pas vues depuis un petit moment alors vous rattrapez le temps perdu. Puis vient un moment où Penelope raconte une anecdote drôle sur l’équipe où elle mentionne Emily. À la mention du prénom de ton ex, tu baisses le regard, ignorant le pincement dans ton cœur. Penelope s’arrête de rire quand elle voit ta réaction. 
-Oh, mon Dieu ! Désolée ! Je… Je n’ai pas réfléchi. Je n’aurai pas… Je suis désolée, s’exclame Penelope, embarrassée.
-Ce n’est pas grave. Ça fait un mois, après tout, la rassures-tu avec un faux sourire.
-Mais quand même. Vous êtes restées longtemps ensemble. C’est normal si ça te fait encore mal. 
-Je sais. Comment elle va, Emily ? 
C’est plus fort que toi, tu avais besoin de poser cette question, elle te brûlait les lèvres depuis un mois. Tu as besoin de savoir si ton impression est une réalité. Penelope prend une grande inspiration avant de te répondre. 
-Elle ne montre rien, mais je suis sûre qu’elle souffre tout autant. Parfois, elle est un peu plus discrète. Elle semble être plus souvent perdue dans ses pensées, ce qui est compréhensible au vu de la situation.
-C’est elle qui a dit qu’elle ne m’aimait plus, rétorques-tu séchement. Désolée, je n’ai pas dit ça pour que tu prennes mon parti ou autre, te reprends-tu avec un air coupable. Je suis juste encore surprise par comment tout a basculé du jour au lendemain. 
-Vous vous retrouvez. C’est une certitude, affirme-t-elle en serrant ta main.
-Je n’y crois pas trop. Elle avait l’air déterminée à rester loin de moi. 
-Y/N, l’amour que vous aviez ne peut pas se perdre. Quand ça sera le bon moment, vous serez de nouveau ensemble et tout ira bien. 
Tu vois au visage de Penelope qu’elle croit dur comme fer à ses mots. Elle ne les dit pas juste pour te faire te sentir mieux, elle est persuadée d’avoir raison. Penelope a tendance à tout voir en rose, c’est vrai, mais tu as besoin de ce petit espoir.
En rentrant chez toi, tu poses ton sac à côté de ton entrée puis, tu t’installes sur ton canapé. Tu balayes ton appartement du regard, indifférente. Malgré tous tes efforts, tu n’arrives pas à te sentir chez toi. Chez toi, c’était ton appartement avec Emily. Chez toi, c’était Emily. Mais tu n’as plus Emily et tu ne l’auras plus.
Tu te lèves de ton canapé avant de te diriger dans le placard de ta chambre. Tu l’ouvres et prends un carton qui est placé en haut. Tu le saisis et t’assois par terre puis, tu cherches au fond du carton, à la recherche de quelque chose de précis. En tombant sur le cadre, tu le retournes afin de pouvoir regarder la photo à l’intérieur. 
Cette image date d’il y a deux ans, c’était au début du mois de juillet, vous êtes en train de vous embrasser devant la Tour Eiffel. 
Vous étiez partis à Paris pour vos vacances - par miracle, Emily avait réussi à avoir deux semaines de repos. Vous aviez passé un séjour inoubliable. Le fait le plus marquant de ce voyage, selon toi, est Emily parlant en français. Tu sais qu’elle parle un nombre incalculable de langues et tu fonds à chaque fois qu’elle parle l’une d’entre elles. Cependant, ce n’est pas souvent alors quand tu as pu l’entendre parler français pendant deux semaines complètes, tu étais aux anges. 
Un soir, vers la fin de vos vacances, vous étiez restées dans votre chambre d’hôtel. En temps normal, vous profitiez aussi de la soirée pour visiter un peu plus Paris, mais ce soir-là, vous étiez trop fatiguées pour marcher dix pas de plus. 
