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#Mouna Hawa
gael-garcia · 3 months
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Inshallah a Boy (2023, 🇯🇴)
directed by Amjad Al Rasheed
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swanasource · 11 months
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"After this weekend in Gaza, a honeymoon in Chernobyl feels about right."
A Gaza Weekend (2022). Dir. Palestinian-British filmmaker, Basil Khalil.
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moviemosaics · 3 months
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Inshallah a Boy
directed by Amjad Al Rasheed, 2023
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dolorygloria · 5 months
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Inshallah a Boy (dir. Amjad Al Rasheed, 2023)
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movie--posters · 2 years
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letterboxd-loggd · 4 months
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Inshallah a Boy (Inchallah un fils) (Inshallah walad) (2023) Amjad Al-Rasheed
January 17th 2024
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filmhoundsmag · 1 year
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A Gaza Weekend - LOCO (London Comedy Film Festival)
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MERCREDI 20 MARS 2024 (Billet 2/2)
« INCHALLAH UN FILS » (1h53)
Un film jordanien de Amjad Al Rasheed, avec Mouna Hawa, Seleena Rababah, Haitham Omari…
Le réalisateur Amjad Al Rasheed signe avec « Inchallah un fils » un premier film de rage et d’espoir, de combat d’une femme dans un monde d’hommes et d’indignation d’un système injuste. Bouleversant.
L’univers de Nawal s’est écroulé littéralement du jour au lendemain. Un matin, elle découvre son mari mort dans son sommeil. Dès lors, son quotidien tourne au cauchemar. Un quotidien lancinant, répétitif, jusqu’à la révolte. Elle emmène sa fille à l’école, elle court ensuite rejoindre le domicile d’une famille aisée pour s’occuper de la grand-mère handicapée, elle revient à la maison tard pour dîner avec sa fille, souvent d’un sandwich, et la coucher.
Et entre les deux maisons, un espace public angoissant. Nawal subit le harcèlement, jusque chez elle. Tous les jours. Pourquoi ? Nawal est une femme seule et a une fille. Et dans la législation jordanienne, elle n’a droit à rien, ou presque.
« Inchallah un fils » est la descente aux enfers abyssale d’une mère, d’une femme, dans une société patriarcale. Les lois sont faites par les hommes pour les hommes. Comme elle est veuve et mère d’une fille et non d’un garçon, la maigre succession de son mari doit être partagée avec sa belle-famille.
Le jeune réalisateur jordanien Amjad Al Rasheed s’est inspiré de l’histoire d’une parente proche pour porter à l’écran le combat de toute une génération.
Nawal subit des pressions de toutes parts. Elle risque de perdre son logement et la garde de sa fille. Son beau-frère veut récupérer le pick-up de son mari et la moitié de l’appartement. Il voit dans la mort de son frère un moyen d’améliorer sa situation familiale précaire. Pour lui, il est de son bon droit de revendiquer cet argent, car il a la loi et la morale pour lui.
Le réalisateur montre très bien l’instrumentalisation de la religion à des fins personnelles.
Nawal, incarnée magistralement par une Mouna Hawa combative, à la fois fragile et déterminée, se meut dans un monde d’hommes. Elle se bat avec ses propres moyens, sans attendre une aide qui ne viendrait jamais. Elle se bat aussi pour que sa fille ne subisse pas le même calvaire. La scène dans laquelle elle ose enfin réagir face à un homme qui la harcèle quotidiennement dans la rue avec toujours la même phrase : « J’aimerais être ton sac », est libératrice.
« Inchallah un fils » est un premier film de rage et d’espoir, Amjad Al Rasheed un réalisateur surdoué et Mouna Hawa une actrice éblouissante.
(Source : « France Info Culture »)
Notes sur le Site Allo Ciné. Critiques « pro » : 3,8, Critiques « spectateurs » : 3,8 sur 5.
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JM est allé voir ce film tout seul et il l’a beaucoup aimé. Que dire de plus après la critique de « France Info Culture » ? Juste un regret : n’avoir pas davantage poussé Marina pour qu’elle vienne avec lui, la connaissant bien, il est presque certain qu’elle l’aurait beaucoup apprécié.
Il n’y a pas que l’actrice principale qui soit remarquable. Tous les autres acteurs sont parfaits. Mention spéciale pour la gamine, craquante à souhait, toujours juste, jamais mièvre.
JM donne ❤️❤️❤️❤️ sur 5 à « Inchallah un fils ».
