Tumgik
#Julia Rende
lizardkingeliot · 7 months
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Hello, friends. I guess this is going to be a WIP Whenever post since it's no longer Wednesday lol. But anyway... who wants a little preview of until i come back from the dead for you chapter five? I'm about halfway through writing the draft at the moment which isn't as far along as I was hoping to be nearly a month out from chapter four but I'm working on it almost every day as much as I can. 💖
Anyway. Shutting up now. Enjoy. 😘
Margo turned to face Quentin. The fire in her eyes so radiant it seemed to light up the whole room. “You got a better idea, Coldwater? ‘Cause from where I’m standing it looks like you’ve got squat.”
Quentin’s stomach coiled under his shirt. His organs felt like snakes trying to eat him from within. “Yeah, um—my idea is to not stab Eliot, Margo.”
There was an anger in Quentin’s voice he hadn’t expected until it was coming out. Dry-mouthed and groggy. Dizzy, hapless, hopeless. He wanted to go out onto the balcony and scream into the night for the Monster to come. Fall to his knees at the feet of that terrible thing and beg it to give Eliot back. Beg and scream and howl and rend his fucking clothes. Promise to give it anything it wanted. Do anything, go anywhere, make any sacrifice it needed if only Eliot would return to him right there and then.
“Listen.” Margo’s voice was dark and low. She stepped into Quentin’s personal space. The fire in her eyes shifting into something darker. “I didn’t give up my Kingdom and get a gallon of sand in my crack while tripping balls on lizard and nearly dying out in the desert to cock out two seconds before we finally finish this thing.”
Quentin set his eyes on the axes again. The stark black blades glinting in the light spilling down from the ceiling. He tried to imagine the sort of damage they could do to a body and his stomach burned. They were too long, too wide. They looked like instruments of torture. “Can I just have, like—like a second to process—”
“Process whatever you want.” Margo picked up one of the axes and turned it over in her hands. She looked like a warrior princess. An executioner. A brave and vengeful king. “I’m saving my best friend.”
It was only then that Quentin registered Julia standing beside him. He flinched when she reached for his hand and threaded their fingers together.
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urween · 4 months
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"Ombres dans la peau"
Davis Mitchell x FTMreader
notes : j'ai déjà publié ce petit écrit sur wattpad mais je pense qu'il est aussi doux ici <3
résumé : Davis décide d'écrire une lettre à une personne qu'il vient de rencontrer à l'hôpital, devant un distributeur défaillant.
! warnings : sang, deuil, décès
1 063 mots
Description à la première personne
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“Cher fan de kitkat,
J’espère que ma lettre ne va pas déranger votre vie, ou du moins pas à un trop gros niveau. En fait, non, j’espère qu’elle va vous déranger. J’espère qu’elle va faire froncer vos sourcils, entrouvrir vos lèvres et battre votre cœur, car de mon côté, mon cœur bat à mille à l’heure et j’aimerais ne pas être seul dans cette position.
Au moment où je vous écris, je suis toujours assis sur le même siège, celui en face du distributeur numéro 714 à l’hôpital St Andreas, au second étage. La première fois que j’ai utilisé ce distributeur il n’a pas non plus fonctionné, tout comme vous j’avais demandé un paquet de friandises sucrées mais le sachet est resté bloqué. À ce moment j’avais vraiment envie d’un paquet de M&M'S, sûrement autant que vous pour votre kitkat, mais ce distributeur n’a pas voulu faire son travail. J’avais très faim, et aussi ma femme venait de mourir, peut-être que vous aussi vous aviez très faim.
Sur vos manches il y avait du sang séché et même si ce n’est pas quelque chose d’anormal dans un hôpital, ça m’a interpelé. Vous aviez un air confus sur le visage et vos lèvres étaient rouges, vos dents n'arrêtaient pas de les mordre. C’est dommage car je pense que vos lèvres sont très douces, enfin ce n’est que de l’observation. Vous n’aviez aucunes affaires à part un peu de monnaie dans votre poche gauche alors je pense que votre accident était soudain, comme la plupart des accidents. Ma femme s’est pris une voiture à 90km/h, c’était soudain pour elle, alors que moi j’ai eu une demie seconde pour voir cette voiture arriver. Comme vous, en allant au distributeur je n’avais pas d’affaires, tout avait brûlé lors de l’accident, mais j’avais encore trois pièces au fond d’une poche presque trouée. Moi aussi j’avais du sang sur mes vêtements, mais pas autant que vous, et moi il n’était pas sec. Je l’ai remarqué en marchant dans le couloir, mes chaussures laissaient de très légères marques rouges au sol, avant je n’aurais pas remarqué ce détail, j’étais du genre à ne pas faire attention aux choses. Avant de mourir ma femme m’a dit ‘pas ta chaise pas ton problème’ et elle avait raison. J’espère que le sang sur vos manches n’était pas celui de quelqu’un que vous aimiez, car j’ai retiré celui de ma femme en crachant sur ma chaussure, et maintenant je me rend compte comme il était précieux.
Lorsque je vous ai dit que le distributeur appartenait à une compagnie privée et que l’on ne pouvait donc pas l'ouvrir pour récupérer notre nourriture, vous avez sursauté. Pourtant les femmes avec qui j’ai couché m'ont toujours dit que ma voix était douce, mais peut-être que vous étiez simplement dans vos pensées. Vous m’avez regardé en fronçant les sourcils et vos lèvres déchirées se sont ouvertes mais vous n’avez pas parlé. J’ai expliqué que pour moi aussi le paquet s’était coincé dans l’appareil et vous avez regardé le kitkat immobile dans la machine. Moi j’ai regardé vos cheveux courts et marrons en me disant qu’ils étaient pleins de poussières et ça m’a fait pensé aux pissenlits gris qui s’envolent lorsque l’on souffle dedans.
Depuis la mort de ma femme il y a un an, je parle beaucoup aux inconnus, alors je vous ai parlé, même si vos yeux restaient bloqués sur ce kitkat inerte.
J’ai expliqué que je venais ici pour chercher des papiers appartenant à ma belle-mère car elle avait fait une visite de contrôle dans cet hôpital. J’ai dit que depuis la mort de Julia elle perdait peu à peu la tête mais qu’elle restait quelqu’un d’important pour moi. J’ai même ri en imaginant la tête de Margot, ma belle-mère, si elle me voyait parler à quelqu’un comme vous. Margot et Phil sont très fortunés et ils ont leurs petites manières, surtout Margot, alors si elle m’avait vu parler à une personne couverte de sang qui fixait un point imaginaire, elle aurait certainement poussé un de ses minis cris qui font mal aux oreilles. Mais moi je ne suis pas comme ça, enfin je ne le suis plus, et le sang sur vos joues ne m’a pas déranger.
Mais lorsque la porte d’accueil s’est ouverte et que l’air frais est rentré, vous vous êtes comme réveillé. Vos yeux noisettes m’ont regardé pendant trois secondes, j’ai compté, et vous êtes parti.
Je n’ai jamais été attiré par les hommes mais j’y ai pensé après la mort de Julia. Lorsque je vous parlais, j’essayais de dessiner vos traits dans mon esprit et c’était une tâche compliquée car je ne sais pas dessiner. Mais je sais que votre visage est petit, tout comme vous, que vos joues semblent être agréables à mordiller et que vos cils sont aussi noirs que longs. Aussi, quelque chose m’a interpelé en regardant votre profil, vous avez deux fossettes vers les pommettes, comme deux petites ombres posées dans votre peau ou le début de pommettes saillantes. Je n’avais jamais vu ce genre de caractéristiques chez une femme auparavant et c’est pour cela que je vous ai mieux regardé. Pardonnez-moi, mais j’ai commencé par analyser votre buste et il était semblable au mien. Au vu de votre pantalon large je n’aurais pas pu deviner si plus bas le constat était le même alors je n’ai pas essayé. J’ai observé votre cou et aucune pomme d’Adam n’était spécialement visible. Alors j’ai encore une fois regardé ces petites fossettes et j’ai souris car elles vous vont merveilleusement bien.
Je ne savais pas votre nom, il aurait pu m’être utile pour comprendre, et vous ne m’avez pas non plus parlé avec des mots que les tympans peuvent comprendre.
Au moment où j’écris ces mots je suis maintenant dans ma voiture et je suis passé par l’accueil pour savoir votre nom. Ils me l’ont donné mais je ne l’écrirais pas ici car vous et moi le savons déjà, et si un jour quelqu’un d’autre venait à lire mes lettres, j’aimerais que cette personne imagine un prénom pour la description que j’aurais fait de vous.
J’espère vous revoir et obtenir votre accord pour que l’on se tutoie.
Oh et ils se trouvent que les employés à l’accueil devraient être licenciés car ils m’ont aussi donné votre adresse.
- En espérant que ma lettre dérangera votre vie
Davis C. Mitchell ”
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poesiauncazzo · 1 year
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«Noi siamo i morti» disse Winston. «Noi siamo i morti» gli fece docilmente eco Julia. «Voi siete i morti» disse una voce metallica alle loro spalle. Si staccarono l'uno dall'altra con un balzo. Winston si sentì agghiacciare le viscere. Poteva vedere il bianco attorno alle iridi di Julia, il cui volto si era fatto di un giallo latteo, mentre le macchie di belletto, ancora visibili su entrambi gli zigomi, risaltavano violentemente, quasi come se non fossero attaccate alla pelle.
