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#Jacques Sojcher
garadinervi · 2 years
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Michel Lorand, Après Un Coup de Dés, Text by Jacques Sojcher, Proofreading by Cecile Krings, Layout by Filiep Tacq, 2015, Edition of 50 numbered copies [Photos: Books On Books Collection, 2021]
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rbolick · 2 years
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Books On Books Collection - Michel Lorand
Books On Books Collection – Michel Lorand
Après Un Coup de Dés (2015) Après Un Coup de Dés (2015)Michel LorandCover and gatherings, untrimmed and unbound, in glassine envelope. Cover: H362 x W260; gatherings: H362 x W256 mm; 32 unnumbered pages. Edition of 50, of which this is #19. Acquired from the artist, 22 October 2021.Photos: Books On Books Collection. Displayed with the artist’s permission. Since the 1960s when Ernest Fraenkel,…
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les-toupies-h · 3 years
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« Écrire, c'est d'abord questionner. Le poète, mû par un besoin impérieux de vérité, par une sourde exigence de réforme, par la confuse mais irrécusable intuition d'un secret, s'ouvre à l'aire du questionnement. Qui suis-je ? demande-t-il. » Jacques Sojcher | La Démarche poétique
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orpheusz · 6 years
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LAURE – Redécouverte en fragments (France Culture, 1977)
Une série de cinq émissions spéciales, produites par Michèle Cohen, dédiée à la publication des ‘Écrits de Laure’ en 1977; Invités : Jérôme Peignot, Jacques Sojcher, Jean-Pierre Faye, Bernard Noël et Mitsou Ronat. Titre des émissions : L'affaire Laure, un épilogue ; le sacré ; le coupable ; l’arrêt de mort ; le corps glorieux de Laure.
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mavie100moi · 7 years
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le concret insoutenable...
“La culture est inséparable de la vie, elle n’est pas un objet détachable de contemplation ou de savoir, elle n’est pas un espace fermé (la galerie, le musée, l’université), elle n’est pas le rendez-vous du snobisme (les voyeurs), ni l’activité désintéressée des amateurs d’idées, mais le concret insoutenable, la chose (naturelle ou artistique) regardée en face, en plein soleil, la radicalité de la perception. N’est pas culture, n’est pas art, dit Artaud, la disposition “dans des angles, des éclairages, des situations choisis” d’objets “qui ne brameront pas, ne pueront pas, ne schlingueront pas, ne péteront pas, ne cracheront pas, ne porteront pas de blessures, n’en recevront pas, seront extraits de leur ligne d’activité vivante par le fait qu’ils figureront dans une exposition vers laquelle tout le snobisme mondial se déplacera, lequel se garderait bien de risquer un atome de son être, pour changer quoi que ce soit à l’axe actuel de la réalité...” 
On devine dans ce texte l’idée d’un art qui ne s’expose pas, mais se vit, auquel on n’est pas initié comme à un savoir ésotérique, mais qui se révèle à qui refuse justement les distinctions de l’apparence et de la vérité, de la surface et de la profondeur - le “sérieux” de l’idéalisme”.
Jacques Sojcher, Le professeur de philosophie, Fata Morgana, 1976
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grignews · 6 years
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Le Plaza Art de Mons a fermé ses portes :  Stupeur et réflexions
Carte blanche publiée dans le journal Le Soir de ce 21 mars
Le conseil d’administration du Plaza était au courant de la déliquescence de l’infrastructure. Il a été incapable de prendre ses responsabilités d’autant plus que la Ville de Mons est propriétaire des murs depuis quelques années.
Alors que Namur vient de rénover les cinq salles du Caméo, que Charleroi a inauguré les quatre nouvelles salles du Quai 10, et que Bruxelles voit enfin le Palace revivre… Mons voit son cinéma historique fermer ses portes. Un jour noir pour le cinéma d’auteur en Belgique francophone.
Il n’est pas inutile de rappeler que l’équipe du Plaza s’est investie sans compter dans un travail exemplaire depuis 25 ans : choix éditorial pertinent, accueil des talents, animations, liens étroits avec le monde associatif de la région, travail pédagogique avec les écoles, festivals, événementiel aux différentes facettes.
Ainsi beaucoup de personnes vont regretter la présence de cet acteur incontournable de notre communauté : les professionnels (réalisateurs, producteurs, distributeurs), les établissements scolaires de la région ainsi que tous les Montois passionnés de culture et fidèles à une offre cinématographique diversifiée.
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Devant le fait accompli
Les premières victimes de cette « mésaventure » sont assurément les travailleurs de cette entreprise culturelle qui ont été mis devant le fait accompli et ont été prévenus de l’arrêt de leur activité par voie de presse. Notre étroite solidarité avec les travailleurs et le projet nous poussent aujourd’hui à dire qu’il y a des solutions alternatives pour sauver le Plaza, sans nous empêcher par ailleurs de pointer du doigt les responsables de ce séisme dans l’art et essai montois.
