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#Robert et le Diable
plazamayorcompany · 6 months
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ROBERT ET LE DIABLE
(Bande Originale du Documentaire) ROBERT ET LE DIABLE (Bande Originale du Documentaire) Realisation Alban Vian Musique composée par Maximilien Mathevon Label Plaza Mayor Company Ltd Diffusion France Television 3 The legend of Robert the Devil has spanned the centuries: the story of this son of the Devil, initially violent and merciless before embarking on the path to redemption upon…
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alapagedeslivres · 2 years
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Rendez-vous avec le diable de Julia CHAPMAN - Rendez-vous avec une série COUP de COEUR
Le résumé des éditions ROBERT LAFFONT – 24 novembre 2022 : ​Le huitième tome de la série best-seller Les Détectives du Yorkshire. Un vent de panique souffle sur Bruncliffe : plusieurs vols sont recensés et un terrible incendie provoque l’explosion d’une caravane.Pour couronner le tout, Mme Lister débarque à l’Agence de recherche des Vallons pour déclarer la disparition de son fils Stuart.Incendie…
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smokedrunk · 3 months
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Robert Capa, Humphrey Bogart et Peter Lorre sur le plateau de Plus fort que le diable, Ravello, Italie, avril 1953.
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seaglassandeelgrass · 9 months
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Profits & Prices: Who makes what and what is paid by whom? Songs of commodities, costs, collateral, consumption, and compensation.
Cover image is a butcher selling mutton from Ms.4182 tav.138, the 14th-century Tacuinum Sanitatis held by the Biblioteca Casanatense.
The Money Crop- Malvina Reynolds
Who Reaps the Profits? Who Pays the Price?- Leon Rosselson
Working Reward- The Haymarket Squares
Pound a Week Rise- Siobhan Miller
Hey Ho- Tracy Grammer
The Hand That Feeds- The Crane Wives
Tomorrow Will Follow Today- Kathryn Roberts & Sean Lakeman
Age of the Robber Barons- David Rovics
The Falcon- Mimi & Richard Farina
Dictatorship of Capital- Alistair Hulett
You Stay Here- Richard Shindell
Le Diable et le Fermier- Windborne
Chemical Worker's Song- Jimmy Aldridge & Sid Goldsmith
Dying to Make a Living- The Local Honeys
Black Trade- The Unthanks
Something in the Rain- Tish Hinojosa
Free Enterprise- Jan Hammarlund
The Ballad of Accounting- Peggy Seeger & Ewan MacColl
The Capitalist Blues- Leyla McCalla
P.O.P. (Profit Over People)- The Moods
The Butcher's Sher- Daniel Kahn & the Painted Bird
21 tracks; 85 mins. [Spotify]
[my other playlists]
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etspera · 2 years
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PARIS, 1882 - A Phantom of the Opera mix
“The Comte de Chagny was right; no gala performance ever equalled this one. All the great composers of the day had conducted their own works in turns. Faure and Krauss had sung; and, on that evening, Christine Daae had revealed her true self, for the first time, to the astonished and enthusiastic audience.”
Art: Edgar Degas - Robert le Diable (1876)
https://open.spotify.com/playlist/5zkPyUH5UZXkry9VgV3Kin?si=8de1a7f19f474c11 
I. A French folk-song: Laisser-moi planter le mai (Rue Scribe, Paris) 
II. Dukas: Polyeucte (The Ballet-girls in Sorelli’s room) 
III. Delibes: Valse Lente (The Gala evening I.)
IV. Verdi: I vespri siciliani (The Gala evening II.)
V. Gounoud: Roméo et Juliette (La Daaé) 
VI. Gounoud: Faust Act 5. The Prison Scene (The New Margarita)
VII.  Gounoud: Funeral March of a Marionette (”Joseph Buquet is dead!”)
VIII. Massenet: Le Roi de Lahore (”He heard a man’s voice in the room")
IX. Halévy: La Juive (The Golden days of the Opera) 
X. Saint-Saëns: Danse Macabre (A handful of letters written with red ink) 
XI. Schubert: Lazare, La fête de la résurrection (Perros-Guirec) 
XII. Bellini: Ah non credea mirarti (Christine, lost) 
XIII. Khachaturian: Masquerade Suite - Waltz (The Masquerade)
XIV. Verdi: Otello (”Oh, horror! Horror! Horror!”) 
XV. Mozart: Don Giovanni (”I am built up of death”) 
XVI. Donizetti: La fille du regiment (A secret engagement) 
XVII. Bach: Jesu, meine Freude (Christine vanished - Underground) 
XVIII. Verdi: Don Carlo - O don fatale (The Scorpion or the Grasshooper?) 
XIX. Monteverdi: Oblivion soave (A living bride) 
XX. Verdi: Messa di Requiem - Lacrimosa (”Erik is dead.”)
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à la recherche de mes lectures estivales
Après mon année de préparation à l'agrégation de lettres modernes, passée à lire et relire la même dizaine de livres au programme, j'ai (enfin) pu lire ce que je voulais, et la variété de mes lectures en témoigne. De la poésie à l'essai-fiction en passant par de la littérature contemporaine et même une pièce de théâtre, mes lectures ont été relativement diverses, parfois géniales et parfois moins... mais revenons-en au début.
Alors que j'étais à Paris, prête à passer mes oraux d'agrégation, et ayant terminé mon énième relecture du Temps retrouvé de Proust (mon bijou), j'ai lu une poignée d'ouvrages qui m'ont accompagnée pendant ces temps instables.
Lectures parisiennes
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Mon premier livre hors-agreg a été Roses d'acier. Chronique d'un collectif de travailleuses du sexe chinoises, écrit par le journaliste Rémi Yang (que j'ai interviewé) et publié chez Marchialy. De ce livre, j'ai déjà parlé dans un article publié chez Diacritik et que vous pouvez lire juste ici.
Emprunté dans une bibliothèque parisienne, j'ai ensuite lu L'Invitation de Claude Simon, un auteur que j'adore et qui ne m'a encore une fois pas déçue. L'Invitation, c'est cette description cryptique de ce qui ressemble à un voyage d'affaires, dans un pays et avec des personnes jamais nommées, par un narrateur qui se veut avant tout observateur, voire critique. C'est dans un entralcs de violence et de beauté, comme de passé et de présent, que Claude Simon construit ce récit court et linéaire, que je ne peux que recommander si vous désirez découvrir ce majestueux auteur.
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Enfin, et vous le verrez par la suite, j'ai entamé un petit périple dans les méandres de la littérature contemporaine grâce à la plateforme NetGalley, qui permet de recevoir des services presse en version électronique. La première étape de ce voyage a été Rétrécissement de Frédéric Schiffter, un roman dont le potentiel n'a malheureusement pas été exploité : j'en parle un peu plus en détail dans ma critique Goodreads.
Lectures de plage
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Qui dit lectures estivales dit lectures au bord de la mer, avec iode et odeur de crème solaire pour complimenter celle du vieux papier de mes livres d'occasion.
Acheté en frippe à Paris, Trois femmes suivi de Noces, recueil de nouvelles de l'écrivain autrichien Robert Musil (connu pour son Homme sans qualités), m'a suivi jusque dans le sud, où j'ai adoré son mélange glaçant et presque psychédélique de psychologie et de fantastique. Là encore, j'en ai parlé un peu plus en longueur dans une vidéo, où j'évoque aussi les deux lectures suivantes : celle de closer, baby, closer, un recueil de poèmes tout récent de la poétesse Savannah Brown, dont je ne cesse de chanter les louanges, et celle de la pièce de Jean-Paul Sartre intitulée Le Diable et le bon dieu, immense coup de cœur qui rejoint ma collection de livres traitant du sacré, de la foi, de la morale, le tout dans un ouragan de violence.
