Tumgik
#antonomase
ladyniniane · 1 year
Note
Coucou !
đŸ§ŸWhat fictional world would you love to visit and explore if given the chance? 
đŸ§ŸWhat is the most memorable book ending you’ve ever read? Did it leave you satisfied or wanting more? 
🔖Which classic book or author do you think everyone should read at least once in their lifetime, and why?
Salut et merci pour les questions !
đŸ§ŸWhat fictional world would you love to visit and explore if given the chance?
Sans hĂ©siter le monde du manga Aria de Kozue Amano. L'histoire se passe dans un futur oĂč Mars a Ă©tĂ© terraformĂ©e et une rĂ©plique de Venise a Ă©tĂ© construite dessus. L'hĂ©roĂŻne est gondoliĂšre. La ville regorge de beaux lieux et de secrets Ă  dĂ©couvrir. C'est un manga trĂšs relaxant et Ă©mouvant qui souligne la beautĂ© de l'instant prĂ©sent et les joies de profiter du passage des saisons.
đŸ§ŸWhat is the most memorable book ending you’ve ever read? Did it leave you satisfied or wanting more?
Je dirais la fin de The book of the mad de Tanith Lee. Ce livre entremĂȘle plusieurs dimensions et rĂ©alitĂ©s parallĂšles, l'une d'entre elles se dĂ©roule dans un asile psychiatrique dans une sorte de Paris alternatif et oĂč les patients subissent toutes sortes de mauvais traitements. La fin bascule complĂštement dans le surnaturel puisqu'on nous laisse entendre que les rĂ©sidents se sont Ă©chappĂ©s dans un autre monde plus idyllique. Cela contraste trĂšs fortement avec le ton du reste de l’Ɠuvre mais c'est tout Ă  fait le genre de Tanith Lee d'alterner entre obscuritĂ© et eucatastrophe. Bref, une fin trĂšs marquante Ă  n'en pas douter.
🔖Which classic book or author do you think everyone should read at least once in their lifetime, and why?
J'avoue que un peu de mal avec cet aspect "livre que tout le monde devrait lire" parce que je pense qu'aucun livre ne peut convenir ou intĂ©resser tout le monde (surtout que je suis moi-mĂȘme rĂ©fractaire Ă  certains classiques).
Mais je dirais :
-Anne de Green Gables et le reste de la saga (mĂȘme si je me suis arrĂȘtĂ©e Ă  Anne et sa maison de rĂȘve parce que Anne mĂšre au foyer avec 6 gosses c'est pas vraiment ce que j'ai envie de voir.). Dans l'ensemble, je trouve que ce sont des livre profondĂ©ment attachants, relaxants, sans ĂȘtre niais ou sirupeux.
-Les notes de chevet de Sei ShÎnagon, je ne cesserai jamais de faire de la propagande pour ce livre je crois. Comparé au Dit du Genji (que je recommande aussi, parce que c'est un des premiers romans psyhcologiques de l'histoire de l'humanité et que l'écriture est remarquable), il est beaucoup plus accessible. Et puis ça permet de changer d'horizon et de découvrir une autre époque !
Bookish asks
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queenfredegund · 2 years
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Coucou,
Avais-tu vu ce livre passer, cette année ? https://www.goodreads.com/book/show/53138220-the-dark-queens?from_choice=true
Coucou ! Alors jusqu'Ă  prĂ©sent, j'avais pas eu l'occasion de le trouver pour le *hum* feuilleter... Mais vu que tu m'y as fait repenser, je suis allĂ©e voir si je pouvais, et il se trouve que oui, je l'ai trouvĂ©... Donc si j'ai du temps et de l'Ă©nergie, p't-ĂȘtre que je me ferai une sĂ©ance pĂ©nitence oĂč je mets le nez dedans 😆😆 (spoiler alert: un truc qui s'intitule dĂ©jĂ  comme "Dark Queens", y a de trĂšs fortes chances que ce soit du bon gros bousin, et je pĂšse mes mots...)
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docpresseesj · 1 year
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Certains noms de marques commerciales sont devenus des noms communs (il s'agit d'une antonomase):
Kleenex, Frigidaire, Mobylette, Bic, , Scotch, Post-it, etc.
D'autres ont servi Ă  la construction de verbes:
Ripoliner, Scotcher, Stabiloter, Googliser, etc.
Voir:
"7 marques qui ont donné naissance à des verbes" (Les Echos, 9 sept. 2016)
Liste de marques utilisées comme noms (Wikipédia)
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i was tagged a while ago by @rapha-reads and this time i didn’t forget to do it 😌 thanks for the tag 🌾 (btw now i can see the blue checkmarks, idk it just took a while to appear for me) (fun times)
Last song: i think it’s Partners in Crime by Finneas or The Calling by The Amazing Devil
Last movie: Jennifer’s body
Last thing I read: something @antonomase told me i could read but i don’t think there’s a title
tagging whoever wants to do it!
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zetaverein · 11 months
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Neuer Beitrag: Sous les Mots
Neuer Beitrag: https://blog.zeta-verein.de/2023/11/below-the-words/
Sous les Mots
Dans tous les livres dont le propos est la zoosexualitĂ©, on vous assomme souvent de dĂ©finition. Aujourd’hui, on parle majoritairement de bestialitĂ©, de zoophilie et de zoosexualitĂ©. Mais savez-vous que tous ces mots ont en fait dĂ©signĂ© la mĂȘme chose, mais Ă  des pĂ©riodes historiques diffĂ©rentes ? Cet angle terminologique permet de dĂ©gager des pĂ©riodes historiques aux mƓurs propres. Nous en avons dĂ©nombrĂ© cinq : la chrĂ©tientĂ©, le spĂ©cisme, la protection animale, la psychiatrie et la libĂ©ration zoosexuelle.