Vous vous étiez assises sur votre balcon, admirant la vue, la Tour Eiffel illuminée au loin, et vous étiez en train de parler de l’avenir. Vous faisiez des projets en tout genre, imaginant à quoi ressemblerait votre vie dans un an, cinq ans, dix ans, même dans trente ans. 
-J’ai si hâte de vieillir avec toi, avait déclaré Emily avec un sourire.
-Moi aussi. Tu serais magnifique avec les cheveux grisonnants, avais-tu dit en caressant ses cheveux. 
-Je ne sais pas.
-Crois-moi, tu le seras. 
-Et toi, tu serais magnifique dans une robe blanche, avait-elle affirmé en plongeant ses yeux dans les tiens.
-Quoi ?
-On en a jamais vraiment parlé, mais j’adorerais qu’on se marie. Pas maintenant, sois rassurée ! avait précisé Emily en voyant tes yeux grand ouverts. Je n’ai pas de bague et ça, ça n’est sûrement pas ma demande en mariage, mais je peux nous y voir, en train d’échanger nos vœux et de nous embrasser devant nos proches.
-Je peux nous y voir aussi. J’adorerais t’épouser un jour, avais-tu avoué, prenant sa main dans la tienne. 
-Tant mieux, comme ça, je serai sûre que tu ne pourras pas te débarrasser de moi.
-C’est toi qui en auras marre de moi avant, avais-tu rigolé et Emily avait secoué la tête.
-Jamais. Je t’aime trop pour me lasser de toi. 
Et sur ces mots, vous aviez partagé un baisé langoureux rempli d’amour. Tu n’avais jamais été aussi sûre de votre relation que ce soir-là. Tu savais que c’était fait pour durer et tu n’avais qu’un hâte, créer de nouveaux moments aussi romantiques que celui-ci. Malheureusement, tout comme vous avez eu un dernier baiser, vous avez eu un dernier moment romantique. Ces instants ne sont plus que des souvenirs placés dans un cadre.
Quelques semaines plus tard, alors que tu es plongée dans ton travail, tu reçois un appel. Tu prends ton téléphone en te demandant qui peut bien t’appeler aussi tard. En découvrant le nom de JJ, ton estomac se tord. Elle ne t’a presque jamais appelé. Si elle le fait, c’est qu’il y a quelque chose de grave. Avec appréhension, tu réponds. 
-JJ, qu’est-ce qui se passe ? Emily va bien ?
-Tu dois venir à l’hôpital tout de suite. Emily est en train de se faire opérer, informe JJ d’une voix tremblante.
-Qu’est-ce qui s’est passé ? demandes-tu en te levant de ta chaise.
-Je t’expliquerai à l’hôpital, c’est trop long par téléphone. Je te rappellerai si les médecins donnent des informations avant que tu n’arrives. 
-Je serai là dans vingt minutes grand maximum. 
Tu raccroches et te dépêches de te préparer avant de courir jusqu’à ta voiture. Pendant le trajet, tu es contrôlée par ton anxiété. Tu n’as jamais roulé aussi vite de ta vie. Dans ta tête, tous les scénarios défilent, te faisant monter les larmes aux yeux. Le manque d’informations de la part de JJ n’aide pas à te calmer. 
Tu cours à travers de l’hôpital, à la recherche de l’équipe d’Emily. Tu les trouves assis, une expression inquiète sur leur visage. Hotch te voit arriver en premier et vient à ta rencontre, JJ sur ses talons. Hotch garde la tête froide même s’il peut ressentir ton stress au plus profond de son être. Il t’invite à le suivre dans un endroit plus discret de l’hôpital alors que JJ va te chercher un verre d’eau. Quand elle te le donne, Hotch est en train de te raconter l’évasion de Ian Doyle. Au fil de son récit, tout prend du sens dans ta tête. 
Tu comprends enfin pourquoi Emily s’est éloignée si soudainement, pourquoi elle a été si dure dans ses mots. Elle pensait te protéger de Doyle en restant loin de toi, mais en le faisant, elle n’a pas pensé à se protéger, elle. Emily est dans un état critique et tu ignores si tu auras jamais l’occasion de lui reparler, de la sentir contre toi à nouveau. 
