Tumgik
#Père Blaise
sloubs · 15 days
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sketch dump de persos que je dessine jamais (rip lancelot j'ai jamais réussi à en faire qqch)
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dagonet · 1 year
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Kaamelott, Livre II, Les neiges éternelles
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kaantt · 1 year
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Kaamelott incorrect quotes:
Arthur : I'm a very calm, level-headed person.
Blaise : You threw a chair at Perceval.
Arthur : That was calm and level-headed compared to the table I was going to throw.
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C'est peut être un peu tôt (world cup is only next year après tout) mais un AU Kaamelott Rugby.
Bon c'est surtout parce que ca veut dire qu'ils auraient des p'tits short ridicules avec la moitié des cuisses découvertes 😳
Et puis Arthur ou même Lancelot avec la dégaine de Chabal ... bref
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En première ligne y'a 'les frères KK' les piliers Karadoc et Kadoc et le talonneur c'est Hervé de Rinel
Deuxième ligne faut deux asperges, du coup Blaise et Galessin (en plus c'est le role de l'ombre donc ca leur va bien)
Troisième ligne c'est Merlin, Elias et Perceval en 8
9 et 10 c'est Arthur (Capitaine) et Lancelot
Yvain et Gauvain c'est les ailiers
12 et 13 c'est Léodagan et Calogrenant
Le 15 c'est Bohort obligé 😂 plus le ballon est loin, mieux il se porte
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aramielles · 2 years
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en train de lire babel or the necessity of violence and i know that père blaise would have loved this shit
(also dev patel as ramiz and henry golding as robin when ????)
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guesswhogotaname · 2 years
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Here we go again... 
Ça faisait loooooongtemps l'équipe ! Me revoilà après avoir ouvert un dossier perdu sur le bordel de mon ordi intitulé "FICS" et boum je tombe sur cette pépite hehehe! On est toujours sur cet ✨AU multilanguage kt ✨j'espère que ça va vous plaire, n'hésitez pas à partager vos idées et vos critiques ! 🤟 Voilà, kiffez bien votre lecture les djeunes !
Le jour qu'elle avait tant attendu arrivait enfin.
Son cœur battait à la chamade dans sa poitrine, tout le monde la regardait s’avancer vers l’autel. Elle souriait, ravie, impatiente, nerveuse. Tous les représentants des terres celtes étaient venus en Carmélide pour son mariage ; elle était épiée, chaque geste, chaque pas étaient méticuleusement observés, détailler. Elle n’était pas belle, elle le savait, mais elle se sentait fière. Fière d'être la digne fille de sa mère et de son père ; celle qu'on avait choisi pour l'Élu des Dieux. En silence elle leur adressa une prière ancienne, espérant être à la hauteur de ce qu'on attendait d'elle. Son fiancé était là, habillé d’une tunique bleu ciel, la couronne de fleur posée sur sa tête, son air bougon, agacé, ses cheveux noirs, coupé court, tellement différent des hommes d’ici. 
Elle arriva à sa hauteur, mais n’osa pas rencontrer son regard. C'était encore un geste trop démesuré pour elle. Devant eux, le prêtre s’avança, vêtu d’une longue robe sombre, et d’une lourde croix pendant à son cou. Il avait un calice doré entre ses mains. 
« Au commencement, le Seigneur Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. » Il prononça lentement, pesant contre sa langue le poids de ses mots. 
Ghenifar ne connaissait pas les rites ou les coutumes des chrétiens. Sa mère crachait sur leur pratiques barbare et austère. Son père n’en pensait pas mieux. Son enfance avait été bercée de contes et de légendes ; des Dieux puissants qui se transformaient en rivières ou en forêt, des géants qui siégeaient au sommet des plus hautes montagnes, et qui observaient les Hommes avec compassion et une certaine forme de sévérité. Créatures omniprésentes, toujours parmi eux, témoins silencieux. Ils étaient impétueux et sa famille lui avait appris à craindre la foudre, à lire les signes des sécheresses, les corbeaux morts qui annoncent la peste, les hivers trop rudes qui présagent la guerre. Elle obéissait aux croyances de sa mère et de son peuple. 
Le prêtre continuait son sermon dans cette langue bizarre, aux sonorités écorchées, aigües ; la dévotion dans ses paroles et dans ses yeux rendait son discours presque touchant. 
Ghenifar s’agita, inconfortable ; elle tritura nerveusement la manche de sa robe de noce, inquiète de ce que les Dieux pensèrent d’elle. Ils la foudroieraient sur place si elle prêtait un serment à une icône factice. Elle essaya discrètement de faire signe à sa mère qui se tenait à sa gauche. Cette dernière hocha la tête, grande Reine-Guerrière, elle ne fléchira pas devant les envahisseurs et leur idole de bois. Mais aujourd’hui, les Éternels feront exception pour le bien du peuple celte. 
Ghenifar retourna son attention sur la cérémonie. L’homme, qui se fait appeler « Père » par les invités, approcha le verre des lèvres de son époux. Il prit une gorgée, avant un soupir. 
« Le sang du Christ. » Confia le prêtre devant elle, lui tendant la coupe où reposait un breuvage odorant et ocre à l’intérieur. 
Ghenifar ne comprenait pas les mots, mais elle obéit. Les druides de son pays faisaient ça aussi, ils partageaient dans une jatte plate le sang d’un animal sacrifié et ils le buvaient chacun leur tour, subissant la prophétie envoyée. Dans ces croyances, ce n'était pas anodin, le sacrifice d'un être vivant était nécessaire seulement pour mes fêtes importantes ou avant les batailles décisives. Ici, les gens boivent du sang comme d'autres boiraient-ils du vin ou du lait... Les druides ne prenaient jamais part, ils n'avaient pas de chef, ils servaient les Dieux. Pourquoi alors cet homme que tous appelle "Père" est au service du Roi ? Ghenifar eu soudainement une boulé d'angoisse logée au dessus de sa poitrine, le prêtre était peut-être un mauvais présage, il apporte le dieu usurpateur... Mais tout le monde attendait, impatiemment, elle devait faire comme eux.
Elle fut surprise quand elle prit une lampée du liquide âpre qui puait le vinaigre. C’était du vin. Elle ne put retenir une grimace, le goût infect restait sur sa langue et descendait dans sa gorge. Ce n'était pas du sang. Son futur époux l’observa, étonné de sa réaction, mais il eut un demi-sourire amusé. 
Ghenifar ne put s’empêcher de rougir. 
Le prêtre reprit, dans une voix monotone et solennelle. « Vous avez écouté La parole de Dieu qui a révélé aux Hommes le sens de l’amour et du mariage. Vous allez vous engager l’un envers l’autre. » 
Son époux leva les yeux au ciel, marmonna quelque chose entre ses dents, ses iris sombres ne masquant rien de son agacement absolu. « Oui, bon, allez, grouillez-vous, on n’a pas toute la journée… » 
« Je peux pas aller plus vite c’est les codes ! » 
« Vous savez où je les mets vos codes à la con ? » Il menaça, la mâchoire crispée par sa colère contenue.  
Des murmures se propagèrent dans l’assemblée. Outré, le prêtre semblait avoir les yeux qui sortaient de son crâne. Il souffla un « Enfin Sire ! » en faisant un signe de croix sur son cœur. 