Cet article repose sur des recherches effectuées en France. Les propos suivants ne sont donc pas universels.
  La chrĂ©tientĂ© Dans les textes anciens, la zoosexualitĂ© est dĂ©signĂ©e par l’intermĂ©diaire de pĂ©riphrases. Par exemple, on peut rencontrer dans les textes latins : « fornicationem contra naturam » (fornication contre-nature), « cum animalibus coires » (copuler avec des animaux) ou encore « cum quadrupedus peccat » (pĂ©cher avec des quadrupĂšdes), etc.
(Figure 1: L’interdit zoosexuel dans le Decretum de Burchard de Worms, 1051, « Pecudibus fornicantur », « Quadrupedum fornicatoribus »)
            Il semblerait qu’il n’ait existĂ© aucun mot dĂ©signant la zoosexualitĂ© avant le XIIe siĂšcle oĂč l’usage du mot sodomite se rĂ©pand. Ce dernier fait rĂ©fĂ©rence aux Sodomites, habitants de la ville de Sodome (GenĂšse 10:19). Il s’agit donc d’une antonomase (un nom propre devenu un nom commun). D’aprĂšs le rĂ©cit biblique, un habitant de Sodome, Loth, accorde l’hospitalitĂ© Ă  deux anges envoyĂ©s par Dieu. Tous les hommes de Sodome entourent alors sa maison et demande Ă  en faire sortir ces Ă©trangers qu’ils pensent ĂȘtre des hommes afin de les « connaĂźtre » (GenĂšse 19:05). ConnaĂźtre au sens biblique signifie avoir une relation charnelle. Loth refuse et leur propose deux de ses filles vierges en Ă©change. Les Sodomites dĂ©clinent l’offre et Dieu dĂ©truit la ville par « une pluie de soufre et de feu » (GenĂšse 19:24). Quoiqu’un doute d’interprĂ©tation liĂ© au refus de l’hospitalitĂ© subsiste, bibliquement, les Sodomites sont Ă  l’évidence des homosexuels masculins. Par extension, la sodomie dĂ©signe tout type de pratiques sexuelles (hyperonyme) dites contre-nature (non procrĂ©atives) dont fait a fortiori partie la zoosexualitĂ©.
Il existe encore le mot bougre, un synonyme de sodomite teintĂ© d’hĂ©rĂ©sie. Ce mot renvoie au prĂȘtre bulgare Bogomil, fondateur du bogomilisme. Au XIIIe siĂšcle, sous l’effet de la propagande inquisitoriale dirigĂ©e contre l’hĂ©rĂ©sie bogomile, les Bougres (les Bulgares) sont taxĂ©s de sodomites. Cette appellation de bougre est purement infamante puisque les bogomiles pratiquaient l’ascĂ©tisme (abstinence sexuelle incluse).
  Le spĂ©cisme Le mot bestialitĂ© apparaĂźt au XIVe siĂšcle. Il est issu du latin « bestia » et dĂ©signe tout comportement assimilant l’homme Ă  la bĂȘte. Cette dĂ©finition appelle le questionnement suivant : comment une bĂȘte est-elle censĂ©e se comporter ? Pour les humains, une bĂȘte est un ĂȘtre primitif essentiellement caractĂ©risĂ© par sa fĂ©rocitĂ© (bestialitĂ©) et sa bĂȘtise (bĂȘte). Et effectivement, dans son habitat naturel, une bĂȘte sauvage affamĂ©e ne va pas vous dire bonjour avant d’essayer de vous manger. Mais en est-elle pour autant plus fĂ©roce que l’homme ? La bĂȘte est donc un rĂ©fĂ©rent du dĂ©sĂ©quilibre humain ; le bestial a pu dĂ©signer le criminel, le fou ou encore le tortionnaire.
Le mot bestialité va acquérir un second sens sexuel au XVIe siÚcle.
  (Figure 2 : BĂ»cher de zoosexuelle toulousaine dans « ArrĂȘts notables du Parlement de Toulouse » utilisant le mot « bestialitĂ© », 1525)
                  Cette « bestialitĂ© sexuelle » est un figurĂ© mĂ©taphorique issu du sens premier du mot ; la zoosexualitĂ© serait rĂ©gressive, parce que dirigĂ©e vers l’animal. La bestialitĂ© relĂšve donc du spĂ©cisme, y compris sexuel.
Dilemme : entre un humain déséquilibré et un animal disposé, quel partenaire sexuel choisiriez-vous ?
Lorsque nos sexologues contemporains parlent de bestialité, ils font directement référence à cette zoosexualité brutale, stupide et primitive ; pour le dire simplement, à cette zoosexualité sans amour.
  La protection animale Le XIXe siĂšcle donne naissance au mot zoophilie. Son sens d’alors est tout simplement celui de son Ă©tymologie : une affection (philia) envers le vivant (zoo). Les premiĂšres occurrences françaises sont concomitantes de l’article 453 du Code pĂ©nal napolĂ©onien de 1810. Mais ce mot ne se rĂ©pand vraiment qu’à partir des annĂ©es 1820. On peut le relier Ă  la crĂ©ation du zoo de Londres (London Zoo) en 1828 ou encore au Martin’s Act de 1822 ; une loi anglo-saxonne aujourd’hui considĂ©rĂ©e comme Ă©tant la premiĂšre loi de protection animale en Occident. AprĂšs le Martin’s Act, les journaux français parlent de la « zoophilie des anglais ». À l’évidence, un zoophile est alors perçu comme une personne condamnant la maltraitance animale. Une sociĂ©tĂ© de protection des animaux est appelĂ©e une « sociĂ©tĂ© de zoophilie » ou un « club de zoophile » !
