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#Hérodote
whencyclopedfr · 6 months
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Télésille
Télésille d'Argos était une poétesse lyrique du Ve siècle avant notre ère, citée par Antipater de Thessalonique (c. 15 av. J.-C.) comme l'une des neuf grandes poétesses lyriques de Grèce (avec Praxilla, Moïro, Anytè, Sappho, Érinna, Corinne, Nossis et Myrtis). Elle est à l'origine de l'innovation métrique de la poésie lyrique connue sous le nom de mètre télésilléen. Antipater écrit:
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jaimelire-france · 6 months
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philippequeau · 11 months
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De la mort et de l’immortalité
“Cicéron” Mis à part un fameux théorème, Pythagore a laissé à la postérité l’idée que les âmes sont immortelles. Mais, pour Cicéron, c’est en réalité Phérécyde de Syrosi, le précepteur de Pythagore, qui fut le premier philosophe à avoir affirmé que l’âme des hommes est éternelle. Il avait notamment écrit, à propos d’un héros mort : « Son âme fût tantôt dans l’Hadès et tantôt au contraire, dans…
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kalincka · 2 years
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not me qui découvre que des bots ao3 mentionnent mes fics dans des posts obscurs
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«Il est plus facile de tromper une foule qu’un seul homme.» (Hérodote)
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aboutanancientenquiry · 4 months
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Hérodote, présocratique ? (Herodotus, Pre-socratic?)
Bernardo Berruecos Frank "Hérodote, présocratique ?", in (M. Reig & X. Riu, eds.) Drama, Philosophy, Politics in Ancient Greece. Contexts and Receptions,  Edicions de la Universitat de Barcelona, 2014.
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whatif1312ormore · 1 year
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Bharat ou Bharath Pas India (Inde ), Inde ou India sera Bharat bientôt (L’Inde reprend son ancien nom et efface son nom de britannique)
Bhārata
भारत (Bhārata) est le nom du pays en sanskrit. Dans les Puranas, ce terme apparaît sous la forme Bhārata varṣam (« le pays de Bharata ») pour désigner l'Inde par opposition aux autres varṣas ou pays et il viendrait du nom du roi Bharata Chakravartin. Dans la littérature en sanskrit, le terme Bhārata désigne l'ensemble du sous-continent.
Inde
Le terme « Inde » dérive initialement de Sindhu, nom en sanskrit du fleuve Indus. Ce mot peut aussi être traduit par « mer » ou « rivière », « fleuve »
Le nom a été utilisé en persan ancien sous la forme Hinduš, en grec Ἰνδία / Indía puis en latin India, pour désigner la région située à l'est de l'Indus. Hérodote (ve siècle av. J.-C.) parlait dans l'Enquête (livre III, 95) de τῶν Ἰνδός / tôn Indós, « les Indiens » Il mentionne aussi ἡ Ἰνδική χώρη / hē Indikē chōrē, « le pays indien »
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marciamattos · 10 months
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Gustave Courbet (1819 - 1877)Bourgeois et socialiste - dans la revue Hérodote
Gustave Courbet cultive une technique de peinture conventionnelle mais se veut révolutionnaire et provocateur par le choix des sujets, ce qui lui vaut d'être désigné comme le chef de file de l'école réaliste sous le règne de Napoléon III, aux côtés d'Honoré Daumier et Jean-François Millet.
Un autre regard
Gustave Courbet passe les années heureuses de l'enfance dans la ferme familiale de Flagey. À 14 ans, il entre pour cinq ans au petit séminaire d'Ornans. Il perd complètement la foi mais découvre la peinture sous la direction d'un professeur attentionné, le père Beau.
Il poursuit sa formation à l'Académie de Besançon et «monte» enfin à Paris.