Quand tu es au courant de toute l’histoire, tu retrouves le reste de l’équipe. Rossi t’informe qu’aucune nouvelle n’est encore arrivée. Tu t’assois à ses côtés et commences à te ronger les ongles. Tu attends avec agonie un médecin qui va très probablement t’annoncer une mauvaise nouvelle. 
Tu aimerais être nulle part qu’ici. Tu aimerais que tout soit un mauvais rêve. Tu aimerais être dans votre appartement, à toi et Emily, enlacées dans votre lit alors que le soleil se lève comme vous aviez l’habitude de le faire.
Un matin, environ un an après votre voyage à Paris, Emily avait eu un jour de repos, vous permettant ainsi de rester au lit jusqu’à tard. Tu t’étais réveillée en premier - chose assez rare - et tu t’étais mise à la regarder. Son visage était complètement relaxé alors que sa main droite était posée sur ta hanche. Tu ne sais pas combien de temps tu étais restée ainsi, tu voulais juste profiter de la présence d’Emily. À un moment, Emily avait commencé à se réveiller et avait souri en remarquant que tu avais passé ton temps à la regarder.
-Tu me regardes depuis longtemps ?
-J’en sais rien.
-Pas du tout flippant, avait-elle blagué en te rapprochant de son corps. 
-C’est pas un crime d’admirer ma petite amie quand même ! 
-On a arrêté des stalkers pour moins que ça.
-Tu vas finir par dormir sur le canapé, avais-tu rétorqué avec un faux air énervé.
-Tu n’oserais pas.
-Ne me tente pas. 
-Tu m’as manqué, avait soudainement déclaré Emily.
-Toi aussi. 
-J’espère qu’on aura encore l’occasion de se réveiller ainsi pendant longtemps.
-Je veillerai personnellement à ce que ça soit le cas, avais-tu affirmé avant de te blottir contre Emily. 
Tu avais relevé la tête vers Emily avant de l’embrasser tendrement. Elle t’avait répondu avec passion et vous aviez fini par passer la majorité de votre journée au lit. 
Maintenant, tu passes la majorité de ta soirée sur une chaise inconfortable d’hôpital. Tu as le regard perdu sur le sol alors que tu continues à penser à des moments heureux avec Emily tout en te disant que tu n’en auras sûrement plus jamais. 
JJ apparaît dans la pièce, une expression grave sur son visage, les yeux rougis. Vous n’avez pas besoin qu’elle prononce un mot pour comprendre ce qu’elle va vous annoncer. Toutefois, tu ne veux pas y croire. Certes, tu n’étais pas optimiste sur l’état d’Emily, mais une partie de toi espérait, priait, pour que tout aille bien et que vous laissiez cette histoire derrière vous. Penelope murmure un “non” désespérée pendant que tu continues à fixer JJ. Elle n’ose pas te regarder quand elle prononce la phrase que tu redoutes : 
-Elle est morte pendant l’opération.
Immédiatement, les larmes coulent sur ta joue. Tu sanglotes fortement, sous le choc alors que Rossi se penche vers toi pour te serrer contre lui. Tu acceptes son étreinte, versant toute ta douleur. Tu entends Spencer se lever, mais tu n’y prêtes pas attention, essayant de comprendre ce qu’il vient de se passer. 
Tu pensais que ton cœur s’était brisé quand Emily avait rompu, mais tu avais tort. Cette fois, la douleur est pire dans ta poitrine. Tu n’as même pas l’impression que ton cœur se brise. Ton cœur ne bat plus et il ne battra plus jamais. Comment pourrait-il ? Tu ne pourras plus jamais voir le sourire d’Emily, entendre son rire, toucher sa main. Elle est morte et ton cœur est parti avec elle. 