La Ville de Mons s’est appuyée sur un rapport défavorable des pompiers concernant la sécurité des lieux et a décidé l’arrêt de l’exploitation du cinéma. Mais l’obsolescence de l’infrastructure existait depuis belle lurette. Les pompiers ne sont pas de méchantes fées Carabosse qui tombent du ciel pour néantiser les salles de spectacle. Ils ont l’habitude de travailler en étroite collaboration avec la sécurité des bâtiments publics. Et en amont, ils inspectent et donnent leurs avis, injonctions, recommandations…
Les responsables du Plaza (son conseil d’administration) étaient au courant de la déliquescence de leur infrastructure. Ils ont été incapables d’anticiper et de prendre leurs responsabilités. Depuis 2014 (rapport des pompiers), ils avaient largement le temps de proposer et de prendre des initiatives pour trouver des solutions. Et ceci d’autant plus que la Ville (via Mons Rénovation, filiale de la régie communale autonome) est propriétaire des murs depuis quelques années, ce qui est un geste essentiel et un très grand pas vers l’autonomie publique du Plaza.
Des alternatives publiques
Faire appel aux capitaux privés (purs et durs) n’est en aucun cas une solution car il n’y a aucun dénominateur commun entre les finalités lucratives recherchées par un investisseur privé et par une salle d’Art & Essai. Des alternatives publiques existent pour mettre en conformité l’installation cinématographique et la confier à l’expertise de ceux qui ont veillé à son rayonnement pendant 25 ans.
Une première certitude : les travailleurs doivent être les artisans de l’avenir du Plaza Art. Ce sont eux qui donneront les meilleures pistes à explorer pour remettre leur cinéma sur pied. Ce sont les travailleurs culturels qui doivent prendre en mains la gestion de ce lieu et de cet outil…
Pour trouver les fonds nécessaires aux projets qui seront mis sur la table, les possibilités sont nombreuses. Du côté des fonds et invests publics, d’abord. Pourquoi ne pas utiliser le Fond start – invest1 dont les actionnaires sont les régions et la Fédération Wallonie-Bruxelles, et dont l’objet est le soutien aux investissements dans la culture ? Pourquoi ne pas solliciter Wallimage Entreprise2 pour soutenir les investissements nécessaires ? Pourquoi ne pas faire appel ni avoir fait appel aux aides d’infrastructures de la Fédération Wallonie Bruxelles ? Malheureusement, aucune de ces trois portes n’a été vraiment ouverte jusqu’ici… Signe encore du manque de proactivité du conseil d’administration montois…
Les Villes peuvent également permettre aux alternatives culturelles d’exister sur leur territoire. Citons l’exemple des villes de Namur ou de Charleroi qui ont largement investi dans leurs salles de cinéma (Namur via la Régie communale et avec une partie d’investissements – projection et caisse – de l’exploitant ; Charleroi sur ses fonds propres et avec des aides européennes Feder).
Les spectateurs ont un rôle
Enfin, une autre piste à explorer est à chercher du côté de celles et ceux qui font vivre le Plaza Art au quotidien, qu’ils soient des cinéphiles assidus, des amateurs en herbe, des visiteurs d’un soir, des parents d’enfants du maternel, du primaire, du secondaire, des partenaires associatifs, des curieux… Le succès des appels à obligations lancés par les opérateurs pour le Caméo à Namur ou le Quai 10 à Charleroi le montrent : les spectateurs montois peuvent jouer un rôle dans l’histoire de leur cinéma, dont ils ne voudront sûrement pas être amputés.
C’est pourquoi il faut souligner que la première urgence est de maintenir l’activité cinéma et tout ce qu’il y a autour, pendant les travaux. Ne laissons pas les acteurs qui gravitent autour du Plaza Art perdre leurs bonnes habitudes. Charleroi a maintenu l’exploitation de sa salle historique alors que le chantier de ses futures salles battait le pavé, Namur a animé un Caméo nomade pendant les travaux de rénovation du Caméo. Garder les liens avec les différents publics est essentiel pour ne pas repartir d’une page blanche lors de la réouverture !
Les signataires de cette carte blanche sont prêts à apporter leur soutien au profit des travailleurs du Plaza Art, dans la recherche de solutions alternatives, pour que Mons conserve son cinéma authentique au cœur de la ville.