(Figure 3 : « La grande semaine des zoophiles », article de presse signé Botrot, 1926)
                      Un Ă©leveur est zoophile s’il prend soin de ses bĂȘtes en leur appliquant, par exemple, cette « pommade zoophile » alors en vente dans le commerce.
  (Figure 4 : Publicité pour le « Manuel du zoophile » de Celnart, 1827)
          (Figure 5 : Publicité pour « La pommade zoophile » de la société Peyrat, 1868)
                Peu Ă  peu, les zoophiles sont tournĂ©s en ridicule pour leurs amours excessifs des animaux. La zoophilie se charge ainsi d’une connotation nĂ©gative. Ce virage est potentiellement misogyne, puisque comme FĂ©rĂ© le constate, la zoophilie se rencontre principalement chez la femme (Zoophilie et zoophobie, Charles FĂ©rĂ©, 1897). Et nous ajoutons, de la mĂȘme maniĂšre que la bestialitĂ© se rencontre essentiellement chez l’homme.
  (Figure 6 : Une caricature de zoophile dans un journal, 1935)
                                              La psychiatrie Krafft-Ebing, psychiatre de renommĂ©e internationale, est devenue un des pionniers de la sexologie avec son ouvrage « Psychopatia Sexualis ». Le succĂšs est tel que l’ouvrage est constamment augmentĂ© de 1886 Ă  1924 (quatorziĂšme et derniĂšre Ă©dition). La « psychopathie sexuelle » fait le tour du monde et est notamment traduite en français et en anglais. Au fil des Ă©ditions allemandes, la panoplie concernant les relations sexuelles interespĂšces s’étoffe : « viol d’animaux » (thierschĂ€ndung) nommĂ© aussi sodomie ou bestialitĂ©, sadisme avec des animaux, le « fĂ©tichisme animalier » (thierfetischismus) et la zooĂ©rastie.
Le mot « zoophilie » serait apparu pour la premiĂšre fois avec un sens protosexuel dans la 8e Ă©dition de 1893 : « À la suite du fĂ©tichisme de la matiĂšre, il faut encore penser Ă  certains cas oĂč les animaux ont un effet aphrodisiaque sur les humains. On pourrait parler ici de zoophilie Ă©rotique ».
  (Figure 7 : La « Zoophilia erotica » de Krafft Ebing dans la 9e édition de la Psychopathia Sexualis, 1894)
        L’observation associĂ©e au « thierfetischismus » est celle d’un jeune adolescent sexuellement excitĂ© au contact de la fourrure animale (Die krankhaften Erscheinungen des Geschlechtssinnes, Tarnowsky, 1886). Dans les milieux psychiatriques, la zoophilie devient sexuelle. Mais ce n’est qu’aprĂšs-guerre que le mot zoophilie se substitue peu Ă  peu Ă  celui de bestialitĂ© (probablement sous influence anglo-saxonne). Notons l’ironie de l’Histoire : les zoophiles d’hier condamnent ceux d’aujourd’hui ! Par l’influence de la psychiatrie, la zoophilie a acquis une connotation pathologique qu’elle conserve encore aujourd’hui.
Krafft-Ebing propose le mot « zooĂ©rastie » comme catĂ©gorie de sa classification avec un sens de bestialitĂ© pathologique. Ce mot n’a jamais Ă©tĂ© trĂšs usitĂ©.
En 1940, Clifford Allen forge le mot-valise bestiosexualitĂ©. Ce mot sera Ă©galement peu usitĂ© en France. Il est citĂ© uniquement afin de souligner l’existence d’un mot antĂ©rieur Ă  celui de « zoosexualitĂ© » et formĂ© sur le mĂȘme radical « sexuel ».
  La libération zoosexuelle Le mot-valise « zoosexualité » est forgé au début des années 1990 par des pratiquants (anciennement zoophile donc) américains sur Internet.
  (Figure 8 : Utilisation du mot « zoosexuel » sur le newsgroup Usenet « alt.sex.bestiality », 3 mars 1994)
                        On peut aisĂ©ment comprendre les raisons qui ont amenĂ© ces zoosexuels Ă  cette saillie linguistique : aucun mot n’avait jamais exclusivement dĂ©crit la rĂ©alitĂ© zoosexuelle. Comme on l’a vu, « sodomite, bougre, bestialitĂ© et zoophilie » sont polysĂ©miques, ils ne peuvent donc dĂ©crire exclusivement l’acte. De plus, ils sont connotĂ©s nĂ©gativement : le sodomite est un pĂ©cheur, le bougre un hĂ©rĂ©tique, le bestial une brute, le zoophile un malade mental ! Pour ses partisans, le mot « zoosexualitĂ© » serait ce mot manquant capable de nommer une pratique interespĂšce dĂ©nuĂ©e de connotation nĂ©gative.
L’éternel dĂ©bat Ă©merge. Quel mot utiliser alors ? Zoophile ou zoosexuel ? Les deux prĂ©sentent des avantages et des inconvĂ©nients.
Le mot « zoophile » est simple, comprĂ©hensible, possĂšde une sĂ©mantique positive et convient Ă  tous, y compris aux platoniques. Mais il possĂšde une connotation psychiatrique et est repris par des personnes souhaitant importer le mouvement « anti-contact » d’origine pĂ©dophile (en France, on parle de « pĂ©dophile abstinent ») Ă  la zoosexualitĂ©.