Ghenifar restait muette, elle observait la scène sans en saisir le sens. Les coutumes chrétiennes étaient particulières. Dans sa famille, la foi était pratiquée par des chants et des danses. On appelait les Dieux à rejoindre les festivités, les gens voulaient les honorés par des jeux et d’immense banquet. 
Arthrhy se tourna vers elle et enfin leurs yeux se rencontrèrent. Ghenifar resta suspendue à ses lèvres, observant méticuleusement son futur époux prononcé des mots en brittonique pour que tous ici puis comprendre son affection. Tous allaient être témoins du début de la plus belle histoire d’amour jamais écrite. Elle était si heureuse d’entendre ses vœux, et son cœur s’envolait comme un oiseau libre et fou. 
« Aujourd’hui, Naofa Gwenhwÿfar… » Il n’arriva pas à terminer sa phrase ; les mots avaient pourri sur sa langue et l’odeur amère de la trahison emplissait ses narines. Il la regarda un instant. Elle était d’une beauté attendrissante, presque triste. Elle aussi portait une couronne de fleurs sur ses cheveux bruns, quelques pétales s’étaient perdues dans ses boucles, son visage rond à peine sorti de l’adolescence, ses grands yeux noisette, pétillant d’une joie immense. Elle était trop jeune pour être une épouse, pour être Reine. En déclarant ses vœux d’un mariage éternel et heureux, Arthrhy la condamnait à une vie bien malheureuse. Il avait honte. « Je vous prends pour être ma femme. » Il eut le temps d’une inspiration, les mensonges collaient à sa langue et son palais, il avait l’impression de s’étouffer. La dernière fois qu’il avait prononcé ses mots, c’était par amour et non par devoir. Il trahissait Aconia, et il trahissait cette jeune femme dont il ne connaissait que le nom. Tout les Dieux, anciens et nouveau, devraient le maudirent à l’instant pour son impunité. « Je promets de vous aimer pour le meilleur, pour le pire, dans la maladie ou dans la santé, jusqu’à ce que la mort nous sépare. » Il termina rapidement son scandaleux mensonge, le cœur serré dans sa poitrine.
Lui qui avait cru être un homme intègre, loyal et juste… Il était comme tous les autres ; avide de pouvoir, ce mariage n’était qu’une passerelle pour affermir son privilège sur le trône de Bretagne. Il n’était qu’un menteur, un lâche. Il n’avait rien de l’étoffe des héros et des rois de légende. Ses poings se serrèrent, et sa mâchoire se crispa. Il aurait voulu hurler de rage, mais il resta droit, digne de l’image que le peuple avait d’un souverain. Son règne commençait et le poids sur ses épaules était déjà incommensurable. 
Le roi Léodagan se racla la gorge, il était légèrement embarrassé. 
« Ma fille ne parle pas brittonique, sire. » 
« Elle peut le dire en sa langue natale, ce n’est pas important. » Répondit le Roi, indifférent. 
Les mots rassurants, mais autoritaires de son père lui parvinrent ; un ordre força le serment hors de sa bouche. C’était à son tour de prononcer les vœux qui l’uniraient à jamais à cet homme. 
Ghenifar était terrorisée, ses lèvres tremblèrent, le sang pulsait dans ses veines à une cadence vertigineuse. Elle n’avait pas la force d’élever les yeux, elle fixa le médaillon de son époux, et elle serrait si fort le bouquet dans ses mains que les fleurs elles-mêmes vacillaient. Ce n'était que des mots, elle les avait apprit par cœur dès son enfance, sa mère lui récitait en coiffant ses cheveux indociles, elle répétait "un jour, ma fille, tu épousera un homme, et tu nous rendra fière." Elle avait vécu avec cette épée au bord de la gorge. Elle était une fille, elle devinerait femme et mère, c'était son devoir. Maintenant, elle devait prouver son héritage de femme. Rendre ses parents fiers, être digne. Elle avait presque envie de pleurer et s'enfuir en courant.
« Tha mi… Tha mi… » Elle regarda ses parents qui lui firent un signe impatient de continuer. « Tha mi a' mionnachadh… » Ghenifar balbutia, effrayée du son de sa propre voix dans le silence respectueux de la cérémonie. Toutes ces hommes et ces femmes qui écoutaient son élocution bancale, incertaine, proférer des paroles sacrées, elle était indigne de ce qu’on lui donnait. Elle devina son visage écarlate, ses joues en feu. Ses yeux se levèrent, acte absurde et maladroit, mais elle vit le regard de son époux, sincère et patient. Quelque chose se dénoua dans ses entrailles, libéra sa gorge, et elle sentit les mots coulés hors de ses lèvres avec sérénité et douceur. 
« ‘S mi-mionnachadh air sith 's air gaol a bhi seasamh. Cridhe gu cridhe 's làmh an làimh. Gus an diugh, gu m’ anail mu dheireadh, cha bhi mi ach leatsa. » Elle lui jura un dévouement éternel avec une conviction troublante, Arthrhy en avait mal au cœur. 
L’épouse qu’on lui avait promise était une âme douce, innocente, charmante. Il regrettait de ne jamais pouvoir l’aimer ni de lui offrir ce qu’elle désirait. 
Le prêtre posa sa paume à plat sur sa croix, sans dissimuler son émotion. C’était un mariage réussi, contrairement au précédent qu’il avait eu le malheur d'officier… 
«Le Créateur dit : Voilà pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. » Il déclama à l’assemblée, captive par les Saintes Écritures. «  Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
Des invités applaudirent, des convertis chrétiens, ou des amateurs de belles paroles. La famille de la mariée ne semblait pas autant ravie par ces déclarations. Le Roi de Carmélide maugréait dans sa barbe et tapait du pied. Un païen reste un païen. Les paroles des chrétiens ne valaient rien, et le Roi de Carmélide ne se laisserai pas duper. Il cracha derrière son épaule, ces Dieux à lui maudissaient déjà cette union. Mais pour le pouvoir, il fallait faire des sacrifices, même si c'était sa fille qu'il déposait devant l'autel du jugement. C'était elle qui subirait les conséquences de l'avarice de ses parents...
« Vous pouvez embrasser la mariée. » Le prêtre Blaise frappa dans ses mains joyeusement. 
« Hein ? Quoi ? »  Demandèrent à l’unisson Arthrhy ainsi que le père de l’épousée. 
« Bah, c’est dans le livre, il faut que… »
« Devant tout le monde ? » Le Roi s’exclama, le bout des oreilles rouges, et il essaya de toutes ses forces de ne pas prendre compte du fou rire de Léodagan.
« Bah Sire… C’est pour prouver que votre amour est — »
« Ah non, ne commencez pas ! Bon bah… »
Arthrhy ne savait plus où poser son regard, déconcerté, il marmonna une insulte envers le prêtre, ou Dieu, ou peut-être lui-même. 
Ghenifar tourna la tête vers ses parents, cherchant une réponse auprès d’eux, mais son père se tenait les côtes pour ne pas rire, sa figure transformée par une grimace. Sa mère, avec une discrétion immense, murmura de sorte que tous les invités pouvaient l’entendre « Feumaidh tu pòg ris  ! » Ghenifar était rouge jusqu’à la racine de ses cheveux. 