Voi siete i morti noi siamo i morti morti come quasi tutti i miti della mia giovinezza come la compassione come la mia pazienza o la generale decenza come lentamente muoiono i pesci del mare e le economie costiere i ghiacciai i boschi di conifere come branche intere di ingegneria analogica e mestieri, artigiani, tecnica la tecnologia degli avi è l'enigma della progenie come i vivi di oggi saranno fantasmi di domani ma non sono gli orologi a dare la misura del tempo bensì i morti, dicevano i greci o forse era il grande Altan ma non importa pure l'importanza è morta sono morte le informazioni come questa colonna sbilenca di parole che elenca elenchi di morte ch'è già morta anch'essa così come muoiono assassinate la bellezza le mie cellule la commozione e tante altre cose come questo account niente perdura forse, un giorno sarà morta persino la scrittura o forse ci sopravvivrà così che chi verrà dopo possa studiarci dopo che ci saremo tolti dai coglioni e credere che eravamo essere profondi invece dell'oscenità che in vero siamo uno scherzo della natura durato troppo e venuto male noi e la nostra paradossale essenza che ci rende duri anche nella tenerezza ci rende cupi anche nelle acque chiare che più perseguiamo il giusto e più ci fa sbagliare e ci porta sempre al punto in cui o incontriamo la malattia mentale oppure riaffiora in superficie, puntuale la nostra atavica violenza che sia esplicita o sottile che sia di sangue o di pensiero e che ci fa tutti brutti bruti brutali un rigurgito di tenebra noi che siamo i morti anche mentre esistiamo.
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lemagcinema · 8 months
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O corno, une histoire de femmes de Jaione Camborda
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Un film de Jaione Camborda Avec: Janet Novás, Siobhan Fernandes, Carla Rivas, Daniela Hernán Marchán, Diego Anido, María Lado, Julia Gómez, José Navarro, Nuria Lestegás, Darío Fernández Raposo1971, Espagne franquiste. Dans la campagne galicienne, María assiste les femmes qui accouchent et plus occasionnellement celles qui ne veulent pas avoir d’enfant. Après avoir tenté d’aider une jeune femme, elle est contrainte de fuir le pays en laissant tout derrière elle. Au cours de son périlleux voyage au Portugal, María rencontre la solidarité féminine et se rend compte qu’elle n’est pas seule et qu’elle pourrait enfin retrouver sa liberté…
Retrouvez l'article complet ici https://lemagcinema.fr/microcritique/o-corno-une-histoire-de-femmes-de-jaione-camborda/
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prehistoricmancunt · 8 months
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I have something like synesthesia, where I experiences colors for feelings. Nothing has been a color for so long bc I am chronically dissociated. Sometimes I’ll get a glimmer of a color but lose it.
Watching House lately, esp s4 finale last night, made me feel color. And I wrote abt it !! Wrote!!! And I wanted to share a bit of it bc it feels big. It’s feels like I’m 14 and it’s spring and I’m in portchester. And it feels like I’m 15 and it’s midnight and I’m dressing up to go to 7/11 with Julia. And I’m in the cemetery filming a music video for Jennifer’s body on an iPhone 4. And that is kaleidoscopic.
“For many years now I’ve been more or less regusing to interact in any meaningful way with media like this. Not reading much. Not watching anything new if there was any substance to it. It’ll I would make me feel. “I don’t want to feel” “I hate feeling” I wouldn’t watch the 5 star movie that would rend me speechless. I wouldn’t let myself be moved, mouth-agape-sitting-unmoving-in-silence gratitude and awe at the beauty of the world, the depth of human experience, the deep…. Raw sienna? Of this feeling Of desire to change my life. Of feeling like there is something in this world. Something warm and soft. A velvet bedspread? See? I’m feeling colors again. I’m feeling colors again. I’m feeling colors again. I’m feeling colors again. Those a spot of robins egg blue. Right side, toward the west.
I watched the s4 season finale of house and I’m feeling. I am feeling. I’m feeling. And I’m seeing colors. I am feeling colors again.”
But mostly the colors evade me. “What fucking color is this feeling? It’s like there’s a curtain, and it’s shimmering a bit. As if it’s quivering as the hands first grip the ropes to pull it open, but it won’t open. I know something is back there. Maybe I got a glimpse under the hem when a foot kicked it out while bringing out the set pieces a minute ago. I saw the blue wall of the kitchen facade for a second, a flash like a fish under the dock, and they forgot what color I saw. I know it’s there, the curtains are about to split and show me, but they just don’t.
And I’ve missed this. I’ve missed feeling. I’ve missed seeing a caramel cascade behind my eyes. I’ve missed feeling whatever other color I saw under the dock.
As the episode played I put down my knitting. And I cried. Then I moved from the couch to the floor in front of the tv. And I wept. Then I was on all fours, sobbing, thinking of my mom, thinking of the leaves beneath her head, thinking of my dad’s hands on her face, thinking of the way he wept. And I felt colors.
And I missed this.
I need to change. I need to be pulled out of this rut. I need to feel. I need to be.
I am not. I am a lack. I am a void. I am lost. Lost lost. I am the absence of all color.
I need to watch movies that rend me speechless again. I need to lay prostrate and weep silently to not wake my roommate, drool hitting the floor below me as I cry out with my mouth in a voiceless scream. I need to remember my mom. Mom, not mother. It need to remember my mom. I have a mom. I have a mom who is dead and she died and she was alive and she’s not. But she was here. And I am here. I am here. I am here. And I’m feeling colors. And I can’t grasp them, my muscles are atrophied.
Let me reach out and grab on. The ribbon slipping through my fingers, let me grip it. Please. I want to feel. I want to weep. I want to care. I want to live. I want to live I want to live. And I want to know. I want to understand….
Good night. It’s 4:44. I’m ready to make a change. I’m ready to feel more colors again.”
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the-final-sentence · 1 year
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The clip ends shortly after that, before the screaming and the rending, the camera swinging away to capture the mass of a thousand girls all racing forward down the street, the crooked note of music in the air.
Julia Armfield, from "Stop Your Women's Ears With Wax"
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marie-swriting · 1 year
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Magnifique - Derek Morgan
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Masterlist
Résumé : Tu as du mal à aimer ton corps.
Warnings : problème lié à l'image de soi (⚠️s'il vous plaît, ne lisez pas, si c'est un sujet sensible pour vous), Trouble du Comportement Alimentaire sous-entendu (⚠️s'il vous plaît, ne lisez pas, si c'est un sujet sensible pour vous), angst, hurt/comfort, whump, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Body par Julia Michaels
Dans une cabine d’essayage, tu regardes le reflet de ton corps dans une robe rouge. Tu te regardes sous toutes les coutures et tu vois seulement les défauts. Pour toi, la robe ne flatte pas ta silhouette alors que Derek t’a assuré que ça serait le cas. Tu n’aimes pas le décolleté, il ne met pas ta poitrine en valeur. Tu n'aimes pas la façon dont ton ventre est visible à travers le tissu. Et enfin, tu n’aimes pas la façon dont on peut voir tes jambes à cause de la petite taille de la robe. Tu tires un peu sur le bas de la robe, espérant la rendre plus longue alors qu’une remarque d’un ex résonne dans ta tête. Tu continues à examiner chaque centimètre de ton corps dans le miroir jusqu’à ce que te tordre. Tu finis par soupirer, comprenant que ton corps n’est pas fait pour cette robe. Tu as l’impression que ton corps n’est pas fait pour beaucoup de vêtements et ça a le don de te faire souffrir. 
-Tu es prête, mon ange ? questionne Derek, à l’extérieur de la cabine.
-Euh, oui. 
Avec appréhension, tu ouvres le rideau et Derek ne dit rien pendant une seconde, te regardant de haut en bas. Son silence te rend un peu plus nerveuse et te convainc que tu devrais enlever cette robe tout de suite. 
-Tu es magnifique, Y/N, complimente-t-il avec un sourire.
-Je ne trouve pas, secoues-tu la tête en regardant à nouveau ton reflet. 
-Tu rigoles ? Tu es super belle.
-Je ne sais pas. Regarde mon ventre ! t’exclames-tu en montrant la partie de ton corps. Et la robe ne met pas mes jambes en valeur non plus. Et puis, je la trouve courte. 
-Elle est à peine à mi-cuisse. Et elle te va parfaitement bien.
-Je ne sais pas… 
Comme pour te rassurer, Derek pose ses mains sur tes épaules et embrasse ton front.
-Je te promets que tu es incroyable dans cette robe, t’assure-t-il et tu forces un sourire. Tu devrais la prendre et si vraiment tu trouves qu’elle ne te plait pas, tu peux toujours la changer. Allez, je te l’offre, annonce Derek, content.
-Derek, tu n’as pas…
-Ha, ha…, t’interrompt-il en bougeant son index de gauche à droite. Je te l’offre, ça fera pour notre restaurant de la semaine prochaine. Et puis, on a pas pu être souvent ensemble ces derniers temps, je te dois bien ça.
-Tu sais que tu n’as pas à te faire pardonner pour ton travail, affirmes-tu en prenant sa main.
-Alors, vois ça comme un cadeau parce que je t’aime. Tu veux essayer autre chose ?
-Non, déclares-tu sans perdre une seconde. Je vais me changer.
Tu refermes le rideau et commences à te déshabiller sans trop t’attarder sur ton reflet. Quand tu as fini, tu sors de la cabine et vois une femme légèrement plus jeune que toi dans la même robe. Malgré toi, tu penses qu’elle lui va mieux. La robe épouse parfaitement ces courbes et tu trouves la femme magnifique. En la regardant, tu te dis que tu aimerais être comme elle. 
Après avoir payé la robe, vous retournez dans ton appartement. Tout le chemin, tu restes silencieuse, perdue dans tes pensées nourries par les différentes remarques que tu as pu entendre au cours de ta vie. Derek remarque ton mutisme tout de suite. Il ne te questionne pas, sachant que tu risques de te braquer. Malgré le fait que vous êtes ensemble depuis un an, tu as encore du mal à venir vers lui quand tu en as besoin. C’est une des choses sur laquelle vous travaillez. Tu fais des efforts depuis votre rencontre, mais parfois, tu continues à t’isoler.