L’enterrement d’Emily est quelques jours plus tard. Pour la première fois depuis l’annonce de sa mort, tu te prépares. Contrairement au moment de la rupture où tu semblais insensible à tout ce que tu faisais, tu ressens chacun de tes gestes. Ta douleur n’est pas qu’émotionnelle, tous tes membres sont lourds et te font souffrir. 
Rossi est celui qui vient te chercher. Depuis la mort d’Emily, il fait attention à toi. Rossi a toujours considéré Emily comme sa fille et il t’a tout de suite adopté quand vous vous êtes mises ensemble. Il déteste te voir aussi misérable, il aimerait pouvoir prendre ta douleur et l’ajouter à la sienne. 
En voyant l’équipe porter le cercueil d’Emily, ta douleur se décuple un peu plus. Tu ne peux pas croire que la femme que tu aimes soit enfermée dans cette boite. Tu n’arrives pas à comprendre comment votre histoire ait pu se finir ainsi. 
Tu n’écoutes pas le sermon du prêtre, tu gardes tes yeux fixés sur les fleurs blanches posées sur le cercueil. Si Emily avait pu voir ce moment, elle aurait dit que tout est trop solennel à son goût, tu souris doucement à cette pensée. Penelope te tient la main jusqu’à ce que tu ailles poser une rose rouge en premier sur son cercueil, les joues baignées de larmes. Tu restes à côté d’Emily alors que l’équipe imite ton geste. Rossi place une main sur ton dos pour te réconforter et tu fais tout pour ne pas fondre en larmes dans ses bras. Par tu ne sais quel miracle, tu arrives à rester debout alors qu’Emily s’enfonce dans la terre. 
En rentrant chez toi, tu n’as pas le courage de t’allonger dans ton lit. Tu t’assois sur le sol de ta chambre après avoir mis un tee-shirt d’Emily. Tu l’avais mis dans tes cartons sans faire exprès et comme Emily ne l’a jamais réclamé, tu l’as gardé. Tu apportes le tissu à ton nez, espérant sentir l’odeur familière d’Emily, mais elle a déjà disparu. De nouvelles larmes coulent sur tes joues réalisant que bientôt, toute trace d’Emily aura à jamais disparu. Elle ne sera plus qu’une partie de ton passé.
Tout le reste de la journée, ton esprit est tourmenté par les souvenirs avec Emily. Tu repenses surtout à la fin de votre relation. Tu repenses à tous ces derniers moments que tu as vécus avec elle sans savoir qu’il n’y en aura pas d’autres. Si tu avais su ce qui allait se passer, tu les aurais appréciés un maximum et si tu le pouvais, tu aimerais pouvoir en changer certains comme votre dernier baiser.
C’était un matin, très tôt - trop tôt pour toi -, tu t’étais réveillée après Emily. Tes yeux se fermaient tout seul alors que tu te rendais dans votre cuisine. Tu préparais ton café quand Emily avait fait son apparition. Tu lui avais fait un rapide sourire alors qu’elle t’annonçait qu’elle devait vite partir au boulot. Elle t’avait embrassé chastement et tu avais à peine pris le temps de lui répondre, encore trop endormie. Elle t’avait lancé un “je t’aime” avant de prendre son sac et de quitter son appartement. Tu lui avais seulement marmonné une réponse, ayant besoin de ton café pour parler. 
Tu aurais aimé que votre dernier baiser soit différent. Tu aurais aimé pouvoir l’embrasser avec passion, apprécier le mouvement de ses lèvres contre les tiennes et lui dire clairement “je t’aime”. Malheureusement, tu ne peux pas changer le passé et tu n’auras plus jamais de nouvelles chances. Ce baiser est condamné à être votre dernier tout comme tu es condamnée à vivre sans Emily pour le restant de tes jours. Et tu es condamnée à avoir son nom à jamais sur tes lèvres tout comme votre dernier baiser. Finalement, Penelope avait tort, rien n’ira bien.