Arthrhy prit les mains de sa femme dans les siennes. Ce n’était qu’un baiser, rien de bien compliqué. Il avança légèrement son visage vers elle, et il avait l’impression que son cœur tremblait. C’était elle qui franchit la dernière limite, un peu brutalement, leurs bouches se rencontrèrent, comme un choc. Le monde se mit à gronder des hurrahs et autres acclamations des invités. Ghenifar sentait le soleil fondre dans son ventre et l’irradier de lumière et de bonheur. 
Arthrhy s’éloigna rapidement sans considérer celle qui venait de devenir sienne, son visage fermé dans une expression rude. Il gagnait un royaume, un peuple obéissant et soumis à son pouvoir indiscutable. Son destin était lancé, et pourtant il était vaincu. Il avait perdu. 
Elle le suivit du regard, interdite devant l’autel, son bouquet à la main, ses rêves plein les yeux. Elle comprit sa place : aux premières loges du début d’une tragédie. 
Les paroles du prêtre résonnaient dans sa tête comme un avertissement, un oracle ombrageux. Les dés étaient jetés ; elle eut comme un vertige, au fond d'elle-même, elle sombrait. Elle devait enterrer cette enfance candide et son adolescence naïve, pour devenir Autre. Elle s’était liée à un homme, le peuple voulait d’elle la bénédiction de porter ses héritiers, cette figure fidèle et inébranlable aux côtés d’un roi tout puissant. Voilà son rôle, épouse et mère. Un devoir qui lui semblait effroyable, impossible. Le monde comptait sur elle pour accomplir une tâche épouvantable et colossale. Elle prit une profonde inspiration, essayant vainement de calmer les battements hystériques de son cœur. Elle savait ce qui l’attendait désormais. 
La nuit de noces. 
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jules-and-company · 1 year
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j’ai découvert que génovèse avait fait un tartuffe et euh. bah attendez je vais vous montrer
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« catholicism does that to people » you have no idea what it’s doing to me right now
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losttranslator · 9 months
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je suis tjr absolument deg que le père blaise se soit retrouvé chez les méchants sans explication de pk dans kv1 alors qu'il devait être dans les résistants. genre peut-être que si on avait eu kaamelott résistance il aurait fini par changer de camp mais en attendant on a zéro contexte et je trouve que ça colle pas du tout avec son caractère de la série.
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Je me suis retrouvée à penser à la religion dans Kaamelott et c'est tellement étrange mais genre, d'une manière super intéressante
Donc, il y a les Dieux. Ils existent, ils ont un impact sur le monde, on le voit à travers la série et le film. Puis, il y a le dieu chrétien, le Dieu Unique. Pour le coup, on n'a pas vraiment beaucoup de preuves de son existence hormis l'endorssement des Dieux, ainsi que la BD l'armée du nécromant, où après 20h de prière et à essayer d'échapper au danger, Père Blaise balance un rayon de lumière divine qui désintègre les revenants (et sa croix)
Clairement, il y a l'air d'avoir en effet ce dieu chrétien aussi, c'est juste qu'il répond moins aux appels que les Dieux.
Jusqu'à présent ça va, mais c'est quand tu t'intéresses aux détails que ça devient bizarre:
1) Les chevaliers sont techniquement chrétiens, car ils font la quête du Graal, qui est une quête liée au Dieu Unique. "Techniquement", parce que la plupart semble soit n'en avoir rien à foutre, soit tenir les croyances païennes qu'ils ont apprit en grandissant
2) Arthur est l'élu des Dieux. Ce sont eux qui l'ont choisi pour unir la Bretagne, et seul lui peut voir leur envoyée la Dame du Lac
3) La Dame du Lac est censée aider avec la quête du Graal. C'est son job. La Dame du Lac, envoyée des Dieux, doit aider Arthur, élu des Dieux, à trouver le Graal, une quête du Dieu Unique.
4) Arthur est censé s'être converti au christianisme. Il suit la religion du Dieu Unique, et non pas la religion des Dieux qui l'ont choisi comme roi de Bretagne
5) L'impression est alors que les Dieux travaillent pour le Dieu Unique, expliquant qu'ils soient d'accord avec tout le monde quittant leur religion. Cependant, dans un épisode on apprend que Merlin a peur d'énerver les Dieux s'il se convertit, ce qui indique que malgré tout, les Dieux sont pas complètement chauds à l'idée de perdre des personnes qui les vénèrent
6) Kaamelott se passe durant une période de transition, où la vénération des Dieux laisse place à la vénération d'un Dieu. La quête du Graal, c'est un peu un moyen d'aider à répandre le christianisme. Les Dieux semblent donc travailler dans la direction de ce remplacement
On a donc des dieux qui aident un autre dieu à les supplanter, et entre les deux, ce sont les Dieux les plus actifs pour effectuer cette transition, bien qu'ils ne semblent pas complètement d'accord avec l'idée de perdre tout le monde
Ce qui bien sûr amène à des réflexions super cool sur comment tout ce bousin fonctionne. Le Dieu Unique est-il juste un des Dieux, mais qui est plus jeune et beaucoup plus puissant? Les Dieux l'aident-t-ils parce qu'ils le veulent, parce qu'ils ont peur?
Bref je parie qu'il y a un gros jeu d'échec politique chez les Dieux, et les personnages ne sont au final que leurs pions
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frenchdrarry · 1 month
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Draco Malfoy avait toujours eu ce qu’il voulait et il en avait conscience. Il était privilégié par sa position d’héritier, de fils unique, d’enfant voulu et chéri par ses parents. Privilégié par la nature même, par sa beauté, par son intelligence. Il savait qu’il faisait énormément d’envieux. Qu’y pouvait-il ? Il était né comme ça. Une cuillère d’argent dans la bouche. Littéralement, qui plus est, car il ne se souvenait pas d’un repas familial sans que l’argenterie ne soit sortie.
Que penserait Harry de l’argenterie ? Draco n’était pas aveugle, loin de là. Il avait remarqué les tenues usées du fleuriste. Sa maigreur qui peinait à être corrigée. Son âge. Draco avait demandé à Luna Lovegood depuis combien de temps Harry travaillait pour sa mère, atterré d’avoir tant de fois manqué le bel homme durant ses achats express. Mais fort heureusement, cela ne faisait que quelques mois lorsqu’il s’est rendu compte de sa présence. Cela faisait donc trois ans, à présent. Et s’il avait été embauché à 22 ans, il n’avait sûrement pas fait d’études. Son travail n’était définitivement pas un temps partiel et lorsque Draco parlait de ses examens, Harry ne renchérissait jamais sur les siens. Tous ces éléments ne menaient qu’à une seule conclusion : il était pauvre. Draco irait jusqu’à dire qu’il était plus pauvre que la moyenne, même si ça ne changeait rien à ses yeux.
Il y avait longuement pensé. Très longuement.