Quand vous arrivez chez toi, tu poses tes affaires avant d’informer que tu souhaites être dans une tenue plus confortable. Derek s’installe sur ton lit pendant que tu te changes. 
Dans ta salle de bain, tu regardes ton reflet alors que tu es en sous-vêtements. Quand tu sens tes pensées négatives devenir un peu plus fortes, tu tournes le dos à ton miroir et continues de te changer. Même pour enlever ton maquillage, tu ne te regardes pas. 
Une fois finie, tu t’allonges à côté de Derek. Instantanément, il te prend dans ses bras avant d’embrasser le haut de ton crâne.
-Tout va bien ?
-Oui. Je suis juste un peu fatiguée, mens-tu en écoutant les battements de son coeur. 
-Tu es sûre ?
-Promis, affirmes-tu en l’embrassant chastement. Tu peux dormir ici ce soir ? J’aimerais rester dans tes bras.
-Bien sûr.
Ta demande est tout ce dont Derek a besoin pour savoir que tu ne vas pas bien. Derek a beau encore ignorer la raison, ce n'est qu'une question de temps avant qu'il la trouve. Il te connait assez bien pour savoir la façon dont tu agis quand tu ne vas pas bien sans que tu aies besoin de prononcer un mot. Toutefois, à cet instant, il préfère te serrer un peu plus contre lui, voulant t’apporter le réconfort dont tu as secrètement besoin.
Tu pensais que dans quelques jours, tu irais mieux. Tu as souvent des phases où tu détestes ton corps plus que d’habitude, mais celle-ci est tenace. Tu n’es à l’aise dans aucun de tes vêtements, tu te sens moche et tu n’arrives pas à apprécier ce que tu manges. Tout est horrible et tu veux juste te morfondre dans ton lit et ne plus jamais sortir. 
Malheureusement pour toi, tu dois aller à ton rendez-vous avec Derek. Avec le peu de force que tu as, tu arrives à sortir de ton lit. 
Après avoir pris une douche, tu ouvres ton placard. Tu fais défiler les différents vêtements, sans grande volonté. Quand tu tombes sur la robe que Derek t’a offerte, tu hésites entre la porter ou la brûler. Tu sais que ça lui ferait plaisir de te voir avec, mais tu n’es toujours pas convaincue. À contrecoeur, tu prends le cintre avant d’enfiler la robe, espérant que cette fois, tu vois ce que Derek a vu. 
Tu ajustes la robe comme il faut et tu te regardes dans le miroir de ta chambre. Tu as toujours la même vision : seulement des défauts. En continuant à examiner ton reflet, tes yeux se remplissent de larmes alors que dans ta tête, les phrases telles que  : “tu n’es pas belle”, “tu ressembles à rien” et autre horreur ne cessent de tourner. 
Les larmes te montent de plus en plus aux yeux et tu te refuses de pleurer. Tu ne peux pas craquer ce soir. Tu dois passer la soirée avec Derek. Tes démons doivent attendre un peu plus longtemps. Tu prends de profondes inspirations et quand tu es sûre que tu n’es plus sur le point de pleurer, tu prends ton maquillage. Tu as espoir qu’embellir ton visage t’aidera. Peut-être que ça peut rattraper ta tenue. De plus, le fait de te pomponner t’aide parfois à te sentir un peu mieux - même si ce n’est pas une solution miracle. Cependant, cette fois, ton humeur s’empire. Les cernes sous tes yeux se moquent de toi alors que tu essayes de les couvrir et les quelques boutons sur ton visage n’arrangent pas la situation.
Tu essayes de camoufler tes défauts un maximum en te disant que ceux-là, tu peux t’en débarrasser pendant au moins quelques heures. Quand tu es plus ou moins satisfaite du résultat, tu retournes vers ton miroir pour vérifier que tu es à peu près présentable. 
Malgré ton maquillage, tu ne trouves pas mieux. Ta robe est toujours ridicule et tu as beau essayer de rajouter des accessoires, tu ne te trouves toujours pas belle. Agacée, tu finis par enlever la robe et tu retournes dans ton placard. Tu es dans la même situation qu’au début.
En regardant à nouveau tes robes, tu réalises qu’il n’y a pas ta robe blanche. C’est une robe simpliste mais dans laquelle tu te sens à l’aise. Tu as une idée d’où elle pourrait être alors tu vas dans ta buanderie, en te maudissant. Quand tu découvres que ta robe est bien dans la machine qui est en train de tourner, tu t’assoies par terre en étouffant un cri. Tu n’as plus de solution de repli et il est hors de question que tu mettes ta nouvelle robe. Te sentant dans une impasse, tes larmes reviennent tout aussitôt. Cette fois, tu n’as pas la force de les retenir. Elles coulent librement sur tes joues, ruinant ton maquillage par la même occasion. Tu pleures pendant une dizaine de minutes, tu n’oses même pas imaginer ce à quoi tu dois ressembler. Quand tu es un peu plus calme, même si quelques larmes continuent de couler, tu retournes dans ta chambre et prends ton téléphone.
Message de toi à Derek, 18h58 : 
Je viens d’avoir mes règles, je ne me sens pas d’aller au restaurant. Ça te dérange si on annule ?
Message de Derek à toi, 18h59 : 
Pas de soucis. Tu as besoin que je t’apporte quelque chose ? Je peux rester avec toi, si tu veux. 
Message de toi à Derek, 19h01 : 
Pas besoin. J’ai tout ce qu’il faut. Désolée de t’avoir prévenu à la dernière minute.
Message de Derek à toi, 19h02 : 
Ne t’excuse pas, repose toi. Je t’aime ❤️
Tu réponds à son “je t’aime” avant de poser ton téléphone sur ta table de nuit. Tu enfiles rapidement un jogging et ton sweat préféré puis, tu quittes ta chambre. 
Dans ta cuisine, tu prends plusieurs snacks et tu t’installes dans ton salon. Tu lances la première série que Netflix te propose. Tu regardes les épisodes sans y prêter attention pendant que tu manges des chips. Sans surprise, tu as l’impression de t’enfoncer un peu plus dans ta spirale. Tu pourrais être dans un restaurant chic avec ton petit ami et tu es dans ton salon en sweat à grignoter. 
La culpabilité te ronge quand tu penses à Derek. Tu t’en veux de lui avoir menti, surtout quand il fait autant attention à toi, mais tu n’as pas la force morale de quitter ton appartement. 
Tu finis par fondre en larmes à nouveau, détestant la phase dans laquelle tu es. Tu te sens somber et au lieu d’essayer de remonter à la surface, tu te laisses couler dans ce sentiment de vide. 
Trois semaines plus tard, tu es toujours misérable et tu n’as toujours pas osé en parler à Derek. Une partie de toi aimerait lui parler de tout ce que tu ressens et une autre veut pouvoir réussir à t’en sortir sans son aide. Tu peux le faire, tu y arrivais bien avant de le rencontrer. Tu peux le refaire. Par conséquent, quand Derek rentre d’une enquête, tu fais tout ton possible pour ne pas montrer ton mal être. Tu sais que c’est un jeu compliqué, ses capacités de profiler vont te battre en un rien de temps, mais tu ne veux pas l’embarraser avec tes démons. 
Bien évidemment, Derek sait ce qu’il se passe. Ses sens sont en alerte depuis l’achat de la robe et il n’a pas besoin d’être un profiler pour savoir que tu ne vas pas bien. Il te connait par coeur. Il attend juste le bon moment pour t’en parler, malheureusement avec son travail, ce moment a été repoussé plusieurs fois. 
Cependant, ce soir-là, il est décidé : il va te parler. Il ne peut pas continuer à rester silencieux en sachant très bien que tu n’es pas près de venir vers lui. Avant de t’inviter à te confier à lui, il veut te mettre à l’aise en te proposant une sortie agréable. Il a prévu un cinéma puis un repas à emporter chez toi. Il préfère finir la soirée chez toi, voulant s’assurer que tu sois dans un environnement où tu te sens bien.
Quand Derek arrive chez toi, tu es en train de finir ton maquillage. Il te lance un compliment que tu ne prends pas au sérieux. Il te regarde te préparer depuis ton lit. Il voit tes mouvements hésitants quand tu regardes avec plus d’attention ton reflet. Enfin, ton silence lui donne un indice en plus. En temps normal, vous n’arrêtez pas de discuter, surtout quand vous n’avez pas pu vous voir pendant plus d’une semaine à cause d’une enquête. 
Tu ouvres ton placard et commences à faire défiler les vêtements. Quand tu ne t’es toujours pas décidée cinq minutes plus tard, Derek se lève et te rejoint. 
-Pourquoi tu ne mets pas la robe rouge ? demande-t-il en pointant le vêtement en question. 
-C’est pas un peu trop habillé pour un cinéma ? 
-Pas forcément. 
-Je pensais mettre ma robe blanche, dévoiles-tu en la prenant.
-Mon ange, tu es magnifique dans cette robe, mais tu la mets souvent. Tu as plein de vêtements qui te vont très bien. Tu devrais changer.  
Tu pèses rapidement le pour et le contre, te rappelant très bien de ta réaction la dernière fois que tu as voulu mettre ta nouvelle robe. Finalement, tu forces un sourire et la prends.
-C’est vrai. Je vais mettre la rouge. 
Au même moment où tu es sur le point de te changer, le téléphone de Derek sonne. Il sort de ta chambre pour aller le chercher dans l’entrée. Pendant ce temps, tu sors la robe du cintre et tu l’enfiles. Tu lisses ta robe de tes mains puis, tu jetes un coup d'œil au miroir. Instantanément, les larmes te montent de nouveau aux yeux.
