ma-pi-ma · 1 year ago
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La poesia è questa vita di riserva in cui si impara a fuggire dalle condizioni della realtà, per tornarvi con forza e farla prigioniera.
Léon-Paul Fargue, Suite familiare
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dimartblog · 1 year ago
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Το ποίημα της εβδομάδας 19/5
Επίλογος —Léon-Paul Fargue— Μετάφραση: Τάκης Σινόπουλος Ένα μακρύ χέρι γλιστράει χρυσοβαμμένο απ’ τις κορφές των δέντρων, Βουίζει κατεβαίνοντας αργά μες στα κλαδιά. Τα φύλλα σμίγουνε με τ’ άνθη κι αγκαλιάζονται. Είδα να σέρνεται το φίδι μες στη βραδινή ησυχία. Πάνω στη στέρνα η Άρτεμις μεταμορφώνεται. Ένα μεταξωτό γοβάκι τρέχει προς το ξέφωτο, Σαν προσκλητήριο τ’ ουρανού που δένεται με τον…
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ochoislas · 2 years ago
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QUIOSCOS
Hace en vano el mar todo el viaje desde el hondo confín por besar tus pies castos.        Siempre los quitas                          en su momento.
Tu callas, yo nada digo, quizá ya no pensamos. Mas las luciérnagas pian pianito sacan del bolso su linterna, adrede, para que reluzca en tu ojo calmo esa lágrima que tal día bebí por compromiso. Sobrada está la mar de sal.
Una medusa rubia y azul, que quiere instruirse penando, cruza los pisos atestados del mar, clara y neta como un ascensor, y despeina su lámpara a flor de agua para verte fingir sobre la arena con tu sombrilla, entre llanto, en qué tres casos son iguales los triángulos.
*
KIOSQUES
En vain la mer fait le voyage Du fond de l'horizon pour baiser tes pieds sages,           Tu les retires                         Toujours à temps.
Tu te tais, je ne dis rien. Nous n'en pensons pas plus, peut-être. Mais les lucioles de proche en proche Ont tiré leur lampe de poche Tout exprès pour faire briller Sur tes yeux calmes cette larme Que je fus un jour obligé de boire. La mer est bien assez salée.
Puis une méduse blonde et bleue Qui veut s'instruire en s'attristant Traverse les étages bondés de la mer, Nette et claire comme un ascenseur, Et décoiffe sa lampe à fleur d'eau Pour te voir feindre sur le sable Avec ton ombrelle, en pleurant, Les trois cas d'égalité des triangles.
Léon-Paul Fargue
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kelebek-gibi · 5 months ago
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mains de Léon-Paul Fargue et Louise de Vilmorin - 1934 🖤
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satinea · 10 months ago
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Fais-moi quitter mon corps visible.
J’escaladerai les échelles
Des épreuves et des blessures,
Je traverserai les systèmes,
Incube de tous les soleils,
Goutte de feu, goutte de boue,
Dans ma soif de te reconnaître.
Sans toi, sans ta douceur sévère,
Ma vie est le rêve d’un rêve
Hanté de fantômes trop tendres.
Léon-Paul Fargue, Extrait de “L’Exil”.
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fashionbooksmilano · 1 year ago
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Un siècle d'élegance française
préface Léon-Paul Fargue - texte Nicole Vedrès
Les éditions du Chêne, Paris 1943, 111 pages, 25,5x32,5cm, 14 planches couleur
euro 60,00
email if you want to buy [email protected]
Illustrated history of French fashion depicted by artists
Paru en 1943, cet ouvrage reproduit notamment quelques éphèmeres de mode dont une facture de la maison Doucet ou encore l'annonce du déménagement de la maison Poiret. La couverture est une composition de Christian Bérard. Très nombreuses reproductions de photographies, œuvres et illustrations dans et hors texte en noir et en couleurs.
13/11/23
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tournevole · 1 year ago
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On n’écrit pas des souvenirs comme des poèmes, des chroniques ou des maximes comme des cauchemars. Théophile Gautier disait qu’un écrivain devrait toujours se tenir prêt à tout faire, et à tout moment, aussi bien un guide qu’un poème ou un livret d’opérette qu’un manifeste. Pour ce qui est de la matière et de la choisir, de la traiter et de la conduire, c’est une question de réflexes qui emporte la décision, comme il en est de l’adaptation de l’œil à la lumière ou aux ténèbres. Mais le reste demande une mise au point de jumelle ou de microscope�� »
Léon-Paul Fargue – Refuges. Paris, Émile-Paul, [1942].