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Dans ma fièvre vingtièmiste, j'ai enchaîné avec Enfance de Nathalie Sarraute, autrice que je n'avais jusqu'ici jamais lue. Construite comme un dialogue entre le je et son alter ego, cette autobiographie non seulement promet un certain plaisir de lecture, mais s'inscrit dans une interrogation passionnante sur le double je et la diffraction narratoriale qui anime le genre biographique depuis, au moins, La Religieuse de Diderot. Une merveilleuse lecture de plage.
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Deuxième lecture contemporaine de l’été, moins ambivalente que la première : j’ai apprécié la narration captivante de Sorj Chalandon dans L’Enragé, ce roman qui raconte l’histoire véritable d’un adolescent qui, enfin parvenu à s’échapper du bagne, doit réapprendre à vivre avec la violence qui couve en lui. Le style n’est ni incroyablement beau ni incroyablement mauvais, les personnages sont bien construits ; arrivée dans le dernier tiers, j’avais même du mal à lâcher le livre.
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Acheté à Paris lui aussi, j’ai lu le recueil de nouvelles de Nabokov intitulé Mademoiselle O, du nom de la première nouvelle du recueil. C’est une autre facette de l’écrivain que l’on découvre ici, dans de courts récits pétris de souvenirs personnels et d’observations, mais aussi dans des histoires presque absurdes qui s’inscrivent parfaitement dans l’esthétique de l’auteur. Les nouvelles sont très courtes, une bonne façon de découvrir l’œuvre magistrale d’un des plus grands écrivains du XXe siècle.
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Et parce qu’un ouvrage du XXe en cache toujours un autre… j’ai profité de l’avoir trouvé en boîte à livres pour lire Une femme d’Annie Ernaux, autrice que j’ai lue à plusieurs reprises, dont je n’apprécie pas particulièrement le style mais que je me fais un devoir de lire morceau par morceau. Dans ce récit, court à son habitude, Ernaux raconte la vie de sa mère, son éducation, sa modeste ascension sociale puis sa contraction de la maladie d’Alzheimer. Mais elle évoque aussi ce genre littéraire singulier qui lui appartient et qui se situe entre la littérature et la sociologie, le livre ne proposant pas seulement le récit de la mort d’une femme mais aussi celui de la naissance de l’écriture d’une autre.
Enfin, éloignons-nous du roman le temps de mes dernières lectures de plage : j’ai lu Lise Deharme, cygne noir de Nicolas Perge, une biographie toute récente de la poétesse surréaliste éponyme dont je n’avais auparavant jamais entendu parler. De son enfance à sa rencontre avec André Breton, en passant par sa multitude d’œuvres artistiques et littéraires, Perge raconte, en mêlant enfance, vie adulte et vieillesse, la vie mouvementée d’une autrice oubliée et pourtant essentielle à l’évolution du surréalisme en France. À lire, avant ou après la lecture de ses livres à elle.
Tes yeux sont deux cratères / de lave et de gouffres ouverts / semés d'étincelles et de feu / Tes yeux sont deux mondes perdus — Lise Deharme, Cahier de curieuse personne (1937)
À la biographie a succédé la philosophie, puisque j’ai lu Le Mythe de Sisyphe de Camus (il était temps !). Si les premières parties sur le suicide et la morale étaient certes intéressantes, j’ai surtout aimé les dernières parties, celles où l’auteur traite de littérature, et notamment des œuvres de Dostoïevski et de Kafka — mes deux écrivains adorés.
L’été prend fin
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Entre la préparation des cours et les formations, plus le temps de lire autant qu’au plus fort de l’été. Mes dernières lectures estivales ont été plus brèves, à commencer par le nouveau roman de Han Kang, Impossibles adieux, que j’ai abandonné (ironie du sort) au premier tiers. Son récit était haché, mal construit, trop peu envoûtant ; sa valeur esthétique semblait reposer sur la répétition d’un seul et unique motif, comme si l’autrice n’avait voulu écrire qu’à partir d’une image jusqu’à la vider de toute puissance stylistique ou émotionnelle.
Après cette déception, retour vers une valeur sûre : j’ai enfin lu les Journées de lecture de Proust, cette préface à sa traduction de Sésame et les lys de Ruskin. Outre le plaisir de retrouver les amples phrases de Proust, le livre est empli d’une douceur nostalgique puisqu’il revient sur des souvenirs de lectures d’enfance, sur la beauté qu’ils contiennent et sur ce que la lecture a d’unique pour le développement d’un esprit. C’est loin d’être le meilleur de ce qu’a fait Proust, mais c’est une lecture courte qui permet de voir, déjà, les germes de la Recherche.
Il n'y a peut-être pas de jours de notre enfance que nous ayons si pleinement vécus que ceux que nous avons cru laisser sans les vivre, ceux que nous avons passé avec un livre préféré.
Mon dernier livre de l'été fut L'Abîme, un roman contemporain de Nicolas Chemla, que j'ai... abandonné. Que n'était mon enthousiasme, pourtant, au début de ma lecture, lorsque j'ai vu ces phrases longues, ces mots envoûtants, cette intrigue prometteuse...! Malheureusement, cet enthousiasme s'est rapidement dégonflé quand le narrateur est devenu, peu à peu, puis tellement que je ne pouvais plus passer outre, l'archétype même du "vieux con réac'", qui déteste tout et tout le monde, sauf son chat qu'il passe des pages et des pages à décrire — quand il ne nous fait pas un descriptif exhaustif de toutes les publicités qu'il croise sur Google. J'ai dit ma déception sur Goodreads, mais pour résumer : abstenez-vous.
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Nota bene : pour la magistrale renaissance de ce blog, je lui ai ajouté une section "labo d'écriture", où vous pourrez (bientôt) retrouver des textes et poèmes signés de ma plume.
Littérairement vôtre,
Ève
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already-14 · 2 years
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Du 25 septembre 1922 à début 1923 se déroulent chez Breton les fameuses séances de sommeils éveillés, durant lesquelles un petit cercle de personnalités surréalistes explore sous hypnose, la nuit, les abîmes merveilleux et effrayants de l’inconscient. En cette rentrée littéraire 2022, Gallimard nous offre, avec les Sommeils, la possibilité inouïe de nous plonger dans les vestiges picturaux et verbaux des transes hypnotiques de Robert Desnos, qui fut le plus réceptif d’entre tous à ces séances. Rapidement, elles ne s’organisent d’ailleurs plus qu’autour de ses performances, et il devient un véritable phénomène au sein du cercle surréaliste. Premier recueil à proposer aussi bien la reproduction des dessins réalisés sous hypnose, que la retranscription fidèle des jeux de mots et autres saillies verbales qui les jalonnent, “ Desnos, Robert, Sommeils, Gallimard, 2022.”