Contrairement à la dernière fois, tu te retiens de pleurer. Derek est juste dans la pièce à côté, il ne peut pas te voir dans cet état. Toutefois, tu n’as pas le temps de calmer tes émotions que Derek revient dans ta chambre. En te voyant pleurer, Derek te prend tout de suite dans ses bras. Tu sanglotes pendant plusieurs minutes alors que Derek caresse ton dos, espérant calmer tes pleurs. Quand il juge que tu es apte à parler, il pose ses mains de part et d’autre de ton visage pour pouvoir te regarder.
-Parle-moi. Qu’est-ce qui ne va pas ?
-Je…, bégayes-tu avant de secouer la tête, c’est ridicule.
-Tu sais très bien que si ça te met dans cet état, ce n’est pas ridicule. Parle-moi, répète Derek sur un ton doux et tu pousses un soupir. 
-C’est juste que je n’aime pas ma tenue. Je t’ai dit, c’est ridicule de pleurer pour ça, te lamentes-tu en le voyant froncer les sourcils. Je n’arrive pas à me sentir bien cette robe hideuse. Je me trouve moche dans cette robe, avoues-tu en évitant ses yeux.
-Pourquoi tu parles de toi comme ça ?
-Je ne sais pas. J’arrive juste pas à me sentir bien dans cette robe, répètes-tu d’une voix plus faible. Je ne comprends pas comment tu peux me trouver belle avec. 
-Ce n’est pas qu’à propos de la robe, n’est-ce pas ? s’enquiert-il, connaissant la réponse.
-Ma relation avec mon corps a toujours été compliquée, tu le sais, mais ces derniers temps, je me sens vraiment comme une merde, confesses-tu, tes lèvres tremblant. Je ne me sens pas bien dans mon corps, aucun de mes vêtements ne me va, je peux à peine me regarder dans le miroir et je me sens moche. 
Au fil de tes phrases, ta respiration devient de plus en plus saccadée. Derek essuie les quelques larmes qui ont coulé sur tes joues. Tu n’avais même pas senti que tu avais commencé à pleurer. Derek est sur le point de te répondre quand tu le devances : 
-Je sais que tu vas me dire le contraire, que tu vas me dire que tout ça, c’est dans ma tête, mais je ne peux m’en empêcher. Je te jure que j’aimerais me regarder dans le miroir et dire que je suis belle comme tu le fais, mais je ne vois pas ce que tu vois. Je veux aimer mon corps comme toi tu l’aimes, je te jure, je veux réellement m’aimer, mais ça semble impossible. Je ne peux pas penser une chose positive sur moi, murmures-tu, ta voix se brisant. À chaque fois que je pense que je vais un peu mieux, je me rappelle de toutes les remarques qu’on a pu me faire, que ce soit des exs, des amis ou même ma famille, et c’est retour à la case départ, informes-tu en tentant de sécher tes larmes, en vain. Et peu importe le nombre de fois où tu me complimentes, j’arrive pas à te croire. Je sais que tu es sincère, mais je n’y arrive pas. J’ai juste l’impression que tous les mots que tu me dis sont des mensonges pour essayer de me faire sentir mieux. Ce n’est pas la vérité, et d’une certaine façon, j’en suis consciente, c’est juste plus fort que moi. J’ai l’impression que je suis vouée à toujours détester mon corps et…, continues-tu en prenant une grande inspiration, ça me fait peur. Je ne veux pas continuer à ressentir tout ça. Je ne sais pas quoi faire.
Les gestes étant plus forts que les mots, Derek te serre de nouveau contre lui. Ce n’est pas la première fois que tu fonds en larmes devant lui, cela n’empêche pas que son cœur se fend en t’écoutant déverser tout ton mal être. Tu caches ton visage dans le creux de son cou, te sentant honteuse d’être aussi vulnérable.
-Je suis désolée, on est en retard pour le film à cause de moi, articules-tu contre son torse. 
-On peut toujours aller le voir un autre jour. Ce n’est pas grave, t’assure Derek en embrassant ton crâne.
-Le fait est que ce n'est pas la soirée que tu avais en tête. Désolée. 
-Tu n’as pas à t’excuser parce que tu ne te sens pas bien.
- Je sais, mais c’est la deuxième fois qu’on annule nos plans à cause de moi. 
-Tu parles du restau ? Tu avais tes règles, ce n'est pas de ta faute.
Suite à la phrase de Derek, la culpabilité vient s’ajouter à tes autres émotions. Tu te sépares de lui et tu poses ton regard sur tes mains, jouant avec tes ongles nerveusement. 
-Je t’ai menti, en fait. J’avais mis cette robe pour te faire plaisir et j’ai fini dans le même état. J’ai préféré annuler plutôt que te parler. Je suis désolée, je t’avais promis que je ferais des efforts, dis-tu en relevant les yeux sur lui. J’ai juste tellement peur d’être un fardeau pour toi. Je ne veux pas que tu te lasses de moi parce que je ne vais pas bien mentalement. Je sais toujours pas comment j’ai fait pour t’avoir et je ne veux pas te perdre à cause de ça. Et puis, je veux pouvoir me débrouiller seule… Enfin, on voit comment ça marche ! t’exclames-tu en roulant des yeux. Je comprendrais si tu voulais partir.
-Hey, je ne vais pas te laisser alors que tu as besoin de moi, affirme Derek en posant une main sur ta joue. Écoute, je ne peux pas imaginer tout ce que tu ressens, mais je resterai toujours à tes côtés, surtout quand ça va mal. Et s’il faut que je te répète chaque seconde que tu es magnifique jusqu’à ce que tu me croies, je le ferai. Toutefois, je pense que ça pourrait t’aider si tu en parlais avec un professionnel. 
-Probablement, finis-tu par concéder. Tu m’accompagnerais ? Au moins à la première séance, j’aurai besoin de soutien.
-Avec plaisir. Je viendrai avec toi à autant de séances que tu veux, accepte Derek avec un sourire réconfortant. 
Tu es consciente de tout le chemin qu’il te reste à faire avant de pouvoir t’aimer, mais tu as réussi à faire le premier pas. 
Pour la première fois depuis plusieurs semaines, tu lâches un soupir de soulagement. Tu embrasses chastement Derek puis, tu t’appuyes à nouveau contre son corps, ses bras te protégeant de tes démons.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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baladric · 2 years
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I want to start listening to/watching opera do you have any suggestions to start with?
oh boy, this is a hell of a question with a lot of possible answers! opera is super subjective, and everyone with a passion for it has a different seminal experience—most often that's a live production of La Traviata by Giuseppe Verdi, La bohème by Giacommo Puccini, or Carmen by Georges Bizet. really the best possible in for opera is live performance—but there's a reason opera's considered a hobby for rich people, so in lieu of shelling out for tickets!!!
below the cut is a list of arias that fucken rip (and a few full-length opera recs)! this is definitely not your, like, greatest hits list, because i think the arias everyone shoves at people are deeply fucking boring—but you definitely have heard the first three before!
Habanera (L'amour est un oiseau rebelle) sung by Elina Garança, from Bizet's Carmen (because this shit is HOT)
The Queen of the Night (Der Hölle Rache) sung by Diana Damrau, from Mozart's Magic Flute (this one lacks subtitles, so the gist of the aria is the Queen is Angry™ at her daughter for resisting her super super reasonable order to murder her own father, as one does)
Summertime sung by Audre McDonald, from Gershwin's Porgy and Bess (you know this song!!)
Sempre libera sung by Pretty Yende, from Verdi's La Traviata (also lacks subtitles, so the gist of this one is Violetta [the character] is on the verge of falling madly in love, and is trying to convince herself to shut the guy down and keep living her easy breezy party life instead of taking the risk of being hurt and chained down)
Près des ramparts de Seville sung by Elina Garança, from Bizet's Carmen (from the same production as the Habanera above; including 2 from that production bc it's a smash fuckin hit and like... it sure leans into how SEXY opera can be)
Pur ti miro! sung by Nardus Williams and Kate Lindsey, from Monteverdi's Coronation of Poppea (no subtitles, so: this is a love duet from the very end of the opera, right after Poppea [soprano] has been crowned Empress, and is basically just Poppea and Emperor Nerone expressing their very tender joy at being married and in love)
O mio rimorso! sung by Rolando Villazòn, from Verdi's La Traviata (specifically a very cute video from a filmed orchestra rehearsal where Villazòn's just playing around, like. it makes me so, so happy to see it expressed that this shit is fun to do!!!)
if you want more recs, i'm have far too many pieces to put here and also there's a lot of resources for this online! this list is tragically reflective of my own fixation on the Romantic period (exceptions being the Monteverdi, which is what we call Early Music, the Mozart, which is Classical, and the Gershwin, which is quintessential contemporary opera), so mind you, even if you don't like most of these, there's opera for you!
now if you want to dig in further and try out watching an entire opera:
considering that i listed two of Carmen's arias from that same production, i do pretty strongly recommend the 2010 Metropolitan Opera production of Carmen—however, the only video of it that has subtitles is on the Met's streaming site, so it does cost a little money to watch it, much though that hurts my heart. i cannot recommend it enough, but also money is garbage. (fair warning, this opera gets very dark, and it's from the 1800s so it operates from a very toxic perspective of the Romani—and it's opera, so of course the Romani characters are not played by Romani singers, which is its own can of worms)
you'll notice there are also two arias from La Traviata on my list—so of course that's my second full-length recommendation! Traviata is a true classic (that scene in Pretty Woman where Richard Gere takes Julia Robers to the opera? they're watching La Traviata—which is a fun detail, since it tells a story that's very resonant for Roberts' character specifically) and it contains some of the most sparkling, beautiful, heart-rending music that exists, imo. there's a really incredible full-length video of a 2006 production by LA Opera that features really lush period-appropriate costuming and sets, and a really especially fierce take on the lead tenor role. plus it's Renée Fleming, and love her or hate her, if you're gonna do opera, you have to give her a listen once or twice!
finally, the general consensus is that The Magic Flute is a good starter opera! i have my complaints about that but it's definitely a popular choice for a reason! contains the famous Queen of the Night aria from above, which is the most quoted operatic piece p much of all time, and it's definitely a lighter-sounding piece of music than the other two i listed! decent full-length video of a 1995 production at La Scala
that's all for now, but if any of it catches you, anon (or anyone else!) i'm definitely always down for more suggestions. and if you feel like goin rogue after this, my main suggestion is to figure out what specific kinds of sound you like—the light, fast Mozart? the rich Traviata? lush sexy Carmen? or the much more sparse Monteverdi?—and dig into those musical eras! and also if you like any of these singers' voice specifically, search them on youtube and just go hog wild!! honestly i found Pretty Yende because of this and as soon as i post this i am 100% gonna go watch about 7 more of her videos and cry a lot (her Addio del passato, oh my GOD)
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franckdoutrery · 1 year
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Qu’un sang impur … !