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de-gueules-au-lion-d-or · 1 year ago
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"J'appelle bourgeois quiconque renonce à soi-même, au combat et à l'amour, pour sa réussite."
Léon-Paul Fargue
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christian-dubuis-santini · 7 months ago
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Monsieur, je suis l'offensé, j'ai le choix des armes, je choisis l'orthographe. Donc, vous êtes mort. (Léon-Paul Fargue)
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aloneinstitute · 2 years ago
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Café de Flore é um café localizado na esquina do boulevard Saint-Germain e rue Saint-Benoît, no distrito de Saint-Germain-des-Prés, em Paris, França. É famosa por ter sido frequentada por importantes intelectuais e artistas ao longo de sua história, como Joris-Karl Huysmans, Rémy de Gourmont, Charles Maurras, Georges Bataille, Robert Desnos, Léon-Paul Fargue, Raymond Queneau, Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Pablo Picasso e Zhou Enlai.
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lesondupapillon · 5 years ago
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Un homme a penché la tête en arrière : son âme accourt, monte embrasser la houle énorme.. Dieu vient reprendre son trésor dans sa caverne.. Et des écluses chantent, et le brasier noir de la vie charbonne..
/ Léon-Paul Fargue
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ma-pi-ma · 5 years ago
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...m'annoio in questo cabaret del Niente che è la vita.
Léon-Paul Fargue, da Spleen
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abridurif · 5 years ago
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Je travaille, sans travailler, je lis un livre à l’envers, je reprends ce qui ne peut pas se reprendre, je poursuis ce qui ne peut pas se revivre, et je sens le chagrin se rouvrir en grand, lentement, le chagrin qui n’a pas séché, qui n’a pas durci pour moi.
Léon-Paul Fargue, D’après Paris / Le Piéton de Paris, Gallimard, 1932-1939
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ochoislas · 3 years ago
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EPÍLOGO
Se descuelga un largo brazo con bula de oro y bajando retiñe en las ramas del árbol. Las flores y las hojas se aprietan y se atienden. He visto al lución reptar en la tarde mansa. Sobre el tanque Diana endosa su antifaz. Un escarpín de seda corre por el calvero como un rebato celeste que se une al confín. Las naves de la noche dispuestas a zarpar. Vendrán otros a sentarse en el sillón de hierro. Otros verán esto mismo cuando yo ya no exista. La luz olvidará a quienes la amaron tanto. Ningún reclamo reavivará los rostros. Ningún sollozo vibrará el eco del amor. Nuestras ventanas estarán a oscuras. Un par de extraños bajarán la calle gris. Las voces cantarán de otras voces y otros ojos llorarán en una casa nueva. Todo se cumplirá, se remitirá todo, el dolor será nuevo y la selva joven, y quizá un día futuro, para otros amantes, Dios guardará la dicha que nos prometió.
*
POSTFACE
Un long bras timbré d’or glisse du haut des arbres et commence à descendre et tinte dans les branches. Les fleurs et les feuilles se pressent et s’entendent. J’ai vu l’orvet glisser dans la douceur du soir… Diane sur l’étang se penche et met son masque… Un soulier de satin court dans la clairière Comme un rappel du ciel qui rejoint l’horizon. Les barques de la nuit sont prêtes à partir. D’autres viendront s’asseoir sur la chaise de fer. D’autres verront cela quand je ne serai plus. La lumière oubliera ceux qui l’ont aimée. Nul appel ne viendra rallumer nos visages. Nul sanglot ne fera retentir notre amour. Nos fenêtres seront éteintes. Un couple d’étrangers longera la rue grise. Les voix. D’autres voix chanteront, d’autres yeux pleureront Dans une maison neuve. Tout sera consommé, tout sera pardonné, La peine sera fraîche et la forêt nouvelle, Et peut-être qu’un jour, pour de nouveaux amis, Dieu tiendra ce bonheur qu’il nous avait promis.
Léon-Paul Fargue
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arnesaknussemm · 5 years ago
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Nessun progresso può abolire le convinzioni, le abitudini, il senso della vita, il peso di quelli che vengono di lontano.
Léon-Paul Fargue
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mayolfederico · 5 years ago
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quattro marzo
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Afro Basaldella, Arancio ceruleo, 1970
  Come questo vento voglio essere figura del mio calore e, lentamente, entrare dove riposa il corpo tuo dell’estate, avvicinarmi a lui senza che mi veda; arrivare, come polso aperto, pulsando nell’aria, essere figura del pensiero mio di te, in sua presenza: carne aperta di vento, dimora d’amore nell’anima. Tu – delicato avorio di sogno, neve di…
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