(via Robert Desnos : Les Sommeils de Desnos sont meilleurs que les nôtres - ZONE CRITIQUE)
https://www.youtube.com/watch?v=PfIs6AMfH8M (Robert le Diable)
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alexlacquemanne · 1 year
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Mai MMXXIII
Films
Quand la Panthère rose s'emmêle (The Pink Panther Strikes Again) (1976) de Blake Edwards avec Peter Sellers, Herbert Lom, Leonard Rossiter, Colin Blakely, Lesley-Anne Down, André Maranne, Michael Robbins et Burt Kwouk
Le Dimanche de la vie (1967) de Jean Herman avec Danielle Darrieux, Jean-Pierre Moulin, Olivier Hussenot, Françoise Arnoul, Berthe Bovy, Anne Doat, Hubert Deschamps et Jean Rochefort
Romance inachevée (The Glenn Miller Story) (1954) de Anthony Mann avec James Stewart, June Allyson, Henry Morgan, Charles Drake, George Tobias et Barton MacLane
La Canonnière du Yang-Tsé (The Sand Pebbles) (1966) de Robert Wise avec Steve McQueen, Richard Attenborough, Richard Crenna, Candice Bergen, Marayat Andriane et Makoto Iwamatsu
Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ (1982) de Jean Yanne avec Coluche, Michel Serrault, Jean Yanne, Michel Auclair, Françoise Fabian, Mimi Coutelier et Darry Cowl
Le Dernier Voyage (2020) de Romain Quirot avec Hugo Becker, Paul Hamy, Lya Oussadit-Lessert, Jean Reno, Bruno Lochet et Émilie Gavois-Kahn
Le Dernier Métro (1980) de François Truffaut avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Heinz Bennent, Jean Poiret, Andréa Ferréol, Paulette Dubost, Jean-Louis Richard et Maurice Risch
Les cadavres ne portent pas de costard (Dead Men Don't Wear Plaid) (1982) de Carl Reiner avec Steve Martin, Rachel Ward, Carl Reiner, Reni Santoni, George Gaynes, Barbara Stanwyck, Ava Gardner, Burt Lancaster, Humphrey Bogart, Cary Grant et Ingrid Bergman
Docteur Folamour ou : comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe (Dr. Strangelove or: How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb) (1964) de Stanley Kubrick avec Peter Sellers, George C. Scott, Sterling Hayden, Keenan Wynn, Slim Pickens, Peter Bull et Tracy Reed
Un homme est passé (Bad Day at Black Rock) (1955) de John Sturges avec Spencer Tracy, Robert Ryan, Anne Francis, Dean Jagger, Walter Brennan, John Ericson, Ernest Borgnine et Lee Marvin
Le Monde, la Chair et le Diable (The World, The Flesh and the Devil) (1959) de MacDougall avec Harry Belafonte, Inger Stevens et Mel Ferrer
La Belle Saison (2015) de Catherine Corsini avec Izïa Higelin, Cécile de France, Noémie Lvovsky, Kévin Azaïs, Lætitia Dosch et Benjamin Bellecour
Le Grand Embouteillage (L'ingorgo) (1979) de Luigi Comencini avec Annie Girardot, Fernando Rey, Miou-Miou, Gérard Depardieu, Ugo Tognazzi, Marcello Mastroianni, Stefania Sandrelli, Alberto Sordi, Orazio Orlando, Gianni Cavina, Harry Baer et Ángela Molina
Ariane (Love in the Afternoon) (1957) de Billy Wilder avec Gary Cooper, Audrey Hepburn, Maurice Chevalier, Van Doude, John McGiver et Lise Bourdin
Voici le temps des assassins (1956) de Julien Duvivier avec Jean Gabin, Danièle Delorme, Gérard Blain, Lucienne Bogaert, Germaine Kerjean, Gabrielle Fontan et Jean-Paul Roussillon
Séries
Castle Saison 1, 2
Des fleurs pour ta tombe - Jeunes Filles au père - Amis à la vie, à la mort - Sexe, Scandale et Politique - Calcul glacial - La Piste du vaudou - Crimes dans la haute - Mémoires d’outre-tombe - Où est Angela ? - Double face - La Mort à crédit - Quitte ou Double - L'Enfer de la mode - L'Escroc au cœur tendre - L'auteur qui m'aimait - Pour l'amour du sang - Dernières paroles
Coffre à Catch
#113 : Unforgiven 2008 : Matt Hardy will not die ! - #114 : Matt Hardy champion, les débuts de Jack Swagger ! - #115 : La ECW, c'est bien, mais avec Vianney c'est mieux ! - #116 : Maryse : Pourquoi es-tu si belle? - # 117 : All Star Main Event + Gérard Lenorman !
James May : Notre Homme au Japon
Allez ! - Chou farci - Déodorant - Salut Bim ! - Le garçon de la pêche - Prune salée
Friends Saison 8
Celui qui venait de dire oui - Celui qui avait un sweat rouge - Celui qui découvrait sa paternité - Celui qui avait une vidéo - Celui qui draguait Rachel - Celui qui perturbait Halloween - Celui qui voulait garder Rachel - Celui qui engageait une strip-teaseuse - Celui qui avait fait courir la rumeur - Celui qui défendait sa sœur - Celui qui ne voulait pas aller plus loin - Celui qui passait une soirée avec Rachel - Celui qui découvrait les joies du bain - Celui qui découvrait le placard secret - Celui qui visionnait la vidéo de l'accouchement - Celui qui avouait tout à Rachel - Celui qui voyait dans les feuilles de thé - Celui qui était trop positif
Inspecteur Barnaby Saison 8
Un cri dans la nuit - Les Régates de la vengeance - Requiem pour une orchidée - Pari mortel - Double vue - Le Saut de la délivrance - L'assassin est un fin gourmet - Rhapsodie macabre
L'agence tous risques Saison 4, 5
Qui est qui ? - Cowboy George - La roue de la fortune - Services en tous genres - Club privé - Harry a des ennuis - Un monde de fou - La mission de la paix - Les orages du souvenir - Un témoin capital : 1re partie - Condamnation : 2e partie - Exécution : 3e partie - Match au sommet - Théorie de la révolution - Mort sur ordonnance - Une vieille amitié
Columbo Saison 2
Rançon pour un homme mort - Requiem pour une star
Les Petits Meurtres d'Agatha Christie Saison 3
Jusqu'à ce que la mort nous sépare - Meurtres du troisième type
Affaires Sensibles
Algues vertes : le danger qui empoisonne la Bretagne - James Jesus Angleton : paranoïa à la CIA - THE GRIM SLEEPER : Le faucheur en embuscade 1985-2007 - La création du festival de Cannes - 2000, les Jeux paralympiques de Sydney : la fraude des basketteurs espagnols
Bardot
Une enfant sage - B.B - La Madrague - Le papillon - Bébé - La vérité
Les Enquêtes de Morse saison 9
Mascarade - Prélude - Sorties de scène
James May's Cars of the People Saison 1, 2
Transports et totalitarisme - Rien n'arrête les nouilles - Les voitures qui nous ont toujours fait rêver - La puissance de la vapeur - 4x4 - Boom (et effondrement) d'après-guerre
The Grand Tour Saison 4, 3, 1, 2
The Grand Tour présente… Seamen - The Grand Tour présente… La Chasse au trésor - Eaux salées et eaux douces - The Grand Tour: A Scandi Flick - Virée à l’Italienne - Spéciale Colombie : Première partie - Spéciale Colombie ; Deuxième partie - Oh, Canada - Coup de vieux
Livres
Orage de chaleur de Richard Castle
Cinq Gars pour Singapour de Jean Bruce
Lucky Luke, tome 27 : Le 20ème de cavalerie de Morris et René Goscinny
Garôden de Jirô Taniguchi et Baku Yumemakura
Une enquête du commissaire Dupin : Etrange printemps aux Glénan de Jean-Luc Bannalec
Détective Conan, tome 9 de Gôshô Aoyama
