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#ami intérieur
hcdahlem · 1 year
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Le gardien de l'inoubliable
Dans son nouveau roman Marie-Laure de Cazotte imagine un jeune homme quittant la Bretagne de son enfance pour Paris où il se passionne pour l'œuvre d'un sculpteur. Jusqu'au jour où il relève quelques incohérences dans les documents.
  En deux mots Tristan est un garçon a l’imagination fertile. Après le départ de ses amis au Japon et en Australie, il ramasse un galet, «le gardien de l’inoubliable» pour qu’ils continuent de l’accompagner. Après son bac, il quitte la Bretagne pour Paris et une galerie d’art où il se passionne pour un artiste disparu et va découvrir les secrets de son œuvre. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma…
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gay-impressionist · 11 months
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J'ai vu Le soldat rose 😌🩷
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lisaalmeida · 4 months
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Que recherchons-nous à travers nos relations, rencontres et échanges ?
Quel est le sentiment que nous désirons ardemment éprouver, tout au long de notre vie ?
L’amour est évidemment la réponse à toutes ces questions.
L’amour est ainsi le principe et la source de toute vie, sans quoi rien ne pourrait exister ni subsister.
L’amour est la force qui fait tourner les mondes, l’énergie qui maintient la cohésion des atomes comme des planètes.
L’amour est au cœur des mystères que nous sommes venus appréhender et expérimenter sur cette Terre.
Chacun ressent et pressent, même confusément, que l’amour vrai est la clé et la solution de tous nos maux, individuels et surtout collectifs, économiques, politiques et sociaux.
Mais l’amour véritable n’est pas acquis d’emblée : il est à rechercher, ressentir, découvrir.
Il n’est ni instinct de possession, ni dépendance fusionnelle, ni suivisme grégaire, car il émane de soi.
Il est le résultat de l’alchimie intérieure, le fruit de la reconnexion à l’être essentiel et à la puissance de vie.
L’amour est la joie d’être, le signe d’une conscience éveillée et lumineuse, un présent accordé, offert et partagé.
L’amour est ce que nous sommes éternellement, en dépit de nos souffrances, illusions et désillusions et parfois grâce à elles ; il est notre état naturel, notre aspiration à une vie riche, fascinante, magique, inattendue, utile et initiatique.
L’amour est partout, omniprésent et protéiforme ; il se pare de toutes les couleurs et de toutes les fréquences, et se manifeste de multiples manières : amour du compagnon ou de la compagne, des amis, des enfants, des animaux, de la nature, de la beauté, des œuvres de l’esprit…
Mais c’est la relation amoureuse qui se révèle son territoire de prédilection, car alors le sentiment se mêle au désir, à la sensualité et à l’attraction des corps, lieu de toutes les convoitises, de tous les délires et de toutes les extases.
Ce que l’on nomme amour est rarement digne de ce nom : l’amour qui blesse et qui déchire, qui conquiert et qui rompt, qui domine et qui soumet, qui idolâtre et qui méprise, n’est qu’une caricature égotique, une maladie infantile du cœur, un balbutiement du sentiment.
L’amour qui prend fin n’a jamais existé ; l’amour qui se meut en haine ou indifférence, n’était qu’illusion, transfert, projection, malentendu.
Les relations évoluent et donnent souvent lieu à séparation, éloignement, divergence. Mais comment peut-on rejeter, nier ou diaboliser l’être que l’on a tenu tendrement dans ses bras, si ce n’est précisément à cause de la douleur créée par son absence ?
L’amour véritable est patient, sincère, honnête et compréhensif ; il se nomme bienveillance, bonté, compassion, douceur, tendresse, sollicitude ou empathie.
De la nature de l’amitié, il dure la vie entière, car il n’est pas fondé sur l’image ou les apparences, mais sur les liens invisibles et mystérieux qui unissent les âmes et les cœurs.
Aussi le chemin de l’amour, que tous nous empruntons à notre manière, est-il un apprentissage, qui mène de l’égoïsme à l’altruisme, de l’aveuglement à la connaissance, de la consommation au partage, de la prédation au don.
L’amour est éternel car il est spirituel ; il est la joie libre du cœur qui s’est ouvert ; il ne sait que grandir, fleurir et embellir.
L’amour est si puissant qu’il se joue des barrières, frontières, critères, normes et interdits.
Car l’amour est libre et il souffle où il veut ; il ne peut être contraint, obligé ou mis en cage ; l’autre ne nous appartient pas et l’emprisonner, ce n’est pas l’aimer.
L’amour ne donne ni droits, ni devoirs ; il est une extraordinaire opportunité de vivre des moments merveilleux et magiques, une chance à ne surtout pas laisser passer.
Et si l’amour était sagesse, philosophie éminemment subtile, art et science oubliés, à retrouver, découvrir, réinventer ?
L’amour est un défi. Saurons-nous y répondre ?
LA SAGESSE AMOUREUSE
Yann Thibaud
Extrait de «L'Alchimie émotionnelle ou la métamorphose du coeur»
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jeanchrisosme · 1 month
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Le premier amour vous apprend à connaître ce qu’est aimer, l’illusion, les châteaux dans l’air et à croire que les contes de fées sont possibles. Cela vous apprend aussi le chagrin d’amour, la déception et croire qu’il est possible de mourir d’amour. Ahh mais Le dernier amour ! c’est autre chose ! C’est un autre niveau. Le dernier amour est celui qui vient pour rester jusqu’au bout du chemin. Celui qui t’aide à avancer de sa main, celui qui t’apprend un véritable dévouement, t’apprend la tolérance, la patience, le soutien inconditionnel. Le dernier amour est ton compagnon de rires et de pleurs, de joies et de peines, c’est ton complice, ton ami, ton amant. C’est celui qui ne tombe pas amoureux de ta jeunesse, ni de ta beauté, qui voit le temps se refléter sur ton visage, ton corps, tes cheveux et qui continue à te voir comme la huitième merveille de ce monde parce qu’il aime ton être intérieur, aime ton âme. Le dernier amour t’apprend que l’amour n’est pas fini, qu’il se transforme simplement.