Mais presque trois ans plus tard, le fait demeurait : il était diablement attiré par Harry Potter. Tout lui plaisait. De sa beauté sauvage à sa folle impertinence, de son habilité à son talent de composition. Draco en voulait plus. Qui sait, peut-être qu’une fois en rendez-vous, il découvrirait des aspects de Harry qu’il n’aimait pas et il cesserait d’être obsédé par le fleuriste. La sensation de sa peau rugueuse lui revint en mémoire malgré les mois qui le séparaient du 31 juillet. C’était la première fois qu’il avait baisé une main aussi sèche. Rude.
—Tu es bien pensif, nota sa mère.
Elle se déplaça gracieusement à ses côtés, admirant à son tour le sublime jardin à la française à travers les baies vitrées. Il hésitait à lui en parler. Elle n’avait pas été désappointé en apprenant qu’elle n’aurait jamais de belle-fille et son père s’en était également vite accommodé. En revanche, ils s’attendaient clairement à un riche parti. Un Blaise Zabini, un Théodore Nott. À la limite, un Neville Longbottom. Ce serait un déplaisir, mais cela resterait un parti convenable pour un Malfoy.
Un Harry Potter, fleuriste, sans le sou ? L’affaire s’annonçait mal. Ce n’était pas pour rien que Draco, sûr de lui et tellement habitué à obtenir ce qu’il voulait qu’il n’avait guère de patience, avait pourtant patienté plus de deux ans dans l’espoir que son attirance se fane d’elle-même. Mais il devait se rendre à l’évidence : loin de s’étioler, il devenait de plus en plus attiré Harry. Ce n’était plus seulement pour ses yeux d’un vert presque surnaturel, pour son sourire tordu ou pour sa silhouette qui ne demandait qu’à être découverte. Plus encore, c’était pour sa facilité à le faire rire, à le surprendre, à renchérir intelligemment à chacune de ses boutades que Draco était irrémédiablement sous le charme.
C’était décidé, il inviterait Harry Potter à un rendez-vous. Avec un peu de chance, il serait déçu, son attirance s’effondrerait d’elle-même et il trouverait un bel homme riche que ses parents approuveraient.
Il le fallait.
—Sûrement. Mais l’objet de mon trouble n’est pas digne de votre intérêt, mère. Il n’y a guère d’inquiétude à avoir.
Narcissa Malfoy lui jeta un regard acéré. Un regard tellement Black que Draco se sentit immédiatement recomposer son masque d’aristocrate.
—Pourtant, je ne me sens pas sereine. Peut-être voudrais-tu me confier l’objet de tes pensées, afin d’apaiser la mère inquiète que je suis ?
—Je vous assure, tout va bien. Je ne désire guère m’appesantir sur le sujet. Toutefois, soyez certaine que je viendrais à vous si le problème persiste.
Elle le détailla longuement avant de reporter son regard sur le jardin.
—Fais attention à toi, Draco. Nous serons toujours là pour toi.
J’ai comme l’impression que je vais vite tester cette assertion.
—Je sais. Je vous aime.
—Nous aussi, Draco. Nous aussi.
Et elle sourit, de ce sourire tendre et maternel qu’il était le seul à connaître.
Faites que Harry Potter soit décevant, par pitié.
*
Il n’était pas décevant, il était désespérant.
Frustrant, irritant, irrémédiablement chiant et incroyablement attachant. Merde.
Premier signe que cela s’était mal annoncé pour Draco Malfoy : avant d’entrer dans la boutique, il avait été légèrement angoissé. S’il fallait être parfaitement honnête avec soi-même, Draco avait été à deux doigts de faire demi-tour tant il avait eu peur, mais il était hors de question de se l’avouer, même à soi-même. Il était donc entré, les mains légèrement moites et le cœur battant la chamade.
Les autres signes s’étaient succédés : Harry avait été accaparé par un client, c’était madame Lovegood qui était venu le voir. Il avait dû refuser son aide, gêné, car il voulait parler à Harry. Le sourire moqueur sur le visage de cette femme était quelque chose qu’il voulait oublier de façon définitive. Il ne l’inviterait définitivement pas à leur mariage.
Wait, what ?
Concentre-toi !
Harry enfin devant lui, le cerveau de Draco s’était mis sur pause. Il avait été extrêmement tenté de faire mine de rien et d’acheter un quelconque bouquet avant de prendre les jambes à son cou. Finalement, il avait enfin eu le courage de se jeter à l’eau et demander un rendez-vous à Harry — sans bégayer, s’il vous plaît — quand Harry avait eu l’audace de refuser.
Oh, le pauvre bougre. Draco avait oublié un léger détail : Harry était incapable d’accepter quoi que ce soit. Foutu connard. Draco s’était tardivement rappelé la peine qu’il avait eu à acheter un bouquet à Harry pour son anniversaire.
Alors maintenant, entre une allée de tulipes et une autre de bégonias, il avait en face de lui un fleuriste rougissant plus têtu qu’une mule.
—Tu mens, déclara posément Draco.
Il était intérieurement très loin d’être aussi calme qui le prétendait.
—Non, répondit brièvement Harry entre ses dents en détournant le regard.
C’était le plus mauvais menteur de la planète. Même un enfant de trois ans mentait mieux que ça.
—Si. Je sais que tu es attiré par moi, tout comme je le suis par toi. Et tu es officiellement bisexuel, donc je te le redemande : pourquoi refuses-tu mon rendez-vous ?
Draco commençait à avoir une petite idée du problème.
—Je n’ai pas de temps à te consacrer.
—Trouves-en.
Effaré par ce culot, Harry lui jeta un regard noir qui était immédiatement démenti par ses prunelles brillantes d’amusement et son petit sourire.
—Tu es l’audace incarné, Malfoy. Pourquoi voudrais-je faire cet effort ? Tu ne m’intéresses pas. Accepte mon refus et va voir ailleurs si j’y suis.
—C’est un compliment que l’on me fait souvent. Qu’as-tu à faire de plus important que passer du temps avec moi ? se moqua-t-il en retour.
—Une sieste. La vaisselle. Une lessive.
—Faisons cela ensemble, alors.
Interloqué, Harry resta un moment sans voix avant de rire, légèrement hystérique.
—Alors toi…Non, certainement pas. Je n’en reviens pas. Qu’est-ce qui t’intéresses donc tant chez moi ?
Tout, bordel.
—Tes vêtements propres, apparemment.
Harry roula des yeux.
—Dit-il en allant probablement au pressing toutes les semaines…
—Mieux, j’ai un employé. J’aimerais que tu le prennes en stage. Tu aurais sûrement beaucoup à lui apprendre.
—Oh, c’est donc un rendez-vous professionnel que tu me proposes ?
Les yeux verts brillaient de malice. Il rayonnait d’humour et de tendresse. Draco ne s’en lasserait jamais.
—Oui. Tu dois bien connaître tes futurs employés, quand nous vivrons ensemble dans une immense maison de compagne avec trois chiens, deux chevaux et six chats.
Harry entrouvrit les lèvres avant de les refermer, les joues à nouveau rouges. Niveau carnation, Draco espérait s’en sortir mieux.
—Woah. Je te savais ambitieux, mais je te découvre visionnaire.
—Je suis un homme aux multiples talents. D’ailleurs, j’ai une autre vision : toi, acceptant ma demande de rendez-vous.