Il était une fois… Le cinéma, Tome 1 : Des frères Lumière à Charlie Chaplin de Jean-Pierre Georges et Dentiblu
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abelkia · 2 years
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La playlist de l'émission de ce jeudi matin sur Radio Campus Bruxelles entre 6h30 et 9h : Harry Partch "U.S. Highball - A Musical Account of a Transcontinental Hobo Trip" (A Portrait/New World Records/1955-2015) Buddy Collette Septet & Robert Sorrels "Polynesian Suite" (Polynesia/Trunk Records/1962-2019) Peter Ivers' Band (with Yolande Bavan) "Gentle Jesus" (Knight of the Blue Communion/Epic Records/1969) Dominik Steiger "Gold Vom Süden" (Ad Hoc Musi 1980-84/Tochnit Aleph/2013) Reverend Gary Davis "I Am the Light of This World" (When I Die I'll Live Again/Fantasy/1972) Ivor Cutler "One at A Time" (A Flat Man/Hoorgi House Records/1998-2008) Le Diable Dégoûtant "Complainte de la Bête" (Fleur de Chagrin/Aguirre Records/2023) Persona "Água" (Som/Black Sweat Records/1975-2021) Jacques Charlier "L’Amour dans les chansons" (Art in Another Way/Musique Plastique/198?-2022) David Chesworth "Once Upon A Time" (Industry & Leisure/B.E.F.S Records/1983) Vincent & Moi "Lonely Hearts" (1998-2002/Auto production/2002) Colin Newman "Can I Explain the Delay" (Commercial Suicide/Crammed Discs/1986) Dominique Walter "Les petits boudins" (7"/Disc'Az/1967) Gillian Hills "Tu peux" (Rock Français/Wagram Music/1961-2021) Herman's Rocket "Space Woman" (7"/Vogue/1977) Sandra Plays Electronics "Her Needs" (7"/Minimal Wave/1988-2013) Aroma di Amore "Het Gesticht" (Koude Oorlog/Onderstroom Records/1984-2022) Savages "I Am Here" (Silence Yourself/Matador Records/2013) R.E.M. "These Days" (Lifes Rich Pageant/I.R.S. Records/1986) Panda Bear & Sonic Boom "Edge of the Edge" (Reset/Domino Recording Company/2022) Ming "Chanson de la plus haute tour" (Intérieur / Extérieur/Doxa Records/2001) François de Roubaix "Dernier domicile connu" (10 ans de musique de film/Odeon Soundtracks/1970-1998) Jean Luc le Ténia "Tu es un amour" (Le meilleur chanteur français du monde/Ignatub/2002) Fela Ransome-Kuti and The Africa '70 "Fogo Fogo" (Afro Baby - The Evolution Of The Afro-Sound In Nigeria 1970-79/Soundway Records/1973-2004) https://www.instagram.com/p/Cp2P6BuN004/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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christophe76460 · 27 days
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MONDE ENTIER, VOICI L’UN DES GRANDS FAUX CHRISTS ET L’UN DES GRANDS FAUX PROPHETES DONT PARLE LE SEIGNEUR JESUS DANS MATTHIEU 24/24 ; ET COMMENT SAVOIR QU’ILS SONT FAUX
C’est le 444ème message
En vérité, beaucoup de personnes se posent souvent la question en ces derniers temps de savoir que comme le Seigneur Jésus avait dit qu’il s’élèvera de faux christs et de faux prophètes aux derniers jours, est-ce que ceux-ci viendront ou sont déjà là ? Oui, ils sont déjà là ; et c’est l’heure de les connaître. Le Seigneur Jésus, voyant ces combattants du diable venir, dit : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » (Matthieu 24/24). Ces faux christs et faux prophètes sont ignorés de plusieurs personnes dans ce monde parce que dans leur séduction, ils ont gagné les cœurs de la multitude qui les prend pour des vrais ; mais cela n’est pas étonnant parce que le Seigneur Jésus avait dit lui-même que ces faussaires, à travers leur mensonge, tromperie et magie, séduiront s’il était possible même les élus. C’est pour dire qu’ils séduiront presque tout le monde.
Je prends l’exemple de l’un des grands faux christs qui est le pape François 1er ; plusieurs personnes dans le monde étant séduites par son mensonge, le prennent pour le vrai. Il y a aussi l’un des grands faux prophètes qui est TB Joshua ; plusieurs personnes dans le monde étant séduites par sa puissance magique, le prennent pour un prophète de Dieu. Mais, le Seigneur Jésus n’ayant pas souffert en vain, c’est l’heure pour tout le monde de connaître la vérité sur les faux christs et les faux prophètes afin d’être affranchi de ce qui peut maintenir l’homme dans la mort éternelle. Comment savoir que ces deux personnes prises pour des grands hommes de Dieu de nos jours ne le sont pas en vérité ?
Commençons par le faux représentant de Christ ou de l’apôtre Pierre qui est le pape François 1er. Ce faux christ combat la parole de Dieu qui est Dieu et qui interdit aux hommes qui veulent vivre éternellement au royaume des cieux de se faire d’image taillée et de représentation quelconque des choses d’en haut, ni de se prosterner devant elles (Exode 20/4-5). Ce faux Christ n’a-t-il pas lu qu’il est écrit : « Vous ne vous ferez point d'idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elle; car je suis l'Éternel, votre Dieu. » (Lévitiques 26/1) ? Ce faux christ, le pape François 1er, est venu combattre cette parole de Dieu. Il fait fabriquer une poupée et la présente au monde entier comme représentant du Seigneur Jésus bébé, il la parfume avec des encens, la hume, lui fait des bisous, la porte entre ses bras… ; mais quel mépris à l’encontre de cette parole de Dieu ! Il fait fabriquer des idoles à l’effigie de Robert Powell, un comédien britannique, sur des blocs de ciment, les fait fixer sur un bois croisé pour que les gens viennent s’y prosterner.
Mais quel mépris pour ce faux représentant de Christ ou de l’apôtre Pierre qui fait représenter ou comparer notre Sauveur Jésus-Christ à un bloc de ciment à l’effigie d’un acteur de film ! Ce faux christ combat le baptême de Dieu ; car en Dieu c’est celui qui croit à l’évangile de Christ qui se fait baptiser. Donc en Dieu, le baptême est un acte responsable de celui qui prend l’engagement de quitter la vie du diable pour celle de Christ, d’être enseveli dans l’eau avec lui par le baptême en sa mort (Romains 6/4). Ceux qui avaient cru en la parole de Dieu à travers la prédication de Jean Baptiste venaient vers lui et confessaient leurs péchés pour se faire baptiser dans le fleuve du Jourdain (Marc 1/4-5). Même le Seigneur Jésus était venu de lui-même vers Jean Baptiste solliciter le baptême ; et il s’était fait baptiser par lui dans l’eau (Matthieu 3/13-16). Même l’eunuque éthiopien, après avoir entendu le Seigneur Jésus prêché par Philippe, a sollicité le baptême. Voyant une rivière sur leur chemin, il a demandé à Philippe ce qui lui manquait encore pour qu’il soit baptisé, et Philippe lui répondit que s’il croyait de tout son cœur, cela était possible, et l’eunuque lui avait dit qu’il croyait que Jésus Christ est le Fils de Dieu et qu’il a livré à mort son corps charnel afin de racheter son corps spirituel de la mort éternelle, et les deux hommes étaient descendus dans l’eau où l’eunuque éthiopien avait reçu le baptême (Actes 8/35-38).
