Tumgik
#Sous-marins
carbone14 · 1 year
Text
Tumblr media
USS Caiman (SS 323) au large du chantier naval de Mare Island – Vallejo – Californie – États-Unis – Printemps 1951
©United States Navy
59 notes · View notes
b-o-t-t · 7 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
185 notes · View notes
kimbapisnotsushi · 1 year
Text
haikyuu is about learning to love yourself
160 notes · View notes
game-of-kinks · 1 year
Text
Tumblr media
Cordes sous-marines Les cartes sont sur @tire-une-carte / The cards are at @play-my-game
46 notes · View notes
petitmonsieur1 · 9 months
Text
Tumblr media
Coquillages
9 notes · View notes
Do you would ride the Seabob ???
21 notes · View notes
sinvulkt · 1 month
Text
Find the english version here.
Nemo arracha le fusil des mains du naufragé hébété et tira. Une fois, deux fois. Les balles ricochèrent sur la peau du monstre, sans lui faire le moindre mal. L’anguille secoua la tête comme pour se débarrasser d’un fourmillement désagréable, puis se précipita sur le naufragé que Nemo venait de désarmer. L’homme n’eut pas le temps de pousser un seul cri qu’il avait disparu dans la gorge de la créature.
Nemo recula d’un pas, le cœur battant à tout rompre. Blaster et Humility devaient s’approcher de la plage maintenant, sans avoir remarqué qu’il s’était arrêté pour distraire le monstre. Bientôt, ils auraient atteint le navire et Nemo pourrait courir à son tour, ou l’anguille serait morte. Il rengagea son fusil.
Un œil vicieux et rempli de haine le fixait, le défiant de lui tirer dessus. Nemo l’obligea.
Le coup parti, touchant la créature sur la peau tendre près de la paupière. Le monstre se tordit de douleur. Les arbres tressaillirent sous la puissance des coups, semblables à un tremblement de terre. Le sol semblait se dérober sous chacun des pas de Nemo, le faisant trébucher alors qu’il tentait de s’éloigner du son assourdissant. Un bourdonnement continu emplit ses oreilles.
Il n’eut pas le temps de reprendre son équilibre que, folle de rage, l’anguille ouvrit grand la gueule et se jeta sur lui. Le talon de Nemo se coinça dans les racines d’un arbre, et son fusil partit valser dans la nature. Un souffle chaud caressa son visage,  fétide rappel que le monstre se rapprochait. Les secondes s’écoulèrent lentes et rapides à la fois tandis que Nemo s'acharnait en vain à déloger son pied. Il se rendit finalement à l’évidence : il ne pourrait pas esquiver.
Utilisant son seul recours, il leva le pistolet qu’il avait gardé à sa taille et tira de nouveau. Et encore. Et encore. Sans effet. La gueule restait grande ouverte, tel un inarrêtable gouffre béant, quelque soit les coups qui la perçait. Il rechargea. Déjà le monstre se tenait à moins d’un mètre, le piège de ses mâchoires masquant la lumière du soleil. Puis, juste comme Nemo tira la dernière balle droit dans l’œsophage se précipitant sur lui, la créature fut parcouru d’une convulsion. 
Les mâchoires aiguisées de dents longues comme son avant bras se refermèrent autour de lui, le plongeant dans une pénombre totale. Nemo cligna des yeux, s’attendant à ce qu'à tout moment la gueule se referme, le broyant sous ses crocs ou l’étouffant dans l'acide gastrique. Mais, contre toute attente, le silence continua, pas même brisé par une respiration sifflante ou le flux et reflux de l’haleine fétide qui l’entourait.
Le monstre était mort.