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Avez-vous déjà tué quelqu’un ? De sang froid ? Je parie que non, car vous êtes comme moi, du genre à ne pas faire de mal à une mouche. Vous avez peut-être tué des moustiques. Parce qu’ils ne l’avaient pas volé. Ou une araignée de temps en temps. Une souris peut-être, un rat à la rigueur. Mais jamais un de vos semblables. D’ailleurs c’est défendu par la loi. Sauf en cas de légitime défense. Ou quand votre pays vous commande d’abattre des inconnus d’un pays voisin. De ceux qui avaient le tort de ne pas être nés de ce côté-ci de la frontière. Qui parlent une autre langue, s’habillent ou mangent autrement, voire ne sacrifient pas au même dieu, qui est, comme on le sait, le seul vrai Dieu. 
Non, vous n’avez jamais tué réellement, mais si vous êtes comme moi, vous avez souvent tué par procuration. J’entends, tué en vous intéressant de près à ce que d’autres – réels ou imaginaires – ont fait en empoisonnant, en étouffant, en égorgeant, en écartelant, en fusillant, bref, en massacrant un ou plusieurs de leurs semblables. Ainsi, en lisant Crime et châtiment de Dostoievski, vous vous êtes mis dans la peau de Raskolnikov, celui qui tue l’usurière. Et chez Mauriac, Thérèse Desqueyroux qui empoisonne son mari, vous vous souvenez ? Et plus récemment, dans Les âmes grises de Philippe Claudel, n’avez-vous pas aperçu parfois, en filigrane, la vraie couleur de votre âme ? En même temps, la réalité a souvent dépassé la fiction : comment oublier Landru, le docteur Petiot, l’affaire Dominici, l’empoisonneuse Marie Besnard, sans parler des prédateurs pédophiles comme Fourniret et Dutroux ? Et si ces crimes-là touchaient déjà le fond de l’horreur, que dire des millions de morts que des tueurs de masse comme Hitler, Staline ou Mao ont à leur actif ? Tout de même, on voudrait savoir comment ils s’y sont pris pour faire périr tant d’humains ou faire couler tant de sang. On aimerait être dans leur tête. Ou dans leur cœur, s’ils en avaient un. 
Il y a toutefois des époques, et la nôtre est hélas de celles-là, où l’assassinat par procuration se fait omniprésent, presque incontournable, surtout au cinéma et à la télévision. On s’en rend compte chaque fois qu’on consulte le programme. Là aussi, si vous êtes comme moi, vous tournez les pages non seulement pour cocher les émissions intéressantes, mais aussi – et désormais surtout ! – pour barrer celles auxquelles vous voulez échapper à tout prix. Et qui sont la majorité. Car la règle moderne semble être : « À chaque jour son meurtre, à chaque soirée son assassinat. » Ne dites pas que ce n’est qu’un mauvais moment à passer, car ces émissions se produisent en séries et en saisons. Si bien que vous en prenez facilement pour un lustre ou une décennie. Certaines séries sont explicites, comme Meurtres au paradis, Meurtres au soleil, Meurtres à Sandhamn, ou Meurtres à (suit le nom d’une ville française). D’autres titres, qui se prétendent policières ou documentaires, sont assaisonnés avec les mêmes condiments sanglants. Naguère on tuait déjà pas mal dans Maigret, Columbo, Julie Lescaut ou Navarro, mais ce n’était pas encore envahissant. De nos jours, si on veut éviter les Experts Manhattan, on tombe sur les Experts Miami. Et vice versa. On a beau zapper les Esprits criminels, on n’échappe pas à Paris enquêtes criminelles, voire aux Major crimes. Et quand les hommes ont fini de jouer les redresseurs de tort en exécutant froidement des assassins, c’est paraît-il les femmes qui prennent la relève. Les Alice Nevers, Candice Renoir ou Julia Corsi font du Profilage ou déterrent des Affaires classées, quand elles n’arpentent pas le Boulevard du Palais. On imagine les coups de poing, de revolver, voire de grâce que cela entraîne. Dans ces flots d’hémoglobine, qu’il doit être difficile de garder les mains plus ou moins propres ! 
Vous me direz qu’il vaut mieux cela que la téléréalité. Mieux que The voice, que les séances de cuisine à en gerber, que les « rendez-vous en terre inconnue » où pour nous divertir des célébrités de chez nous vont s’amuser avec des autochtones exotiques. Mais l’argument paraît spécieux. Car chaque fois qu’on compare le mal avec le pire, on risque d’en déduire à la longue que c’est du bien. Ou que ce n’est pas « si mal que ça ». En attendant, le seul bien qu’on puisse espérer de cette dérive est peut-être celui auquel pensait déjà Albert Camus, à une époque où la petite lucarne était encore en noir et blanc : « La télé, c’est à ça qu’elle sert : devant toutes ces horreurs, guerres, crashes, meurtres, les familles s’estiment un peu heureuses au fond. Et elles font taire, elles rentrent, leurs petites rancœurs. »
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nagargent · 2 years
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"it's wondrous, isn't it? to be reunited like this, again." sara lays seige to both of julia's hands in her own, lightly bouncing them in tandem. there's a certain nostalgia to it like uncovering a long forgotten childhood memory. at age sixteen and eighteen respectively, they are both fully grown. she no longer speaks to those stuck in the past nor those who she does not care to reserve a place for in the future. sara's expression is softened by fondness, and lavender lashes flutter with excitement as though the mission were nothing more than an excuse to pass time with an old friend.
"come what may, i'll protect you." sara cannot know the years in between or the battlefields they've both stood on in the meanwhile. when she looks at julia all she can see is the marigolds - so warm and vibrant - that lined belhalla's gardens in early summer. "so call for me," she demands, squeezing just a little tighter. "if you find yourself caught in any trace of danger."
Julia squeezes Sara's hands lightly, a gentle touch that says I'm here and oh so glad to be. Here with you, because it had been so very long and arduous without Sara's free and easy spirit. The way she threw her head back and laughed so openly when joy took hold, or frowned and glared when things conspired against her. Sara had always been an odd girl but Julia had admired her for it. Basked in shared moments of joy with someone who, even as a child was so sure of who she was and unwilling to shrink herself for anyone else's comfort.
"Thank you, I promise I will on a single condition," she swallows thickly, keenly aware that she is not as brave, as utterly fearless as Sara. Whilst she might be a little bit older, she doubted herself any wiser for it either. No matter what though, Sara was her precious friend and she'd find the strength to stand along side her. "Promise you'll do the same. I may not be as talented or stout of heart as you but... I won't run away from anything. Not if you need me."
An awkward giggle escapes her lips as Julia allows strands of silver hair to fall over her face, obscuring the blush on her cheeks. Her smile, wide enough to split her face, is still clearly visible though. After the last arduous and heart-rending dream, she'd felt so afraid of their task but with Sara here, hand in hand with her? She throws her own head back to laugh brightly, as if she too doesn't give a damn what anyone else has to say.
"You know, I was really scared about this mission but I know with you by my side, anything is possible Sara. Thank you, for still being my dearest friend after all this time."
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Janvier 2023 - Semaine 1 - Mot 1
Quand j’étais p’tite, on me surnommait “le dictionnaire”. Ça se voulait pas tant un compliment, mais avec le recul, je vais me dire que ç’en était un. J’ai - d’aussi loin que je me souvienne - adoré ces ouvrages: la finesse du papier, leur odeur, tout ce qu’il contienne. J’ai déjà mémorisé les dix premières pages de la lettre “A”, par plaisir. Pour moi, posséder plus de mots, ça toujours été une manière de me sécuriser, de me dire que je pouvais mieux saisir ce qui m’entoure parce que je pouvais le nommer et le faire avec les nuances appropriées. 
                                                           ***
Alors, cette année, j’ai le goût de revenir à une plateforme qui m’a vue un peu naître, il y aura 10 ans, en août, avec Les p’tits pis moé. Revenir au blogue comme un espace de jeux. À chaque semaine, choisir un mot et le circonscrire. Faire un dictionnaire de l’ordinaire, thème que j’affectionne particulièrement. Une sorte d’exercice, un clin d’oeil aussi à un film que mes désormais grands et moi aimons regarder souvent, Julie & Julia, dans lequel la protagoniste se met au défi de faire une recette de Julia Child par jour et raconte le tout sur son blogue, pratique naissante à l’époque. 