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cinquecolonnemagazine · 3 months
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Inshallah a boy
Primo film giordano presentato al Festival di Cannes, nella sezione Semaine de Critique, dove ha vinto il prestigioso premio Gan per la distribuzione e il Premio Rail d’ Or e già vincitore del premio La Biennale di Venezia Final Cut in Venice come Migliore work in progress, arriva finalmente nelle sale italiane Inshallah a boy, opera prima del regista giordano Amjad Al Rasheed. https://www.youtube.com/watch?v=fmDDSLWa6b8 Inshallah a boy, cast e produzione Candidato all’ Oscar per la Giordania e vincitore di numerosi e significativi premi nei festival di tutto il mondo, il film ha colpito critica e pubblico per la sua storia di contemporanea rilevanza e per la splendida interpretazione di Mouna Hawa nel ruolo di Nawal, una giovane madre e sposa che, rimasta improvvisamente vedova, si ritrova a combattere per il suo diritto all’eredità del marito, cioè conservare la propria casa e tenere con sè la piccola figlia Nora, in una società dove avere un figlio maschio cambia le regole del gioco e sembra essere l’ unica tutela. Inshallah a Boy sarà distribuito da Satine Film a partire dal 14 marzo. Dopo le rivolte guidate dalle donne in Iran contro la polizia morale e la lenta liberalizzazione che si sta avviando in Arabia Saudita, con Inshallah a boy, il regista Amjad Al Rasheed contribuisce, in una confezione cinematografica di finzione verosimile e avvincente, a consolidare  la nuova attenzione e solidarietà globale che sta emergendo verso i diritti delle donne nei regimi patriarcali,  focalizzandosi sul tema poco conosciuto della "proprietà" che, secondo la realtà giuridica che segue la Sharia, viene considerata di dominio esclusivamente maschile, impedendo alle donne di avere diritti ereditari.  Sinossi Giordania. Oggi. Dopo la morte improvvisa del marito, la trentenne Nawal fatica a far fronte allo sconvolgimento della sua vita. Oltre al dolore della perdita e al ritrovarsi da sola, con una bambina ancora piccola, deve conciliare i rigidi orari imposti dal suo lavoro come badante di un’ anziana signora con le necessità scolastiche della figlia Nora. Nel disperato tentativo di proteggere la casa e la figlia, Nawal ricorre alla menzogna, fingendo una gravidanza per prendere tempo e innescare così la presunzione che possa nascere un figlio maschio, cosa che la tutelerebbe da eventuali pretese ereditarie. Con solo tre settimane per trovare una soluzione, Nawal intraprende un viaggio che mette a dura prova le sue paure, convinzioni e moralità, essendo disposta a tutto pur di proteggere quanto legittimamente le spetta e il futuro di sua figlia. Read the full article
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deadlinecom · 5 months
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swanasource · 2 years
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Deadline can reveal a first clip for Oscar-nominated British-Palestinian director Basil Khalil’s debut feature A Gaza Weekend ahead of its world premiere in Toronto’s Discovery section. The dark comedy, conceived before the Covid pandemic, is set against the backdrop of mass panic when a mutant virus known as ARS breaks out in Israel. The only safe place is the Palestinian territory of the Gaza Strip, due to the separation wall. U.K. actor Stephen Mangan co-stars opposite Palestinian actress Mouna Hawa, best-known internationally for Maysaloun Hamoud’s 2016 festival breakout and TIFF Netpac award winner In Between.
‘A Gaza Weekend’ Clip: Basil Khalil’s Prescient Dark Comedy Is Set Against Backdrop Of A Viral Outbreak
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tctmp · 1 year
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Animation  Drama
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lgbtcinema · 7 years
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IN BETWEEN (2017) Official Trailer - In Between follows the lives of three strong, independent minded Israeli-Palestinian women sharing an apartment in Tel Aviv. Away from the constraints of their families and enforced tradition, they find themselves ‘in between’ the free and unfettered lives they’re aspiring to lead and the restrictions still imposed on them by a the country and their families.
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mijardinbipolar · 4 years
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Bar Bahar
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movieposteroftheday · 7 years
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Festival poster for IN BETWEEN (BAR BAHAR) (Maysaloun Hamoud, Israel, 2016)
Designer: TBD
Poster source: Film Movement
IN BETWEEN—“A lively and distinctly modern dramedy by the Palestinian female director Maysaloun Hamoud”—kicks off Film Movement’s 15th Anniversary Celebration at the Museum of Moving Image tonight. The series runs through July 2. See the full program here.
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unlovelyspace · 4 years
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In Between (2016): 3 Palestinian women, one of whom is a lesbian, support each other and fight against societal and familial expectations. 
One of the best movies I have ever seen.
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