Partie deux
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saga: Soumission & Domination 262
Kamal veut devenir Escort (suite), gang bang " privé "
Récit de Kamal Suite :
Alors que je pensais que nous resterions seuls, Kev a invité son pote à rester dormir.
Après un diner que Kev a fait livrer, nous avons discuté de tout et de rien. Ils voulaient savoir quand j'étais devenu Homo, qui était mon premier mec puis chacun y a été de sa propre histoire.
Kev nous a dit qu'avant d'avoir rencontré Marc et Sasha, il se faisait payer l'été par des vieux pour les défoncer. Cela lui payait ses études et il gagnait assez en deux mois sur la cote pour couvrir ses frais d'école et de vivre l'année sans trop se priver. Il s'était lié d'amitié (plus sexe) avec Sasha et Marc un été où ils étaient venus à La Palmyre où il oeuvrait. Grâce à Sasha il avait fait la connaissance d'Henri. Après l'avoir embauché comme secrétaire particulier (plus sexe), à l'exemple d'Emma la mère adoptive de Sasha, Henri qui est célibataire, l'avait adopté. Depuis, ils aimaient à se partager les petits mecs de Sasha ou bien ceux qu'il levait en boite.
Musclor, lui, avait commencé dans son club de gymnastique. Lors des déplacements pour les compétitions, les plus jeunes dont il faisait partie était encadrés par les 17/20 ans. Et évidement ces derniers les utilisaient pour décompresser les veilles de concours. C'est comme ça qu'il s'est retrouvé au " service " d'un des athlètes qu'il admirait le plus et auquel il n'a su/pu/voulu résister. D'après ce qu'il avait compris à l'époque, c'était la tradition dans ce club. En échange, les mecs prenaient soin d'eux, ils les encourageaient ou les consolaient en cas de défaite. Il avait eu la chance que son " mentor " soit doux car certains s'étaient fait dépuceler à la dure. Ils en discutaient entre eux. Il a vite compris qu'en plus du sexe, il y avait beaucoup de tendresse entre eux. C'est grâce à lui qu'il s'était fait un corps aussi musclé. Quand ça été son tour de se prendre un jeune sportif, il l'avait vite partagé avec son ancien mentor. Depuis il bossait comme Coach sportif dans la salle où Kev allait s'entretenir et il avait vite compris que, comme lui, les mecs l'intéressait plus que les meufs. Il avait fait en sorte d'encadrer ses exercices jusqu'à le draguer sous les douches un soir où il avait réussi à le garder jusqu'à la fermeture.
Kev intervient et me dit qu'il l'avait vu venir de loin avec ses gros sabots ! Il avait surtout été intéressé par la bosse volumineuse qui déformait son cycliste. Depuis ils avaient développé une belle complicité et s'étaient fait une bonne partie des jeunes du club, individuellement puis à deux.
Je leur demandais s'ils les enculaient en même temps. Musclor me réponds que certains appréciaient les doubles sodo et qu'ils en profitaient bien. Ça leur arrivait même de les baiser sur les bancs de muscu quand c'était son tour de fermer la salle. Rien que de les imaginer en train de baiser ensemble, ça me fait bander. Je les regarde et ils sont dans le même état que moi. Je me jette sur Kev, le fais tomber en arrière sur son canapé et embouche son gland. C'est reparti pour une bonne séance de baise. Moi qui voulais connaitre autre chose que la vie conjugale, je suis servi avec ces deux là !
Musclor n'attend pas que Kev me libère, je sens sa langue venir me travailler la rondelle. Il me fait ça aussi bien qu'Alexandre. Pour lui signifier mon plaisir, je gémis bien que bâillonné par le gland de Kev. Je suis content qu'Henri ait remporté les enchères, je m'amuse et prend un plaisir fou avec Kev. Heureusement que PH est venu au cours de danse d'Alexandre, sinon je n'aurais jamais connu tout ça.