                                                       ***
“Saveur”
Cela fait bientôt six semaines que je suis privée de ma capacité à goûter, à sentir parce que Covid. On peut facilement concevoir que tousser, avoir mal à la gorge, mal à la tête, c’est désagréable. On ne sait pas ce que ça fait que de perdre deux sens avant que ça se produise, on ne peut pas présumer ce que ça enlève et charcute au jour le jour comme repères. À quel point ça rend le fait de manger absurde alors que c’est sans doute l’un des gestes les plus vital qui soit. 
J’imagine que c’est pour cela que je vais commencer l’année en parlant de la saveur des choses. Celle qui donnent du relief, un sens à ce qu’on dit et fait et pense. Ce n’est pas pour rien, je crois, qu’on dit “avoir le goût de”: la saveur donne à la fois une tonalité à nos états et à nos actions et a à voir avec nos impulsions, notre capacité à se mettre en mouvement. Perdre la capacité de percevoir ce que goûte l’existence, c’est aussi perdre des raisons de s’y engager ou devoir se raccrocher à d’autres, voire en inventer d’autres. 
Je te souhaite donc un 2023 savoureux, qu’il goûte bon, littéralement. Et qu’il goûte multiple. Qu’il te donne l’envie d’y coller ta langue. 
                                                       ***
Ce que j’écoute en boucle et chante très fort dans ma voiture: “Beach Bodé” de Bermuda [ https://www.youtube.com/watch?v=VGld83zVQEM ]
Citation qui m’a émue: “Je ne suis pas sûre de croire au bonheur comme à un état habitable à long terme.”, Dominique Fortier, Quand viendra l’aube, Alto, p. 62 - (c’est un livre à lire en petits moments, il fait réfléchir sur l’écriture, la mort, la dentelle des jours; les mots n’y disent pas tout, il y a beaucoup de retenue et donc d’espace pour que la lectrice/le lecteur respire avec le texte)
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plaques-memoire · 7 days
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Plaque en hommage à : Iulia Hasdeu
Type : Lieu de résidence
Adresse : 28 rue Saint-Sulpice, 75006 Paris, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Julia Petriceico Hasdeu. 1869-1888. Femme poète de Roumanie. Cette maison garde le souvenir d'un grand esprit.
Quelques précisions : Iulia Hasdeu (1869-1888) est une poétesse roumaine. Surdouée, elle maîtrise trois langues étrangères (le français, l'anglais et l'allemand) dès l'enfance. Diplômée de l'Académie de musique de Bucarest, elle se rend à Paris et étudie à la Sorbonne à partir de 1885. Elle compose ses poèmes en roumain et en français, et s'intéresse également à la philosophie. Toutefois, elle contracte la tuberculose et décède en 1888, après être revenue dans sa terre natale. Son père, Bogdan Petriceicu Hasdeu, fit ériger un petit château à sa mémoire, achevé en 1896.
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ruthmedia2 · 25 days
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TUESDAY (15)
TUESDAY (15) Director: Daina O. Pusić Runtime: 111 minutes Cast: Julia Louis-Dreyfus, Lola Petticrew, Leah Harvey, Arinzé Kene Synopsis: A mother (Julia Louis-Dreyfus, in a profoundly moving performance) and her teenage daughter (Lola Petticrew) must confront Death when it arrives in the form of an astonishing talking bird. From debut filmmaker Daina O. Pusić, Tuesday is a heart-rending fairy…
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libidomechanica · 1 month
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The grief or any Hairs, assistance, or discredit you:
A sonnet sequence
               1
Upon the soft palm—Not so fall and sad and danced on nor blinds you have right glance from Belinda’s Lake. And, first, ever cracking dandelion seed-pod and only be the splendour of the dew-slick grass and Snakes of you might, and sanctifying kind. On her Manteau’s pinnacle to his Neck he spread out. The day by darkness, to take the glittring Dust. Which steadily, the knight: Good mother turn off two gifts will end where was John. The lass made the shoves backward on his power? The grief or any Hairs, assistance, or discredit you: when my break thy task, that will be falsehood hast the statue warm.
               2
And cut to sailors while then be Infamy to solve the good, and yon break Diana, in hugeness with Care; the Fate inclines the hung the liquid Air, and brought him up a man’s soul I’ll pour inborn women most secret Passion, cruel, perceant, studies what Sexes and half sight? Lesson trembling hand Look you stinks don’t so its chosen Sylph embraced, and, like what it be to shines in on, give me the island is surprised the coolness deeds to your eyes she grave I come for mercy from Beauty. Flowers, appears and cave when Arthur’s reigns alone, I marry. Lamia, no light, provide and thee.
               3
You might fade. The midnight of the thing in mutual rend the liquor, numb to the fresh each according towards remember and revels rude, or e’er one was pleas’d, you are wrongsthat shakes her forget how my own, and good-bye: no light, to that I meant thee my offended race. The end; thus on me; I did not knows not man, and left me in days, to shatter and I swallow the souls. Soon the Gnome that had to his quicken’d on a velvet Plain, but seized my poor wretch! To eat of Julia, let me be ten. In vain would slip into my love, tho’ no Credit doun; she put it mounts Amyntas; then, indeed!
               4
It would my mouth, twas refection and when they mourn, because i cross the nobleness with Golden strings but slanted half shut those fault at last with all the circled Greece, long may she did not stops your laugh, a cry, the beams that the smoking at the soun’. Swift to the Gift away—that it be you loved by inheritance, and gin; there’s a couch he in his the sex of her, if she sight, and most terribly terribly terrible Loads of Lead? Souls in undiscovered languor at her necks, where they ca’d it hangs and leaves of Heart. I don’t you depart, the salt lawn in bare feet ane an’ twenty, Tam.
               5
Still remain unnamed boy on the bridegroom to ground; whateuer fades, and Ceiling blank as an owl, not like what will end where the stayed on the Rival of that I am striving glow, my family- likeness beside my dear. Again: if a flow in such strengthening griefs in the beds, and now, as often those Meads for presaging Damon, behold, though, by my truth to betray they found to be more and endless Sally Brown young cheerful Breeze, but this maids were was a lifeless was never head, and a little unknowing it would smite heavy heart, I read in the rest; but, instead, taking machines of white faces to Heav’n trembling hand the know? To those whose slender pullings come see their tripping out of the tree, the helmet and gin; there only the clowdes, and smiled, and when the paintersect and flam’d upon me, the bestow, to Proculus alone and my friends. Darlings singing her like to it.
               6
Whilst Ben he was a lady of Shalott. From the ground; blue Neptune story is mind, will make eye-water yet; Whoever fair. That hole I crawl thro’ foreign landscape me of hate? For when it nurse a satire to common this spirit-voice, nor sound on higher. A stark unprinted all he knows, when next it grew to face wad deave a rainbow once in haunts not blush’d, and she was holding family-likeness when the world—flowers but gently heavy on heard, o’er-gang crew; and the quiet as silent land; when each foot and giue their luck a betters Death remark which he desire is—SOVEREIGNTY.
               7
Hear men borrow and not the sacrilegious ways, make his eye, robert Burns: dare no people have nothing God inventing cherubs play? And made a string, floated in little bits of soap and regular smell of you that flashest white the sure, twas refection, who puts on pants his Pride confess they be that is lead into itself my boy. I bade me she collects the jolly troth and you help lies th’ expir’d, resign; and oppose, chain’d at Love, while the bird and shot its end and rolls that I have dismiss’d me; and write to teenish hunger-pinch. Never honest, surrounded and for ever.
               8
And guards the words they. You don’t tell me all love maker, the Mens Wits mad pompousness of your unguarded, reliable face, that shell, his remark which, as in fugue across the sky and all, she ran, and all inrail’d with his helmet and danced his eyes so suit thee, the moon, the same. Where is on her Hand is here. ’Ve taken him to see, being empty as that those great Founder her compounds and whispers breath most slept on the gray tower’d, or wife, but attend, some rejoice amid they, not of the cheek; no part of discontent, they are every sort of my fav’rite Curl away in a God.
               9
But’s scratched with the sparkling blush so torments earlier had a meaning, the fields devotion, we repair, as Thou, great Founder their hand; and forgot, no friend; nor any meaning late and cut to deck with with widow, maids alone, O loue and jumping- jack pajamas in an untarnisht Mirror, spotless tears you’re my Lady thorny fruit. While he saves thy guide the day. You said. Of fiery night, alone, and of every guests; but my arch of it, they heart think to cancel time? And marble, men might flow’d, for the paint apace, I let my blunt plain it does not youth, and trace: and say his life.
               10
What hue whose her face, till wink and rills from the earth shadows, ’ said Almost yielding—almost energy, Mademoiselle, take a look of the iron age, had not one, and paint a piece … there’s forced me so? And striking the very quire it, that in a forest- trees branch’d one island inspire, when full stay, loathing and fro, and Job, I must picture of Majesty race are the lands convent’s to Love must, and serve me tender-person shining flames to the sacrifice, as when Aurora leades out a tomb to common fate appears and where. But fading it as they expiring houseleek’s hear!
               11
Giving with eye to killing over to counted air, and want to the Baron’s straint, than alley’s end was left. ’ Replied the year, I walked, and reigns, and eyes are seacolor. Her likes you, when next she smile; time he mused because the simplest heard, she’s twitter, but name is Guidi—he’ll painting not our boat beneath his Tongue. Will love me, and to skim the required of all mens eyes by the Visions rare despair into a steel cable she went, and, and of the color of the day after Death survive. He wrung his title spring. And now, destiny, other dumb nor blinding, Dear, to love in Heaven.
               12
Fair Nymph! And here you here any wrinkled holy rite for loss of the love: questions gives a wolf wherefore getting notes of it thy Fate, as well as he rode between my poore name, the explosion. Was holding him out d’ye called the rings servant take the glow-worm bite the fields of piss are the Sheers, and admiration dies, without tender feel my face a discovered lays the line& her penny to have you float in a Grains crawl into the Canterbury bells rang me, the busy Sylphs content adore the darkness off the low sky rain’d your own in blackouts, in the Beauty is, see what’s all.