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kittynannygaming · 23 hours
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[Nuit de l'Écriture] 21/09/2024
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Apparemment, ce coup-ci, ce fut une spéciale Dead Boy Detectives et plus particulièrement Charles Rowland. AO3 ou ⬇️ (Very Short Stories, you can use Google Translation if French is not your language)
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NUIT DE L’ÉCRITURE 21/09/2024
01- Ce n’est pas humain – Dead Boy Detectives – 246 mots
« Ce n’est pas humain ! » se plaint Charles, exténué. Edwin le regarda, exaspéré
« Évidemment, c’est un Chien de Garde des Cimetières, Charles. »
« Oï ! Tu sais ce que je voulais dire ! Et ce n’est pas un Chien de Garde des Cimetières. C’est un Chiot de Garde. » Charles regarda le chiot au pelage noir qui était assis à ses pieds. « Qui c’est le gentil toutou ? Qui c’est ? »
« Tu sais qu’on ne peut pas le garder ? » Charles prit le chiot dans ses bras et colla son visage à celui du canidé.
« Mais regarde comme il est mignon… » Edwin était à deux doigts de craquer mais il ne pouvait pas.
« Un compromis alors. Nous viendrons le voir tous les jours si notre emploi du temps le permet et tu pourras jouer avec lui. »
« Génial ! Tu entends ça Max ! On va venir te voir tous les jours ! Mission accomplie ! Qui sait, peut-être Edwin trouvera un compagnon à son goût parmi tes amis, hein ? »
« Ses… amis ? » Edwin se retourna vers la direction que Charles pointait avec sa tête. Des dizaines, des CENTAINES de chiots et chiens en tout genre se tenaient là. « Gentils chiens ? » bafouilla t-il.
Et là, se fut la débâcle. Edwin fut littéralement assaillit par une armée de chiens cherchant les câlins et Charles ne fit que s’esclaffer.
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02- Ta réalité n’est pas la mienne – Dead Boy Detectives – 167 mots
Kashi était un modèle de patience et il trouvait la plupart des gens qu’il avait rencontré amusants. Mais cette femme au caractère bien trempé le faisait rire intérieurement.
« Pourquoi tant de rage ? Rien de bien ne vous arrivera dans cet état. »
« Je dois sortir de ce fichu poisson et retourner trouver ces petits morveux pour qu’ils puissent aller où ils sont censés être. »
« Est-ce que ça troublerait à ce point l’Univers s’ils restaient où ils sont ? »
« Chaque chose à une place dans l’Univers, chaque personne une place dans l’au-delà. C’est la réalité des choses. »
« Ta réalité n’est pas la mienne. L’Univers ne va pas succomber et disparaître parce que deux âmes ont décidé de rester sur Terre. » La Veilleuse de Nuit de l’Au-Delà ne répondit pas. Chaque chose avait une place, chaque âme avait un au-delà, c’était le mantra qu’elle se répétait depuis son décès. Si elle n’avait même plus ça, que lui restait-il?
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03- Rencontre avec une divinité – Dead Boy Detectives – 193 mots
Crystal était surprise. Devant elle se tenait Lilith. Après Port Townsend, elle s’était renseigné autant qu’elle put sur elle. Lilith, la première épouse d’Adam, soit-disant une tueuse d’enfants selon les religions traditionnelles. Une déesse de l’indépendance, LA déesse selon la Wicca Moderne.
« En quoi puis-je vous aider ? » demanda la voyante en laissant entrer la divinité.
« Ton plaidoyer, à Port Townsend, a été assez révélateur pour moi. Les temps ont changé. J’ai décidé d’être plus pro-active. Mais j’aimerais quelqu’un qui puisse m’aider dans ma quête. Quelqu’un qui comprenne ce qu’est être une femme à cette époque. » Crystal fit de gros yeux.
« Vous voulez dire, moi ? Vous êtes sûre ? » Lilith sourit.
« Oui. Et en échange, je m’occuperais de ce petit démon dans ton esprit. »
« Vous pouvez l’enlever ? Et il ne fera plus de mal à personne ? » Lilith émit un petit rire.
« N’as-tu pas entendu ? Je suis la mère des Démons et j’en laisse 100 mourir chaque jour. Quelle terrible mère je suis. » Crystal se demandait si elle allait regretter cet accord. L’avenir lui ferait voir que non.
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04- Le cycle de l’abus – Dead Boy Detectives – 289 mots
Charles Rowland n’avait pas toujours été le «muscle de service». En fait, en voyant les photos de ces jeunes années, Charles était un adorable bambin toujours souriant, gentil comme pas deux et absolument contre toute forme de violence.
Puis, vers l’année de ces 8 ans, tout changea. Son père avait perdu son emploi dans l’industrie et il fut très difficile pour lui de retrouver un emploi dans ce secteur. Sa mère avait eu plus de chance, travaillant dans une cantine scolaire. Son père avait donc commencé un cycle infernal d’abus, d’abord verbal puis physique.
Charles avait donc dû apprendre à encaisser les coups, puis à en donner. Il aurait pu devenir abusif, comme son père mais Charles ne voulait pas être comme lui. Alors, ses poings, c’était contre d’autres brutes. Jamais contre des innocents. Cela lui a valu de mourir à 16 ans, mais cela en valait la peine.
Cela en valait la peine quand il vit sa mère finalement dire à son père ses 4 vérités. Ils resteraient mariés mais l’amour était mort en même temps que leur fils. Cela en valait la peine quand il rencontra, 10 ans après, le jeune pakistanais avec sa fille, son premier enfant, qu’il avait nommé Charlotte. Le jeune homme était un professeur et avait fondé une association qui venait en aide aux enfants victimes d’abus, que ce soit à la maison ou à l’école.
Edwin ne comprit pas la raison pour laquelle Charles l’enlaça pendant 5 bonnes minutes après être revenu de sa sortie mais il n’allait pas s’en plaindre. Il n’apprendrait la vérité que bien plus tard. Le cycle de l’abus était vicieux mais il pouvait être rompu. Un jour, peut-être, l’abus ne serait que de l’histoire ancienne.
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05- Partir ou rester - Dead Boy Detectives - 262 mots
Partir avec la Mort ou rester avec le garçon qui lui avait permis de vivre ses dernières heures le plus gentiment possible ? Pour Charles, la question ne se posait même pas. Edwin était un garçon socialement maladroit qui avait probablement dû se débrouiller seul la majeur partie du temps tout en essayant de se conformer à une façon d’être qui n’était pas la sienne. Bref, Edwin avait besoin de Charles. Et en plus, il n’était pas vraiment pressé d’aller dans l’au-delà. Il n’était pas vraiment croyant (quelque soit la religion) donc les promesses de paradis éternel et tout ça, il n’en avait rien à faire.