À grand renfort de cours privés et de travail personnel, avec le soutien aussi du marchand néerlandais Hendrik Jan Van Wisselingh, il se fait enfin remarquer au Salon de 1850-1851 avec trois toiles monumentales : Une après-dîner à Ornans, Les casseurs de pierre et surtout Un enterrement à Ornans. Cette toile est une forme de parodie du Sacre de Napoléon par David. Les personnages sont montrés à taille réelle mais dans toute leur crudité et leur médiocrité.
Ces toiles sont le reflet de la nouvelle esthétique réaliste dont Courbet s'affirme le chef de file, en rupture avec la peinture académique et les sujets mythologiques ou historiques.
Foin de convenances
Bourgeois voltairien et anticlérical, convaincu de son génie («Je peins comme un Dieu», dit-il), Gustave Courbet ne s'embarrasse pas de convenances, aidé en cela par la bienveillance du pouvoir impérial. Si conservateur soit-il, celui-ci traite ses artistes avec l'indulgence d'un père pour ses garnements.
L'artiste se rapproche en 1863 du penseur anarchiste Joseph Proudhon (il peindra à sa mort un célèbre portrait du penseur entouré de ses filles).
Conséquent avec lui-même, il refuse en 1870 la Légion d'honneur proposée par le gouvernement de Napoléon III. Après que celui-ci eut été renversé par les républicains, il participe à la Commune de Paris comme conseiller municipal du 6e arrondissement et président d'une Commission pour la protection des beaux-arts. Un décret inspiré par ladite commission ordonne d’abattre la colonne Vendôme, témoin honni de l'ère napoléonienne. Il semble toutefois que Courbet était absent lorsque la décision a été prise et que lui-même préconisait simplement qu’elle soit déplacée.
Arrêté le 7 juin 1871 et interné à Sainte-Pélagie, le peintre est condamné à six mois de prison et à une forte amende en raison de sa participation à la Commune.
Après quoi, il reprend son atelier à Ornans et s’entoure de plusieurs élèves. Mais cette trêve ne dure pas. Il est poursuivi en justice sous l’accusation d’avoir fait abattre la colonne Vendôme pendant la Commune. Ses biens sont saisis et il doit s’exiler en Suisse.
C'est là, à La Tour-de-Peilz, près du lac Léman, qu'il finit ses jours le 31 décembre 1877, à 58 ans.
Via Bernadette Lambotte Philippe Jamart
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claudehenrion · 1 year
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Macrons et Caucones...
La mode exige de réciter que les anciennes études ''classiques'' et les langues dites mortes seraient… mortes, justement. Pourtant, force est de reconnaître qu'elles aidaient souvent à mieux comprendre les errements, les errances et les erreurs du temps présent. Les habitués de ce Blog connaissent mon intérêt (parfois excessif ?) pour ce que cache l'étymologie de chaque mot utilisé… en ce siècle où la pensée semble préférer s'appuyer sur des notions surtout conçues pour être... inconçues.
Mais ce n'est pas sur l'étymologie latine ou grecque que j’ai très envie de passer un moment avec vous, aujourd'hui : c'est sur l'Histoire ancienne et donc, forcément, sur la géographie. Ces jours derniers, j'ai profité de ces vacances de Pâques pour me replonger dans quelques vieux ouvrages qui avaient bercé et souvent illuminé mon enfance. Et j'ai retrouvé des descriptions du monde ''selon Strabon'', qui était, avec Esope, un de mes ''passe-temps'' préférés (NDLR – J’ai connu des joies énormes à fréquenter les livres de mes frères et sœurs, plus âgés : lisant ce qu'ils lisaient, je croyais devenir leur égal. Ils savaient vite me ramener à mon rang !).