Le faux Christ qui est le pape François 1er, trompe les parents de venir avec leurs enfants et bébés pour qu’il leur verse quelques gouttes d’eau sur la tête, leur faisant croire qu’il les a baptisés ; et ce mensonge est au prix d’argent. Si le bébé est de sexe masculin, le faux christ va demander aux parents de trouver un homme qui sera son parrain ; et s’il est de sexe féminin, il leur sera demandé de trouver une femme qui sera sa marraine. Ce renard vend les gouttes d’eau pour baptême, et les aveugles et sourds viennent acheter ce mensonge pour leurs enfants ; mais ni le faux christ qui vend, ni les parents sourds et aveugles qui achètent n’auront de place dans la maison de Dieu (Luc 19/45-46).
Il y a beaucoup à dire sur ce faux Christ, mais je vais me limiter sur ce petit éclairage qui amènera ceux qui ont soif de vérité, de connaître les faux christs dont parle le Seigneur Jésus.
Il y a aussi l’un des grands faux prophètes qui est TB Joshua. Ce faux prophète combat le Seigneur Jésus avec ses produits remplis de pouvoir magique. Le Seigneur Jésus a été envoyé comme notre pouvoir, force, puissance, bénédiction, protection, domination et miracle ; il n’est que la parole qui est esprit et vie, et c’est cette parole qui est un produit miraculeux. Lorsque nous la gardons en nous, le Père et le Fils viennent en nous et nous devenons la maison ou le corps de la bénédiction, de la puissance, du feu, de la domination et du miracle. C’est pourquoi le Seigneur Jésus dit : « Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole, et mon Père l'aimera; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. » (Jean 14/23) ou encore tel qu’il est dit : « mais Christ l'est comme Fils sur sa maison; et sa maison, c'est nous, pourvu que nous retenions jusqu'à la fin la ferme confiance et l'espérance dont nous nous glorifions. » (Hébreux 3/6). Si quelqu’un s’attache à cette parole ou produit miraculeux, il deviendra un seul esprit avec Dieu ; et Dieu étant esprit, là où est cet Esprit, là aussi est la liberté et la domination sur toute forteresse et puissance ténébreuse (1Corinthiens 6/17 ; 2Corinthiens 3/17). Ceux qui ont la parole de Dieu en eux ont la victoire sur toute parole qui s’élève en face, et ceux qui ont l’Esprit de Dieu en eux ont la domination sur tout esprit qui s’élève en face ; c’est pour cela même qu’il est dit : « Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. » (1Jean 4/4).
Le faux prophète de TB Joshua s’élève avec de multiples flacons et des bracelets pour doter les gens de son pouvoir, et ceux-ci s’attachent à ces produits magiques, les trouvant puissants et miraculeux parce qu’ils contiennent une force protectrice et dominatrice mais sur les pouvoirs des sorciers… et non sur la mort éternelle. De nombreuses personnes accourent au Nigéria pour se doter de cette puissance et force dans des flacons et bracelets. Mais quelle séduction et égarement ! Il fait croire aux ignorants que ces produits magiques sont miraculeux ; mais de quel miracle s’agit-il ? Le Seigneur Jésus ne nous a pas dit que si nous nous dotons des flacons et des bracelets du prophète TB Joshua le miracle va nous accompagner, mais il nous fait comprendre que si nous sommes dotés de sa parole qui est un produit miraculeux, le miracle nous accompagne (Marc 16/17).
Ce faux prophète annoncé par le Seigneur Jésus trompe les gens. Sur l’emballage de l’un de ses produits, il a écrit : ‘’l’eau du matin ointe par Jésus Christ pour guérir, bénir et sauver’’. Mais quel mensonge et quelle séduction ce faux prophète détient ! Lorsque les gens lisent que ce produit magique est oint par Jésus-Christ pour guérir, bénir et sauver, ils accourent pour s’en procurer, croyant que cela a le pouvoir de les guérir, bénir et sauver en vérité. Dans ce monde, les gens veulent la bénédiction du Seigneur Jésus ; ainsi, croyant que TB Joshua a la bénédiction du Seigneur Jésus dans ses flacons, ils accourent pour se doter de ce pouvoir magique. Les gens voulant être sauvés par le Seigneur Jésus, accourent vers ce faux prophète qui possède des produits oints par Jésus qui sauvent. Voilà pourquoi le Seigneur Jésus, voyant leur pouvoir mensonger et magique, dit que ces renards et faux prophètes séduiront tout le monde et si c’était possible même les élus.
Nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, les princes de ce monde des ténèbres et aussi contre les esprits méchants dans les lieux célestes. Pour cela, il nous est recommandé de nous doter de toutes les armes de Dieu, et non des flacons et bracelets magiques du faux prophète TB Joshua ;car il est dit : « … nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté. » (Ephésiens 6/12-13).
Les armes qui nous ont été données par Dieu pour renverser les forteresses ne sont pas les flacons et bracelets du faux prophète TB Joshua, mais la puissante parole d’Esprit de feu de Dieu. Voilà même pourquoi il est dit : « Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles; mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses. » (2Corinthiens 10/4). La puissance de ce faux prophète vient du diable tel qu’il est dit : « L'apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers» (2Thessaloniciens 2/9). Le prophète TB Joshua a fait croire au monde que sa puissance venait de Dieu comme le magicien Simon avait fait croire aux samaritains que sa puissance venait de Dieu ; mais du moment où Philippe était arrivé en Samarie, la puissante magie s’était inclinée. Mais, comme l’Esprit qui était en Philippe est encore là aujourd’hui, la suite réserve bien des choses encore.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)
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xpoken · 3 months
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Robert Leroy Johnson
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Robert Leroy Johnson est une étoile brillante mais rapide dans le monde de la musique blues - il est né le 8 mai 1911.  Dans sa jeunesse, il a rencontré les célèbres musiciens de blues Sun House et Willie Brown et a décidé de commencer à jouer du blues professionnellement.
Quelques mois d'entraînement dans l'équipe n'ont conduit qu'au fait que le gars est resté un bon amateur.  Puis Robert a juré qu'il jouerait très bien et a disparu pendant plusieurs mois.  Quand il est réapparu, le niveau de son jeu est devenu nettement plus élevé.  Johnson lui-même a dit qu'il avait contacté le diable.  La légende d'un musicien qui a vendu son âme pour pouvoir jouer du blues s'est répandue dans le monde entier. Robert Leroy Johnson est décédé à l'âge de 28 ans le 16 août 1938.  Il aurait été empoisonné par le mari de sa maîtresse.  Sa famille n'avait pas d'argent, il a donc été enterré au cimetière municipal.  L'héritage de Johnson est difficile à compter - bien qu'il ait enregistré très peu lui-même, ses chansons ont souvent été interprétées par de nombreuses stars mondiales. Par exemple: Eric Clapton, Led Zeppelin, The Rolling Stones, The Doors, Bob Dylan).