« Donc, c’est ici que tu vis ? » demanda Charles.
« C’est exact. J’étudie tout ce qui à trait à l’occulte. J’espère ouvrir une agence de détectives. »
« Une agence de détectives ? »
« Oui, pour aider les âmes qui restent coincés à cause d’affaires non finies. Où les cas comme le mien. » Edwin lui avait parler de son cas. Raison de plus pour rester avec lui.
« C’est cool. Je serai les muscles, tu seras le cerveau. Hey ! Ce sac a l’air cool ! »
« Techniquement, c’est un sac magique sans fond mais je n’arrive pas à le faire fonctionner correctement. Il est à toi si tu y arrives. »
« C’est cool ! Merci, je vais m’y mettre de suite. » Et effectivement, il lui fallut peu de temps pour s’approprier le sac. Même après 35 ans ensemble, Charles savait qu’il avait pris la meilleure décision en restant.
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philoursmars · 27 days
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J'essaie de rattraper mon retour : ces photos datent de fin juillet, lors de la visite de mon ami breton, Christian (ici en ange) !
Marseille. Le quartier du Panier, vers la Place des Treize Cantons, où se trouve un boulodrome intérieur. On y apprend aussi un peu de langue marseillaise (chaler quelqu'un c'est le prendre sur son vélo) !
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Au cours des deux derniers mois, j'écris et publie chaque semaine un essai sur mon blog. Ce n’est pas long, mais j’en ressens déjà l’impact. J'ai décidé de donner un nom à ce processus : Psychologie Productive. Qu’est-ce que je veux dire exactement par là ?
1) Pratiquer la « psychologie productive » signifie explorer mon psychisme en créant et en partageant du contenu.
2) J'utilise mon expérience du processus et mes retours pour ajuster le cours.
3) La curiosité, la vérité et la beauté sont mes principales vertus dans ce voyage.
Écrire mes pensées n’est pas nouveau pour moi ; Je tiens des journaux et des notes numériques depuis toujours. Mais celles-ci étaient privées et occasionnelles. Le fait de respecter un calendrier (auto-imposé) et de publier du contenu publiquement ajoute de nombreuses couches. Je souhaite utiliser cet article pour partager les six couches que j'ai identifiées jusqu'à présent et explorer ce qu'elles signifient pour ma vie quotidienne. Exploration de soi cohérente. Pour trouver du contenu précieux, je dois regarder à l’intérieur. Les questions utiles sont : Qu'est-ce qui m'a ému cette semaine ? Pourquoi? Qu'ai-je appris ? Comment puis-je le mettre en œuvre ? Mettre ses pensées par écrit leur impose une structure et nécessite une attention particulière. Les deux aident à approfondir la compréhension et facilitent une « posture » intérieure. Insister sur le temps pour réfléchir et écrire. La vie est bien remplie et on n’a jamais assez de temps pour s’occuper de tout. Faire monter quelque chose dans la hiérarchie de l’attention signifie simultanément faire descendre quelque chose d’autre il y aura de la résistance. La négociation de cette hiérarchie avec moi-même, mon partenaire et mes amis est un défi permanent. Face à cela, il est nécessaire de publier chaque semaine. Examen de la vie auteur ???
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tealviscaria · 3 months
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@vinstinx
Okay, donc j’ai réfléchi sur le parallèle entre Manifeste d'Orelsan et The Art of Peer Pressure de Kendrick. C’était assez difficile de trouver comment s’y prendre. Comme tu l’avais dit, il n’y a pas vraiment un lien très concret dans les paroles que je pourrais montrer juste comme ça et dire – ah ! ça se ressemble, vous voyez 👉 !!
Je sais pas de quoi Amin et Hugo ont discuté, alors j’espère que je vais pas répéter les mêmes trucs :D Je suis pas sûre si ce que j'ai écrit soit trop prétentieux ou au contraire complètement osef, mais let’s gooo :
1) Le cadre narratif
Tous les deux sont en train de décrire une histoire alors évidemment y’a des procédés similaires de narration. Mais en même temps ils différent tellement dans le fond de l’histoire que je trouve toutes les similarités assez superficielles. Ou pas superficielles, mais juste pas très surprenantes, vu qu’il serait difficile de les éviter.
Par exemple, ils mentionnent tous deux l’heure qu’il est, ils intègrent l'agitation de l'environnement dans la musique (sirènes de police, etc.).
Mais 2) Le fond
Le raisonnement me semble totalement opposé. La façon dont Orel abord l’histoire est beaucoup plus individualiste que celle de KDot. Et ça a du sens, parce que KDot parle de la peer pressure, ce qui implique que ses potes sont décrits comme une masse (même si la description est vraiment concrète et détaillée !) – ils se contrôlent les uns les autres. Il y a un seul point de vue (the homies) contre ses pensées intérieures.
En revanche, dans Manifeste y’a littéralement une foule mais en même temps il me semble que chacun fait ce qu’il veut et il n’y a vraiment personne pour les unir. Je trouve ça intéressant que dans TAoPP, ils ont un langage commun (« speakin' language only we know ») tandis que dans Manifeste lui et Mathilde ne s’écoutent pas (« J'me sens agressé, j'y mets d'la mauvaise foi/ J'dis deux-trois trucs un peu réac', elle m'ignore, elle fait des snaps »). Oui, il s’entend bien avec Mickey mais seulement sur les choses du passé. Y’a pas vraiment du progrès.
Et donc, la communication collective peut pas vraiment mener à l’action contrairement à TAoPP où le langage est capable d’être persuasif et convaincre KDot à aller contre ses principes.
Dans Manifeste, je trouve que c’est l’action elle-même qui pousse à l’action d’autre. Alors certainement, c’est par la parole de France qu’il se sent convaincu. Cependant, je pense pas qu’il s’agit d’une communication ordinaire où les deux parties sont des participants actifs. Plutôt qu’une communication, je le vois vraiment comme si Orel observait France travailler, souffrir, se battre avec le système etc. – c’est finalement pas un débat, mais comme s'il était un témoin, un fantôme à côté d'elle. Les actions de France qu’il voit le persuade.