—J’ai toujours détesté les voyants. Je vais donc refuser.
—S’il te plaît…?
C’est la technique qui avait le mieux fonctionné le 31 juillet. Comme s’il avait conscience de sa faiblesse, Harry le fusilla du regard mais peinait à réitérer son refus. Draco sentait que ses réserves n’avaient rien à voir avec lui et tout à voir avec l’aspect monétaire, donc il poursuivit. Ça faisait plus de deux ans qu’ils se tournaient autour, après tout. Il n’allait pas abandonner maintenant.
—Un simple dîner. Je paye, je n’attends rien de toi, d’aucune façon.
—Je sais, mais non.
—Un café, alors ? Le Serdaigle. C’est un café-librairie très sympa.
—Non !
Devant le froncement de sourcils de Draco, Harry poursuivit :
—C’est celui de Cho. Mon ex. On est en bons termes mais je ne veux pas du tout avoir un rendez-vous galant là-bas, ce serait vraiment gênant.
Note à moi-même : ne plus jamais foutre les pieds au Serdaigle.
Deuxième note : demandez des informations à Chang.
—Un autre café ?
Harry baissa les yeux sur ses mains et passa un ongle sous un autre pour enlever un peu de terre. Ses mains étaient à des milliers de kilomètres des mains d’un Zabini ou d’un Nott. Pas soignées, griffées, tachées, abîmées, tannées par le soleil. À l’opposé des mains délicates de Draco. Il avait une folle envie de lier ses mains aux siennes.
—Et pourquoi pas une promenade ? Jusqu’à la colline d’Helga. Le coucher de soleil est magnifique là-bas.
Il a proposé quelque chose !!! OUI OUI OUI
—Marché conclu. Où se rejoint-on ?
Harry mâchouilla l’intérieur de sa joue.
—Ici, à 19h30. Ça te va ?
—Honnêtement, Potter. J’aurais accepté même si tu m’avais dis 2h du matin à la gare.
Le sourire de Harry transperça son visage.
–Mince, c’est ça que j’aurais dû faire. Je suis sûr que ce joli visage se vendrait très cher sur le marché noir.
Niveau carnation, Draco ne répondait plus de rien. Ses joues étaient probablement plus rouges qu’aucune des fleurs de la boutique.
*
Quand Draco avait aperçu Harry au loin, il avait immédiatement été intrigué. Il avait un sac à dos qui avait l’air bien chargé et des baguettes de pain sous le bras. Mais surtout, il faisait du skateboard. Harry lui avait souri timidement avant de sauter de sa planche et, d’un fort appui sur une extrémité, elle avait atterri dans sa main avec une aisance pratiquée.
—Salut.
—Salut.
Harry, comme à son habitude, comprit immédiatement la tonne de questions qu’avait Draco et en réponse, un sourire narquois chassa son air auparavant timide. Draco avait toujours été fasciné par la facilité avec laquelle Harry le comprenait.
—J’ai apporté le pique-nique. Pas grand-chose, mais…Je me suis dis que ça pouvait être chouette.
Oh, le fourbe. Il refusait les cadeaux de Draco mais lui offrait un pique-nique. Draco sourit malgré lui. Il se vengerait.
—C’est une excellente idée.
Ils se mettaient en route quand Draco ajouta d’un ton moqueur :
—Pour quelqu’un qui n’était pas intéressé, tu es très investi.
—Il faut soigner sa clientèle.
—T’es payé en heures supplémentaires pour pique-niquer avec moi ?
—Oui. Merci d’arrondir mes fins de mois.
Draco abandonna cette joute verbale pour détailler Harry et celui-ci, captant son regard, se laissa faire avec des yeux brûlants. Comme s’il se préparait au rejet et qu’il le défiait de le faire.
Mais il n’y avait aucun monde où Draco Malfoy rejetterait Harry Potter.
—Nous formons une drôle de paire, toi et moi, lâcha finalement Harry.
Draco essaya de se figurer à quoi ils ressemblaient, de loin. Un homme aux cheveux d’ébènes emmêlés, aux lunettes légèrement de travers, chemise trop large sur un vieux t-shirt à l’effigie d’un groupe de rock, sac à dos usé sur le dos, skateboard sous le bras et un pantalon de cargo taché de peinture. À ses côtés, un homme grand aux traits fins, vêtu d’un costard bleu foncé qui soulignait sa taille élégante et son teint clair.
—Tu n’as pas l’habitude d’attirer les regards ? taquina Draco en retour.
—Pas vraiment, non. J’ai plutôt tendance à les éviter.
Encore ce sourire tordu que Draco aimait tant. Mais la lueur des émeraudes indiquait une confidence. Il en prit note.
*
Bon, Draco était foutu. Il en avait pris conscience au moment même où le coucher de soleil avait fait rougeoyer les cheveux de jais de Harry et que celui-ci s’était tourné vers lui, la peau revêtu d’or solaire, pour lui adresser le plus heureux des sourires.
À présent, Draco réfléchissait à une autre façon d’inviter Harry à sortir. Comme un idiot, il n’avait pas pensé à prendre son numéro et il ne l’avait pas trouvé sur les réseaux sociaux. Néanmoins, avant de se quitter, Harry l’avait remercié pour cette soirée. C’était bon signe, n’est-ce pas ? Draco ne voulait pas se précipiter, mais chaque seconde passée auprès de Harry était incroyable. Il ne devait pas faire n’importe quoi.
Quel était le temps adéquat pour proposer un nouveau rendez-vous ? Devait-il penser à une activité gratuite, comme ce qu’avait proposé Harry ? Comment faire pour que Harry se fiche de l’argent de Draco ? S’ils étaient amenés à vivre ensemble, Draco se fichait pas mal de tout payer. Il était ridiculement riche, ce n’était pas du tout un problème.
Il se retourna et enfuit la tête dans son oreiller. Jamais, au grand jamais, il s’était autant pris la tête pour des amourettes. Au fond de lui, il savait que c’était différent. Tout, chez Harry, était différent.
Mais surtout, Harry Potter était un défi à part entière. Et Draco Malfoy adorait les défis. Il voulait résoudre le casse-tête qu’était Harry Potter pour le restant de ses jours.
Il était vraiment foutu.
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Je suppose que c'est un peu tard pour me lancer dans une fanslation... mais en voyant quelques surprises, j'ai eu envie de proposer mes propres idées de noms pour la localisation française d'AAI. La première sera reconnaissable puisque j'ai déjà fait un post à ce propos. Ces propositions ne visent évidemment pas à être parfaites vu que j'y réfléchis tout d'un coup pour le fun de faire un post, et j'ose espérer que l'équipe de traduction officielle a réfléchi aux siens un peu plus longtemps que ça.
Je vais en faire un petit jeu......... Je vais juste lister mes idées de noms sans mettre qui est qui, et j'aimerais savoir si c'est assez clair tout seul ! Le corrigé et les explications seront sous la coupure..............
Une règle que je me retrouve à suivre est que le prénom doit vraiment exister en tant que prénom, du moins pour le premier AA c'était toujours le cas.