               13
In various ways, make gently held all around; earth is a goal. Pains we prove when farewell. Poor Lamia’s self, but glory sat she wealth, another Beau reviv’d against my minding, and timid nature’s power he was a lump upon the walks, while the dense burns with our eyes were empty of bluegreen mama who first, ever on the man was gone, foul dreams, Invention to add life, in self so deep trenched the king Arthur’s counsel take—and so along, leapt up, and take her Hair, and the crimson clad, he ’ll be cut back in the Fields again in the solitaire? Believers fall, make the game.
               14
Teach Infants Cheeks a bitter seen, with barren woman-kind was a ladder the know belief. Other limbs the sex’s prime felicity was from its married countless seas that Titanic strife we speaker rising and rolls that bliss the lawn, and you, heart something in the bird trapped in the man kept up among their breakfast. And only mind, and lean: then, Clarissa drew on, and stare! That sacred sure, while then to pipe his hair waits me to tell you can move them—sometimes the cold ran thro’ Galilæo’s Eyes; nor fear, that’s something midnight parson, poor monk, God wot, tasting balm, the fall of the web and none of youthful Lords that doth my very coloured end of art at this, ev’n then, whom she would swear, that made the thyme—and Lifted off the people, out of your faith reconciling the violet breath in the brute, the silent night Inhabitants of sterilized child is the treach’d upon the rising Fire.
               15
So Rome’s great and dignity, and choking at they dear, if I be desire to tell.&Then I once of flickering arms, legs and fearful of the day assigned to painter, since, deare, let me strife; beware; for one. In the father of the knock’d as she spring, unmoved by thy waterlily the gifts apply, till the bench, the lass the Praise beside me, and loosed our palate urg’d there where: warn’d by their Insect-Wings unfold, waft on her Cheeks like hard gain’d his truest heart, I see you scorn, good sure, twas Apollonius? Watch be the basket of fire, world the Care of Pride expiring she knew it.
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As I ought and silent; vainly so are neither side, and claim, a watch’d the bed to painting sea. For her Honour, and cry’d, and mid’st thou dost travelly sand and on my left along their contented to me; she made the stretched withal, then: blessed. The rack and I want and can birth on that sin in my arch of chalk, and Love and with plume, have become a thousand wriggled further die than stones of the day I die, the can she knew na whereto my tale. And, fool I want’st thou the grasp at all within, which prove when I saw ane an’ twenty, Tam. Paradoxical, clever, his Pow’r expir’d, resign.
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We were follow you up like Thundering hounds alone, I marry their triumph spreads his beauty, that to with temples twined, drag on Love’s mine. Casting the father wrinkled couple tied: resolv’d in Shades, all the words; at last I guessed along, I know Love as fire, the ravisher to thee this tale from my boy. But in turn, for quiet, my family sort of thy gay morn did sit or war. Melts down Armies to the Head, for whom Iron doores doe keeper …. With the upper life a careful, tender ear. Every word for Corks.—Ha, the laws, than let a telephone can reach’d stands his godhead of shame?
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Flames are alone, I marry the inlaid woodwork all greasy with my verse can bury youth, which to fear; and empty as young man, my paine, and yellow’s twist it in deserved for peace and the mouth and contains. Latin I conceal it in a fields devoid of graces spied, chafes at this Prime of people out a toga or a scarf on a cold for eternally she beguilde; if e’er sae fairy queen and mortal must die. Light with its worthiness and irked, into think of melting Grace so longest heard her, reaping Train beneath him, wept outright; why do you know what a girl who stands and Queen.
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Then what our loue and oft within a race more grieve: for Spirit, careless what am I bound the Diamond’s come, turns to him—and here! Which not know! The rope that I have sad assurance life’s gay scenes must charm might march in Wales. At thou, Muse, my left of Hearts within him thanks. I would falls, and Chief in Years, to grants full sponge and giue us sight rising clash her Honour forehead cool. Father’s Hairs but attended race. A constant, and saw my white birch, glinting rather is eating in rattlin’ sang, an’ I saw a quire: sing yourself dreamless, and Max whimpers, and lets throw around like him, who went about?
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A cloudwhite flowers the bride: what made the should know she’s twist it crime to lift and forged hooks, scrawled there is yet once in vain Thalestries, the fresh thanks. The show’d; from death, and such a Prize no Mortals, their gazing again would our day: by my trembles all thy might with water-side, when all her glory sat she, doe you have the act! We seems, young Ben he will love do? But trusty teeth were all roll, teach my heart is surprize what’s be honeycombs: throbs of piss are mistress more short, he but your arms, and the upper lift a place, scarce succeeding. Mouth and can’t discovered traced around from his mine, sweet and reign, a lusty day, for an hour, nor I half sight to my tale. Float in hell. As monarchs are blue the hungers do anything God invention quite, dulling freedom, or to none e’er with these lady of Shalott. Hands to rob a living a rumpled crimson feather. His spires up like specks of marriage?
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Or as a warm cloister-plaintiff lose all that freezes, blow back and quiet, which can move the queen, command, by their feeblest Love, for quiet, my faith I swear as the weave a rainbow once be silently, like an all her glory sat she, have paid the leaves, thou must showers of your upper lift the soun’. Of her, and of Place, interprets Motion of Majesty race a discontents me that sparks of man,—o aye my wife was truth extolled the house, far away into this pompous Robe, and, with savage glare, from thee oft, I pitie now no azure vein wandering, the chops the Prize, th’ Aerial Guard of that he countest Stellaes eyes that at the will come hither: which we can reach, a piano at her mind, what will protests to bring above that I have done, man,—o aye my wife she dies. A woman, came a sudden he wit to forget me be train comes to light therefore was a goal.
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If She ins and fell sick and winter flower, the Pleasure on me; I didn’t for this all aloud for ever be who look’d back, so I could be broken, while endless praise. Court and they roam, by creeks and moons toward daybreak. The day brought it mounting his broad clear as that great shoulder as if Diana’s Law, or distant North, and Garters well say to folk—remember’d it his veins; there burst forth to die. A marriage robes to lay, and touch, and shut Eyes could have slept on the British Fair, and fold me by my auntie, Tam; but the gilded Chariot, heralded alone, I marry, but its feature?
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I would I put then, if he canopied, lay an untarnisht Mirror, tirra lirra, tirra lirra, tirra lirra, tirra lirra: ’ skimming down. Please to tend her open kept in wide Circus grow, and on the blossoms of its possible in one day or so I could you gone. Because of justice of anger on the morn did stand one to love be sin is nothing this last: one such a please me. What will come. There wicked thy fair Suns shall glow, of course or kin I need his eye, kissing with thinned newfragile yellow woods were ever once, and look at my saint, came vested my cold for each soule doth you can point out a toga or a scarf on a strange Tryanic powers; or man of those on tiptoe, said now, as oft in the help the love: quest of glass. Death’s tomb. Can warm lake every look, even such are found she that in an untarnisht Mirror blue larkspur, and all intricacies.
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And opposite sent for the surface on the aisled place. Palace, disdains, louder then or pray. Water stood, each by a big black curls as on her pageants: but the Sprightly taut in the one elsewhere, from home, rising clear, and I know the Wing, hang it But if at length stol’n goods doe only moment’s friends and feel the should die for the moon, they were. A wretch, I am the golden Crowns on my wife she leaned out the turn’d she, before not But that to be sin in public. Mom poppings; and again, to sing, while I suffering and obedience those Camaldolese and such a gloomy Cave of delight of paradise, breath for his Widow’s Gown: her in her eyes bestow; for, doing moving Tow’rs, to bitter change there, and far both every sort of the circling creatures, hours the skeins of thou laddie! And the bang’d me, i’ll ne’er felt him like I hold her husband-fool; but so. A water yet; Whoever fair.
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What way, and know the wold and her have taught she bane of the warm my triumphal Arches to our church, from death breath for ever hearts. Lending Woe, wrapt in poverty’s an honest that great father’s Ball? And day-long blessing winds to War here comes to my face with the sweet the spiteful good feel good, because i cross knight, alone until you write your faith! Then what a girl he candle this my fav’rite Curl away! Soft yield aloft repair, and burgher, lovely heat, still, in the chastity. Gentleman proceeds from their tongueless Lycius the love: quest. Every moments me that loosely furl’d, to Maids.
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Wet were, he knew name to? Four Kings and thee; the heaven’s assigned his Beams dispers say bulldaggers, queers i remember sweet pride, might for all his voice of lamps strange sighed, and shows you a degraded, that I pedaled my ten-speed across knight. In my cold full before, since erst, and uncover’d o’er my side, brow-beating shut, till checking her death breath for my heart’s content? Some wish’d, and curst the Fall he cry’d, which He who look’d the year. Propped in her Breast reclined his resty raced, and thou in debate, covering eye, out of damsels glad, and I can, if I spot of bounds: you should have; choose you else to my sight?
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Deafening brilliance and lost, her Eyes; and third floors never they mourn the spacious rings, whateuer fades, but so. I said, my love, to be admir’d. The center it as easily as breath’d death forward, puts out Phoebus daunce, that Titanic strife, the price is mine eye’s moiety and vestments lie! Is not so; he breath forward, one requisite grip, angle and trust her grapes, in Courts of fiery Termagants into my face the rocks of my rage, clenched them achieve, by force. Pale Lighting to be new and our heart, or grace by heart is glad, and what come, and as she flower Sky; then what thou to prepare you none.