Bref :
TAoPP – collectif, les idées de KDot vs. les actes de ses amies (mais tout le monde se comprend)
Manifeste – individualiste, tout le monde a ses propres idées (ils se comprennent pas mais quand même pensent qu’ils ont le même but)
3) La fin
Pour moi, les deux chansons nous laissent au plus haut point de la crise. Beaucoup de choses merdiques se sont déjà produites mais je pense que ce n’est qu’après la fin qu’on arrivera à un point vraiment critique. C’est-à-dire, ce sera le point où on devra faire face aux conséquences de l’explosion, pour ainsi dire.  
Je sais pas si c’est pas trop tiré par les cheveux, mais j’ai envie de dire que les chansons suivantes (dans les albums respectifs) continuent de manière similaire, dans l’esprit au moins. D’après moi, Money Trees et L’odeur de l’essence ont toutes les deux décidé de prendre du recul. Et c'est à partir de ce point de vue omniscient, d'en haut, qu'ils veulent résoudre les problèmes des chansons précédentes (ou juste méditer et réfléchir aux prochaines étapes).
4) Autres
T’as mentionné les paroles « me and the homies » et « j’suis dans la manif ». Je sais pas exactement à quel aspect t’as pensé, mais j’y vois surtout une ressemblance par rapport au rythme/son. « Me and the homies » comme « j’suis dans la manif » ont tous deux 5 syllabes, et même les voyelles dans chaque syllabe se ressemblent : schéma très approximatif [i]-[a]-[a]-[a]-[i] (je connais IPA et je pourrais le transcrire phonétiquement hein, mais ptet les sons sont plus évidents comme ça lol).
Voilà, c’est tout :D
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aurevoirmonty · 10 months
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"Lorsque après de telles journées le soldat du front traversait les villes de l’arrière, en colonnes grises et muettes, voûté, dépenaillé, sa vue parvenait à figer sur place l’insouciant train-train des écervelés de ces lieux. “On les a sortis des cercueils”, chuchotaient-ils à l’oreille de leur bonne amie, et tous ceux qu’effleuraient le vide des yeux morts se mettaient à trembler. Ces hommes étaient saturés d’horreur, ils eussent été perdus sans l’ivresse. Qui peut mesurer cela ? Un poète seul, un poète maudit dans le voluptueux enfer de ses rêves."
Ernst Jünger, Le Combat comme expérience intérieure (1922)
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hurtbrokenheart · 5 months
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Ça a été difficile comme période car je n'en ai parlé à personne. Par honte? Dégoût? Peur? Je ne sais pas. Mais ça a été d'autant plus difficile seule face à moi même que si j'avais été entouré...j'imagine ?
L'anorexie ça a été horrible et pourtant il m'arrive parfois... bon ok souvent, de souhaiter y retourner. C'est malsain l'anorexie, c'est une copine de vie. Tu as l'impression d'avoir quelque chose sur lequel te concentrer, quelque chose à contrôler. Tu t'y attaches. J'ai souhaité retrouver ce corps maigre et affaibli que pourtant je détestais.
Mais cette copine de vie, elle ne t'apporte pas que de la compagnie. J'ai souhaité retrouver ce corps mais je n'ai jamais souhaité retrouver celle que j'étais intérieurement. Cette copine là, elle prends beaucoup trop de place ; il ne faut vivre que pour elle sinon elle te tabasse.
Je ne souhaiterais jamais retourner à l'époque où je tombais de faiblesse dans les escaliers, où tenir une fourchette était déjà un crime, où je me privais de faire des sorties pour ne pas être tenté, l'époque où je comptais mes repas et mes calories. L'époque où je me pesais 5, 10, 15 fois par jour ; et que je pleurais, détruite par les regrets d'avoir craqué la veille. L'époque où je m'habillais large pour disparaître, où je devais boire ce yaourt au goût infect. Où quelques grammes en trop rimait avec jeûner pendant plusieurs jours. Plus de cinéma, de resto, de repas en famille, de fête. Je ne voudrais plus jamais de cette vie. L'anorexie c'est une horrible voix dans ta tête qui te hurle constamment dessus, qui te félicite quand tu n'as même plus la force de marcher et qui te crache au visage quand tu manges un croc de plus que prévu dans une simple pomme.
J'ai dit au revoir à cette amie, elle m'a accompagné pendant tant d'années pourtant. J'ai détesté reprendre quelques kilos, j'ai détesté voir la forme de mes hanches s'arrondir, mes règles revenir, chacune de mes côtes disparaître.
Mais, je préfère apprendre à m'aimer en ayant une vie que je peux vraiment savourer à pleine dent plutôt que me détester sans pouvoir vivre vraiment.
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corinneecrivaine · 9 months
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KIT TANTHALOS
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Hello la famille Willow,
J’ai voulu analyser en profondeur le personnage de Kit.
Elle a vécu dans l’insouciance, ignorant tout du monde extérieur, dans un univers de privilèges mais aussi de fausses vérités et de tromperies.
C’est un personnage submergé par une souffrance intérieure dans la seule façon de l’exprimer et la colère. Tous ceux qu’elle aime la blessent et lui mentent. A commencer par son père dont son départ lui laissera une cicatrice de l’âme et des questions sans réponses.
Sa mère : la 1re à lui mentir déjà sur son passé. Kit ignore qu’elle était du côté de Bavmorda à vouloir tuer Elora avant de tomber amoureuse de Madmartigan et de combattre à ses côtés. Elle la force à un mariage et une vie qu’elle rejette tout en sachant qu’Elora vit dans le palais cachée. Je pense que pour Kit c’est le pire des mensonges qu’elle a eu dans sa vie.