Strabon (en grec ancien Στράϐων = celui qui louche. NB : il devait être sacrément ''bigleux''... pour avoir donné son nom au strabisme !) était un géographe et historien grec, né vers l'an 60 av. J.-C et mort autour de 20 ap. J.-C à près de 90 ans, ce qui était énorme, ''in illo tempore''. Il s'installa à Rome, d'où il ''co-voitura'' dans toute l'Italie actuelle, puis il fréquenta le Club Med en Ethiopie et en Egypte où il remonta le Nil (cherchant –qui sait ?-- à croiser Agatha Christie et Hercule Poirot).  Il tira de ses voyages et de ses lectures ''la Géographie'', ouvrage en 17 tomes (''seulement ?''), organisés par région. (NB : les voyages formaient déjà la jeunesse de nos ancêtres !). Avant cela, il avait écrit des ''Commentaires historiques'', en 43 livres (''excusez du peu'' !) dont il nous reste quelques fragments. Strabon, bien que grec, ne cachait pas son admiration pour Rome, et on dit c'est lui qui aurait mis l’érudition grecque au service de la conquête romaine. On peut regretter, voire déplorer, que bon nombre de nos contemporains n'en ''prenne pas de la graine''. Si seulement nos ''migrants'' pouvaient ouvrir les yeux sur la riche culture française...
Mais ce qui a tout particulièrement retenu mon attention amusée, c'est que mon cher Strabon, qu'il louche ou pas, a raconté l'existence d'une peuplade, celle des ''Macrons''... dont la doxa élyséenne et les fake-makers impudents de la presse ''main stream'' nous cachent soigneusement l'existence. En poursuivant ma quête, sur Wikipédia et dans l'annuaire de l'Ena, j'ai découvert que ce peuple antique et slave avait élu domicile entre les Alpes Pontiques et le Pont Euxin... et même qu'il s'appellerait, en jargon géorgien, les ''მაკრონები'' (ça, je l’ai recopié, bien sûr sans comprendre, mais ça fait joli !). Petit problème : n'ayant pas une vraie maîtrise des caractères diacritiques, svanes et mingréliens, je n'ai pas trouvé sur mon clavier la touche du ''mani'' majuscule (c'est la lettre ''მ '', bien sûr, première lettre du mot macron). ''Manu'' devra donc se contenter d'un mani minuscule... C’est très bien.
En cherchant plus avant, j'ai suivi la trace de ces lointains ancêtres du nôtre (en tout cas, aux -nymes éponymes homonymes) : les Macrons sont mentionnés vers 450 av. J.-C. par Hérodote, qui rapporte qu'ils ont combattu sous Xerxès 1er dit le perse (c'est donc ''il y a longtemps'' : sans doute pendant le premier quinquennat, je pense !). On les retrouve sous le calame de Xénophon (430-355 av. J.-C.), qui les déplace plus vers l'est, à Trébizonde, l'ancienne capitale de Mithridate (1672, entre Bajazet et Iphigénie), qui est la Racine –si j'ose !-- de ''mithridatiser'', synonyme de ''vacciner''... ce qui amène la question : ''Pfizer et Moderna pourraient-ils être des macrons, eux aussi ?''. Passons. Après 1672, la suite de l'histoire les fera migrer (Tiens donc ! Des migrants ? Ceci expliquerait l'actuelle ''indulgence plénière'' du nôtre, de macron, pour tout envahisseur de ''l'Hexagone''), d'abord vers Amiens et les Jésuites de ''la Providence'', et vers l'énanisme de la rue Saint Guillaume, puis vers Rothschild et les ''deals'' arrangés pour faire briller des ''Young Leaders'', ensuite vers Bercy, et de là...  Faubourg Saint Honoré, la Lanterne, Brégançon...  