Le mot « zoosexuel » met en avant la sexualitĂ© et non plus l’affection. Efficace pour lutter contre le mouvement anti-contact, mais certains experts ont ainsi pu inclure le sadisme dans la zoosexualitĂ©. Se dĂ©clarer zoosexuel constitue une preuve par aveu alors que se dĂ©clarer zoophile est lĂ©gal. Et en dernier argument, la zoosexualitĂ© est un calque du mot homosexualitĂ© choisie Ă  dessein dans l’espoir d’ĂȘtre un jour au mĂȘme niveau de tolĂ©rance sociĂ©tale que les homosexuels. Le mot « zoosexuel » incarne ainsi cette idĂ©e d’intervention sur la rĂ©alitĂ© par le langage. Inversons cette logique. Le mot zoophile constitue-t-il un obstacle Ă  un Ă©ventuel processus de normalisation ? Nous pensons que non. À titre d’illustration, citons la revue militante Arcadie (1954-1982) qui se disait « homophile ». Ce qui n’a nullement empĂȘchĂ© la normalisation de l’homosexualitĂ© et l’a mĂȘme prĂ©figurĂ©e.
Aujourd’hui, le mot zoophilie est toujours trĂšs prĂ©sent ; le mot zoosexuel ne s’est pas imposĂ©. Dans ce fouillis linguistique, les diminutifs prospĂšrent : zoo (nom), zooey (adjectif) (grĂące au podcast Zooier Than Thou). Le choix des mots est important, mais cela ne fait pas tout. La libĂ©ration zoosexuelle passera avant toute chose par la lutte contre les amalgames sociĂ©taux.
  Article écrit par Chienlit (octobre 2023)
Images de Gallica (Figure 1), Tolosana (Figure 2) et RetroNews (Figure 3, 4, 5, 6).
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gwilymlee · 5 years
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Gods, I'm really glad you're on a Ben Barnes ride right now ! How about something with Westworld, for your Gif requests ? Go wild with it !
i feel so bad it took so long for me to actually do this set, college is just a bitch and i did 80% of it in the day you asked but then
 arghhhh
 but here it is, hope you liked, i tried to do at least 1 gif per episode, the last 2 are from the last episode cause why not? right? and im not in the ben ride right now haha ive been a fan for over 11 years now, my user was barnesplots before but i tried to change a bit, but the love was always here, and will always be! thanks for the request btw
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gif request meme
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belphegor1982 · 5 years
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antonomase replied to your post: Anyone can point me to songs they like? Because...
In French or not necessarily ?
Any language! I’m not picky about that :o) (mais ni MaĂźtre Gims ni Vianney ne sont ma tasse de thĂ©, alors ça commence Ă  ĂȘtre lourd, cette histoire :P)
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bohemian-war · 5 years
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Hi ! :) How about 📚, đŸŒ· and đŸŽ€ for your emoji ask ?
Hi, hun!I am great. How are you? I hope you are good too.📚: I love so many. Unfortunately, most of them are in my old room back in Spain. I am currently living in London so I cannot tell the quotes exactly (I usually mark my favourite pages/quotes). However, I can say that three of my favourite books are:- Unbroken by Laura Hillenbrand - The IdhĂșn Memories (Trilogy) by Laura Gallego- Band of Brothers by Stephen E. AmbroseđŸŒ·: I do not know what my mbti type is. How can I find out? :)đŸŽ€: Border Song by Elton John
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Hi ! I'm curious about which book(s) you feel have (12) particularly bad TV/movie adaptation(s) and (42) which book you really enjoyed reading for school ! :)
13: Name a book with a really bad movie/tv adaption
The Cat in the Hat.
Actual nightmare fuel that I can’t think about for too long without my brain leaking out of my ears.
42: Which was the best book you had to read in school?
Well, I studied Comparative Literature and English for five years, so that’s a really long list. I’ll say that I never would have found The Book of Disquiet by Fernando Pessoa on my own though, and that one is a tremendous read that I would very highly recommend!
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queenfredegund · 2 years
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Petit message de coucou aprĂšs des mois en dilettante. J’avoue que ces derniers temps ont Ă©tĂ© compliquĂ©s (et que c’est pas prĂšs de s’arranger, la thĂšse tout ça tout ça......) et que j’avais un peu lĂąchĂ© l’affaire, un peu déçue de voir que les gifs fonctionnaient si peu maintenant sur la plateforme... Mais bon, foutue pour foutue, autant revenir zoner un petit peu ici, du coup je me demande qui se trouve encore ici et voudrait discuter occasionnellement ? 😊
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Et surtout, grande question : qui se prĂ©pare gentiment pour le NaNo prochain ? Des volontaires pour reprendre peut-ĂȘtre un peu de discut’ autour de l’écriture ? Perso, je suis partie dĂ©but juillet sur un nouveau projet qui se trouve dans les derniers chapitres d’écriture actuellement, et ça tombe bien que novembre arrive bientĂŽt parce que ça me permettra de commencer le 1er jet d’un tome 2 !Â đŸ€©
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Bref, je me permets de vous invoquer, les copines d’écriture ou de parlotte @ladyniniane​, @fierce-little-miana​, @antonomase​, @plaidetchocolatchaud​ et j’espĂšre que vous ĂȘtes toujours en forme et que vos projets personnels et professionnels se portent bien actuellement ! La bise Ă  vous ! 😘
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docpresseesj · 3 years
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Une antonomase (du grec anti= à la place de et onoma= nom) est une figure de style dans laquelle un nom propre est utilisé comme nom commun, ou inversement. Certaines antonomases courantes finissent par se lexicaliser et figurent dans les dictionnaires usuels: une poubelle (du nom du préfet de la Seine EugÚne Poubelle qui imposa l'usage de récipients à ordures), une silhouette, un don Juan, un harpagon, un bordeaux, un roquefort, le macadam, un gavroche, un tartuffe, un renard, etc.). (Wikipédia)
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80 ; 51 ; 36 ; 20 ? 💞 (Pour les autres, la rĂ©ponse Ă  "que manque-t-il Ă  son bonheur ?", ce sont les pĂ©pites de chocolat.)