Alors que je suce toujours Kev, je sens Musclor m'enculer à nouveau. Il met autant de délicatesse que la première fois. Je me laisse faire et se sont ses coups de rein qui rythme la cadence et la profondeur de ma fellation sur Kev. Régulièrement, il me fait plonger sur ses abdos jusqu'à ce que mes lèvres touchent son pubis et mon menton repousse ses couilles, me faisant engloutir la bite entière.
Vu mon format et les leurs, je suis comme un jouet entre leurs mains. Malgré mes 60 Kg tout mouillé, ils me manipulent aussi facilement qu'une poupée gonflable ! Ça me donne encore plus l'impression de n'être qu'à leur service.
De mon propre chef, je tortille du cul, le pousse en arrière à la rencontre de la bite de Musclor et me jette avec voracité sur celle de Kev. Ils ont de suite, compris l'évolution qui s'est faite dans ma tête et je les sens se lâcher eux aussi. Kev prend ma tête dans ses mains et teste ma capacité pulmonaire en me gardant planté sur sa bite le plus longtemps possible. Quand il me laisse reculer, un grand filet de bave suit mon recul. A l'autre extrémité de mon tube digestif, Musclor ajoute des doigts plein de gel le long de sa grosse bite. Je suis tellement parti que ça me fait plus gémir que protester. Kev me dose régulièrement en poppers et ça m'aide à suivre leurs délires.
Ils m'amènent doucement à accepter la double sodo comme une issue normale de ce plan baise. Quand Kev se lève, je suis prêt psychologiquement. Il se couche sur le tapis et me demande de le chevaucher. Sa queue rentre facile et je me l'enfonce jusqu'à sentir mes fesses taper son pubis. Il me tire vers lui et je me retrouve couché sur son torse. Je sens derrière moi, Musclor s'agenouiller entre les cuisses de Kev qui les écarte un peu plus, repoussant mes jambes vers l'extérieur. Il ne faut pas longtemps pour que mon anus soit la proie du nouvel assaillant. J'aide en me limant sur Kev. Musclor en profite pour placer son gland sous celui de Kev et quand je recule, ils pénètrent ensemble. Ils sont sympa et me laisse gérer le truc. Seul Kev m'aide en me faisant sniffer un peu plus de poppers. Mes vas et viens prennent de l'ampleur et je les fait entrer de plus en plus profondément en moi. Tout pendant mes efforts, Kev me caressait le dos et Musclor mordillait ma nuque provoquant en moi de nombreux petits frissons.
Quand j'arrive enfin à les avoir toutes les deux complètement en moi, je m'arête un moment en sueur. C'est Musclor qui s'impatiente le premier et il me serre la taille avant de se mettre à me labourer le cul. Kev ne bouge pas mais il profite des frottements de son pote contre son gland et s'excite. Il en vient même à me rouler des pelles. Ma propre bite est écrasée entre nos abdos et mon gland frotte, buttant régulièrement sur son nombril.
Ils ne tiennent finalement pas si longtemps que ça, heureusement pour ma rondelle !
Je les sens juter dans leurs kpotes et ça me fait jouir à mon tour. Je suis mort !!
Quand Musclor recule, je suis incapable de bouger seul et Kev doit me basculer sur le coté pour se dégager. C'est eux deux qui me portent dans la baignoire et me laissent le temps de se doucher. Ils reviennent s'occuper de moi, passer sur mon corps le savon comme s'ils me massaient. Ils m'en sortent avec les muscles étirés et détendus et me couchent entre eux dans le grand lit de Kev. Je m'endors comme un bébé.