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monsieurhihat · 6 months
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Le roi en jaune
Aujourd'hui je vais vous parler de cette drôle de lecture, "le roi en jaune" de Robert double you Chambers, qui n'est pas a priori dans mes meurs ni mes fréquentations, mais dont la réputation en biais, traversière, et surtout l'espèce de généalogie d'oeuvres étranges que celle-ci a engendrées, valent autant de très nettes recommandations. D'autant qu'elle-même est inspiré d'une nouvelle de 1886 "un habitant de Carcosa" que j'ai lue dans la foulée et qui est de Sa Majesté Ambrose Bierce, auteur du très mirifique dictionnaire du diable, avec lequel je peux dire que j'ai fait ma vie maintenant, et dont certainement je me risquerai à vous lire une ou deux entrées dans un keepsake prochain. Je me fais une croix sur la main. Le roi en jaune est un recueil de nouvelles pas toutes fantastiques comme je le pensais, je parle du genre fantastique, et dont le trait d'union, le fil rouge, est que dans chaque situation il est mentionné l'existence de la pièce de théâtre "le roi en jaune" dont la lecture rend fou, ou médium... Ou actualise des manières de cauchemars. Je l'ai peut-être raté, mais je n'ai pas vu cette mention du livre maudit dans la nouvelle de la demoiselle d'Ys, mais j'ai peut-être mal lu. À vrai dire ce n'est pas ma tasse, mais pour les amateurs de Lovecraft et du fantastique de cette farine-là, je comprends que ce soi un must. Quant à moi j'ai été content de fermer le livre, et de me réveiller. Après je comprends avec quelle déférence ça a pu inspirer Lovecraft et par quel biais Alan Moore a pu s'en emparer. Et par quel biais de bais il y est fait référence dans l'excellente saison 1 de la série True Detective. Le roi en jaune devient le roi jaune, et son atroce sanctuaire s'appelle Carcossa. Brrrr... True detective, il faudra que j'en parle ici. Et pas que de la première saison. Là oui on est dans mon coeur de meule.
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Honorability Of the devil
song (rap) (en cours de finalisation) Inspirée par Sympathy For the devil de michaël jagger avec ses rolling stones, elle-même inspirée par Le Maitre et marguerite… etc. spéciale dédicace à patrick eudeline qui lors d’une longue rencontre au sommet, me donnait, sans le savoir, l’idée du dialogue qu’est le livre trans/temps évoqué ici attention il s’agit d’un [[[Extrait de l’œuvre dramatique encore inédite, pièce de théâtre uchronique en cours de finalisation : Le Procés de jésus 2019 ………;;;;; pilate -des pauvres débiles ah ah ah ! // tu le sais, je ne me place pas toujours sous l’égide de Jupiter, et on me met trop souvent le masque de la cruauté sur le visage, mais, + aimablement, on aurait à me considérer comme un assez bon chanteur / je suis + gnostique moi-même que tu ne le penses, je m’amuse de temps en temps à faire du gnosticisme / je me suis amusé à faire une chanson, ou un rap, en m’inspirant de la chanson des stones, Sympathy For the devil, un song assez gnostique dans mon rap à moi en tout cas, puisque, là, le diable est de bonne compagnie, ou du moins demande à l’être Kaïphe -eh bien, tu m’intrigues !, qu’est-ce que cela donne donc ? pilate -cela donnerait ceci, mais je te demande toute ta bienveillance, c’est pas encore au point, c’est en working progress, imagine un lascar, un rappeur poussif, qui déclame, je vais devoir convoquer tout mon talent pour le camper, ce lascar :]]]]]]]]]]
mes chers amis, voyez-moi bien, qui suis devant vous se présente là : un homme du monde, civil et policé je suis aussi celui qui est le + diffamé, le + mal envisagé mais ça n’est pas de ma faute, si je me retrouve par pur hasard, je le jure sur ma mère là où on déplore les plus grands crimes de l’histoire
ok, quand le président des’stas unis dans sa limo a été, à mort flingué ce vendredi de novembre-là, 63, je trainais bien à dallas, texas mais le promets : croyez-moi, je suis un homme du monde, civil et policé j’attendais, désœuvré, le cortège, derrière les barrières, moi non du tout armé cela n’est pas moi qui ait tué jack kenn’ edy, j’ai même croisé un jour son père joe, une belle personne le type qui allait filmer tout, abraham zapruder, je patientais,déjà impressionné, atone silencieux, non loin de ce monsieur drôlement bien equipé si encore vivant il aurait tout à fait pu vous en témoigner, oui il s’était, le con, amusé, moi ! déjà, à me viser, à me filmer deux secondes, pour se moquer, moi qui n’était rien pour lui et pour toute l’humanité se disait-il là j’avais juste à avoir mes deux demies secondes d’éternité, c’est ça et puis c’était pour vérifier, que ça allait bien tourner on voit ma bille au tout début du film le + cher du monde, mais ça a été coupé, censuré, j’ai été spolié, vous auriez vu mais oui une personne de qualité, pas du tout immonde je veux qu’on me montre, étant ce jour-là, aussi désarmé que l’enfant né et je veux des droits de représentation, d’importantes royautés je ne suis pas du tout celui que vous vous représentez veillez à ce que je rentre dans tous mes droits, et en 1er voyez s’il vous plait, quelqu’un avec le droit de recevoir votre entier respect, ses royalties et même toute votre sympathie
s’agissant de son frère, robert, trop peu d’années après, hein !, voilà ce qui s’est passé, à L. é., c’est bien attristant, à pleurer non, cette fois personne même n’oserait : cette fois même une seule seconde ! m’incriminer /quand c’est arrivé, à l’hôtel ambassador, salle des receptions, eh bien !, dingue !, je me trouvais à son côté, certes oui, pas d’objection je sens encore sa virile et de plus en plus douce main, de bobby tentant de se retenir à mon épaule puis à mon veston, en tombant c’est fou ce que ça déplace comme air, un sénateur en train de tomber oui j’étais armé moi aussi ce soir-là, mais moi, là je faisais partie des services de sécurité… le nommé sirhan sirhan connu de moi ni d’ève ni d’adam, il s’était approché, approché je l’avais vu se rapprocher derrière le frère de john lui aussi, c’est sûr, voulait un autographe j’ai pensé, un peu bêtement il voulait congratuler certainement tu sais, un jordanien pro palestinien, bobby ne pouvait pas lutter par derrière le man a tiré, je n’avais pu tenter, rien, moi pourtant un auxiliaire de sécurité j’étais en train de rêver, rêver à je ne sais quoi d’ailleurs, sans doute à la célébrité c’était chouette la notoriété je pensais presque tout haut j’aurais tellement pu m’interposer !, j’en conçois un grand regret ce kennedy a rendu son dernier souffle, en me voyant, moi, devant lui voyant devant lui une personne bonne et attentionnée, de tout à fait bonne moralité je ne suis pas celui que vous croyez comme au clan kennedy vous me devez respect, popularité et même la sympathie