koukou twa 🍩đŸŒș (il me manque mes millions aussi) (tout le monde les oublie sauf moi 😔)
80. Is your music organised by mood or sensation or do you just listen to everything at any time?
By mood! But I might still listen to sad music when happy and vice-versa because đŸ’đŸŒâ€â™€ïžâœš
51. What question could you ask to find out the most about a person?
:cries in “vous avez 4h”:
36. Have you ever met someone who had a very similar personality to your own? Did you get along?
Yes I have! It’s actually my sibling and they’re. Tolerable. (just kidding they’re awesome)
20. Do you want a grand adventure?
Kind of? Though it’s not that easy to imagine anything at the moment, as I’m currently stuck at home with Quarantine 3.0 impending (but I would love to go see something else, as in, not my appartment)
100 good questions to ask your friends at 4:02 am when you can’t sleep
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omagazineparis · 5 months
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Alexandra Recchia – Le karatĂ©? École de la vie
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Alexandra Recchia : lyonnaise, classe 1988 et quintuple championne du monde de karatĂ©, nous raconte sa passion pour ce sport. Entre sacrifices, entraĂźnements et concentration, il y a toujours une certitude : l’amour pour un sport qui est une vĂ©ritable « Ă©cole de la vie ». Une grande athlĂšte qui nous a fait don d’une interview vibrante autour de thĂšmes comme les bonnes valeurs, la violence contre les femmes et l’importance de suivre ses propres rĂȘves. Prochaine Ă©tape ? L’Open Paris KaratĂ© 2020 ! La force et l’enthousiasme pour la vie Ă©tincellent dans les yeux clairs d’une jeune avocate lyonnaise, devenue dĂ©sormais une Ă©toile du karatĂ©. On parle d'Alexandra Recchia, athlĂšte de l’Amicale sportive d’Evry avec un Master 2 en droit du travail et quintuple championne du monde de karatĂ© ! Les chiffres de Alexandra sont remarquables : huit mĂ©dailles d’Or entre les championnats du monde, les jeux mondiaux et les championnats d’Europe ; cinq en Argent et encore, cinq Bronzes. Est-ce que vous commencez Ă  avoir peur ? Vous n’avez pas vu les coups redoutables d'Alexandra ! Vitesse et concentration sont Ă  la base de son succĂšs, d’ailleurs. On dirait que c’était hier que cette grande athlĂšte gagnait, pour la premiĂšre fois, l’Or en individuel aux Championnats du monde de 2012, Ă  Paris. À la suite de cet exploit mĂ©morable, Alexandra Recchia a collectionnĂ© de nombreux succĂšs. En attendant le prochain Open Paris KaratĂ© 2020 du 24 au 26 janvier, notre ambassadrice sportive se prĂȘte Ă  une interview. Bonjour Alexandra Recchia et mille mercis d’ĂȘtre lĂ  avec nous de Ô magazine ! Votre passion pour le karatĂ© est connue, mais c’est quoi, exactement, l’élĂ©ment de la philosophie orientale le plus inspirant pour vous ? « Bonjour, merci Ă  vous, c’est un plaisir. Oui, ma passion pour le karatĂ© est ancienne, en fait. Mes parents ont dĂ©cidĂ© de me faire commencer le karatĂ© quand j’avais cinq ans et demi. Et je peux dire qu’à partir de ce moment, j’ai adorĂ© ce sport ! Ce qui est trĂšs intĂ©ressant dans cette philosophie orientale, c’est le cĂŽtĂ© de la discipline.  Il y a une grande discipline dans le karatĂ© car on apprend les bonnes valeurs comme le respect des autres, le partage de valeurs positives, vous voyez ? Il ne s’agit pas seulement de sport et de bien-ĂȘtre physique, mais on parle vraiment d’une communautĂ©. Le karatĂ© est une communautĂ© de gens qui aiment la vision positive de cet art martial. Dans mon expĂ©rience, je peux dire que j’ai vĂ©cu le karatĂ© comme une vĂ©ritable Ă©cole de la vie, d’ailleurs ». Pour ce qui concerne la violence contre les femmes, plusieurs entre elles choisissent le karatĂ© pour se protĂ©ger. Mais Ă  votre avis, le karatĂ© peut-il aider les hommes aussi, en apprĂ©hendant le respect pour les autres et donc pour les femmes? « Franchement, je pense que ceux qui pratiquent notre sport sont dĂ©jĂ  des personnes qui connaissent le respect pour les autres. Je dis ça par rapport Ă  ce que j’avais dit avant : le karatĂ© est une communautĂ© oĂč les gens partagent les mĂȘmes valeurs positives. Il n’existe pas de violence dans le monde du karatĂ©, en dĂ©pit de la connotation du combat qui est une lutte par antonomase. Ce qui est trĂšs intĂ©ressant, par contre, c’est que dans ce sport on a vraiment dĂ©passĂ© les frontiĂšres : finalement, il n’y a plus de distinction de sexe, d’origine. On est un tout dans le partage d’un bon moment de sport ». Dans votre sport, il faut ĂȘtre toujours au rĂ©gime, mener une vie saine. De plus, les heures d’entrainement prennent beaucoup de temps. Des fois, ça peut ĂȘtre stressant. Comment arrivez-vous Alexandra Recchia, Ă  rester toujours motivĂ©e ? « Bien sĂ»r, comme dans la vie, on