Victor Yeux
Content Yeux
Dorothée Misse
René Gide
Richard Corbin
Camille Cavalier
Maxime Sage
Y en a des plus évidents que d'autres. J'ai pris une direction spécifique avec ces noms, mais d'autres, comme celle choisie par l'équipe de traduction officielle, sont aussi bien voire mieux.
Victor Yeux = Sebastian (ce bon vieil Eustache). Voir la première fois que je l'ai mentionné. Ce nom de famille existe ! Au début, j'ai pensé que le changer pour "Hiyeux" ou "Iyeux" pourrait le faire ressembler plus à un nom qu'au mot yeux, mais ceux-là n'existent pas, alors que Yeux existe.
Content Yeux = le père du jeune homme (Blaise?). Déjà je pense que le prénom Content serait drôle pour lui. Mais en plus, le mot "contentieux" correspond de près ou de loin à ce à quoi s'adresse sa profession.
Dorothée Misse = Justine Delcourt. J'ai vraiment voulu créer un jeu de mot dans son nom, plus intense que celui de la traduction officielle, parce que sinon ça sert à rien d'essayer de faire un truc différent. J'ai eu du mal ! Les thèmes de la justice n'ont pas des noms qui font joli ou ressemblent à des prénoms... "Pomme Depin" serait allé, mais je n'ai pas trouvé beaucoup de sources liant la pomme de pin à la justice, c'est plus religieux. Ici, j'ai choisi d'utiliser des noms qui existent pour inclure le nom "Thémis".
René Gide = Raymond Shields/Freddie Lapointe. Direction complètement différente de celle prise par la traduction officielle, encore une fois exprès. Tragiquement, "André Gide" aurait aussi bien marché pour ce jeu de mot - le mot caché ici est "égide" ! Et je trouve qu'il a une tête de René, mais d'autres prénoms en -é font aussi bien l'affaire.
Richard Corbin = Tyrell Badd. Je ne sais pas comment il s'appellera dans la version officielle. Le nom de famille "Corbin" est un ancien synonyme de corbeau, Yatagarasu, jeu de mot déjà présent dans son nom Japonais et tout. Quant à l'appeler Richard, j'ai essayé d'avoir un deuxième jeu de mots un peu plus discret qui correspond à "hardcore", si on regarde bien, pour rappeler le Badou/Badd original. Pas mal celui-là, non ?
Camille Cavalier = Horace Knightley. Idem, pas encore de traduction officielle, je crois. Cavalier, super simple, nom de famille assez commun et le nom de la pièce d'échec. Camille, ça paraît un peu délicat pour lui, mais c'est un nom qui signifie "serviteur", or il parle souvent de défendre (ici on va se dire, "servir") son Roi.
Maxime Sage = Simon Keyes. Idem encore... Et celui-là, ça a été dur parce que je tiens tellement à bien faire. Je n'ai pas vraiment pu conserver l'élément "singe", mais je me suis basée sur les singes de la sagesse : c'est une maxime... à propos de sage-sse. Les deux peuvent être prénom ou nom, mais Maxime est plus souvent un prénom qu'un nom, et va mieux à sa bouille.
Du coup je viens de découvrir des exemples de noms venant apparemment d'une fanslation française sur le Wiki AA...? Je ne la connais pas. Je ne sais pas si ça vient du Wiki français. Je vois par exemple "Louie Stiti", "Carl Vallier", "Sergio Badd". On les reconnaît bien, c'est vrai ! Mais on voit direct une direction différente de la mienne. C'est ça qui rend la localisation super intéressante - ce n'est pas une science objective. (Par contre pourquoi "Louie" et pas "Louis", ça c'est un mystère.)
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sloubs · 1 year
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non mais en vrai vous vous rendez compte que pleins de gens à kaamelott ont rencontré/vu mani et que depuis JAMAIS ils en ont reparlé à arthur ? caius l'a connu, merlin l'a connu, le père blaise, venec, perceval, karadoc, léodagan, séli, guenièvre, lancelot, galessin, le tavernier, même les paysans l'ont rencontré et lui ont adressé la parole. y en a pas UN SEUL qui a demandé à arthur qui c'était ou ce qu'il est devenu. non moi j'suis désolée mais quand j'y pense ça me fout en l'air
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dagonet · 1 year
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Kaamelott, Livre II, L'enragé
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kaantt · 2 years
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Kaamelott incorrect quotes:
Blaise : Wait... You're gay? Why??
Venec : It started off as a seven day free trail, but I forgot to cancel, so here we are.
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gerceval · 1 year
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bonne fête de la musique au père blaise 🥰
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frisquette27 · 2 years
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Voilà la suite d'un philtre sans philtre ..au départ je voulais faire qu'un chapitre mais au vu du nombre d'annerie que j'avais ecrite me voilà déjà au troisième chapître ..petite dedicace à @miung-dreamer merci pour tes encouragements 😊
Comme d'habitude toujours les mêmes avertissements
UN PHILTRE SAN PHILTRE
CHAPITRE 3
C’était incroyable, comment le père Blaise pouvait-il donc se retrouver dans un bazar pareil. La salle des archives était sens dessus-dessous, sur les tables des monticules de document attendaient d’être classés correctement, des livres s’entassaient parterre alors que certaines étagères étaient vides. Une chatte n’y retrouverait pas ses petits dans un tel foutoir se dit Guenièvre. Bien décidé à trouver un livre sur l’agriculture, elle se mit à fouiller, elle rêver d’avoir son propre potager et elle y pensait depuis très longtemps mais n’avait jamais osé auparavant. Mais la confiance lui était revenu aujourd’hui et elle avait donc décidé que cela plaise ou non de se renseigner dessus. En fouillant, elle se dit qu’elle voulait apprendre plus de chose et sur absolument les sujets, le père Blaise l’envoyait paître dés quelle voulait avoir accès à la salle, ce temps était donc révolu, maintenant décida-t-elle si elle souhaitait une information plus personne n’entraverait son désir d’apprendre.
Malheureusement il faudrait commencer par ranger cette pièce pour pouvoir trouver quelque chose d’utile. Assise sur le sol, un énorme livre posé sur ses genoux, la Reine parcourait la liste officielle des chevaliers, de prime abord ce n’était pas du tout ce qu’elle cherchait pourtant d’avoir lu le nom du seigneur Perceval qui avait de toute évidence était rajouté à la va-vite, avait piqué sa curiosité et elle avait entreprit de chercher les noms des chevaliers quelle connaissait dans la liste des adoubements. Cependant elle ne trouvait pas le nom du seigneur Karadoc, elle essaya avec plusieurs orthographes possibles mais rien. Ce pourrait-il que le mari de la femme qui lui avait volé son époux ne soit pas chevalier ? Tout était possible avec l’organisation désastreuse du père Blaise.
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Arthur était dans une rage folle et même s’il osait à peine se l’avouer, très inquiet pour sa femme. Les deux enchanteurs l’avait mis en danger, heureusement la prise de cette potion n’avait affecté que l’humeur de la Reine, elle aurait pu l’empoisonner et rien que cette idée le faisait frissonner. Il avait missionné le deux huluberlus de retrouver rapidement la Reine et de la mettre en sécurité dans leur laboratoire et surtout de le prévenir immédiatement.