Nemo essaya de soulever l’une des dents. La mâchoire était lourde et, profondément enfoncée dans le sol, elle ne bougea pas. Nemo se gaina. Ses pieds s'écartèrent, son bassin se baissa, ses muscles se tendirent et, d’un effort surhumain, il poussa. Un rayon de lumière récompensa ses efforts puis la gueule retomba, lourdement, l'entraînant avec lui. Nemo s’étrangla sur la poussière et l’atmosphère putride de la gueule. Les souvenirs de sa cellule à Kalpani lui chattouillèrent l’esprit. Pour chaque seconde qu’il passait dans ce piège cadavreux, il lui semblait devenir un peu plus claustrophobe. Porté par l’énergie du désespoir, il reprit ses efforts pour soulever la dent. Cette fois, la mâchoire s'entrouvrit, laissant une profonde traînée dans le sable. C’était juste assez pour que Nemo rampe au dehors, ce dont il ne se fit pas prier.
Il commençait à peine à se dégager quand il remarqua que la chair du museau était restée collée à ses doigts. Il secoua ses mains, en vain. Le museau tout entier y semblait accroché. Nemo tira de toutes ses forces, sans plus de résultat. Une pointe d'inquiétude crispa ses traits. Il appuya son pied contre la mâchoire pour plus d'appui et, lâchant un juron, tira au point de se déboîter l’épaule. La peau du monstre s’allongea comme un vieil élastique, déformant la tête triangulaire de l’anguille, mais elle resta obstinément accrochée. Aussitôt qu'il s'arrêta, pantelant et exténué, son bras s'enfonça avec un bruit répugnant dans la peau de la créature jusqu'au coude.
Sa main le brûlait. Nemo serra les dents contre la vague de douleur qui lui remontait le poignet. Il avait l’impression que le membre était plongé dans l’acide. Au vu du caractère surnaturel de la créature qui le coinçait, qui sait si ce n’était pas le cas. Nemo fixa la masse de chair grouillante qui s'étendait sur son bras. D’ici quelques minutes, elle aurait atteint l’épaule.
Son cœur se durcit. Il porta la main à sa ceinture et en tira son poignard, puis fourra le bas de sa chemise dans sa bouche. La lame, parfaitement aiguisée, entama la chair sans mal. Elle ne tarda pas à atteindre un nerf, lui arrachant un cri étouffé. Nemo serrait les dents si fort que sans la chemise suintant la sueur qu’il avait glissé entre ses mâchoires, il se serait déjà coupé la langue.
Un soudain pic de douleur au niveau de son pied l'arrêta dans son agonisante besogne et lui fit baisser les yeux. Le pied qu’il avait posé sur une des dents de la créature pour y prendre appui n’était plus posé, mais encastré. Une secousse de la cheville lui confirma ce qu'il craignait. Une goutte de sueur coula sur son front. Son pied était autant collé que son bras, comme si l’ivoir avait fondu autour de sa chaussure, et que cette dernière s'y enfonçait doucement. Déjà, une brûlure semblable à celle qui lui dévorait le poignet enflammait sa jambe.
Il ne pouvait plus sentir ni ses doigts, ni ses orteils.
Le poignard glissa mollement de sa main libre. Nemo fixait béatement ses membres se faire dévorer, avec l’impression de regarder la mort en face. Puis, pris d’une soudaine fureur fiévreuse, il se baissa pour récupérer sa lame, et ré-attaqua son épaule. Nemo ne craignait pas la mort. La plupart des gens qu’il avait aimé l'attendaient là, dans l’après vie, et mourir ne serait que les rejoindre. Mais si Nemo ne craignait pas la faucheuse, il ne se livrerait pas sans combat à elle pour autant; pas tant que la Compagnie existait impunément et que sa famille restait invengée.
C’était trop tard, bien trop tard. Nemo avait à peine entamé l’os que la masse grouillante recouvrait son poignard, puis son autre main. Que la chair étrange s’emparait de son entrejambe, son bassin, son torse. Que l’espèce de mousse rosâtre grimpait le long de son cou, puis de son visage, lui coupant la respiration. Nemo était immobile, paralysé dans cette prison organique qui semblait le digérer vivant.