Jade : Est la seule personne pour Kit chez qui elle trouve du réconfort, du soutien. Elle est en quelque sorte sa boussole morale. Elle n’est heureuse que lorsqu’elle passe tous ces moments à s’entraîner aux combats loin de ses obligations royales. Mais Jade la blesse à plusieurs reprises et de façons intentionnelles. La 1re fois c’est au village des Nelwyns lorsque tout le monde s’intéressent à Elora, Jade lui dit « Qu’est ce qui ne va pas quelque chose te dérange ? » avec un petit sourire moqueur. Kit se sent abandonnée au moment où Jade décide de suivre Willow et les autres à la recherche d’Elora. D’où sa décision de partir seule chercher son frère. Il y a aussi ce 1er mensonge de Jade, c’est lorsqu’elle lui dit « Je suis un Sujet de la reine. Elle m’a demandé de suivre Willow. » Sauf que Sorsha ne lui a jamais demandé ceci. Elle lui a demandé de veiller sur Kit. L’action qui la blesse le plus c’est lorsque Kit apprend que tous ses entraînements avec Jade n’étaient que mensonges en la laissant gagner à chaque combat. Arrivée chez les Bone Reavers, lorsque les deux amies découvrent les véritables origines familiales de Jade, Kit à ce moment précis pense qu’elle va la perdre. Je pense que même sans les prunes de vérité, elle lui aurait avoué ses sentiments. C’est aussi lors du discours de Scorpia que Kit apprend la vérité sur Tir Asleen et leurs actions envers les Bone Reavers. La scène où elle s’excuse auprès de Jade est tout un symbole car même si ce geste est fait dans le but de s’excuser d’avoir blessé Jade, c’est en fait, à travers Kit, toute la royauté de Tir Asleen qui s’excuse de ces années de mensonges et de tromperies.
Malgré que Kit soit un personnage impulsif, qui parle et agit sans réfléchir et sans tenir compte des conséquences de ses actes. Par exemple à The Immemorial City dos à dos avec Elora face à Dark Airk, alors qu’Elora essaie d’arranger la situation, elle rétorque « Et si nous refusons. » Elora l’arrête d’un simple regard.
Elle fini toujours par s’excuser, envers Graydon, envers Jade même envers Elora d’une façon détournée. Elle est prête à s’allier avec Elora et laisser de côté ses différends pour sauver son frère.
C’est un personnage loyal envers ceux qu’elle aime et incompris du fait de ses comportements qui pourtant pour elle semblent justes. C’est un personnage qui étouffe, emprisonné dans une vie qu’elle refuse. Lorsque son frère est kidnappé c’est l’occasion toute rêvée pour elle de partir à l’aventure. Je pense qu’elle aurait voulu partir seule avec Jade. Je me demande si Kit ne serait pas HPE sans filtres, laissant ses émotions prendre le dessus. En tout cas, sa colère n’est jamais tournée vers Jade.
I rewatched the series to analyze Kit's character in depth.
She lived a carefree life, unaware of the outside world, in a world of privilege but also of false truths and deception.
She's a character overwhelmed by inner suffering, and the only way to express it is through anger. Everyone she loves hurts her and lies to her. Starting with her father, whose departure leaves her soul scarred and with unanswered questions.
Her mother: the first to lie to her about her past. Kit doesn't know that she was on Bavmorda's side in wanting to kill Elora before falling in love with Madmartigan and fighting by his side. She forces her into a marriage and a life she rejects, knowing that Elora lives in the palace in hiding. I think for Kit it's the worst lie she's ever had in her life.
Jade: Is the only person for Kit in whom she finds comfort and support. She's her moral compass. She's only happy when she's away from her royal duties, training for battle. But Jade hurts her repeatedly and intentionally. The 1st time is in the Nelwyns village, when everyone is interested in Elora, and Jade says to her « You okay ? You just look a bit deranged » Kit feels abandoned when Jade decides to follow Willow and the others in their search for Elora. Hence her decision to set off alone in search of her brother. There's also Jade's 1st lie, when she tells her "I'm a subject of the Queen. She asked me to follow Willow." Except that Sorsha never asked her to do this. She asked her to look after Kit. The action that hurts her the most is when Kit learns that all her training with Jade was a lie, letting her win every fight. When they arrive at the Bone Reavers and discover Jade's true family origins, Kit thinks she's going to lose her. I think that even without the truth plums, she would have confessed her feelings to her. It's also during Scorpia's speech that Kit learns the truth about Tir Asleen and their actions towards the Bone Reavers. The scene in which she apologizes to Jade is quite symbolic, for although this gesture is made in order to apologize for having hurt Jade, it is in fact, through Kit, the entire royalty of Tir Asleen that is apologizing for years of lies and deceit.
Although Kit is an impulsive character, who speaks and acts without thinking or considering the consequences of her actions. For example, in The Immemorial City back to back with Elora against Dark Airk, as Elora tries to work things out, she retorts "And if we don't want to." Elora stops her with a look.
She always ends up apologizing, to Graydon, to Jade, even to Elora in a roundabout way. She's ready to ally herself with Elora and put aside her differences to save her brother. She is a character who is loyal to those she loves and misunderstood for her actions, which to her seem right. She's a suffocating character, imprisoned in a life she refuses to accept. When her brother is kidnapped, it's the perfect opportunity for her to set off on an adventure. I think she would have liked to go alone with Jade. I wonder if Kit wouldn't be HEP without filters, letting her emotions take over. In any case, her anger is never directed at Jade.
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Quelques trucs bien. Décembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Commencer à formuler des vœux 
Organiser un pré réveillon de nouvel an avec mon fils. Se régaler tout simplement 
Prendre soin de moi pour me sentir plus jolie et plus puissante 
Passer du temps avec mon petit M. à jouer, lui raconter des histoires, le nourrir et l’endormir 
Regarder un dessin animé à la télé. Retour de l’enfance 
Passer chaleureusement le réveillon de Noël à trois. Parler littérature et cinéma en dégustant un bon repas et du champagne. Cadeau de la vie 
Préparer le retour de maman à la maison, soupes, lessives et présence pour soins
Inviter une amie qui sera seule pour le réveillon de Noël. Lui laisser le choix de la solitude 
Finir de cacheter les enveloppes de Noël. Cette année offrir des mots en cadeaux 
Compter les jours avant le printemps et le retour de la lumière 
Pleurer, souvent et beaucoup, croyant vider la goutte d’eau qui fait déborder le vase 
Plus ou moins, tout m’est égal 
Aller voir la mer, apaisant le vague à l’âme 
Répondre positivement à une invitation. Pour une fois, le mois prochain en espérant que ça ira ce jour là 
Recevoir une boîte de chocolats de la part de stagiaire (adorable et enthousiaste) quand mes jeunes patients me répondent à longueur de journée dès que j’ai une demande : « qu’est-ce que tu me donnes en échange ? ». Gratitude, disais-je ? 