Les premiers signataires : 
Stéphane Aubier - réalisateur • Mathieu Bakolas et l’équipe du Quai 10 - cinéma art et essai - Charleroi • Lucas Belvaux - réalisateur • Jérôme Branders et l’équipe du Cinéma Aventure - cinéma art et essai - Bruxelles • Gwenaël Breës et l’équipe du Cinéma Nova • Olivier Bronckart - distributeur - O’brother • Jacques-Henri Bronckart - producteur - Versus production • Sophie Bruneau - réalisatrice • Géraldine Cambron et l’équipe de CinéMarche - programmation art et essai – Marche • Hélène Cattet et Bruno Forzani - réalisateurs • Harry Cleven - réalisateur • Jean-Pierre et Luc Dardenne – réalisateurs • Savina Dellicour - réalisatrice • Stephan de Potter et l’équipe de Cinéart - distributeurs • Claude Diouri et l’équipe de l’Actor’s Studio • Géraldine Doignon -réalisatrice • Pierre Duculot – réalisateur • Fabrice du Welz - réalisateur ��� Anna Falguères - réalisatrice • Frédéric Fonteyne - réalisateur • Nicole Gillet – déléguée générale - Festival International du Film Francophone de Namur • L’équipe des Grignoux - Parc, Churchill, Sauvenière, Caméo, cinémas art et essai - Liège et Namur • Jean-Marie Hermand - ex-administrateur des Grignoux • Peggy Heuze et l’équipe du Vendôme – cinéma art et essai - Bruxelles • Mary Jimenez - réalisatrice • Anne Kennes - Screenbox • Luc Jabon, scénariste • Joachim Lafosse – réalisateur • Caroline Lamarche - écrivaine • Bouli Lanners - réalisateur • David Lambert - réalisateur • Anne Lévy-Morelle – réalisatrice • Bénédicte Liénard - réalisatrice • Guillaume Malandrin – réalisateur • Benoît Mariage - réalisateur • Ursula Meier - réalisatrice Olivier Meys - réalisateur • Thierry Michel - réalisateur • Catherine Montondo – scénariste • L’équipe du Parc Distribution • Christine Pireaux - productrice - Films de la Passerelle • François Pirot - réalisateur • Olivier Rey et l’équipe du Cinéma Palace - Bruxelles • Jean-Yves Roubin et l’équipe de FraKas - producteur • Joseph Rouschop et l’équipe de Tarantula - producteur • Guillaume Senez - réalisateur • John Shank - réalisateur • Frédéric Sojcher - réalisateur • Vincent Solheid - réalisateur • Vincent Tavier - producteur - Panique production • Samuel Tilman - réalisateur • Guérin van de Vorst - réalisateur • Jaco Van Dormael - réalisateur
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revuetraversees · 9 years
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Maja Polackova,  Musée, Louvain la neuve, 3 février – 15 mars 2015 Louvain. Maja Polackova, textes…
Maja Polackova
Maja Polackova,  Musée, Louvain la neuve, 3 février – 15 mars 2015 Louvain.
Maja Polackova, textes de Jacques De Decker, Paul Emond, Danièle Gillemon, Jacques Sojcher, Editions Didier Devillez, 128 p.
Maja Polackhova propose une effraction de la conscience perceptive par le renouvellement de dispositifs stratégiques et de ses petits personnages. Leur « libertinage » ou plutôt…
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worldcat · 10 years
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And I forgot the element of chance introduced by circumstances, calm or haste, sun or cold, dawn or dusk, the taste of strawberries or abandonment, the half-understood message, the front page of newspapers, the voice on the telephone, the most anodyne conversation, the most anonymous man or woman, everything that speaks, makes nose, passes by, touches us lightly, meets us head on.
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heathermobrien-blog · 14 years
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and i forgot the element of chance produced by circumstances calm or haste sun or cold dawn or dusk the taste of strawberries or abandonment the half-understood message the front page of the newspapers the voice on the telephone the most anodyne conversation the most anonymous man or woman everything that speaks makes noise passes by touches us lightly meets us head on
- Jacques Sojcher, La Démarche poétique
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garadinervi · 2 years
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From: Michel Lorand, Après Un Coup de Dés, Text by Jacques Sojcher, Proofreading by Cecile Krings, Layout by Filiep Tacq, 2015, Edition of 50 numbered copies [Photo: Books On Books Collection, 2021]
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garadinervi · 2 years
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From: Michel Lorand, Après Un Coup de Dés, Text by Jacques Sojcher, Proofreading by Cecile Krings, Layout by Filiep Tacq, 2015, Edition of 50 numbered copies [Photo: Books On Books Collection, 2021]
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garadinervi · 2 years
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From: Michel Lorand, Après Un Coup de Dés, Text by Jacques Sojcher, Proofreading by Cecile Krings, Layout by Filiep Tacq, 2015, Edition of 50 numbered copies [Photo: Books On Books Collection, 2021]
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garadinervi · 2 years
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From: Michel Lorand, Après Un Coup de Dés, Text by Jacques Sojcher, Proofreading by Cecile Krings, Layout by Filiep Tacq, 2015, Edition of 50 numbered copies [Photo: Books On Books Collection, 2021]
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