La substance remonta contre ses yeux, le priva un à un du goût, de l’odorat, de la vue, de l'ouïe, du toucher. Tout n’était que brulure fourmillante et âcre, si étendue qu’il était incapable de dire si la sensation était réel, ou un écho de souvenir s’accaparant de son imagination. Nemo était totalement incapable de distinguer où se terminait son propre corps et où commençait la masse grouillante qui l'entourait. Il n’eut pas à s'en soucier bien longtemps. Après un ultime sursaut de conscience, le néant l'enveloppa.
------
Nemo se réveilla, la vue troublée.
Son esprit tournait au ralenti. Il se tenait à cette frontière entre éveil et sommeil, où l’on se souvient encore du surnaturel des songes et où on ne questionne pas l’absurdité de la réalité. Il lui semblait vaguement être mort, dévoré par le cadavre d’un gigantesque reptile, mais l’idée semblait si saugrenue qu’il lui était difficile de croire que tout cela était un souvenir, et non pas l’effet de quelques plantes hallucinogènes de l'île.
Il essaya de battre des paupières pour éclaircir sa vision, mais aucun muscle ne lui répondit. Son corps, lourd et engourdit, répondait par tressaillement. Nemo avait l’impression d’avoir les bras et les jambes coincés dans un immense sac, et il peinait à se mouvoir. Il parvint tout de même à tourner la tête. Une forme blanche et brillante ressemblant fort à un minuscule squelette humain se refléta dans ses pupilles.
Une sensation de picotement attira son attention. Nemo huma l’air salin, regrettant que le soleil soit si fort et qu’aucune paupière ne vienne protéger ses yeux. Il était parcouru de l’étrange certitude que les picotements correspondaient aux membres de son équipage, et que ces derniers avaient atteint la bordure de la mer. 
Son corps se mouva entre les arbres humides, l’instinct le guidant dans ses contorsions. Il ne questionna pas la taille étrangement réduite de la végétation, ou la sensation ténue de la terre qui craquait et glissait sous sa peau, ni ce nouveau picotement qui le guidait. L’attention embrumée du sommeil de Nemo était focalisée sur l’idée de retrouver sa cabine sur le Nautilus, et d’en finir avec cette île maudite.
Il atteint la plage et s'arrêta, perdu. Les picotements avaient cessé. Après un instant de recherche, il arriva à distinguer un point flou qui se déplaçait sur l’eau : une barque. Nemo ouvrit la bouche pour les appeler, mais seul un vrombissement grave en sortit. Quelques instants plus tard, des voix criardes et distordues surgirent de la barque, frappant ses tympans. Voyant que le point flou ne s’approchait pas, et, qu’au contraire, il s’éloignait de plus en plus vite, Nemo s’élança dans les vagues.
L’eau glissa délicieusement le long de son corps. Elle l’acceuillit comme on accueille un vieil ami, s’écoulant sans effort le long de son coup, de son torse, de sa queue. Elle remplit ses branchies, chassant l’air qui s’y était douloureusement coincé, et Nemo eut la sensation de respirer pour la première fois.
La confusion se mêla à l’effroi. Nemo n’avait pas de queue, il avait des jambes. Il n’avait pas de branchies, il avait des poumons. Et il n’avait jamais, au grand jamais, nagé aussi vite.
Une décharge cent fois plus forte que les picotements qui l’avaient guidée plus tôt déferla sur son cerveau. C’était comme si une lanterne de la forme du Nautilus était apparue devant ses yeux, l’appelant comme la torche attire l’insecte. Nemo se précipita sur la zone ressemblant au pont, espérant trouver l’écoutille. Il y trouva un cri d’effroi. La naufragée qui les avait aidés un peu plus tôt affichait une expression de terreur en le regardant.
La confusion l’empli de nouveau.
C’est moi, Nemo !
Un grondement fut le seul son qui s'échappa de sa gorge. La naufragée se carapata et disparut à l’intérieur du vaisseau. Peu de temps après, le son familier des moteurs du Nautilus remplit ses oreilles. 