Jusque là, à part le fait, devenu une routine, que ''on ne nous dit jamais rien''... il y a peu à gloser : c'était un petit peuple comme il en a eu tant dans l'Antiquité. On les imagine très bien, vêtus de gilets jaunes et parfois de bonnets rouges pas encore phrygiens, se déplaçant sans cesse de rond-point en rond-point, avalant bornes après Borne, en fonction des pluies, de l'inflation, du CO², du niveau des nappes phréatiques et de la vitesse du vent dans les feuilles des arbres (ces filles d'éole –d'où leur nom en ce temps-là : ''éoliennes'' !), du manque éventuel de PQ ou de Doliprane au Carrefour du coin, sans culture nationale et donc mûrs pour recevoir ''davantage de pédagogie'', bras nus pour des piquouzes bi-mensuelles à l'ARNm du temps, le visage couvert de masques inutiles, prêts à traverser la rue –ou la rive-- pour trouver du travail pendant entre 43 ans et 49-3 annuités, quoi qu'il en coûte...  On peut supposer qu'ils travaillaient en moyenne jusqu'à 64 ans, temps d'ailleurs supérieur à leur espérance de vie... et on dit que, fatigués d'être confinés et pris pour des cons, finement... ils auraient inventé un drôle de machin-truc : ''la casserole'', sur lequel ils tapaient en rythme ! Je n'ai pas vérifié ce dernier point).
Deux ‘’infos’’, tout-de-même, devraient chatouiller quelque peu notre occiput (ce qui, on ne le répétera jamais assez, n'a rien à voir avec une femme de mauvaise vie qui a été assassinée !) : le premier, assez troublant, est que les voisins directs des Macrons sur les côtes de l'Euxin étaient une autre peuplade cousine dont les membres s'appelaient les ''Caucones'', ce qui n'est pas une surprise pour nos contemporains, effarés par le comportement des ministres et des députés qui ont choisi Macron (enfin... un des macrons, devrais-je dire) pour con-crétiser leurs ambitions –que leur nullité encyclopédique était bien en peine de leur offrir avec un mentor moins menteur— et je ne parle pas, ici, que de Marlène Schiappa (en italien : la nullité absolue), de Dupont et Dupond Moretti, ou de Pap Ndiaye -qui n'est pas italien. Pourtant. Il y avait, parfois, des mariages de macrons avec des caucones, et cette proxi-miscuité, attestée par les plus grands auteurs de l'Antiquité gréco-romaine et de la lutte éponyme, devrait ''nous interpeller, quelque part''. 
Car un second point est encore plus menaçant, à terme. Xénophon est formel : il atteste que les Macrons avaient ''la tête comprimée dès la naissance par des armatures en bois et des bandelettes de cuir ou de tissu''. Cette pratique devrait, selon toute bonne logique aristotélicienne, constituer une sérieuse entrave à la compréhension de situations complexes... ce qui vient corroborer nos terreurs  --inexplicables jusque là, mais plus claires, désormais : avec une tête comprimée dès la naissance, les perspectives de progrès réel doivent très vite rencontrer les limites que le ministre-en-titre de l'éducation asexuée, genrée, perverse et inclusive (donc : tout, sauf ''nationale'') veut ou peut concevoir pour l'école... de même que tout désir d'adaptation au monde doit se heurter à ce que connaît Macron (le nôtre, notre Macron ben-Macron ben-Macron etc... ben jusqu'à ses ancêtres ''მაკრონები''). Le résultat de cette contrainte imposée à ‘’nos enfants’’ (comme répète sans cesse celui qui n'en a pas) explique le nombre de ''têtes d’œuf'' de son entourage et leurs crânes en forme de ''bonnet d'enâ'', les excès de rouflaquettes, le plein d'anneaux aux doigts et le besoin ostentatoire et chronique de se montrer en bras de chemise en toute circonstance, oublieux de sa fonction et de ce qu'il devrait être et faire....
On a beau m'expliquer que c'est un récit, d'us et d'ab-us pratiqués il y a longtemps par des hordes en désordre, pas encore libérées de leurs croyances, antiques --et en toc, donc ''de droite'' : encore des complotistes !-- par les bienfaits de l'école de la République (ce qu'on appelait ''l'école de Papa'', qui est devenue celle de Pap, hélas !)... je remarque trop de ressemblances avec des  coïncidences pour ne pas voir là un des nombreux effets secondaires de l'ARNm qui a été enté de force dans tant de bras qui n'en voulaient pas, mais qu’on menaçait de l'enfer social d'une suspension s'ils refusaient d'être ramenés à leur seul ''cu-air cod'' (en français : cu de morue à l'air)... Au fond, si plus de 3 français sur 4 trouvent, ''H-24'', que leur macron a des idées souvent caucones... c'est la faute aux მაკრონები, c’est clair.