oh… s’agissant de l’assassinat du révérend king, à memphis, tennessee je m’en souviens, oh, comme si c’était hier !, eh oui j’y étais aussi, j’-é-tais-là-aus-si ! je me trouvais, par chance, quelque part dans cet état, je ne sais plus quand on a annoncé, à la radio, sa venue c’était tentant de faire quelques heures de route pour aller voir à quoi ressemblait une telle star de la vertu et c’est vrai, oui, incroyable, je connaissais un peu, oh si peu… ce blanc qui dans la petite foule, sortait un fusil de son manteau et a bientôt visé martin luther king, c’était à 6, 7 heures du soir, oui un soir un peu frais d’avril 68, les soirées en avril dans le tennessee, sont vite fraiches, ça n’est pas le Mexique hein le tennessee king se tenait sur un balcon du lorraine motel de sinistre mémoire, bien en vue et en honneur saluant le groupe de supporters enthousiastes qui l’attendaient, c’était informel, et rien que des noirs, hein ! , et je voyais, je croyais : là, je serais le seul blanc c’était un peu embêtant alors je me tenais un peu à distance, sinon j’aurais bien aimé l’aller admirer au + près, moi aussi ! eh oui !, une telle star de la bonté moi aussi je milite contre la ségrégation, m’en croyez ! et puis j’étais donc parti asse vite, je ne m’étais pas imposé, tact et efficacité et oui, je venais juste de boire, en ville, un whisky avec un type un peu non identifié il faut que vous sachiez aussi, en ville, quelqu’un d’une espèce de morne normalité il voulait pas trop parler, on a surtout bu, pas à la haine !, à l’amour !, dans le monde à la paix & oui, et à l’étonnante sortie de prison de ce type qui avait nom james earl ray Il n’en revenait pas, n’avait pas d’explication Il avait voulu fêter ça avec moi, le 1er quidam un peu cool qui avait retenu son attention et on s’était quittés, à la mort à la vie, or quelle stupéfaction, quelle déploration le tueur, je le saurais c’était lui oui ,seulement le lendemain, par les journaux, avec sa photo en grand, ce type tout en normalité avait, lui, ses 5 minutes de no-to-ri-é-té je dois avouer, ça m’arrive souvent qu’un inconnu m’offre un coup, qu’on voit en moi quelqu’un qui peut avoir un peu d’amitié pour son prochain mais je vous dis il ne m’avait pas entretenu du tout ! de son funeste destin de son criminel projet sinon, sinon ! je serais allé aussitôt, aussitôt !,directo !, le dénoncer aux autorités vouloir assassiner une telle personnalité, de la charité ! et on m’aurait cru vous savez, les policiers se seraient précipités, me croyant voyant en moi un être de probité, d’honnêteté, et bonne moralité car aussi je suis intègre et bien éduqué, quelqu’un plein de félicité vous avez à me connaitre en tant, qu’une personne d’une grande bonté et modestie j’y compte bien que vous me gratifiez et de toute votre sympathie ne donnez pas tout aux kennedys
le 11 septembre, je dois le confirmer, je me trouvais à la nouvelle-york pas dans le ciel ! / enfin, si, un peu, au trade !, 32ème étage tour sud des twins s’il vous plait, costumé de frais, à mes bureaux, mes bureaux !, j’avais progressé, oui ! eh oui !, tour sud ou tour nord je ne veux plus savoir je suis encore tellement traumatisé j’ai été de ceux bien sûr qui ont pu descendre, descendre à n’en plus finir sinon je ne serais pas là pour vous le dire m’en croyez : la vie n’a plus grande allure quand elle ne depend plus que d’une descente d’escaliers j’ai été de ceux qui enfin dans york, enfer de cris, ont pu fuir enfer de fumées et de tant de prières, j’en ai bavé, moi aussi, moi aussi, mes sires ! quelques jours + tôt vous ne l’imagineriez pas, j’avais respiré le même air, dis donc, que les terroristes, c’était aux cours de pilotage de la 3eme avenue ah tu parles, encore, d’une veine ! , le lancement de la 3ème guerre mondiale ils n’étaient pas très causant on n’avait même pas échangé quelques banalités c’est vous dire le degré de complicité ! des jeunes gens quand même un peu intrigants, un peu, n’est-ce-pas, je dirais même, réfrigérants mais, moi, non, c’était pas pour cela, pas du tout !, je n’étais, donc, en rien concerné par ce qu’il allait arriver / réussite américaine je venais de me payer mon 1er jet privé, alors…moi, je voulais vraiment savoir piloter, car j’ai tout de l��homme du monde, un homme d’action, quelqu’un de civil et policé veillez bien à m’adresser votre entier respect et toute votre sympathie
[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[k -tu ne ferais pas un couplet sur le massacre du ba-ta-clan ! ?, ça manque un peu, non, et un autre coupler ne serait pas de trop pilate -mais si tu veux / il faut que je me remette dans le mood alors / voyons ! ça pourrait donner…. / écoute, il faut que je me remette dans le flow : )]]]]]]]]]]]]]]]]
accordez-moi votre attention bolosses et bouffons votre attention à moi qui me tient devant vous je suis celui qui est le plus calomnié, des hommes le + diffamé aidez-moi à rentrer dans mon honorabilité beaucoup ont dit, « oui, on l’a vu au ba-ta-clan ! cette nuit-là, 11ème arrondissement » oui, le 11eme,mais j’habite là moi aussi, maintenant, tout simplement, où habiter ailleurs en ce moment pour essayer d’exister un peu ?, eh oui, tout comme lou doillon, je l’aperçois souvent ! lou est si lancée !, si joliment allurée, elle qui passe sans me voir, si indifféremment oui, je me tenais à nouveau au 1er rang, décidément moi, c’est toujours : front row et cette fois qu’est ce qui aurait pu se passer, god only know ! cette fois devant les mauvais eagles of métal hurlant eh eh !, on fait avec ce qu’on a, malheureusement je ne suis pas jésus, sinon ça se saurait jésus qui les aurait aussitôt transformés en les eagles d’Hôtel california une chanson vraiment sympa oui j’aurais préféré les aigles de don henley !, je prenais à peine mon pied mais pourquoi je restais là ? possible il y avait là quelques rock lolitas à empriser
je ne faisais pas le malin quand ils sont arrivés, sur armés je me demande encore pourquoi, sur moi ils n’ont pas tenu à, aussitôt, tirer, et pourquoi ?, mais je n’en sais rien, ne me tourmentez ! non, mais pas du tout, cela n’est pas du tout une preuve de culpabilité, de complicité juste, eux aussi, ils ont vu… là : un homme du monde, cultivé, un être sans acrimonie une personne de félicité j’ai droit à toute votre admiration et à votre entière sympathie comme celle dont vous gratifiez si volontiers la famille kenn’edy
[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[kaïphe –ok !, bravo, à toi pilate rappeur ! toute notre honorification aussi à toi ! / entendons cette adaptation comme une exorcisation et non pas comme une adulation ! / c’est bon ! alors que tant de gens, là, sont en agonie, c’est fou ! comme on peut aussi s’identifier, là, & au devil en l’occurrence, et toujours sur la corde raide pour fourbir une rime ! pilate -c’est peu connu / alors que les rolling stones enregistraient Sympathy f. t d. dans les fameux studios olympics de londres, le créateur d’art contemporain jean-luc godard faisait filmer cette session exceptionnelle, + ou - établie pour lui, pour un film ! où à nouveau il y aurait tout sur l’ennui, un film de + à considérer comme un ready made, un urinoir, mais donc avec les rolling stones s’il vous plait ! -qu’il allait contaminer !, car en effet, l’ennui serait généré aussi par eux k -or il a fallu bientôt, à tous, en toute précipitation, lever le camp, un projecteur……………….. xxxxxxxxxx]]]]]]]]]]]
TOUTE INTERPRETATION, enregistrement, performance publique, autorisé par le créateur de ces lyrics / permission à demander déjà à mick jagger
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corydon8 · 10 months
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WALTER KENNEDY
PIRATE ILLETTRÉ.