Compter les jours avant Noël et surtout les vacances
Rougir devant le pharmacien qui m’a accueillie en disant à la cantonade : « je vais me faire la dame », s’est peut-être rendu compte de sa maladresse, balbutie et oublie de me rendre mon ordonnance. Sourire intérieurement 
Rentrer le soir à la maison pleine de l’odeur des biscuits tout chauds et des épices : anis étoilé, cannelle, muscade et gingembre. Magie de Noël préparée par mes deux enfants pendant que mon petit M. somnole à la sieste 
Me réchauffer au soleil d’hiver sur la terrasse avec maman. Avoir moins froid dedans dehors. Sentir le chat chercher la caresse de l’une et l’autre 
Sentir que mon petit M. tête ma joue. Premier baiser 
Réconforter une collègue qui se culpabilise de ne pas en faire assez. Trouver les mots alors que je suis moi-même épuisée d’en faire trop 
Me réjouir de constater que maman a installé la crèche cette année. Preuve que l’amour familial la porte : pour son père qui a sculpté cette crèche il y a 80 ans, pour ses enfants sur 3 générations maintenant, qui se rassemblent autour chaque Noël 
Écouter les confidences de ma fille parlant de sa meilleure amie. Conseiller la posture d’amitié silencieuse : accueil et écoute
Apprécier chaque soir que mon fils me prépare mon café après le repas, et avec un petit chocolat en cette saison 
Être invitée pour des soirées chez ma fille et chez ma meilleure amie. Décommander l’une et l’autre pour me reposer 
Constater que mon petit M. fait des progrès de motricité. L’encourager avec amour 
Savoir que ma nièce s’est rabibochée avec son amie. Faire confiance à la vie et au cœur 
M’accorder un week-end de repos sans sortir de la maison. Commencer à écrire des poèmes acrostiches à offrir pour Noël à mes proches 
Retrouver ma sœur dans un embrassement et les larmes aux yeux, sous les commentaires dénigrant mon émotion 
Faire le projet d’un week-end entre filles avec visites de musée et d’expo. Vivement l’année prochaine ! 
Consoler ma nièce d’un chagrin d’amitié. La rassurer sur l’issue positive de cette expérience si l’amitié est authentique 
Suppléer l’absence de ma sœur auprès de mes nièces pendant le week-end. Resserrer les liens 
Faire un appel visio avec ma sœur en vacances au Togo. Fondre en larmes ensemble de ne pouvoir partager ce retour en Afrique l’une avec l’autre 
Aller acheter un sapin avec ma meilleure amie. Le décorer de magie pour Noël
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frenchdrarry · 1 year
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Blairon Headcanon :
Que se passe-t-il si Ron savait coudre ? Je veux dire, ce n’est pas délirant : sa mère sait tricoter, j’ai envie de croire qu’elle sait coudre aussi, et elle aurait eu l’envie d’apprendre à Ginny parce qu’elle pense qu’elle devrait savoir faire ça (Molly est traditionnaliste malgré elle, mais elle apprendrait à n’importe lequel de ses garçons qui en manifesteraient l’envie)
Maintenant on a Ron, qui a à peine un an de plus que sa sœur et qui est souvent exclu des jeux de ses frères car ils sont tous bien plus grands que lui et que les jumeaux sont toujours collés ensemble. Il aurait assisté aux leçons de sa mère avec Ginny et, contrairement à Ginny, aurait adoré ça. Pourquoi ? Car 1) il fait plaisir à sa mère 2) il s’occupe 3) il est patient. Bref, tout ce que n’est pas Ginny, qui a détesté devoir apprendre à coudre alors qu’elle n’a pas le droit d’aller sur un balais.
Vous l’avez ? Alors songez maintenant à Blaise, qui adore dessiner et qui adore la mode… mais qui ne saurait pas faire un ourlet pour sauver sa vie. Il dessine ses vêtements de rêve, songeant avec ironie qu’il a assez d’argent pour acheter n’importe quel vêtement mais que les seuls qu’il veut ce sont ceux qui n’existent que dans sa tête. Il se dit qu’un jour, il sera créateur de vêtements. Il embauchera un couturier et enfin, enfin il pourra porter les vêtements qu’il voulait et avoir son propre style.
Maintenant, imaginez un Ron Weasley en formation d’auror et un peu perdu se promener dans un parc, réfléchissant à sa vie. Imaginez-le passer derrière un Blaise Zabini très concentré à dessiner et imaginez Ron jeter un coup d’œil au dessin avant de se stopper net. Durant tout Poudlard, Ron a recoud les vêtements de ses amis, a appris à Harry et Luna comment coudre, a même réalisé le vêtement rêvé de Hermione : une jupe avec une énorme poche pour pouvoir mettre un livre. Il adorait coudre mais il n’avait pas assez d’imagination pour coudre de lui-même quelque chose d’original. Il préférait largement faire ce qu’on lui demandait et s’appliquer à ce que ce soit bien réalisé. Et là, alors qu’il était en train de se demander s’il ne faisait pas la plus grande erreur de sa vie en s’engageant dans les aurors, il voit Blaise Zabini dessiner des vêtements qui n’existaient pas encore. Des choses originales et excitantes, des choses qui ne demandaient qu’à être réalisées. (Par sa main.)
Je ne sais pas comment ils se sont abordés, je sais en revanche comment ils sont tombés amoureux : dans l’effervescence de la création, quand Ron créait et que Blaise voyait enfin ses idées réalisées. Blaise essayait, corrigeait, réinventait pour avoir la pièce parfaite. Puis Ron en cousait cinq ou dix et Blaise les revendait dans un coin de la boutique de Pansy et Luna (une boutique qui n’avait rien à voir avec les vêtements, elles vendaient des potions médicinales et des pierres)
Quand Blaise avait commencé à se faire un nom, il se battit bec et ongles pour être embauché comme styliste. Il finit par être embauché par la gazette, ce qui lui permit d’habiller toutes les stars qui allaient se faire interviewer par ses vêtements…et comme l’essayer c’est l’adopter, lesdites stars allaient ensuite le voir pour d’autres vêtements. Blaise acheta des locaux pour faire son propre magasin et supplia Draco de penser la décoration intérieure suite à la magnifique décoration que le blond avait lui-même choisie à son mariage et que Blaise, évidemment invité au-dit mariage, avait adoré.