H-Cl.
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raisongardee · 1 year
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“Là où le noble se prévaut de l’héritage d’un privilège, l’aristos ne s’autorise que du mérite individuel dont il a fait preuve au cours de son éducation. Ce n’est pas du tout pareil. Du coup, est aristos celui qui excelle, qui se surpasse, celui qui s’élève. Tout comme l’élève est celui qui s’élève, comme Alain le disait déjà dans ses Propos sur l’éducation. Même si la relation étymologique entre ariston et arété n’est pas prouvée, les termes se répondent. Arété, le "mérite", est ainsi défini par Hérodote : "chose acquise, fruit de l’effort, de la sagesse et d’une solidité morale".”
Dany-Robert Dufour, L’individu qui vient, 2011. 
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reno-matago · 2 years
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March / Anthesterion 2023 schedule:
2023: Apollon. Antinous The Navigator until April 20th ♓
1 • 9 • Apothéose Antoninus Pius • Ascension Marc Aurèle & Lucius Verus
2 • 10 • (Zeus Demiurge)
3-5 (2023) Anthesteria .🍇
3 • 11 • (🍇 I.Pythoigia)
4 • (2023, A II, Choes)• 'A': Visite: Festival de Ré à Héliopolis •12 🍇
5 • Anthesteria III (Kythroi) Trophimoi & Treskouroi.('A') • 13 🍇
6 • (14th: sacred lunar day) 'A': Athenais Regillus & Elpinike • 'A' a Nikomedia (année 1)
7• 🌕♍ ESBAT. Athéna • 15. 'A' Memnon.
8 • 16 • Séléné, Artémis. Aphrodite. 'A': Achille.
9 • 17 • Déméter. Polydeukion ('A')
10 • 18 • Purifications, lustrations I
11 • 19 • '' " II. 'a': Syncrétisme Echmoun-Antinous. Hérodotes Attikos. Assassinat Heliogabale.
12 • 20 • Apollon et Athéna. 1er jour Petits Mystères Eleusiniens🍄
13 • 21. 2eme jour (Persephone) Athena.🍄
14 • 22 • Athéna. PME 3🍄
15 🌜 • 23 • PME 4. Diasa (Zeus Meilichios)🍄A.en Bithynie (année 1, en Palmyre année 2)
16 • 24 • '' '. 5 (Hercule, centaures, Persephone)🍄
17 • 25 • " ". 6. ('A': Liberalia.Liber Pater). Apothéose Marc Aurèle.🍄
18 • 26 • ". ". 7🍄
19 • St Mapplethorpe • 27 • Se débarrasser de ce qui nous fait souffrir.
20 • NOUVEL AN. (Dionysos)Equinoxe 🌿• 28: Athéna. Martyre d'Hypathia.
21🌚 ♈• 29 • 'A' A. à Pessinus (année 1, the Entombment année 3). Apothéose Diva Sabina. Jour impur, veille de Deipnon. (Défunts). Mort Adonis /Attis
22 • 30 • Deipnon ('A': DENDROPHORIES d'Attis) 22-25.3 : Hilaria
23 • 🌟 1 NOUMENIA ELAPHEBOLION ('A' Mort d'Attis.)
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whencyclopedfr · 2 years
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Hérodote sur les rites funéraires en Égypte
La partie des Histoires d'Hérodote consacrée à l'inhumation dans l'Égypte ancienne (livre II, 85-90) est une description précise de la momification égyptienne, mais il omet délibérément la signification spirituelle de l'embaumement, conformément à son engagement de ne pas discuter des croyances religieuses des autres cultures. L'aspect spirituel de l'embaumement, pourtant central dans cette pratique, est abordé indirectement.