Je me réveille le dimanche matin. Il fait grand jour et je suis seul, nu au milieu du lit. Quand je descends (toujours nu), je tombe sur Kev, seul, qui m'attendait devant un café. Il m'en sert un et avance une corbeille de croissants. L'odeur me fait sentir le vide abyssal de mon estomac. J'en mange trois rapidement avant d'y aller plus calmement sur deux autres. Kev est amusé par mon appétit. Je lui demande entre deux bouchées où est son copain. Réponse : il est rentré chez lui et il ajoute que nous sommes attendus chez Henri avant qu'il me raccompagne à la gare. Devant mon regard interrogatif, il me dit qu'il ne me reste plus qu'une dernière pipe et je serais libre. Je me lève, vais m'assoir sur ses genoux et après lui avoir roulé un patin de plusieurs minutes, je lui dis que s'il veut il peut m'enculer. Je complète ma proposition et précisant que s'il n'en avait pas l'idée, sa bite, elle, en avait l'envie vu la raideur qui est en train de l'envahir !
Il ne le nie pas. Je glisse entre ses genoux et plonge la tête en haut de ses cuisses. Son gland remplis de son sang chaud, déforme le jogging qu'il a enfilé ce matin. Je salive et mouille le tissus jusqu'à mouler parfaitement sa forme. Trop excité, Kev repousse son jogging sur ses chevilles, me laissant libre accès à son service trois pièces. Je me jette dessus enfilant son gland directement au fond de ma gorge. Surpris il prend ma tête entre ses mains et me maintient enfoncé sur son pieu. Je dois lui faire signe que je m'étouffe pour qu'il relâche la pression. Je recule vivement et respire un grand coup. Il s'excuse. Je reprends ma pipe. Il est plus raisonnable et me laisse respirer régulièrement.
Je crois que je commence à apprécier ce nouveau travail ! si tous les clients sont comme Kev, je suis prêt a travailler tous les WE !
Si ma bouche est pleine, je ressens un vide au niveau de mon cul. Je kpote Kev et m'assois sur ses genoux mais bien planté sur ses 21cm ! De face à face, il me tourne pour augmenter l'amplitude de mon " galop ". Nous ne varions plus jusqu'à ce qu'il remplisse sa kpote et que je me jute dans la main. Il me ramènera chez Henri pour une dernière pipe avant de me remettre au train.
Sur le quai à l'arrivée, je me jette dans les bras d'Alexandre venu m'attendre. Avant qu'il ne me pose des questions, je lui dis que c'était trop bon et que je veux continuer à travailler pour Sasha. Il tempère mon enthousiasme en me disant qu'il ne fallait pas que j'oublie que la clientèle de Sasha est plutôt dans les âges d'Henri que de Kev. Je sais mais je lui dis que j'aime bien le coté " salope " que j'ai découvert en moi.
Alexandre me demande si j'ai bien réfléchi. Il ajoute que si c'est ce que je veux, il ne s'opposera pas à ma décision.
Nous passons voir Sasha deux jours plus tard. Quand nous arrivons, avec toute son équipe, il est en séance de sport. Il nous en avait parlé mais nous n'avions pas encore eu l'occasion de le voir en action. Je ne peux m'empêcher de mater mes " collègues ". Ils sont trop beaux !! Je me sens petit au milieu d'eux. Sasha et Alexandre ont du mal à me faire descendre dans son bureau.
Sasha :
J'ai récupéré ce récit quelques jours plus tard. J'avais déjà eu les avis de Kev et Henri, très content de Kamal. Ce que je lis me plait bien. Je vois que Kamal n'a pas craint sa peine et qu'il s'est donné à fond auprès des clients. J'aime cet état d'esprit. Maintenant je vais devoir lui expliquer que c'était exceptionnel et que souvent ce sera plus des 50enaires qui ne voudront que le baiser sans trop de fioritures. Ça le refroidira peut être.