C’était donc toujours très inquiet que le Roi se rendit à la réunion de la table ronde, en rentrant dans la salle il fut surpris de trouver ses chevaliers en grand débat sur le Graal.
« Non mais elle a raison on devrait se concentrer à le chercher au lieu de déblatérer sur ce que ça pourrait bien être »
« Je suis d’accord avec vous seigneur Calogrenant notre priorité est de le trouver mais comment peut-on le chercher si on n’est pas certains de ce que c’est exactement »
« En tout ça c’est sûr il est pas dans les cuisines je vous assure que sinon … »
« Oui on sait vous l’auriez déjà trouvé, on vas pas faire toute la réunion dessus quand même !! Ah bah c’est pas trop tôt on vous attendez plus ! »
« Ah ben cela fait toujours plaisir un accueil pareil mais ne vous arrêtez surtout pas pour moi, pour une fois que vous intéressez un tantinet soit peu à ce que pourquoi vous êtes chevalier. Je ne vais surtout pas gêner ce regain d’intérêt »
 Après s’être installé le Roi ne parvint pas à s’intéresser au cours de la discussion, affalé sur son siège il n’arrivait pas à détourner son regard du chevalier de Vanne. Une haine montait en lui, son chevalier l’agaçait plus que d’habitude, comment son épouse avait pu embrasser cette pauvre nouille. Le chevalier sentait le regard assassin du Roi sur lui mais il ne comprenait pas cette nouvelle animosité, d’ailleurs l’assemblée autour de la table ressentait bien le malaise flagrant entre les deux hommes.
« Vous avez un problème Sire, quelque chose ne vas pas » essaya le chevalier de Gaunes
« Hein non non continuez tout va très bien, mieux serait insupportable, en parlant d’insupportable seigneur Karadoc aux dernières nouvelles vous avez bien décidé de fonder votre propre clan non ! Du coup vous vous barrez quand ! »
« C’est-à-dire sire on peaufine encore les derniers détails comme je vous disais tout à l’heure avant que votre femme .. »
« LA FERME ! »
Tous les chevaliers tressaillirent sur leurs chaises à la réponse et au ton que le Roi employa. Tous perçurent dans sa voix une haine qu’ils ne connaissaient pas au Roi, certes il avait toujours été soupe au lait voire colérique mais jamais il ne semblait haïr et c’était bien de la haine qu’ils ressentaient dans le regard d’Arthur.
« Je vous interdit de parler d’elle après ce que vous avez osé faire, vous ne manquez pas de culot de vous présenter devant moi après ce qu’il s’est passé !!»
« Mais …je comprends pas Sire Je … »
« TAISEZ VOUS ! » Il se leva d’un bond « Et puis d’abord j’ai autre chose à faire que de parler à une bande de pignouf qui comprend que dalle »
Excédé il partit de la pièce comme une furie laissant dubitatif les chevaliers qui n’avaient rien comprit. Il fallait qu’il la retrouve au plus vite, très inquiet au sujet de sa femme et beaucoup trop en colère contre son chevalier et surement trop jaloux pour ne pas être violent envers cet homme que sa femme avait embrassé. La scène ne cessait de tourner dans sa tête, ses poings se serraient, il marchait d’un pas rapide.
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Il l’avait à peine regardé, comment avait-il encore osé la ridiculiser ainsi. Elle ne lui faisait plus aucun effet et pour elle c’était impossible. Il l’avait quitté certes elle n’était pas vraiment amoureuse de lui ce qu’elle aimait chez lui c’était son hygiène et surtout le fait qu’il soit Roi. Car elle avait adorée être Reine, elle était taillée pour ça bien plus que la gourdasse qui se trouvait à la tête du Royaume sans en faire quoi que ce soit. Alors certes elle était gentille, prévenante, et même plutôt jolie, beaucoup la trouvait adorable mais elle était naïve et ne comprenait absolument rien aux affaires du Royaume. En ouvrant la porte de ses appartements qu’elle fut sa surprise de les trouver dans un état déplorable, des fleurs jaunes avaient été déversées partout sur le sol, sur le lit, sur le bureau. Un parchemin attira son attention, posé négligemment sur le tas de fleurs qui se trouvait sur son lit. En prenant le document, elle fulminait, qui avait donc osé lui faire un tel affront. Ses yeux s’écarquillèrent en lisant la missive, non ce n’était pas possible.
« Chère Dame Mevanwi,
Je pense que cela vous appartient, je ne voudrais surtout pas vous en priver.
Si vous ne savez pas où les mettre j’aurais bien un endroit à vous proposer mais la bienséance ne me permet pas de vous l’écrire.
La VRAIE Reine. »
Mevanwi hurla de frustration, elle allait lui payer.
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Guenièvre un livre sous le bras avait quitté la salle d’archives préférant se rendre dans les jardins pour poursuivre sa lecture. Sur son chemin elle recroisa sa mère qui n’avait pas l’air d’avoir apprécié leurs échanges plus tôt dans la matinée.
« Ah vous revoilà, vous croyez que je vais me laisser envoyer paître comme ça, qu’est ce qu’il vous arrive aujourd’hui ? »
« BAH RIEN, je vais extrêmement bien ! »
« Alors ma p’tite mère si tout va très bien, vous allez me retirer fissa cette robe, elle est beaucoup trop décolletée et beaucoup trop étroite au niveau de votre buste, il y a plus de place à l’imagination »
« Oh mais c’est pas vrai, elle vous plait tant que ça ma robe » Guenièvre commença à la détacher pour pouvoir l’enlever « Mais si elle vous plait je vais pas vous en priver ! »
La Reine finit de l’enlever et l’envoya sur sa mère tout en s’enfuyant en riant dans les couloirs. Elle n’était plus que vêtu d’une toute petite robe blanche fine très courte, trop courte, juste au-dessus des genoux, sans manche. Au détour d’un couloir, toujours prise d’un fou rire dû à la tête qu’avait fait sa mère, elle tomba littéralement sur des dames de la cour occupés à médire.
« Oh pardon » fit elle en leur rentrant dedans « Je suis vraiment navré »
Les deux femmes la regardèrent de la tête au pied outrés par l’apparence de leur souveraine.
« Vous avez chaud ma Reine ? » dit l’une d’elle en gloussant
« Non j’allais rejoindre votre mari ! » répondit elle avec aplomb.
Les deux femmes perdirent leurs sourires mesquins alors que celui de la Reine grandissait, elle s’amusait beaucoup aujourd’hui.
 « Méfiez-vous Mesdames à force de dénigrer les autres, je pourrais vous obligez à porter la même tenue après tout n’oubliez pas je suis la reine donc …d’ailleurs oui je suis la Reine, je vous ordonne de changer de tenue et de …vous mettre en tenue …de nuit …voilà c’est bien ça maintenant vous n’aurez droit que de porter vos chemises de nuit ! »
Elle leur tira la langue et repartit vers les jardins toujours son livre dans les mains. Alors qu’elle était presque arrivée à destination, elle croisa Elias. L’enchanteur avait levé un sourcil amusé à la vue de la Reine, un petit sourire aux lèvres, il lui expliqua la situation. Un peu déçu que ce soit la faute d’une potion et pas une révélation personnelle, Guenièvre accepta de le suivre au laboratoire.