Un pincement désespéré lui tordit le cœur. Ils allaient partir sans lui. 
Le nautilus est à moi !
Son corps réagit de lui-même. Avant qu’il ne le réalise, Nemo s'était enroulé fermement autour du Nautilus, son long corps sinueux . Il lui vint à l’esprit que si le Nautilus était si petit, et lui si grand, jamais il ne pourrait passer par l’écoutille. Et pourtant il pouvait se voir sans mal tendre les bras, faire tourner la roue qui scellait la porte, puis se glisser à l’intérieur de l’échelle qui le mènerait à son navire. 
Sa tête se colla à la baie vitrée qui constituait le devant du sous-marin. Plusieurs taches de couleurs le fixaient, sans bouger. 
Je suis votre capitaine !
L’un d’entre eux s’activa soudainement, se précipitant vers la zone contenant les balais de commande. Le bouclier se mit en mouvement avec un crissement effroyable qui vrillait les tympans. Nemo s'écarta du son horrible d’un coup sec, permettant ainsi au bouclier de se refermer. Il fixa le métal un instant, choqué de l’impudence de son équipage, sa queue toujours possessivement enroulée autour du reste du navire. 
C’est alors qu’il remarqua le reflet qui s’affichait dans la surface polie. La créature qui le dévisageait n’avait ni cheveux, ni barbe, ni oreilles. Elle n’avait pas de bras ou de jambes, juste un long cou sinueux couvert d’écailles qui se perdait dans l'océan. C’était la tête triangulaire d’un monstre sans visage, semblable à celui qu’il avait abattu un peu plus tôt.  
Des années plus tôt, durant ses longs mois d’emprisonnement à Kalpani, il avait déposer son nom auprès de la tombe immatérielle de sa femme et sa fille, et s’en était choisit un nouveau. Un nom qui le séparait de l’agonie du passé. Un nom qui promettait de consacrer sa vie à son vœu de vengeance.
Nemo…
Le nom latin dont il avait été si fier lui semblait ironique désormais. Après tout, qui prendrait le temps de considérer la nature humaine d’un monstre marin ? Désormais, aux yeux du monde, il était réellement “Nemo”.
Personne.
2 notes · View notes
zerrulon · 4 months
Text
Tumblr media
5 notes · View notes
yaoigoddess9158 · 2 months
Text
Ohh I can’t watch…
Tumblr media
Auguajfhwjnfjwghhhhhhhhh
Alsooooooooooooooo
4 notes · View notes
philoursmars · 6 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Il y a 3 semaines, je suis allé à Calais avec un copain, Philippe.
Les statues se suivent et ne se ressemblent pas : un corsaire, l'Ange du destin tentant de sauver des sous-mariniers et, omniprésent dans la ville, De Gaulle.
3 notes · View notes
vyragosa · 10 months
Text
Tumblr media
MDRRRRRR je savais, je savais non mais la fatigue j'arrive pas à y croire que le subreddit peut être aussi CHIANT à tous les niveaux "on veut des théories"
"je vois des arbres" "je crois bien que louise n'est pas pas louise"
HEIN? QUE?
Tumblr media
6 notes · View notes
carbone14 · 7 months
Text
Tumblr media
Sous-marin britannique de la classe T HMS Tribune dans les eaux écossaises – Septembre 1942
Photographe : Bryson Jack - Ministry of Information official photographer
©Imperial War Museums - TR 589
14 notes · View notes
b-o-t-t · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
jeanfrancoisrey · 1 year
Text
Tumblr media
Pour visiter l’épave du Titanic…
9 notes · View notes
game-of-kinks · 1 year
Text
Tumblr media
Cordes sous-marines
Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte
Bon jeu !
18 notes · View notes
lichen-soup-scribe · 9 months
Text
Tumblr media
boiled bingus
6 notes · View notes