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jaimelire-france · 1 year
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Les Histoires ou l'Enquête sont la seule œuvre complète (les 9 Livres) connue de l'historien grec Hérodote.
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titou-nz · 2 years
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Croisière sur le Nil en Felouque - Égypte
Le rôle du Nil dans la fondation de la civilisation égyptienne
La nourriture a joué un rôle crucial dans la fondation de la civilisation égyptienne. Le Nil a été une source intarissable de nourriture. Le Nil rend les terres environnantes très fertiles grâce à ses crues annuelles. Les Égyptiens pouvaient entre autres cultiver le blé et l'orge, fournissant de la nourriture pour toute la population. En outre, l'eau du Nil attire la faune telle que le buffle d'Afrique, et, après son introduction par les Perses au VIIe siècle avant notre ère, le dromadaire. Ces animaux ont pu être tués pour la viande, ou capturés, apprivoisés et employés pour labourer — ou, dans le cas des dromadaires, pour voyager. L'eau était vitale pour les humains comme pour le bétail. Le Nil était également un moyen commode et efficace de transport pour les personnes et les marchandises.
Le Nil a aussi fourni le lin pour le commerce. Le blé était également échangé, une récolte cruciale dans le Moyen-Orient où la famine sévissait souvent. Ce système marchand a fixé les rapports diplomatiques de l'Égypte avec d'autres pays et a souvent contribué à la stabilité économique de l'Égypte. En outre, le Nil a fourni des ressources telles que la nourriture (poissons, gibier d'eau, irrigation des champs) ou de l'or alluvionnaire, pour lever rapidement et efficacement des armées.
Le Nil a joué un rôle important dans la politique et dans la vie sociale. Le pharaon faisait déborder le Nil, et en échange de l'eau fertile et des récoltes, les paysans cultivaient le sol et envoyaient au pharaon une partie des ressources qu'ils avaient récoltées. En contrepartie, ce dernier utilisait ces ressources pour le bien-être de la société égyptienne.
Le Nil avait une dimension spirituelle. Le Nil signifiait tant dans la vie des Égyptiens qu'ils ont créé un dieu consacré au bien-être apporté par l'inondation annuelle du Nil. Le nom de ce dieu était Hâpy et autant lui que Pharaon étaient censés contrôler la crue du Nil. Le Nil a été aussi considéré comme un seuil entre la vie et la mort, l'au-delà. L'est était considéré comme le lieu de la naissance et de la croissance et l'ouest celui de la mort, comme le dieu Rê, le soleil, qui subit ces trois états : naissance, mort et résurrection à chaque fois qu'il traverse le ciel. Ainsi, tous les tombeaux ont été placés à l'ouest du Nil, parce que les Égyptiens croyaient que pour entrer dans l'au-delà, il fallait être enterré du côté symbolisant la mort.
L'historien grec Hérodote a écrit que « l'Égypte était un don du Nil ». Cette formulation, bien que naïve, illustre bien l'importance du Nil dans la société égyptienne. Cependant, elle passe sous silence la grande quantité de travail fournie par les Égyptiens pour mettre en valeur le fleuve (construction de canaux d'irrigation puis utilisation de chadoufs et de norias) ; en effet, ses crues dévastatrices et son cours variable (la ville de Pi-Ramsès a par exemple dû être abandonnée à la suite de l'ensablement du bras du Nil qui l'alimentait) ont rendu son exploitation laborieuse. Cette phrase passe également sous silence la mise en valeur plus anecdotique des oasis du désert Libyque, pour lesquelles il a également fallu avoir recours à d'importants travaux d'irrigation (chadoufs, norias, qanats, etc.).