connaĂźt des hauts et des bas dans le karatĂ©, mais la chose la plus importante est sĂ»rement celle de s’entourer des bonnes personnes. Il faut avoir des personnes positives auprĂšs de soi-mĂȘme, des bons entraĂźneurs qui te rappellent toujours que tu es lĂ  pour une raison. Pourquoi tu as choisi ce sport ? La rĂ©ponse est la passion initiale qui est toujours dans mon cƓur, la chance que j’ai en partageant les mĂȘmes valeurs dont le karatĂ© est porte-parole. Grace aux bonnes personnes, tu peux toujours retrouver la force et la motivation, malgrĂ© les difficultĂ©s quotidiennes ». Vous avez gagnĂ© plusieurs Ors et la liste de vos succĂšs est longue. Mais c’est quoi la derniĂšre pensĂ©e d'Alexandra Recchia, avant de commencer un nouveau combat ? « Je pense exclusivement Ă  mon combat. La concentration dans le karatĂ© est fondamentale, parce que le manque de concentration peut ĂȘtre fatal pour la rĂ©ussite. Donc oui, je reste trĂšs concentrĂ©e et j’essaie de me focaliser sur l’instant T du combat ». C’est quoi le rapport avec son corps et donc avec sa fĂ©minitĂ©, pour une femme comme vous qui pratiquez du karatĂ© ? « Je ne pense pas qu’il existe un rapport entre fĂ©minitĂ© et sport pratiquĂ©. Ce n’est pas vrai qu'en pratiquant un sport comme le karatĂ© Ă  la connotation masculine, nous les athlĂštes, n’avons pas de fĂ©minitĂ©. Je pense plutĂŽt que la fĂ©minitĂ©, c’est une question d’attitude. C’est une chose qui est dans notre Ăąme, trĂšs personnelle, et qui n’a rien Ă  voir avec le sport qu’on pratique ou avec la façon de s’habiller ». Vous ĂȘtes en train de prĂ©parer quelle compĂ©tition, Alexandra ? « Cette semaine il y aura l’Open Paris KaratĂ© 2020 ! Du vendredi 24 au dimanche 26 janvier, au stade Pierre de Coubertin Ă  Paris ». On sera sĂ»rement lĂ  pour vous acclamer ! Merci beaucoup Alexandra pour votre temps. Toute l’équipe de Ô magazine vous souhaite la pleine rĂ©ussite pour cette nouvelle quĂȘte et pour tous vos projets futurs ! Et vous les filles ? Êtes-vous inspirĂ©es par cette hĂ©roĂŻne du karatĂ© ? Gardez les ondes positives de Alexandra Recchia et son message, parce que comme il disait Gichin Funakoshi, maĂźtre de karatĂ© japonais, nĂ© en 1868 et crĂ©ateur du style Shotokan : « Le but ultime du karatĂ© ne rĂ©side pas dans la victoire ou la dĂ©faite, mais dans la perfection du caractĂšre de celui qui le pratique ». Read the full article
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zetaverein · 11 months
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Sous les Mots
Dans tous les livres dont le propos est la zoosexualitĂ©, on vous assomme souvent de dĂ©finition. Aujourd’hui, on parle majoritairement de bestialitĂ©, de zoophilie et de zoosexualitĂ©. Mais savez-vous que tous ces mots ont en fait dĂ©signĂ© la mĂȘme chose, mais Ă  des pĂ©riodes historiques diffĂ©rentes ? Cet angle terminologique permet de dĂ©gager des pĂ©riodes historiques aux mƓurs propres. Nous en avons dĂ©nombrĂ© cinq : la chrĂ©tientĂ©, le spĂ©cisme, la protection animale, la psychiatrie et la libĂ©ration zoosexuelle.
Cet article repose sur des recherches effectuées en France. Les propos suivants ne sont donc pas universels.
  La chrĂ©tientĂ© Dans les textes anciens, la zoosexualitĂ© est dĂ©signĂ©e par l’intermĂ©diaire de pĂ©riphrases. Par exemple, on peut rencontrer dans les textes latins : « fornicationem contra naturam » (fornication contre-nature), « cum animalibus coires » (copuler avec des animaux) ou encore « cum quadrupedus peccat » (pĂ©cher avec des quadrupĂšdes), etc.
(Figure 1: L’interdit zoosexuel dans le Decretum de Burchard de Worms, 1051, « Pecudibus fornicantur », « Quadrupedum fornicatoribus »)
            Il semblerait qu’il n’ait existĂ© aucun mot dĂ©signant la zoosexualitĂ© avant le XIIe siĂšcle oĂč l’usage du mot sodomite se rĂ©pand. Ce dernier fait rĂ©fĂ©rence aux Sodomites, habitants de la ville de Sodome (GenĂšse 10:19). Il s’agit donc d’une antonomase (un nom propre devenu un nom commun). D’aprĂšs le rĂ©cit biblique, un habitant de Sodome, Loth, accorde l’hospitalitĂ© Ă  deux anges envoyĂ©s par Dieu. Tous les hommes de Sodome entourent alors sa maison et demande Ă  en faire sortir ces Ă©trangers qu’ils pensent ĂȘtre des hommes afin de les « connaĂźtre » (GenĂšse 19:05). ConnaĂźtre au sens biblique signifie avoir une relation charnelle. Loth refuse et leur propose deux de ses filles vierges en Ă©change. Les Sodomites dĂ©clinent l’offre et Dieu dĂ©truit la ville par « une pluie de soufre et de feu » (GenĂšse 19:24). Quoiqu’un doute d’interprĂ©tation liĂ© au refus de l’hospitalitĂ© subsiste, bibliquement, les Sodomites sont Ă  l’évidence des homosexuels masculins. Par extension, la sodomie dĂ©signe tout type de pratiques sexuelles (hyperonyme) dites contre-nature (non procrĂ©atives) dont fait a fortiori partie la zoosexualitĂ©.