Mardi dernier quand je suis remonté dans la salle de sport, il avait déjà marqué quelques uns de mes Escorts. Maxou était content de ne plus être le plus jeune de l'équipe et quelques autres m'auraient bien aidé à le tester si j'avais eu besoin. Quand je leur dis que c'est un danseur classique, ils délirent de suite sur des positions impossibles à d'autres, je ne sais pourquoi mais le " grand écart " amène à pas mal de fantasmes. A la fin, ils me demandent s'il viendra à la séance du mardi. A m'entendre leur dire oui, ils se montent la tête sur les différentes façons avec lesquelles ils se feront son petit cul. Il est vrai que je n'ai jamais interdit les rapports entre mes Escorts tant que cela ne nuit pas au taf. Et que si ça ne dérape pas souvent c'est qu'ils se connaissent bien, qu'ils se sont " trouvés " deux par deux et qu'ils se retrouvent aussi en dehors.
Le mardi qui suit, c'est effectivement ce qui arrive. Après l'entrainement au Krav Maga, certains squeezent la suite " muscu " pour s'occuper du petit dernier. Ils sont très vite rejoints par les autres. J'annonce à Kamal qu'il va vivre son premier gang bang. Il rigole. Je les laisse entre eux. Je verrai de notre chambre, par les caméras disposées judicieusement la suite des évènements.
Cela " dérape " comme je l'avais pensé. C'est Morgan et Jonathan qui l'entreprennent en premier. Ils sont vite rejoints par leurs moitiés respectives Simon et François. Les quelques qui avaient continué par des exercices de muscu laissent tomber et s'ajoute aux intéressés.
Je ne vois plus Kamal caché par les corps de mes Escorts qui l'entourent. Je l'aper��ois alors qu'ils le déplacent sur un banc de muscu déplacé au centre de la pièce. Ils doivent trouver que c'est trop bas car ils échafaudent une pyramide de bancs et replace Kamal au dessus. Du coup je le vois entre les épaules qui le cernent.
Pendent l'heure qui suit, il va se prendre toutes les bites dans sa bouche/ gorge et son cul. A un moment, j'ai peur qu'ils ne me le démontent mais quand je l'entends réclamer qu'ils continuent alors qu'il vient de juter sur ses abdos, je suis rassuré.
Même les plus passifs de mes Escorts lui passent dessus. En l'occurrence Maxou qui se déchaine à limer son petit trou qui maintenant ne doit plus l'être autant !
Ils le baisent tous avec Kpote. La réserve de la salle de sport va baisser méchament vu le nombre de rotation qu'ils effectuent entre sa bouche sans kpote et son cul avec kpote.
Je descends les rejoindre avant qu'ils aient tous terminés. Jona me tend une kpote et me dit avec un clin d'oeil, qu'il me l'on gentiment préparé. Kamal est plié en deux en train de sucer Benoît tout en se faisant saillir par Clem. Ce dernier me voit arriver. Il se recule et me cède la place. Je prends Kamal par la taille. Clem prend ma bite pour placer mon gland juste devant sa rondelle et je n'ai plus qu'à donner le coup de rein qui m'enfoncera dedans.
5 secondes plus tard je bénéficie de l'hébergement de Kamal. Son trou est brulant de s'être fait limer pendant les 3/4 d'heure précédents. Je lui dis de serrer son anneau. Il tourne la tête vers moi, me fait un grand sourire et s'exécute en me faisant un grand sourire. Il ajuste le temps d'ajouter un " trop bon " avant que Victor ne lui empale la gorge avant de se finir en beauté dans ses cheveux.
Mes 8 autres jeunes mâles se vident sur lui avant qu'emporté par l'excitation générale, j'ajoute à mon tour mon sperme aux leurs.
La quantité totale est telle que de longs filets coulent de son corps sur les tatamis.
Je crois qu'ils dormiront tous bien cette nuit ! entre le sport et la baise, ils devraient avoir le compte de fatigue musculaire.
Bousculades sous les douches. Bien que l'entraide soit générale, les bites restent au repos malgré leurs nettoyages appuyés.
J'appelle Alexandre pour le prévenir de l'état de fatigue dans lequel il va retrouver son Kamal. Il m'écoute et regrette de n'avoir été là pour profiter lui aussi de kamal pris dans ce plan.
Jardinier
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