Le commerce de grande envergure le long du Nil depuis des temps antiques peut être prouvé à partir de l'os d'Ishango, probablement la première indication connue de la multiplication, qui a été découverte près de la source du Nil (près du lac Édouard, au nord-est du Congo), os qui a été daté au carbone 14 à près de 23 000 années avant notre ère.
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samlarej · 19 days
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Le nom du pays Indonésie est composé de deux mots originaires du grec "Indo" & "Nesos". "Nesos" signifie îles/archipel. Pendant ce temps, le mot "Indo" fait ici référence à la civilisation de la vallée de l'Indus, dont la plupart du territoire se trouve dans le pays moderne du Pakistan
La civilisation de la vallée de l'Indus, était une civilisation de l'âge du bronze qui a duré de 3300 avant JC à 1300 avant JC, avec l'Égypte ancienne et la Mésopotamie, c'était l'une des trois premières civilisations dans le monde. Le centre de cette civilisation est Mohenjo-daro et Harappa, tandis que Harappa est situé au Punjab, au Pakistan et à Moh enjo Daro dans le Sindh, province du Pakistan. Plus de 90 % des objets et phoques inscrits qui ont été découverts ont été trouvés dans d'anciens centres urbains le long de l'Indus au Pakistan, principalement Harappa (Punjab) et Mohenjo-daro (Sindh), Pakistan moderne
Lors de la réunion du Groupe des 2023 en Inde, le Premier ministre Narendra Modi semblait ne pas être si subtilement rebrander l'Inde par son nom hindi et sanskrit : Bharat. Une partie de la raison d'être avancée par les partisans du changement de nom est que Bharat est un terme autochtone qui remonte à l'histoire et qui a joué un rôle important dans les luttes anticoloniales. Donc le changement de nom proposé de l'Inde à Bharat n'est pas un geste anticolonial. « Bh ārat », le nom de l'Inde en plusieurs langues indiennes, est principalement dérivé du nom de la tribu védique des Bharatas qui sont mentionnés dans la Rigveda comme l'un des principaux royaumes de l'Aryavarta. On dit aussi qu'il provient du nom du fils de Dushyanta Bharata de Mahabharata. Le nom "Inde" provient à l'origine du nom de la rivière Sindhu (rivière Indus) et est utilisé en grec depuis Hérodote (5e siècle avant JC). Le terme est apparu en vieil anglais dès le début du 9e siècle et est réapparu en anglais moderne au 17e siècle. Jusqu'à présent, la Constitution indienne utilise à la fois «Inde» et «Bharat» dans son texte.
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aossidhe · 1 month
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𝕯𝖗𝖆𝖚𝖒𝖚𝖗 𝕮𝖍𝖆𝖗𝖆𝖈𝖙𝖊𝖗𝖘
𝕯𝖗𝖆𝖚𝖒𝖚𝖗
Sybille
Euross Hélios Emera Eric
Leran Kuma Nasvo Shand
Valded Aeron Eunji Uzume
Loreleï Miu Hérodote Amyes
𝕾𝖎𝖑𝖛𝖊𝖘𝖙𝖗𝖊𝖆 𝕮𝖍𝖆𝖗𝖆𝖈𝖙𝖊𝖗𝖘
Elfim
Eagna
𝕬𝖖𝖚𝖆𝖓 𝕮𝖍𝖆𝖗𝖆𝖈𝖙𝖊𝖗𝖘
Tanloa
Kai
𝕾𝖆𝖑𝖙𝖆𝖗𝖊 𝕮𝖍𝖆𝖗𝖆𝖈𝖙𝖊𝖗𝖘
Indran
Kinub Sulkin Aulus
𝕹𝖎𝖑𝖛𝖆𝖑𝖑𝖎𝖗 𝕮𝖍𝖆𝖗𝖆𝖈𝖙𝖊𝖗𝖘
Dreane
Viggo
𝕺𝖙𝖍𝖊𝖗 𝕮𝖍𝖆𝖗𝖆𝖈𝖙𝖊𝖗𝖘
Theadeves Théia
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