Le capitaine Kennedy était Irlandais et ne savait ni lire, ni écrire. Il parvint au grade de lieutenant, sous le grand Roberts, pour le talent qu’il avait dans la torture. Il possédait parfaitement l’art de tordre une mèche autour du front d’un prisonnier, jusqu’à lui faire sortir les yeux, ou de lui caresser la figure avec des feuilles de palmier enflammées. Sa réputation fut consacrée au jugement qui fut fait, à bord le Corsaire, de Darby Mullin, soupçonné de trahison. Les juges s’assirent contre l’habitacle du timonier, devant un grand bol de punch, avec des pipes et du tabac ; puis le procès commença. On allait voter sur la sentence, quand un des juges proposa de fumer encore une pipe avant la délibération. Alors Kennedy se leva, tira sa pipe de sa bouche, cracha, et parla en ces termes :
— Sacredieu ! messieurs et gentilshommes de fortune, le diable m’emporte si nous ne pendons pas Darby Mullin, mon vieux camarade. Darby est un bon garçon, sacredieu ! jeanfoutre qui dirait le contraire, et nous sommes gentilshommes, diable ! On a souqué ensemble, sacredieu ! et je l’aime de tout mon cœur, foutre ! Messieurs et gentilshommes de fortune, je le connais bien ; c’est un vrai bougre ; s’il vit, il ne se repentira jamais ; le diable m’emporte s’il se repent, n’est-ce pas, mon vieux Darby ? Pendons-le, sacredieu ! et, avec la permission de l’honorable compagnie, je vais boire un bon coup à sa santé. »
Ce discours parut admirable et digne des plus nobles oraisons militaires qui sont rapportées par les anciens. Roberts fut enchanté. De ce jour, Kennedy prit de l’ambition. Au large des Barbades, Roberts s’étant égaré dans une chaloupe à la poursuite d’un vaisseau portugais, Kennedy força ses compagnons à l’élire capitaine du Corsaire, et fit voile à son compte. Ils coulèrent et pillèrent nombre de brigantines et galères, chargées de sucre et de tabac du Brésil, sans compter la poudre d’or, et les sacs pleins de doublons et de pièces de huit. Leur drapeau était de soie noire, avec une tête de mort, un sablier, deux os croisés, et au-dessous un cœur surmonté d’un dard, d’où tombaient trois gouttes de sang. En cet équipage, ils rencontrèrent une chaloupe bien paisible de Virginie, dont le capitaine était un Quaker pieux, nommé Knot. Cet homme de Dieu n’avait à son bord ni rhum, ni pistolet, ni sabre, ni coutelas ; il était vêtu d’un long habit noir, et coiffé d’un chapeau à larges bords de couleur pareille.
— Sacredieu ! dit le capitaine Kennedy, c’est un bon vivant, et gai ; voilà ce que j’aime ; on ne fera pas de mal à mon ami, Monsieur le capitaine Knot, qui est habillé de façon si réjouissante.
M. Knot s’inclina, en faisant des momeries silencieuses.
— Amen, fit M. Knot. Ainsi soit-il.
Les pirates firent des cadeaux à M. Knot. Ils lui offrirent trente moidores, dix rouleaux de tabac du Brésil, et des sachets d’émeraudes. M. Knot prit très bien les moidores, les pierres précieuses et le tabac.
— Ce sont des présents qu’il est permis d’accepter, pour en faire un usage pieux. Ah ! plût au ciel que nos amis, qui sillonnent la mer, fussent tous animés de semblables sentiments ! Le Seigneur accepte toutes les restitutions. Ce sont, pour ainsi dire, les membres du veau, et les parties de l’idole Dagon, que vous lui offrez, mes amis, en sacrifice. Dagon règne encore dans ces pays profanes, et son or donne de mauvaises tentations.
— Bougre de Dagon, dit Kennedy, tais ta gueule, sacredieu ! prends ce qu’on te donne, et bois un coup.
Alors, M. Knot s’inclina paisiblement : mais il refusa son quart de rhum.
— Messieurs mes amis, dit-il…
— Gentilshommes de fortune, sacredieu ! cria Kennedy.
— Messieurs mes amis gentilshommes, reprit M. Knot, les liqueurs fortes sont, pour ainsi dire, des aiguillons de tentation que notre faible chair ne saurait point supporter. Vous autres, mes amis…
— Gentilshommes de fortune, sacredieu ! cria Kennedy.
— Vous autres, mes amis et fortunés gentilshommes, reprit M. Knot, qui êtes endurcis par de longues épreuves contre le Tentateur, il est possible, probable, dirai-je, que vous n’en souffrez point d’inconvénient ; mais vos amis seraient incommodés, gravement incommodés…
— Incommodés au diable ! dit Kennedy. Cet homme parle admirablement, mais je bois mieux. Il nous mènera en Caroline voir ses excellents amis qui possèdent sans doute d’autres membres du veau qu’il dit. N’est-ce pas, Monsieur le capitaine Dagon ?
— Ainsi soit-il, dit le Quaker, mais Knot est mon nom.
Et il s’inclina encore. Les grands bords de son chapeau tremblaient sous le vent.
Le Corsaire jeta l’ancre dans une crique favorite de l’homme de Dieu. Il promit d’amener ses amis, et revint, en effet, le soir même, avec une compagnie de soldats envoyés par M. Spotswood, gouverneur de la Caroline. L’homme de Dieu jura à ses amis, les fortunés gentilshommes, que ce n’était qu’à l’effet de les empêcher d’introduire en ces pays profanes leurs tentatrices liqueurs. Et quand les pirates furent arrêtés :
— Ah ! mes amis, dit M. Knot, acceptez toutes les mortifications, ainsi que je l’ai fait.
— Sacredieu ! mortification est le mot, jura Kennedy.
Il fut mis aux fers à bord d’un transport pour être jugé à Londres. Old Bailey le reçut. Il fit des croix sur tous ses interrogatoires, et y posa la même marque que sur ses quittances de prise. Son dernier discours fut prononcé sur le quai de l’Exécution, où la brise de mer ballottait les cadavres d’anciens gentilshommes de fortune, pendus dans leurs chaînes.
— Sacredieu ! c’est bien de l’honneur, dit Kennedy en regardant les pendus. Ils vont m’accrocher à côté du capitaine Kid. Il n’a plus d’yeux, mais cela doit bien être lui. Il n’y avait que lui pour porter un si riche habit de drap cramoisi. Kid a toujours été un homme élégant. Et il écrivait ! Il connaissait ses lettres, foutre ! Une si belle main ! Excuse, capitaine. (Il salua le corps sec en habit cramoisi.) Mais on a été aussi gentilhomme de fortune.
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Robert-le-Diable - Deux générations naissent chaque année. La première génération émerge sous forme d'imago entre mai et juin et la seconde entre juillet et août, hiverne dans la végétation, puis réapparaît aux premier rayons de soleils en février, jusqu'en avril. Les imago de première génération ont les ailes fauves orangées alors que ceux de seconde génération ont les ailes plus rouges.
Lieu : Chez moi, Hauts-de-France
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puchkinalit · 1 year
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Swan Song T.2
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Dans ce second tome de la duologie Swan Song, nous retrouvons Swan, Josh et Rusty sur les routes sept ans après les événements du premier volume. Paul et Sister porteuse de l'anneau magique qui les dirigent vers Swan. Le colonel Macklin et Roland à la tête d'une armée qui distribue la mort sur son passage. Beaucoup de survivants dont Sister et Swan sont atteint d'une maladie (le Masque de Job), une sorte de carapace qui leur recouvre peu à peu le tête jusqu'à les rendre aveugles. Et le Diable qui continue à jouer le marionnettiste... Un tome aussi passionnant que le premier. Des gentils qui meurent, des méchants très méchants, une messie qui va sauver le monde... De la fiction pulp mais McCammon sait raconter une histoire qui tient la route et en haleine et c'est tout ce qu'on lui demande.
8/10
Swan Song T.2 : La glace et le feu / Robert McCammon.- Monsieur Toussaint Louverture.
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