Assise sur une table, sa robe relevée sur ses cuisses, elle balançait nonchalamment les jambes, amusée par la situation. Les deux enchanteurs avaient fait prévenir le Roi mais ils étaient surtout occupés à se disputer sur le meilleur moyen de minimiser les effets de la potion.
« Oh vous savez moi je vais très bien, ce n’est pas très grave après tout ! »
Les deux hommes tournèrent vivement leurs têtes vers la Reine qui rit à leurs expressions choquées.
« Ah non vous n’allez pas bien et puis je ne pense pas que le Roi apprécie réellement votre nouvelle attitude même si personnellement j’aime beaucoup »
« Ben allez dire ça au Roi, je suis sure qu’il va adorer ! »
« Oh vous ! ne faites pas le malin si vous saviez faire une potion correctement on ne serait  pas dans la mouise »
« Oui bon ben ça va »
Merlin bouda dans son coin, tandis qu’Elias se rapprocha de la table et murmura à la Reine.
« Sinon vous ne me raconteriez pas votre petite journée en attendant ? »
Guenièvre ria de plus belle à l’expression qu’avait choisi l’enchanteur. Elle prit le temps de lui raconter en détail sa matinée et fût ravi de voir que cela faisait rire aussi l’enchanteur.
« Je crois que le plus drôle c’était la tête d’Arthur !! »
Comme s’il avait entendu que l’on parlait de lui, Le Roi entra dans le laboratoire ce qui fit rire encore plus Elias et Guenièvre. Arthur allait s’énerver quand il vit sa femme assise sur la table à moitié nue. Le rouge lui monta aux joues, voir ses jambes, ses épaules lui donnèrent un coup de chaud. Et comme pour le narguer un rayon de soleil venait jouer sur la robe de son épouse rendant légèrement transparente la robe par endroit.
« MAIS …QU’EST-CE QUE …VOTRE ROBE …POURQUOI VOUS ETES A MOITIE …NON MAIS C’EST PLUS POSSIBLE …ET VOUS BARREZ VOUS …VOUS CROYEZ QUE VOUS POUVEZ ETRE AUSSI PRES D’ELLE »
Il hurlait et bégayait en même temps, ce qui fit reculer immédiatement l’enchanteur.
« Bon on va partir sur la tisane pour calmer les effets, Merlin venez on va chercher de quoi faire l’infusion »
Ils laissèrent le couple Royal seul, Arthur se mit devant la fenêtre tournant le dos à son épouse, il préférait contempler l’extérieur de peur de la regarder, elle était tellement belle et surtout désirable, il en avait d’ailleurs les effets physique qu’il préféré calmer avant tout. Depuis quand sa femme lui faisait un tel effet, il n’aimait pas du tout cette journée, il se sentait un peu fébrile, de la savoir là assise sur cette table, si belle, si …non non pensa-t-il, il fallait qu’il se reprenne.
« Vous boudez ? »
Il sursauta à la voix de sa femme, il se tendit un peu plus.
« Pourquoi vous boudez ? Allez …quoi …dites moi ! »
« Je boude pas » lui répondit Arthur en grognant légèrement
« Si vous boudez ! Et puis c’est pas gentil de me tourner le dos, je suis si moche que ça ! »
« Quoi mais non qu’est ce que vous pouvez raconter comme ânerie parfois !»
Il s’était tourné vers elle et s’approcha doucement, elle était vraiment très belle.
« Ne vous inquiétez pas les deux guignols vont trouver quelque chose pour vous guérir »
« Me guérir mais je NE suis PAS malade moi je vais bien même très bien d’abord ! »
« AH NON vous n’allez pas bien, vous avez embrassé un autre homme »
«Un autre homme ? »
« Oui vous avez embrassez KARADOC, non mais vous rendez compte » dit il furieux
Elle le regarda intensément ce qui le troubla encore plus, elle se mordit la lèvre inférieure, elle était adorable ce qui lui donna un autre coup de chaud.
« Pff c’était pas un baiser ça! »
« Ah si si vous l’avez embrassé ! et puis d’abord je peux savoir pourquoi vous l’avez embrassé parce que la potion elle a bon dos, il vous plait ce machin, non mais sérieusement dites le moi et je vous laisse tranquille »
Elle se leva et le rejoignit doucement, il se figea. Elle passa sa main sur sa joue et se rapprocha encore plus au point de coller son corps contre le sien, trop choqué pour réagir Arthur ne bougea pas. Il pouvait sentir son souffle chaud sur ses lèvres. Sans réfléchir il se pencha légèrement s’arrêtant à quelques millimètres de sa bouche pret déjà à reculer quand il sentit la pression de ses lèvres sur les siennes. Elle avait fait le dernier pas, c’est elle qui avait initié le baiser, il goutait ses lèvres ne cherchant pas aller plus loin ou plus vite.
Savourant la douceur de cet instant, ils s’embrassaient et c’était délicieux, paradisiaque. La main d’Arthur se posa sur la nuque de la jeune femme caressant la peau douce de ses doigts, elle gémit doucement et il lui rendit son baiser plus passionnément cette fois, mordillant sa lèvre inférieure, elle entrouvrit ses lèvres et il y glissa sa langue pour explorer sa bouche, elle lui rendit caresse sur caresse. Il grogna de plaisir, jamais un baiser ne lui avait autant fait tourner la tête, elle s’accrochait les deux bras à son coup alors que ses mains à lui avaient entreprit de découvrir son corps, tout d’abord caressant son dos lascivement, elles vinrent se poser poussivement sur ses fesses la rapprochant encore plus de lui.
Ils se souciaient peu du lieu où ils se trouvaient à cet instant, rien ne comptait d’autre que leur corps pressé l’un contre l’autre, de leurs bouches qui se dévoraient. Pour reprendre son souffle, elle se sépara à regret de sa bouche délicieuse pour enfouir son nez dans son cou et respirer son odeur chaude et masculine. Il remonta une de ses mains vers sa poitrine oubliant toute retenue elle laissa échapper un long gémissement.
Peut-être est-ce les effets de la potion, mais à cet instant elle se contrefichait de ce qui arriverait quand il la lâcherait pour l’instant elle voulait tout sentir de lui, elle glissa sa main dans sa tunique et elle griffa légèrement son dos, souriant alors qu’il grognait et se collait encore plus à elle. Il ne savait pas ce qu’il lui arrivait, il était comme enivré par elle. Toute sa résolution de la tenir éloigné, volait en éclat, plus de dix ans qu’il s’accrochait à un serment, plus de dix ans qu’il la repoussait et il avait suffi d’un seul baiser pour tout détruire. Il caressait ses délicieuses courbes recouvertes par la légère robe qu’elle portait. Alors qu’il allait la plaquer contre la table, il sentit qu’elle reculait. Elle s’éloigna doucement de lui, le laissant sur sa faim, elle plaqua son regard dans le sien et avec un sourire goguenard.
« Ça c’est un baiser ! »
Un garde entra dans la pièce ne laissant pas le temps au Roi de reprendre sa contenance.
« Sire, Vous êtes attendus d’urgence ! Votre mère et sa sœur viennent d’arriver au château ! »
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