Il existe encore le mot bougre, un synonyme de sodomite teintĂ© d’hĂ©rĂ©sie. Ce mot renvoie au prĂȘtre bulgare Bogomil, fondateur du bogomilisme. Au XIIIe siĂšcle, sous l’effet de la propagande inquisitoriale dirigĂ©e contre l’hĂ©rĂ©sie bogomile, les Bougres (les Bulgares) sont taxĂ©s de sodomites. Cette appellation de bougre est purement infamante puisque les bogomiles pratiquaient l’ascĂ©tisme (abstinence sexuelle incluse).
  Le spĂ©cisme Le mot bestialitĂ© apparaĂźt au XIVe siĂšcle. Il est issu du latin « bestia » et dĂ©signe tout comportement assimilant l’homme Ă  la bĂȘte. Cette dĂ©finition appelle le questionnement suivant : comment une bĂȘte est-elle censĂ©e se comporter ? Pour les humains, une bĂȘte est un ĂȘtre primitif essentiellement caractĂ©risĂ© par sa fĂ©rocitĂ© (bestialitĂ©) et sa bĂȘtise (bĂȘte). Et effectivement, dans son habitat naturel, une bĂȘte sauvage affamĂ©e ne va pas vous dire bonjour avant d’essayer de vous manger. Mais en est-elle pour autant plus fĂ©roce que l’homme ? La bĂȘte est donc un rĂ©fĂ©rent du dĂ©sĂ©quilibre humain ; le bestial a pu dĂ©signer le criminel, le fou ou encore le tortionnaire.
Le mot bestialité va acquérir un second sens sexuel au XVIe siÚcle.
  (Figure 2 : BĂ»cher de zoosexuelle toulousaine dans « ArrĂȘts notables du Parlement de Toulouse » utilisant le mot « bestialitĂ© », 1525)
                  Cette « bestialitĂ© sexuelle » est un figurĂ© mĂ©taphorique issu du sens premier du mot ; la zoosexualitĂ© serait rĂ©gressive, parce que dirigĂ©e vers l’animal. La bestialitĂ© relĂšve donc du spĂ©cisme, y compris sexuel.
Dilemme : entre un humain déséquilibré et un animal disposé, quel partenaire sexuel choisiriez-vous ?
Lorsque nos sexologues contemporains parlent de bestialité, ils font directement référence à cette zoosexualité brutale, stupide et primitive ; pour le dire simplement, à cette zoosexualité sans amour.
  La protection animale Le XIXe siĂšcle donne naissance au mot zoophilie. Son sens d’alors est tout simplement celui de son Ă©tymologie : une affection (philia) envers le vivant (zoo). Les premiĂšres occurrences françaises sont concomitantes de l’article 453 du Code pĂ©nal napolĂ©onien de 1810. Mais ce mot ne se rĂ©pand vraiment qu’à partir des annĂ©es 1820. On peut le relier Ă  la crĂ©ation du zoo de Londres (London Zoo) en 1828 ou encore au Martin’s Act de 1822 ; une loi anglo-saxonne aujourd’hui considĂ©rĂ©e comme Ă©tant la premiĂšre loi de protection animale en Occident. AprĂšs le Martin’s Act, les journaux français parlent de la « zoophilie des anglais ». À l’évidence, un zoophile est alors perçu comme une personne condamnant la maltraitance animale. Une sociĂ©tĂ© de protection des animaux est appelĂ©e une « sociĂ©tĂ© de zoophilie » ou un « club de zoophile » !
(Figure 3 : « La grande semaine des zoophiles », article de presse signé Botrot, 1926)
                      Un Ă©leveur est zoophilie s’il prend soin de ses bĂȘtes en leur appliquant, par exemple, cette « pommade zoophile » alors en vente dans le commerce.
  (Figure 4 : Publicité pour le « Manuel du zoophile » de Celnart, 1827)
          (Figure 5 : Publicité pour « La pommade zoophile » de la société Peyrat, 1868)
                Peu Ă  peu, les zoophiles sont tournĂ©s en ridicule pour leurs amours excessifs des animaux. La zoophilie se charge ainsi d’une connotation nĂ©gative. Ce virage est potentiellement misogyne, puisque comme FĂ©rĂ© le constate, la zoophilie se rencontre principalement chez la femme (Zoophilie et zoophobie, Charles FĂ©rĂ©, 1897). Et nous ajoutons, de la mĂȘme maniĂšre que la bestialitĂ© se rencontre essentiellement chez l’homme.
  (Figure 6 : Une caricature de zoophile dans un journal, 1935)
                                              La psychiatrie Krafft-Ebing, psychiatre de renommĂ©e internationale, est devenue un des pionniers de la sexologie avec son ouvrage « Psychopatia Sexualis ». Le succĂšs est tel que l’ouvrage est constamment augmentĂ© de 1886 Ă  1924 (quatorziĂšme et derniĂšre Ă©dition). La « psychopathie sexuelle » fait le tour du monde et est notamment traduite en français et en anglais. Au fil des Ă©ditions allemandes, la panoplie concernant les relations sexuelles interespĂšces s’étoffe : « viol d’animaux » (thierschĂ€ndung) nommĂ© aussi sodomie ou bestialitĂ©, sadisme avec des animaux, le « fĂ©tichisme animalier » (thierfetischismus) et la zooĂ©rastie.
Le mot « zoophilie » serait apparu pour la premiĂšre fois avec un sens protosexuel dans la 8e Ă©dition de 1893 : « À la suite du fĂ©tichisme de la matiĂšre, il faut encore penser Ă  certains cas oĂč les animaux ont un effet aphrodisiaque sur les humains. On pourrait parler ici de zoophilie Ă©rotique ».
