Unknown Artist / School of Madrid
Formerly attributed to Juan Bautista Martínez del Mazo
Portrait of a Young Knight of the Order of Santiago, ca. 1640-50 (?)
Colección BBVA (Inv. No. 460)
The youth portrayed could be related to Juan González de Uzqueta (1615-1670). Perhaps this portrait was made to commemorate his induction into the Order of Santiago, but it is also possible that the crosses were added at a later time. Either way, there is mention of Juan as a knight of the Order of Santiago in 1636.
It is evident that its composition bears reminiscences of portraits by Velázquez. The pose of the youth in the painting resembles the one used by Velázquez in the portraits of Prince Balthasar Charles from around 1640.
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Juan Bautista Martinez del Mazo
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Une histoire de famille, racontée par Guillaume
Dans l’exposition Soleils Noirs, le portrait de Charles II d’Espagne (1661-1700) peint par Juan Carreno de Miranda, nous montre le souverain espagnol en costume royal. La couleur noire de ce vêtement témoigne du style vestimentaire espagnol du 17e siècle.
Juan CARREÑO DE MIRANDA
(1614- 1685)
Portrait de Charles II, Roi d'Espagne
Entre 1625 et 1700
Huile sur toile
Valenciennes, musée des Beaux-arts
© RMN-Grand Palais / René-Gabriel Ojéda
Comme un air de famille...
Le portraitiste officiel du Roi multiplie les tableaux représentant le souverain, avec un style facilement identifiable. Il marche ainsi dans les pas de son maître, Diego Velázquez, qui fut peintre de la chambre du Roi.
Si vous êtes habitués du musée du Louvre-Lens, les longs cheveux blonds de Charles II, ainsi que son regard peuvent vous rappeler un autre portrait, présent en Galerie du Temps :
Juan Bautista MARTÍNEZ DEL MAZO
Cuenca (Espagne), vers 1613 – Madrid (Espagne), 1667
1653
L’Infante Marie-Marguerite de Habsbourg (1651-1673), fille du roi d’Espagne Philippe IV (1605-1665), impératrice du Saint-Empire germanique
Huile sur toile
Collection du roi de France Louis XIV (1643-1715)
© RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Gérard Blot
En effet, regardez plus précisément ce portrait de Marie Marguerite, l’infante d’Espagne, peint par Juan Martinez Del Mazo (lui aussi élève de Diego Velasquez).
Une certaine ressemblance non ?
Vous ne vous êtes pas trompés : ces deux-là sont en effet frère et sœur, dans la puissante famille des Habsbourg. Cette famille règne sur l’Autriche et l’Espagne depuis l’empereur Charles Quint au 16e siècle. Les deux modèles partagent d’ailleurs un sort tragique.
Sombres destins...
Marie Marguerite est mariée dès l’âge de 5 ans à son cousin, le prince Léopold Ier. De nature chétive, elle met au monde quatre enfants entre ses 17 et 21 ans et meurt des complications de son dernier accouchement à 21 ans.
Quant à Charles II, il meurt à 39 ans des suites d’une longue agonie physique et mentale : crises d’épilepsie quotidiennes, hallucinations (il tue un courtisan en le prenant pour un loup), difficultés à se déplacer et à parler, etc.
A qui la faute ?
Il semblerait que le destin ne soit pas le seul coupable. En effet, dans le cas de Charles II, les symptômes dont il souffrait ont permis de diagnostiquer rétrospectivement une syphilis héritée de sa mère, mais également un syndrome de Klinefelter. Cette maladie se distingue entre autres par un prognathisme facial, une langue plus grande que la moyenne (et donc des difficultés d’élocution), un retard de développement mental et physique (Charles II ne peut marcher qu’à l’âge de 8 ans et ne saura jamais écrire) et la stérilité.
Cette pathologie génétique possède une cause majeure : la consanguinité.
Charles II est en effet issu de l’union de Philippe IV d’Espagne et Marie-Anne d’Autriche, qui est… la nièce de Philippe IV ! En outre, en remontant quelques générations dans l’arbre de Charles II (jusque Philippe et Jeanne de Castille au début du 16e siècle), nous trouvons cinq mariages entre cousins, et deux autres mariages entre oncles et nièces.
Chez les Habsbourg (et dans d’autres grandes familles nobles d’Europe) il n’est pas rare de se marier entre cousins et cousines pour préserver le patrimoine et les possessions familiales de la couronne. Ainsi, les titres, les charges et le pouvoir de la noblesse restent dans le giron de la famille. Mais cela engendre des complications d’ordres physique et mental, qui, dans le cas présent, ont mis fin à la lignée de cette puissante famille noble espagnole.
Si Charles II était surnommé « El Hechizado » c’est-à-dire « L’ensorcelé » ; l’hypothèse d’un nombre bien trop important de mariages intra-familiaux semble plus probable que celle d’une possession démoniaque, pour expliquer le tragique destin du dernier souverain de la lignée des Habsbourg d’Espagne.
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"L'Infante Marie-Marguerite de Habsbourg, fille du roi d'Espagne Philippe IV, impératrice du Saint-Empire Romain Germanique", Juan Bautista Martinez del Mazo, 1653. par Grégory Lejeune
Via Flickr :
Galerie du Temps, Louvre Lens.
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Los españoles son orgullosos y altivos
Los españoles son orgullosos y altivos
Juan Bautista Martinez del Mazo. Vista de Zaragoza. 1647. Museo del Prado.
“Para hablar en general de los españoles puede decirse que, ordinariamente, son orgullosos y altivos, creyéndose por encima de todas las demás naciones; son, sin embargo, amables y honrados con los que muestran alguna deferencia para ellos; muy celosos de sus mujeres y de sus amantes; irreconciliables cuando creen…
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Los españoles son orgullosos y altivos
Los españoles son orgullosos y altivos
Juan Bautista Martinez del Mazo. Vista de Zaragoza. 1647. Museo del Prado.
“Para hablar en general de los españoles puede decirse que, ordinariamente, son orgullosos y altivos, creyéndose por encima de todas las demás naciones; son, sin embargo, amables y honrados con los que muestran alguna deferencia para ellos; muy celosos de sus mujeres y de sus amantes; irreconciliables cuando creen…
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