Ron et Blaise avaient trouvé leur dynamique dans le travail mais ils peinaient à séparer pro et perso. Tout tournait toujours autour de l’entreprise fleurissante qu’ils étaient en train de créer. Ou plutôt, que Blaise était en train de créer. Ron se sentait à nouveau dans l’ombre, inutile, remplaçable. Tout le monde pouvait faire ce qu’il faisait. Blaise n’avait qu’à claquer des doigts et il trouverait un autre couturier en moins de temps qu’il n’en faut pour que Draco insulte Harry dire Quidditch.
Ce fut précisément le mari de Draco qui mit les points sur les i en prenant Blaise entre quatre yeux. Harry Potter-Malfoy connaissait son meilleur ami par cœur et il ne voulait pas que Blaise refasse sans le vouloir les mêmes erreurs qu’Hermione et lui avaient déjà faites sans le savoir. Blaise ainsi mit au courant et à moitié menacé de mort s’il ne changeait pas immédiatement la situation, Ron Weasley eut la surprise de se faire inviter au restaurant et de parler de tout, sauf de vêtements.
Petit à petit, ils trouvèrent leur rythme et Ron se sentit aimer pour lui-même et non pour ce qu’il savait faire. Ils adoraient aller à des restaurants sorciers très luxueux et aux pizzerias moldues beaucoup moins luxueuses. Ils aimaient les soirées Quidditch et adoraient aller regarder les matchs de Ginny. Ils détestaient se balader mais adoraient faire du kayak. Ils aimaient voyager en all inclusive et aller au buffet à volonté cinq minutes avant que ça ne ferme. Ils aimaient jouer au tennis ensemble et ils initièrent les Potter-Malfoy afin de pouvoir jouer en équipe. (ils le regrettèrent immédiatement car à partir de ce jour, ils ne gagnèrent plus jamais un match. Harry et Draco étaient les plus gros try-hardeurs de l’univers)
R B Z devint une marque fleurissante et populaire pour la qualité de ses vêtements et l’originalité de son style. Blaise put enfin s’habiller comme il le voulait, Ron avait un métier qu’il aimait, Draco devint l’effigie de la marque et tant qu’à faire, Blaise embaucha Harry comme photographe. La vie n’était pas si mal.
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fieriframes · 2 years
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[Do you speak with my voice? Do I speak with yours? We create the world where darkness once stood.]
III - Le Corbeau Albinos
Je l'ai interrompue et j'ai demandé avec terreur “où avez-vous obtenu ce jeu de cartes?” Le ton de ma voix et l’absurdité de la question l'ont clairement découragée, car elle a répondu sèchement qu’il lui avait été offert par un ami proche il y a des décennies, puis elle a immédiatement repris la séance.
Je ne me souviens vraiment pas d'un seul mot de ce qu'elle dit après ça. Je n'arrêtais pas de compter les doigts du magicien, atteignant parfois cinq, parfois six, incapable de me concentrer, de respirer normalement ou de revenir à la réalité. Finalement, j'ai réussi à la remercier, à payer, à partir et à rentrer chez moi.
Je me suis demandé comment cette situation allait dégénérer. La prochaine carte apparaîtra-t-elle dans ma poche ? Sous mon oreiller ? Comme un tatouage sur mon bras ? À ce stade, pourquoi pas ? La personne qui était responsable de ces événements avait déjà mon adresse et ce n'était pas particulièrement réconfortant. Pendant des semaines, j'ai regardé par-dessus mon épaule. Me méfiant de tout et de tous. En attendant la prochaine étape de ce jeu étrange.
Ça n'est jamais arrivé. Un mois a passé. Ensuite un autre. Plus de rencontres fortuites. Plus de coïncidences. Plus de cartes. La vie était revenue à la normale. Quel que soit le message que les cartes avaient pour moi, ça avait clairement été reçu.
Finalement, ma curiosité grandissante, j'étais prêt à essayer de comprendre tout ça.
Vraiment, quelles étaient les chances que le médium utilise les cartes de Leonora Carrington ? Je ne savais pas. La seule chose dont j'étais sûr était ce que j'avais vu de mes propres yeux. J'ai décidé de me plonger dans les tarots qui avaient croisé ma route.
L'Amoureux; une carte d’harmonie et d’amour. Avant d’être en harmonie avec l’autre, il s’agit d’être en harmonie avec soi-même.
La Papesse, une carte de spiritualité et de sagesse. Le lien avec le divin et toutes les choses au-delà de la raison. Un rappel pour vous connecter avec votre voix intérieure et votre intuition et pour faire confiance à votre puissance supérieure. Ces deux cartes sont apparues deux fois. Pourquoi, je ne sais pas.
Puis, l'Empereur, qui reflète un système lié par des règles et des règlements. Créez le calme à partir du chaos en décomposant tous problèmes, puis planifiez les actions nécessaires pour les résoudre.
Le Chariot, représentant le dépassement des obstacles grâce à la détermination, la concentration et la volonté.
Les trois cartes suivantes, celles révélées par Amélia, m'avaient le plus marqué. L'Impératrice, le Pape et, pour finir, le Bateleur. Le dernier est souvent représenté avec une main pointant vers le ciel et l'autre pointant vers la terre, ce qui est largement interprété comme une référence aux domaines spirituel et physique. Quod est superius est sicut quod inferius, et quod inferius est sicut quod est superius. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Entre deux mondes.
Tout semblait étrangement logique. Les cartes me parlaient clairement de spiritualité, de paradis et de terre, d'un voyage difficile. Mais s'il y avait un message concret ici, je ne pourrais pas l’entendre/comprendre. Chacune de ces cartes avait sa propre signification. Alors j’ai continué à y penser en boucle pendant des mois. L'ordre. Les significations. J’essayais de faire des connexions là où il n’y en avait pas.
Les jours passèrent.
Un soir après le travail, avec Nocturne n° 5 en fa dièse majeur de Chopin jouant en fond sonore, j'ai pris le jeu de cartes que j'ai récemment acheté et les mets sur la table. J'ai remarqué, pour la première fois, qu'ils étaient tous numérotés. L'Amoureux avec un numéro 6 dans le coin. La Papesse: 2. L'Empereur, 4. Le Chariot: 7. L'Impératrice: 3. Le Pape: 5. Le Bateleur: 1.