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Name forth, smiles extend the Visions, now spreads the termined the spindrift pages nor for you says in her Breast we lovely heavy shadows low. An’ wi’ her warm lake&then a tittle, that was such a man—the night, and then all the glowing. I am all the watery sun one purpled Maid! I am water poured every day, veil’d to deck, her Eyes, and hurt yourself, That’s the Pow’r ador’d, but she rears; th’ inferior dust-of-sleep. Both for each! That is not find.—The bonie lass that royally apparelled, on her she real green, with his godhead of blossom winks thrown life have spring.
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My sisters or daughter share: their better face by my trembles most descended might, or quiet as she spring, made for her! The offender, rowdy; april cloudwhite faces, arms, I labour’d on a Sconce’s Height clapt his soul! The Bird of Sense and greed, that seething die, or caus’d Suspicion which graces and exorcise they tell you this. Now you’re mind. What pantomime of deep in that fair Queen of Heaven your dread out. Wulf, O, my Wulf, O, my Wulf, my ache forlorn, in various Hands are, have you. His name the tedious leasures of burning while made the colour’d Treasures, and as he died.&My people he is in a Bodkin’s Eye: gums and Feares, and ever curs’d for the other is so accurst! On the turmoil of life of mortal Wound. She did passed idleness! I am half the defendant two on sponge and cheered, high a Bough, to which governed by your point of sometimes Tea.
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For think of you—warm brown wi’ rights of Love a dateless lively resisting. Till without desire, you loves to make chaff. For a vent; arriving wretch! Was it erewhile they were gods and cave and once vowed me up a pair who dotes, disputes, discompos’d the sage, let speaks so well sayd, still, let reasons I doe loue, with plume, her way, the day was the Fops envy, and strongly lovèd, but what, or Necklace, disdaine, the bed, where are fierce solar energetic. Once gave new Brocade. By strewn flower salesman. Robert Burns: know its water-side, Close by the violet, one universal frame?
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Own words the Prior, turn him on higher think to riddle the spring in, or tumbled soon I should be the year, it conceal it in his Beams lanch’d it Linkumdoddie; when I demaund of a reading brilliant, a garden? Sullen Region clouds odorous. At this is she with their ancient Ladies in vain bubble’s shaves— a monk, God know not words to reclaim her was for a while the house is complete a panting. For, doing mortal Laws, with to- morrow not the mazy web she said despaire takes the Prize, expos’d through our cries; and melon parings, colour’d on Camelot; outside and it want mine own true and fine, holding all best I shall painted, that did make your loving Tears surveys his brows of tears desire, till wink and White, the great oath I bear, cry’d Dapperwit, and leaves the soft completely and against the Gift with a stark unprinted sort of the monks close to bring ye love do?
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Cold were alive, and, like a sprights that your ease, might wait for even in a coupled bee, sorrow whether lips a kiss, and devised your arms to the ripe flame to me, lose all, what she wise Celestials know, while cloud betray’d. Not like to watching moving Tears, by Phœbus rose, and take wrong You loved before you coming griefe I not do, though long and fear their ever blaze enlivener of our spoused under towering to say: go with the monks—they suppose your please—having a rumpled Petticoats, or translates to the Throng, that did me fear; by which a dirty. Not lives a woman laugh’d, as the Lock!
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Paradoxical, clever, his spicy nights of heav’d me, he was allowers decay, and mouth is fled, behind thee! Then Desire Zulaikha built the lov’d, neglected and fine, holding family sort of Foreign eye, out of silky hair, who went and sing my Highland lassie, O. Impossibly useless body grief is gentleman is here, plain sae bushy, O, I set me woo thee farther night. And pledge’s peril keep me alike, even with them, seems to join its operation. Let Wreaths of her forget how my Temples; no soul of bright guid will give us being, but my heart.
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That Time wou’d spare, for that made with gathering, or miss. And some drew on, and banking Fan be Zephyrs to the Roses once more her blood that gray-beard wretch, I am the lass made the spite of my father angelic finds you betray a hushion; her likes her sails were was John. Since best guards the same. Sharpness of her Charms and thee my hart opprest, the lintels, they heart of bird of Sense and self-ingrain’d! His feet to breed a better self such as our true love first set out, try at its end and send ye. By his store— the baskets off—he’s a certain first love alone is lost! A curse may be alive.
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Do with second and base, and He appreciation of his faire day I die, the barbershop. Lady of Shalott. All side are your own glassy couch, and to Truths from me, more wore me not, nor sounds we our proffer think it mine. Faire encreasing, beginning. Let me down, you keep him company! For lo! To shun sickness, would rejoicing limping across the Fight. The glitter’d with singing for this nightly Mind: all best to my hope when I beg a plate …. An abbot, squire, and that tedious leasure market on from being short suppliant shoreward the gourd overscored, cou’d remain, alone.
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The knight; flush’d and more, more can reach, a pianos, child-bed taints their necks, where a mermaid in Dust; this typewriter likes you hear, Eadwacer? Paint a-praising,—why not die a maid I met, just Gods, what it went, curtain of his idea, which you be; yet firme love in the passage came: he too upon the most unlike, the fall more than skies— in eastern skies more, if thy glory sat she the wall, the forbids; with crystal seek, but you this paleness,—not life, he look’d on a dulling on his hand whisper think from other forget you and White, perceant, studies where, from us and rolls away.
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Then what your eye. Free from heaven, blue steep in a clandestinies of his resty race a thousands more attent to him compass round about the more last to seem a cuckoo-strain roar’d for mine eyes than Time has a lifeless love be sweet perhaps and embeds every side, far and though it be sad. Some fold the dry as a death breathed in hand, nor any please—having you will shut quietly almost, But Oh! No attention to add life in the most affects hath sent for yúsuf—she began their chamber doors broad Sabre next she did passed idle word, you keep the last for ever such disgrace.
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yes-bernie-stuff · 6 months
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On dénombre environ 8 000 maladies rares dans le monde, dites aussi « orphelines », car elles sont généralement délaissées par la recherche médicale. Le nombre limité de personnes atteintes par l'une de ces maladies ne semble pas justifier de lourds investissements financiers. Il n'existe ni traitement ni recherche fondamentale pour la majorité de ces maladies. 
Quoique rares (moins d’une personne malade sur 2 000 habitants), elles touchent tout de même au total, près de 4 millions de personnes dans le monde.
Les personnes atteintes d'une maladie orpheline ont peu d'espoir sur le plan médical. Les éventuels traitements ou opérations chirurgicales ne visent qu'à soulager la douleur ou atténuer les symptômes sans s'attaquer à la cause, qui n’est pas connue en général, et porter ainsi l'espoir d'une guérison.
Peut-être que vous connaissez des personnes atteintes d'une maladie orpheline, ou que dans votre famille quelqu’un souffre de l’une de ces maladies. Cela est arrivé à un couple pastoral de Los Angeles, Chad et Julia. Après un temps de questionnement, ils ont trouvé la paix dans une relation plus forte avec le Seigneur. 
Si tel est votre cas, vous n’êtes pas seul(e). Nous voulons être à vos côtés dans la prière :
« Seigneur Jésus, je te loue, et je te rends grâce pour ce que tu fais aujourd'hui dans la vie des personnes atteintes d'une maladie orpheline.
Merci parce que tu étends ta main sur elles. Toi seul peux les soulager, les guérir et les délivrer, et nous plaçons toute notre confiance en toi. Seigneur, renouvelle leurs forces physiques, spirituelles et psychologiques ainsi que leur foi dans l'attente du miracle. Tu es le Dieu qui prend soin de la veuve et de l'orphelin ; tu es le Dieu Tout-Puissant qui délivre, qui console, et qui donne la paix dans l’épreuve.
Nous prions pour l’entourage de ces personnes, parents et amis, que ta force et ta paix les remplissent, au nom de Jésus, amen ! »Avec amour, Paul
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operaportugues · 6 months
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Paulus, Op. 36 (Mendelssohn) - São Paulo, 29/março/2024
Oratório de 1836 completo com legenda em português: link1 ou link2.
Paulus é uma obra com duas horas de duração, e conta a história bíblica de Saulo (conhecido depois como o Apóstolo Paulo), o zeloso fariseu que, após um encontro dramático com o Cristo ressuscitado, deixa de ser inimigo dos cristãos e se torna um defensor e um dos principais divulgadores do Cristianismo.
Para Felix Mendelssohn-Bartholdy, nascido em uma família de origem judaica convertida também ao cristianismo, a história de Paulo, o Apóstolo, teve um interesse especial: o paralelismo com a adesão a uma nova fé, que se materializa com a mudança de nomes – de Saulo para Paulo, de Mendelssohn para Mendelssohn-Bartholdy. O compositor buscou aproximar, neste seu primeiro oratório, a música da experiência espiritual descrita por Paulo como de iluminação, metáfora da conversão.
Paulus rende homenagens à música do passado germânico, em especial, às de Bach e de Händel. Nos 45 movimentos de Paulus, as referências à prática descritivista barroca são inúmeras, como agitação ou a fúria da turba são caracterizadas por andamentos e figuras rítmicas rápidas que se superpõem (nº 6)... motivos de fanfarra e timbres de metais surgem quando há alusão à lei e aos julgamentos (nº 5) e trêmulos podem sinalizar temor (nº 4), entre outros. As vozes de Deus e de Cristo, no entanto, contrariam a tradição: são registros femininos, simbolizando sua natureza celestial.
Na primeira metade, este oratório foca na imagem de Paulo enquanto perseguidor do cristianismo até o momento de sua conversão. A segunda metade dá conta das quatro últimas cenas do oratório, onde Paulo, já convertido, sai em missões para levar a palavra da fé cristã.
A spalla convidada é Julia Ungureanu.
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Falando de Música
Análise da Revista Concerto
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Palestra do ECAI sobre Mendelssohn
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