  (Figure 7 : La « Zoophilia erotica » de Krafft Ebing dans la 9e édition de la Psychopathia Sexualis, 1894)
        L’observation associĂ©e au « thierfetischismus » est celle d’un jeune adolescent sexuellement excitĂ© au contact de la fourrure animale (Die krankhaften Erscheinungen des Geschlechtssinnes, Tarnowsky, 1886). Dans les milieux psychiatriques, la zoophilie devient sexuelle. Mais ce n’est qu’aprĂšs-guerre que le mot zoophilie se substitue peu Ă  peu Ă  celui de bestialitĂ© (probablement sous influence anglo-saxonne). Notons l’ironie de l’Histoire : les zoophiles d’hier condamnent ceux d’aujourd’hui ! Par l’influence de la psychiatrie, la zoophilie a acquis une connotation pathologique qu’elle conserve encore aujourd’hui.
Krafft-Ebing propose le mot « zooĂ©rastie » comme catĂ©gorie de sa classification avec un sens de bestialitĂ© pathologique. Ce mot n’a jamais Ă©tĂ© trĂšs usitĂ©.
En 1940, Clifford Allen forge le mot-valise bestiosexualitĂ©. Ce mot sera Ă©galement peu usitĂ© en France. Il est citĂ© uniquement afin de souligner l’existence d’un mot antĂ©rieur Ă  celui de « zoosexualitĂ© » et formĂ© sur le mĂȘme radical « sexuel ».
  La libération zoosexuelle Le mot-valise « zoosexualité » est forgé au début des années 1990 par des pratiquants (anciennement zoophile donc) américains sur Internet.
  (Figure 8 : Utilisation du mot « zoosexuel » sur le newsgroup Usenet « alt.sex.bestiality », 3 mars 1994)
                        On peut aisĂ©ment comprendre les raisons qui ont amenĂ© ces zoosexuels Ă  cette saillie linguistique : aucun mot n’avait jamais exclusivement dĂ©crit la rĂ©alitĂ© zoosexuelle. Comme on l’a vu, « sodomite, bougre, bestialitĂ© et zoophilie » sont polysĂ©miques, ils ne peuvent donc dĂ©crire exclusivement l’acte. De plus, ils sont connotĂ©s nĂ©gativement : le sodomite est un pĂ©cheur, le bougre un hĂ©rĂ©tique, le bestial une brute, le zoophile un malade mental ! Pour ses partisans, le mot « zoosexualitĂ© » serait ce mot manquant capable de nommer une pratique interespĂšce dĂ©nuĂ©e de connotation nĂ©gative.
L’éternel dĂ©bat Ă©merge. Quel mot utiliser alors ? Zoophile ou zoosexuel ? Les deux prĂ©sentent des avantages et des inconvĂ©nients.
Le mot « zoophile » est simple, comprĂ©hensible, possĂšde une sĂ©mantique positive et convient Ă  tous, y compris aux platoniques. Mais il possĂšde une connotation psychiatrique et est repris par des personnes souhaitant importer le mouvement « anti-contact » d’origine pĂ©dophile (en France, on parle de « pĂ©dophile abstinent ») Ă  la zoosexualitĂ©.
Le mot « zoosexuel » met en avant la sexualitĂ© et non plus l’affection. Efficace pour lutter contre le mouvement anti-contact, mais certains experts ont ainsi pu inclure le sadisme dans la zoosexualitĂ©. Se dĂ©clarer zoosexuel constitue une preuve par aveu alors que se dĂ©clarer zoophile est lĂ©gal. Et en dernier argument, la zoosexualitĂ© est un calque du mot homosexualitĂ© choisie Ă  dessein dans l’espoir d’ĂȘtre un jour au mĂȘme niveau de tolĂ©rance sociĂ©tale que les homosexuels. Le mot « zoosexuel » incarne ainsi cette idĂ©e d’intervention sur la rĂ©alitĂ© par le langage. Inversons cette logique. Le mot zoophile constitue-t-il un obstacle Ă  un Ă©ventuel processus de normalisation ? Nous pensons que non. À titre d’illustration, citons la revue militante Arcadie (1954-1982) qui se disait « homophile ». Ce qui n’a nullement empĂȘchĂ© la normalisation de l’homosexualitĂ© et l’a mĂȘme prĂ©figurĂ©e.
Aujourd’hui, le mot zoophilie est toujours trĂšs prĂ©sent ; le mot zoosexuel ne s’est pas imposĂ©. Dans ce fouillis linguistique, les diminutifs prospĂšrent : zoo (nom), zooey (adjectif) (grĂące au podcast Zooier Thou). Le choix des mots est important, mais cela ne fait pas tout. La libĂ©ration zoosexuelle passera avant toute chose par la lutte contre les amalgames sociĂ©taux.
  Article écrit par Chienlit (octobre 2023)
Images de Gallica (Figure 1), Tolosana (Figure 2) et RetroNews (Figure 3, 4, 5, 6).
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gwilymlee · 5 years
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Bless you for you GIFs of Top End Wedding. You are an angel, I hope you have a very very good day ! 💕 (Seriously, ThankYouThankYouThankYou. I'm not sure it'll ever come out in my country so I get a feel of what it's like.)
Awn, thats so sweet! Thank you for the love and i promisse i’ll do my best to give the gifs and all that, i’m curretly doing a gif hunt for rp of every single scene of the movie that he is in! And don’t be sad, the movie wasnt released in my country but you can already find it online! So go ahead babe and watch it cause its a beautiful love story.
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belphegor1982 · 5 years
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antonomase replied to your post: In the immortal words of Samwise Gamgee, well, I’m...
Tut’s exhibition is amazing. But imagine my little ingenuous self going through it all expecting to see the Mask at the end. Still, it was mind-blowing.
I kinda expected to see the actual mummy :D Which was dumb, I know, but still. I mean, I expected an hour-long visit from the blurb and we ended up staying over three hours! 
I hear you on the mask. The photos alone were... yeah, mind-blowing really is the word here :o)
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