En raison de mes terribles compétences en maths, la seule chose à laquelle je pouvais penser était d'additionner les nombres. Le résultat était 28. 2 + 8 = 10. Le nombre d'achèvement. Ça signifiait-il quelque chose ? Si j'inclus les occurrences répétées, L'Amoureux et la Papesse, j'ai eu 36. 3 + 6 = 9. 9 qui représente une fin qui n'est pas définitive. L'accomplissement d'un cycle, d'un voyage, pour préparer le suivant.
28, 36, 10, 9… Tout semblait important, mais complètement inutile. Insérer du sens dans le non-sens.
J'ai essayé autre chose. J'ai mis les sept cartes les unes à côté des autres. 6 2 4 7 3 5 1. J'ai regardé fixement les cartes pendant une éternité. Rien du tout. Puis, j'ai déplacé quelques cartes pour qu'elles soient regroupées. 62 47 35 1. Plusieurs chiffres avant tout élément significatif. Sur une feuille de papier, j'ai inclus les cartes répétées. 62 62 47 35 1. Encore à un chiffre de tout ce qui a du sens, comme un numéro de téléphone.
Juste au moment où la musique s'est arrêtée, j'ai entendu le son d'un papier glissant sur le parquet. J'ai couru vers la porte, l'ai ouverte et je n'ai rien rencontré de l'autre côté. Mais à mes pieds se trouvait une enveloppe. Je le pris avec hésitation et retournai vers le canapé.
Les mains tremblantes, j'ouvris l'enveloppe. Une seule feuille de papier. Un poème.
Grand corbeau albinos Buvez toutes les ténèbres du ciel.
Les buses sombres, sombres Chantent pour le masque Qui appartenait autrefois à la vie.
Grand corbeau albinos Tu es l'antidote.
Le Pendu Verse des images Dans des yeux saturés.
Deux espions d'encre.
De l'autre côté de la note se trouvait un dessin.
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Le Mat de Leonora. Carte numéro zéro.
Le Mat indique de nouveaux commencements, comme le début d'un voyage. Bien que ce voyage ne soit pas sans obstacles, c'en est un pour lequel vous êtes plus que prêt et qui vous mènera à de plus grandes choses. Il ne sait pas où ce processus de découverte de soi le mène, mais il est heureux d'y aller. Dans les interprétations plus ésotériques des cartes de tarot, le Mat est connu comme le protagoniste de l'histoire, et les Arcanes Majeurs sont le chemin que le Mat emprunte à travers les grands mystères de la vie.
J'étais assis là à regarder les deux morceaux de papier posés sur la table; le dessin et les chiffres que j'avais notés plus tôt. 62 62 47 35 1. Presque dans un état de transe, j'ai pris le stylo et j'ai complété la séquence avec le numéro du Mat. 62 62 47 35 10.
Puis, j'ai retenu mon souffle, pris le téléphone et composé le numéro.
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ozu-teapot · 1 year
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Films Watched in April 2023
Fargo | Joel Coen / Ethan Coen | 1996
Le plein de super (Fill 'er Up with Super) | Alain Cavalier | 1976
Angel's Egg | Mamoru Oshii | 1985
The Anniversary | Roy Ward Baker / Alvin Rakoff | 1968
Punk Samurai Slash Down | Gakuryû Ishii | 2018
Abel (AKA Voyeur) | Alex van Warmerdam | 1986
Suicide Club | Sion Sono | 2001
Blank Generation | Ulli Lommel | 1980
Behind Her Eyes | TV | Erik Richter Strand | 2021
The Strange Case of the End of Civilization as We Know It | Joseph McGrath | 1977
The Sunday Woman | Luigi Comencini | 1975
Enys Men | Mark Jenkin | 2022
Electric Dragon 80.000 V | Gakuryû Ishii | 2001
La cicatrice intérieure (The Inner Scar) | Philippe Garrel | 1972
Ava | Léa Mysius | 2017
The Fall | TV | Allan Cubitt / Jakob Verbruggen | 2013 - 2016
Films Watched in May 2023
The Devil's Trap | Frantisek Vlácil | 1962
The Week Starts on Friday (Short) | Elmar Klos | 1962
Beauty and the Beast | Juraj Herz | 1978
Frantisek Hrubín (Short) | Tomás Skrdlant | 1964
The People Next Door | David Greene | 1970
Celia | Ann Turner | 1989
Renfield | Chris McKay | 2023
Luminous Procuress | Steven Arnold | 1971
Dragon's Return | Eduard Grecner | 1968
The Man on the Roof | Bo Widerberg | 1976
Coach to Vienna | Karel Kachyna | 1966
She Dies Tomorrow | Amy Seimetz | 2020
Justine | Stewart Mackinnon | 1976
Yakuza Graveyard | Kinji Fukasaku | 1976
The Bride Wore Black | François Truffaut | 1968
The Haunting of Julia | Richard Loncraine | 1977
The End of the F***ing World | TV | Various | 2017-2019
Yellowjackets | Season 2 | TV | Various | 2023
The Cat Creeps | Erle C. Kenton | 1946
Me, Natalie | Fred Coe | 1969
Bold = Top Ten
Some notes: I’ve been going through one of those periods where I just wasn’t feeling it maaaan with regards to films and tumblr. Other things consumed my attention (Auriel's Bow isn't going to fetch itself from the Forgotten Vale) and at times it felt a struggle to watch and post. Still...
Anyway here’s one of those fancy two month Film Logs last seen in August/September 2022 only this time there’s a Top Ten compiled from both months. A few TV things make it into the list. I’m sometimes unsure about putting TV in the *Film* Log but The End of the F***ing World is great and I was very taken with Behind Her Eyes because it actually surprised me in the direction it took, such an unusual experience nowadays, plus the two female leads were very attractive. Hey, I’m only human, like Phil Oakey.
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zuyavem · 2 months
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Perdu et noyé dans son passé, l'homme peut devenir meilleur ou pire grâce à l'influence d'une femme. Si l'homme ne change pas et ne pleure pas intérieurement pour noyer son chagrin, c'est manifestement parce que cette femme n'a pas eu assez d'impact sur sa vie.
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